Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/02/2022

la menace ultime

(par Ivo Sasek)

Je suis Ivo Sasek,  et si ce que vous allez entendre ne se produit pas exactement de cette manière, comme je vais le dire maintenant, alors on peut me traiter de faux prophète. J'esquisse ici encore une fois sans ambiguïté la destination vers laquelle toute cette pandémie de Covid veut nous pousser. Enfin, il ne faut pas oublier de proposer une issue réalisable.

Mais passons directement au point essentiel : quelles sont les instructions que l'on nous martèle depuis des mois dans presque tous les grands magasins d'alimentation ? « Payez sans contact ». Oui, c'est ça : "Payez sans contact". Je l'entends tout le temps. Et les médias, ces infatigables porte-parole de quelque mystérieux commanditaire, évoquent l'utilisation de l'application "Contact-Tracing". Bien sûr, tout cela en anglais dans l'espace germanophone (et dans l'espace francophone pareil ! et en Italie j'te dis pas !!). En d'autres termes, nous devons nous rendre de plus en plus traçables partout et à tout moment. Oui, j'ai délibérément choisi ce terme de "traçable", car son ambiguïté nous met déjà dans l'ambiance de la thématique centrale dont il est question ici. Vous savez, la destination de la plandémie n'est pas seulement la surveillance totale, mais plutôt le main-mise totale, la domination totale de chaque citoyen de la Terre ! Tant que c'est possible, ils veulent atteindre cet objectif au moyen du Covid. La santé à tout prix, telle est la devise politique. Les privations de liberté imposées par les confinements ne peuvent déjà plus être rachetées que par le biais d'indulgences de toutes sortes – et le commerce de milliers de milliards de dollars est florissant : tout a commencé avec le commerce des indulgences des masques, bien que les experts qui ont donné le ton aient ouvertement souligné au préalable que les masques n'apportaient absolument rien ; cette constatation a toutefois fourni le prétexte idéal pour pouvoir imposer les premiers pas vers la surveillance totale souhaitée du monde entier. Vous comprenez cela ? Cette démarche forcée s'est bien sûr accompagnée depuis d'un commerce toujours plus florissant d'indulgences d'autotest, d'indulgences de tests PCR, puis d'indulgences de vaccins, d'indulgences de passes sanitaires, etc.

Mais que ce soit clair : ce ne sera jamais la liberté promise que vous achèterez avec toutes ces indulgences mentionnées et à venir. Vous achetez ainsi uniquement votre état d'esclave total.

Et chaque jour, dans les magasins, vous entendez dans les haut-parleurs la manière dont vous achetez votre esclavage : Payez sans contact ! Ecoutez comme ils disent ça : « Payez sans contact ! » « Payez sans contact ! » Bien avant le Covid, d'innombrables lanceurs d'alerte avaient déjà révélé comment la suppression de l'argent liquide constituait une base stratégique pour les dirigeants mondiaux auto-proclamés. À ce moment-là, nous ne savions encore rien sur le Covid. Malgré cela, même la plupart des médecins de ce monde essaient d'acheter leur liberté par le biais du commerce des indulgences de certificats et des indulgences de vaccins.

Ecoutez-moi, vous tous les médecins qui faites de telles choses : Vous savez très bien qu'avec le Covid, on a jeté aux orties tout, mais vraiment tout ce que vous avez appris sur le sujet dans vos universités. Mais au lieu de vous unir et de vous lever contre ce scandale pour défendre votre savoir chèrement acquis, vous vous taisez, tout simplement ! Et je vais vous dire pourquoi : par pure peur de perdre vos droits d’exercer. Et ce faisant, vous soutenez le plan directeur qui se cache derrière toute cette propagande épidémique et cette terreur des peuples – et vous suivez même l'ordre stratégique du paiement sans contact.

"le fascisme n'est pas imposé par les fascistes, i!!ls ne seraient pas assez nombreux, le fascisme estimposé par ceux qui obeissent au fascisme !" (qu'on se le dise ! et qu'onen tire les conclusions, en particulier que les plus coupables - et les plus méprisables - sont justement ceux-ci !!

Alors que si vous mainteniez fermement et proclamiez haut et fort vos premières leçons de pathologie, de virologie, de biologie ou de quoi que ce soit d'autre, cela pourrait conduire à la mise en échec immédiate de cette stratégie sans argent liquide. Mais même toute personne ayant reçu une formation moyenne dans les domaines de l'anatomie médicale devrait encore avoir en tête ces connaissances de base empiriquement prouvées. Toute infirmière ou par exemple toute sage-femme a appris lors de sa formation de base que les virus ne peuvent pas subsister tout seuls mais qu’ils ont besoin d'un hôte vivant. Alors comment les virus pourraient-ils survivre sur de la matière morte comme des billets de banque ?!!! Mais venons-en maintenant au point le plus important : la suppression de l'argent liquide rendra chaque citoyen de la Terre vulnérable au chantage jusqu'au bout. Réfléchissez bien à ce que je vais dire ! Les extorsions actuelles ne sont qu'un petit avant-goût de ce qui se passera lorsque nous perdrons l'argent liquide. Ça c'est mon pronostic ! Déjà maintenant, tous ceux qui ne se conforment pas exactement aux diktats sanitaires sont exclus de toutes sortes de commerces, de divertissements, de locaux, de services, de professions, etc. Le rachat de libertés partielles ne peut se faire que par des soumissions ainsi forcées. Une fois l'argent liquide supprimé, les mêmes dictateurs bloqueront les comptes des personnes peu dociles jusqu'à ce qu'elles fassent exactement ce qu'ils veulent. Vous comprenez ? Et, voyez-vous, c'est là que les choses deviennent vraiment difficiles pour nous tous. Aujourd'hui déjà, ces despotes forcent les gens à participer à leur « expérience de vaccination ». Malgré les mises en garde de milliers de spécialistes éminents, qui les avertissent qu'il s'agit de « faux vaccins » dangereux. Ces gens s'en fichent totalement. Reconnaissez donc que les hommes qui tiennent actuellement les leviers de commande du monde ne peuvent en aucun cas être issus du véritable système de santé. Ils viennent des âmes extrêmement morbides du complexe financier numérique mondial ou, comme l'a prouvé le nouveau chancelier allemand, ils sont au moins mêlés aux cercles financiers les plus influents. Mais les leviers de la domination mondiale sont également détenus par les parties corrompues de Big Pharma et leurs associés, par diverses sociétés secrètes de haut niveau et leurs vassaux souvent ignorants, etc. On en a déjà souvent parlé. Leurs véritables intérêts résident uniquement dans l'assouvissement de leurs désirs de pouvoir anormaux, qu'ils souhaitent pousser à l'extrême sur la voie de l'hyper-maximisation des profits, jusqu'à la domination ultime du monde. Et l'humanité arrivera à cette destination, à moins que nous n'arrêtions enfin cette guerre hybride ! Mais si la communauté mondiale ne met pas un terme à cette évolution anormale par une décision mondiale claire ou par des décisions mondiales, ces dirigeants malades de l'argent numérique ne tarderont pas à émettre des décrets qui nous semblent aujourd'hui encore totalement impensables. Alors rien de plus abject, de plus malsain ou de plus pervers ne sera impossible. Je vous le garantis ! Et que personne ne dise que je ne fais que fantasmer. Rappelez-vous la phrase que j'ai dite au début. Si tout ne va pas dans cette direction, avec ou sans le Covid, je serai un faux prophète. Le Covid n'est qu'un des nombreux fléaux qui nous poussent vers le but ultime que je viens d'évoquer. Aujourd'hui déjà, ces fous, je ne peux pas les appeler autrement, nous obligent à commettre les actes les plus insensés, tu le sais de par ta propre expérience, et nous en avons expliqué des centaines dans nos émissions kla.tv ; mais demain, ces mêmes manipulateurs te couperont les vivres au moindre refus d'obéissance. Ce qui est malheureusement inconcevable pour la plupart des gens de ce monde, c'est le fait que ces maîtres de la contrainte exigeront toutes les perversions encore impensables aujourd'hui. N'oubliez pas à quel point il aurait été impensable, il y a vingt ans encore, que la théorie du genre fasse partie du programme politique mondial, ou que rien qu'en Allemagne, des centaines de milliers d'enfants soient arrachés à leurs parents chaque année, ou que le monde entier soit réduit à la plus stricte nécessité s'il ne se soumet pas à une expérience de vaccination massivement contestée, etc. Et pourtant, toutes ces choses et bien d'autres sont devenues des évidences depuis longtemps. Mais dès que l'argent liquide sera supprimé, tu pourras rapidement subir des prélèvements automatiques, voire des blocages de compte, pour tout écart par rapport au « politiquement correct » à venir. Je dis cela en tant que personne à qui les élites financières dénient depuis de nombreuses années, sans explication, toute solvabilité, bien que je n'aie jamais rien eu à me reprocher. Mais revenons à notre situation : il se pourrait aussi que les dirigeants mondiaux qui viennent d'apparaître trouvent bientôt préférable que tu te fasses vacciner encore plus, puis tester à nouveau, pour protéger la collectivité ; tu comprends ? Ou alors que tu cèdes tes enfants ou ton amour aux dirigeants pour le bien de l'État, sinon ton argent sera bloqué. Suis bien ce que je suis en train de dire. nous ne nous rendons même pas compte qu’actuellement, toutes les coutumes inhumaines et le commerce des indulgences sont en train d'être décuplés. Souvenez-vous des vieilles personnes assassinées au Rivotril !! Pensez au génocide des trisomiques actuellement ! ou à l'Aktion T4 dans l'Allemagne nazie en 1939. Les maîtres de l'argent numérique pourraient aussi trouver tout à coup plus utile que tu travailles sans protection social dans le cadre de l'uberisation générale, "pour mieux t'intégrer" en fait pour accroitre les profits du grand capital, sinon ton argent sera bloqué ! Vous comprenez de quoi je parle ? Ou que tu ne n'aie pas d'enfants afin de te protéger. On peut tout décider pour toi, sinon ton argent sera bloqué !

