28/06/2014
danger mortel !
Tout devait rester entièrement secret. Rien ne devait filtrer des négociations sur l’accord sur le commerce des services (ACS) entamées depuis deux ans à l’ambassade d’Australie à Genève entre les États-Unis, l’Union européenne et une vingtaine de pays. Une vaste entreprise de libéralisation qui touche jusqu’aux services publics fondamentaux. Des mesures assurant une confidentialité totale des discussions ont été prises, dans un langage digne d’un scénario à la James Bond. Les textes établissant l’avancée des pourparlers ont été « classifiés », selon un jargon utilisé généralement pour les dossiers secret-défense. Ils doivent être « protégés de toute diffusion non autorisée » et stockés dans un système d’ordinateurs lui-même classifié et maintenu « dans un building ou un container clos » sous haute surveillance. L’objectif déclaré est que rien ne puisse transpirer du contenu de ces tractations « jusqu’à cinq ans après la conclusion d’un accord » ou la fin des négociations si celles-ci devaient finalement ne pas aboutir.
C’était sans compter sur la dextérité des lanceurs d’alerte de WikiLeaks qui sont parvenus à récupérer une partie des textes surprotégés. Ils ont publié ainsi le 19 juin sur leur site l’annexe du traité en préparation consacré aux services financiers.
https://wikileaks.org/tisa-financial/
Ces révélations soulignent, en fait, l’ampleur de l’offensive engagée par Washington, suivi par les États membres de l’Union européenne, pour permettre aux multinationales de truster, le moment venu, le commerce des produits financiers mais aussi celui de tous les services sur les grands marchés transatlantique et transpacifique, dont les négociations, on le sait, avancent au même moment, dans la plus grande discrétion.
Contourner les résistances populaires et réfractaires de l’OMC
Les pourparlers secrets pour parvenir à un accord sur le commerce des services (ACS) ont démarré en 2012 et leurs initiateurs entendent tout faire pour les conclure avant la fin 2015. Ils sont en fait destinés à contourner l’obstacle que constituaient les résistances de forces progressistes, de mouvements sociaux, de syndicats et de plusieurs pays en développement pour la conclusion d’un accord global sur le commerce des services (AGCS) au sein de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Devant la paralysie du processus multilatéral lancé en 2001 dans le cadre du cycle dit de Doha de l’OMC, un groupe de pays a décidé, sous l’impulsion des États-Unis et des États membres de l’UE, d’entamer, il y a deux ans, une négociation parallèle.
Autrement dit : désavoué démocratiquement et donc sorti par la porte, l’AGCS pouvait ainsi rentrer par la fenêtre sous l’impulsion d’une cinquantaine de gouvernements. Les négociateurs autoproclamés ont l’espoir de définir dans un cadre plurilatéral des normes pour qu’elles s’imposent, à terme, comme unique référence internationale. Ils misent d’évidence sur leur poids économique – ils représentent ensemble près de 70 % du commerce mondial – pour rallier en fin de compte les pays récalcitrants de l’OMC court-circuités. Le lieu géographique des tractations a simplement été transféré de quelques rues à Genève, passant du siège de l’OMC aux locaux de l’ambassade d’Australie, pays opportunément tout acquis à la libéralisation.
Principale source d’inspiration du groupe : les « experts » de la « coalition globale des services » (GSC) au sein de laquelle on retrouve, côté états-unien, les géants du secteur (banque, Internet, énergie) mais aussi, côté européen, le Medef ou le poids lourd français, Veolia (voir ci contre). Le document diffusé par WikiLeaks, qui correspond au relevé de la négociation au 14 avril dernier, révèle le forcing déployé pour banaliser le commerce des produits financiers, comme si rien n’avait été retenu des causes du krach ravageur qui s’est produit seulement sept ans en arrière.
Échanges financiers, le retour du délire
Les normes proposées dans l’annexe du texte secret consacré au commerce des produits financiers visent d’abord à restreindre la capacité d’intervention de la puissance publique et se fixent ouvertement comme objectif un modèle « autorégulateur » de la finance. Les États signataires du futur ACS ne seraient quasiment plus autorisés à légiférer pour limiter les transactions financières transfrontalières (article X 3.2.).
Au nom de la libre concurrence les « monopoles d’État en matière de fonds de pension » – traduisez : les systèmes publics de Sécurité sociale – seraient, à terme, démantelés. Même « les assurances pour calamité naturelle » se devraient de ne plus fonctionner sous contrôle public.
