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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
pouvoir au Peuple souhaite expliquer comment on est passé du compromis social de 1945, faisant pendant 38 ans (1945-1983) de la question sociale la problématique numéro 1 partagée par tout le champ politique,au triomphe actuel des seules questions sociétales bourgeoises, à la con : succès du féminisme haineux et bourgeois du Collectif MeToo. Du Racialisme : les noirs mieux que les blancs. De la pensée woke. Importance des « trans », etc. Et de la mise au rancart de la question sociale (et donc de la gauche) renvoyée dans le cimetière des questions ignorées,refoulées (pas innocemment du tout!) du débat politique.
Pouvoir au Peuple définit la question sociale comme le souci de donner un emploi à chacun, afin de lui assurer une sécurité économique minimale. Comme la volonté de relever les salaires de tous les salariés de façon globale, au même niveau voir plus que celui de l’inflation, grâce auretour de l’échelle mobile.Donner des aides sociales et un revenu minimum aux plus démunis, y compris aux jeunes de moins de 25 ans. Réduire de façon importante les inégalités sociales par un écart maximal de 1 à 6 des revenus.
En 1945, les résistants sont victorieux des allemands, et rédigent le programme du Conseil National de la Résistance. Le patronat français est affaibli pour avoir collaboré avec les allemands. Dans ce contexte est voté en France de nombreuses mesures sociales que l’on appelle : le compromis de 1945.
Le Ministre du Travail communiste Ambroise Croizatest à la manœuvre. Son biographe notre ami hélas décédé Michel Etiévent écrit sa biographie : « Ambroise Croizat ou l’invention sociale », édition GAP, 1999. (etBernard Friot!)
Ambroise Croizat est un fils d’ouvrier né dans la Cité des Maisonnettes de Notre-Dame-de-Briançon en Savoie. Il est militant CGT. Responsable de la Fédération des Travailleurs de la Métallurgie-CGT, initiant et menant les luttes de son secteur. Il parcourt la France, gagnant sa vie en vendant La Vie Ouvrière. En 1936 il devient député communiste de Paris. Pendant la guerre, il est résistant. Et connait les affres du bagne à Alger de 1939 à 1943. Il rédige le volet social du futur Conseil National de la Résistance. En 1945, il devient Ministre du Travail du gouvernement du Général De Gaulle.
Ambroise Croizat impose cinq réforme majeures :
-La réforme établissant un régime général de sécurité sociale en France
-La création des comités d’entreprise avec droit de regard consultatif sur la vie économique de la structure le 22 février 1945.
-La retraite par répartition.
-Le relèvement substantiel des bas salaires.
-La création d’un véritable service public de l’emploi, on parlait alors de « service de la main d’œuvre », dont on sort avec un vrai poste de travail en Contrat à Durée Indéterminée. L’ambiance régnant dans ce service de la main d’oeuvre est sympathique et bon enfant : rien à voir avec Pôle emploi actuel.
Ses réformes, il les impose parce que les patrons sont affaiblis par leur collaboration éhontée avec les nazis. Mais aussi, il faut le savoir, parce que les militants communistes résistants conservent leurs armes non remises à la Libération. Surtout dans le nord de la France. Ces armes sont très importantes : elles créent un rapport de force silencieux: les patrons n’ont nullement envie de céder et d’appliquer les réformes sociales de Croizat. Mais ils savent que s’ils refusent, les communistes les obligeront à le faire avec leur carabine. Comme dit Pierre Bourdieu : il n’y a pas de loi sociale sans mouvement social préalable, qui ouvre un nouvel espace des possibles.
Ambroise Croizat n’est pas le seul à s’intéresser à la question sociale : c’est le cas aussi de l’Abbé Pierre, ex député MRP, célèbre pour son appel de l’hiver 1954. C’est lui qui fait construire les premières maisons Emmaüs pour les sans-abris, où il fait 13 degrés : on se reportera à l’excellent livre rédigé par Denis Lefebvre : « les combats de l’Abbé Pierre », édition Cherche-Midi, 2011). Pierre Mendès-France, président du Conseil en 1955, a aussi un programme politique très social. Jean-Edouard Jeanneney, ministre du travail centriste en 1968. Georges Pompidou,qui ne dort plus la nuit en 1967, parce qu’il y a 400 00 chômeurs. Il demande un rapport à François-Xavier Ortoli et Jacques Delors, membre du Commissariat général au Plan. Ce rapport qui propose des créations d’emplois, sert de matrice à tous les accords de branches professionnelle du moment : sidérurgie, chimie, …Résultat : le chômage diminue à50 000 demandeurs d’emploi en 1968.
Autre initiative l’échelle mobile des slaires, c’est-à-dire l’augmentation des salaires automatique selon l’inflation. Dans son livre intitulé : « Les hauts revenus en France au XXème siècle », édition Pluriel, 2001, Thomas Piketty montre comment les hauts revenus sont imposés à 40% de leurs revenus. Et surtaxés chaque année à titre exceptionnel, entre 1960 et 1980, toujours au titre de l’impôt sur le revenu. Cette majoration peut aller de +7,5% à +25%. C’est grâce à ces majorations que le Gouvernement Pompidou peut financer une politique de hausses salariales pour toute la population au travail. Aujourd’hui, le taux d’imposition est à peine de 21%, selon Alternatives Economiques.
Le célèbre Programme Commun signé en 1972 par Georges Marchais et F. Mitterrand prévoit de nouveaux droits aux travailleurs, la retraite à soixante ans, un relèvement des salaires, même une forme d’autogestion dans les entreprises etc…
On le voit : entre 1945 et 1983, la question sociale est considérée par tous les partis politiques de droite et de gauchecomme la question numéro un. C’est l’époque, où les enfants des classes populaires, pensent à juste titre, qu’ils auront une vie meilleure que celle de leurs parents.
Arrivela contre révolution conservatrice libérale des années 1980. Afin de lutter contre leur taux de profit en chute libre, la Bourgeoisie décide de l’ouverture des frontières et de la mondialisation féroce des échanges. Résultat : le capitalisme mondialisé occidental génère un chômage et une pauvreté de masse d’une ampleur inouïe : 1 million de chômeurs en 1980. 2 millions en 1988. 3 millions en 1997. 6,5 millions aujourd’hui selon la DARES. 15 millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté selon mes calculs. L’écart entre les salaires passe de 1 à 20 dans les années 1960 à un écart de 1 à 400 aujourd’hui
Le succès de Reagan et Thatcher aux Etats-Unis et Grande –Bretagne est recopié en France parMitterrand, grand ami de Thatcher.A compter de 1983, les « socialistes » imposent au Peuple français l’austérité à vie, et la suppression de l’échelle mobile: c’est à dire l’indexation des salaires sur les prix.
Les relations particulières Mitterrand/Jean-Marie Le Pen
La vérité est que Le Pen père et Mitterrand entretiennent des relations particulières. Comme écrit Thierry Meyssan : « le président François Mitterrand est issu du Parti socialiste. En réalité cet homme a débuté comme collaborateur des nazis. Il est décoré pour cela par le maréchal Philippe Pétain, mais parvient à le faire oublier. Il n’a pas évolué dans ses opinions, mais les a développées parallèlement à ses nouvelles.Il n’a jamais rompu avec ses amis d’extrême-droite. L’un d’entre eux est son directeur de campagne lors de son élection à la présidence de la République et le suivit discrètement à l’Élysée : François de Grossouvre.Mitterrand mène une vie comparable à celle d’un schizophrène : il a même deux familles, une femme socialiste et une autre d’extrême-droite. C’est une personnalité d’extrême-droite qui est à la tête de la gauche unie.