ils pourraient aussi bien décider que si tes enfants jouent ils seront enlevés par la DDASS et mis dans des orphelinats et ton argent sera bloqué

petite fille sautant à la corde dans la rue Lester Talkington .jpg

Chacun peut continuer cette énumération à sa guise. Et, croyez-le bien, quoi que vous imaginiez d'impossible, ça pourrait toujours être pire. C'est ce que j'affirme avec conviction à ce stade ! Mais cela ne se produira que si la communauté mondiale n'entreprend pas très rapidement des démarches communes et ne prend pas de décisions à caractère obligatoire. Je ne peux pas inclure dans cette partie la question de savoir par quels moyens et sous quelle bannière ces décisions mondiales sont prises. Que chacun se saisisse de ce qu'il peut. Que chacun agisse selon ses talents. Pour conclure, je vais juste esquisser trois des décisions mondiales les plus importantes parmi toutes celles que nous devrions prendre. Le premier point est le plus urgent : 1. Prenons la décision mondiale de ne plus tirer aucun profit des crises, épidémies, pandémies, catastrophes et autres. Vous avez bien compris ? Cette décision mondiale de temps de crise doit s'appliquer aussi bien aux individus qu'à tous les types d'entreprises qui profitent de la crise, comme les banques, les entreprises pharmaceutiques, les assurances, les spéculateurs de toutes sortes, les associations, les gouvernements, les organisations caritatives, etc. Il est désormais inacceptable qu'une seule et même crise provoque d'un côté d'innombrables victimes tandis que de l'autre, une quantité vraiment infime de profiteurs cupides s'enrichissent sans mesure grâce à ces victimes. Ce n'est tout simplement pas possible. Ce premier point me semble donc, comme je l'ai dit, le plus urgent et le plus nécessaire, c'est la décision mondiale. 2. Une deuxième décision mondiale doit être la préservation absolue de notre argent liquide pour les raisons susmentionnées et bien d'autres encore. Paye autant que tu le peux en espèces et témoigne partout que l'argent liquide est synonyme de liberté. 3. Une troisième décision mondiale doit être prise pour y parvenir – il doit donc également y avoir une décision mondiale qui exige l'arrêt inconditionnel de la production de toute technologie de surveillance numérique. Avant tout, il faut empêcher et interdire la technologie 5G qui sert à cela. Elle est de toute façon extrêmement dangereuse pour notre santé, tout comme les générations précédentes d’ondes électromagnétiques.

Enfin, il faut refuser à tous les médias à redevances obligatoires le droit d'être payés tant qu'ils refusent, comme ils le font depuis longtemps, de publier les contre-arguments et censurent les voix alternatives importantes de la vérité. Une fois de plus, il ne s'agit que de la pointe de l'iceberg. Je qualifierais la première décision mondiale – c'est-à-dire l'interdiction absolue de « tirer du profit de la crise » – d’obligatoire et les trois autres sont des options possibles. Encore un pronostic pour la fin : la prétendue pandémie se terminera du jour au lendemain si personne ne peut plus en tirer profit. Toute crise provoquée par les hommes se terminera exactement de la même façon. S'il vous plaît, diffusez si possible ces avertissements et ces appels sur vos canaux. Informez constamment ceux qui ne sont pas encore au courant.

Prenez les choses en main et connectez-vous avec les personnes activement réveillées, partout où c’est possible et avec qui c'est possible. Je m'appelle Ivo Sasek, vous connaissez la suite...

 

de is.

Sources / Liens : Viren brauchen zum Überleben und zur Vermehrung einen Wirt: Mensch – Körper – Krankheit, Renate Juch & Klaus D. Jürgens (Hrsg.), S. 269 ( 6. Auflage) Jus primae noctis: https://de.wikipedia.org/wiki/Ius_primae_noctis

Sans compte bancaire, c’est la mort sociale et économique. Après s’être rendues incontournables pour mener une vie normale, les banques jettent donc le masque. Elles sont désormais un rouage majeur de la dérive autoritaire de l’Occident.

