Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/12/2021

pensez aux profits qu'ont du se faire les fabriquants grêce à l'invention de l'esclavage antique !

Pensez aux profits qu’ont du se faire les fabricants de chaînes grâce à l’invention de l’esclavage antique ! Et maintenant pensez aux téléphones portables…….

(voilà ! oh il n'est même pas nécessaire d'avoir lu Marx (quoi que ça aide !) La Fontaine suffira ! tellement c'est le bon sens même. Et comprenez ce qui se passe...)

02/11/2021

les ammonites

Quelle tristesse !
En caressant son chat
De penser aux ammonites . . .

 

(si vous voulez  lire l'ensemble de mes poèmes, ils sont édités par  http://flammesvives.com/Boutique/Produit/Les_pleurs_de_la... )

25/10/2021

comment les chats sont des professeurs d'humanité

Avoir un chat « rouleur » apprend à se sentir comme les femmes des couples « traditionnels » envers  leurs maris, et à comprendre et vivre leurs sentiments, et comment elles les aimaient. (n’en déplaise à la in-sekto!)

Il y a même l’odeur : en rentrant les vêtements des hommes sentaient le tabac,  les poils des chats sentent  la terre mouillée et les feuilles pourries …..

 

et puis "please help !" lien http://www.ipernity.com/doc/323779/50424316

un bel monster appeal !

16/10/2021

résumé du monde

un autre poème extrait de ce recueil : http://flammesvives.com/Boutique/Produit/Les_pleurs_de_la...

 

Images

 

Une vieille lessiveuse avec une chatte qui a fait ses petits dedans

 

Une bulle de savon

 

Un reflet de lune sur l’eau

 

Un curé qui, dans les années 70, parle encore de vie éternelle dans un sermon, pendant le carême

 

Une enfant qu’on envoie devant un psychiatre parce qu’elle dit qu’elle veut entrer au Carmel

 

22/06/2021

alors comme ça on se remet à décider administrativement d'apporter une solution finale aux espèces "nuisibles et invasives" ??

il va falloir ajouter un nouveau slogan pour  2017 : Liberté pour les perruches à collier immigrées en France !

l’approche existentielle est la base de la morale, comme l'a sans doute compris Elian-J Finbert (et Brigitte Bardot)

ils (les intégristes de l'écologie et les "scientifiques, aussi impavides que il y a un siècle les savants nazis...) sont tellement dans leurs concepts d’espèces et de biodiversité, qu’ils oublient que les individus, bien vivants et bien concrets, sont des êtres sensibles.

Giuseppe Belvedere la paradigme de la résistance au nazisme ( et relisez Michel Terestchenko) :

Les perruches à collier de France.

Pour retrouver leurs premières traces, il faut remonter au milieu des années 1970, affirment les spécialistes interrogés par franceinfo. "En 1976, une centaine d’individus se sont échappés de l'aéroport d'Orly", assure Rémy Delanoue, ornithologue et juge international lors de concours de beauté de psittacidés (comprenez perroquets, perruches et autres inséparables). La piste semble vraisemblable. A cette époque, l'oiseau, à la mode dans les animaleries, était importé en nombre par avion. "Leur cage s’est ouverte lors d’une manipulation par un Fenwick [un chariot de manutention] et une centaine de perruches ont ainsi pu s'envoler", croit-il savoir.  L'autre foyer d'origine, plus récent, se situerait du côté de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d'Oise). Pas d'erreur de manutention cette fois : les soupçons se portent sur un grossiste qui ignorait sans doute la malice de l'animal et sa capacité à s'échapper de sa cage. "Elles sont de la famille des perroquets, l'un des oiseaux les plus intelligents qui soient", explique ****** ******, de l'antenne francilienne de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). "Au début des années 1990, les contrôles des oiseaux étaient moins stricts et les fenêtres du bâtiment où elles étaient entreposées n'étaient pas grillagées. (comme Fleury-Mérogis !...) C'était facile pour elles de prendre le large", insiste R. D.. Depuis un demi-siècle on a vu arriver les tourterelles turques, les roselins cramoisi pointent leurs nez, les merles ont envahi nos villes depuis le XIX siècle (autrefois ils ne sortaient pas des forêts), Autrefois les moineau, oiseaux des rochers, ont peuplé les villes, les alouettes les campagnes. À part les intégristes ecologistonazis qui s’en plaint ? la carte de leurs dortoirs (les lieux où elles passent la nuit) le confirme : ils n'ont quasiment pas bougé depuis quarante ans et se concentrent autour de Wissous (Essonne) et Roissy-en-France (Val-d'Oise). Contacté par franceinfo, le gestionnaire Aéroports de Paris explique avoir entendu parler de ces thèses, mais n'a retrouvé aucune trace des "évasions" supposées. Le responsable du pôle Espaces verts d'Orly penche plutôt pour des remises en liberté par des propriétaires lassés de ces oiseaux trop bruyants. 

Environ 8 000 spécimens (non, êtres vivants ! Je dirais même mieux personnes vivantes, images de Dieu) en Ile-de-France

Quoi qu'il en soit, les perruches sont bien là... et se reproduisent. (comme les humains ! lisez « Un Nid » de Sully-prudhomme) ) Résultat, en Ile-de-France, la population s'est envolée : leur nombre est passé de quelques dizaines d'individus dans les années 1980, à 1 100 en 2008 puis 4 200 en 2015, selon  une étude menée par des chercheurs du Muséum d'histoire naturelle de Paris. Avec deux à trois oisillons par an et par couple, la progression est très rapide. Désormais, en 2017, "on s'approche plus des 7 000 à 8 000 individus" dans la région, estime le spécialiste de la LPO. L'Ile-de-France n'est pas la seule concernée par le phénomène : d'autres foyers ont été signalés près de Marseille (Bouches-du-Rhône),  Roubaix, Villeuneuve d'Ascq ou encore Toulouse. A l'étranger aussi, comme à Barcelone au-dessus des Ramblas ou en Grande-Bretagne, où elles seraient plus de 30 000. (+ la Rhénanie ! + Bruxelles ! )  L'invasion fait le bonheur des passionnés. Cela fait vingt-trois ans que Bruno Lebrun, agent d'accueil du parc de Sceaux (Hauts-de-Seine) et détaché à la surveillance des oiseaux nicheurs, arpente les 180 hectares pensés par Le Nôtre. Depuis 2003 et l'arrivée du premier couple de perruches, pas un nid ne lui échappe. Chaque année, il est chargé de recenser les couples qui s'installent entre février et juin dans les creux des platanes centenaires, abri idéal pour décourager les écureuils roux, friands de leurs œufs et de leurs oisillons. Aujourd'hui, il en dénombre plus de 90 qui, chaque soir, s'envolent en nuées vers leurs dortoirs de Wissous et Massy, situés de l'autre côté de l'A86.

Ici, elles trouvent de tout, toute l'année. Au printemps, elles dévorent les bourgeons, l'été elles trouvent toutes sortes de fruits et de baies et à l'automne, ce sont les glands et les pommes.Bruno Lebrun, du parc de Sceaux.

"Elles sont magnifiques", glisse un promeneur

mais  ces racistes anti-immigrés que sont les écologistes intégristes, n'es veulent pas : elles ne "sont pas d'cheu nous" !

Les perruches peuvent compter sur la générosité des promeneurs qui leur apportent des graines, malgré les panneaux d'interdiction. Au détour d'une allée longeant l'un des bassins du parc de Sceaux, Amadou témoigne. "J'adore les perruches. Elles sont magnifiques",

(LES IBIS SACRES AUSSI ETAIENT MAGNIFIQUES…...)

s'enthousiasme-t-il. Séduit, il en a même acheté plusieurs pour agrémenter son balcon... mais elles se sont échappées. Les fugueuses reviennent le voir régulièrement : "Même après les hivers les plus secs et rigoureux, elles sont toujours là."