Arrivé au pouvoir, Mitterrand prend en main une fédération de chapelles néo-fascistes, le Front national (FN). Ce minuscule parti a été créé sur instruction du général De Gaulle. Il s’agissait pour lui de rassembler ce qui restait des collaborateurs nazis et des terroristes de la guerre d’Algérie sous les yeux des services secrets. Après l’assassinat du chef du FN, François Duprat, un agent patenté des services secrets en Afrique, il est remplacé par Jean-Marie Le Pen, député. Jean-Marie Le Pen a la charge de rassembler toutes les chapelles d’extrême-droite et de veiller à ce qu’elles n’intentent rien de préjudiciable à la République (cf article rédigé par Thierry Meyssan : Les français ne se parlent plus, 12 juillet 2022, Réseau Voltaire).
Mitterrand commence à le financer avec les fonds secrets de l’Élysée, via un compte bancaire suisse » (Les français : citoyens ou simples électeurs ?Réseau Voltaire).
De façon machiavélique, Mitterrand autorise en 1984 Jean-Marie Le Pen, Président du Front National, , à passer à la télévision. On rappelle que le Front National a obtenu 0,75% des voix en 1974. Et n’a pu présenter de candidats en 1981, faute d’avoir obtenu les 200 signatures nécessaires, analyse Thierry Blin dans son livre : l’Invention des sans-papiers, édition Presses Universitaires de France, 2010. Ce qui montre combien ce groupuscule politique n’est pas représentatif du corps social français, ni de ses problèmes de fin de mois.
Pourtant, et comme explique avec lucidité le sociologue Pierre Bourdieu dans son livre : Propos sur le champ politique, édition Presses Universitaires de Lyon, 1998, Le Pen père impose sa nouvelle opposition français/étrangers en lieu et place de la vieille opposition riches/pauvres. Voilà ce que Pierre Bourdieu écrit :
« Personne ne peut contester que tout le champ politique français, y compris le PS, le PC… a été transformé par l’existence de Le Pen. Il n’y a pas de politique qui n’ait pas accepté, reconnu en fait l’existence de Le Pen, en réagissant aux propositions de Le Pen : par exemple, en substituant, - chose très grave mais qui est passée inaperçue- à l’opposition riche/pauvre, qui était fondamentale dans la politique, l’opposition national/étranger » (sic) page 118.
On n’a pas oublié le propos de Fabius, le même qui a liquidé les fiefs industriels du nord et de l’est de la France, provoquant une explosion du chômage de masse, lorsqu’il était Premeir Ministre de Mitterrand : « Le Pen pose de bonnes question mais apporte de mauvaises réponses » : soit une façon d’accepter le nouveau clivage étranger/français.
S’il avait été un responsable de gauche sincère, il aurait dit à Jean-Marie Le Pen : « votre question est certes intéressante. Mais moi je me bats pour que les salariés aient de meilleures fins de mois. C’est la question sociale qui doit primer et non la question raciale »(sic). Au lieu de quoi, il accepte du même coup le dynamitage de la question sociale voulue par Le Pen père, pourtant très minoritaire dans l’opinion.
Et comme le dit très bien Pierre Bourdieu, cette mise à mort de la question sociale est passée inaperçue dans les têtes et dans les cœurs.
La fin du « partage » de la valeur ajoutée et de l’idéologie politique du « partage » :
Pendant les « 30 Glorieuses », le Peuple français a eu droit à un certain « partage de la valeur ajoutée » entre le facteur Travail et le facteur Capital. Tandis que l’idéologie du partage était validée par tous les partis politiques. Le Peuple français a eu des bribes de la croissance. Entre 1959 et 1979, les salaires augmentaient en moyenne de +2,25% par an. Mais avec le succès de la contre-révolution mondialiste occidentale, à compter des années 1980, Reagan, Thatcher, les augmentations de salaires se tassent : entre 1980 et 2018, elles sont à peine d’1% par an. Résultat : dans le partage de la valeur ajoutée, le travail perd dix points par rapport au Capital.
Comme dit Alain Accardo : « Le partage de la valeur ajoutée dans les années 1960 était une façon pour le système capitaliste de procéder à de nécessaires redistributions, sans lesquelles le mouvement social deviendrait explosif, et risquerait de coûter plus cher au classes dominantes », (type Mai 68). Aujourd’hui, avec la fin de l’URSS et de tout projet révolutionnaire, « comme on est passé du Deux (capitalisme/communisme) au UN(capitalisme) », comme dit Alain Badiou dans son livre : Notre mal vient de plus loin. Penser les tueries du 13 novembre, édition Fayard, 2016 :eh bien, il n’y a plus de partage de la valeur ajoutée, sauf sous forme de salaire au mérite.
Et Accardo d’ajouter : « les inégalités sociales, liées à l’appartenance de classe, sont si bien acceptées, si peu discutées, qu’on en arriverait presque à croire qu’elles sont naturelles » (sic). « Le petit-bourgeois préfère être petit dans le camp de la Bourgeoisie, que chez le Peuple ». Si Sartre estimait « qu’il ne faut pas désespérer Billancourt », « la Classe ouvrière n’a cessé de perdre son rayonnement et sa capacité à mobiliser de l’énergie sociale autour de son projet émancipateur révolutionnaire, au profit d’une petite-bourgeoisie, qui voit de renforcer ses perspectives d’ascension sociale au sein du système ».
A compter des années 1980, on assiste à une baisse gigantesque des salaires réels :
Mais ce n’est pas tout : comme analyse Madame Annie Lacroix-Riz dans sa vidéo intitulé : « les parades du patronat à la baisse tendancielle du taux de profit » : « on assiste à une baisse des salaires réels massives. La redistribution par le budget de l’Etat permet de donner notre argent des impôts aux seul riches : par exemple le CICE. La pression gigantesque sur la masse salariale freine la baisse du taux de profit. Il en résulteun appauvrissement de strates sociales qui, jusque-là vivaient très bien. Un professeur certifié, qui gagnait 2 SMIC dans les années 1960 ne gagne plus aujourd’hui qu’1,20 SMIC.
Comme dit de façoncynique le patron de Peugeot : il n’y a pas de limite à la baisse du coût de production (coût du travail). De plus, le Peuple français n’a plus d’organisation de défense, comme il a pu en avoir après-guerre ( PCF, CGT)»Et on ajoutera : le Peuple subit le reflux des espérances révolutionnaires post-68 ardes. Reflux orchestré par le septennant Mitterand à partir de 1983. La domination du capital est totale.
Naturellement, Pouvoir au Peuple conteste catégoriquement la légitimité du clivage français/étrangers imposé dans les années 1980, à des fins de désorienter les consciences. Renvoyer dans les limbes de l’impensé la question sociale jusque-là numéro une dans les têtes et les cœurs. De la même façon, Pouvoir au Peuple conteste catégoriquement le primat des seules questions sociétales : féminisme petit-bourgeois du Collectif MeToo. Racialisme. Pensée woke. Importance des « trans », etc. Tandis qu’est mis au rancart la question sociale renvoyée dans le cimetière des questions ignorées, refoulées du débat politique.