L’approbation de l’autorisation de produits financiers innovants est recherchée (article X 2.1.). On sait combien le laxisme organisé à cet égard a nourri la boursouflure financière qui a éclaté, il y a sept ans. « Les CDS (credit defaut swaps), qui furent considérés comme des produits innovants, ont été au cœur de la crise », fait remarquer à juste titre Jane Kelsey, professeure à la faculté d’Auckland, en Nouvelle-Zélande, sur le site de WikiLeaks.
Les firmes Internet états-uniennes font pression pour transmettre sans véritable garde-fou les données de leurs clients. En particulier celles qui sont présentes dans les systèmes dits « clouds » (nuages) qui permettent de stocker des documents hors du disque dur de l’ordinateur. Cette information-là suscite depuis le jour de sa divulgation par WikiLeaks, le 19 juin, une vive réaction dans la presse allemande où les révélations d’un autre lanceur d’alerte, Edward Snowden, sur l’espionnage de masse pratiqué par la NSA (National Security Agency), avec la complicité des géants états-uniens de l’Internet, avaient déjà suscité beaucoup d’inquiétudes dans l’opinion.
Privatisations interdites
Les orientations du texte secret stipulent que les sociétés étrangères ne sauraient être victimes d’un traitement dit « discriminatoire ». Autrement dit : elles doivent avoir accès au marché des pays signataires exactement dans les mêmes conditions que les prestataires locaux, qu’ils fournissent ou non un service public à la population.
Un géant de la fourniture d’eau ou de gaz, comme les français Veolia ou GDF Suez, aurait ainsi non seulement le droit de s’installer sur un marché tiers. Mais il pourrait aussi faire jouer une clause d’engagement au respect de la concurrence pour exiger de bénéficier de subventions d’un montant égal à celui versé par l’État en question au service public de l’eau ou de l’énergie.
Par ailleurs le retour à une nationalisation d’un service public privatisé, fût-il partiel, serait strictement interdit aux États signataires au nom des garanties accordées aux investisseurs afin de favoriser, explique-t-on, la fluidité des échanges. Ainsi deviendrait impossible une remunicipalisation de l’eau décidée en maints endroits en France comme à Paris, après la gabegie et l’explosion des factures des particuliers provoquées par les requins de la Générale et de la Lyonnaise des eaux, qui se sont longtemps partagé le marché de la capitale française.
Éducation, santé, transports, rien n’échapperait à l’appétit du privé
L’ACS doit s’appliquer à tous les domaines capables de fournir un service à l’échelle internationale. Selon l’Internationale des services publics (PSI), qui regroupe quelque 669 syndicats dans le monde entier, il englobe ainsi un champ immense : la fourniture transfrontière (le mode 1 de l’ex-AGCS) – telle que la télé-médecine, la formation à distance ou les paris sur Internet –, le tourisme (mode 2 de l’ex-AGCS), l’investissement étranger direct avec les principes et les conséquences que l’on vient d’exposer (mode 3 de l’ex-AGCS) et le mouvement temporaire des personnes physiques (mode 4 de l’ex-AGCS). L’objectif d’accords comme celui dont la négociation est secrètement engagée, dénonce Rosa Pavanelli, la secrétaire générale de la PSI, est « d’institutionnaliser les droits des investisseurs et d’interdire toute intervention des États dans un large éventail de secteurs ».
Santé, éducation, transports, rien n’échapperait à cette logique qui accélérerait, dans des dimensions inédites, la libéralisation des services publics. Selon une logique d’écrémage par le capital privé en mal d’acquérir de nouvelles ressources dans la phase actuelle de la crise où les débouchés se rabougrissent. Il cherche à s’accaparer les secteurs financièrement les plus prometteurs. Les cheminots français en lutte ont ainsi parfaitement discerné la menace qui pourrait conduire à une polarisation des investissements privés sur les tronçons voyageurs les plus rentables quand des dizaines de voies dites secondaires et donc de gares seraient condamnées à disparaître. Le 4e paquet ferroviaire de la Commission européenne n’est certes pas dans le traité secret en cours de négociation. Il n’en épouse pas moins la ligne dévastatrice pour l’avenir des services publics et, au passage, pour… un certain mode de construction européenne. Comme on devrait le savoir au moins depuis l’élection du 25 mai l’acharnement libéral, prêt à nier la démocratie au point d’agir caché contre les intérêts des citoyens, met pourtant l’Europe en danger.
