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06/09/2016

le "truc" commence à se voir .....

le baillonnage obsessionnel en France actuel tend de plus en plus à être à tout bout de champ : « wouaou ! Ce sont des affreux : c’est l’extrème-droite ! » - ah oui ? Et vous voyez ça à quoi ? - « ils sont racistes ! » - ah bon ? Et ça se voit à quoi ? « Ils sont antisémites ! » - à oui ? Et où vous voyez ça ? - « ils n’arrêtent pas de critiquer le pouvoir de la finance ! » - euh … attendez un peu, je commence à le trouver un peu bizarre votre raisonnement !…..

21/08/2016

les nuages et le libéral-fascisme

Les nuages, ça doit mettre les européistes, les capitalistes, les nouveaux "calotins" et tous ce genre de gens en rage ! ils doivent très fort regretter de ne pouvoir les supprimer, ils vont certainement plancher là-dessus. Pensez ! les nuages se déplacent librement, et en plus ils prennent la forme qu’ils veulent ! scandaleux ! anti-hygiénique ! c’est une "violence" ça ! et puis ils  ne sont pas brevetés : inadmissible ! insensé ! ils ne sont pas sous copyright ni l’objet de  "propriété intellectuelle", c’est un scandale ! c’est du "terrorisme" !  c’est dommage de ne pas pouvoir les tazer. Et on n’a pas encore réussi à les privatiser et à en faire un marché : c’est une lacune insupportable et criminelle !

Et, donc ils ne sont pas soumis aux normes européennes ! et même, y échapperaient à chaque instant, inacceptable ! à proscrire, il y a même des gens qui les regardent, et avec plaisir en plus : une conduite « addictive » ! une « dépendance ». Au moins on va pouvoir les mettre en prison eux, « pour des raisons de sécurité » bien sûr. Je sens que faute de mieux ils vont bientôt voter une loi là-dessus , en commençant par les automobilistes …...

(et tout c'est n'est pas de la fiction ! dans la réalité il y a par exemple ça : https://sites.google.com/site/grandprixubu2009/ )

09/08/2016

j'ai bien l'impression

que les investisseurs des "services" postaux ont prévu de remplacer les distributions chaque jour le matin, comme jusqu'à présent (et je rappelle qu'en 1900 c'était DEUX distributions par jour) par  1 distribution chaque SEMAINE (comme pour les relevés bancaires d'ailleurs, ils ont commencé comme ça c'était une fois de plus la stratégie du "maillon faible") en fin d'après-midi : ça leur permettra de réduire drastiquement le personnel, et d'ainsi augmenter "toujours plus" leur marge bénéficiaire, en la faisant financer par l'ASSEDIC.

Bien sûr ils ne l'annoncent pas officiellement, ils vont introduire ça en douce, comme tout !


et de rendre la vie des "mougeons" toujours plus impossible ça permet de les rendre toujours plus soumis.

 

 

les évènements de ces mois-ci (et le merdier, et les drames qui vont avec pour beaucoup , mais ça ils s'en foutent éperduement, sans même le moindre tentative de  solution pour une durée non déterminés, et sans doute pour toujours) à Arras, sont sans doute un ballon d''essai. Ils disent bien dans l'article de journal que c'est un "nouveau modèle innovant" suivez mon regard, on a compris.

05/08/2016

les français moyens actuels

Pub pour des achats d'articles de sport « à ce prix-là on commence tout de suite » il ne faut pas se méprendre, conditionnement ! ça fait partie de leurs devoirs inculqués, ça ou autre chose. Ce n'est pas des loisirs et encore moins du temps libre, les ouvriers parisiens d'il y a un siècle en avaient beaucoup plus qu'eux, et encore plus les enfants justement. C'est comme les pelouses qu'ils se sentent tous obligés de mettre sur leur terrain très cher acheté (non ! emprunté, auprès des banques), 5cm de surface verte (une couche de macadam peint en vert serait plus commode) qu'ils se sentent obligés de soigneusement entretenir et tondre toutes les semaines (mais à des heures bien précises !! et les jours !!) ce qui leur permet de ne plus leur rester de loisir, et filer rentrer chez eux (derrières les volets roulants fermés, comme ça on ne voit pas la surface verte vide stérile et inutile) prendre leur douche rituelle et aller se coucher pour pouvoir repartir travailler le lendemain.