En accord avec la pensée du grand Ambroise Croizat, Pouvoir au Peuple veut refaire de la question sociale la question numéro une du champ politique français, qui doit réoccuper le centre du jeu politique pour le bien de tous.
Tel est l’objet des 9 propositions sociales du Programme Pouvoir au Peuple
ce que Jean-Dominique MICHEL décrit à la 37e minute depuis un sicle et demi on sait comment ça s'appelle, ça s'appelle la LUTTE DES CLASSES ! - a-t-il peur d'appeler les choses par leurs noms ? ou bien lui manque-t-il une culture marxiste (il est pourtant archi-cultivé) ? c'est pourtant le bon sens même, et aussitôt qu'on analyse avec les mots justes tout devient limpide, et rationnel.
quand à ce qu'il décrit à la 57e minute, ben, c'est une "société sans classes" comme la définit Karl Marx !
oui il faudrait comme il dit à la 58e minute que lorsque qu'un nouveau Klaus Schwab arrive tout le monde éclate de rire, comme dit Dieudonné "nous somme sous attaque, nous vous demandons de vous diriger vers le refuge du RIRE"
Jean-Bernard Fourtillan réapparait, et il raconte l’origine du « Covid19″ (Mme Buzyn savait que à cause de la structure "malaria" du Sarcov2, l'hydroxichloroquine allait le neutraliser, alors elle l'a interdit !), on vous donne aussi des conseils sur comment résister, et on a des infos confidentielles d'un colonel de la DGSE.
Tous les bobos collabos et les bourgeois faux gens « de gôôche » sont de la merde, comme Yann Moix, ou Valls (bien fait pour lui ! Il ne peut plus se présenter « nulle part en France », ni en Espagne d’ailleurs, tout ce que je lui souhaite c’est de finir clochard, le sort qu'il voulait pour Dieudonné et sa famille). (et la clique à Macron, et leurs journaputes, d'être pendus comme les nazis à Nüremberg)
Vive Maxime Nicolle ! Etienne Chouard! (Chouard plane à des kilomètres au-dessus des "journalistes approximatifs" ! et commence par leur rappeler qu'"il est impossible de penser à l'endroit avec des mots utilisés à l'envers" !
vive Paul Le Fèvre ! François Bégaudeau ! Houria Bouteldja, Jean-Pierrre Petit ! Bernard Friot ! Nathalie Debergh ! Dieudonné, Claude ET Lydia Bourguignon (qui ne font pas comme Farida Belghoul ! il est où Monsieur Belghoul ?) le Pr Perronne, le Pr Fourtillan, le Dr. Louis Fouché ce héros, Frédéric Chaumont, ERIC MONTANA, Jean-Claude Crèvecœur qui a peut-être le mieux compris de tous, il ne lui manque plus que d'être marxiste, et Olivier Probst ! son film ("vaccination Covid le crime parfait") est le meilleur et le plus profond. et LAURENT LOUIS. Vive Christian Dettinger bien évidemment ! Et vive l’Abbé Francis MICHEL Le pape a lui-meme dit : sortez de vos églises, allez à la rencontre des autres. Et il y a dans les Evangiles : allez sur les carrefours. L’histoire fera le décantage entre les nobles coeurs, les esprit intègres, et la vEluard - depuis 2020 c'est des valeurs d'actualitéaste merde des collabos ! Des « diplômés » (comme disent les journaputes), et des « putes de salon » (comme dit Dieudo) dont le comportement s’explique très bien quand on utilise l'analyse marxiste !
(et n'oublions pas le héros total, celui qui a préféré devenir clochard que de renoncer à nourrir les pigeons de Paris : Giuseppe Belvedere, le paradigme même de l'anti-fascisme, et de l'acte moral selon Michel Terestchenko)
et Michel Weber, et le Dr Frédéric Badel, et Olivier Probst, et Florian Piala, et Richard Boutry, et Florian Philippot notre De Gaulle de juin 1940.
Merci cher Florian pour toutes ces explications très pédagogiques. Les Patriotes c'est comme une grande famille où chacun est le bienvenu. Bienveillance, simplicité, fraternité et ouverture d'esprit sont les qualités qui y sont partagées. Prends soi de toi Florian et merci encore pour tout ce que tu nous offres.
Après Michael Paraire, Michel Weber, Frédéric Badel, moi-même dans ce blog (relisez mes billets sur "bilan de l'histoire" sur le salut hitlérien, sur l'ère de l'esclavage selon Marx, etc.) se multiplient les auteurs qui tour à tour aussi perçoivent dans le traitement capitalistico-médiatico, étatique, de la crise du Covid un avatar d'une tendance lourde et historique de l'Occident au fascisme, un fascisme 2.0 lisez aussi ce penseur qui comme Michel Terestchenko, nous rappelle aux BASES de la MORALE HUMAINE : Mohamed Tahiri que celui qui a des notions de morale et de dignité entende !https://changera2.blogspot.com/2021/12/le-comportement-de... ) censuré !
"nous nous battons pour le présent mais aussi pour le futur de l'humanité :
la cœur des hommes et des femmes qui n'ont pas renoncés à l'être Jean-Jacques Crèvecoeur ce noble héros, courageux, intelligent, cultivé, etc :
et concernant les "bobos", ces "cools" pleins de racisme social (tout racisme se ramène en fait , il suffit de gratter un peu pour s'en apercevoir, à un racisme social, un racisme de classe, un racisme anti-pauvres, réfléchissez cas par cas et vous vous en apercevrez aussi !) ceux derrière qui "le peuple ne repousse plus" - pas mal ! « après leur passage le peuple ne repousse pas » très bien trouvé ! et pas seulement le peuple ! Savez-vous ce que les ornithologues britanniques ont constaté ? Que le niveau de biodiversité dans les quartiers urbains était inversement proportionnel au prix des loyers ! C’est à dire que dans les quartiers chics, propre-en-ordre, « écolos » (!) tout est tellement bien rénové qu’il n’y a plus de trou pour que les moineaux puissent nicher, ni trouver de quoi manger, pas un crottin qui traîne, pas un insecte, pas une mie de pain (c’est le moment de rappeler le personnage de Giuseppe Belvedere qui nourrit les pigeons du 4ème arondissement de Paris sous les insultes des bourgeoises bon chic bon genre du quartier !! et qu’on a chassé de chez lui et amené à l’état de SDF). Bien sûr il n’y a pas non plus d’enfants qui jouent, relisez les bandes dessinées de Boule et Bill ou celles de Mafalda (jai fait deux billets sur ces BD, cherchez après !), et vous comprendrez tout ce que nos villes ont perdu depuis 1960, c’est épouvantable ! Quand ? mais quand ! les gens s’en rendront-ils compte ?
en 2013 il avait déjà annoncé ce qui se passe en ce moment :
22 mai 2013 : L’inévitable retour du fascisme ?
Michel WEBER
Tocqueville (1835) a indiqué que la démocratie de marché pouvait facilement donner naissance à un totalitarisme mou. Depuis Mumford (1932), on sait que la technoscience donnera volontiers un peu de rigueur au tropisme fasciste. Où en sommes-nous ?
La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.
De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité.