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la rigueur de nos hivers ne leur fait pas froid aux yeux. "A l'origine, elles vivent sur les contreforts de l'Himalaya, jusqu'à 1 500 mètres d'altitude", rappelle Frédéric Malher, président du Centre ornithologique Ile-de-France. Autant dire que les quelques épisodes de neige francilienne n'ont rien d'incroyable pour elles.  "L'hiver, elles passent 50% de leur temps près des mangeoires ou des boules de graisse disposées dans les jardins par les particuliers", précise Olivier Païkine, de la LPO Ile-de-France. Même celles suspendues en hauteur et destinées aux petits oiseaux y passent. Avec leurs pattes, les perruches agrippent le fil, le remontent et se régalent. Elles se servent aussi chez les particuliers. Près du parc de la Vallée-aux-Loups, à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), un voisin n'a pas pu savourer ses cerises cette année. "Les perruches ont découpé le filet de protection qu'il avait installé pour éloigner les oiseaux et elles se sont régalées", s'amuse Bruno Lebrun.

Peu de prédateurs et très envahissante

ouais , mais comme dit Christian Lévêque :

« Les écosystèmes ont des capacités d’adaptation importantes, aussi bien lorsqu’ils perdent des espèces que lorsqu’ils acquièrent de nouvelles espèces, comme l’a montré l’écologie rétrospective. »

Leur vie est à peine troublée par quelques prédateurs : la chouette hulotte. Des plumes de perruches ont été retrouvées dans le nid d'un rapace, dans le 15e arrondissement de Paris, rapporte la LPO. Et si les écureuils et les rats peuvent occasionnellement se délecter de leurs œufs, les perruches savent se défendre d'un coup de bec. Un écureuil en a déjà fait les frais dans un parc de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne).

Sans véritable prédateur et avec son chant, la perruche agace. Et inquiète aussi (les fonctionnaires du Commissariat général aux questions juives ) Car elle entre en compétition avec d’autres oiseaux, notamment pour les nids. Opportuniste, la perruche à collier ne creuse pas son propre nid. Dès février, elle élargit ceux des autres oiseaux (comme la sittelle torchepot, l'étourneau sansonnet et le pigeon colombin), bien avant que ces espèces ne s'y installent. Ce qui les oblige à trouver d'autres lieux de nidification.

Dans le parc de Sceaux, on a déjà remarqué une baisse du nombre d'étourneaux sansonnets. Bruno Lebrun à franceinfo. Pour certains spécialistes de la biodiversité, il est temps de « réguler » la population de perruches. La LPO demande d'ailleurs l'aide des Franciliens pour les "signaler" ! (ça s'est déjà fait autrefois pour localiser des personnes pourchassées) Pour le moment, "en Ile-de-France, elles ne vivent qu'en petite couronne, tempère Bruno Lebrun. Mais si elles s'attaquent aux cultures, comme elles le font en Inde par exemple, elles peuvent faire des ravages..." par exemple, jusqu'à 70% des récoltes de tournesol ont parfois été perdues. De quoi préoccuper certains maires franciliens.  à Antony (Hauts-de-Seine), des perruches ont déjà creusé des nids dans les plaques isolantes de façades d'immeubles récemment ravalés. [tant mieux ! j'ai vécu les effets de l'isolation thermique de l'IA,c'est étouffant !] 

La perruche à collier est-elle une menace pour « notre » [ça veut dire quoi ? Un écosystème par définition ça évolue constamment, ça veut dire quoi une « menace » ? Si on réfléchit bien, ça n’a pas de sens, et puis c’est quoi ce « notre » ? l’écosystème ne vous appartient pas], écosystème ? Aucun consensus ne s'est dégagé sur la question, estime l'ornithologue Philippe Clergeau, et la loi reste floue.. N'empêche, le sujet devient politique. En 2015, le sénateur des Hauts-de-Seine André Gattolin (ex-EELV, désormais LREM - tiens tiens ! je vois le genre .... ) avait interpellé le ministère de l'Ecologie pour inclure la perruche à collier parmi les espèces nuisibles et invasives. [et donc à exterminer, exactement comme Hitler avait mis les tziganes et les juifs dans la liste des espèces d’humains nuisibles et invasives…] "La législation actuelle permet à l'autorité administrative d'organiser la capture ou la destruction des immigrés. Mais, pour l'instant, aucune action de cet ordre n'a été entreprise à ma connaissance", explique-t-il à franceinfo.

Une population trop difficile à "contrôler" (en anglais ça se dit :"to control a disease" mais en français ça veut dire "se rendre maître de" voire "éradiquer",  là ils sont en train d'éradiquer la langue française !)

Au cas où, plusieurs solutions existent pour réguler leur nombre : stériliser des couples ou secouer leurs œufs pour les empêcher d'éclore. Mais avec des nids situés à plus de 10 mètres de hauteur dans les arbres, "de telles opérations semblent irréalisables" à grande échelle, aux yeux de Bruno Lebrun. "En revanche, en lançant des filets sur les dortoirs des perruches, on pourrait en capturer un grand nombre d'un seul coup. Mais cela coûte très cher à réaliser."  Aux Seychelles, dans l'océan Indien, la réponse au problème des perruches à collier (après le « problème juif » on nous bassine avec le « problème rom », et après ça va être le « problème perruches à colliers » ! mais les intéressés qu’est-ce qu’ils en pensaient ou qu’ils en pensent? Comment ils on vécu, ou vivront ça ?) a été radicale (une « solution finale » quoi ! Comme pour les Ibis Sacrés). Des opérations d'éradication ont été lancées dès 2013 et le dernier spécimen de perruche à collier aurait été tué début septembre, rapporte Seychelles News Agency. Mais pour Jean-Philippe Siblet, du Muséum d'histoire naturelle, il est déjà trop tard. "Sur une île, une espèce invasive peut être éradiquée, mais à l'échelle d'un continent comme l'Europe, c'est totalement impossible." En cage comme en liberté, les perruches à collier n'ont donc pas fini d'échapper au contrôle de l'homme. (les roms non plus)  

 

un millier de Tadorne Casarca, beau canard roux originaire des déserts d'Asie centrale, s'est installé en Suisse (outre qq millions d'humains de toutes origines). L'office Suisse de "protection" des oiseaux commente

"Cette situation est problématique, car ses effectifs ne sont pas indigènes."

Et voilà !  C'est clair, comme motivation ! (mais les celtes quand ils sont arrivés en Helvétie étaient-ils indigènes ? pas plus que les alouettes et les moineaux, bref tout ce qui n'était pas hommes de Néandertal et rhinocéros laineux ! )

alors comme ça sous prétexte qu'elles "ne sont pas d'cheu nous" et qu'elles en concurrencent d'autres il faudrait es exterminer ?

donc fallait-il au XIXè sièce exterminer les auvergnats qui ont concurrencé les bistrotiers parisiens "de souche" en ouvrant partout des commerces de "vins et Charbon" ?  Heureusement qu'on n'a pas fait ça : on n'aurait pas eu les bals musettes !!  ni cette musique qui pendant  un demi-siècle est devenue le symbole même de la culture française populaire !

donc faut-il exterminer les jaïns de l'Inde qui à Anvers sont en trains de retirer le commerce des diamants des mains des juifs ?

donc Fallait-il exterminer les polonais du Pas-de-Calais qui ont pris le charbon des mains des mineurs autochtones ?

Etc donc selon les écologistes, et les préfets à leurs ordres, il faut raisonner comme ça ? ban en voilà des génocides en perspective ! Le Pen à côté c'est un ange ! Je sais , dans les années 30 il y a eu quelqu'un qui a raisonné comme ça, envers les juifs et les roms, mais je croyait qu'il en avait gardé  une sinistre réputation ! Les écologistes vont-ils se mettre à son école ?

24/02/2021

Je ne sais plus pleurer, donc je ne suis plus

mes aphorismes (première partie)


Seule est vraie la sécurité qui s’accompagne de liberté, tous les chats vous le diront.

L

Attention ! derrière chaque Joseph Prud’homme se cache un Himmler

 

 

Le Pouvoir et le mensonge sont toujours associés.

 

« Ah que le bonheur peut ressembler à un suicide ! » (1) et à un meurtre.

(1)Franz Kafka

 

B

« Celui qui veut connaître la vérité de l’homme doit s’emparer de sa douleur » (1), pas de ses ricanements. Celui qui s’empare de ses ricanements, il a la vérité de la société.

(1)Georges Bernanos

 

H

« Ouverture » : un mot commun aux violeurs et aux capitalistes internationaux.

