16/03/2019
La révolution Bolivarienne du Vénézuela n'est pas allé assez loin
Ah oui ! comme j'ai dit dans mon article sur Sennaciulo, (revue papier de SAT) les demi-mesures, la recherche de modération, de compromis, (les combats défensifs, comme dir Bernard Friot sont voués à l'échec), les Forum Social Mondial Susan Gorge "Puerta del Sol", etc, c'est fini ! si on se contente de ça on sera bouffé par la réaction de ceux "qui crachent sur les tombes des personnes qu'ils tuent" comme disait MC Solaar, il faut comme a dit Susan George (là elle avait raison ! ) "se radicaliser en vieillissant".
Regardez Cuba est allé au bout a rencontré une profonde hostilité de l'impérialisme US et de l'Internationale du grand capital, et de leurs "merdias" la Voix de nos Maîtres, mais il a tenu ! et est reconnu par l'ONU comme la seule économie "écologiquement durable" de toute la planète.
Le Vénézuéla a voulu ménager la chèvre et le chou (prend garde Mélenchon ! tu as vu ce qui est arrivé à Tsipras d'ailleurs !), et voilà tout ce qu'il a récolté : comme la Syrie, comme l'autogestionnaire Yougoslavie, comme Kadhafi,quand il a baissé la garde dans l'espoir de se faire accepter par la "communauté internationale" (sic!), les manoeuvres visant la guerre civile et la destruction !!
En tout cas souhaitons bonne chance au Venezuela qui se bat pour la liberté de toute la planète (il faut le savoir ! bien s'en rendre compte).
http://b-tornare.overblog.com/2017/07/election-constituan...
"Il va de soi que de telles réalisations au profit du peuple n’ont pu se faire qu’au détriment des parasites. (oui, il faut se remettre à appeler un chat un chat, comme Bernard Friot à la télévision !) On comprend dès lors que ceux-ci veuillent se débarrasser de Maduro, cet empêcheur de magouiller en rond…https://www.google.com/search?q=macron+pinochet&rls=org.mozilla:fr:unofficial&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwj9wPbArbngAhWjxYUKHZ9XAl0Q_AUIDigB&biw=1045&bih=636#imgrc=MPS8UCYldBLfkM:
La « révolution bolivarienne » n’est pas allée assez loin. Elle n’a pas su, comme la révolution cubaine, couper radicalement les ponts. Si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des États souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste ? Mais de telles perspectives ne pouvaient que déchaîner la haine revancharde des nantis !! et susciter l’hostilité mortifère des USA !! Comme Allende au Chili, Sukarno en Indonésie, Lumumba en Afrique, Mossadegh en Iran en 1953, etc. Sans oublier Chavez en 2002 qui ne dut son salut et la vie qu’à la fidélité de sa garde présidentielle et au soutien de la rue.(et s'est fait assassiner par cancérisation - les "services secrets" savent faire ça, depuis les années 60 déjà ! - interposée dix ans plus tard)
La tenue de ces élections est une grande victoire de la démocratie et un sacré doigt d’honneur à tous ses ennemis !
Arriba Venezuela !"
lisez la totalité de l'article par le lien ci-dessus !!
pour un autre site (en espagnol) : https://hastaelnocau.wordpress.com/2017/07/31/subestimaro...
un autre (en français) : http://www.bellaciao.org/fr/spip.php?article155174
Et pour un bilan du vote à la Constituante http://www.comite-valmy.org/spip.php?article8846
Oh, que vous avez bon cœur ! J’ai versé une larme en pensant à la générosité américaine. « Tous ces produits exquis : des sacs de riz, du thon en boîte et des biscuits enrichis en protéines, et de la farine de maïs, et des lentilles, et des pâtes, arrivés à la frontière du Venezuela si perturbé, assez pour un petit repas léger par personne pour 5 000 bouches affamées » nous dit le JT, comme un écho sublime des 5 000 fidèles venus écouter le Galiléen, le Christ qui parvint à les nourrir tous avec de petits pains et de petits poissons [Mat. 14, 14-21, Marc 6, 34-44]. Mais le Christ ne s’était pas emparé des comptes bancaires, pour rafler l’or de ceux qu’il nourrit ce jour-là.
En fait, le Venezuela du XXIe siècle est une bonne affaire bien plus rentable que la Galilée au premier siècle. Aujourd’hui, il faut organiser un blocus si l’on veut que les gens vous soient reconnaissants pour votre aide humanitaire.
Ce n’est pas un problème. Le duo US-GB l’avait fait en Irak, comme l’écrivait la merveilleuse Arundhati Roy en avril 2003 (dans le Guardian de jadis, avant qu’il ne devienne un simple outil impérial – comme Le Monde !) : après que l’Irak a été mis à genoux, le peuple était affamé, un demi million d’enfants avaient été tués, ses infrastructures gravement endommagées... puis le blocus et la guerre firent place... vous avez deviné : aux sauveteurs humanitaires. Au début, ils avaient bloqué les arrivages de nourriture qui valaient des milliards de dollars, puis ils ont livré 450 tonnes d’aide humanitaire, et célébré leur propre générosité pendant quelques jours de reportages en direct à la télé. L’Irak aurait eu assez d’argent pour acheter toute la nourriture requise, mais cet argent avait été bloqué, et les habitants ont reçu des cacahuètes.
Et c’était plutôt humain, selon les normes américaines. Au XVIIIe siècle, les colonisateurs britanniques en Amérique du nord avaient mis en œuvre des méthodes plus drastiques, dans leur assistance aux natifs désobéissants. Les Peaux Rouges avaient été expulsés de leurs terres ancestrales, et c’est après qu’il leur fut administré une aide humanitaire : du whisky et des couvertures. Les couvertures avaient auparavant été utilisées par des patients tuberculeux. La population autochtone de l’Amérique du nord fut décimée par les épidémies générées par ces mesures et d’autres du même acabit. Vous n’avez peut-être pas entendu parler de ce chapitre de votre histoire, vous les Américains ; votre pays est couvert de musées de l’Holocauste mais il n’y a pas un seul mémorial du génocide commis à votre porte. C’est bien plus fun de débattre des péchés des Allemands et des Turcs que de ceux de vos aïeux.