Il est donc fort piquant de remarquer que le grand public est parfaitement ignorant de ce retour de l’extrême-droite. Il pressent certes l’imminence de l’effondrement sociétal mais il n’a absolument pas conscience de la nature exacte du danger. La réouverture de camps de concentration ou même la généralisation des conflits régionaux semble passer inaperçue. De même, le sens et la portée de l’existence d’apologies hollywoodiennes (au propre comme au figuré) de la torture demeurent entièrement mystérieux. Cette double tension est paralysante et anxiogène, ce qui fait le jeu de l’oligarchie : quoi de plus manipulable en effet que des individus dans un état de coma moral et politique ?
Pire, les acteurs sociaux les plus remuants, les militants et les universitaires pensent l’effondrement de la civilisation globalisée à partir de leur expertise et sont dès lors conduits systématiquement à manipuler des statistiques, parfois très convaincantes, mais qui comprennent la transformation sociétale annoncée sur le mode de la lente désagrégation d’un pan de la société. Le long terme est ainsi mis en perspective à partir d’une facette supposée cruciale.
Or, ce qui s’annonce c’est un effondrement total et abrupt des « démocraties de marché » à la faveur de l’emballement d’une de ces crises qui constitue, en synergie, la crise globale systémique. Peu importe la nature de l’événement déclencheur — une pénurie de dix jours de l’approvisionnement de pétrole, des émeutes de la faim dans des quartiers (ou des pays) « défavorisés », des macro-mouvements de population forçant les portes de la citadelle Europe, un accident industriel majeur, une nouvelle bulle financière, une vraie-fausse pandémie, une guerre inter-régionale ou même mondiale, … — la conséquence politique sera inévitable et immédiate : l’état d’urgence, c’est-à-dire le totalitarisme, ou le chaos absolu, c’est-à-dire la guerre de tous contre tous. Une guerre civile serait comparativement plus structurante.
L’enseignant-chercheur qui n’a pas oublié la leçon de citoyenneté magistrale que nous a laissé Victor Klemperer (LTI, 1947) se doit en conséquence de mettre en évidence deux dynamiques : premièrement, il faut montrer que la réponse à la crise globale systémique est bien d’ores et déjà politique et que, si aucune force ne vient entraver l’inexorable progression du capitalisme du désastre, il ne nous restera bientôt plus qu’à émettre des regrets carcéraux ou post-mortem. Deuxièmement, il faut discerner les pistes théoriques et pratiques qui sont susceptibles d’infléchir cette trajectoire dès aujourd’hui.
Michel Weber
Une première version de ce billet a été publiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=53721 Dernier ouvrage paru : De quelle révolution avons-nous besoin ?, Paris, Éditions Sang de la Terre, 2013. (978-2-86985-297-6)
La culture , le sport , les loisirs , la créativité, la joie et la confiance ont fait place au repli sur soi , à la méfiance , au rabougrissement, au mépris envers les autres . La vie que le grand capital et son gouvernement nous laissait n’était pas terrible , mais mon Dieu nous parvenions à peu près à l’embellir . Aujourd’hui c’est devenu de la merde et ils nous interdisent d’en sortir . Cela va se finir en révolte armée et ils joueront les étonnés . Si on pouvait les pendre comme au tribunal de Nüremberg !
"Covid 19 le grand Reset" de Claus Schwab est leur Mein Kampf
"un autre monde a commencé!" Ouais ! j'en suis pas si sûr. Orban est incontestablement un homme de droite, et est beaucoup moins courageux et surtout moins humaniste que Georgescu. Savez-vous que c'est lui qui vaut imposer au niveau Européen un permis de conduire qui finit par ne plus valoir que pour un an avec à chaque fois l'obligation de passer une "visite médicale" vous voyez les dérives ! et le totalitarisme ! le fascisme ! comme pour l'injection Covid. Le planning de Davos ! l'horreur ! Le monde que ces gens (et Trump qui a certainement supervisé la mort de la Syrie - et des syriens - qui ne rêve que de bombarder l'Iran et de dégommer Maduro et les chavistes ! contrairement à ce qu'il prétend ce n'a rien d'un libérateur !)
BUDAPEST (Spoutnik) - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré qu'il avait passé la journée avec le président élu des États-Unis, Donald Trump, dans son domaine de Mar-a-Lago, avec le futur Conseiller à la Sécurité Nationale des États-Unis, Mike Waltz, et l'entrepreneur Elon Musk, également présents."USA aujourd'hui. Le futur a commencé! Un après-midi à Mar-a-Lago avec @realDonaldTrump, @elonmusk et @michaelgwaltz", a déclaré Orban sur X, postant des photos informelles de la réunion, où Musk était avec son fils.Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a également déclaré qu'il était présent à la réunion, affirmant que "la conversation était longue."Début juillet, M. Orban a rencontré le Président russe Vladimir Poutine, le Président chinois Xi Jinping, le Président turc Recep Tayyip Erdogan, M. Trump, ainsi que Volodymyr Zelenskyy. Par la suite, le Premier ministre hongrois a remis à tous les dirigeants de l'UE son plan de résolution du conflit en Ukraine, qui, selon lui, repose sur une évaluation réaliste de la situation, des objectifs réels et des délais.À l'automne, Orban a également annoncé qu'il avait l'intention de poursuivre sa "mission de paix."Plus tôt, Orban a déclaré que la Hongrie aimerait Trump de retour au pouvoir aux États-Unis et établir la paix en Europe de l'Est. Le Premier ministre hongrois a exprimé à plusieurs reprises l'opinion que si Trump était président des États-Unis, le conflit en Ukraine se terminerait dans les 24 heures. Orban a également souligné à plusieurs reprises que la paix en Ukraine ne pouvait être établie qu'après des négociations entre la Russie et les États-Unis, et que l'Europe avait manqué sa chance de médiation parce qu'elle n'était pas en mesure d'assurer la mise en œuvre des accords de Minsk. Plus tôt, Trump a promis qu'il serait en mesure de parvenir à un règlement du conflit ukrainien par le biais de négociations. Il a déclaré plus d'une fois qu'il pourrait résoudre le conflit en Ukraine en un jour. La Russie estime qu'il s'agit d'un problème trop complexe pour une solution aussi simple https://sputnikglobe.com/20241210/orban-says-spent-day-at...
tiens, un autre problème qui fait que la vie en 1960 était beaucoup plus commode et moins stressée que maintenant :
Depuis lors le Grand Capital a fait mourir tous les magasins.
Ce qui veut dire ?
Ce qui veut dire qu'alors, jusque dans les années 70, il n'y avait nul besoin de faire ses courses à la semaine (voire plus si on commande par catalogue comme Maximo par exemple, ce que les gens font de plus en plus, c'est plus reposant et on échappe à la soumission et à leurs immondes caméras de vidéo-surveillance! pour le mois entier), on pouvait acheter les choses au fur et à mesure qu'on en avait besoin ! - Un saut dans les magasins de la ville, voire du coin, quelques minutes de promenade (pas plus que dans un parking d'hypermarché !), et voilà !