C

Ailleurs, c’est bien joli, mais une fois qu’on y est ça devient ici. C’est une bien triste vérité, et bien ennuyeuse ; une fois qu’on a l’a comprise, il ‘y a plus de bonheur possible.

 

A

Amour rime forcément avec toujours, sinon ce n’est pas de l’amour !

A

A-t-on le droit d’être heureux, quand d’autres sont morts ?



M

Au milieu du ramassis de foutaises dont nous sommes abreuvés, il n’y a guère que le Caligula d’Albert Camus qui nous fasse entendre une voix sensée.

 

V

Aujourd’hui on nous impose la santé comme autrefois le Salut.

S

Autrefois les parents exerçaient un pouvoir dictatorial sur leur enfants, de nos jours c’est l’Etat.

S

Aux qualités que les vieux exigent des jeunes connaissez-vous beaucoup d’adultes qui mériteraient d’être « jeunes » ?

 

S

C’est beau la confiance, c’est divin !

 

C

C’est comme les petits ours, on n’existe que par les caresses qu’on vous fait.

 

C

C’est l’avenir qui donne raison des choses ; or on ne connaît pas l’avenir ; donc on ne connaît pas le présent.

 

C

C’est sûr qu’il faut assurer la perpétuation de l’espèce ; il faut remplacer ceux qui s’en vont sentir la merde à l’hospice par d’autres qui sentiront la merde dans leurs langes. Et la vie continue ! comme ils disent !

 

V

Ça ne sert à rien d’être heureux : il n’en reste rien.

T

Caresser ce n’est pas toucher une chose, c’est comme pétrir de l’âme elle-même.

 

C

Ce n’est que quand on touche les corps qu’on touche les âmes.

C

Ce papotage superficiel et dépersonnalisé que les bonnes-femmes appellent « amitié » !

 

F

Comme c’est funèbre d’enlever les guirlandes de Noël ! Même quand on n’a pris aucun plaisir à les mettre.


T

Comment voulez-vous que la France soit un état de droit si ceux qui sont chargés de le faire respecter sont les premiers à le bafouer ?

P

Contrairement à ce qu’on veut nous faire croire, le capitalisme s’accorde beaucoup mieux avec la dictature qu’avec la démocratie, le monde moderne l’a bien montré.

 

D

Dans la vie dès qu’on fait confiance à ce dont on a aucune raison de se méfier on court à des catastrophes !

V

De nos jours la tolérance n’est plus le fruit d’un raisonnement ou de valeurs, et ce n’est plus un combat, surtout pas sur soi-même ! ni une pratique(1), c’est une glorification de l’ordre établi.

(1) : la flèche du Parthe !

 

T

De plus en plus tout ce qui n’est pas obligatoire est interdit ! C’est la nouvelle société dans laquelle on va se retrouver. On est déjà en train de s’y habituer sans s’en rendre compte.

 

S

Entre mammifères on se comprend.



 

A

Envers les enfants tous les adultes se comportent comme des fascistes.

 

E

Et la girouette rouillée qui grince au vent de mer, jusqu’à ce qu’une rafale la jette à terre, croit que les constellations la guident.


G

Il faut s’ennuyer – il faut avoir le temps de s’ennuyer – si on veut avoir quelque chance de vivre, un peu, à l’occasion.

 

E

Il ne faut jamais attendre le moment propice pour faire les choses, sinon on ne fait jamais rien : le moment propice on ne l’aura jamais

.

V

Il ne faut jamais faire aveuglément confiance à ce dont à priori il n’y a aucune raison de se méfier, sinon on court à des catastrophes.

V

Il va bientôt falloir qu’au nom de la liberté les gens manifestent aux cris de « Nous revendiquons le droit imprescriptible d’être gros, sales, malades, et malheureux ! »

 

L

Il vient toujours un moment où le chagrin est la seule chose qui nous rattache encore à la vie, le seul acte de foi en la vie qui puisse rester.

C

Il y a deux sortes de gens : ceux aux yeux de qui avoir soif de l’impossible est un défaut, et ceux aux yeux de qui c’est une qualité.

H

Il y a des fois plus de sagesse dans les corps que dans les âmes, les corps aiment souvent mieux que les âmes.

C

Ils appellent leurs esclaves « collaborateurs », c’est la « langue de bois » de l’Entreprise.        

C

Je ne sais pas l’italien, et ça me désole, à quoi ça sert de vivre si ce n’est pas pour savoir l’italien ? A quoi ça sert de vivre si ce n’est pas pour aimer ?

C

Je ne sais plus pleurer, donc je ne suis plus.

H

Je voudrais tellement pouvoir aimer quelque chose, ne fusse que moi-même, mais c’est impossible : il n’y a que mort, évanescence et vanité.

 

V

L’avortement et l’euthanasie : la méthode-Hitler pour se débarrasser des indésirables.

 

M

L’habitude est un dieu pervers

 

H

L’habitude et la superstition : deux choses qui peuvent tuer, aussi bien au niveau des individus qu’à celui des peuples.

 

H

L’homme est fait pour marcher et pour faire l’amour, lorsqu’il ne fait ni l’un ni l’autre ses muscles et son corps se dégradent.

 

A

La beauté n’existe pas. Elle n’est que dans le regard, le cœur des gens. Et le cœur des gens meurt.

 

V

La cause de l’optimisme c’est la faiblesse du cœur humain.

 

O

La démocratie ? C’est comme la monarchie, sauf simplement qu’on laisse au peuple le soin d’arbitrer entre Henri III et le Duc de Guise.


D

La Fontaine avait raison : les imbéciles sont dangereux, même quand ils vous aiment.

 

I

La fraternité avec tous les siècles est la seule chose qui puisse donner un simulacre de sens à la vie.

H

La futilité humaine est sans limite ; mais sans elle d’ailleurs on ne pourrait vivre, puisque tout ce qui nous entoure, notre vie, et tout ce dont notre esprit peut se nourrir, est futile.

 

V

La lâcheté est l’arme habituelle … des puissants !!

 

P

La mémoire c’est ce qui fait vivre la vie, c’est prendre le parti de la vie et de la vérité ; c’est pourquoi l’absence de mémoire ou le refus de la mémoire, et sa disparition, c’est prendre le parti de la mort, c’est tourner paresseusement le dos à la vie.

 

M

La mort est la seule chose qui soit éternelle.


T

La nature de la vie c’est de mourir.

La nature du temps c’est de disparaître à tout jamais.


V

La seule chose qui, en fin de compte justifie l’existence de la police, c’est que c’est un moindre mal : si ce n’était pas les voyous en uniforme ce serait les voyous proprement dits, les voyous sans uniforme, qui feraient leur loi, et ce serait pire.

P

La société a toujours été basée sur la mort. Avant on institutionnalisait le meurtre sous le nom de guerre . Maintenant on ne se fait plus la guerre, mais on a inventé l’avortement et l’euthanasie. Et les bavures policières.

M

La vanité d’auteur est en fait une espèce de désespoir pitoyable.

T

La vérité ne prend pas beaucoup de place, quelques neurones ; et elle disparaît avec eux.

V

La vie commerciale et la politesse transforment les gens en objets, contrairement à l’érotisme.

 

S

Le manque de temps empêche de vivre, et tue les valeurs.

 

H

Le modernisme n’est plus ce qu’il était, il ne reste que la nostalgie. (1999)

 

M

Les chats ont plein de pattes partout, dans tous les coins.


C

Les distractions des adultes, quand ils sont ensembles, sont à peu près juste un peu moins intelligentes et créatives que celles d’un enfant de 3 ans.

 

S

   

Les femmes n’ont pas de sensibilité, elles n’ont que de la susceptibilité !

 

F

Les femmes n’ont pas le sens des valeurs, à la place elles mettent le sens des convenances.

 

F

Les gens, de nos jours ne sont pas démocrates, ils sont respectueux de l’ordre établi, simplement l’ordre établi porte le nom de « démocratie », c’est ce qui fait illusion.

 

S

Les parents ont bien de la chance que les enfants soient des êtres versatiles et pas rancuniers ! . . .

 

P

Les phantasmes mythologiques sont faux, qu’on pratiquait tant. Tout ce qu’on a inventé pour les remplacer, et jusqu’aux sensations des poètes et des artistes sont faux.
Qu’est-ce qui est vrai ?