D’abord, vous affamez les gens, puis vous leur apportez de l’aide humanitaire. C’est un schéma proposé par John McNaughton au Pentagone : bombardez les écluses et les barrages, noyez les plantations de riz, causez une vaste disette (plus d’un million de morts ?) « et alors nous allons livrer une aide humanitaire aux Vietnamiens affamés ». Ou plutôt : « Nous pourrions offrir d’agir en ce sens à la table de conférence ». Planifier un million de morts de faim, par écrit, oui ; si une telle note avait été découverte dans les ruines du Troisième Reich, ce serait la cerise sur le gâteau des génocides, tous les jours on nous le rappellerait. Mais l’histoire du génocide des Vietnamiens est rarement mentionnée de nos jours.
Ils l’ont fait en Syrie, aussi. Au début, ils ont apporté des armes pour les mettre entre les mains de chaque extrémiste musulman, puis ils ont bloqué Damas, et enfin ils ont envoyé de l’aide humanitaire, mais seulement dans les zones sous contrôle rebelle.
Cette méthode cruelle mais efficace pour briser l’esprit des nations a été longuement mise en œuvre par les dompteurs de lions, pendant des siècles, peut-être. Il faut affamer le fauve jusqu’à ce qu’il vienne manger dans votre main et vous lécher les doigts. Ils appellent ça la domestication par la faim.
Les Israéliens pratiquent la chose à Gaza. Ils bloquent toute importation ou exportation de la Bande de Gaza, interdisent de pêcher en Méditerranée, et mettent sous perfusion les prisonniers palestiniens à coup d’aide « humanitaire ». Les sionistes ont encore affiné le procédé ; ils se débrouillent pour que ce soit l’UE qui paye pour l’aide humanitaire destinée à Gaza et qu’elle achète les provisions à ... Israël ! Ce qui fait de Gaza une source importante de profits pour l’État juif.
Au Venezuela, donc, ils suivent un vieux schéma. Les US et leurs caniches de Londres ont saisi quelque 20 milliards de dollars appartenant au Venezuela, et des firmes nationales vénézuéliennes. Ils leur ont pris un milliard en lingots d’or que le Venezuela avait déposé en confiance dans les caves de la Bank of England. Ils avaient dit, bien sûr, qu’ils donneraient cet argent à un illustre inconnu vénézuélien, plus exactement : au gars qui avait déjà promis de remettre la richesse du Venezuela aux firmes US. Et après ce pillage au grand jour, ils apportent quelques containers d’aide humanitaire à la frontière, et attendant que les Vénézuéliens aux abois se ruent dessus pour manger.Mais les Vénézuéliens ne meurent pas de faim, même s’ils traversent des difficultés. Ceux qui en font tout un battage, ce sont les riches, comme toujours. Si Pompeo veut aider les Vénézuéliens, qu’il lève donc les sanctions, qu’il rende les fonds, qu’il mette fin au blocus. Les biscuits qu’il veut fournir ne règleront rien.
Le président Maduro a bien raison de refuser que cette hypocrisie serve à acheter les estomacs et le cœur de son peuple. Ce n’est pas seulement qu’il se souvient de Virgile et qu’il sait qu’il faut « se méfier des Grecs et de leurs cadeaux », Timeo danaos et dona ferentes, Il y a trop de soldats américains et colombiens tout autour des lieux de débarquement, eux-mêmes tout proches d’aéroports avec des pistes d’atterrissage grand format adaptées pour mettre en place des ponts aériens.
Les US sont réputés pour leur propension à envahir les voisins. Le Panama a été envahi en 1989 pour que le canal reste aux mains des US et pour faire annuler l’accord signé par le président Jimmy Carter qui avait bon cœur. George Bush senior avait envoyé ses troupes aéroportées après avoir qualifié le président du Panama de « dictateur et trafiquant de cocaïne ». C’est exactement ce que dit le président Trump du président vénézuélien. Ils vont vouloir utiliser cette aide pour envahir et acheter le Venezuela. Lucide, Maduro a mis en route de grands exercices militaires afin que l’armée se tienne prête en cas d’invasion. Mais la situation du Venezuela est largement assez sinistre même sans invasion. Leur argent leur a été séquestré, leur compagnie pétrolière principale est quasiment confisquée ; et il y a une solide cinquième colonne qui attend les yankees à Caracas.
Cette cinquième colonne est principalement constituée de compradores, des jeunes de bonne famille avec une touche d’éducation occidentale, qui ne voient leur avenir que dans le cadre de l’empire américain. Ils sont prêts à trahir les masses mal lavées et à céder le passage aux troupes US. Ils ont le soutien des super riches, des représentants des compagnies étrangères, des services secrets occidentaux. Ce genre de personnages existe partout ; ils ont essayé d’organiser la Révolution du cèdre au Liban, la révolution verte en Iran, le Maïdan en Ukraine. En Russie ils ont eu leur chance lors de l’hiver 2011-2012, lorsque leur révolution en manteaux de vison s’est jouée sur la colline moscovite de Bolotnaïa. À Moscou, ils ont perdu la main à partir du moment où leurs opposants, la foule des Russia-First, a pris le dessus en réussissant une manifestation encore plus grande sur la colline de Poklonnaya. Les agences occidentales ont tenté de masquer la défaite en envoyant des images de la manif des soutiens à Poutine (la « Montagne ») tout en disant que c’était « Le marais » pro-occidental. D’autres agences occidentales ont publié des images des rassemblements de 1991 en disant qu’elles avaient été prises en 2012 sur « Le marais ». À Moscou, personne ne s’est laissé piéger. La foule en vison savait que c’était de la pommade.
En Ukraine ils ont gagné parce que le président Yanoukovitch, un personnage changeant, hésitant et pusillanime, n’avait pas réussi à rassembler un soutien massif. C’est une grave question, de savoir si Maduro va être capable de mobiliser les masses qui veulent d’abord le bien de leur pays. Si c’est le cas, c’est lui qui gagnera la confrontation avec les US, dans la foulée.