Et on avait droit au sourire de la crémière (pas à la gueule des vigiles privés) ! ce qui change sacrément les relations sociales et l'ambiance des journées, je vous assure !!! Et on pouvait y envoyer les enfants, qui s'en faisaient une distraction, voire comme le raconte Elian-J Finbert le chien, dressé à aller acheter les croissants ! (et qui savait les compter !)
c'était LA FRANCE, c'était la Civilisation, c'était la vie normale
(je rappelle que la possibilité de créer des seisme a été envosagée et fait l'objet de recherches dès les années 70 en URSS, c'était dans le but de prévenir de gros tramblements de terre en en déclanchant de petits qui feraient se défaire les tensions qui s'accumulent dans la croûte terrestre. Et ils ont obtenus des résultats et mis au point des techniques. On sait donc que ça existe ! Puis les militaires se sont dit que on pourrait bien s'en servir dans un but cette fois non humanitaire, mais inverse à creer des trmblements de terre chez l'ennemi ! et alors les recherches on cessé d'être publiques ! et devenues militaires et SECRETES. Puis l'URSS s'est effondré. Beaucoup de chercheurs de haut niveau se sont retrouvé sans crédits, sans argent, sans revenus.C'est là que les américaisn qui avaient entendu parler de ça ont déémarché plusieurs scientifiques soviétiques, pour continuer à chercher chez eux ! Mais toutjours dnas des buts militaires et ultra-secret ! Danc on sait que ça se fait, mais bien sûr comme c'est secret on ne sait pas jusqu'à quel degré d'expertise ils sot arrivés, ni ce dont ils sont capables, le doute reste permis.
un souvenir sur la Roumanie (moi j'en ai aussi, mais concernant les hongrois de Roumanie, donc c'est hors-sujet)
"Rappelez vous Flavia Groshan médecin à l’hopital de Bucarest qui dans l’unité de soins intensifs dont elle avait la charge avait obtenu zéro décès lors de la COvidie et ce en supprimant 2 médocs à partir des observations faîtes par des infirmières, divisé par 5 l’oxygène administré aux malades et administré de la clarythromicine (médoc de la même famille que l’azytrhomicine qui a eu aussi en France de très bons résultats ) . En fin de compte les années Ceaucescu n’ont pas tant que ça endormi le peuple roumain . C’est vrai que cette candidate fait honneur à la Roumanie . J’ai fait la connaissance d’une roumaine il y a 25 ans environ . En moins de 15 jours elle avait compris comment fonctionnait la France et toutes les turpitudes qu’elle présentait . Elle parlait 5 langues dont le Français qu’elle estimait être sa 4 ème langue après le roumain , le russe , l’allemand (à propos de cette langue elle avouait avoir des difficultés avec les concepts philosophiques ) et avant l’italien . Et pourtant son français était remarquable "
bref seuls les covidosceptiques et les "antivaxx" sont intelligents et sont le fruit de l'expérience, pas comme les "kollabos" vaccinolâtres et covidiste piqouzés intolérants haineux et flicards, plein d'enseignants aussi arrogants que crédules, je l'ai constaté !!
il est pacifiste, antiompérialiste, pro-palestinien, écologiste, dénonce Davos, la finance, le pouvoir du grand capital. Il est d'extrème-gauche. Il est humaoiste.
Tulsi Gabbard nommée au poste de directrice du renseignement national par Donald Trump, est considérée comme favorable aux positions de la Russie,
Ancienne membre du Congrès d’Hawaï et opposante déclarée aux guerres d’intervention, (c'est rare chez les etats-uniens !!) T. Gabbard, qui a quitté le Parti démocrate pour rejoindre les Républicains, elle est perçue comme une figure critique de la politique étrangère américaine, en particulier en ce qui concerne la Russie et l’Ukraine. Elle a critiqué le gouvernement américain pour ses livraisons d’armes à Kiev, qu’elle estime « exacerber la situation » et éloigner la paix. En 2022, elle a également souligné que la résolution du conflit pourrait nécessiter des concessions territoriales de la part de l’Ukraine et son engagement à la neutralité, tout en appelant à une implication active des États-Unis dans un processus de paix plutôt que dans une intensification de l’escalade. Pour Kiev, la nomination de T. Gabbard est une surprise ; elle figure en effet dans la base de données « Peacemaker », qui recense les personnalités perçues comme hostiles à l’Ukraine.
Dès 2016, T. Gabbard et D. Trump partageaient certaines vues critiques vis-à-vis des interventions US à l’étranger. (mais ça n'a pas changé la politique US !) T. Gabbard s’est opposée à l’implication militaire des États-Unis en Syrie et a également condamné les actions américaines en Irak et en Afghanistan. Mais ça n'a pas empêché *trump de chercher à ruiner le Venezuela populaire ! Elle prône une réduction de la présence militaire à l’international et a régulièrement dénoncé les « guerres de changement de régime » comme coûteuses et inefficaces. Elle a même comparé l’aide militaire américaine en Ukraine aux interventions passées, estimant que « les élites de Washington tentent de faire de l’Ukraine un nouvel Afghanistan ». En 2022, elle a dénoncé qu’il existait des faits irréfutables prouvant l’existence de laboratoires secrets de guerre biologique en Ukraine financés par les États-Unis. Malgré les réactions, elle a maintenu sa position, affirmant que des éléments tangibles soutenaient ses propos.
La nomination de T. Gabbard risque de diviser les faucons du Sénat, où elle devra être confirmée. D.Trump justifie son choix en saluant l’« esprit intrépide » de la candidate et sa volonté de « garantir la paix par la force ». En tant que directrice du renseignement national, elle sera responsable de la supervision des 18 agences de renseignement américaines et de la préparation des rapports de sécurité quotidiens pour le président.
et la base d'une pensée scientifique et rationnelle, l'anti-complotisme est une maladie mentale, et surtout un outil de manipulation, une "psy-op" des comploteurs !
(et d'abord il faut, comme pour toute chose, connaître les origines historiques de l'usage qui est fait de ce terme ! dans ce film https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina... à partir de 1H 45m 45s vous avez l'origine et la véritable nature de ce terme de "complotisme" dont on nous rebat les oreilles ! écoutez-bien, il faut toujours connaître l'histoire ! on ne l'étudie pas assez.)
Et bien sûr encore ce TRUC de manipulation de la masse par nos maîtres : Avant, tout ce qui menaçait leurs intérêts pervers et cyniques était qualifié de "communiste" et on faisait la CHASSE AUX COMMUNISTES "grande cause nationale" , maintenant les mêmes choses on les qualifie de "complotisme" !
En fait c'est exactement le même phénomène. Donc VIVE LE COMMUNISME ! VIVE LE COMPLOTISME ! VIVE LE RATIONALISME (C'est d'ailleurs la même chose !)
Le Génie du Complotisme Guillaume de Rouville. Le complotisme présente cinq caractéristiques majeures qui le distinguent de l’anti-complotisme et qui résument tout son génie. Ses caractéristiques, que nous passerons rapidement en revue (partie 1), sont autant d’avantages sur l’anti-complotisme qui nous feront comprendre, par contraste, les limites épistémologiques de ce dernier, ses motivations profondes et ses soubassements idéologiques (partie 2). Notre conclusion sera double : 1. Seul le complotisme permet d’appréhender la nature du pouvoir. L’anti-complotisme est une émanation du pouvoir dont la vocation est de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce. 2. On ne dialogue pas avec le pouvoir : on s’y soumet ou on le combat. Il s’ensuit, naturellement, que les complotistes n’ont plus à chercher les faveurs des anti-complotistes ou de leurs maîtres, ni à s’excuser de penser hors des sentiers battus ou d’émettre des hypothèses de travail audacieuses. Il est temps pour les complotistes de se montrer offensifs et face à l’idéologie du chaos que le pouvoir incarne et projette sur le monde à travers ses relais médiatiques et institutionnels, de présenter le complotisme comme un remède aux pulsions mortifères de l’hydre mondialiste. Le complotisme est un humanisme. Partie 1 Les 5 avantages du complotisme 1. Avantage Méthodologique Tandis que l’anti-complotiste se contente la plupart du temps d’énoncer la thèse (officielle s’entend), le complotiste est contraint de travailler, d’approfondir à la fois la thèse et l’antithèse. Ainsi, le complotiste a une connaissance fine de la version officielle et des arguments de la version opposée. Cela le contraint à chercher et à ausculter plus profondément les faits, à les présenter dans un ordre cohérent et à les soumettre à un examen critique poussé.