24/06/2014
Le plus grand ennemi de la libre-entreprise c'est le néo-libéralisme
la liberté d’entreprise,
Par l’effet de concentration du capital,
les salariés sont sans cesse plus nombreux et les patrons de moins en moins
nombreux. Ceci nécessite l’appropriation – le vol- par des intérêts privés de la
terre et des moyens de production, et par la mise en place de lois qui favorisent
l’emprise des patrons sur les salariés."
Le capitalisme est un dévoiement, un parasitage de l'entreprise.
Les sociétés capitalistes des pays développés sont
les plus antilibérales du monde, puisque 90 % des actifs y sont salariés.
Non seulement le néolibéralisme actuel n'est que l'idéologie d'une véritable razzia mafieuse sur la planète, ses habitants, et ses ressources, non seulement ce n'est pas créateur de liberté individuelle mais ennemie de celles-ci, non seulement contrairement à son idéologie proclamée même ce n'est pas en faveur de la libre entreprise
(si vous savez l'Espéranto, lisez ce texte) (1)
Et c'est de plus c'est l'ennemi très précisément de la démocratie (pensez au Chili de Pinochet, installé justement POUR ça: instaurer le néo-libéralisme au Chili) - et comme le dénonce "mamie sceptix", ET de toutes les bases d'un état de droit: ainsi son principe n'est pas seulement de supprimer tous les services publics et de "privatiser" (mot trompeur comme je viens de le dire, car les personnes privées n'en profitent pas au contraire ! mais seulement quelques gros empires capitalistes de type féodal ! le "corporate power" comme on dit en anglais) toute l'économie, mais de privatiser aussi la justice :
http://www.aporrea.org/tecno/a25131.html
(1)
Pensez seulement ce fait, parmi des centaines d'autres similaires, jusqu'à il y a quelques décennies à peine les hotels étaient presques tous tenus PAR DES PARTICULIERS - libre-entreprise donc - maintenant ceux-ci ont presque tous disparus, les hotels ne sont maintenant plus que des filiales de vastes empire d'investissement financier, des "chaînes" (le mot par hasard à double sens est bien trouvé!).
autre exemple: le commerce, où est le droit à la libre entreprise des caissières et des "gorilles privés" des supermarchés ? lesquels pendant ce temps ont poussé à la mort des dizaines de milliers de libres entreprises, les magasins particuliers (cf. http://miiraslimake.over-blog.com/article-658066.html)
Dans quelle caserne, entièrement aux mains de "familias" féodales va-t-on vivre ?!!!!!! C'est la fin de la société ! c'est la fin de la Civilisation, c'est la fin de toutes les libertés et de toutes les bases même de la société, c'est le soviétisme avec tous ses défauts et aucun de ses avantages
aussi le néo-libéralisme est l'idéologie du grand capital, du "corporate power" et de la finance, et s'il se sert des petits patrons comme d' "idiots utiles", comme autrefois ils ont fait avec la paysannerie, sont en fait leur plus grand ennemi, les peittes entreprises payent des impôts (histoire de les exaspérer contre l'Etat et les maintenir bien à droite ! mais surtout) pour permettre à Mmme bettencourt centmille fois plus riche qu'eux de ne pas en payer !! ICI à la 58-59 è minute
"une des caractéristiques historiques du capitalisme est la limitation de
la liberté d’entreprise, par la réduction du nombre d’entrepreneurs et l’essor
d’une classe de salariés de plus en plus nombreux, cristallisant ainsi une
hiérarchie sociale. Avant le 18ème siècle au Royaume-Uni, il y a des formes
précapitalistes sociologiquement minoritaires, mais pas de société capitaliste.
Le salariat est consubstantiel au capitalisme. L’avènement du salariat va
de pair avec le développement du capitalisme, lorsque des artisans indépendants
ont été transformés en ouvriers dans des usines.
"Les premiers visés furent les petits patrons, les commerçants, les artisans et surtout les paysans qui représentaient un tiers de la population active à la Libération."
13/06/2014
l'Union "Européenne" n'est pas une idée européenne
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*l'UE est une construction essentiellement anti-démocratique, et conçue comme telle.
Sur le dernier éditorial de "Bastille République Nations"
"Le PDG du « groupe » Airbus écrivait à ses salariés à la veille des élections européennes : « je vous encourage vivement à aller voter pour une Europe démocratique, résiliente, forte politiquement et militairement. »
ouais; mais c'est un mythe ! elle n'a jamais existé, ce qu'on a créé sous couvert de ce mythe c'est une Europe terrain de soumission de l'impérialisme US, camp de concentration capitaliste pour ses habitants, « puissant levier » pour la destruction de toutes les politiques pro-travailleurs, une « assurance-vie contre le socialisme », une construction mafieuse et oligarchique, une étape vers le NWO.