Maduro est plutôt réticent : il n’a pas d’oligarques qu’il ait réussi à discipliner ; il ne contrôle pas les médias ; il tente de jouer la carte sociale-démocrate dans un pays qui n’est pas la Suède, loin de là. Ses subsides ont permis aux gens ordinaires d’échapper à la pire pauvreté, mais maintenant, ce sont les trafiquants au marché noir qui siphonnent la richesse de la nation. Loin d’être une zone sinistrée, le Venezuela est un pays de cocagne, un eldorado : on peut y remplir un cargo de pétrole pour rien, le détourner sur la Colombie voisine et le vendre au prix du marché. Bien des fans de « l’illustre inconnu » se sont fait des petites fortunes de cette façon-là, et escomptent bien faire un grand massacre dès que les Américains débarqueront.
Un problème plus grave, c’est que le Venezuela est devenu une économie basée sur la monoculture. Il exporte son pétrole et importe tout le reste. Il ne produit même pas de quoi nourrir ses 35 millions d’habitants. Le Venezuela est victime de la doctrine néolibérale qui prétend que vous n’avez qu’à acheter ce que vous n’arrivez pas à produire. Maintenant, ils ne peuvent plus acheter, et ils ne produisent pas non plus. Imaginez une Arabie saoudite démocratique et frappée par un embargo...
Pour sauver l’économie, Maduro devrait assécher le marécage, en finir avec le marché noir et ses profits, encourager l’agriculture, la taxation des riches, développer un peu d’industrie pour la consommation locale. C’est faisable. Le Venezuela n’est pas un État socialiste ordonné comme Cuba, ni un État social démocrate comme la Suède et l’Angleterre dans les années 1970, mais même son très modeste modèle pour permettre aux masses de surmonter la misère, la pauvreté et l’ignorance semble inadmissible pour l’Occident.
Quand un jeune politicien plutôt inconnu, dirigeant d’un petit secteur néolibéral rageusement pro-américain, un vrai tartempion de service, s’est proclamé président, il s’est vu immédiatement reconnu par Trump, et les médias occidentaux ont publié des reportages montrant le peuple du Venezuela manifestant pour souhaiter la bienvenue au nouveau président et demander le renversement de Maduro. Ils ont déployé des vidéos d’énormes manifs à Caracas en soutien à l’opposition. Et bien peu de gens à l’étranger se sont aperçus que la vidéo était vieille, filmée lors de manifs en 2016, mais les Vénézuéliens s’en sont aperçus tout de suite ! Ils savaient qu’il n’y avait aucune chance qu’une grosse manif se tienne ce jour-là, parce qu’il y avait un match de baseball particulièrement important entre les clubs professionnels Leones de Caracas et Cardenales de Lara, de Barquisimeto.
Mais les WMD ont continué à mentir effrontément. Voici un rapport de Moon of Alabama : les images de grands rassemblements anti-gouvernement sont des fake-news ou des prophéties en attente de leur auto-réalisation.
VIDEO:Thousands of opposition protesters pour onto the streets of Caracas to back Venezuela's opposition leader Juan #Guaido who is calling for early elections, as international pressure increases on President Nicolas #Maduro to step down pic.twitter.com/JdWS12j9KJ
— AFP news agency (@AFP) 2 février 2019
Ca se passait à 11:50 le matin, heure locale. La vidéo jointe ne montrait pas des « milliers » mais seulement 200 personnes qui s’affairaient dans le coin.
Ils mentent quand ils disent qu’il y a des déserteurs de l’armée qui veulent un affrontement avec l’armée. Les jeunes que CNN présentait n’étaient pas des déserteurs, et ne résidaient pas au Venezuela. Même leurs insignes militaires étaient du type qui a été remisé il y a des années, comme l’a fait remarquer notre ami le Saker.
Cependant, ces mensonges ne profiteront pas à l’envoyeur (mes correspondants à Caracas disent qu’il y a des manifs pro et contre le gouvernement, un peu plus grosses pour Maduro) car les sentiments sont plutôt mous. La crise a été fabriquée à Washington, et les Vénézuéliens n’ont pas envie de se faire embringuer.
C’est la raison pour laquelle nous pouvons nous attendre à une tentative américaine pour faire usage de la force, précédée par quelque provocation. Ce ne sera probablement pas une guerre ouvertement déclarée : les US n’ont jamais combattu un ennemi avant de l’avoir d’abord épuisé. Si l’administration Maduro survit à cette explosion, la crise se tassera, en attendant que les sanctions produisent leur effet et minent plus tard l’économie.
Dans cette bagarre, le président Trump est son pire ennemi. Il recherche l’approbation du parti de la guerre, et sa propre base va être déçue par ses actions. Ses sanctions vont envoyer encore plus de réfugiés aux US, avec ou sans mur. Il est en train de saboter le statut unique du dollar US en le maniant comme une arme. En 2020, il va récolter ce qu’il aura semé.
Israël Adam Shamir
20/02/2019
vous avez dit FNSEA ? voilà ce que c'est ... C'est ça le capitalisme ! maintenant vous avez compris ce qu'il faut faire ?
Sofiprotéol, société présidée par Xavier Beulin (qui est aussi accessoirement président de la FNSEA, syndicat qui se targue de défendre les agriculteurs !).
via Jules Vairne
Les aviculteurs de la Coordination Rurale des Côtes-d'Armor se sont rendus lundi 22 juillet à l'entreprise Farmor de Guingamp, qui fabrique des plats préparés, afin de connaître la provenance de leurs approvisionnements en volailles.
Alors que les aviculteurs bretons agonisent financièrement - ils ont reçu le coup fatal la semaine dernière avec l'annonce de la fin des restitutions – ils ont fait une découverte scandaleuse !
90 % de poulets étrangers dans les frigos !
Le directeur du site, qui a reçu la délégation de la CR22, s'est dit très à cheval sur la traçabilité et l'origine des viandes. Il a insisté sur le fait que 40 % de la volaille utilisée provenaient de France et 60 % de volailles importées.