Tandis que l’anti-complotiste n’a qu’à répéter la thèse officielle sans avoir besoin de la justifier, le complotiste est obligé de chercher des preuves solides à l’appui de ses propos et finit par acquérir une connaissance bien plus large que celle de l’anti-complotiste qui a borné son champ d’investigation parce qu’il lui suffit de citer une source « prestigieuse » pour gagner la bataille du pouvoir médiatique et la considération de ses pairs. Que ce soit, par exemple, pour le 11 Septembre ou le réchauffement climatique anthropique, seuls les complotistes appliquent le principe du contradictoire, principe fondamental à la fois pour les journalistes, les historiens et les juges qui devraient examiner méthodiquement et en profondeur les thèses en présence avant de se prononcer sur le fond de l’affaire dont ils s’occupent. L’anti-complotiste ne voit pas l’absurdité de sa position qui consiste à penser que la version officielle est toujours la bonne (comme la raison du plus fort). Ce qui revient à interdire toute alternative, toute contradiction, toute possibilité de remettre en cause la version des faits une fois qu’elle a été estampillée par le sceau officiel et crachée sur les ondes des médias dominants. L’anti-complotiste confine ainsi le réel dans une forme figée pour les siècles des siècles. Il se comporte comme le gardien d’une prison où les faits récalcitrants sont tenus en joug et passés à tabac, loin du regard des foules, tant que leur volonté d’indépendance et de franchise n’a pas été brisée. Il rééduque et torture les faits qui ne suivent pas ses mots d’ordre ou son catéchisme et ne les relâche dans l’arène publique qu’une fois qu’ils ont perdu leur prétention à dire leur part de vérité. Le complotiste libère les faits cadenassés qui retrouvent tout leur sens caché et leur autonomie, il les rend à l’air libre où se meuvent à leur aise la vérité et le réel. Le complotiste n’ayant pas droit aux arguments d’autorité (par exemple, l’invocation d’un prétendu « consensus scientifique » des experts sur le réchauffement climatique anthropique) et étant soumis au feu permanent des critiques, il lui faut devenir un orfèvre dans son domaine pour pouvoir contrer un adversaire qui se contente de répéter un message univoque et balaie d’un revers de mains dédaigneux les arguments qu’on lui adresse. Enfin, le complotiste cherche à donner du sens à ce qui, apparemment, n’en a pas toujours. Il ne se contente pas de laisser l’inexplicable inexpliqué. Si trois immeubles s’effondrent sur eux-mêmes alors que seulement deux ont été percutés par des avions, le complotiste essaie de comprendre ce phénomène étrange en convoquant des causes humaines et physiques qui sont dans l’ordre naturel des choses. Là où l’anti-complotiste, à court d’idée et d’arguments, finira pas se contenter de hausser les épaules, le complotiste, ira chercher des causes humaines (des volontés) si les causes physiques (mécanique des corps et mécanique des fluides) ne sont pas suffisantes. De son côté, l’anti-complotiste, n’hésitera pas à réinventer les lois de la physique, juste pour l’occasion, afin de s’interdire de penser au-delà de la thèse officielle. Car, s’il devait s’aventurer sur le terrain glissant d’une hypothèse alternative, cela pourrait le conduire à devoir désigner un coupable inattendu, à découvrir un acte humain, voire une entente entre plusieurs personnes conscientes de leurs actes. Ainsi, pour expliquer l’absence de débris d’avion sur le Pentagone ou sur le site de Pennsylvanie en septembre 2001, l’anti-complotiste invoquera la possibilité que les avions se soient gazéifiés (thèse défendue par le très « prestigieux » journal Le Monde), ajoutant de la sorte quelques règles nouvelles aux lois de la thermodynamique. Il ne lui viendrait jamais à l’esprit qu’un mensonge volontaire se cache peut-être derrière l’inexplicable. Dans le même ordre d’idée il en vient à voir, dans les guerres menées par les démocraties occidentales, des événements naturels que ne guident aucune pensée maléfique ni volonté humaine. Pour résumer les avantages méthodologiques de son approche, on peut dire que le complotiste travaille plus que l’anti-complotiste, connaît mieux son sujet et les arguments des parties en présence, ne se repose pas sur des arguments d’autorité pour avancer ses idées et accumule les éléments de preuve pour justifier ses propos et donner du sens aux événements et aux faits qui se déroulent devant lui.
Ce sont là des raisons qui expliquent que les anti-complotistes ne répondent presque jamais positivement aux offres de dialogue que leur font les complotistes : ils savent, en effet, qu’ils finiront généralement déboités par les arguments de leurs contradicteurs ! Pour justifier un tel refus, ils rangent volontiers leurs adversaires sous l’appellation générique et bien commode du « camp de la haine », mettant ainsi entre eux et les complotistes une sorte de cordon sanitaire émotionnel qu’il serait difficile et dangereux pour tout un chacun de rompre impunément. Cette technique de la rhétorique de disqualification utilisée à l’encontre du complotiste, à la quelle vient généralement s’ajouter des menaces et des injures, est le signe que, sur le terrain de la méthode, le complotiste vient bousculer son adversaire dans ses derniers retranchements, lorsque celui-ci est au bord de son propre gouffre intellectuel.
Bref on retrouve chez eux l'attitude de Henri Wallon, qui au milieu du XIXè siècle disait : "un "ROUGE" n'est pas un homme, c'est un "rouge ! ce n'est pas un être doué de raison comme vous et moi, mais un être dégénéré et déchu" ....
Oui ! oui ! anticomplotisme et anticommunisme même combat !
