12/10/2025
rondeurs féminines - autrefois c'était un pléonasme
Un échange d'affection se réalise presque uniquement avec le corps. Les odeurs en constituent le déclencheur par leur effet paralysant, tandis que le corps provoque des émotions stimulantes dans l'affection. Le corps se subdivise en cinq caractéristiques; le poids, la forme, le volume, la consistance et la température.
C'est dans l'ensemble du corps que naissent nos émotions et qu'on capte celles des personnes qui nous entourent. Comme pour les odeurs, le corps de nos personnes chères nous procure des sensations qui modifient notre comportement et notre physiologie de manière prédéterminée génétiquement.
Un échange d'affection entraîne donc une série de réactions identiques d'une fois à l'autre. L'affection constitue alors un automatisme nous rendant démuni, et qui nous pousse à s'accrocher à l'autre pour se sécuriser. L'affectivité chevauche deux états émotifs, celui associé au sentiment d'être démuni et celui d'être sécurisé. L'abandon physique cause un sentiment d'insécurité au départ (d'où la pudeur) et nous procure par la suite des sensations qui produisent un sentiment de grande sécurité.
Tout constituant de notre corps a une réaction émotionnelle qui lui est propre et qui fait réagir notre "partenaire" (comme disent les sinistres modernes formés au cynisme commercial) différemment. Comme pour la loi de la physique décrétant qu'avec la matière, "rien ne se perd, rien ne se crée", toutes les émotions vécues sont présentes en nous depuis de notre naissance. Une émotion réapparaît instantanément lorsque les sensations qui y sont associées surviennent. Par exemple, une série d'émotions surgissent, toujours les mêmes, à chaque fois que l'on touche la peau de notre "partenaire". La sensation de la douceur et de la chaleur de sa peau nous sécurise, abaisse notre pression artérielle et la contraction involontaire de nos muscles, induisant ainsi une détente physique. Au point de vue psychique, ces sensations nous amènent à nous comporter de manière douce et attentionnée parce qu'elles nous font sécréter une hormone dont l'effet est calmant.
Les trois constituants principaux du corps sont les os, les muscles et les tissus adipeux. Au toucher, comme ils ont une consistance différente, ils nous procurent aussi des sensations variées. Comme on touche inévitablement les trois parties du corps de son aimée à la fois, cela nous fait vivre plusieurs émotions simultanément. Chez la femme, les tissus adipeux sont la partie de son corps qui joue un rôle primordial dans l'échange d'affection. Ils sont d'ailleurs responsables de son identité féminine.
C'est grâce à ses tissus adipeux que la femme a une libido. En effet, une femme mince ressent moins le besoin d'avoir une relation sexuelle car la sensibilité féminine prend sa source dans ceux-ci. Les rondeurs féminines, à la base du comportement affectueux, sont aussi à l'origine du plaisir en émettant et recevant les émotions. Les rondeurs féminines, en dirigeant inconsciemment notre comportement affectueux envers la personne aimée, rendent possible une communication émotive. Elles nous attirent sexuellement, elles nous rendent amoureux et elles stabilisent la relation de couple sexuel en permettant à notre "partenaire" de s'assurer de notre fidélité.
Les rondeurs féminines stabilisent notre métabolisme et font diminuer notre niveau de stress. Parce qu'elles sont source de plaisir, de bien-être et de bonheur, on ressent de l'attachement envers son épouse. Les tissus adipeux des femmes jouent un rôle primordial chez l'être humain. De la même manière, ils exercent une fonction sociale. La relation mère enfant s'établit par l'affection qui se transmet à partir de ses rondeurs. Elles forment un nid psychologique lui procurant un confort émotif. Par le fait que les rondeurs sont émotionnellement sécurisantes, elles favorisent la cohésion dans la société. Ainsi, elles incitent les gens au dialogue et au compromis afin d'éviter les conflits. En étant source de bien-être, les rondeurs influencent les personnes à s'entraider et à entretenir des relations amicales.
Comme les tissus adipeux de la femme sont au centre de la vie humaine, la survie de la race en dépend. Essentielles à toute les étapes de la vie, les rondeurs féminines attirent l'homme sexuellement pour la copulation, assurent la survie du foetus et du bébé durant la période de l'allaitement et finalement, par le bien-être de l'affection qu'elles procurent, elles tissent les lien sociaux.
Dans une relation amoureuse, les rondeurs de la femme constituent une protection pour son intégrité physique et psychologique en portant un message de douceur qui influence notre comportement envers elle. Ainsi, à la vue et au toucher, elles nous rendent doux, tendre, affectueux et attentionné et elles humanisent les rapports homme femme; sans elles, on s'accouplerait sans sentiments. Elles sont donc à l'origine de l'amour.
Dans l'affection, l'abandon émotionnel implique une absence de matrise sur soi, sur la situation et sur la personne aimée. Les comportements, les gestes et les pensées qu'ont les deux "partenaires" (d'affaires ? quel drôle de terminologie !) dans un échange d'affection leurs procurent du bien-être parce qu'ils correspondent exactement à ce qui est voulu par la "mère nature". Le mot "échange", quand on parle d'un échange d'affection, signifie que notre corps va puiser dans le corps de l'autre les éléments qui l'amèneront à vivre un moment de bien-être ultime et pareillement pour celui de notre "partenaire". L'abandon physique n'est pas un comportement de soumission parce qu'il est voulu consciemment et inconsciemment par les deux personnes. Le corps a le pouvoir de décider. Ainsi, on se sent indisposé lorsqu'il n'accorde pas son consentement à un contact physique. Notre corps sait comment réagir aux effets émotionnels des tissus adipeux pour obtenir du bien-être.
L'affection est un lien fusionnel où les émotions de chaque corps s'imbriquent parfaitement les unes aux autres pour vivre un moment de grande euphorie. Comme les rondeurs sont un conduit émotionnel, elles sont la principale source de plaisir que la femme retire de son corps et que l'homme retire du corps de son épouse. Ainsi, on capte les émotions enivrantes par ses rondeurs et on transmet notre réponse émotive à travers celles-ci.
Les rondeurs sont comme un océan d'émotions, notre corps comme un voilier, le plaisir comme le vent qui nous fait voguer vers un état de bien-être. Comme les tissus adipeux sont à la base de la vie, ils sont à l'origine du plaisir. Le plaisir de l'affection constitue un carburant fournissant de l'énergie psychologique pour progresser dans la vie. L'affection permet à l'enfant de grandir en santé psychologique et physique, de développer son intelligence et de tisser des liens sociaux solides avec son entourage. À l'âge adulte, l'affection nous permet d'obtenir une excellente qualité de vie. Comme la vie est une drogue, nous sommes tous dépendant de la sécrétion d'hormones responsables du plaisir qu'on retire de l'affection.