Pourtant, lors de la visite qui a suivi, la délégation de la CR a pu s'apercevoir que 90 % du poulet en stock ce lundi, provenaient du Brésil, des Pays-Bas ou de Thaïlande (voir étiquettes ci-dessous). Seuls quelques cartons, sans étiquettes d'origine, provenaient, selon les dires du directeur, de l'abattoir Bocher, appartenant aussi au groupe Sofiprotéol, à Mur de Bretagne.
Sofiprotéol, acteur de la mort de l'aviculture en Bretagne
Farmor est une filiale de Glon Sanders, elle-même détenue par Sofiprotéol, société présidée par Xavier Beulin (qui est aussi accessoirement président de la FNSEA, syndicat qui se targue de défendre les agriculteurs !).
source :
http://www.brujitafr.fr/2015/07/du-poulet-bresilien-dans-...
Et puis sortir de l'élevage intensif/auschwitz-à-animaux et l' "agriculture" industrielle polluante malsaine, immorale et pas durable.
Et tourner le dos au capitalisme et à ses logiques !
Et sortir de l'Union dite "Européenne" Qu'est devenue l'agriculture française ? (François Asselineau et Claude Bourguignon) - YouTube
analyse sur l'agriculture :
14/02/2019
le régime de macron non content de dépecer impunément les français et de les envoyer en prison si jamais ils disent "aille"
est en train de préparer un totalitarisme encore pire que celui que les oligarques chinois ont mis en place (et c'est pas peu dire !), pour voir la vidéo, ses commentaires, et pouvoir la télécharger, voir ce lien :
https://ytube.tv/watch?v=N4WHbvQ1sa8
08/02/2019
significatif
https://www.capital.fr/economie-politique/emmanuel-macron-nenverra-pas-sa-lettre-aux-francais-1326602
outre tout ce qu'on pourrait dire sur cette grosse connerie,
remarquez bien
l'Etat n'a pas l'argent pour envoyer ça à tout le onde
Les gros capitalistes eux quand ils veulent envoyer des pubs aux français eux ont l'argent !
Et le voleur Suez de notre GDF, quand il veulent envoyer une pub spécieuse à tous les français ils peuvent, allègrement !
ça révèle la puissance relative du grand capital et de l'Etat (républicain ?...) dans le monde actuel.....
c'est finalement, dans tout ce cirque, le seul enseignement intéressant ! et significatif.
26/01/2019
Tous les gens qui en ont MARRE de l'uniformisation du monde
vraiment à l'aise, équilibré et serein ce Kémi Séba.
Et on a l'impression que sa pensée mûrit et s'approfondit tous les jours.
et quelque remarques de bon sens : en France dès que vous dites des choses qui dérangent nos maîtres autoproclamés, on vous accusent de "haine", ce qui permet d'éviter à avoir à répondre aux débats de fond ! (il y en a d'autres qui ont subi le même traitement, envers qui on a utilisé le même TRUC !)
"l'européisme est contesté parce que c'est en fait le projet de l'oligarchie financière qui asfixie les peuples européens"
lien à consulter plusieurs fois par jour pour lire les commentaires : https://www.mesopinions.com/petition/justice/soutien-chri...
ne pas oublier ça non plus ! https://hdclips.top/hd-videos/ZnvomJGI6tE/gilet-jaune-app...
10/01/2019
quelques exigences
ça aussi ça fait partie de l'attaque (ici de "Big Pharma") du grand capital contre le peuple ! 11 vaccins de la Buzyn, flics barbares de castaner, mensonges des merdias propriété de 10 milliardaires : même combat !
venimeux Cymès : https://hdclips.top/hd-videos/rtXBhZDf3Po/vaccins-michel-...
Lettre Ouverte à Mr le Président Macron par le Dr André FOUGEROUSSE
Dr André FOUGEROUSSE Docteur d’État ès sciences 1973Professeur de Chimie honoraire de l’Université de StrasbourgDoyen honoraire de la Faculté de ChimieSite personnel www.andrefougerousse-recherche.frLe 2 octobre 2017Monsieur le Président de la République,Votre projet de budget pour l’année 2018 me range dans la catégorie des fonctionnaires retraités nantis et me demande de contribuer au soutien des Français moins favorisés.J’accepte volontiers ce geste de solidarité, mais, pour rester cohérent avec mon statut de fonctionnaire, je me permets d’émettre quelques exigences.Être fonctionnaire, c’est être chargé d’une fonction par l’État, fonction que l’on s’engage à remplir avec sérieux et dignité et à en rendre compte.J’ai commencé par être élève-maître à l’École Normale d’Instituteurs de la Moselle, après avoir réussi le concours d’entrée, à l’âge de seize ans. Présentant certaines capacités et ayant une bonne aptitude au travail, j’ai réussi le baccalauréat Math-Elem en 1963 (AB), puis quelques concours (IPES, CAPES de Physique-Chimie) et à me faire remarquer par un professeur de l’Université de Strasbourg, qui m’a recruté comme assistant en 1968.Après avoir passé un DES, un DEA, soutenu une thèse d’État en chimie (en 1973), qui m’a permis de découvrir les contraintes et les exigences de la recherche scientifique, fait un stage d’un an à l’Université de Montréal, j’accédais à la carrière universitaire, dont je gravissais tous les échelons. J’ai même été nommé Directeur du DEUG Sciences (1985 – 1990), pour répondre aux défis de la première massification des études supérieures, et élu Doyen de la Faculté de Chimie (1999 – 2004).Se superpose un parcours d’une quinzaine d’années en tant qu’élu de la République, trois mandats de maire (à partir de 1977, à l’âge de 33 ans, pour administrer une ville de dix mille habitants, réélu avec des scores croissants), un mandat de conseiller régional d’Alsace, de vice-président de la Communauté Urbaine de Strasbourg (malheureusement écourté, comme mon 3e mandat de maire), qui a contribué à parfaire ma formation et à me faire découvrir les méandres de la nature humaine, les contraintes d’un parti, mais aussi les vertus de l’écoute et de la concertation.Ce parcours a aussi été remarqué. J’ai été nommé Chevalier de l’Ordre du Mérite Agricole, décoré par M. Rocard en 1987, et Chevalier de l’Ordre National du Mérite par un décret de 1989 