26/01/2022

Khider Mesloub - redonner leur vrai sens aux mots

Au lendemain de l’effondrement du Mur de Berlin, de l’écroulement du glacis soviétique, le système capitaliste occidental nous promettait le début d’une ère nouvelle emplie de paix et de prospérité. En fait de paix, le monde fut aussitôt ravitaillé par de « prospères » phases de guerres sanglantes et exterminatrices. D’abord, en Irak, ensuite en Yougoslavie, puis au Rwanda, en Afghanistan, en Syrie, en Libye, au Sahel… Enfin, sur toute la planète, notamment par l’explosion du terrorisme structurelle abondamment instrumentalisée par les puissances impérialistes.
Parallèlement à l’ensevelissement du monde soviétique, l’univers bourgeois mondial avait procédé joyeusement à l’enterrement de la lutte de classe, cette anomalie sociale générée, selon les puissants, par la morbide société stalinienne russe contaminée par le virus bolchévique. L’humanité était déclarée enfin guérie de cette pathologie sociale éminemment létale. L’humanité était enfin réunie dans une symbiotique fraternité d’où les conflits sociaux seraient désormais bannis, la question sociale un lointain problème politique. C’était, communiait-on en chœur, La fin de l’histoire, conceptualisée naïvement par le fasciste Francis Fukuyama. Selon les thuriféraires du capital, la «mort du communisme stalinien» allait inaugurer l’ère indépassable de l’horizon du capitalisme triomphant… voyez ce qu’il en est à présent!
La lutte de classes était désormais considérée comme ringarde. Désuète. Une anomalie sociale. La maladie infantile d’un prolétariat enfantin et immature, longtemps en proie à une crise d’adolescence politique marquée par des rébellions stériles contre l’autorité des patrons et des gouvernants. De par le triomphe planétaire du capitalisme, la lutte de classe était devenue une espèce d’expression militante en voie de disparition.
« La lutte des classes est terminée… Les riches l’ont gagnée », titrait un journal économiste français, pastichant Warren Buffet, milliardaire américain. En effet, ce dernier avait déclaré dans une interview accordée à l’époque au New York Times « Il y a une guerre des classes, c’est un fait. Mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la remporter. » Voyez plutôt : Les médias menteurs font l’impasse sur la Résistance populaire…et pourtant ils résistent (Rotterdam-Guadeloupe-
Bien évidemment, ce n’était que le rêve fugace et superstitieux des classes dominantes jamais à cours d’imagination pour élaborer des scénarios visant à s’assurer de leur éternité. (Hitler, après avoir brisé la classe ouvrière allemande et neutralisé despotiquement la lutte des classes – comme tente de le concrétiser actuellement le grand capital financier par sa dictature sanitaro-sécuritaire, mais en réalité la bourgeoisie mondialisée contemporaine s’est tirée une balle dans le pied avec sa tentative de coup d’État international : elle a réveillé la vieille Taupe –, croyait fermement que son Reich durerait 1000 ans : « Mon empire vivra mille ans ! », déclarait-il sans discontinuer. Au final, son Empire aura duré 12 ans. Au reste, depuis quelques semaines, nous assistons à la énième réactivation du narratif (anglicisme ! encore !) discours Covidal induisant les mesures liberticides et les confinements, auquel les puissants – avec l’appui de l’OMS – viennent d’adjoindre l’invention d’un nouveau variant
La classe ouvrière et le prolétariat dans la crise
Au cours de cette période de libéralisme débridé impulsé dès les années 1980, la classe ouvrière, idéologiquement désorientée et politiquement affaiblie (par la gauche et la droite de concert), était totalement écrasée par la domination sans vergogne de la classe capitaliste mondialisée arrogante, enivrée de triomphalisme. Étranglée par la corde du chômage enserrée constamment autour de son cou social pour mieux la ligoter et la soumettre aux diktats du capital, la classe laborieuse subissait dans le silence la dégradation de ses conditions de vie et de travail, avec la complicité criminelle des syndicats, ces suppôts du patronat.
Dans de nombreux pays, plusieurs décennies durant, le peuple opprimé se résigna à endurer les attaques antisociales infligées par le grand capital, subir les plans de licenciement, les fermetures d’entreprises, la baisse de son pouvoir d’achat, la dégradation générale des services publics destinés aux ouvriers et au petit peuple tétanisé.
Puis, le mouvement des Gilets Jaunes surgit des entrailles du capital pour démentir les mensonges éhontés sur la mort de la lutte de classe. Ce mouvement s’apparentait à un sursaut de recouvrement de dignité de la classe laborieuse longtemps piétinée, à un rejet catégorique de la perpétuation de sa condition sociale misérable.  Trois ans plus tard le gouvernement français bataille pour contenir les manifestations des Gilets jaunes – les 7 du quebec
Sans conteste, la taxe sur le carburant fut la goutte d’essence qui mit en branle le moteur de la révolte sociale en France. De fait, l’instauration de la taxe sur le carburant, cette attaque supplémentaire contre les conditions de vie du prolétariat, constitua l’élément déclencheur du mouvement des Gilets Jaunes. AUTOPSIE DU MOUVEMENT DES GILETS JAUNES – AUTOPSY OF YELLOW VESTS – les 7 du quebec
Démarré sur les chapeaux de roues, le mouvement prit de vitesse les classes dirigeantes françaises depuis longtemps habituées à écraser en toute impunité le peuple, mais également les vulgaires observateurs médiatiques, le nez à tel point enfoncé dans le guidon de leurs mesquines analyses sociétales qu’ils ne pouvaient pas apercevoir le resurgissement de la Question sociale et ouvrière (la mère de toutes les questions historiques sous le capitalisme), débouchant de la grande autoroute de la lutte des classes longtemps déclarée définitivement fermée à la circulation de l’histoire. Cette embardée sociale subversive causa une onde de choc parmi les élites françaises, prises de panique devant la propagation fulgurante incontrôlée du mouvement des Gilets jaunes, essaimant dans l’ensemble du pays, bloquant les axes routiers, occupant les ronds-points…dans un mouvement de résistance innovant.
Les Gilets jaunes innovent en terme de tactique de lutte
La singularité de ce mouvement résulta de sa spontanéité. En effet, le mouvement s’ébranla de manière aussi impromptue qu’inorganisée, par-delà les appareils traditionnels d’encadrement politique et syndical.
Le rejet de ces instances institutionnelles officielles inféodées au pouvoir, soumises au capital, constitua la pierre angulaire de ce mouvement original en rupture avec les modes de luttes classiques (usine par usine ou secteur industriel par secteur industriel). Sa caractéristique remarquable fut sa méfiance viscérale envers tous les représentants des organisations politiques et centrales syndicales, ces mandarins enfermés dans leur tour d’ivoire bourgeoise hissée au-dessus du territoire familier du peuple et du prolétariat.
Plus significativement, au cours de leurs luttes, par l’occupation des ronds-points, les membres du mouvement découvrirent de nouveaux rapports de solidarité tout en bloquant l’activité économique source de profits capitalistes. Spontanément, au cours de leurs rassemblements hebdomadaires et l’occupation quotidiennes des ronds-points de circulation du capital, ils tissèrent de véritables liens de fraternité fondés sur leur souffrance sociale commune, l’appartenance sociale (de classe) commune. Fondés sur la même aspiration humaine de changer leur existence  d’exploitation et leurs conditions de vie d’aliénés. Sur la même volonté d’instaurer une «démocratie authentique, directe, horizontale, prolétarienne», appuyée sur des représentants élus et révocables en tout temps – des représentants qui ne soient que des porte-paroles et non des délégués accrédités ou habilités à décider seuls. Sur l’impérieuse urgence de transformer fondamentalement le système économique, d’abolir les inégalités sociales, et donc la superstructure sociale capitaliste faussement démocratique.  Au demeurant, par la diversité de ses membres, composés de catégories socioprofessionnelles hétérogènes, ce mouvement manifestait également sa spécificité. Il n’en demeure pas moins que ce mouvement était composé majoritairement de « travailleurs pauvres », animés par la même « haine des riches » et de l’élite méprisable. Ce que nous avons rapporté dans ce volume synthétique :  AUTOPSIE DU MOUVEMENT DES GILETS JAUNES – AUTOPSY OF YELLOW VESTS – les 7 du quebec    https://les7duquebec.net/
Pareillement, politiquement, ce mouvement populaire exprimait une tendance singulière. Quoiqu’en rupture avec les catégories de pensée classiques, il semblait réunir une palette hétéroclite d’obédiences politiques exprimées de façon diffuse, confuse, incohérente. Quoi qu’il en soit, la solidarité du mouvement demeura longtemps intacte. Selon les sondages publiés par les médias menteurs  à l’époque des mobilisations massives des Gilets jaunes, près des deux-tiers de la population soutenaient le mouvement. Dans tout mouvement de lutte, la violence accompagne inéluctablement la révolte sociale. jusqu’à l’éruption du mouvement des Gilets jaunes, le capital assenait que la lutte de classes était révolue, la Question sociale résolue. Puis, par le relèvement de sa combativité, la remise à l’ordre du jour de la lutte des classes, le mouvement des Gilets jaunes impulsa un souffle salvateur à la vie sociale et politique, aussi bien en France que dans d’autres pays, enflammés par l’aube du Grand Soir, le Crépuscule du petit matin du capital… fumisterie dont nous prolétaires devons nous méfier. La Révolution prolétarienne sera extrêmement longue et compliquée comme le démontre la Révolte des Gilets jaunes et la Résistance à la terreur pandémique qui en est la suite. Les médias menteurs font l’impasse sur la Résistance populaire…et pourtant ils résistent (Rotterdam-Guadeloupe-.  La terreur pandémique non terminée que sans attendre, le Grand capital nous annonce déjà son prochain terrain d’attaque contre notre classe sociale, la supposée « urgence climatique et la transition énergétique » (sic) Le spectacle éphémère de la COP26 étant terminé, voici la facture salée! – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/ De toute évidence, ce mouvement original imprévu bouscula les schémas habituels d’analyse des luttes. Il avait entraîné les révolutionnaires à revoir certains paradigmes. Incontestablement, il avait ouvert des perspectives de combats internationaux. Surtout, il avait bouleversé les interprétations classiques sur les mouvements sociaux pollués par le prisme du stalinisme et du gauchisme. Nul doute, depuis le surgissement du mouvement des Gilets jaunes, la lutte de classe ne serpente plus les minuscules cours sinueux balisés par le capital. Elle est sortie de son lit assoupi pour sillonner librement les voies fluviales torrentielles de la lutte sociale spontanée tempêtueusement déchaînée. Aucune digue politique traditionnelle ne peut plus contenir sa fougueuse force subversive et insurrectionnelle.  De fait, portée par une nouvelle génération de travailleurs pauvres tumultueux, la lutte de classe est sur le point de submerger l’ancien monde. Le nouveau peuple travailleur s’apprête à engloutir définitivement le capital déjà en plein naufrage. Une chose est sûre : avec le mouvement des Gilets jaunes, les peuples opprimés ont appris que la révolution ne sera pas l’œuvre des seuls “ouvriers”, mais également de l’ensemble des salariés et des catégories sociales exploitées par le grand capital, ses flics et ses Séides. Contrairement à la conception répandue par le gauchisme adepte de la transplantation de la conscience de classe par des révolutionnaires professionnels dans la classe ouvrière réputée par essence ignorante, la transformation sociale révolutionnaire ne triomphera que par la participation de la majorité laborieuse du peuple (femmes, hommes, jeunes, travailleurs, chômeurs, étudiants, retraités, petits entrepreneurs prolétarisés.
« L’émancipation des travailleurs ne pourra être l’oeuvre que des travailleurs eux-mêmes » (Karl Marx)
Comme l’avait écrit Lénine en 1916 : « Quiconque attend une révolution sociale « pure » ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution. (…) La révolution socialiste (en Europe) ne peut pas être autre chose que l’explosion de la lutte de masse des opprimés et mécontents de toute espèce. Des éléments de la petite bourgeoisie et des ouvriers arriérés y participeront inévitablement : sans cette participation, la lutte de masse n’est pas possible, aucune révolution n’est possible. Et, tout aussi inévitablement, ils apporteront au mouvement leurs préjugés, leurs fantaisies réactionnaires, leurs faiblesses et leurs erreurs. Mais objectivement, ils s’attaqueront au capital, et l’avant-garde consciente de la révolution, le prolétariat avancé, qui exprimera cette vérité objective d’une lutte de masse disparate, discordante, bigarrée, à première vue sans unité, pourra l’unir et l’orienter, conquérir le pouvoir, s’emparer des banques, exproprier les trusts haïs de tous (bien que pour des raisons différentes !) et réaliser d’autres mesures dictatoriales dont l’ensemble aura pour résultat le renversement de la bourgeoisie et la victoire du socialisme.». Assurément, le mouvement des Gilets jaunes, structure embryonnaire et hétéroclite, demeure encore à l’état infantile sur le plan politique. Certes, c’est encore un nouveau-né enfanté dans la douleur par les contradictions de classes, les injustices sociales criantes et intolérables infligées par le capital. Mais, par sa force exceptionnelle, avec promptitude, il a su faire preuve d’une croissance combative prodigieuse. Après seulement quelques mois d’existence, il a acquis de la maturité. De la combativité. De la popularité. Du haut de ses quelques mois d’âge subversif, il a su faire pousser des cheveux blancs aux classes possédantes françaises, entrevoyant leur mort dans l’œil brillant de jeunesse de ce « peuple jaune » emmailloté symboliquement du drapeau rouge des Communards ; donner du fil à retordre au gouvernement Macron saisi de frayeur devant la fraîcheur insurrectionnelle de ce mouvement juvénile doté d’une énergie militante vigoureuse ; faire couler des sueurs froides aux forces de l’ordre depuis longtemps assurées de leur supériorité répressive exercée en toute impunité. Le mouvement des Gilets jaunes force le respect. À son évocation, on se remémore instantanément ses milliers de martyrs : manifestants bousculés, bastonnés, blessés, éborgnés, assassinés, embastillés. De même, il aura marqué l’Histoire. Y compris la linguistique, puisque désormais on parle de giletjaunisation d’un mouvement de lutte (des esprits) pour souligner sa radicalité, spécifier sa dimension subversive et insurrectionnelle. Résultats de recherche pour « gilet jaune » – les 7 du quebec https://les7duquebec.net/?s=   Aujourd’hui, depuis l’éruption du vaillant mouvement des Gilets jaunes, partout dans le monde, la peur a changé de camp. Le nouveau camp de la peur tremble sur ses bases vermoulues. La peur règne dans les palais présidentiels en proie à une fièvre obsidionale. La faiblesse a envahi le pouvoir, désormais gouvernant par la seule force. Dans le même temps, le pouvoir de la force s’est également emparé du peuple. Il ne demeure au peuple qu’à s’emparer de la force du pouvoir pour abolir définitivement la gouvernance par la force imposée par la minoritaire classe dominante, restituant au majoritaire peuple spolié la force de sa gouvernance.

Khider Mesloub

l'analyse la plus approfondie sur les méthodes du Grand Capital pour implémenter sa stratégie d'ensemble par la manipulation mentale, la corruption le chantage etc

 

20/01/2022

ce qu'est devenu l'art moderne

L’Art au service du globalisme MONDIALISME [ en réalité et en français : de la spéculation capitaliste ! ]

Patrice-Hans Perrier - Samedi 11 Janvier 2020

Quand les ressources de l'état sont confisquées par une mafia culturelle

Nous reprenons le fil de la discussion sur la place des arts et culture dans le processus de domination de l’ORDO globaliste. Suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris, plusieurs s’interrogent sur l’avenir de notre patrimoine culturel dans un contexte où les industries du divertissement sont en voie de reprendre totalement la main. Il y a péril en la demeure puisque les édiles parisiens, entièrement cautionnés par le gouvernement Macron, souhaitent profiter du grand chantier de reconstruction de la cathédrale gothique pour implanter un parc touristique au cœur de l’île de la Cité.