La consistance molle des tissus adipeux est significative émotivement. Étant associées à une partie tendre du corps de notre amoureuse, les rondeurs sont à l'origine de la tendresse: elles nous amènent spontanément à être tendre envers notre "partenaire" (quel terme sinistre ! typique de notre époque cynique et déshumanisée !!!). La chaleur qui s'en dégage nous pousse inconsciemment à être très chaleureux envers elle. Être tendre et chaleureux sont deux états d'esprit induits par les émotions produites par la sensation tactile des tissus adipeux.
La tendresse se vit autant dans les gestes que dans les pensées. Une pensée tendre, c'est voir sa "partenaire" belle, douce, fine et merveilleuse. À travers celle-ci, notre épouse nous apparaît encore beaucoup plus belle que d'habitude: elle resplendit de beauté. On la perçoit comme la plus belle femme au monde. Cette pensée constitue un état d'extase et d'admiration associé à toute l'importance qu'a notre aimée pour nous. Au moment d'un échange d'affection, elle est tout particulièrement la plus belle, la plus intelligente. la plus fine, la plus douce, la plus gentille pour soi. En d'autres mots, les pensées qui nous habitent sont très valorisantes pour elle.
Au cours d'un échange d'affection, des images positives concernant notre "partenaire" surgissent spontanément dans notre esprit. Cette imagerie continue à solliciter la programmation pour nous faire poser des gestes automatisés de douceur et de tendresse. La valorisation se fait ainsi spontanément quand on s'abandonne émotionnellement à son amoureuse.
Un geste tendre ne se définit pas par la manière dont on déplace ou on appose ses mains sur le corps de sa "partenaire" (sic), mais plutôt par ce qu'il dégage comme émotions. Par la tendresse, on transmet des émotions de bien-être en touchant son corps. Notre corps peut alors se comparer à un contenant rempli de nos émotions et nos mains, à des becs verseur d'où s'écoulent celles-ci. Nos mains, en plus de transmettre les émotions, captent celles de nos êtres aimés. Elles agissent comme des antennes émettrices et réceptrices. Comme avec les cordes vocales pour la communication verbale, on s'exprime émotivement avec les mains; et parce qu'elles ont une sensibilité plus grande que le reste du corps, elles peuvent détecter une plus grande variété de sensations sur un plus grand écart d'intensité.
Comme un geste tendre constitue un déversement de nos émotions vers le corps de notre "partenaire", il lui procure une dose de bien-être. De ce bien-être, elle réagit aussi par des gestes tendres et émotifs à notre égard, ce qui nous rend euphorique. Un geste tendre dégage une chaleur humaine. Celle-ci est une expression se référant à deux aspects, soit à la chaleur que dégage le corps et à une qualité que la communication émotionnelle peut avoir: un geste rude est plutôt froid alors qu'un geste tendre est chaud. Un geste froid transmet un message émotif d'insécurité et de malaise, ce qui implique un blocage nous empêchant de se livrer émotivement à l'autre alors qu'un geste chaud provoque un état de confort et de sécurité pour la personne qui le reçoit. C'est par notre chaleur humaine que notre femme ressent que nous nous abandonnons émotivement et par la suite, se sentant ainsi sécurisée, elle peut s'abandonner à son tour. On peut donc dire que la chaleur humaine est responsable de l'enclenchement d'un comportement affectueux.
Les femmes nous procurent une sensation de bien-être qu'elles seules peuvent nous faire vivre.
Maintenant il va falloir publier un texte à l'honneur du pelotage, si diabolisé par notre sinistre, névrosée, et insociable époque
il fut un temps où la communication entre les êtres on trouvait ça normal ; maintenant on trouve ça criminel !
08/10/2025
L'évolution perverse de la modernité
Christian Combaz l'a bien vue
et souvenez-vous de ce que nous dit Zygmunt Bauman sur la "modernité"
04/10/2025
on a tort d'idéaliser la Suisse
« Les Suisses ont une très grande confiance dans leurs autorités, beaucoup plus que les habitants d’autres pays ; ils suivent en général les instructions de leurs autorités. » Nos voisins sont devenus des paresseux politiques, c’est le constat que fait Slobodan Despot. Autrement dit, les Helvétiques se font, eux aussi, entourlouper par leurs élites et « la démocratie directe ne sert qu'à valider davantage et à légitimer encore plus des décisions iniques ». Les votations régulières donnent l’illusion d’un pouvoir populaire, alors que les citoyens, « désinformés ou mal informés, ne font que ratifier des projets préparés par des élites et leurs relais médiatiques ». C'est ce qu'il nomme la politique du kitsch, une société parallèle : « Un des éléments clés de cette pseudo-société, qui donc ne remplit pas ses obligations ni ses promesses, c'est le contrôle. Le contrôle est absolument indispensable. » L'exemple type est le vote sur l'identité numérique — passé à seulement 20 000 voix près (50,4 %) — dimanche dernier, aidé d'une belle promotion signée Swisscom (en anglais ! très représentatif et lourd de sens aussi ça !).
Telle une mise en garde lancé à tous ceux qui idéalisent la Suisse, derrière l’image soignée de sa démocratie, Slobodan Despot y voit un terrain d’essai où, sous couvert de consensus, se testent des dispositifs que l’on retrouvera demain ailleurs en Europe. « La Suisse est un pays très conservateur et, dans d'autres domaines, c'est un pays qui est toujours à l'avant-garde de l'innovation, notamment en matière de gestion humaine. » Pour lui donc, pas de quiproquo possible : « La Suisse est un laboratoire de tout ce que l'Occident intégré et globalisé veut faire passer. »
L’observation suisse de Slobodan Despot le conduit naturellement au modèle occidental dans sa généralité, et en particulier au cas français : « Quand les dirigeants n’ont plus de réponses sociales, ils brandissent la peur extérieure et la promesse de protection. » C’est ce que fait Emmanuel Macron, en brandissant notre dissuasion nucléaire — et son partage avec ses alliés européens — à tour de bras. Mais, comme le souligne Slobodan Despot, « Si la France commence à couvrir le jappement des Estoniens ou des Polonais avec sa force de dissuasion nucléaire, elle s’expose elle-même à être détruite. »
Il est donc plus que temps de se débarrasser de cette caste. Un seul remède existe pour cela : la connaissance, l’information, qui nous permettra de dire enfin et collectivement « plus jamais ça » en 2027 !