V

Les publicitaires prennent vraiment les gens pour des cons .... Et apparemment ils n’ont pas tort.

http://miiraslimake.over-blog.com/page/81

11/02/2021

quelques films vus

*1997 - « L'invitée de l'hiver » de Alan Rickman https://www.dailymotion.com/video/x4osocr  
Très beau film, et très prenant, qui se déroule dans un petit port d'Ecosse un jour de grand gel. Mais je remarque que c'est tout du long très "politiquement correct" - travail du deuil, idylle, psychologie de bonnes-femmes, "think positive"  et tout ça - jusqu'à ce que la scène finale avec les deux enfants (la vérité est sentie seulement par les enfants ! je m'en suis moi-même aperçu durant ma propre enfance), qui rompt cette bien-pensance "positive" et où la vérité de tout est finalement bien sentie, et dite, à mi-mots.

la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)

 

*1987 - Un film « L’intendant Shansho » de Mizogushi (japonais) que j’ai vu hier
soir à la télévision. Très beau film. Drame humain, et sujet social sur l’esclavage dans le Japon
antique. Il se passe entre 950 et 1150 de notre ère à l’époque Heian, des régents Fujiwara,
avant que s’instaure la féodalité et le Moyen-Age japonais. Un gouverneur trop indulgent lors d’une  révolte de paysans est condamné à l’exil. Sur  la route avec sa femme et son fils et sa fille,
ils sont attaqués par des brigands, qui enlèvent le fils et la fille et les vendent comme esclaves.
Ils se retrouvent aux mains d’un intendant cruel et tyrannique. Avec l’aide de sa sœur le jeune
homme s’évade et se réfugie dans un monastère bouddhique. La sœur se noie pour ne pas à avoir
sous la torture à trahir son frère. Celui-ci idéaliste qui refuse de se contenter de prier le Bouddha,
part avec une lettre de recommandation de l’abbé pour Kyoto voir le Régent, qui lui apprend que son père est mort en exil, mais le réhabilite et le nomme gouverneur de la province où il a été
esclave. Il projette alors de faire libérer tous les esclaves de cette province, le Régent lui rappelle
qu’il n’a ce pouvoir que sur les terres de l’Etat (système des terres étatisées, inspiré de la Chine T’ang et extension des domaines alloués à des particuliers, échappant au lot commun, et  tendant à devenir plus  tard un système féodal) Le domaine où ils étaient esclaves est privé et hors de son
autorité. Il le fait pourtant, libère les esclaves, exile l’intendant et confisque ses biens, en dépit
 des menaces qu’il risque. Puis démissionne  et part chercher le village où il retrouve sa mère,
seule, misérable, aveugle, et au bord de la folie. Elle lui demande où sont son père et sa sœur.
Et il lui répond en la prenant dans ses bras « Il ne reste plus  que nous deux désormais ».

  (…)

 

 

*  22/4/1990 Vu « Crimes et Délits » de Woody Allen : Très Bien, et très  woody-allenien. Il y a beaucoup de choses là-dedans, et il y aurait beaucoup à dire. Une remarque, en comparaison avec ce qui se passe dans « Hanna et ses sœurs ». Dans Hanna et ses sœurs, le héros, après avoir été torturé par la peur de la mort et avoir essayé en vain toutes les religions fini par trouver la paix (cf. Camus in Le Mythe de Sysiphe « Cette paix empoisonnée » et ces « renoncements mortels » ) dans la sensation immédiate du bonheur ;
à comparer à ce qui arrive à l’ophtalmologiste de Crimes et Délits qui après avoir accepté de faire tuer la femme qui l’aime et risque de briser sa sécurité et sa puissance (est-il vraiment plus mauvais que les autres ? je ne pense pas, mais justement la puissance et la sécurité corrompent, il a plus à perdre, il lui est plus dur d’accepter les catastrophes et plus facile de disposer du sort des gens), a connu (« l’œil était dans la tombe et regardait Caïn ») les transes du remords ; et puis quelques mois plus tard, dans l’athmosphère du bonheur familial a retrouvé la paix, assis sur le cadavre de cette femme. C’est le même phénomène en fait, la  même paix gagnée à coups d’inconscience et d’engourdissement sous l’effet des petits bonheurs, que nos maîtres à penser appellent "travail de deuil", laquelle est tout aussi criminel ("dans son coeur" disait Jésus-Christ)
La comparaison mérite qu’on y réfléchisse par l’éclairage qu’elle ouvre.

 

*29/3/1992 Vu « Ombres et Brouillard de Woody Allen,
c’est un conte philosophique.Très beau, très complexe, marrant, émouvant. C’est Woody Allen, l’auteur, et l’acteur aussi, et son visage qu’évoque la critique. Le scénario est fait pour finir en tragédie, mais comme d’habitude il y échappe par une pirouette Ce cœur pur à l’air de minus en naphtaline et qui est sans doute l’être le plus inoffensif de sa ville, peut-être le seul, qui se veut trop honnête, trop ouvert à la vie, et à la raison, à l’honnêteté, donc à l’impuissance, qui a gâché sa vie par ses hésitations, piégé dans une machine infernale devrait finit pendu jugé et condamné comme étant le tueur psychopathe. Il se sauve en  acceptant, finalement (…..) de devenir l’assistant de l’illusionniste. c. à d. : dans cette machine infernale qu’est la vie le seul « salut » ce sont les illusions. Mais les choses ne sont pas ce qu’on croit qu’elles sont. « On a besoin de choses solides sur lesquelles on peut compter » dit-il (cf. la scène finale de « Manhattan ») Mais il s’aperçoit que sa fiancée n’est pas celle qu’il croyait. Ça arrive souvent dans la vie qu’on s’aperçoive que la femme qu’on aimait n’est pas, n’a jamais été, ce qu’on croyait, qu’on croyait à un être de lumière sur lequel on pourrait compter et tout s’effondre quand son vrai visage se révèle dans l’épreuve. N’est-ce pas ?

 

29/3/2002 Vu « Intervention Divine» film palestinien (le 3ème je pense, après
le merveilleux « Conte des Trois Diamants » de Michel Khleifi
)  de Elia Suleiman. Très beau,
très « konsilinda ». Si on le laisse travailler (…) et si les Israéliens ne le tuent pas, il deviendra un
des plus  grands réalisateurs du siècle (le 21ème) « un tableau tout à la fois burlesque et
désespéré ». Oui la critique évoque Jacques Tati et Buster Keaton, exact, j’y ajouterais la Provence  de Pagnol ; et par moment les images ou les scènes virent au surréaliste. E. Suleiman manie un humour tout à fait personnel.
https://www.youtube.com/watch?v=ICkLnlDnOIk

Et la scène des mains https://www.youtube.com/watch?v=9wgoJbfWGj8 au parking du check-point fout en l’air, à elle seule, le slogan absurde et anti-humaniste  « à chacun son corps »

 

*28/11/2002 vu « l’homme sans passé » de Aki Kaurismaki (un finlandais), primé à Cannes ;

 Quel monde sinistre et morbide comme c’est pas permis ! D’une totale déshumanisation et d’une profonde barbarie. L’inde (même les bidonvilles de l’Inde !) est un monde dix fois plus civilisé et dix fois plus humain que la Finlande !

 C’est bien un pays nordique, on sent  très fort qu’on est dans ces pays où on a stérilisé les femmes  qui se teignent les ongles de pieds en rouge et où on met en prison les clients des prostituées !  C’est l’image du monde orwellien et barbare que nous préparent le capitalisme + Sarkozy + la politically correctness. La « citée de la Joie » de Calcutta c’est un espace d’humanité (même le  parrain mafieux ! en comparaison ! même lui !!) de civilisation, de solidarité et de douceur, et de joie, c’est une vraie soirée dansante, en comparaison avec la Finlande de l'an 2.000 ! La femme (dans le film) du guichet de l’ »ANPE », on aurait envie de l’écraser sous son talon, tellement elle est odieuse  (et typique).  Ce film pue la mort. Et vous fait aussi comprendre, encore mieux que tout un site Internet d’antimondialistes ou d’anarchistes, à quel point on est enfermés sans espoir dans un bagne. Et que quand on a accepté dans les années 70 de se laisser « bancariser », on a signé notre arrêt de mort, et celui, très concret, de milliers d’êtres, et celui de la Civilisation. Il aurait fallu alors se révolter et brûler les carnets de chèques.