2. Avantage Psychologique Le complotiste n’a ni d’apriori ni de tabou. L’impensable est pour lui toujours pensable. Si le complotiste navigue ainsi volontiers, par méthode et par prudence, dans l’air du soupçon et ne prête sa confiance à quiconque, il traite tout le monde à la même enseigne, les puissants comme les faibles ; il les écoute avec le même degré d’attention, sans chercher à plaire ou à déplaire à leurs susceptibilités respectives. Il veut comprendre et non pas justifier. De son côté, l’anti-complotiste est enfermé dans le dogme de l’infaillibilité démocratique, ce qui lui interdit automatiquement tout un champ des possibles. Il est psychologiquement incapable d’imaginer que nos dirigeants démocrates puissent faire le mal intentionnellement. C’est bien cet apriori qui, aux yeux des complotistes, rend les anti-complotistes aveugles à la compréhension d’une part importante de notre monde. Et pour le dire plus clairement, les anti-complotistes sont dans l’incapacité de comprendre la nature et les ressorts du pouvoir (nous y reviendrons). Ils ne voient pas que le pouvoir, ontologiquement, est une physique de la contrainte et une métaphysique de la domination. L’anti-complotiste est tellement engoncé dans cette opinion, qui est pour lui une sorte d’article de foi, qu’il ne pourra jamais concevoir que nos dirigeants puissent, par exemple, en toute connaissance de cause : (1) empêcher l’utilisation d’un remède peu couteux et efficace contre un virus, cousin de celui de la grippe, afin de favoriser une solution imaginaire et hypothétique (le vaccin) lors d’une pandémie annoncée et voulue, pandémie qui n’est pas tant le résultat d’une incompétence généralisée de nos commis en charge des affaires de l’État, que d’un chaos organisé par ces derniers comme un jeu de rôle mondialiste planétaire ; (2) s’allier avec des mouvances terroristes islamistes pour faire tomber des régimes laïques en Libye et en Syrie en ayant recours à des actes de terrorisme à grande échelle et en organisant le massacre et le gazage de populations entières tout en accusant le camp adverse d’en être responsable. De telles conclusions, iraient au-delà de ses forces psychologiques et l’amèneraient, sans doute, au bord de la crise de nerf et de l’hystérie. Ainsi, pour l’anti-complotiste, la démocratie occidentale ne peut commettre de crime puisqu’elle ne peut avoir de mauvaises intentions : elle ne tue que par dommages collatéraux, jamais volontairement. Par conséquent, on ne peut lui imputer des crimes de masse, seulement des erreurs circonstancielles et contextuelles qui ont eu de tragiques conséquences humaines inattendues. La culpabilité de la démocratie occidentale ne dépasse jamais celle de l’élève qui aurait pu mieux faire. Les anti-complotistes ne voient et n’admettent de complots que chez les autres ! terroristes musulmans ou les Russes, les Iraniens ou les Chinois, quand cela arrange leurs affaires et conforte leurs représentations du monde binaire (« eux » contre « nous »). Là, en général, aucune preuve tangible n’est exigée ! il suffit à l’accusation de désigner les coupables pour emporter la conviction de la foule conformiste des bourgeois cultivés qui ne craignent rien tant que d’émettre des hypothèses et, encore plus, d’avancer des théories qui sortiraient de la vulgate publiée régulièrement dans les gazettes officielles (Le Monde, The Guardian ou le New York Times). 3. Avantage Conceptuel Le complotiste offre des outils intellectuels pour appréhender le monde. Il propose des termes (qu’il a ou non construits lui-même) pour désigner des événements, des phénomènes difficiles à cerner ou à concevoir : Mondialisme, Atlantisme, Empire, Opposition Contrôlée, État Profond, Satanisme, Nouvel Ordre Mondial, Injonctions Paradoxales, Dogme de l’Infaillibilité Démocratique, Crimes Médiatiques, Rhétorique de Disqualification, sont autant de concepts outils permettant de sortir de l’hébétude dans laquelle le complexe médiatico-industriel progressiste nous maintient, afin de mieux cerner et comprendre le monde dans lequel nous évoluons. Le complotiste apprécie la clarté d’un concept là où l’anti-complotiste préfère la confusion, l’absence de sens et de signification, ou le sens inversé de l’absurde : non pas le mystère qui pourrait nous ouvrir la porte d’une transcendance porteuse d’espoir, mais le vide comme explication universelle. L’anti-complotiste ne nous laisse qu’un champ de bataille sémantique chaotique où le néant et l’ambiguïté sont maîtres du réel et de nos neurones. Empêcher la compréhension du réel et l’émergence des concepts explicatifs est sans doute l’un des objectifs du pouvoir pour demeurer « le pouvoir » et persévérer dans son être. Son crédo est de rester insaisissable, « im-pensable » et impensé, pour n’être point combattu. Un totalitarisme dont on ignorerait l’oppression ne susciterait sans doute pas d’opposition autre que contrôlée. C’est tout le génie de la démocratie représentative, instrument privilégié de l’oligarchie occidentale, que de nous empêcher d’établir clairement des liens de causalité entre des décisions humaines de quelques-uns et la longue chaîne des malheurs des peuples. 4. Avantage Moral Le complotiste a un avantage moral immense par rapport à l’anti-complotiste parce qu’il doit montrer plus de courage et affronter les difficiles conséquences sociales de ses propos. Tandis que l’anti-complotiste, en bon conformiste adorateur de la normalité sociale, ne fait que relayer et répéter les paroles de l’évangile médiatico-politique qui lui est servi quotidiennement, le complotiste sait qu’il aura contre lui les puissants et la masse des bourgeois cultivés qui peuplent les cercles mondains des multiples socialités auxquelles la vie nous invite tous à participer. Le complotiste prend constamment des risques dans sa vie professionnelle et privée pour simplement émettre des doutes et proposer des explications alternatives : on ne compte plus le nombre de complotistes débarqués de leur poste pour avoir avancé quelques hypothèses dérangeantes sur le 11 Septembre, l’implication des démocraties occidentales dans le terrorisme islamique ou la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique anthropique. Si le courage ne donne pas raison, il a une valeur intrinsèque qui distingue nettement le complotiste du bourgeois cultivé conformiste (ou acheté ....) qui fait office d’adversaire. Le complotiste ose nommer le mal, il ose désigner les puissants et les puissances qui sont derrière ces manifestations humaines : il ne se contente pas, comme les professionnels de la révolte, d’attaquer des abstractions (par exemple, le capitalisme), il confronte des pouvoirs concrets (dont la somme des liens et des alliances fait et révèle le pouvoir dans toute sa puissance et ses nuisances) et nomme les responsables. Pour le 11 Septembre, il désignera volontiers le petit groupe de néoconservateurs comme responsables ou au moins complices des attentats ; il en fera le portrait détaillé en égrenant leur CV et leurs méfaits avérés. Concernant l’hystérie sanitaire mondialiste déclenchée au printemps 2020, il n’hésitera pas à pointer du doigt le rôle de Bill Gates et des dirigeants de l’OMS, de certaines firmes pharmaceutiques (comme Gilead)
(Maximisation du profit, lutte des classes, bref le B. A. ba du marxisme, c'est à dire du bon sens) ou de certains médias (comme BFMTV en France) dans le déclenchement de cette expérience orwellienne à l’échelle mondiale. L’anti-complotiste, lorsqu’il dénonce, est plutôt dans la délation puisqu’il désigne à la vindicte médiatique et judiciaire, à la censure et aux poursuites pénales, les lanceurs d’alertes qui n’ont en général que leur plume pour se défendre. L’anti-complotiste utilise volontiers la menace et l’intimidation pour faire taire ceux qui s’aventurent hors des sentiers battus et rebattus : la rhétorique de disqualification et l’hystérie émotionnelle sont ses outils préférés. Ainsi, tandis que le complotiste dénonce les puissants et se met volontairement dans leur ligne de mire, l’anti-complotiste établi des listes d’opposants isolés à exécuter en place publique sans leur donner la parole. Il y a du Cyrano de Bergerac chez le complotiste : s’il n’a, bien évidemment, pas toujours raison, il avance empanaché d’indépendance et de franchise et revendique le droit de se tromper. Les complotistes sont à la fois une dissidence et une résistance. Peut-être même les seuls à s’opposer aux expériences orwelliennes que nos démocraties oligarchiques nous imposent de temps à autres pour éprouver leur puissance : hystérie sanitaire, hystérie réchauffiste, hystérie anti-Trump (qui n’est que le syndrome d’une hystérie contre les souverainistes et les partisans de la diversité des nations), etc. Comme nous le verrons en :
partie 2, l’anti-complotisme est une hystérie.