18/06/2016

secte ?

moi-même, quoique prenant vigoureusement leur défense, n’appartiens à aucune « secte », même pas à celle des adorateurs du Général de Gaulle, ni à celle des adeptes de Karl Marx. Tout juste, puisqu’aux yeux de certains c’est une « secte », à celle des espérantistes, (mais ni à celle des finvenkistoj, ni à la fameuse Civito), et aussi à celle des amis des chats, tout en refusant toute collaboration avec ces deux branches, que je considère hérétiques ! que sont la SPA et le mouvement Brigitte Bardot, dont j’abhorre le jésuitisme, les tendances totalitaires et flicardes, et aussi cette autre branche dissidente celle des vieilles dames nunuches. Moi ce serait plutôt la bonne vieille tendance : enfants et adultes au cœur d’enfants adorant leurs frères et sœurs les chats, une secte dangereuse et très mal vue, inutile de le dire. Je me méfie trop des dérives « bobos » possibles pour adhérer à la secte LCR et à son « gourou » Besancenot, je préfère la secte Laguillier, et ai en horreur les adeptes (selon les termes de Marianne2, branche française de la secte Carlyle !), non pas de Thierry Meyssan, mais de la plus dangereuse des sectes actuelles : celle des adorateurs de Sar-Koszy de Nagy Bosca.

17/04/2016

pour que la paix arrive il faut que la vérité puisse enfin jaillir

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07/04/2016

la dictature mondiale des vautours du grand capital

Le gant de velours du marché ne marchera jamais sans une main de fer derrière - McDonald ne peut prospérer sans McDonnell Douglas, le fabricant du F15.

Thomas L. Friedman "A Manifesto for a fast World"
New York Times Magazine, 28 Mars, 1999

 

Nul besoin d’envoyer canonnières ou porte-avions pour intimider un Etat qui menacerait les intérêts des puissantes compagnies occidentales. Il existe un discret mécanisme pour régler les litiges entre États et investisseurs : l’ « ISDS », pour Investor-State Dispute Settlement, intégré dans tous les traités commerciaux, dont celui en négociation entre l’Europe et les Etats-Unis (Tafta). Selon ses détracteurs, les multinationales bénéficient ainsi d’un pouvoir sans précédent pour échapper aux lois. En partenariat avec des journalistes néerlandais, Basta ! publie en exclusivité une enquête en cinq épisodes sur cette guerre invisible. Ce premier volet vous emmène de Caracas à Amsterdam dans les coulisses d’une bataille aux enjeux gigantesques.

Caracas, la capitale du Venezuela, baigne dans une chaleur tropicale. Nous sommes en 2006. Bernard Mommer est assis à son bureau, dans un énorme immeuble disgracieux de couleur gris-noir au centre de la ville, occupé à éplucher son courrier. En tant que vice-ministre du Pétrole, il est en contact régulier avec les 41 entreprises pétrolières étrangères actives dans le pays. Le secteur est entré dans une période de turbulences, depuis que le gouvernement d’Hugo Chavez a décidé de se réserver une proportion plus importante des revenus du pétrole, qui s’écoule du pays par milliards de barils.