En outre, le président français a prévu un délai de cinq années pour rebâtir une partie de l’œuvre colossale qui avait mis plus de deux siècles pour aboutir. Une pléiade d’experts se sont élevés contre ce projet marathon et certains y voient une volonté politique de faire coïncider l’aboutissement du chantier avec la venue des Jeux olympiques dans la capitale française. Qui plus est, plusieurs cabinets d’architectes internationaux se sont bousculés au portillon afin de présenter des esquisses de projets futuristes complètement irrespectueux de l’histoire et du patrimoine historique en présence. C’est un peu comme s’il fallait faire de Notre-Dame de Paris et de l’ensemble de l’île de la Cité une nouvelle destination prestigieuse dans le circuit des « nouvelles cités intelligentes » du futur
(je suis de plus en plus persuadé que cet incendie n’est pas un accident mais que des agents du «Service Action » y ont mis le feu.)
Faire tabula rasa

Si la cathédrale pouvait constituer le cœur de la cité médiévale, elle ne représente plus qu’un centre touristique névralgique capable de drainer 14 millions de visiteurs par année. (avec les profits y afférents pour les « groupes »c. àd.lesmontagesjuridiques etfinanciers desinvestisseurs capitalistes) Il convient donc de « réhabiliter » ce monument historique en accord avec une vision de la mise en marché des « villes intelligentes » qui table sur l’« attractivité » afin de gagner des parts de marché. Puisque la cité est, désormais, livrée aux appétences des marchés financiers à l’international. Privée de sa légendaire flèche qui ressemblait à un gigantesque cadran solaire, le vaisseau de pierre ne sera jamais plus un lieu d’enseignement, de recueillement ou de pèlerinage. Nos décideurs politiques souhaitent plutôt en faire une sorte de sarcophage touristique au service d’une nouvelle mise en marché de l’île de la Cité
L’Art au service de la cité

Et, pourtant, l’écrivain Daniel-Rops nous avait déjà parlé de la naissance et de destinée des grandes cathédrales gothiques en des termes édifiants : « Il est arrivé quelquefois dans l’histoire – peu souvent – qu’une société humaine s’exprimât tout entière en quelques monuments parfaits et privilégiés, qu’elle sût faire tenir en des œuvres léguées aux générations futures tout ce qu’elle portait en soi de vigueur créatrice, de spiritualité profonde, de possibilités techniques et de talents. De telles fleurs ne jaillissent et n’atteignent à leur épanouissement que lorsque la sève est pure et abondante, c’est-à-dire lorsque la société est féconde, harmonieuse, et qu’il existe dans sa masse cet instinct de création, cette ferveur spirituelle qui, portant l’homme mortel au-dessus de lui-même, le poussent à s’éterniser. De telles œuvres ne naissent point par hasard, mais des patiences obscures et des grandes espérances, en un moment favorable du temps ».

La cité au service des promoteurs

Il semblerait que, de nos jours, seuls les centres d’achats et autres furoncles de l’architecture vedette soient conviés à ce remodelage des centres historiques d’une cité qui devient un parc d’attractions pour touristes et technocrates de la nouvelle « économie numérique » (et vigiles privés ! ne pas oublier la logique des vigiles privés, qui est au centre de la société actuelle!) . Les populations autochtones pauvres ayant été repoussées vers les marges périurbaines (comme l’ont été à Amiens les habitants du quartier saint-Leu, etc.) , les monuments et les places qui formaient les fils génériques de ce tissu urbain ont été rasés ou mis sous verre. Et, c’est ce qui pourrait bien attendre Notre-Dame alors que l’essentiel des reliques urbaines ne sert plus qu’à appâter les consommateurs apatrides (c’est quoi ces conneries ? qu’ils soient « patrides ou apatrides on s’en fout! ) qui ont remplacé les anciens citoyens.

Nous l’avions déjà dit : « Que reste-t-il des cultures d’élite ou populaires, à une époque où les « produits culturels » tiennent lieu d’AVATARS qui servent à promouvoir des stratégies de marketing ou, pour dire les choses autrement, des campagnes d’endoctrinement des citoyens devenus consommateurs. De la notion d’industrie culturelle, c’est le premier terme qui retient notre attention en cela que la culture ne représente plus qu’une production étant prise en charge par une industrie au service de la plus-value matérielle ou symbolique captée par les forces dominantes du marché ». Or, dans un contexte où, pour l’essentiel, nos centres-villes ont été évidés de leurs populations, alors que le tissu urbain était détruit par les conquêtes des promoteurs immobiliers, les autorités en place ont pris le parti de conserver sous vide quelques chefs-d’œuvre architecturaux susceptibles de constituer des pôles d’attraction. [pôles d'attraction générant des profits financiers pour l'industriei touristique !]

L’Art contemporain comme monnaie d’échange

C’est avec ces considérations en tête que nous avons entrepris un entretien privé avec Aude de Kerros, prétextant la sortie de son dernier ouvrage portant sur les enjeux actuels de l’Art contemporain international (ACI). « ART CONTEMPORAIN – MANIPULATION ET GÉOPOLITIQUE » ressemble à un véritable guide qui nous aide à saisir les enjeux d’un marché de l’art qui n’a de comptes à rendre qu’à une poignée d’investisseurs très fortunés.

Auteur, graveur et peintre, notre interlocutrice partage avec nous cette appréhension concernant la mainmise des milieux financiers sur un monde culturel qui est mis au pas afin de servir des objectifs de rentabilité à court terme et d’endoctrinement idéologique. Elle met la table pour une étude en profondeur des processus qui participent à la mondialisation des transactions qui émaillent un marché de l’art qui ressemble à s’y méprendre à une institution « capable de battre monnaie », dans un contexte où l’art ne sert plus que de « lettre de change ». Si l’Art contemporain est devenu un vecteur de soft power au service de toutes les CIA de ce monde, Aude de Kerros nous prévient que c’est Marcel Duchamp et les autres épigones de l’Art conceptuel qui ont permis de dématérialiser l’art pour en faire une « valeur faciale » ou valeur nominale.

Il fallait bien dématérialiser l’art afin de pouvoir en faire une monnaie d’échange. C’est chose faite selon l’auteure qui estime que les dadaïstes, Marcel Duchamp et le POP ART américain ont permis aux opérateurs des marchés internationaux – et toutes les agences de renseignement – de pousser le marché de l’art dans les derniers retranchements de la fétichisation de l’objet et de sa prise en charge par la mise en marché de sa « valeur nominale ». Ainsi, toujours selon elle, « le conceptualisme n’est plus de l’art au sens commun du terme, qu’il soit moderne ou non : en art, la forme exprime le sens et les critères de jugement sont d’abord esthétiques. L’adoption du conceptualisme comme avant-garde unique autant que définitive a un avantage déterminant : avec ce nouvel instrument, la CIA n’est plus limitée par le silence des images, mais peut aussi s’approprier et détourner les discours révolutionnaires : critique sociale, art pour tous, table rase, etc., et, ainsi, créer un leurre qui serait fatal aux intellectuels de gauche ».

Détruire la notion d’oeuvre

Bien de l’eau a coulé sous les ponts depuis l’époque où la CIA utilisait l’expression lyrique d’un Jackson Pollock ou le POP ART d’un Robert Rauschenberg comme armes de destruction massive contre le réalisme socialiste à l’honneur au sein des pays de l’ancien empire soviétique. Aude de Kerros passe au peigne fin l’époque charnière qui va de l’après-guerre jusqu’à mai 68 pour nous faire prendre conscience que les épigones de l’art conceptuel et du dadaïsme ont servi les visées impérialistes du marché de l’art new-yorkais et des services secrets américains. Profitant des Trente Glorieuses – les années de prospérité économique qui couvrent les années 1950-60-70 – les financiers anglo-saxons ont créé un nouvel avatar afin de monopoliser le marché de l’art contemporain et toutes ses déclinaisons. Ainsi, le marchand d’art américain Leo Castelli aurait manipulé – toujours si l’on se fie à l’analyse de Mme de Kerros – le critique d’art parisien Pierre Restany pour investir, tel un cheval de Troie, la Ville lumière. Disciple de la pensée de Marcel Duchamp, le théoricien Restany n’avait pas hésité à clamer dans son manifeste de 1960 que « La peinture est morte ! », un mot d’ordre qui convenait parfaitement aux financiers de Wall Street désireux de mettre la main sur le marché émergeant de l’Art contemporain.

Aude de Kerros souligne que « la promotion par la CIA de l’expressionnisme abstrait en Europe n’a pas provoqué le choc attendu ». De fait, après la chute des régimes fascistes et nazis, et dans le sillage de la lente décomposition du bloc soviétique, l’esthétique néoréaliste n’avait plus la cote dans une Europe où tous les courants esthétiques se remettaient à circuler le plus librement du monde. Et, partant de là, la nouvelle peinture POP et l’expression lyrique ne constituaient pas vraiment de quoi jeter par terre les artistes du Vieux Continent. Si les croûtes de Jackson Pollock avaient bien suscité quelques mouvements de curiosité vers la fin des années 1950, l’armada du POP ART ne parviendra pas à faire de grands dommages dans les milieux de l’art parisien et ailleurs en Europe.

Toutefois, c’est la pensé de Marcel Duchamp qui parviendra à s’infiltrer par tous les pores d’un système de l’art désormais prisonnier des marchés anglo-saxons. Ainsi, « à partir de 1960, les stratégies de Castelli [manifestement adoubé par les marchés de Wall Street et les services secrets américains] et le travail de la CIA commencent à produire des résultats. Le choix d’une nouvelle avant-garde ayant pour théorie fondatrice le conceptualisme de Marcel Duchamp est efficace. Sa doxa affirme : « Est de l’art tout ce que l’artiste dit être de l’art ». (et qui dit que xest un artiste ? Les réseaux ? Les copains et les coquins ausein du marché des milliardaires ? Puisque il n’y a plus de critère objectif, qui crée le critére - de fait - ? lecopinage lesréseaux et le fric, je ne vois plus que ça) Créer – poursuit Aude de Kerros – c’est concevoir et déclarer. L’œuvre c’est le concept ! La forme, l’objet matériel, n’est que la partie négligeable de l’œuvre, un artisanat que l’on peut sous-traiter. Duchamp définissait cette pratique conceptuelle comme un « non-art », ses artistes comme des « anarchistes ». Cette fois-ci, la rupture est totale : si l’art conceptuel est déclaré être de « l’art » à la place de « l’art » c’est que le mot « art » a changé de définition. Les critères, jusque-là esthétiques, de concordance entre fond et forme, étaient compréhensibles, partageables, discutables. Ils permettaient une évaluation à laquelle on pouvait adhérer ou non, en sachant pourquoi. Ce n’est plus le cas avec l’art conceptuel ».