Ce qui frappe, quand on fait le bilan du complotisme sur les deux dernières décennies, c’est l’incroyable capacité de celui-ci à avoir raison, à prédire ce qui va advenir. En analysant avec sérieux et pertinence le présent et le passé récent, le complotisme est capable de mieux appréhender les grandes orientations qui se dessinent devant nous que tous les experts réunis en conclaves officiels. Sur le 11 septembre, sur la guerre en Irak et en Syrie, sur le réchauffement climatique anthropique, sur le Russiagate et l’affaire ukrainienne aux États-Unis, sur le Covid-19 et sur tant d’autres sujets scientifiques ou géopolitiques, le complotisme engrange les victoires les unes après les autres. Plus le temps passe plus les faits s'accumulent plus on s'aperçoit que c'étaient les "complotistes"qui avaient raison ! La démonstration de la force prédictive de la pensée complotiste a été particulièrement spectaculaire lors de l’épisode de totalitarisme sanitaire et sécuritaire que nous avons tous vécus au printemps 2020. Aux modèles prédictifs délirants (souvent informatiques) invoqués par les comités « scientifiques » mis en place un peu partout en Occident lors de cette drôle de crise sanitaire qui prévoyaient l’apocalypse tous les matins du monde, les complotistes ont opposé le bon sens, l’analyse cartésienne, le raisonnement et le sang-froid, et ont ainsi pu identifier rapidement des solutions efficaces pourtant décriées par tous les médias dominants tombés volontairement dans une hystérie destinée à faire perdre l’entendement collectif. Le complotiste est parvenu à s’extraire du bruit et de la fureur de l’actualité brouillonne et a eu raison sur toute la ligne : de l’analyse du problème à la proposition d’un remède. N’ayant d’apriori à l’égard de personne, le complotiste a écouté toutes les parties en présence et à pu saisir au vol le réel avant qu’il ne soit confisqué et défiguré par les tortionnaires de l’information qui lui ont substitué la peur comme seul vecteur de la représentation du monde. Nous y reviendrons en détail dans la deuxième partie ou dans un article séparé. Depuis le début du conflit en Syrie, seuls les complotistes savaient que le président Bachar el-Assad était soutenu par la grande majorité de son peuple et n’était pas au bord de la déroute, bien que tous les journaux ayant pignon sur rue en Occident annonçaient à longueur de colonnes la fin imminente du « régime sanguinaire ». Concernant le réchauffement climatique, regardez les conférences de Istvan Marko ! scientifique de l'ULB, il a tous les faits et les graphiques c'est lumineux ! ____________ Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux humains, loin des promesses trans-humaniste et technicistes qu’on veut nous imposer sans débat, il est temps d’affirmer ce que nous sommes : un humanisme.
Marie-José MONEGER 30 décembre 2020 9 h 50 min Le complotiste est un être cartésien dont la curiosité est insatiable, qui lit et observe beaucoup, qui réfléchit également beaucoup, qui n’hésite pas à se remettre en question et à avouer qu’il s’est trompé …! Le complotiste a oublié d’être bête, Le complotiste est un HUMANISTE … !!! Martha 30 décembre 2020 13 h 09 min Répondre à Marie-José MONEGER C’est exactement cela. Quand il connait toute la réalité du Monde dans lequel il vit, tous ses rouages, toute l’horreur semée par les plus puissants, le complotiste devient beaucoup plus fort intérieurement et devient, par conséquence, plus humain. C’est bien la raison pour laquelle, tout est fait pour le faire taire et cacher ses messages.
C’est aussi le B à BA de la philosophie; le doute , la réflexion , le refus du principe d’autorité , de la croyance irréfléchie et naïve. Bref de l’opinion non examinée ; Duc1950 30 décembre 2020 10 h 47 min Complotisme est un mot « inventé » par les comploteurs pour « discréditer » les gens qui dénoncent leurs magouilles ! Thierry Theller 30 décembre 2020 12 h 41 min Tout à fait. À l’instar du régime soviétique qui, pour faire tenir à carreau ses détracteurs, leur a collé sur le dos le terme infamant de fasciste. Les mondialistes, eux, notamment la CIA, en ont fait tout autant avec la qualification de : » Complotiste « . Cette qualification, aujourd’hui cuite et recuite, se retrouve servie à la moindre contestation de l’illégitimité du régime totalitaire, imposé aux populations du monde.
daruma 30 décembre 2020 17 h 03 min Excellent article. Je me permets d’apporter ma petite contribution. Les anti-complotistes semblent ignorer tout de l’ingénierie sociale et de la fabrication du consentement, ces instruments de contrôle et de manipulation des masses. De manière générale, ils ont un problème avec la causalité : pour eux, une intention malveillante et concertée ne saurait expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivons. C’est qu’ils s’imaginent que les comploteurs maîtrisent tous les effets qui résultent de leurs actions. [ce qui évidemment est faux ! Innombrables sont les conspirations qui ont échouées o ot été détournées, exemple la Révolution de 1830, c’était un comlotd’étudiants des grandes écoles, qui voulaient remplacer Charles X par un régime républicain, et ont tout savamment préparé, mais unechse à l’aqeleles ils n’avaient pas pensé, c’est la grande peur des possédants devant la perspective d’une république, et les ambitions de Louis-Philippe d’Orléans fils de son père (comploteur lui aussi, mais qui n’avait pas réussi, puisqu’il finit guillotiné) qui à ramassé le mise, ce qui fait que la République des comploteurs leur est passé sous le nez!] Si vous discutez avec un anti-complotiste (ouvert à la discussion et sans animosité [ça existe?!] ), il finira par aboutir à cet argument qui consiste à dire que c’est trop incroyable pour être vrai. Tout brillant et intelligent qu’il puisse être, il part avec deux handicaps majeurs : il ignore sa propre idéologie et ses propres biais cognitifs, voyant la paille dans l’œil du complotiste mais ne sachant pas qu’il a une poutre dans le sien. Et surtout, il bute sur l’obstacle affectif qui lui fait considérer comme invraisemblable et inconcevable ce qu’il ne veut surtout pas voir ni concevoir. Il y a aussi le fait d’essentialiser le complotisme : cela consiste à dire que puisqu’il y a eu par le passé des théories du complot qui se sont révélées fausses, cela veut dire que toutes les théories du complot sont fausses. Elles sont fausses par définition, par la magie d’une définition, la fausseté étant contenue dans la définition même du complotisme. Le complotiste est un suspect jugé d’emblée coupable d’avoir tort, il ne bénéficie d’aucune présomption d’innocence. Il suffit ensuite d’étendre l’anathème « complotiste » à tous ceux qui cherchent la vérité qui se cache derrière les mensonges et les manipulations des entités détentrices de pouvoir. C’est bien pratique quand on veut faire taire ceux qui dérangent. C’est l’arnaque suprême des anti-complotistes, laquelle consiste à ranger dans la rubrique « complotisme » toute tentative de remise en question des versions officielles, et donc à combattre toute pensée dissidente.
Le complotiste est celui qui révèle la vérité des faits, qui met à jour le complot par l’analyse rationnelle des faits. Les complotistes sont ainsi qualifiés par les comploteurs pour faire croire qu’il n’y aucun complot. On pourrait même penser qu’il n’y a pas de complot, puisqu’ils ne se cachent même plus : ils dévoilent leur projet. Sans doute ne disent-ils pas tout, et qu’il y a bien d’autres surprises à découvrir. https://charlesandrelegrand.over-blog.com/