du Président F. Mitterrand, suite à la demande du Préfet.Ce curriculum étant rapidement brossé, j’en arrive à expliciter mes exigences : c’est votre projet d’imposer onze vaccinations obligatoires à de très jeunes enfants qui me révolte, parce qu’il ne répond pas aux exigences auxquelles m’ont soumises mes responsabilités de chargé de fonction publique à l’université, comme enseignant, chercheur et gestionnaire.Je m’explique.L’obligation vaccinale ne pourrait se justifier que s’il était démontré de façon incontestable, en respectant des démarches scientifiques rigoureuses, dont les procédures et les résultats seraient publiés dans des revues d’audience internationale :– que les vaccins protègent parfaitement tous les vaccinés (ceux-ci étant infectés artificiellement, ils risquent d’être contagieux et des transferts de virulence sont possibles) ;– que les non-vaccinés représentent un danger pour la santé publique ;– qu’il faut un minimum de 85 % de vaccinés pour lever tout risque d’épidémie ;– que les vaccins proposés sont sans danger ;– qu’il est justifié d’inoculer la même dose à tous les bébés, quelles que soient leurs aptitudes.Je demande que Madame la Ministre me et vous fournisse les références des publications scientifiques sur lesquelles elle se fonde pour soutenir les affirmations ci-dessus. C’est la moindre des choses pour une telle entreprise d’agression physique aux effets incertains, que l’on veut imposer de force à tous les bébés.Mon fils ayant fait un accident après BCG en 1973, à l’âge de quatre ans, j’ai lu énormément de choses sur les vaccins et j’accuse vos services du Ministère de la Santé d’être incapables de prouver scientifiquement les assertions ci-dessus exposées, qui leur servent de justifications, indiscutables, selon eux…, mais pas prouvées.Dès lors, on ne peut pas fonder une politique vaccinale obligatoire sur la base d’observations partielles, imaginées, manipulées, interprétées, affirmées avec aplomb par des pontifes, mais malheureusement marquées par des quantités d’incertitudes et de faits contradictoires qui ne répondent pas aux dogmes officiels.J’ai enseigné et fait ma recherche en chimie organique, la chimie du vivant. Le fonctionnement d’un organisme humain est d’une extrême complexité et personne, pas même les grands professeurs de médecine (omni compétents par définition), ne sont capables de comprendre et de prévoir toutes les interactions qui seront provoquées par l’injection directe de microorganismes étrangers (boostés par des substances dangereuses et parfois bricolés génétiquement) ni d’imaginer les conséquences à long terme sur des organismes affaiblis. Évaluer l’efficacité d’un vaccin en se fondant exclusivement sur le taux d’anticorps n’est absolument pas fiable.Vous trouverez ci-joint la lettre ouverte que je destine à Madame Buzyn. Je cite certains travaux scientifiques publiés, qui mettent en doute l’utilité des vaccins. Je propose qu’ils soient calmement réexaminés, en toute transparence.La Liberté.
Vous abordez souvent, dans vos discours, l’importance des libertés, vertus défendues de façon exemplaire, semble-t-il, dans notre pays.Et pourquoi pas dans le domaine des vaccinations, domaine incertain s’il en est ??J’affirme que les non-vaccinés ne représentent aucun danger (ce sont les vaccinés que l’on infecte artificiellement) et qu’il est outrancier et diffamatoire de les accuser d’incivisme.J’estime que vous n’avez pas le droit d’imposer un acte aussi agressif, sans être assuré de son efficacité et de son innocuité à court et long terme, assurance qui n’existe pas à ce jour, sauf à ce que vous me le démontriez rigoureusement ?Et forcer la soumission des parents à l’acte vaccinal, si contestable, en le subordonnant à l’obligation scolaire est d’une incroyable violence, un abus de pouvoir injustifié, contraire au Droit. C’est un acte digne d’une dictature, dont l’Ordre des Médecins serait le bras armé, cette étonnante survivance de la sinistre police médicale créée sous le régime de Vichy…Je souhaiterais, Monsieur le Président de la République, que vous laissiez un autre souvenir que cette lourde intervention obligatoire hasardeuse, parce qu’il y aura forcément d’innombrables ratés, des accidents, des scandales, du contentieux et des drames humains… pour rien.Les maladies infectieuses constituent seulement 1 % de toutes les causes de décès dans le monde industriel. Agiter le chiffon rouge en brandissant un décès par rougeole est pathétique.En vous remerciant pour l’attention que vous voudrez bien accorder à cet acte, dont vous porterez la responsabilité pleine et entière, je vous prie d’accepter, Monsieur le Président de la République, l’expression de mes sentiments respectueux.Dr André FOUGEROUSSEChargé d’une fonction de l’État pendant quarante ans.Copies transmises à Madame Buzyn et à la presse peut-être intéressée, d’abord dévouée aux puissants…Résumé
Faire un discours à la Sorbonne, c’est acquiescer aux valeurs universelles de la recherche universitaire. En l’appliquant à l’acte vaccinal, on est stupéfait d’observer le manque flagrant de preuves scientifiques et d’assister au recours à des croyances béates, perpétuées par des bonimenteurs privés, relayées par de pseudo-scientifiques souvent intéressés.La santé publique exige des preuves et des assurances, dont le Président de la République est le garant. La liberté des vaccinations s’impose pour une intrusion intime qui n’a prouvé ni son utilité irremplaçable ni son innocuité. Il existe des traitements qui méritent d’être reconnus et tentés.Et comme il faut prévoir si la résistance devient necessaire :
27/12/2018
"mon livre tire un signal d'alarme" - la stratégie du maillon faible vous connaissez ?
http://www.humanisme-ecologie-republique.fr/jean-marie-le...