Au fait, savez-vous qu'en 1935, (tiens on n'en parle pas sur nos manuels d'histoire, bizarre ! vous avez dit bizarre ! ) il y a eu, comme ça se fait souvent, un référendum en Suisse sur la question de changer la Constitution suisse pour en faire un REGIME NAZI, eh oui ! la proposition a été refusée, mais il s'est quand-même trouvé 27% de suisses pour voter OUI. en 1935 Ceux qui ont voté pour ça savaient donc parfaitement pour quoi ils votaient, il avaient le modèle à côté de chez eux. Je rappelle que le plus haut score que les NAZIs ont reçu en Allemagne dans le cadre d'une élection libre ce fut 32% en octobre 1932, dans une Allemagne déboussolée, ravagée par le chômage la ruine économique, la violence, des gens qui ne savaient plus à quel saint se vouer.
01/10/2025
sans une révolte générale des gens intelligents et humanistes contre le fascisme et les vendus
Après les professeurs Raoult et Perronne, après la généticienne Alexandra Henrion-Caude, un autre pilier du système, le professeur de physiologie Jean-François Toussaint a décidé de rejoindre le camp du « parler vrai ».
Certes, on se sent moins seul à Libre Consentement Éclairé, mais tout cela est inquiétant en fait, car cela confirme que la situation est extrêmement grave et qu'à moins d'une réaction rapide et victorieuse, nous serons définitivement transformés en esclaves soumis au Nouvel Ordre Mondial.
Alexandra Henrion-Caude confirme nos dires
Généticienne reconnue, ancienne directrice de recherche à l'Inserm, Alexandra Henrion-Caude appartient au sérail et elle fait partie du système que nous combattons.
Elle rejoint les professeurs Perronne et Raoult dans un discours de vérité qui confirme ce que nous disons depuis à des mois à Libre Consentement Eclairé.
Elle confirme en particulier que les virus ne sont pas des organismes vivants, que la loi « bioéthique » qui vient d'être adoptée par le régime macronien néonazi ouvre la porte à la création de chimères, d'êtres mi-animaux, mi-humains et que les vaccins ARN vont changer totalement la physiologie des vaccinés.
Elle nous apprend également que des Sud-Africains sont utilisés comme cobayes par l'industrie pharmaceutique pour mettre au point les poisons qu'ils vont vouloir nous inoculer de force.
Dans son interview, elle nous offre une photographie de ce qui se passe, et c'est cauchemardesque.
Ses craintes confirment que les lois « bioéthiques » votées par les laquais de l'Eborgneur en chef des Gilets Jaunes, la Grande Faucheuse des Ehpad, Emmanuel Macron, permettent d'intervenir sur l'espèce humaine en trafiquant les génomes et en ouvrant la voie à toutes sortes d'expérimentations avec des objets et des animaux.
Ne doutez pas un seul instant que ces expérimentations, dignes de celles menées par les fonctionnaires et médecins nazis dans les camps de la mort, finiront par transformer une partie de l'espèce humaine en dociles esclaves du Nouvel Ordre Mondial.
À voir en cliquant sur « Alexandra Henrion-Caude nous prévient »
Un de plus
Jean-François Toussaint ne cède pas aux différents appels du pied, désespérés, des agents de propagande de la macronie néonazie dont les visages semblent se décomposer au fur et à mesure qu'il explique qu'aucune des mesures prises par les criminels à la tête de l'État, ne peut se justifier du point de vue de notre santé.
À voir en cliquant sur « Le professeur Jean-François Toussaint se rallie au camp de la vérité ».
Nos certitudes : c'est maintenant ou jamais
Face à la situation actuelle, qui par ailleurs nous apparaît assez hallucinante vu le nombre de Français qui se plient avec une telle docilité au port du masque, nous avons quelques certitudes.
Nous sommes convaincus par les faits et nos analyses qu'il se mène une vraie guerre contre les peuples occidentaux et les démocraties que le Nouvel Ordre Mondial veut détruire afin de pouvoir imposer sa domination sur l'Occident, y compris avec la complicité ou la bienveillance du gouvernement chinois.
Demain, ces certitudes se transformeront peut-être en doutes, ou alors le futur démontrera que nous avions tort, ce que nous souhaitons de toutes nos pensées, mais nous ne sommes guère optimistes sur ce point.
Première multi certitude : l'exemple islandais et se débarrasser d'eux
En France, nous devons nous débarrasser totalement de la classe politique et technocratique actuelle qui est responsable (et coupable) de tout ce qui se passe.
Dans bien des situations, ils y sont allés de surenchère en surenchère :
- le confinement général est dangereux, il fallait le faire plus tôt ;
- les masques ne protègent de rien et sont dangereux pour notre santé, il faut les imposer partout ;
- etc.
Il ne faut surtout pas croire que nous pourrons changer les choses et préserver nos libertés et droits fondamentaux d'être humain, en conservant les mêmes institutions et le même personnel politique et administratif.
Ce grand ménage doit s'accompagner d'une nouvelle Constitution qui sacralise le RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne), la liberté thérapeutique, l'interdiction de toute obligation médicale ou vaccinale et la suppression du statut de la fonction publique et des grandes écoles administratives (ENA, école nationale de la magistrature, école nationale de la Santé, etc.).
Deuxième certitude : une transition pacifiste semble impossible
Ils ne vont pas renoncer d'eux-mêmes, ils ne vont pas nous dire « Oh, nous avons causé la mort de 25 ou 35 000 personnes âgées afin de vous terroriser et de vous imposer les « vaccins ARN de notre ami Bill Gates et des cliques Obama et Clinton. On regrette, ce n'est vraiment pas bien ce qu'on a fait, d'ailleurs on s'en va et on vous laisse les clés. »
Ne croyez pas une seconde à une possible transition pacifique, la sanglante et meurtrière répression des Gilets Jaunes par les fonctionnaires éborgneurs et là pour nous rappeler qu'ils sont prêts à nous massacrer.
Sans une révolte générale à l'islandaise, sans juger et emprisonner les coupables et responsables de la situation actuelle, ils continueront et nous serons obligés très rapidement de nous faire injecter dans le corps, et sous la contrainte policière ou militaire, les produits qu'ils nomment vaccins, le puçage 5 G.
Si nous ne les jugeons pas, s'ils ne sont pas emprisonnés rapidement, si nous les laissons faire, cela en sera très vite fini de nos existences libres.
Troisième certitude : agir collectivement
L'heure n'est plus à la seule dénonciation, il nous faut trouver les moyens d'agir rapidement collectivement, en tant que peuple, en sachant que nous avons tout un système politique, pseudo-syndical (pourri et acheté par l'UE), administratif, judiciaire et policier contre nous.