Il s’agit d’un curieux paradoxe, le fait qu’un pseudo artiste parisien, Marcel Duchamp, ait fourni le cadre conceptuel idéal aux marchés new-yorkais ! Désormais, dans le sillage de la révolution libérale-libertaire, une nouvelle définition de l’art est née sur les prémisses des extravagances jetées à la face du monde par les dadaïstes, les conceptuels et leurs épigones de la « mort de l’art ».

Une dématérialisation de l’art

Aude de Kerros s’est confiée à nous dans le cadre d’un entretien qui portait justement sur cette dématérialisation de l’art au profit des nouveaux investisseurs dans le monde de la culture dite « contemporaine ». Interrogée au sujet de cette manipulation des produits de l’art contemporain, elle s’emporte : « Aujourd’hui, par exemple, j’ai appris qu’un artiste japonais ayant produit une sorte de petit graffiti – tout à fait simpliste – a réussi à en tirer des millions sur le marché. Alors on se pose la question qui tue : « quel est le rapport entre la chose et le prix ? » La réponse est compliquée. Précisons qu’au départ, il y a peut-être 200 personnes qui jouent ensemble au sein d’un cercle fermé d’investisseurs privilégiés. Ils forment donc un réseau et c’est eux qui décident de la valeur « faciale » des œuvres qu’ils font circuler à travers leur cercle respectif. Après, vous avez le cercle des médias, parce qu’il faut bien rendre les choses visibles et vous retrouvez, à la toute fin de la chaîne, les institutions d’état qui achètent.(et qui sont donc les vaches à lait du truc, qui se résume, comme la « dette » publique, à une opération de pompage de l’argent public au profit d’un petit cercle d’affairistes !)Profitant de sa position d’initié, le collectionneur privilégié, avant même que l’œuvre n’ait été mise sur le marché, a déjà acheté le produit. Il y a tous les cercles concentriques des milieux de diffusion et de vente de l’art – galeries, biennales, ports francs, etc. – et, en dernier lieu, vous retrouvez les institutions publiques. Ce sont des joueurs qui jouent à un jeu financier dont le moteur est constitué de ce réseau de collectionneurs privilégiés qui sont capables d’investir entre 1 million et 100 millions pour une œuvre, comme ça, sans problème ! »

Un système endogamique

On comprendra que, dans un tel contexte, une poignée de membres de l’hyperclasse soit en mesure d’influencer le « haut marché de l’art » et de phagocyter les institutions de l’état afin que les œuvres de leurs poulains y soient exposées et, partant, gagnent de la valeur sur le marché de la spéculation culturelle. C’est sans doute ce qui explique la raison pourquoi les institutions publiques complices ne veulent pas se départir de tout ce système de cotation, de mise en valeur et de promotion d’un art contemporain qui table sur des valeurs ontologiques résolument conceptuelles. Les produits artistiques, ainsi voulus, ne seront plus jugés sur cette base anthropologique qui, toujours selon Mme de Kerros, « fait que tout le monde recherche la beauté et l’harmonie au gré de son expérience avec l’œuvre d’art ».

Ainsi, quoi de plus commode que d’utiliser un système conceptuel fonctionnant sur le mode des vases communicants : de la conception de l’œuvre jusqu’à son évaluation, tout le discours qui sert à positionner l’art est construit à partir de valences qui n’ont rien à voir avec la valeur intrinsèque du « produit ». L’œuvre d’art sera, conséquemment, jugée sur la foi d’un système de valeurs abstraites, conceptuelles, qui peuvent être manipulées à volonté par les médias, le marché de l’art ou les spéculateurs. L’œuvre d’art à l’intérieur de ce système artificiel n’a donc plus aucune valeur en soi. C’est le discours sur l’art qui détermine la valeur

(bon, ça a toujours été ça) et permet de fixer des cotations par la suite et, a fortiori, de justifier la monopolisation des institutions publiques pour diffuser les « produits » de ce marché artificiel qui fonctionne sur le mode de la boucle de rétroaction.

Et, parlant de ce mode de fonctionnement, notre interlocutrice précise que « ces gens-là sont actifs au sein d’un système endogamique et, s’il s’interrompt, tout s’effondre. C’est justement parce que c’est un système fermé que la valeur peut être produite. Mais, contre toute attente, ils devront subir les inconvénients des avantages. Le circuit du milieu intellectuel produisant une critique sur l’art est lié à l’état. Il s’agit donc d’un système qui se protège avec des gardiens, des barrières, et les bénéficiaires (TOUT dans la société contemporaine capitaliste fonctionne sur ce schéma! Dans notre vie quotidienne nous nous y heurtons en permanence, le but de la dictature capitaliste totalitaire et fliquée actuelle est de tout enfermer dans un système comme ça) de ce système en vase clos sont désespérés parce que désormais, grâce à la circulation de l’information sur le net, on peut raconter leurs bêtises ».

L’art a perdu son âme

Nous avions déjà précisé, dans un article s’intitulant La culture POP : art pornographique par excellence, que « des ready-made de Marcel Duchamp jusqu’aux troupeaux de badauds dénudés pour être photographiés par Spencer Tunick, en passant par l’arte povera des années 1970-80, le monde de l’art occidental se contente de mettre en scène des rogatons qui témoignent de l’emprise incontestable et incontestée du marketing. L’art contemporain tient lieu de processus de récupération des produits de la culture du marketing, puisque la culture n’est plus un espace de représentation au service de la quête spirituelle d’une collectivité donnée ».

Justement, à propos de cette spiritualité qui a été chassée du monde de l’art, Aude de Kerros estime que « l’effondrement de la notion du transcendant et de la spiritualité fait qu’il y a un vide considérable et c’est l’argent qui a fini par combler ce vide. L’argent n’a pas d’âme : c’est un bon serviteur et un mauvais maître. C’est l’effondrement de la civilisation qui est lié à l’effondrement de la spiritualité – et de la notion de la transcendance – qui fait que l’occident est si mal en point, parce que c’est une histoire occidentale cette affaire d’art contemporain ».

La réalité du globalisme de l’anglophonisation de la France !!!

Prenant acte d’un globalisme qui n’est pas qu’une idéologie (mais le stade ultime du capitalisme), mais pouvant correspondre à certains aspects de la réalité, Mme de Kerros nous aide à conclure notre article au moyen d’un passage révélateur contenu dans son dernier essai. En effet, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle nous prévient que « cette contrainte occidentale d’une idéologie de l’art, certes très adaptée aux affaires, peut-elle s’exercer encore longtemps sur un marché aujourd’hui mondialisé (ah ! En fin on parle en français!)? Si les intérêts d’argent sont aisément partageables à l’échelle planétaire, la culture ne s’impose pas si facilement … Artistes et amateurs originaires d’autres continents ne sont peut-être pas prêts à renoncer entièrement à leurs aspirations […] »

S’il est vrai que plusieurs sociétés « émergentes » n’ont toujours pas été entièrement contaminées par ce système et cette vision mercantile de l’art, il n’en demeure pas moins que l’ubiquité d’Internet sert surtout à promouvoir des idéologies qui reposent, d’abord et avant tout, sur la « société du spectacle ». En outre, les derniers rescapés de la classe moyenne mourante (justement ils sont protégés ! ils achètent de belles oeuvres qu’ils découvrent dans les expositions locales de « peintres du dimanche ») n’ont pas toujours les moyens de se payer des œuvres d’art « abordables », dans un contexte où la fiscalité favorise surtout les gros investisseurs. On connaît la chanson au chapitre des paradis fiscaux et des autres voies de contournement qui sont l’apanage de l’hyperclasse.

Aude de Kerros nous confiait, en fin d’entretien, avoir espoir que les sites qui font la promotion des « artistes dissidents » pourront aider à mettre en place des marchés parallèles, pour que l’authentique création soit en mesure de se faire connaître. Encore faudrait-il que les internautes s’intéressent à autre chose qu’à la promotion de leur ego ou à cette fuite en avant qui caractérisent les communications postmodernes.

Optimiste, certes, Aude de Kerros demeure réaliste en affirmant que « le krach financier de 2008 a marqué un tournant dans le domaine de l’appréciation de l’Art contemporain. Le public mondial a assisté au grand spectacle de la dématérialisation des titres. D’évidence, les produits financiers dérivés, dits « sécurisés » n’avaient pas de contrepartie matérielle, ne reposaient pas sur une richesse tangible. Malgré le fait que le marché financier n’a pas entraîné le marché de l’art dans sa chute, l’analogie fut faite avec ce qui était devenu très semblable à un produit financier : l’Art contemporain ».

Un hubris démoniaque

Si ce système de l’Art contemporain a permis de dématérialiser les fondamentaux de l’expression artistique, c’est peut-être parce que nos élites ont été submergées par une hubris emportant tout sur son passage. Aude de Kerros nous aide à comprendre les ficelles d’un système de reproduction culturelle qui sert à « monétiser » des œuvres conceptuelles et, du même coup, à faire la promotion de messages qui font le jeu d’un soft power globaliste. Toutefois, elle n’épilogue pas trop sur cette dégénérescence qui est le propre des civilisations qui se meurent. Mis à part quelques perles, comme celle-ci : « L’art contemporain, dont le but proclamé est transgression, subversion, table rase, a eu depuis le début de son existence la nécessité impérieuse d’être rapidement muséifié pour exister. On peut dire que le musée d’Art contemporain est consubstantiel à cette redéfinition de l’art désormais séculaire ». (c’est à dire que c’est un « art » artificiel que personne ne mettrait chez soi ?!)

In fine, si l’on suit le fil de la discussion, force-nous est de constater que les institutions publiques, prêtant main-forte à ce marché artificiel, ont contribué à sanctuariser un air du temps qui flirte dangereusement avec le nihilisme le plus complet. Rajoutons-en un peu, même si la coupe est pleine. Le terrible incendie qui a dévasté toute la charpente de Notre-Dame de Paris était-il le fruit d’un malencontreux hasard (bien sûr que non ! c’était trop providentiel pour Macron, et si on étudie les détails c’est patent) ou bien l’œuvre d’un mauvais génie de la performance in situ ? (non, des technciens du « service Action ») Toujours est-il que la reconstruction de ce trésor du patrimoine pourrait servir à reconvertir l’auguste cathédrale en musée … d’Art contemporain. On pourrait y reproduire, par hologrammes, des épisodes de cet incendie dantesque et, chemin faisant, célébrer la victoire d’une culture qui a définitivement enterré la spiritualité.