Bernard FRAU Délégué général Humanisme-Ecologie-République :
« Depuis vingt ans je l’ai dit, je l’ai écrit et je l’ai combattu. Aujourd’hui, la quasi-totalité d’une population triée sur le critère de son génome imparfait a disparu. L’extinction de cette partie de l’humanité est le fait d’un eugénisme efficace vendu par des marchands, acheté par l’Etat et mis en œuvre par la médecine. Dans l’histoire, c’est un événement sans précédent. De guerre lasse, j’étais prêt à entendre ceux qui me conseillaient de déposer les armes ».
Des faits inattendus ont pourtant incité Jean-Marie Le Méné à reprendre la plume. La période s’y prête. Ne pas dénoncer aujourd’hui cette marchandisation du vivant aurait été une capitulation.
« Nous avons besoin d’une Politique, ou mieux encore d’un Régime politique qui – par principe – ne tient pas la vie humaine pour un hasardeux foisonnement du vivant, ne l’utilise pas comme banc d’essai pour la technoscience et ne l’asservit pas à des finalités lucratives ». Un livre décapant plus que jamais d’actualité Un signal d’alarme qui ne peut laisser personne indifférent. ! http://www.pgderoux.fr/fr/Livres-Parus/Les-Premieres-vict...
L’éditorial de Jean-Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune, paru dans la lettre de la Fondation de Janvier 2016 :
« Vous me demanderez peut-être : pourquoi encore un nouveau livre sur un sujet impossible – le transhumanisme ? Mais parce qu’a la Fondation Jérôme Lejeune nous avons parfois le sentiment d’être les conquérants de l’impossible, serais-je tenté de vous dire ! Nous ne sommes pas qu’une œuvre de bienfaisance qui s’occupe des handicapés pour soulager les familles ou se donner bonne conscience. Nous avons aussi à répondre à l’une des questions majeures de notre temps : quelle attitude avoir face à une technoscience, boostée par le culte du progrès et ses juteuses perspectives ? Lui ouvrir nos portes sans réfléchir, c’est nous condamner sans appel, avec ceux que nous prenons en charge et une bonne partie de l’humanité.
Car le transhumanisme consiste en la volonté de faire advenir un homme « augmenté » ce qui ne laisse pas grand espoir à cet homme « diminué » que nous sommes tous plus ou moins.
Or l’un des premiers outils pour augmenter l’homme, c’est l’eugénisme qui est censé nous débarrasser des êtres « imparfaits » avant la naissance. Et l’étalon-or de l’eugénisme c’est le dépistage anténatal, particulièrement celui de la trisomie 21, suivi de l’avortement dans la plupart des cas, qui crée une sorte de bio colonialisme présenté à la fois comme nécessaire et rentable. Il faut bien voir que la trisomie est devenue un marché, l’avortement une marchandise et le ventre des femmes un magasin sous surveillance. La privatisation du ventre des femmes sur toute la planète, c’est l’eldorado du XXIème siècle.
Pour résumer simplement les choses, nous ne pouvons pas demander aux donateurs de soutenir financièrement la Fondation Jérôme Lejeune et nous taire, alors qu’on chiffre à 1 milliard € l’achat que pourrait faire prochainement la France du nouveau dépistage des trisomiques, lesquels sont déjà éradiqués a 96 % !
J’ai donc décide d’écrire un livre sur les premières victimes du transhumanisme que sont les enfants trisomiques. Ce livre percera-t-il la chape de plomb qui a criminalisé toute pensée – et a fortiori toute expression – sur l’avortement quasi systématique des « anormaux » ? Je démontre avec des exemples a l’appui, en France, qu’il n’y a plus de « pourquoi ? » sur ce sujet. Le nouveau test de dépistage de la trisomie est réputé ne poser aucun problème moral. C’est là sa principale force. (hmm la technique du « maillon faible », comme j’ai déjà dit sur plusieurs sujets) Ainsi en ont décidé le comité d’éthique, les experts scientifiques, le corps médical, les associations de personnes handicapées, les autorités morales, les médias et pour finir les politiques, qui n’ont fait que suivre les autres. Ce nouveau racisme du gène a réussi à désarmer les plus réticents en se faisant passer pour une procédure économe de vies humaines, mais de vies humaines en bonne santé, c’est-à-dire en vendant le principe même de l’eugénisme a ceux qui auraient dû nous en prémunir. Ce qui aurait du être le plus difficile à admettre a été, en fait, le plus facile à installer.
Nous sommes non seulement devant un scandale moral et financier, mais surtout un système autonome, clos, verrouillé.
Voilà ce qui me fait dire que la Fondation Jérôme Lejeune et ses donateurs sont des conquérants de l’impossible.
Il s’agit pour nous d’accueillir des survivants du transhumanisme, de les soigner et de leur trouver des traitements dans un capitalisme mondialise qui a inventé une rente indexée sur un génocide continu. Mon livre tire un signal d’alarme et j’espère qu’il suscitera une prise de conscience chez mes lecteurs. Pour 2016 je vous invite, avec nous, à conquérir l’impossible. »
Jean-Marie Le Méné,
Président de la Fondation Jérôme Lejeune
3 février 2016
une recension du livre dit : "[...] En une centaine de pages d'enquête passionnante, le président de la Fondation Lejeune remonte une piste sordide, qui nous mène en Californie, où, dès 2008, l'entreprise Sequenom met au point une technique de dépistage révolutionnaire pour détecter la trisomie 21 dans le ventre des mères. La « ruée vers l'or des Mongols » peut commencer. Des millions sont en jeu. Sequenom fera une entrée en bourse. Le dépistage systématique de la trisomie 21 s'est répandu partout en Europe, et en particulier en France, qui, se reposant sur ses lauriers de patrie des droits de l'homme, ne perçoit pas le cheval de Troie de l'eugénisme qui campe sous ses fenêtres. [...]
Vous vous contrefichez du sort des plus petits d'entre vous, soit. Mais un jour, la mécanique à l'œuvre pourrait bien vous atteindre aussi. Il se pourrait bien que l'eugénisme couvert des atours moraux de la compassion, s'étende. « Les enfants trisomiques https://fr.sputniknews.com/societe/201603231023625133-enf... sont les souris de laboratoire, les sacrifiés de l'expérimentation, les cobayes du transhumanisme », écrit Le Méné. On peut hausser les épaules. Reste que quand ils ne seront plus là, quand le monde sera épuré de leur faiblesse, il faudra bien que l'idéologie transhumaniste en cherche d'autres. « Ceux qui décideront de rester humains et refuseront de s'améliorer auront un sérieux handicap. Ils constitueront une sous-espèce et formeront les chimpanzés du futur », prévenait déjà en 2002 le professeur de cybernétique Kevin Warwick, qui préconise à l'homme de fusionner avec la machine.