 Ces finlandais nous montrent un peuple profondément brutal, égoïste, et rustre. Les seuls êtres qui respirent l'humanité là-dedans ce sont les chiens.

 Ce film évoque à peu près autant la vie que le cadavre refroidi de Jacqueline sur son lit de décor mortuaire.

 

 *134) 12/3/2003 Vu « Monsieur Schmidt »

film d’Alexander Payne. TB. C’est très émouvant, les  acteurs très bons ; Ca fait fort penser à cet autre film américain « Mort d'un commis voyageur » ; ça évoque aussi par moments le Dictionnaire des Idées reçues de Flaubert, en beaucoup plus cruel.
 Ça se passe aux USA mais c’est non seulement une « devastating » (comme on dit en anglais) condamnation des américains-moyens mais tout aussi bien des français-moyens. Et pas seulement de ce qu’est devenu le christianisme aux USA mais tout autant de ce qu’il est devenu en France ! Ça décortique dur ! et ça met à jour bien des choses dans la psychologie sociale.

Et puis encore une fois, comme « La maîtresse du lieutenant français », « Le huitième jour », etc, tant de films, le spectacle et la dénonciation de ce que c’est que les femmes : profondément affligeant et répugnant. Et bien entendu une fois de plus cela montre que contrairement à de vieilles idées reçues ce sont les hommes qui sont sentimentaux, vulnérables et sensibles, qui sont de vrais êtres humains, et les femmes matérialistes, égoïstes, « positives », bouffées par les
conventions et sans cœur.

 

 * 6/10/2003 « A cinq heures de l’après-midi » ( l’heure de la mort chez Garcia Lorca ) : tu  vois, que ce soit chez Kiarostami ou Makhmalbaf (et le père aussi) il y a une école iranienne de  cinéma, on retrouve ce côté « contemplatif », cette sensualité lente et attentive des images, leur  splendeur, leur poids, etc, il faut le voir pour comprendre. Et cette attention aux êtres si forte,  attention  silencieuse, et pleine de respect.  
Makhmalbaf ne caricature pas du tout ses vieilles badernes « fanatiques », ils sont d’une profonde  humanité, et même parfois d’une grandeur « antique » , et c’était pareil dans le « voyage de  Kandahar » le vieux qui s’appliquait, comme un Saint François d’Assise, à rendre grâce à Dieu  pendant qu’il se faisait dépouiller par les voleurs.  
 En fait, contrairement à ce que vous font croire les journalistes, le thème « émancipation de la  femme », forcément d’actualité dans l’Afghanistan  post-Taliban, et qui fait saliver et se masturber  intellectuellement tous les politiquement corrects et les bien-pensants de notre occident, n’est pas le  seul thème du film. C’est un film très triste, à l’image de la condition des afghans, ça a aussi un côté  Beckett (Samuel).
Et puis c’est un film à montrer aux espérantistes pour les alerter sur l’hégémonie de l’anglais !!!! et le  besoin urgentissime de subventionner le projet « Zaban-e-Salam » de former des professeurs  d’Espéranto afghans !  
 En tous cas on voit qu’en Afghanistan c’est comme en France (en Occident, aux USA ou en Suède  c’est encore pire) : les hommes afghans se sont persuadés que de voir le visage d’une femme c’est  sexuel, et que ce qui est sexuel c’est mal et pervers, alors ils ont honte de les regarder, se tournent  contre le mur et demandent pardon aux autorités (en l’occurrence Dieu ; heureusement, lui,
 pardonne !! ……) en France maintenant c’est pareil: on a intégré aux hommes la honte du désir  sexuel et ils (et d’abord elles) sont persuadés que c’est mal, sale et pervers.

 * « Dirty pretty things » film de Stephen Frears. Excellent film. Grand film. Voilà l’image toute  crachée et précise du monde actuel.

Et pour une fois je crois que Jacqueline aurait aimé…..

Et le rôle principal (Akwe) est quelqu’un de bien. Mieux que la femme, bien sûr, comme toujours.

 

 

 * J’avais acheté le video-disque de « Le vent nous emportera » d’Abbas
Kiarostami (vraiment le cinéma iranien est un des meilleurs du monde en ce moment, avec également ce que j’appellerais le Néo-Réalisme anglais Ken Loach, Stephen Frears, Mike Leigh, etc)

Je l’ai regardé. Que de choses à dire ! que de thèmes à aborder ! Un voici un : contrairement aux  phantasmes que s’entretiennent complaisamment les occidentaux, dans la vie quotidienne de ce  village (en plus village ! donc traditionnel, pas des intellectuels ou des bourgeois occidentalisés) pas
 du tout d’ambiance « lourde » religieusement, pas de puritanisme (peut-être moins que dans la  France actuelle où tout est interdit par « politically correctness »), des sous-entendus grivois entre  hommes et femmes, une attitude sereine et pleine d’assurance chez ces dernières (et pas la  réserve et la peur paranoïaque qu’on constate maintenant en France de leur part !), une convivialité  libre et tranquille comme dans les villages français d’avant-guerre.
 
Et par ailleurs une qualité et une chaleur des rapports humains, une liberté d’aller et venir dans  l’espace public qu’on ne connaît plus en Europe aujourd’hui !

 

 *Janvier 2004   ) Vu « Un Roi sans divertissement » de Giono(le film) ; oui ça mérite d’être classé
 parmi les classiques. Et c’est un chef d’œuvre filmé (par Giono même) de main de maître, tout y est
 pensé savamment jusqu’aux moindres détails.

Le procureur, vers la fin il fait un peu CHEREA (personnage dans le "Caligula" de Camus). « quatre sous de vie, il ne faut pas jouer avec » - ouais !
 bien sûr il a tort. En fait et l’autre film,
le film italien vu il y a quelques mois « Nos années »
* (« i nostri anni ») montre très bien que non seulement quatre sous de vie mais 80 ans
de vie ce n’est RIEN  (n’est-ce pas Jacqueline ?), et pas seulement la vie, mais tout ce dont on
la remplit, y comprit les  valeurs et tout ce pour quoi on se passionne et est prêt à mourir et à
 tuer. Rien du tout. Fini.
 

 

*9/2/2004 Vu « LA FIN DU REGNE ANIMAL » c’est un film horrible. C’est un très beau film.

 C’est un film qui a tout pour devenir un film-culte, auprès de écologistes par exemple.  C’est un film aussi horrible qu’un film qui raconterait Auschwitz.  (Et c’est révèlateur de l’unité foncière du mal, croyez vous qu’il y ait une différence entre les
 gendarmes français (que faisaient ils en 40-45 au fait ? ils ont obéis aux ordres) et les SS ? non,  non, les SS aussi faisaient leur devoir sans état d’âme, c’est pareil, on leur avait dit sur les juifs la  même chose que les autorités vétérinaires, et ils étaient aussi sans âme et impavide devant des  êtres qu’ils ne reconnaissaient pas)

Son titre devrait être en fait « Le triomphe de la mort » et de tous ceux qui sont de sont côté, qui la  propagent, l’imposent en font le culte, sont ses hommes de mains fanatiques et dévoués.

A la fin il ( le héros du film, Noël) s’enferme avec tous les animaux restants du village et se fait bruler  vif avec eux dans sa grange. Après ce qu’il a vu quelques heures avant, et ce qu’il a été amené à faire  (la vieille brebis) ça se comprend. C’est logique.  

Ca n’a rien d’étonnant que cette France se met à voir rouge pour le moindre bout de tissus qui  témoigne que quelqu’un croit en Dieu !
C’est bien l’alliance de Raffarin-Sarkozy-la ligue- d’action- Laïque- les-nouveaux-calotins-de- l’Ordre,  et la société décrite dans « Brave New World » qui est la notre aujourd’hui, la flicaille (la flicaille  éternelle, le seul Internationale imperturbable) les ayatolllahs du Freudisme et du culte de la mort.
 Les bonnes–femmes  de notre époque, ces Anges de la Mort,  qui ont d’ailleurs le physique de  l’emploi: maigres, raides et glacées, toujours tendues , aussi blindées et fermées qu’une Entreprise  moderne, elle ont le même look qu’un tiroir de morgue et contrairement aux chiens, (et même aux  moutons, si l’on en croit le film) elles sont incapables d’aimer qui que ce soit, c’est tout à fait  incompatible.