Mommer ouvre une lettre insolite qui lui a été transférée par son patron, le ministre du Pétrole. « Nous acceptons votre offre d’arbitrage, dit-elle, sur la base du traité d’investissement néerlandais avec le Venezuela ». Expéditeur : la firme pétrolière italienne Eni. « Qu’est-ce que j’ai bien pu faire ? » se demande Mommer. Le vice-ministre sait que l’arbitrage signifie que deux entreprises, en désaccord sur un sujet, soumettent leur litige à un jury commercial, qu’elles désignent elles-mêmes, pour juger laquelle des deux a raison selon les termes du contrat qui les lie. Mais Mommer n’a alors conclu de transaction avec personne, un ministère n’étant pas, après tout, la même chose qu’une entreprise. Et qu’est-ce-que les Pays-Bas ont à voir avec l’affaire ?

En se plongeant dans les archives, Mommer fait des découvertes troublantes.

  • Premio, un précédent gouvernement, a signé, sans trop de publicité, un traité d’investissement avec les Pays-Bas qui prévoit la possibilité, pour tous les investisseurs néerlandais qui auraient l’impression de ne pas avoir été traités de manière équitable par leur pays hôte, de convoquer le Venezuela devant un jury d’arbitrage. Une procédure qui s’inscrit dans le cadre de la Banque mondiale. Les arbitres peuvent imposer une amende au Venezuela, sans aucune possibilité de faire appel de leur décision.
  • Secundo, la firme pétrolière italienne Eni a récemment rattaché ses activités au Venezuela à une filiale enregistrée aux Pays-Bas, ce qui l’a transformée ipso facto en investisseur néerlandais. Mommer doit se préparer à des temps difficiles...

    L’État, un « brigand en chapeau haut-de-forme » ?

    « L’État peut se conduire comme un “brigand en chapeau haut-de-forme”. » Gerard Meijer, avocat spécialisé dans le droit de l’investissement, est assis à une terrasse dans le quartier d’affaires d’Amsterdam, en face de son bureau au sein de NautaDutilh, l’un des plus grands cabinets juridiques d’Europe. « L’expression est ancienne, précise-t-il. Mais, honnêtement, elle comporte toujours un élément de vérité. Peut-être certaines personnes se désoleront qu’un pays se voit imposer une telle amende. Les contribuables paient la facture. Mais ils oublient qu’auparavant leur gouvernement s’est enrichi illégitimement avec la même somme. »

    Meijer a une barbe taillée selon la dernière mode, qui lui donne un charisme juvénile malgré sa cinquantaine. En tant que président de l’Association néerlandaise de l’arbitrage, il défend son secteur d’activité avec détermination. Il croit vraiment en ce qu’il fait. Imaginez, dit-il, que vous soyez un investisseur dans un pays en développement. Vous avez misé tout votre argent dans un projet – par exemple un puits de pétrole au Venezuela ou un atelier textile en Égypte. « Si vous vous retrouvez en litige avec ce pays, vers qui allez-vous vous tourner ? Vers le juge du coin ? Pensez-vous que vous auriez une seule chance ? »

    Heureusement, il y a l’arbitrage. « Il est situé quelque part entre une médiation et un véritable tribunal. Si les deux parties sont d’accord, elles choisissent chacune un arbitre, et ces deux arbitres en choisissent un troisième. Leur verdict est contraignant. » C’est équitable et cela fonctionne bien. En tant qu’investisseur, vous êtes sûr que votre propriété sera au moins respectée lorsque vous placerez votre argent quelque part. « C’est une sorte de juridiction indépendante, avec des juges qui n’ont pas de relations de loyauté avec leur gouvernement. C’est un aspect très important. Après tout, il y a beaucoup de républiques bananières dans le monde. »

    De plus en plus d’arbitrages entre États et investisseurs

    Le monde de Mommer et de Meijer est inconnu de la plupart des gens. L’arbitrage fait parfois soudainement la une des journaux, notamment en relation avec le traité commercial transatlantique TAFTA (Trans-Atlantic Free Trade Agreement). En réalité, l’arbitrage existe depuis des années. Nous avons recensé 624 cas connus, à la fin 2014, d’investisseurs qui avaient poursuivi des États sur la base d’un traité. Mais il y en a probablement eu bien davantage.