Mais dans toute l'histoire de l'humanité, les peuples qui se sont libérés des tyrans ont été confrontés à des situations analogues.
Quatrième certitude
Le temps presse, leur programme d'action va s'accélérer et ils voudront nous « pucer » et nous « vacciner » si possible avant 2021.
Cinquième certitude
Il faut nous révolter et contrairement à ce que je disais dans ma dernière lettre, s'emparer de la rue en l'occupant sera peut-être de nouveau nécessaire même si nous devons avant tout constituer une armée numérique.
* * * * *
Reparlons de l'hydroxychloroquine « médicament essentiel à l'humanité » selon l'OMS, d'avant
Il y a plusieurs décennies que l'hydroxychloroquine a été classée par l'OMS, et avant que cette dernière ne devienne une organisation criminelle, « médicament essentiel à l'humanité ».
C'est un dérivé de la quinine (la quinine est extraite de l'écorce du quinquina, Cinchona officinalis, un arbuste originaire d'Amérique du Sud) qui est utilisé depuis plusieurs siècles et qui a été consommé par des milliards d'individus (homme, femmes, femmes enceintes, enfants, malades, bien-portants).
Par ailleurs, il est scientifiquement documenté que l'hydroxychloroquine est efficace pour soigner les maladies pulmonaires associées aux virus et coronavirus depuis 2002 (plusieurs études que nous avons déjà citées ont été alors publiées dans des revues médicales de renom).
C'est ce médicament qu'Agnès Buzyn et le gouvernement d'Emmanuel Macron ont classé « substance vénéneuse » par un arrêté du 13 janvier 2020 (décret préparé en octobre 2019) alors qu'ils savaient depuis 2004-2005 (voyez l'article très documenté del'UPR à ce sujet) qu'ils pouvaient soigner rapidement les malades atteints des pathologies pulmonaires hivernales.
Le marché des chevaux de laboratoire est très porteur, et présente une croissance d’environ 3% par an (chiffres 2011).
https://www.thedodo.com/turning-horse-blood-into-profits-1382177497.html
que celui qui a des oreilles entende8/8/2020 cette année-ci les médias ne nous diront pas le nombre de morts de la canicule : les médias sont maintenant trop étroitement censurés, et sous menace, les journaputes auront trop peur de perdre leur emploi et se retrouver sur une liste noire et n’avoir plus qu’à crever de faim et de froid comme Dieudonné et sa famille, ou de voir leurs organes d’information effacés en une seconde sans rien dire, et sans que personne puisse rien en savoir et sans que personne ne réagisse ! (comme Alterinfo.net, un site qui avait 18.000 visiteurs individuel par jour)
Alors on ne publiera que les morts que la psy-op gouvernementale voudra bien,en particulier ceux qu’on attribuera (faussement et arbitrairement) statistiquement au coronavirus, histoire de renforcer la manipulation et la soumission du troupeau. Les morts de la canicule ils pourront crever,, dans le silence et indifférence générale, comme les blogs et comme le lire-examen.
C’était déjà pervers en 2003, quand pour avoir le droit de rapporter les constatations des entreprises de pompes funèbre les jurnaputes devaient ajouter « entreprise leader sur le marché » plus puant et cynique y’a pas ! Mais la situation actuelle est dix fois plus perverse et surtout sans aucun espoir. On va vers la dictature fasciste totalitaire orwellienne, pire que tout ce qu’on a déjà connu, et personne ne réagira.
Au contraire ils se piqueront de devenir tous des Rhinocéros... comme dans la pièce de théatre.
« Libre à nous de ne pas acheter leurs saloperies, de ne pas lire, écouter, regarder leurs saloperies, de ne pas travailler pour leurs entreprises à l’idéologie fascisante, libre à nous d’aimer qui en a envie comme on a envie – en vie – et de ne tenir aucun compte de leurs désastres, des atavismes familiaux, leur business plan
, pour une résilience à tous les étages. Ne pas vivre reclus en prédisant l’apocalypse dans un hédonisme de pacotille mais faire tonner le volcan qui grogne en nous… »
programme, trouvé sur
http://diktacratie.com/petit-eloge-de-lexces/
et manifeste de ce qui se passe actuellement (13/8/2020) mais programme déjà impossible : vous allez vous retrouver en prison, ou dans le meilleur des cas clochard accusé de complotisme antisémite homophobe pédophile d’extrème-droite, de criminelle et illégale mise-en-danger-de-la-vie-d’autrui et de violence contre les « force de l’ordre » qui vous auront tué et brisé votre famille et vous demanderont des dommages-et-intérêts ! avant de vous confisquer votre voiture et votre maison et vos enfants, et de crime contre la démocratie, et de terrorisme, si jamais vous semez l’inquiétude contre la fiabilité des ordinateurs de vote ou des produits « écolo-traditionnels de bonne-maman » de votre supermarché à vigiles badgés !
le temps de la Résistance et du maquis est venu, il nous faut un De Gaulle et Il faut les dégager manu militari https://ru-clip.net/video/SihXufPGm30/coronavirus-ils-vot...
j'avais publié cet article le 10/10/2020 à l'époque où j'ai commencé à comprendre qu'on était face à une résurgence d'un nouvel avatar du fascisme, une tendance lourde de cette "hubris" de 'l'esprit de la modernité" qu'a lui seul analysé Zygmunt Bauman
il ne faut surtout pas baisser les bras de l'intelligence et de la Résistance, car nous sommes face à un choix de CIVILISATION primordial.
13/09/2025
une leçon de courage et
un rappel sur le danger vital et TOTALITAIRE que représentent les banques. Sortir son argent du système bancaire est devenu une nécessité.
05/09/2025
Dans tous les cas, nous devrons démanteler les structures comme Blackrock, Vanguard, Amundi… pour supprimer leur influence et arrêter leurs dirigeants
eh oui ! ça s'appelle la luttes des classes
La santé comme nouveau champ de bataille
par Phil Broq. Lu le 23/5/2025
Croire que les fabricants de médicaments œuvrent pour la santé, c’est comme croire que les marchands d’armes œuvrent pour la paix. Lorsque ces deux forces se croisent, elles ne construisent pas un monde plus sûr. Elles engendrent l’OMS, une organisation qui, loin d’être un bastion de protection sanitaire, est devenue l’instrument de domination des mondialistes, de manipulation et de spoliation des souverainetés comme des libertés humaines.
Ce 20 mai 2025 marquera une nouvelle page sombre dans l’histoire de la gouvernance mondiale où la 78ème Assemblée mondiale de la santé a officiellement ratifié un «traité pandémique» qui, sous prétexte de protéger la planète, offre les pleins pouvoirs à une institution corrompue jusqu’à l’os nommée l’OMS.