Enfin, la morale est sauve !…. - la morale de l’athéisme et du matérialisme ! - puisque que tous les  phénomènes bizarres du films ont en fait une explication naturelle !  
Un film désespéré et désespérant.

 

* 26/5/2004 « Printemps, été, automne, hiver, et printemps », c’est un
exposé romanesque de la métaphysique bouddhiste en fait, le karma, le désir, etc. Très didactique en fait. Bref, si au lieu  du  Bouddhisme, si ç’avait été l’Islam que l’auteur aurait ainsi exposé, le film aurait été  "descendu en flammes" par tout le monde, et sa projection aurait été interdite en France, et si  jamais le réalisateur  aurait osé se pointer, il aurait été aussitôt arrêté par la police et expulsé.

 

 *4/5/2004 Baboussia

Ce film – Baboussia – est, je m’en doutais, tout un tableau de la Russie de l’après communisme.
Tout y est, ou beaucoup. Et l ' "éternelle Russie" des forêts et des clairières. Et la belle musique  russe. Et quel contraste entre  les russes modernes : maigres, dures, fermées, pequeneuses ( bref comme les françaises de  maintenant !!) et celles de deux générations avant, les vieilles paysannes, rondes épanouies
 rieuses, toujours des chansons aux lèvres, humaines, tendres et débordantes d’affection, palpable,  réelle («forta palpa kuneco » comme disait Claude Piron) et un cœur en or. La scène la plus sublime  est sans doute celle où lors de la soirée d’adieu dans le village la vieille ( le nom ?, celle qui se  casse la jambe, la mère de l’ivrogne, mais qui a un cœur et du respect pour sa mère et sa tante  quand il est sobre) se blottit contre Baboussia et la caresse tendrement, et le  regard que lui  rend  Baboussia. Et tu te souviens du moment où elle a faillit mourir prostrée sans manger parce que sa  fille était morte, voilà ! elle faisait simplement comme les animaux des histoires, si nombreux ! et pas  seulement des chiens, mais aussi le chat Kout d’Elian Finbert et des oiseaux, etc, qui se laissent  mourir de chagrin, refusent de jouer, bouger, manger, et meurent, c’est ça la façon normale, et
 logique, et lucide, de se comporter quand on est un être humain. Ceux qui survivent ne sont pas des  êtres humains, tout simplement. Et ceux qui trouvent ça bien sont des monstres pervertis. Et des  idéologues de la religion de la mort.

- Ce film, c’est (un peu manichéen ?  non, justifié  tout simplement) la condamnation du mode de vie  moderne et des mentalités qui vont avec. Et dans la Russie postcommuniste c’est encore aggravé  par ces fameux « Nouveaux russes », ceux qui ont compris le capitalisme ! … (et en sont les  victimes, sans s’en rendre compte), en contraste avec la vie au village, encore comme avant.
 

Oui j’ai encore eu la chance de vivre mon enfance à une époque où il y avait encore une France,  dans une vraie maison  un vrai foyer, où il y avait toujours quelqu’un à la maison. Une France  équipée et à visage humain, où il y avait, autour, une VILLE, une vraie, avec des magasins, des  bornes fontaines, tout ce dont on a besoin, mais par contre pas un seul digicode ni caméra de
 vidéo-surveillance
. Une société qui était encore civilisée, des églises où il y avait encore des  gens qui prient, et dont les portes étaient ouvertes !!! des églises avec des sacristains. Des  vitrines décorées pour Noël, et à Noël des chants de Noël à la radio et le reste de l’année PLEIN,  plein de choses de tous genres à la radio. Un pays moderne et encore à visage humain. Une  maison où tous les gens de la ville  venaient y passer leurs commandes aux Galeries Lafayette.
Bon, c'est parce qu’on ne le savait pas, mais en Algérie on commettait autant d’atrocités qu’en Tchétchènie.
 Sans doute il n’y a plus qu’en Inde qu’il y a encore de la civilisation. En Inde et en
Ouzbékistan. Et sans doute aussi en Amérique Latine (coté peuple !)
 
De toutes façons la petite fille « muette » n’a sans doute jamais été incapable de parler, c’était
certainement dans la tête, sans doute au moment du bombardement elle a promis à Dieu de ne plus 
jamais parler si elle s’en sortait vivante, ou bien elle était persuadée que si jamais elle reparlait ses  parents mourraient. Et seule la conscience que si elle ne disait rien Baboussia mourrait lui a donné  la force de sortir du cercle où elle s’était elle-même enfermée.

 

 * date  ? 2005 ? « Uzak » de Nuri Bilga Ceylan : Dans cette Turquie qui ressemble à fond de train à l’Europe occidentale (de maintenant !…) les ramiers et les chats sont les seuls êtres vivants.

Le héro du film aura tout tué. Il a tué la souris, il a tué l’amitié possible avec son compagnon du village, avec qui il n’a cessé de refuser tout rapport humain et qu’il a fait fuir, il a tué son enfant, en le faisant avorter, et dans la séquence la plus forte (non la plus forte c’est la tragédie de la malheureuse souris) du film : la dernière, 20 secondes, il commence à se rendre compte et à regretter.



* 3/07/2005 ULTRANOVA

 Vu « Ultranova » de Bouli Lanners, film belge de 2004. C’est un très bon film, Très artiste et pensé.

 Là aussi c’est encore une fois un sacré résumé de la société contemporaine ! de notre société  détraquée, pervertie et accessoirement déshumanisée par l’âme du Libéral-Fascisme actuel, on y  voit bien le contenu (et les symbolisations matérielles en locaux !) et la perversion, l’absurdité à la  Kafka et le cynisme grotesque à la Ubu, du monde à la W-Bush-Doustes-Blazy !! et le fascisme glacé
 de notre Civilisation de l’Assurance et tout ce qu’elle recèle de stalinisme. (et de déshumanisation  surréaliste, mais ça, malheureusement ça n’est encore que son aspect superficiel, au cœur c’est  encore plus pervers et plus anti-humaniste !
 
Jusqu’à ces immeubles avec leurs placrages de baies vitrées hermétiques en  place de fenêtres,  ces Fleury-Mérogis blindés et digicodés en lieu d’immeubles. Et last but not least ces enterrements  qui sont autant de petits Auschwitz de salon…Tout y pue la société actuelle
 
Et la mort du plus « puant » ( non, le plus puant c’est le capitalistoflic de la benne, et c’est lui aussi le  plus représentatif, à lui seul il résume toute l’idéologie du Régime actuel) de ces personnages est  une sacré trouvaille ! Et comme toujours la mort vient révéler l’absolu néant de toute cette  « civilisation », ces conceptions, ces « valeurs » (boursières ! Enfin, les autres ne durent pas  davantage…)

 Le désappointement final de l’obsédé des femmes enceintes (sans doute encore un, qui a été  largué comme un bout de papier gras par une ex-femme, qui a gardé les gosses, et lui réclame une  pension alimentaire, après lui avoir démoli la vie) a un goût nihiliste de Le Petit Prince de  Saint-Exupéry (bien sûr ! c’est un livre nihiliste Le Petit Prince, vous ne la saviez pas ?!! relisez-le)

 C’est frappant, je me souviens, dès la toute première scène où les deux filles parlent ensemble du  jeune homme, en disant « ah il est toujours seul, il paraît qu’il est orphelin, etc. » mon commentaire  a été immédiatement : elles aussi elles sont seules ! je crois voir de manière palpable une vitre de  verre blindée entre elles-deux, tout à fait. Et la suite n’a fait que confirmer mon impression. En fait les
 seuls personnages qui ne participent pas de ces mentalités délétères et perverties par les  habitudes de vie et d’être modernes ce sont, bien sûr, les deux vieux parents du jeune homme (qui  n’est pas du tout orphelin en réalité), on dirait des martiens débarqués d’une autre planète ! la  planète du monde d’il y a un demi-siècle, du temps où il y avait encore des pays, et une société, et  une vie, et des individus, dans ces pays. Tout ça a été remplacé par la mort, capitaliste et
 politiquement correcte. Moderne quoi…
 
Tu vois comme j’avais raison, et que ce n’était pas des paroles en l’air quand je résumais cette  société actuelle comme le règne de la mort, et de la Secte des Adorateurs de la Mort (ah oui ! il y a  aussi celle qui fait des « cours de psychopédagogie », tout y est !), et pas seulement pour ce qui est  de l’avortement et de l’euthanasie, de l’athéisme obligatoire d’état, et les guerres à W Bush et les
 arbres qu’on abat si compulsivement, et impavidement, avant que ça soit aussi les gens, mais  TOUTE la société actuelle, c’est presque palpable, est une société qui ne révère, ne tolère, et  n’engendre que la mort.