    Le nombre de cas ne cesse de croître : en 2000, on en comptait quinze ; nous sommes aujourd’hui à environ 60 cas par an. Le montant réclamé par les investisseurs connaît lui aussi une augmentation fulgurante. Ce sont des litiges toujours plus importants qui doivent être tranchés au moyen de ce mécanisme de règlement des différends, que l’on appelle l’ISDS (Investor-state dispute settlement). Plus de la moitié d’entre eux sont soumis au tribunal commercial de la Banque mondiale, le Cirdi (Centre international de règlement des différends liés à l’investissement), qui a ses propres règles et ses propres arbitres.

    Les données que nous avons rassemblées montrent que les Pays-Bas sont devenus le pays d’origine du plus grand nombre de procédures ISDS. Pas moins de 16 % des cas soumis au cours de l’année 2014 l’ont été par des firmes néerlandaises. « Néerlandais » est toutefois un terme relatif dans ce contexte. L’analyse détaillée de ces investisseurs montre que plus des deux tiers sont des filiales fantômes, n’existant que sous la forme de boîtes à lettres. Seulement une sur six est véritablement néerlandaise.

    L’Équateur condamné à verser 1,1 milliard de dollars à un groupe pétrolier

    Les pays qui ont été le plus fréquemment poursuivis sont les pays en développement et émergents, ainsi que les pays riches en ressources naturelles comme le Canada. L’Europe de l’Est occupe depuis quelques années une place de plus en plus importante dans ce classement.

    Notre analyse montre aussi qu’un groupe remarquablement restreint d’avocats « vedettes » occidentaux domine le monde de l’arbitrage lié à l’investissement. Au moins l’un des quinze principaux arbitres au niveau mondial est impliqué dans 63 % des panels dont nous avons pu identifier les membres. Dans 22 % des panels, ce « top 15 » fournit même deux arbitres sur trois, suffisamment pour emporter la décision. Ce sont tous des hommes blancs – exception faite de deux femmes blanches. Ils sont souvent liés à des firmes juridiques qui profitent de l’expansion de ce marché. Les sommes en jeu sont conséquentes : une procédure d’ISDS coûte en moyenne huit millions de dollars.

    Pour ses détracteurs, le système est injuste. Il y a quelques mois, l’Équateur s’est vu imposer une amende de 1,1 milliard de dollars suite à une plainte d’Occidental Petroleum, qui dénonçait son expropriation. L’amende est équivalente à plus de 3 % du budget total du pays pour 2016. Les défenseurs de l’ISDS objectent que c’est un moyen de trouver des solutions apolitiques à des litiges. Les juges et les politiciens n’ont plus à s’en mêler. Plus besoin d’envoyer des navires de guerre, comme la France et l’Angleterre l’ont fait en 1902 suite à un différend avec le Venezuela. De nos jours, l’envoi d’une lettre à Caracas suffit – une invitation à se rendre à Washington, au siège de la Banque mondiale, pour une audience.

    Des firmes qui deviennent soudainement « néerlandaises »

    Retour au Venezuela. Le premier courrier n’a pas entraîné de problème insurmontable pour Bernard Mommer, le vice-ministre du Pétrole. L’entreprise Eni était prête à retirer sa plainte contre quelques centaines de millions de dollars et une nouvelle concession. Mais il allait bientôt recevoir deux lettres similaires, adressées cette fois par deux compagnies pétrolières américaines, ConocoPhillips et Mobil. Celles-ci ne voulaient pas entendre parler de règlement à l’amiable. Et elles réclamaient 42 milliards de dollars ! Et, comme par hasard, ces deux géants texans étaient récemment devenus, aux aussi, des firmes « néerlandaises ».