Sous son vernis humanitaire, cette organisation, grassement financée par des intérêts privés comme la Fondation Bill Gates, et dirigée par un homme à la réputation sulfureuse (un ancien ministre éthiopien dont les casseroles incluent de lourdes accusations liées aux massacres au Rwanda) se mue en véritable police sanitaire mondiale. Sans mandat démocratique, sans contrôle parlementaire, sans consultation des peuples, l’OMS s’octroie désormais le droit de dicter des mesures liberticides à des nations entières. Vaccination obligatoire imposée à marche forcée, confinements planétaires décrétés d’un simple claquement de doigts, passeports numériques traquant chaque citoyen.
Mais cette mascarade n’a pas dupé tout le monde. Certains pays, encore debout, ont refusé de se faire enrôler dans cette farce tyrannique : États-Unis, Russie, Chine, Brésil, Inde, Afrique du Sud, Israël, Égypte, Turquie… Ces nations ont reconnu la manœuvre. Elles ont compris que ce traité n’est rien d’autre qu’un cheval de Troie et une nouvelle tentative de prise de pouvoir globale, un mécanisme soigneusement huilé pour dépouiller les peuples de leur souveraineté et suspendre les constitutions sous prétexte de «crise». Ce n’est plus une théorie conspirationniste, c’est une opération bien réelle qui se déploie sous nos yeux. C’est une stratégie planifiée, une opération systémique pour dépouiller les peuples, suspendre les constitutions et centraliser le pouvoir sous couvert de santé publique. Les «grands» de ce monde n’ont pas construit des hôpitaux. Ils ont bâti des usines à virus pour stériliser et dépeupler la planète entière. Un programme froidement orchestré par une élite technocratique qui ne construit plus que des laboratoires d’expérimentation à ciel ouvert aux quatre coins de la Terre. Tels que les laboratoires officiels de type P4, et tous ceux, clandestins, non répertoriés. Le Covid n’était visiblement que l’échauffement.
Depuis des décennies, des générations entières ont été éduquées, manipulées, et conditionnées à placer une confiance aveugle dans les institutions internationales comme l’OMS, l’ONU, le CDC, le NIH, et GAVI. Ces organisations, massivement soutenues par les gouvernements, les médias et les grandes puissances financières, se sont peu à peu imposées comme des garants de la santé et du bien-être mondial. Elles sont perçues, à tort, comme des bastions d’impartialité, de dévotion humanitaire, et de bienveillance universelle. Mais derrière cette façade lisse et réconfortante se cache la plus perfide des mascarades. Loin d’être des sauveurs de l’humanité, ces institutions sont les rouages d’une machine de contrôle global mise en place pour broyer l’humanité et accomplir un plan machiavélique. Et cette machine n’est pas dirigée par des médecins ou des scientifiques œuvrant pour le bien de l’humanité, mais par des financiers, des technocrates sans scrupules, des industriels allant de l’armement à l’agro alimentation jusqu’aux cartels pharmaceutiques, tous plus intéressés par le profit que par la santé publique et le bien-être de l’humanité.
Très loin de protéger la population mondiale, pour lequel elles avaient un mandat, ces organisations ont surtout tissé un réseau d’influence tentaculaire, un cartel transnational aux intérêts totalitaires et financiers ignobles. Leurs véritables objectifs ne sont surement pas la protection de la santé, mais bien la privatisation des droits fondamentaux, la concentration du pouvoir économique et politique, et l’exploitation sans limites des citoyens comme des ressources naturelles. Le contrôle, cette fois sous couvert de science et de bien-être, est devenu leur vocation suprême. Un contrôle qui ne se limite pas seulement à la santé publique, mais qui englobe la vie privée, les libertés individuelles, et, plus insidieusement, l’autonomie des nations.
Ces cartels transnationaux ont réussi à infiltrer les plus hautes sphères du pouvoir, armés de milliards d’euros, de dollars et de puissants relais médiatiques. Au fur et à mesure que ces organisations ont consolidé leur pouvoir, elles ont mis en place un système complexe et opaque de surveillance mondiale où chaque aspect de la vie humaine est minutieusement observé, mesuré et contrôlé. Ce qui est recherchée, c’est la conformité totale et de tous à leur plan. Les citoyens ne sont plus des individus libres, mais des objets d’expérimentation ou des unités économiques à réguler, exploiter et contrôler.
Tout a été mis en œuvre pour créer un monde où la santé et la sécurité deviennent les justifications idéales pour des mesures d’une violence silencieuse et pernicieuse appuyée par des restrictions des libertés individuelles, de l’obéissance forcée, et la transformation de la population mondiale en un mouvement de troupeau numérique où chaque geste, chaque parole, chaque pensée est traquée, enregistrée, et modulée pour mieux servir les intérêts de ce Nouvel Ordre Mondial mafieux.
L’influence de ces organisations n’est pas seulement économique, elle est aussi profondément politique. Les gouvernements, aveuglés par des financements visant à les corrompre, du chantage sous toutes ses formes et des accords secrets, ont largement laissé les technocrates de l’OMS et les financiers de GAVI dicter les grandes lignes des politiques publiques mondiales. Des décisions cruciales, qui devraient relever des autorités élues démocratiquement, sont désormais prises dans l’ombre, loin de tout contrôle populaire. Par exemple, l’OMS, avec sa charte de neutralité et son prétendu rôle d’organisme international indépendant, a acquis un pouvoir démesuré dans la gestion des crises sanitaires mondiales. Mais cet «indépendance» n’est qu’une illusion. Derrière cette façade de neutralité, on retrouve les mains de Bill Gates, George Soros, et d’autres magnats de l’industrie pharmaceutique, qui dictent les priorités sanitaires non pas en fonction des besoins réels des populations, mais des profits à générer.
GAVI, par exemple, loin d’être une simple organisation humanitaire, est en réalité un moteur de privatisation de la santé mondiale, transformant la santé publique en marché mondial lucratif. Ce qui semblait être une noble initiative pour fournir des vaccins aux populations les plus pauvres s’est rapidement transformé en un mécanisme de domination, où les décisions de vaccination sont désormais gouvernées par des intérêts privés. Le système, loin de sauver des vies, impose une dépendance économique aux pays les plus vulnérables, leur fournissant des solutions imposées, mais d’une efficacité douteuse, et à un coût astronomique.