Et, la réalisation est très pensée et très fine jusqu’aux décors; le décors peut-être parle plus que  les gens ; Par exemple ces salles sinistres au possible (à l’image de la société, de ses  institutions, forces, rapports sociaux, idées) aux murs tout nus et tout blancs avec des casiers  (fermant à clé !) des portes à vitres blindées, on dirait une morgue. Pas étonnant que leurs âmes  se mettent à ressembler au lieux où ils vivent, normal ! Habiter dans des gourbis de torchis et de  chaume dans le tiers monde serait moins désagréable, moins inconfortable, et moins pénible !

 
*
début/10/2006 DES ROSES POUR LE PROCUREUR

Vu à la télévision le film allemand de 1959 « Des Roses pour le Procureur »

Ce film sur les anciens nazis avec son ton auquel on n’est pas habitué sur ce sujet, malgré son  ton presque guilleret de tragi-comédie et sa musique de cha-cha-cha 1960 est une excellente  dénonciation, qui porte loin, justement hors du mélo facile des films plus récents, mais par  contre les tenants et aboutissants psycho-culturels sont l’air de rien beaucoup mieux mis en  évidence. Et donc ce film sous sa légèreté frappe fort et juste et donne à réfléchir, beaucoup.

Il a raison de ne pas mettre en scène les habituelles grosses brutes fanatiques, mais cet espèce de vil Joseph Prud’homme. (d’autant plus qu’ils sont toujours très nombreux) Les  Joseph Prud’hommes sont beaucoup plus, le film le montre bien, liés aux plus impavides  atrocité, et de manière bien plus dangereuse, que bien d’autres types. La lecture du livre de Zygmunt Bauman - et de nombreux textes actuels .... - aussi permet de le comprendre. Attention ! derrière chaque Joseph Prudhomme se cache un Himmler


Pour le dernier je ne mettrai pas mes propres commentaires mais recopierai des commentaires trouvés sur Internet, ce film est
* BOMBON EL PERRO ( film argentin, filmé en Patagonie)

 

Le destin malheureux de cet homme que tout accable est tout a fait touchant et devant toutes ses rencontres imprévues l'embarrassement dont il fait preuve est poignant . Un très beau moment de cinéma !

Ce film que j'avais vu dans le cadre d'un festival il y a deux ans environ et qui n'était pas connu à l'époque est un véritable enchantement. Je me réjouis de le voir maintenant sorti dans les salles. Le jeu de l'acteur principal est un vrai bonheur ainsi que cette complicité avec Bombon le chien à qui on aimerait attribuer un prix .....

Un petit bonhomme attachant au sourire malicieux, un chien d'une beauté et un coach débrouillard. Un cocktail doux-amer pour une ballade sud américaine authentique.

Wahou ! Quel jeu d'acteur impressionnant ! Ces acteurs non-professionnels n'ont rien a envier aux meilleurs acteurs des super-productions. On se lie d'amitié tout de suite avec Juan, qui joue son rôle a merveille. Le scénario est magnifique, plein de tendresse et d'émotion. A ne pas rater.


C'est l'un des meilleurs films de l'année. Une claque humaniste qui filme avec tendresse l'amour d'un homme pour un chien.Un chien somptueux et qu'on voudrait absolument avoir à côté de soi. C'est un film simple interprété par des acteurs non professionnels...et supérieurs à ces derniers. Pas besoin de claquer des milliards pour faire un grand film. Bonbon el perro est vraiment le meilleur ami du spectateur....


Servi par un jeu d'acteur exceptionnel, tout dans la nuance et les expressions de visage, Bombon el Perro est un film savoureux. le message passe, les acteurs sont touchants et l'humour sur les conditions de vie en argentine n'est pas absent ! Dommage qu'il soit diffusé dans si peu de salles ! Un régal à aller voir d'urgence et à conseiller autour de vous...


Bombo el perro, avec les moyens du bord et des non-acteurs (Juan Villegas, gardien de parking de son état, joue Juan Villegas, employé d’une station service paumée), nous entraîne gaiement dans un véritable voyage philosophique. L’accueil de l’événement est à toute épreuve comme le sourire de Juan Villegas, dont le visage ne se ferme vraiment que devant la violence d’un soir de son associé. Un film en fragments, mais rien d’anecdotique ni de disparate. Plutôt une lente et patiente leçon de générosité teintée de sagesse indienne, souvent prise à tort pour passivité, et une critique sociale et politique discrète mais efficace et fine. Avec ses personnages vrais, à peine des personnages donc, et ses histoires de la vie ordinaire, Bombon el perro parle d’une réalité plus fabuleuse que nos fictions, c’est-à-dire du Monde, qui n’existe, lui aussi, qu’en fragments. Cela le grand cinéma italien, d’un Scola ou d’un Fellini, le cinéma populaire au sens fort du terme, l’avait bien compris

 

 
* 27/2/2005 La Chute

"La Chute". Eh bien l'attitude de Hitler dans les dernières semaines dans son bunker , et encore plus celle d'Eva Braun, est tout à fait comparable et similaire à ce que le catéchisme "psychologiquement correct" appelle la Pensée Positive.......

Eva Braun avant de se suicider, et que son cadavre soit brûlé, s'est mis du rouge à lèvre.

Remarquez, moi j'ai bien mis un bouquet de primevères de mon jardin sur Jacqueline avant qu'on l'emporte .....

17/12/2020

le crime organisé

l y a deux sortes de pègres : celle qui est illégale, et celle qui est au pouvoir.
l’illégale est poursuivie par les Forces de l’Ordre, celle qui est le pouvoir est protégée par les Forces de l’Ordre.

02/12/2020

CHATS ET HUMANISME

bon, on vient au sujet  :

oui, il serait souhaitable que les humains prennent modèle sur les chats et s'imprègnent de leur esprit insoumis ce serait le seul espoir pour la civilisation

On dirait que mon chat (2003) deviendra sentimental ; petit à petit, il faut patienter, comme avec toutes les transformation « humaines », libres, personnelles, des choses à respecter. Jusqu'à maintenant il était comme on nous représente généralement les chats : égoïste, indépendant, d'une volupté physique, mais pas du tout « pneumatique » (comme dirait Vladimir Jankelevitch). Il avait l’égoïsme de la jeunesse. Mais c’est comme chez tout le monde : avec le vieillissement se produit une maturation émotionnelle (mais bien sûr à condition qu’il aie conservé son coeur d’enfant, absolument indispensable ! Autrement on n’est alors rien de plus qu’un PANTIN de plus en plus ratatiné !) en prenant de l’âge on devient plus profondément sentimental, et d’autres choses encore. Donc il finira peut-être par devenir « apprivoisé », comme le renard (en hindî « लोमड़ी ») - छोटे राजकुमार को लोमड़ी ने कहा- „le renard dit au petit Prince“; Peut-être un jour «il » (les guillemets pas parce qu’il est un chat, mais parce qu'il a été castré !) sera aussi sentimental qu’était « Poupounette », cette pauvre petite vieille être vivant. Qui était si aimante, tout en restant en même temps indépendante, viscéralement insoumise, comme c’est l’essence des chats.