Un livre incontournable à lire :
« ART CONTEMPORAIN – MANIPULATION ET GÉOPOLITIQUE »
Par Aude de Kerros, aux Éditions Eyrolles, Paris, 2019, ISBN : 978-2-212-57302-2

Site de l’auteur :

patricehansperrier.wordpress.com

25/12/2021

Devoir de mémoire - sansrien

http://sansrien.blogspot.fr/

13/12/2005
Un SDF a été retrouvé mort ce matin dans le XIVe arrondissement de Paris, dans le quartier d'Alésia, selon la police qui ignorent encore les causes du décès. Il avait 55 ans.

29/11/05
Un sans-abri de 54 ans a été retrouvé mort, victime du froid, dans un parking souterrain de Pontoise (Val d'Oise), dans lequel il avait l'habitude de dormir, selon une source policière. L'homme, mort par hypothermie, a été découvert vers 8 heures par une femme qui venait chercher sa voiture.

 27/11/05
Une sans-domicile fixe de 47 ans a été retrouvée morte carbonisée à Perpignan, dans l'incendie de sa tente de fortune. Cette femme avait planté son abri dans un terrain vague de la préfecture des Pyrénées-Orientales. Selon la police, il n'est «pas exclu» qu'elle ait tenté de se chauffer avec un «dispositif de fortune», ce qui aurait entraîné un incendie mortel.

 27/11/05
Un sans-abri, âgé de 45 ans, a été retrouvé mort lundi matin à Paris, rue Cauchy, dans le quinzième arrondissement.

 25/11/05
Le corps d'un homme d'une quarantaine d'années a été retrouvé dans une forêt de Vert-Saint-Denis (Seine-et-Marne) par un promeneur. Son identité reste inconnue. D'après les premiers éléments, il serait étranger, apparemment originaire d'Europe de l'Est.

 25/11/05
Un SDF de 58 ans a été découvert mort d'hypothermie, dans un garage à Calais où il avait l'habitude de s'abriter. Ce local avait été incendié en octobre et n'a pu le protéger du vent.

 24/11/05
Un SDF de 58 ans a été retrouvé mort dans un lieu très isolé, sous un pont où il vivait, à Echirolles, dans la banlieue de Grenoble.

 24/11/05
un SDF de 38 ans a été retrouvé mort frigorifié à la Grande Résie, près de Gray (Haute-Saône) au volant de sa voiture. L'homme avait été expulsé fin octobre, juste avant la trêve hivernale, du logement qu'il occupait. Depuis, il vivait dans sa voiture avec toutes ses affaires.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-715969,...

 20/11/05
Un SDF de 52 ans, a été retrouvé mort, couvert de coups, devant son cabanon de Montigny-lès-Metz (Moselle). L'homme, mort par hypothermie, refusait tout hébergement. Son corps a été découvert par les services communaux qui venaient lui rendre visite, comme ils le faisaient régulièrement à la suite des chutes de neige de la nuit.

28/01/2006
Un SDF est décédé des suites d'un malaise cardiaque samedi matin à Toulouse, apprend-on auprès de la préfecture de la Haute-Garonne. L'homme, âgé de 43 ans et dont l'identité n'a pas été révélée, a été victime d'un malaise sur un trottoir proche du foyer d'hébergementqu'il venait juste de quitter après y avoir passé la nuit.

 28/01/06
Un sans domicile fixe a été découvert mort samedi matin dans une roulotte qu'il occupait illégalement dans la périphérie deCarcassonne (Aude). Il aurait été victime d'une intoxication provoquée par la mise en marche d'un chauffage de fortune.

25/01/06
Un cinquantenaire sans abri est mort de froid dans la nuit de lundi à mardi à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne), a-t-on appris auprès de la préfecture de ce département de la banlieue parisienne. Alertés, les secours ont découvert l'homme âgé de 55 ou 56 ans dans une épave de camion, quai de la Marne, alors qu'il était déjà en arrêt cardiaque.

04/01/06
Un SDF de 47 ans a été découvert mort hier à Paris, en pleine rue. L’homme a été pris de malaise près de la place de Clichy (17e). Le décès serait dû à une hémorragie interne et « a priori non lié au froid », précise-t-on de source policière. Une autopsie du corps devait avoir lieu afin de déterminer avec précision les raisons du décès.

 02/01/06
Un septuagénaire sans domicile fixe qui vivait depuis quelques jours dans un box a été découvert mort en fin de matinée dans son abri situé avenue Pierre Brossolette à Montrouge (Hauts-de-Seine), a-t-on appris de source policière. L'homme, de nationalité française et né en 1936 en Angleterre, a été retrouvé dans le box dont il avait les clefs et où il résidait depuis plusieurs jours. Il ne portait qu'un pantalon et un chandail. Les températures étaient légèrement supérieures à zéro lundi dans le département. Les premiers éléments de l'enquête confiée au commissariat de Montrouge suggèrent une mort naturelle

28/12/05
Une RMIste de 52 ans, qui vivait dans le cabanon en bois d'un jardin ouvrier au Mans, est décédée mercredi en raison du froid et de l'alcool, a-t-on appris jeudi de source policière.
"Le froid est à l'origine du décès de cette personne. Elle était très malade, avait des problèmes d'alcoolisme et vivait dans un cabanon de jardin" sans eau ni électricité au Mans, où le thermomètre a affiché -3 degrés dans la nuit de mardi à mercredi, a-t-on précisé de même source. Le corps a été retrouvé sur la balancelle du jardin par le compagnon de la femme, selon la police.

 27/12/05
Un homme sans domicile fixe âgé d'une quarantaine d'années a été retrouvé mort, "vraisemblablement de froid", dans le centre-ville de Lyon, annonce la préfecture.
Une patrouille de police a découvert en milieu d'après-midi l'homme inanimé assis dans sa voiture, stationnée sur un quai de la Saône à proximité de la gare de Perrache.
"L'examen médical pratiqué n'a permis de déceler aucune pathologie cliniquement visible, susceptible d'avoir provoqué le décès. Il apparaît par conséquent que le froid peut être considéré comme la cause probable de la mort", précise la préfecture du Rhône dans un communiqué.
 
20.7.06
19/07/06
La chaleur pourrait être à l'origine de la mort d'un SDF à Saint-Ouen

19/07/06
Les services de l'Institut de veille sanitaire (InVS), ont fait état de la mort mercredi d'un SDF de 39 ans à Bordeaux.

26/12/06
Une femme sans abri de 58 ans, qui vivait sous une tente avec son compagnon, est décédée à l'hôpital de La Rochelle, a-t-on appris auprès de la préfecture.La santé de la victime était fortement dégradée et le froid qui sévit sur La Rochelle a été une circonstance aggravante de son état, a souligné un porte-parole.

26/12/06
Un sans-abri a été trouvé mort dans le centre-ville de Belfort. Né en 1948, l'homme avait sans doute passé la nuit dans la rue. Une enquête médico-légale a été ouverte pour connaître les causes du décès.

 23/12/06
Un homme sans domicile fixe de 66 ans est mort dans le quartier du forum des Halles à Paris, a-t-on appris auprès de la préfecture de police. "Son décès est dû à un arrêt cardiaque et non aux conditions climatiques", a précisé une porte-parole.

14/12/06
Un homme de 51 ans est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi dans le camping municipal de Saint-Etienne-de-Baïgorry.

 


 09/12/06
Le corps d'un homme de de 52 ans a été retrouvé à Chevilly-la-Rue, dans le Val-de-Marne par un SDF vivant sous une tente voisine. Selon la police, le froid est la cause probable de la mort.

26/01/2007
Un promeneur a découvert le corps sans vie d'un SDF vers 15h dans un garage désaffecté de la SNCF à Creutzwald (Moselle), apprend-on auprès de la gendarmerie. Le jeune homme de 29 ans a, selon les premières constatations, succombé au froid vif, après avoir été victime d'un malaise. Il lui arrivait de tomber ainsi sans connaissance, mais jusqu'à présent, il avait à chaque fois pu être secouru et hospitalisé. Parfois, il était recueilli par des connaissances puis il retournait à la rue, précisait-on de même source. L'identité du SDF n'est pas communiquée. Une enquête a été ouverte pour établir avec certitude les causes de la mort.

20/01/07
Deux SDF, morts pour des raisons inconnues, ont été retrouvés à Paris et à Gif-sur-Yvette. Le premier, âgé de 35 ans, vivait dans un local de chaufferie dans les sous-sols de l'hôpital de la Pitié-Salpétrière, ce qui exclu un décès lié au froid. Le second, était allongée sur le quai de la gare du RER B dans un abri de voyageurs. Dans les deux cas, une autopsie va être pratiqué pour connaître les raisons exactes du décès.

 20/01/07
Un sans domicile fixe de 60 ans est mort samedi à Valence après avoir été écrasé par un camion de ramassage des ordures ménagères qui n'avait pas remarqué sa présence à proximité du trottoir, sous un tas de cartons.

25/03/07
David 36 ans un SDF originaire du Nord est mort dimanche matin dans une tente du campement des Enfants de Don Quichotte installé sur la plage de Nice, au bout de la promenade des Anglais. Son corps sans vie a été évacué par la police vers midi.

 19/03/07
Un SDF de 28 ans qui dormait sur le campement des Enfants de Don Quichotte à Strasbourg est mort lundi matin, vraisemblablement après ingéré de l'alcool et de la méthadone, a-t-on appris de sources concordantes.
 
26/09/07
Un sans-abri d’une quarantaine d’années a été retrouvé mort mercredi à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans un cabanon, a-t-on appris de source policière.Le SDF a été découvert en fin de matinée par une personne qui partageait son cabanon. Le corps de l’homme, qui n’avait pas été encore identifié mercredi soir, ne portait pas de trace suspecte. Il a toutefois été transporté à l’institut médico-légal de Paris pour y subir une autopsie, a ajouté la même source.

 17/11/07
UN SDF décédé à Marseille. Il est vraisemblablement mort de froid.