Dans ce système, tout est orchestré pour diviser et régner, pour maintenir un statu quo économique où l’élite mondiale détient toutes les cartes. Et ce contrôle se poursuit même après la crise avec la surveillance numérique imposée par des outils comme les passeports sanitaires numériques. Et on constate que les crypto monnaies d’état ne sont pas qu’une réponse à une crise sanitaire ou financière. C’est une reconfiguration totale des sociétés humaines, où la liberté individuelle devient une exception et où chaque mouvement est scruté et analysé. La traçabilité des comportements et des échanges commerciaux devient la norme. La vie privée n’est plus qu’une relique du passé. L’individu est transformé en une unité de contrôle dans un système de crédit social où le comportement est évalué, noté et, à terme, manipulé pour servir les grands intérêts économiques.
L’objectif final est d’imposer une dictature technocratique, où les libertés humaines ne sont plus qu’un souvenir lointain. La santé, au lieu d’être un droit universel, devient un moyen d’asservissement ; un outil de domination, où la peur est cultivée et exploitée pour justifier des mesures de contrôle toujours plus invasives et autoritaires. Ainsi, le véritable cartel pharmaceutique, en réalité, n’est pas constitué uniquement de laboratoires et de financiers, mais d’un réseau tentaculaire d’acteurs politiques, financiers et industriels qui s’entrelacent dans une convergence d’intérêts privés, créant ainsi une architecture de domination invisible. Ce gouvernement mondial, non élu et largement opaque, a une seule finalité de maintenir les peuples sous contrôle, réduire à néant toute forme de souveraineté nationale et imposer un système de surveillance totale.
Les véritables maîtres de ce système ne sont ni la science ni l’éthique, mais la rentabilité, l’oppression et la volonté de rétablir un esclavage 2,0 pour succéder à l’esclavage antique (et au servage et au prolétariat du XIXè siècle). Et à la tête de ce cartel, se trouvent des figures comme Fauci, Obama, Clinton, Biden, Soros, Gates, Klaus Schwab, des hommes et des femmes de pouvoir qui, sous couvert de lutter contre les crises qu’ils créent de toutes pièces, mènent une guerre ouverte contre la liberté, et l’indépendance des peuples.
La pandémie de Covid-19 leur a servi de cheval de Troie et d’entrainement (après la « psy-op » du tabac!). Car sous le prétexte de protéger les populations d’un hypothétique danger, diffusé à haute dose par leurs médias de propagande, le monde entier a été verrouillé. Les économies ont été brisées, les libertés piétinées, et l’obéissance fut imposée par des pseudos «experts» juges et parties. Mais cette crise sanitaire n’était que l’introduction d’un plan machiavélique bien plus vaste. C’est ainsi que l’Ukraine, ce pays dévasté par la guerre et rongé par la corruption, s’est transformé en un laboratoire biologique secret, où des expériences dangereuses sur des pathogènes mortels se menaient à l’abri des regards internationaux. C’était le terrain de jeu idéal pour une manipulation à grande échelle.
Sous la présidence de Barack Obama, un projet de coopération sanitaire a été lancé en 2005 avec l’Ukraine. Ce que l’on a vendu comme un programme d’aide humanitaire dissimulait en réalité des objectifs bien plus sinistres où des millions de dollars ont été injectés dans des biolaboratoires qui n’étaient pas destinés à sauver des vies, mais à développer des armes biologiques. Un projet qui a pris une ampleur considérable sous la présidence de Joe Biden. À partir de là, Metabiota, une entreprise liée à la recherche biologique, a servi de tête de pont pour infiltrer des fonds et des projets secrets. Il est impossible de dissocier Hunter Biden, le fils de l’ancien président, de cette affaire. Bien que les médias subventionnés aient tenté de disqualifier ces révélations en les qualifiant de «conspirationnistes», des documents et des témoignages prouvent clairement des liens directs entre Biden et ces laboratoires ukrainiens.
Mais la question centrale demeure : pourquoi l’Ukraine, avec son manque de surveillance, ses infrastructures fragiles et ses nombreuses zones d’ombre, est-elle devenue un terrain d’expérimentation biologique privilégié ? La réponse est à chercher dans la combinaison de facteurs géopolitiques et scientifiques. L’Ukraine n’était pas seulement un champ de bataille stratégique, mais aussi un laboratoire potentiel pour des programmes de guerre biologique, en partie parce que les preuves pouvaient y être effacées plus facilement dans le chaos du conflit – notamment sous les bombes russes.
Dans ce contexte, certains observateurs avancent que si Vladimir Poutine a ordonné à ses troupes d’avancer à pied, et non de bombarder massivement certaines installations sensibles, ce n’était pas par faiblesse militaire ou stratégie conventionnelle, mais par souci d’éviter une catastrophe biologique potentielle. En effet, un bombardement aérien de laboratoires impliqués dans des recherches pathogènes aurait pu libérer dans l’atmosphère des agents biologiques dangereux, virus expérimentaux ou agents chimiques, provoquant ainsi une crise sanitaire incontrôlable non seulement pour les populations locales, mais aussi pour les régions frontalières, y compris en Russie.
Dans cette optique, l’avancée terrestre pouvait apparaître comme un choix tactique visant à «neutraliser» ces sites de manière plus maîtrisée, en réduisant le risque de dissémination accidentelle. Cette hypothèse, bien que controversée, offre une grille de lecture alternative aux stratégies militaires adoptées au début du conflit.
Sous la tutelle d’Hillary Clinton, la doctrine de la «recherche à double usage» a pris une place centrale dans les politiques de bio-défense des États-Unis. Derrière cette terminologie aux accents orwelliens se cachait une stratégie habile pour dissimuler des programmes de recherche militaire sur des pathogènes hautement dangereux sous couvert d’objectifs civils ou médicaux. En réalité, cette approche a ouvert la voie à la création d’agents pathogènes génétiquement modifiés, officiellement étudiés pour «mieux s’en prémunir», mais dont l’utilité militaire restait une priorité tacite.
Clinton, à travers son influence diplomatique et juridique, a contribué à institutionnaliser cette militarisation de la médecine, en fournissant un cadre légal et politique permettant de protéger ces projets contre toute forme de transparence ou de régulation internationale. Ce sont les grandes agences fédérales telles que la CIA, la DARPA, et même le FBI, qui ont été mobilisées pour superviser, financer et couvrir ces programmes sensibles, souvent situés hors du territoire américain, dans des pays plus vulnérables à l’opacité, comme l’Ukraine ou la Géorgie.