    À la base, Mommer est un mathématicien allemand, arrivé au sein de la compagnie pétrolière publique du Venezuela PvdSA en raison de sa familiarité avec les contrats pétroliers, avant de devenir vice-ministre en 2005. Il a ensuite occupé, à Vienne, le poste de gouverneur de l’Opep, pour le Venezuela. Il est désormais à la retraite. Mais il lui reste une responsabilité : son implication dans les procédures d’arbitrage. « C’est moi qui étais responsable de ces contrats, nous a-t-il expliqué au cours d’un long entretien. Je suis donc le témoin principal pour toutes les plaintes contre le Venezuela dans le domaine pétrolier. »

    A l’époque du président Chavez, le gouvernement, qui souhaitait se réserver une proportion plus importante des profits générés par le pétrole, a décidé en 2006 de renégocier toutes les concessions. Le Venezuela voulait la moitié des parts de tous les projets ; l’impôt sur les revenus pétroliers a été augmenté, et une nouvelle taxe sur les royalties a été introduite. Mommer était le principal négociateur pour le compte du gouvernement.

    Rembourser les profits avant même qu’ils soient réalisés

    Lorsque vous expropriez un projet, il faut payer. Mommer le savait bien : « Nous ne l’avons jamais contesté. Nous avons trouvé un accord avec 39 des 41 entreprises, y compris Eni. Mais pas avec Mobil, qui a depuis fusionné avec Exxon. Ni avec ConocoPhillips. Ces firmes étaient engagées dans une stratégie de long terme visant à réduire progressivement leur contribution fiscale à zéro. Ce à quoi nous avons fait obstacle. Lorsqu’elles ont refusé de négocier, nous les avons expropriées. » Les deux firmes répondirent en déposant une série de plaintes auprès du Cirdi et de la Chambre de commerce internationale, à Paris. Avec pour exigence le remboursement de tous les profits qu’elles avaient manqués.

    L’enjeu est énorme. Le cours du pétrole était à l’époque au beau milieu d’une hausse historique, passant de 40 dollars le baril en 2004 à un pic à 150 dollars en 2008. Le Venezuela souhaite dédommager les entreprises sur la base du prix qui était celui du pétrole au moment des négociations. Mais au cas où l’expropriation serait jugée illégitime, les deux géants pétroliers estiment qu’ils devraient être remboursés sur la base du cours de 2008. La différence se chiffre en milliards de dollars.

    « Ces entreprises en avaient assez du Venezuela, depuis longtemps déjà, explique Juan Carlos Boue, chercheur vénézuélien basé à l’Institut de l’énergie d’Oxford. Mais elles ont décidé de rentrer chez elles avec autant d’argent que possible. C’est particulièrement le cas pour ExxonMobil. Ces entreprises veulent faire savoir au monde entier qu’elles disposent de ressources illimitées pour s’engager dans des contentieux juridiques, afin de décourager les gouvernements qui voudraient les défier. »

    Suite de l’enquête, le 16 mars. http://www.bastamag.net/1-5-Quand-des-multinationales-s-a...

    Frank Mulder, Eva Schram and Adriana Homolova
    Traduction de l’anglais : Olivier Petitjean

    À propos de cet article

    Cette enquête a été publiée initialement en néerlandais par les magazines De Groene Amsterdammer et Oneworld. Elle est publiée en exclusivité en français par Basta ! et en allemand par le Spiegel online.

    Voir aussi, des mêmes auteurs, cet autre article traduit par l’Observatoire des multinationales : « Pétrole ougandais : Total cherche à échapper à l’impôt grâce à un traité de libre-échange ».

    Le texte ci-dessous présente la recherche qui sous-tend l’enquête :

    Les critiques du TAFTA, le traité de commerce en discussion entre l’Union européenne et les États-Unis, ont pour cible prioritaire les mécanismes de résolution des litiges État-investisseurs, ou ISDS (pour Investor-State Dispute Settlement, en anglais). Il s’agit d’un mécanisme grâce auquel les investisseurs peuvent poursuivre un État s’ils estiment avoir été traités de manière inéquitable. Selon ces critiques, les multinationales se voient ainsi donner le pouvoir sans précédent d’échapper aux lois, à travers une sorte de système de justice privatisée contre lequel aucun appel n’est possible.