Oui, il serait à souhaiter que les humains soient comme les chats, ils devraient prendre modèle sur eux ; ce serait bon pour la civilisation, non ? La dictature actuelle, « prussienne », politically-correct, des sociétés orwelliennes, Aldous-Huxley-iennes actuelles s’effondrerait, et il resterait alors un petit peu d’espoir de sauver la Civilisation et la valeurs humaines. Oui, il faudrait que tous les gens dans nos sociétés fassent de la résistance passive, de l’insoumission,

pas une opposition ouverte - ce n’est déjà plus possible hélas ! - mais par la bande, en faisant celui qui ne comprend pas, en faisant le bête, par toutes sortes d’échappatoires, de non-obéissance, (sans le clamer sur les toits, comme actuellement pour le reconfinement que ersonne ne respecte ni ne fait respecter, mais surtout on ne le dit pas on n'en parle pas ! ) de décrédibilisation

de cette arrogante, bien-pensante, dictature inhumaine et glacée. Oui mais voilà ils ne le font pas.

Aussi longtemps que la SPA et autres asso. prises du syndrome du CONATUS (vous savez le conatus ! j'ai fait un billet là-dessus) ne sera pas ministre on aura encore, plus pour longtemps, le droit d’avoir des chats ! Déjà on se met à leur faire ce qu’on fait aussi aux humains, les rfid et l’euthanasie. Ensuite il ne restera plus aucun espoir. http://h16free.com/2015/09/24/41471-et-maintenant-une-loi...

Tant qu’il y aura des chats il y aura de l’espoir ; après, ce sera fini, l’humanité pourra crever.

 

 je ne sais pas ssi c'est comme ça partout (sans doute pas vu les échos qu'on a , les très rares que les journaputes ne censurent pas et laissent passer  !!!!!!! en infos ou vidéos, de ces immondes violences et bavures coutumières à la flicaille) mais dans mon coin il semble que le confinement de novembre-décembre n'ai pas été respecté du tout, et que la police n'a rien fait pour le faire respecter, aucun contrôle en particulier. Je crois qu'il y a intérêt (comme je dis dans le billet ci-dessous) à ne pas le claamer sur les toits et d'ailleurs que c'est ce queu tout le monde fait, ne surtout pas le dire, pour passer inaperçu !!! Comme sans doute autrefois en URSS d'ailleurs !

Parce que maintenant sous le régime où on vit maintenant il faut ne s'opposer que silencieusement, dans son coin sans surtout le faire savoir aux autorités ni à la presse ( regardez ce qui est arrivé ausi par exemple au médecin Epstein au début du film "mal-traités" https://ru-clip.net/video/gSeFfIXsxmQ/mal-trait%C3%A9s-le...) ni aux autorités !! (regardez ce qui est arrivé au Pr Foutillier https://www.objectifgard.com/2020/12/11/gard-des-centaine...      là c'est l'URSS maintenant !!!! on est en URSS !!!!!)

C'est comme les "procèdures absolument immondes ,staliniennes, informatisées répugnantes, cyniques, typiques du TOTALITARISME CAPITALISTE actuel pour la réception du monidre colis amené chez vous par cette immonde répugnante cynique avide firme capitaliste privée, qui avec la complicité de cette URSS capitaliste qu'est l'Union Européenne (dont il faut sortir d'urgence FREXIT ! vite !!) nous a volé l'ancien Service Public de la Poste, qui était autrefois géré par des fonctionnaires, et était 7 fois plus rapide, 2 fois plus sûr, et qui respectait ses usagers !!!! de manière républicaine et normale quoi ! je me suis rendu compte que depuis quelques mois les agents remplissent eux-même sans rien vous demander les formalitéx à la con de merde sans rien vous demander, et déposent le colis sans ruien dire (et pourtant il y a pas longtemps une factrice avait été licenciée pour avoir signé à la palace de ses usagers pour leur épargner d'immondes déplacements pénalisants à la con !!!! histoire rapportée avec les termes répugnants de la direction de la poste et des supérieurs hiérarchique de cette malheureuse !!!)

Peut-être que c'est comme pour les retraits d'argent dans mon bureau de poste les CCP  ne pratiquent aucune des restriction répugnantes, e t   ni des persécutions éhontées rapportées par Jovanovic sur son site. Mais vioilà mon bureau de poste est dans un quartier à immigrés, alors sans doutre qu'ils ont des instructions pour les ménager et d'éviter de les mettre en colère !!! .... (tandis que dans les bureaux de centre-villes bourgeois et "blancs" des informateurs de Jovanovic, ils n'hésitent pas à les traiter comme des chiens !)

C'est désobéir en secret par la bande, ou faire le bête, faire semblant qu'on est complètement con et qu'on n'a rien compris. et sur tout sans le crier sur les tois, ou alors c'est que vous avez une âme de martyr. qui à99%seront broyés sans même que personne ne le sache, et bien censuré par les journaputes, eux mêmes terrorisés ("un journaliste c'est une pute ou un chômeur" !)

 

 

21/10/2020

rhinocérite - le masque du fascisme (et des collabos lâches ou pragmatiques, souvenez-vous Laval était pragmatique !)

2020 fut une année perdue ; le premier semestre 2020 on a eu une épidémie de Covid19, et le le deuxième semestre une épidémie de rhinocérite aigue. De même que tous les allemands à partir de 1933 tous les français ont été obligés de ne se rencontrer qu’en levant le bras droit et en criant « Heil ! ». Et ils ont obéi ! bien scrupuleusement, et se sont mis à dénoncer les uns les autres ceux qui écoutaient Radio-Londres, en les accusant d’être de vils « complotistes »…. rhinocéros ha_c_actre.jpg

https://reseauinternational.net/covid-19-pourquoi-une-tel...

Ci-dessous une thèse qui n'est pas plus bête qu'une autre, et qui comme toute thèse mérite d'être examinée, critiquée et explorée, rationnellement  :

", vous n'imaginez pas que l'apparition du COVID 19 puisse être volontaire, vous ne voulez pas aparaître comme un complotiste, sans doute, alors raisonnons. Supposez que le coronavirus ait été introduit volontairement, pas forcément de et par la Chine, alors vous voyez immédiatement que le comportement de notre gouvernement, et de bien d'autres, saute aux yeux et explique pas mal de chose. Comment ceux qui auraient introduit le virus auraient prise sur les gouvernements qui entament les mêmes procédures est un mystère ! Mais tout se passe comme si il y aurait une feuille de route que chaque pays aurait à appliquer. Apparemment, logiquement, le but ne serait pas d'éradiquer le coronavirus mais de profiter de l'effet de sidération des populations  pour pouvoir faire passer un certain nombre de choses contraires à l'intérêt des populations et en tout cas sans leur accord. Le problème est que contrairement au plan établi l'épidémie a complètement disparue et il est clair d'ailleurs qu'il y a maintenant des remèdes possibles qui permettent d'affirmer que la vaccination, si tant est qu'elle soit encore envisageable, pourrait être inutile, compte tenu en particulier des mutations régulières du virus. Cependant la feuille de route, du genre, peut être, de celle qui aurait été dévoilée au Québec, persiste. Il faut donc justifier un nouveau confinement en utilisant des tests PCR dans des buts qui n'ont pas été prévus par l'inventeur même de ce test qui en plus en nie sa validité pour pouvoir analyser une quelconque contamination par le virus. Et c'est là que nous aboutissons à des courbes de contamination fausses prise pour références pour nous imposer un confinement basé sur rien. On continue ainsi à fermer des lits de réanimation ce qui permet de confirmer que nous pourrions être à court de lits et que l'épidémie pourrait être critique. Mais si le coronavirus a quasiment disparu alors il faudra en créer un nouveau pour confirmer une deuxième ou troisième vague. Si le COVID 21 apparaît pour obliger à un confinement sévère alors cela prouvera qu'il y a eu et qu'il y a malversation. Est ce que les Patriotes ont prévu ce cas de figure et comment dans ce cas pourrons nous rependre notre liberté tout en essayant de ne pas périr du COVID 21 ?"

ben en 40-45, il y a eu l'URSS (et accessoirement à la fin les USA) pour nous libérer, mais ici, qui nous libérera ? pas la Chine qui a inventé les caméras à reconnaissance faciale et la notation du comportement des gens, pas Poutine, qui est aussi capitaliste que les autres , faut pas rêver ! Florian Philippot ? le Pr Perronne ? "Combien de divisions" ?

 

"Désobéissance civile !!! Émeutes !!!" oui, mais face à des CRS aussi sadiques et sauvages que ceux qu'on a envoyé contre les gilets jaunes tu vas faire quoi ?