Le FdG et Die Linke qui a fait le même choix avec la même déconvenue …. a pris pour thème l'exigence de « transformer » l'UE. Ce mot d'ordre a été bien compris pour ce qu'il est : un refus de sortir de l'UE – et de l'Euro. Pour dire les choses simplement, entre l' « anti-européisme » et l' « alter-européisme », la colère populaire – particulièrement chez les ouvriers et les jeunes – a tranché, fondamentalement et durablement.
l’UE va de plus en plus évoluer comme une machinerie oppressive et incontrôlable, durcissant son attitude à mesure que la contestation populaire va augmenter
23/05/2014
comment sauver la France
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http://europereinformezvous.over-blog.com/
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*dimanche 25 première chose : voter pour les listes UPR
*dans le programme il y a nationalisation des banques; comme disait déjà le Général de Gaulle, en 1945 justement : http://antibanque.blogspot.fr/2011/06/le-general-de-gaull...
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20/05/2014
28/4/2006 - impressions de voyage en Croatie
Les stewards et le hôtesses de l'air: on dirait que c’est des clones ! ils se ressemblent tous et ils ont touts exactement la même physionomie, on dirait qu’on les a clonés (d’ailleurs ça laisse rêveur sur le sort des 99% de gens qui se sont pas selon cet aspect, dans la société actuelle ….. )
Le printemps a 10 jours d’avance en Dalmatie sur le Pas-de-Calais : glycines et lilas en fleurs
+ iris + hirondelles.
potagers, linge qui sèche : vie normale, civilisée, libre, agréable, à visage humain.
Split : c’est un mur de béton (mais ce n’est pas la même genre de clapiers qu’en France, ça reste à visage humain même si entassé, ça ne s’est pas (pas encore !) transformé en ghetto où on entasse avec mépris et sans équipement les pauvres et les exclus ! … Et on sent la VIE, les gens, derrière ces balcons avec la trace de la vie-individuelle-vécue dans chaque appartement, le linge qui sèche par exemple. La Croatie n’est pas encore devenu un enfer totalitaire et les villes une façade de morgue comme c’est en France !!
L’Europe est vraiment surpeuplée On n’est plus en Croatie, on est aux Etats-Unis, quelle horreur ! C’est l’Europe politically correct flico-Bushiste maniaque et rampante du Traitement de Choc Libéral
« Supetar Resorts » (sic) tout un programme, déjà le vocabulaire !
C’est tout du plastique! C’est tout du plastique et de l’amerloque. On n’est pas en Croatie, là; en Caroline du Sud peut-être. ? Ce n’est pas un hotel normal, tenu par des particuliers (« libre- entreprise » qu’ils disaient !! ...) mais une espèce d’élèment d’un empire financier ! et le personnel est en uniforme ! comme dans les palaces.
Et tout est en anglais !
En fait j’ai découvert après que la plus grande partie de la clientèle est allemande, mais ils n’ont aucun texte en allemand ! tout en anglais ! charmant !
- Bob Black a raison quand il dit que la seule différence entre le travail et les loisirs organisés c’est que pour travailler au moins on ne paye pas en plus pour le faire !
Pas pratique et vraiment stressant (c’est pas des vacances !) les repas en libre-service éclaté, etc. Remarquez, comme j’ai été malade durant tout le séjour, rien n’a de goût, toute ingestion n’est qu’une infecte corvée. Tout le séjour est un enfer et une torture, et les nuits aussi. De toutes façons c’est un gros rhume ce que j'ai, exactement comme j’avais quand j’étais petit. Mais alors j’étais chez moi et j’étais soigné … Quand j’étais petit je disais que c’était agréable d’être malade, ou au moins d’être convalescent. Mais une fois qu’on est adulte il n’y a plus personne pour nous soigner, et la convalescence ça n’existe plus Les maladies ne sont plus que d’immenses malheurs. Et même quand on va mieux l’angoisse incessante de se demander : «est-ce que je suis encore assez malade pour justifier que je sois encore en congé ? est-ce que je ne risque pas de me le faire reprocher ?» de telle sorte qu’on est presque content de voir que ça ne va toujours pas. Et le tout tout seul , dans la merde qui s’accumule, sans aucun espoir d’avoir un jour le temps et la force de remettre les choses en ordre, puisque quand ça ira mieux ça sera pour retourner travailler !