    En réalité, l’ISDS n’est pas un phénomène si nouveau. Les plaintes ne sont pas simplement déposées contre nous, pays européens ; au contraire, c’est plus souvent de nous qu’elles proviennent. En 2014, pas mois de 52 % de toutes les plaintes connues avaient pour origine l’Europe occidentale.

    Le nombre total de cas est impossible à connaître. Les données sont difficiles à obtenir. C’est pourquoi des journalistes de De Groene Amsterdammer et Oneworld ont entrepris quatre mois de recherches, avec le soutien d’EU Journalism Grants.

    Ce travail a notamment débouché sur une cartographie interactive unique en son genre de tous les cas d’ISDS, dont beaucoup n’ont jamais été cités dans la presse. Cartographie qui inclut, autant que possible, le nom des arbitres, les plaintes, les suites et, dans de nombreux cas, le résumé des différends. Pour la présente enquête, nous avons interrogé de nombreux arbitres, des avocats, des investisseurs, des chercheurs et des fonctionnaires, y compris des représentants de pays qui se sentent dupés par l’ISDS, comme le Venezuela, l’Afrique du Sud ou l’Indonésie.

    La cartographie et les articles qui l’accompagnent sont disponibles sur le site www.aboutisds.org. Ils ont été publiés initialement en néerlandais à l’adresse www.oneworld.nl/isds.

  • CONCLUSION : L’ISDS est le bras armé de la dictature économique libérale. Il signe l’arrêt de mort de toute démocratie, si jamais celle ci a vraiment existé. Comme le disait Vandana Shiva : " Le libre échange, c’est la dictature des entreprises ". On est en plein dedans et si les différents traités bilatéraux sont validés, on le sera encore plus. Mort au capitalisme !

16/03/2016

le peuple est si loin

"Je me suis livré à un petit calcul au résultat éloquent : au  
cours des cinq dernières années, le Parlement européen s'est  
ainsi prononcé deux cent cinquante fois sur des textes liés à  
l'orientation sexuelle et à  «  identité de genre », adoptant  
plus de cent rapports positifs sur la question. C'est dire que  
l'hémicycle est ainsi maintenu sous pression et qu'il se passionne  
pour la théorie du genre.  
Je revois les visages défaits de mes collègues démocrates-  
chrétiens votant, comme des idiots utiles, la « feuille de route de  
l'Union européenne contre l'homophobie ». Sous le drapeau  
de la couronne mariale, c'est la peur qui rôde dans les travées.  
Ce mécanisme de chantage a été inspiré par l'International  
Lesbian and Gay Association. Ce lobby d'une puissance  
insoupçonnée, dont le siège est à Bruxelles, reçoit lui aussi  
des subventions de la Commission européenne, du financier  
George Soros et du département d'État américain. Tout ce petit  
monde sert un projet de société ou plutôt de dissociété. En  
toute tranquillité. Le peuple est si loin..."
(Philippe de Villiers)

 

"La machine bruxelloise tourne à l'abri des médias. Dans  
un consensus admirable où les trois grands groupes votent  
comme un seul homme 95 % des textes, où les souverainistes  
sont tenus en lisière. Frappés d'interdit moral, houspillés,  
insultés, traités de fascistes —"

 

Mais alors qui sont les maîtres ? les bien vus ?
lisons plus : "berlines noires à vitres teintées et plaques « CD »  corps  
diplomatique — qui s'arrêtent devant l'entrée du « Paul-Henri  
Spaak building ». En quelques minutes, des dizaines de noeuds  
papillons s'agglutinent sur le tapis rouge : des Européens, des  
Américains, des Japonais, quelques figures des pays du Golfe.  
Les congratulations sont bruyantes, chaleureuses, toutes en  
anglais ; il est clair que ce sont des amis qui se retrouvent, ils  
parlent la même langue et le même langage "

mettre en garde, ..... les peuples  
récalcitrants contre leurs pulsions : « Nous voulons sauver  
l'Europe de la  tyrannie des référendums. »(sic) Oui, vous avez bien  
lu. Ces élites sont en révolte contre ce qu'elles appellent « le  
caprice des peuples ».   ......