Dans ce court essai, écrit d'une plume fiévreuse et parfois coléreuse face à la puissance du scandale, Jean-Marie Le Méné joue les Cassandre et nous délivre un avertissement : devant l'homme augmenté promis par le transhumanisme, nous sommes tous des trisomiques. "
Lire l'intégralité de l'article.
http://deconstruire.babylone.over-blog.org/article-209332...
«Dans l’esprit des nazis, le génocide des Juifs et des Tziganes était indissociable de la stérilisation et de l’«euthanasie» des «dégénérés» (ils avaient commencé par l'Aktion T4, là aussi le maillon faible) ; il s’inscrivait dans un ensemble de mesures sanitaires destinées à préserver la race»
Autre maillons faible, l'euthanasie, c'est comme le livre de Binder et Hoche paru en Allemagne en 1922 (vous connaissez ? renseignez-vous ! son titre surtout est révélateur et laisse rêveur, surtout à la lumière du vocabulaire actuel) , on commence par les malades incurables, on étend aux enfants, puis aux "malades" mentaux, puis aux handicapés, et on retrouve l'Aktion T4, sauf que là on n'aura pas de 2ème guerre mondiale ni de soldats américains pour y mettre fin
Belgique : étude sur la pratique de l’euthanasie en Flandre
- « Fin de vie » (terme hypocrite pour faire passer l'euthanasie ! en allemand Gnadentod ...)
Ce 15 mars 2015, le New England Journal of Medicine a rendu publics les résultats d’une étude menée par deux universités belges sur les pratiques médicales en fin de vie, basée sur un questionnaire transmis à quelques 6188 médecins exerçant dans la partie néerlandophone de la Belgique et auquel plus de 3700 ont répondu.
Il en ressort une très nette augmentation des euthanasies pratiquées en Flandre entre 2007 et 2013, puisque le pourcentage des morts par euthanasie sur le total des décès en Flandre est passé de 2% à 4,6 %.
Les résultats montrent également une différence flagrante entre le nombre d’euthanasies rapportées à la commission de contrôle (1454 cas rapportés en Flandre en 2013) et le nombre d’euthanasies réellement pratiquées, qui tourne autour de 2800. Ce qui signifie que, dans la pratique, près d’une euthanasie sur deux échappe à tout contrôle.
Quant au pourcentage des décès ayant été volontairement hâtés sans consultation du patient, il reste stable à 1,7% en 2013.
Les responsables de l’étude identifient deux raisons à la hausse de la pratique de l’euthanasie. D’une part, de plus en plus de personnes demandent à être euthanasiées. D’autre part, il y a de plus en plus de médecins qui acceptent d’accéder à ces demandes, puisqu’en 2007, ils y accédaient dans 56% des cas, et qu’en 2013, c’est près de 77% des demandes d’euthanasies qui sont acceptées par les médecins, qui se sentiraient plus « aptes » à la pratiquer, révèle une étude parallèle.
Dans près de 74% des cas, les soignants d’un service de soins palliatifs ont été partie prenante, ce qui, selon les responsables de l’étude, prouve qu’« après 11 ans, l’euthanasie est de plus en plus considérée comme une réelle option de choix de mort ». L’euthanasie fait donc désormais partie des soins palliatifs, selon ce que certains appellent le modèle belge des soins palliatifs intégraux.
Si l’on compare l’évolution des chiffres avec ceux des Pays-Bas, certaines différences sont frappantes. Le professeur Deliens affirme que la Flandre est sans doute plus permissive, et que le fait d’intégrer l’euthanasie dans les services de soins palliatifs comme cela se passe en Belgique, a certainement un impact non négligeable sur l’évolution du nombre d’euthanasies,
“Les néerlandophones sont beaucoup plus enclins à exclure les personnes âgées de plus de 85 ans des soins plus onéreux.”
Source : The New England Journal of Medicine
Belgique : euthanasie toujours plus loin
A peine un an après la promulgation de la loi dépénalisant l’euthanasie des mineurs, s’exprime maintenant la volonté d’aller plus loin. Conférences, symposiums et articles de presse traduisent la volonté de certains médecins d’étendre le champ d’application de l’euthanasie aux personnes démentes (CF Allemagne nazie AKION T4), (lien vers VUB-Gent) mais aussi aux nouveau-nés prématurés et/ou porteurs d’un handicap (CF Allemagne nazie AKION T4), et pour lesquels l’équipe médicale jugerait que la « qualité de vie » (CF Allemagne nazie AKION T4) pose question (cf le livre de Binder et Hoche en Allemagne 1922). (Symposium International d'éthique clinique chez le nouveau-né et l'enfant)
Parallèlement à cela, le docteur Wim Distelmans souhaite voir encadrer la pratique de la sédation terminale, qui est selon lui, utilisée à des fins euthanasiques. « Le nombre de morts provoquées (intentionnellement) par sédation, est sept fois plus élevé que le nombre d’euthanasies », estime le docteur Distelmans. Il suggère dès lors, "par souci de transparence", que les sédations terminales bénéficient d’un cadre légal équivalent à celui de l’euthanasie : demande expresse du patient, déclaration écrite, commission d’évaluation…
Le docteur Distelmans ne mentionne pas la différence fondamentale entre une sédation qui donne intentionnellement la mort, et la sédation contrôlée, qui vise à placer pour un temps déterminé le patient dont les symptômes sont réfractaires à tout analgésique dans un état de conscience minimale. L’intention de la sédation qualifie la portée de l’acte. Une notion subtile et essentielle à comprendre pour apprécier la portée de la sédation en phase terminale mais non pas terminale, cette dernière pouvant à juste titre être considérée comme une euthanasie masquée.
et aux Pays-Bas : http://www.alterinfo.net/Ils-ont-le-vice-de-la-mort_a7247...
et n"oubliez pas :
"Un système qui a réussi à privatiser le ventre des femmes sur toute la planète et à le transformer en magasin sous surveillance a conquis l'eldorado du troisième millénaire."
eh oui ces dérives-là aussi sont éclairées par une analyse marxiste !