Aucune convalescence, aucune ! rien, rien que la souffrance et le désespoir, et l’impuissance.
petit-déjeuner: outre les œufs, lard et jus d’orange anglais, plus les fromages et sauces allemandes, il n'y a apparemment que les français qui ont un menu spécial à base de pain beurre et confiture, il y a en fait TOUTES les mêmes choses qu’on trouve dans les autres repas. Quel est donc ce pays (USA ?) où au petit déjeuner on mange exactement les mêmes choses qu’aux autres repas (comme en Egypte et en Inde)
Comme en témoignent 3 photos successives de la 1ère pellicule (le 22 avril), en Croatie
-il y a encore des hirondelle
-il y a encore des bancs public
-il y a encore des églises (des vraies, ouvertes !)
et il y a encore des bonnes-sœurs (avec leur « voile islamique » !
A chaque fois qu’on voyage penser absolument à emporter des morceaux de sucre. Ici aussi il
n’y a pas de morceaux de sucre ! et un café sans morceau de sucre : beurk !
Croate : 10 = deset 20 dvadeset 50 pedese 100 = sto
19/05/2014
le critère
que tous les chefs d'Etat (surtout ceux du Tiers-Monde, quoique maintenant je le conseille aussi très fort aussi à ceux d'Europe !) doivent garder à l'esprit :
« Quand les États-Unis sont contents de moi, cela veut dire que je suis sur la mauvaise route. »
(Gamal Abd-el Nasser)
13/05/2014
le terme "populisme" arme de manipulation de classe !
*En une image tout est expliqué ! Je pense que là vous avez compris !
*
05/05/2014
c'est une révolution (en fait)
Bien entendu tout ce petit monde n'a rien d'antisémite ! tout ça c'est de la propagande, comme l'accusation de "sorcellerie" au XVIè siècle, la force démocratique d'Internet rend nos maîtres complètement hystériques !
*
comme il n'y a plus moyen d'intégrer une vidéo Dailymotion voici un lien :
Tepa - MetaTV versus AFP - Le Clash au Congrés... par metatvofficiel
02/05/2014
"Grand Marché Transatlantique" attention danger !! il n'y a rien qui doit être au-dessus des Etats, parce que les Etats ce sont les peuples
*Enfin ça devrait l'être ! et le rester. C'est pourquoi il faut regagner notre démocratie, et d'abords notre souveraineté.
François Asselineau, ou retrouver les vraies valeurs de la politique. On commence par l'Ukraine, le Grand Marché Transatlantique c'est vers la fin de l'interview.
*
24/04/2014
On est plus que jamais dans ce monde qui a produit les génocides du XXe siècle, vous ne comprenez pas ? Lisez Zygmunt Bauman « Modernité et holocauste »
On aurait pourtant du s'en douter, ils n'ont même pas caché leur jeu : le Codex Alimentarius est dans ses statuts « a Trade Comission », ce qui veut dire en français une commission à but commercial et non pas une commission de santé public ou de défense des consommateurs comme ils nous le présentent. Le Codex est bien là pour défendre le commerce des lobbies; il n'y siège que des experts mandatés par eux seuls, qui y débattent de leurs seuls intérêts ! Comme le résume Jacques Généreux : « Les experts décident de tout, y compris de qui est un expert; en un mot c'est une « démocratie » débarrassée des citoyens ! » Aujourd'hui 200 entreprises se partagent 25% des profits mondiaux.
Et vraiment, notre santé est le cadet de leurs soucis ! Ce qui les préoccupe, c'est comment vendre au plus grand nombre ? Faire le plus grand profit ! Qu'importe ce qu'il y a dans leurs produits du moment qu'on les achète ! Qu'importe s'ils nous tuent à petit feu du moment qu'on leur laisse nos sous ! De toutes façons ce n'est pas eux qui vont acheter les produits discount ! Leur saumon vient de prestigieuses enseignes, pas de chez Lidl ! Alors ça n'est pas leur problème !
Jean-Pierre Berlan, au cours d'une de nos conversations, rejoignait cet avis : On est plus que jamais dans ce monde qui a produit les génocides du XXe siècle … Est-ce que Renault vend des voitures ? Est-ce que Nestlé vend du lait ? Non ! Ils vendent du profit »
Ils ont mené leur barque en toute hypocrisie et en toute discrétion. Comme le montre cette citation : « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »
(Claire Séverac)