"Dans ce  dominium mundi, cet empire mou du management,  
ceux qui commandent se montrent rarement. Personne  
mi maîtrise plus rien. Nous assistons à une reféodalisation  
planétaire,  (et anglophone ... ) les puissances publiques s'éclipsent, s'évanouissent ... Ils  
veulent les individus et le monde, rien d'autre. "

28/02/2016

maintenant un UPR belge !

http://mib-pib.jimdo.com/

14/02/2016

hallucinant - installation du totalitarisme en France

Hallucinant ! horrifiant, glaçant, dans quelle société vivons-nous ?! lisez les termes de cette information journalistique :

"Fin de l'alerte enlèvement : M** et sa mère retrouvées saines et sauves
La fillette de 4 mois et demi et sa mère qui l'avait enlevée jeudi ont été retrouvées saines et sauves samedi vers 1 heure 15 à Ph*******, en Moselle.
avec AFP.
Publié le 19/04/2014 | 07:41, mis à jour le 19/04/2014 | 12:53"
l' « enlèvement » (un enfant avec sa mère !!!!! le choix de ce mot est hautement révèlateur, l'Etat est devenu le SEUL et UNIQUE PROPRIETAIRE des enfants, leurs parents n'existent plus, les familles, leur propre liberté:  NEANT !
l'ETAT !!! l'ETAT !!! Dieu; PCUS totalitaire (représenté concrètement par des apparatchiks(-esses) et personnes physiques avec leurs réactions épidermiques et idéologiques)

"La mère, le père, le bébé, ainsi qu’un autre enfant du couple âgé de 15 ans ont été interpellés (!) alors qu’ils circulaient à bord d’un véhicule, samedi 19 avril 2014 vers 1 heure 15. Le bébé est manifestement en forme." (et pourquoi il ne le serait pas ? sales cons de "curés" à la mode de maintenant qui se croient les seuls êtres pensants de la terre !),
La Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) avait annoncé auparavant dans un communiqué que l’enfant avait été retrouvée saine et sauve (sic) et que l’alerte enlèvement (resic) avait été levée, sans plus de précision. "A priori, le véhicule redescendait vers Nancy. Ils ont été interceptés par un barrage routier. L’interpellation s’est déroulée de manière très tranquille", a expliqué le directeur du service régional de police judiciaire de Nancy, Alain Couic. La mère et le père, également déficient mental, ont été emmenés dans les locaux de la gendarmerie de Phalsbourg pour être entendus, a-t-il ajouté.

Mia retrouvée saine et sauve, ses parents arrêtés ( !!!!! ce qui veut dire qu'on lui a enlevé ses parents !)

La justice avait déclenché
vendredi 18 avril en début d’après-midi une alerte enlèvement après la disparition de la fillette de 4 mois et demi, enlevée jeudi soir par sa mère dans un "centre maternel" de Nancy où elles résidaient toutes les deux. Les enquêteurs avaient fait part de "moyens très importants", d’un "dispositif très lourd" et de "recherches tous azimuts" pour retrouver la mère et son enfant, dont la santé est fragile.

La mère, une jeune femme de 36 ans prénommée B******, était montée avec son bébé dans une voiture vers 23 heures, jeudi, à la sortie du centre, et n’avait plus été revue. "Elle a pris la décision de partir dans la nuit, sans rien dire
", (comme tout citoyen d’un pays libre) avait indiqué le procureur, alors que les enquêteurs s’interrogeaient sur le rôle joué par le père de l’enfant (le rôle d'un père peut-être tout bonnement ?).