Anthony Fauci, figure emblématique de la technocratie sanitaire moderne, s’est imposé comme l’un des maîtres d’œuvre de la biopolitique contemporaine, non pas par altruisme scientifique, mais en orchestrant une stratégie à la croisée de la science, de l’industrie pharmaceutique et de la guerre biologique. Sous couvert de recherche pour la prévention des pandémies, Fauci a soutenu, voire dirigé, le financement de projets à haut risque, via des structures comme «EcoHealth Alliance», en transférant des millions de dollars à des laboratoires étrangers, notamment à Wuhan en Chine, pour y mener des expériences de «gain de fonction». Une technique visant à rendre des virus plus infectieux ou plus mortels, supposément pour en anticiper les mutations. Ces activités, financées en grande partie par le NIH et la DARPA, ont bénéficié d’un large soutien de l’appareil d’État, mais aussi de la complicité tacite des grands laboratoires privés, soucieux de breveter à l’avance les traitements des crises qu’ils contribuaient à rendre possibles.
Au-delà du débat scientifique, les méthodes employées dans ces recherches posent une véritable question éthique. Certaines expérimentations sur des animaux, voire sur des groupes humains vulnérables dans des pays pauvres, ont évoqué, pour certains observateurs, une forme de folie médicale digne d’un Joseph Mengele moderne, où le progrès scientifique justifie la transgression des limites morales. Sous la direction de Fauci, un système parallèle s’est consolidé en un réseau opaque mêlant intérêts privés, institutions de recherche, agences de renseignement, et multinationales pharmaceutiques, avec pour objectif non déclaré le contrôle biologique des populations et la monétisation des solutions vaccinales préfabriquées.
Le plus troublant reste que Fauci a su se maintenir au cœur de ce dispositif durant des décennies, tenant les rênes du financement public et transformant la peur sanitaire en levier d’enrichissement personnel et de pouvoir bureaucratique absolu. Sa longévité institutionnelle et son influence sur les politiques sanitaires mondiales témoignent moins d’un succès scientifique que de la solidité d’un système de loyautés croisées, où l’expérimentation humaine est devenue une variable d’ajustement géopolitique et la corruption son moteur.
Lorsque les choses ont commencé à déraper, c’est George Soros, l’homme derrière le rideau, qui est entré en scène avec une puissance financière colossale. Par le biais de ses fondations et d’un vaste réseau d’ONG, il a injecté des millions de dollars pour soutenir certains laboratoires, contrôler les médias, et réduire au silence toute voix dissidente. Aucune décision majeure, aucun mouvement significatif dans cette sphère de pouvoir n’échappait à son influence.
Fondé sur la surveillance généralisée, la restriction progressive des libertés individuelles, et la centralisation du pouvoir.
La CIA (Central Intelligence Agency) est depuis des décennies un acteur central dans la projection du pouvoir américain à l’étranger. Ses opérations vont de l’espionnage classique à la manipulation politique, en passant par le financement d’organisations tierces et l’orchestration de coups d’État ou de révolutions dites «colorées». Dans de nombreux cas, ces actions sont menées en étroite collaboration avec des alliés stratégiques, parmi lesquels Israël occupe une place spéciale.
Le Mossad, service de renseignement extérieur israélien, partage avec la CIA des intérêts géostratégiques communs, notamment dans la lutte contre les États perçus comme hostiles à l’ordre libéral (= au capitalisme) occidental. Cette coopération s’est renforcée au fil des décennies, en particulier autour de la surveillance technologique, de la cyberguerre (avec des programmes comme Stuxnet contre l’Iran), et de la manipulation de flux d’information (notamment via les réseaux sociaux et ONG). Ainsi, parler de connivence CIA/Mossad, c’est évoquer un axe de renseignement transnational structuré autour d’objectifs partagés que sont l’affaiblissement des États-nations indépendants, la promotion d’un ordre mondial centré sur les intérêts occidentaux (et israéliens), et le soutien à des organisations et figures alignées idéologiquement avec ces objectifs.
Lorsque des figures influentes comme George Soros ou Anthony Fauci sont liées à des réseaux de pouvoir globalistes, leur proximité idéologique et opérationnelle avec des acteurs comme la CIA les place, de facto, dans une dynamique convergente avec le Mossad. En effet, les intérêts s’alignent sous la bannière du progrès ou de l’humanitarisme, avec la déstabilisation des régimes souverainistes, l’implantation de structures de contrôle transnationales et le soutien à des réformes sociétales disruptives amenée par des ONG et des groupuscules fomentant des révolutions dites «de couleur». Il est clair que la connivence CIA/Mossad est moins une conspiration explicite qu’un alignement stratégique bien documenté, nourri par des décennies de coopération, d’intérêts communs et d’opérations coordonnées sur les plans technologique, politique, et idéologique.
Et puis il y a Bill Gates, l’homme derrière la Bill & Melinda Gates Foundation, qui représente l’un des principaux architectes de ce système d’ingénierie sociale sanitaire. Bien plus qu’un simple investisseur, Gates est devenu l’architecte d’un monde où la santé publique mondiale est utilisée comme instrument de contrôle. La fondation de Gates a permis non seulement de redistribuer des milliards de dollars à des entreprises pharmaceutiques, mais aussi de définir les priorités sanitaires mondiales.
Le rôle central de Gates dans la pandémie de COVID-19 est indéniable. En tant qu’investisseur majeur dans des entreprises comme Moderna, AstraZeneca, et Pfizer, il a non seulement financé la recherche sur les vaccins, mais a aussi manipulé les politiques publiques pour imposer des stratégies de vaccination mondiale, et ce, sans transparence, sans preuve évidente de l’efficacité et de la sécurité des produits. Mais l’objectif de Gates dépasse largement celui de la simple philanthropie puisqu’il manipule l’économie mondiale de la santé, et ses partenariats avec l’OMS lui ont permis de piloter des politiques de santé publique globales, imposant des choix sanitaires controversés à travers le monde. Et son influence dépasse la simple recherche médicale, puisqu’il est à l’origine de technologies de surveillance numérique, telles que les Pass’ sanitaires et les vaccins numériques, permettant un contrôle social mondial et la traçabilité totale des citoyens. À travers des systèmes de géolocalisation sous cutanée et de crypto monnaie (Le brevet WO 2020/060606 A1 n’a officiellement aucun lien avec les vaccins ou le nouveau coronavirus, pourtant il concerne un système de production de cryptomonnaie qui utilise des données d’activité corporelle, et c’est une solution injectable sous cutanée !) et de crédit social, Gates œuvre à la création d’un monde où chaque action est traçable, chaque individu réduit à une simple donnée, et chaque mouvement est soumis à un contrôle numérique totalitaire.