12/11/2018
La pathologisation de la diversité humaine j'te dis pas !!
des exemples ? il y en a plein, on ne voit plus que ça. écoutez les discours, analysez les mesures, etc.
(alors que le discours officiels de nos maîtres n'arrêtent pas de nous bassiner avec une officielle "diversité" qui n'a strictement rien de divers, tous juste une petite diversité d'origine raciale, mais dont on exclus les tziganes et pas mal d'autres, en fait tous les pauvres ! car pour appartenir à leur "diversité" (sic) il faut être riche (condition sine qua non) vétus uniformément et obligatoirement de jeans américains et de maillots de corps noirs à inscription commerciales ostentatoire, savoir l'anglais, être diplomé du supérieur, boire du coca-cola "Light" à l'aspartame, chanter du rock 'n roll, être athée, être superficiel, cynique, psychologiquement correct, "dynamique", être "think positive", ne surtout pas être pour la révolution et la lutte des classes, ne contester aucuns des dogmes de la pensée unique du pouvoir édictée par ses journaputes de service, et de manière générale ne pas trop avoir d'esprit critique ! ni prendre la vie au sérieux (surtout pas - sauf là où le pouvoir vous somme d'être grâve et respectueux !), être "performant", ne pas avoir d'enfant (ou à la rigueur un), ne surtout pas être marié, et encore moins sentimental, être "citoyen" (ce qui de nos jours veut dire soumis et bien obéissants aux flics, flic sociaux, et tout les apparatchiks autoproclamés du régime), ne pas s'interesser à la botanique, ni à la poésie, ni à beaucoup d'autres choses pas "in", et toute une autre liste qui vous font bien alignés dans un modèle normalisé et pas du tout divers !!hutetfort
08/11/2018
si lumineux et émouvant Alcide !
Sur Alterinfo un commentateur nommé Alcide a mis une explication très poussée de la dette des États crée artificiellement et dans un but précis par les banques depuis l’article 25 de la loi du 3 janvier 1973, etc. A la suggestion de lancer une pétition il répond :
5.Posté par Alcide le 27/05/2010 22:17
Bonsoir Agnès dette des États crée artificiellement et dans un but précis par les banques depuis l’article 25 de la loi du 3 janvier 1973, etc.
Une pétition c'est une très bonne idée mais personnellement je n'en suis pas capable.
Je vis à la campagne avec mon chien , je vois plus de chevreuils dans la journée que d'êtres humains.
Je fais ce que je peux, avec mes moyens pour faire la promotion des choses vraies et vérifiables par tout le monde, quelle que soit sa condition , quel que soit son niveau d'études. Cette connaissance est indispensable pour que chacun puisse exercer son droit de vote et faire ainsi bon usage de la démocratie.
Je pense que pour l'action il faut laisser la place à des personnes plus jeunes qui "en veulent" et qui sauront bien défendre la justice. Chacun d'entre nous fait de son mieux dans le domaine où il est le plus efficace.
La vérité n'a pas de dogme, la vérité est la vérité simplement qui doit être mise au service de l'humain pour son progrès ,son épanouissement, sa liberté .
Les temps actuels sont très troublés et dangereux. Je pense que même des guerres peuvent survenir car le cartel bancaire mondial fera tout ce qu'il peut pour se maintenir au pouvoir. C'est-à-dire au pouvoir réel qui leur permet ,par l'usage immoral de leur immense fortune de commander aux hommes politiques.
Mais nous ne sommes pas dupes.
"Le peuple reçoit la religion, les lois, comme la monnaie, sans l'examiner"
(Voltaire)
"Ceux que les dieux veulent perdre, il commence par les rendre fou"
(Euripide)
Lumineux et émouvant Alcide, je pense qu’il y a beaucoup de gens comme lui isolés dans la France (et d’autres pays) Internet leur permet de s’exprimer et de faire le petit peu qu’ils peuvent, et de se reconnaître, etc.
tiom prava kaj sagaca alcide !
25/10/2018
propos exacts, humanistes et de gauche
https://hdclips.top/hd-videos/fNr3tcd_aGc/michel-onfray-l...
« Cette classe mondialisée siège dans les grandes entreprises présentes à l’international, dans des organisations comme les Nations unies, dans les médias, dans les start-up, les universités, les ONG, les fondations, les partis et leurs appareils, et parce qu’elle maîtrise l’information, elle donne le “la” sur le plan politique et culturel. Ses membres vivent presque sans exception dans de grandes villes, parlent couramment anglais, et parce qu’ils passent d’un job à un autre entre Berlin, Londres et Singapour, fréquentent partout les mêmes appartements, les mêmes maisons, les mêmes restaurants, les mêmes magasins et les mêmes écoles privées. Ce milieu est socialement homogène. La conséquence est que le lien entre cette nouvelle élite et sa terre d’origine est faible. Ces gens-là se sentent comme des citoyens du monde vivant dans une société parallèle. La pluie qui tombe sur leurs terres d’origine ne les mouille pas. Ils rêvent d’un monde unique ou d’une république mondiale. (…)
Face à cette classe mondialisée se dressent deux groupes hétérogènes qui ont formé une alliance au sein de l’AfD. D’un côté, une classe moyenne à laquelle appartient aussi notre tissu de PME, qui ne peut pas facilement délocaliser ses usines en Inde, pour y produire à bas coût. De l’autre, des citoyens lambda dont les jobs sont payés au lance-pierre ou n’existent tout simplement plus, qui ont durement travaillé toute leur vie et qui n’ont plus qu’une misérable retraite pour vivre. Eux ne peuvent tout simplement pas partir et jouer au golf ailleurs. »
A. Gauland – le 6/10/2018