Le nourrisson, né le 23 novembre, avait été placé quelques semaines plus tard
sur la décision d’un juge des enfants de B**** (Meurthe-et-Moselle). "La mère n’en avait donc pas juridiquement la garde", avait souligné le procureur, en précisant que cette femme a quatre autres enfants, trois placés et un quatrième résidant chez un oncle.

Les services de la police judiciaire de Nancy, de la sécurité publique et de la sûreté départementale avaient été mobilisés dès que l’alerte avait été donnée par le centre maternel, jeudi vers 23 heures 45, ainsi que la direction centrale de la police judiciaire et l’office central de la répression des violences faites aux personnes, chargé de synthétiser les renseignements collectés grâce à l’alerte enlèvement.

Les polices judiciaires belge et luxembourgeoise avaient également été mobilisées, alors que les enquêteurs avaient fait part de leurs craintes la mère ne parte à l’étranger avec l’enfant.

Le Conseil général de Meurthe-et-Moselle, qui gère le centre maternel A***-L***** de Nancy où l’enlèvement (sic !) a eu lieu, a indiqué que cette structure permettait l’accueil
"permettre l'accueil" (sic!) pas l'acceuil l'enfermement, la preuve !!
des femmes enceintes et des mères isolées avec enfants de moins de 3 ans, "qui ont besoin d’un soutien matériel et psychologique, en chambre individuelle ou appartement".

"Il s’agit d’un dispositif d’accompagnement, sans restriction de sorties ou d’entrées", a-t-il précisé dans un communiqué. Bien que la mère n’ait plus la garde de son bébé, le juge des enfants qui avait pris cette décision avait estimé opportun de conserver le lien physique entre la maman et le bambin au sein de cette structure.

C’est la treizième fois que le plan "Alerte enlèvement" est déclenché en France. Ce dispositif d’alerte massive et immédiate déployé pour aider à la recherche d’un enfant présumé enlevé avait été déclenché pour la dernière fois en décembre 2012 quand un bébé de 2 jours, enlevé (vraiment enlevé ou parti en vacances avec ses parents ?) également à Nancy, avait été retrouvé moins de 24 heures plus tard"

 

(ceci dit envers les pères c'est encore pire - et l'égalité de tous devant la loi elle est ou ?! -un père qui part avec son enfant les jurnalopes appellent ça tout de suite "enlevé". Oui, c'est cela, c'est cela  ....)

INSTALLATION DU TOTALITARISME EN FRANCE

"Il y a quatre ans les pouvoirs publics tentaient de désigner, dès la crèche et l’école maternelle, les bébés supposés devenir délinquants. 

Aujourd’hui encore, face aux difficultés des enfants et des familles, les réponses stigmatisantes et coercitives sont privilégiées:

• Les mesures de contrôle et de surveillance des parents en difficulté sont renforcées.

• Le secret professionnel dans le cadre de la prise en charge des familles est mis à bas au titre de la loi de prévention de la délinquance de 2007.

• Les mineurs sont fichés : avec le fichier base-élèves, le parcours scolaire de tous les enfants sera conservé pendant 35 ans ; et dès 13 ans les mineurs qui seront a priori soupçonnés de vouloir commettre un acte répréhensible seront inscrits dans le nouveau fichier Edvige.

• La suppression du Défenseur des enfants est annoncée, au moment des célébrations du 20ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant.

Cette volonté de contrôle de l’enfance se manifeste également dans la mise en place de certaines pratiques professionnelles. Le projecteur n’est plus braqué seulement sur le dépistage prédictif des jeunes enfants turbulents (bref être un enfant turbulent est devenu un crime !!). La focale s’est élargie à tous les enfants à travers des programmes dits de "promotion de la santé mentale" dès 24 mois.
"