16/11/07
Un homme sans domicile fixe a été retrouvé mort de froid vendredi matin vers 6h30 dans une rue d'Ajaccio

20/12/07
Un SDF a été retrouvé mort place de la Concorde à Paris .La cause du décès de l'homme découvert au centre de la capitale, qui n'avait pas de papiers d'identité sur lui, n'a pas été déterminée dans l'immédiat, a-t-on précisé à la préfecture de police de Paris. Il a été découvert vers 8h40 par des employés des parcs et jardins de la ville de Paris qui ont constaté qu'il n'avait pas de couverture en dépit du froid très vif de ces derniers jours.

 19/12/07
Un SDF de 62 ans a été retrouvé mort dans sa voiture, à l'interieur d'un box automobile dans la ville de Vanves, dans le département des Hauts de Seine.

 18/12/07
Une femme de 45 ans sans domicile fixe a été retrouvée morte tôt ce matin dans un jardin public de Nice.

24/01/2008
Un homme de 43 ans sans domicile fixe a été retrouvé mort ce matin sur un banc à Orléans.
L'homme a été retrouvé allongé sur un banc public situé dans un petit square du quartier La Source.

04/01/08
Un SDF a été retrouvé mort dans la rue à Maisons-Alfort, en région parisienne. L'homme serait visiblement décédé de causes naturelles. Son corps a été découvert entre 2 voitures vers 6h du matin. Agé d'une quarantaine d'années, il était connu par les habitants de la ville comme souffrant de problèmes de santé. Une autopsie devrait être pratiquée pour déterminer les causes exactes du décès.

 27/12/07
Un homme de 64 ans sans domicile fixe a été retrouvé mort, probablement de froid, dans le parking des halles de Sète.

17/02/08
Un homme sans domicile fixe a été retrouvé mort près de la station de métro Louis-Aragon à Villejuif (Val-de-Marne), a-t-on appris de source policière.
Le corps du SDF, âgé de 38 ans, a été retrouvé peu avant midi par des passants aux abords de la station, a ajouté la même source.

2008
estimation pour 2008 : 265 morts

2009
estimation pour 2009 : 358 morts

2010
Estimation depuis le 01/01/10 : 275 morts

27/11/2010

C'est la première victime de l'hiver. Une femme d'une quarantaine d'année a été retrouvée sans vie, dans le centre de Marseille. Elle est morte de froid. La victime a été retrouvée dans un hall d'immeuble du premier arrondissement marseillais par une riveraine.

 29/11/10
Un homme de 78 ans, sans domicile fixe, a été retrouvé mort de froid, lundi 29 novembre après-midi, à l'entrée d'un centre commercial d'Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne. "Le décès est probablement dû au froid, mais il faut attendre la confirmation avec une autopsie qui sera pratiquée prochainement", a indiqué la police. Il s'agit de la première mort connue d'un sans-abri en Ile-de-France depuis le début de la vague de froid la semaine dernière.

18/12/10
Un homme sans domicile fixe a été retrouvé  mort dans un immeuble vide du centre de Strasbourg, a-t-on appris auprès de la police et de la municipalité.

 17/12/10
Un SDF, de santé fragile, a été retrouvé sans vie dans un appartement promis à la démolition dans la commune du Cannet (Alpes-Maritimes),

17/12/10
Une femme sans domicile fixe âgée de 40 ans a été retrouvée vendredi matin morte, apparemment de froid, dans un ancien cloître en plein centre de Rennes.Les sapeur-pompiers n'ont été alertés qu'à 9h45 alors que la personne gisait inanimée dans son sac de couchage, dans ce cloître désaffecté situé à l'une des entrées du parc du Thabor.Elle est décédée peu après l'arrivée des secours.

 17/12/10
Un homme sans domicile fixe est mort écrasé dans les Pyrénées-Orientales par les roues d'un camion-benne sous lequel il dormait pour la nuit.

09/12/10
Un sans domicile fixe âgé d'une quarantaine d'années a été retrouvé ce matin mort, apparemment de froid, dans une gare secondaire de La Rochelle, a-t-on appris auprès des pompiers.Les sapeurs-pompiers  ont découvert le corps sans vie dans un abri bus.

 08/12/10
Un homme d'une trentaine d'année, qui avait trouvé refuge dans une tente, tout près de l'ancienne usine , dans la région de Lille, est mort brûlé dans un incendie qui semble avoir été provoqué par un dysfonctionnement de son réchaud de camping.

07/12/10
Un sans domicile fixe de 68 ans a été retrouvé mort, apparemment de froid,  à Coulommiers, en Seine-et-Marne, a-t-on appris de source policière. L'homme, décédé depuis samedi, a été découvert peu avant 11h00 sous l'escalier d'un immeuble, situé près de la gare, a-t-on précisé de même source.

06/12/10
En fin de matinée, à Dunkerque, un  homme d'une cinquantaine d'années a été retrouvé mort, probablement de froid également, dans des toilettes publiques. L'homme a été découvert inanimé par deux autres SDF. Les pompiers ont ensuite tenté de le réanimer, en vain. On ignore depuis quand il se trouvait là et à quand remonte sa mort. Selon plusieurs témoins, son visage était cyanosé au moment où il a été découvert, ce qui pourrait indiquer que sa mort est due à son exposition au froid. Une autopsie doit être pratiquée pour déterminer les causes du décès.

04/12/10
Un sans-abri de 39 ans a été retrouvé mort, probablement de froid, sur un chantier à Savigny-sur-Orge (Essonne), selon la préfecture de l'Essonne. L'homme, selon cette source, a été découvert en début d'après-midi par un des gardiens du chantier, mais sa mort pourrait remonter à plus loin, a précisé la préfecture. Le froid serait à l'origine du décès. L'enquête devra en déterminer les causes exactes. Une autopsie pourrait être envisagée.

03/12/10
Un sans domicile fixe d'une cinquantaine d'années a été retrouvé mort rue de Cambronne, dans le XVème arrondissement de Paris. «Les causes de la mort ne sont pas encore connues», a annoncé la préfecture de police de Paris, interrogée sur un lien entre le décès et les très basses températures enregistrées cette nuit dans la capitale.

31/11/10
Le corps d'un homme de 58 ans a été découvert à Nantes par un promeneur sous un toit de fortune, bricolé par le défunt à proximité d'une quatre-voies. Cet homme, sans domicile fixe, serait décédé depuis plusieurs mois. Les causes du décès et l'identité de l'homme demeurent incertaines.

09/01/11
Deux sans domicile fixe sont morts dans l'incendie d'une maison abandonnée dans le Pas-de-Calais.

02/01/11
Un homme, sans-domicile fixe a été découvert mort dans le forum des Halles à Paris aux alentours de minuit.

25/12/2010
Un homme de 34 ans, sans domicile fixe, est mort, probablement de froid. Découvert dans une rue de Seclin par les policiers du commissariat de Wattignies. Devant la gravité de l'état de la victime, les policiers ont préféré l'amener eux-mêmes au centre hospitalier de Seclin où il est décédé.

 

"tu es vivant aujourd'hui, tu sera mort demain, et encore plus après-demain"

23/12/2021

Touts ces français collabos feraient bien de méditer les phophéties de Pierre Dac sur la ondes de Radio-Londres !

en regardant depuis le trottoir  : 12/2021 rien que des esclaffes du Krand Gapital ach !! encorr des Nazis, pien zoumis et pien “zitoyens” afek leur couche-culotte sur le fisach’, ach so !

et n'oublions pas que tout ça, ce business-plan, ce nouvel esclavage (l'esclavage antique étant selon MARX la première forme historique de domination des travailleurs par les exploiteurs) qu'on appellera comme Florian Philippot le covidisme, ressort de la lutte des classes, ce trait fondamental de toute l'histoire humaine, et source favorisant toutes les psychopathologies et toutes les perversions morales.

 

Frédéric Lordon : le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (1/2)

 problème de la “gauche” bourgeoise-bobo-bien-pensante :

"Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu'ils ont été trompés". Mark Twain

 

10/12/2021

pensez aux profits qu'ont du se faire les fabriquants grêce à l'invention de l'esclavage antique !

Pensez aux profits qu’ont du se faire les fabricants de chaînes grâce à l’invention de l’esclavage antique ! Et maintenant pensez aux téléphones portables…….

(voilà ! oh il n'est même pas nécessaire d'avoir lu Marx (quoi que ça aide !) La Fontaine suffira ! tellement c'est le bon sens même. Et comprenez ce qui se passe...)

29/11/2021

Plus un pays injecte de citoyens plus il y a de morts la corrélation est évidente

https://odysee.com/@La_v%C3%A9rit%C3%A9_excite_la_col%C3%...

et que  plus on dit la vérité plus les gafams (rappelez-moi leurs propriétaires....) vous censurent, cette corrélation-là aussi est évidente ! Et tout à fait marxiste soit dit en passant.

au fait écoutez bien (et réflechissez) à 5min55s "interêt" "investir" voilà des mots clé ! il faut se poser les bonnes questions !

28/11/2021

conclusion boycottez les téléphones portables et les smartphones !! c'et vital

URGENCE !! - nouveau !! - signez TOUS la pétition !! (et jetez TOUS vos téléphones portables !!)

https://ru-clip.net/video/sermT-HQE34/non-au-passeport-sa...


RECONFINEMENT : COMMENT NE PAS SUCCOMBER AU NUMERIQUE

Obligation pour ceux qui sont en télétravail de rester devant
l’ordinateur et d’utiliser le smartphone… Tentation pour les autres,
confinés à la maison, de rester devant la télévision pour visionner
des séries… Téléphone sans fil et smartphone, seuls moyens de contact
avec nos « proches » à qui l’on ne peut plus rendre visite… 

(c'est faux !!! et les télépones normaux ! filaires,  qu'est-ce qu'on en fait ?????)

Difficile  de se soustraire au numérique pendant le confinement !

Le problème, c’est que cela démultiplie notre exposition aux ondes et
accroît la surveillance qui s’exerce à notre encontre via les outils
numériques.

Cette surveillance révélée en 2013 par un ex-employé de la CIA, Edward
Snowden, 29 ans, s’exerce de la façon suivante : toutes les traces
numériques que nous laissons, chaque email envoyé, chaque utilisation
d’un moteur de recherche, chaque communication téléphonique, chaque
post sur les réseaux « sociaux », chaque déplacement avec un
smartphone est enregistré est conservé sur les ordinateurs de l’Agence
nationale de sécurité américaine (NSA). Oui, les vôtres aussi, même si
vous n’avez rien à vous reprocher ! Et d’autres pays que les
Etats-Unis, dont la France, se sont dotés de tels outils de
surveillance.