Il est non seulement parfaitement légitime, mais nécessaire, d’examiner avec rigueur et audace les dérives d’un système qui, sous prétexte de santé publique, manipule les crises sanitaires à des fins politiques et économiques. Cette analyse doit se porter sur les dérives autoritaires déguisées en mesures d’urgence, la mise en place de régimes exceptionnels qui suppriment les droits fondamentaux au nom de la sécurité. Il est crucial de questionner les conflits d’intérêts qui jalonnent la gestion mondiale des pandémies, où l’indépendance des institutions de santé publique est souvent mise en péril par des acteurs privés, puissants et influents. Enfin, l’érosion insidieuse des libertés individuelles, sous couvert de prévention sanitaire, ne peut être ignorée car elle représente une menace directe à la démocratie, à la souveraineté des peuples et dorénavant à la vie elle-même. Critiquer ces abus, c’est refuser de céder à la manipulation et revendiquer la préservation de notre autonomie collective.
Ce cartel médico-politique ne s’effondrera pas sous le poids de ses propres mensonges, mais il prospère uniquement grâce à notre passivité. Il ne tombera pas tant que nous le regardons faire, les bras croisés, hypnotisés par ses discours sirupeux et ses fausses promesses de salut. Il doit être dénoncé, nommé, démantelé, sans détour, sans filtre. Il ne s’agit plus de simples erreurs. Ce sont des actes délibérés, calculés, méthodiques. Nous n’avons pas été «protégés», nous avons été soumis, dressés comme du bétail numérique. Chaque mesure imposée, chaque liberté arrachée, chaque vérité étouffée n’est pas une bavure, c’est une stratégie. Le masque est tombé, montrant que ce n’est pas la santé qu’ils veulent sauver, c’est le contrôle qu’ils veulent imposer. Et si nous continuons à attendre, à espérer un retour à la normale dicté par ceux-là mêmes qui ont fabriqué la crise, alors nous mériterons notre servitude. Car ce n’est plus une crise sanitaire, c’est un coup d’État global, rampant, technologique, cynique.
La seule réponse à cette imposture est la révolte. Non pas une révolte aveugle, mais une insurrection de conscience, massive, déterminée, inflexible. La désobéissance n’est plus une option, elle est un devoir. Reprendre le pouvoir, c’est refuser leur amerloquisation de la langue française, désobéir à leurs injonctions, dénoncer leurs réseaux. Ils ont transformé le monde en laboratoire. À nous de le reconquérir, mètre par mètre, idée par idée, vérité par vérité. Leur empire ne tombera pas par fatigue, il tombera quand nous cesserons d’avoir peur !
Et ce jour-là, ce ne sera pas seulement leur système qui s’effondrera, mais l’humanité qui se libérera…
source : Blog de l’éveillé
commentaire :
Nounours :Oui, l’analyse est claire. Nous devons nous séparer de nos dirigeants qui ont sévi depuis les années 60 et d’autres avant.
Nous devons les mettre en prison d’une manière ou d’une autre.
Dans tous les cas, nous devrons démanteler les structures comme Blackrock, Vanguard, Amundi… pour supprimer leur influence et arrêter leurs dirigeants.
Nous devrons aussi mettre fin à la double nationalité. Lorsqu’elle a été mise en place , je savais qu’elle serait détournée de l’idée de base.
De nombreuses lois taillées pour le mondialisme devront être éradiquer.
Nous devrons aussi garder l’argent fiduciaire.
02/09/2025
On ne voit plus jamais d’enfants courir dans les rues. C’est un très mauvais signe.
Avant partout il y avait des enfants qui couraient ; maintenant on n’en voit plus un seul !
ça fait vraiment sinistre et surréaliste.
(Quand aux adultes ils ne savent plus courir, ils se traînent, lourdement ! c’est fou, on les voit partout - eux ! - mimer rituellement des gestes de course en guise de récitation du rosaire (oui, c'est idéologiquement et socialement ce qui tient lieu de nos jours du rosaire des temps catholiques), mais c’est lamentable.)
Maintenant les enfants sont déjà éteints, il n’y en a plus un seul qui courre (c’est un signe ! un enfant ça court plus naturellement que ça ne marche, pour qu’on soit arrivé à les « dresser » à ce point c’est qu’ils sont vachement matés et détruits )
C’est frappant, avant les enfants étaient frais, animés et espiègles, maintenant les rares, très très rares, "presque pas du tout" comme disait Marcel Amont, enfants qu’on voit encore parfois ont l’air tout soumis et ratatinés
( c'est pas comme à Cuba https://www.legrandsoir.info/un-regard-sur-le-modele-cuba... )
autre problème : on ne voit presque plus jamais (sauf dans le Tiers-Monde) de mère portant son enfant à bras ! C’est lamentable et un symptôme inquiétant.
On ne voit plus non plus d’enfants se tenant par la main, alors qu’avant c’était presque la règle, là aussi c’est un mauvais symptôme.
et comme j'ai déjà et déjà dit et redit, retrouver "un peu d'bon sens" dans ce marécage :
https://ru-clip.net/video/ghEkDQcu5Yo/dieudonn-eacute-gil...
3/9/2021 Déjà depuis plusieurs décennies on avait supprimé les églises, les gares, les hôtels, les commerces, fait mourir les cafés. Maintenant tout est disparu et interdit, il ne reste plus rien, les villes ne sont plus que de vastes camps de concentration et des cimetières sous les éclairages urbains et les caméras de vidéosurveillance.
voilà comment étaient les villes autrefois, vous voyez combien la civilisation humaine a perdu ....
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30/08/2025
vive Abdel Zahiri !
26/08/2025
dictature totalitaire du grand capital
En France, la formation médicale continue est obligatoire avec une menace de sanction par le conseil de l’ordre des médecins. Cette formation médicale continue obligatoire est dispensée par des agences privées poreuses à la pression de l’industrie pharmaceutique, ne serait-ce que par le capital. L’obligation de formation médicale continue comporte des « objectifs prioritaires » définis par l’État. Par ces objectifs prioritaires obligatoires, l’État s’immisce dans le savoir médical. Il pervertit la science médicale par la corruption politique, la réduisant à l’état de scientisme. En ce qui concerne la psychiatrie, on a vu ce que la politisation de la psychiatrie a donné en URSS : la psychiatrisation de la dissidence. En France aujourd’hui ça devient pareil toute dissidence est maltraitée de toutes les façon : ostracisme, criminalisation, censure. Le pas à franchir pour envoyer les dissidents à l’asile ne sera pas long.
14/08/2025
prison pour les dissidents - comme en URSS
Lorsque j’écrivais mon livre «Les 100 plus grands Anglais et les plus grandes Anglaises», j’ai d’abord été étonné par le nombre de personnes exceptionnelles qui ont passé au moins une partie de leur vie en prison.
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