Conséquence du tout-numérique : l’Intelligence économique (le
renseignement utilisé pour déstabiliser économiquement un pays) est
grandement facilitée. Les entreprises qui recourent aux
visio-conférences se délestent de précieuses informations. Plus nous
agissons « connectés », plus les données s’accumulent. Elles resteront
stockées ad vitam aeternam et pourront être utilisées à l’encontre des
générations futures.

Nous vous recommandons de regarder le film SNOWDEN d’Oliver Stone et
d’être particulièrement attentifs à l’épisode qui se déroule en
Suisse, où un homme d’affaire qui n’a absolument rien à se reprocher
voit sa vie détruite par l’utilisation de renseignements concernant sa
fille. Le comble, avec les réseaux sociaux, est que cette  “Gestapo
numérique” est renseignée volontairement et “librement” par ses
victimes ou par leurs proches… (voir les liens à la fin de ce mail). (Surtout quand on voit la passivité de ceux qui acceptent de se rendre sur des sites internet qui injectent des "cookies" à l'intérieur de leur ordinateurs (en prétendant, ces immondes et puants hypocrites capitalistes totalitaires, que "votre vie privée est notre priorité" alors que c'est exactement le contraire ! NOVLANGUE ! ! et la passivité complaisante avec laquelle ils mettent des masque dont on sait maintenant que ça ne sert à rien, rien  qu'à  habituer les gens à la SOUMISSION et au DRESSAGE, passivité et zèle "citoyen" qui n'a d'égale que celle avec laquelle les allemands à partir de 1933 ont accepté de ne se rencontrer qu'en levant le bras droit et en criant "Heil Hitler !", devoir "social, que des plaques en émail leur rappelait constamment dans les rues. ENREGISTTRER-Emailleplakat,_Hitlergruß,_breit.png
Concernant les effets néfastes sur la santé des ondes

électromagnétiques (électricité) et des micro-ondes (objets
connectés), nombreux sont ceux et celles qui disent : « Je sais ! ».
Mais que peuvent-ils vraiment savoir puisque ces ondes, qui sont
émises en permanence, y compris quand les appareils ne sont pas
utilisés, traversent les murs et sont invisibles, inodores,
impalpables, imperceptibles par les sens ? De même que le compteur
Geiger est indispensable pour détecter la radioactivité, la détection
des ondes nécessite des instruments spécifiques.

Seule journaliste scientifique française indépendante équipée
d’instruments de détection des ondes, Annie Lobé a mis en ligne des
vidéos qui vous permettront de voir ce que vous n’avez aucune
possibilité de voir ailleurs.
 
Vous comprendrez alors la nécessité :
-d’utiliser systématiquement une oreillette filaire pour ne plus
approcher le smartphone de votre oreille, de votre cerveau,
-de ne plus laisser le smartphone en permanence près de vous sur le
bureau, ni sur la table de chevet durant la nuit, ni dans une poche de
pantalon, ni sur le cœur (et surtout pas pendant l’effort),

Le mieux est   -  de           loin      ! -  de boycotter ces sales engins


-d’ajouter un clavier externe filaire à votre ordinateur portable,
-d’opter pour une souris et un clavier filaires pour votre ordinateur
fixe, au bureau comme à la maison,
-de ne jamais laisser une tablette ni un smartphone (= votre chaine de galérien portable ! engin hitlérien totalitaire orwellien à fond !) entre les mains
d’un enfant,
-d’éteindre la box wifi le plus souvent possible, notamment la nuit et
avant de sortir de chez vous pour ne pas surexposer inutilement votre
animal de compagnie (si votre chat vomit souvent, c’est peut-être à
cause de votre box wifi ou de celles des voisins !) ; débrancher la
box permet de surcroît de réduire les factures d’électricité,
-de réduire l’utilisation du numérique au strict nécessaire,
-d’opter pour des activités de loisirs non connectées,
-d’éviter les jouets à piles pour les enfants.

Les écrans entravent gravement le développement infantile. Les
professionnels de la santé de l’enfant alertent : ils constatent une
explosion de troubles semblables à l’autisme chez les enfants les plus
exposés. Après le retrait des écrans, ces enfants retrouvent un
développement normal, preuve que les écrans sont bien la cause des
troubles constatés…

Comment se passer des écrans ?

Pour les enfants en bas âge, rien n’est meilleur que le jeu libre.
Pour tous ceux, enfants, jeunes et adultes qui savent lire, remplacer
les écrans par les livres en papier (à commander sur http://www.chapitre.com ou meux sur http:/livre-rare-book.com pour éviter cette saloperie du capitalisme totalitaire et exploiteur qu'est le géant amerloque Amazon).

Les écoliers peuvent apprendre ou réviser leurs leçons avec des livres
scolaires normaux, c'est à dire en papier, de même pour les collégiens, lycéens et
étudiants.

Pour faire du sport chez soi, nul besoin d’un "coach" parlant amerloque en ligne tous les
jours : noter les exercices sur une feuille  de papier et les faire à
son propre rythme  :
http://www.santepublique-editions.fr/objects/France-Info-...).

Le monde numérique n’est pas un meilleur monde : le cancer est devenu
la première cause de mortalité prématurée (avant 65 ans). Comment les
champs électromagnétiques favorisent le cancer et comment s’en
protéger ? Voyez la réponse d’Annie Lobé en vidéo sur le lien
ci-dessous).

En France, 500 000 enfants sont orphelins de père ou de mère,
prématurément décédés. Pour voir grandir ses enfants, il est
impératif de se protéger et de protéger-les enfants contre les champs
électromagnétiques et les micro-ondes des objets connectés.

Le compteur électrique Linky rend l’électricité dangereuse : il
injecte dans nos câbles électriques, conçus pour le 50 hertz, les
radiofréquences du courant porteur en ligne (CPL, aux fréquences de 63
000 à 95 000 hertz) que le très officiel Centre scientifique et
technique du bâtiment (CSTB) a détectées jusqu’à 1,50 m d’un
ordinateur portable en fonctionnement dans un logement équipé de
Linky. L’utilisateur est donc exposé à ces fréquences, à propos des
effets desquelles l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire et
environnementale) reconnaît qu’aucune étude n’a été faite.

Autres inconvénients du Linky : il provoque des pannes et des
incendies : un incident tous les 150 compteurs Linky posés (!), et
augmente les factures puisque le remplacement de 35 millions de
compteurs qui fonctionnaient parfaitement coûte 7 milliards d’euros
répercutés en taxes sur les factures d’électricité (voir lien à la fin
de ce mail).

L’enquête de la journaliste scientifique indépendante Annie Lobé.
Accès gratuit en ligne :

La surveillance généralisée :
http://www.santepublique-editions.fr/surveillance-massive.html

Vidéos : détection des ondes du smartphone, de l’ordinateur portable,
de la tablette, des jouets à piles, du four à micro-onde, Le portable
dans la poche, Le portable sur le cœur, etc. ; Comment les champs
électromagnétiques favorisent le cancer et comment s’en protéger :
http://www.santepublique-editions.fr/videos-de-SantePubli...

Les effets des écrans sur les enfants :
http://www.santepublique-editions.fr/livre-jaide-mes-enfa...

Danger des téléphones portables : ce qu’il faut savoir :
http://www.santepublique-editions.fr/telephone-portable-c...

Deux communiqués du 16 novembre 2020 :

http://www.santepublique-editions.fr/objects/Communique-R...
http://www.santepublique-editions.fr/objects/Communique-c...

Linky, l’essentiel de l’enquête :
http://www.santepublique-editions.fr/Linky-l-essentiel-de...
http://www.santepublique-editions.fr/la-presse-en-parle-p...
Linky, vous avez encore et toujours le droit de refuser :
http://www.santepublique-editions.fr/pourquoi-et-comment-...

LA FAMILE ACKERMANN vous connaissez ?


on en est arrivé là ! c'est exact, il nous faut un De Gaulle, et des Jean Moulin, plus des millions de résistants  par la bande, clandestins, qui feront de la résistance passive, de la clandestinité et de la solidarité dans leurs coins, qui feront semblant d'être cons, pour mieux tromper les SS (et ne  pas oublier de faire le tri et de pratiquer le plus profond mépris  et  de boycotter les médecins qui n'en sont pas et auront fait la preuve de leur indignité !! pour tous ceux qui obéissent et se font ainsi les fourriers du fascisme - ceux qui acceptent les cookies par exemple !! et tout ce qui fait le TOTALITARISME CAPITALISTE !

et puis
call the things by their names ! and don't du "social" (sic) distancing, and help anybody, anyway : hear the monster-appeal  "please help ! http://www.ipernity.com/doc/323779/50424316

11/11/2021

résumé de l'histoire

le meilleur résumé de la culture des années 50 ?
Les années 50 c’était l’époque de la science et du désespoir

(bien sûr ça a déjà commencé du temps de la génération d'Alfred de Musset, lisez Rolla, mais là dans les années 50 ce fut le stade le plus pur, le plus établi et sûr et général, étendu à l'ensemble des gens.)

 

Et les années 70 ?
ce fut l’époque du Grand malentendu libéral-libertaire

08/11/2021

un poème pour le temps présent

Allons, n’aie pas peur mon camarade.
Si les bottes résonnent
si l’Ordre règne
si la médiocrité découronne les mots
si les voix s’éteignent sous les bruits
rentre dans ta maison et allume ton feu.
Un grand feu de courage à réchauffer l’Idée
une étincelle rouge
à marquer les faussaires
une flaque de sang
à fleurir l’univers.
Invite l’avenir à manger avec toi
à boire dans ton verre
à tourner sur tes rêves.

 

(Pierre Boujut, l'auteur de "suivez-moi")

(à "médiocrité" il convient d'ajouter ""mensonges" et "collabos", et bien sûr il faudra en passer par "Le Chant des Partisans", hélas)

réflexion sur une définition de mots-croisés : Taxer Al Capone d'être un "gangster" ? Mais vous allez être accusés d'être des complotistes !