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16/10/2018

pourquoi cette omission ? dans un sujet dont pourtant on n'arrête pas de nous parler !

sur France Culture toujours les discours « bien-pensants » sur l’acceuil des immigrés. Mais ce que les gens ne remarquent pas en général c’est qu’il y a une tâche noire dans ce discours ! une question qui n’est jamais posée, un point qui n’est curieusement jamais abordé, comme une médecine qui ne s’occuperait que de prôner de l’aspirine mais ne parlerait jamais de chercher la cause de la maladie ! En fait c’est bizarre, oui ces gens « humains comme toi, etc, etc » c’est sûr aimeraient bien ne pas être repoussés et pouvoir être accueillis, mais aussi l’immense majorité d’entre-eux auraient déjà préféré NE PAS AVOIR EU à QUITTER LEURS FOYERS ET LEUR PAYS ! Or, curieusement ce point-là on ne l’aborde pas, cette question : pourquoi ? On ne la pose pas. Peut-être parce que derrière les beaux discours moraux il y a des intérêts financiers ? Peut-être parce que poser la question du pourquoi mènerai à trouver les responsables des causes, et que « on » ne veut surtout pas qu’on parle de ça …. Ni qu’on éclaircisse les tenants et aboutissants.

Or c’est comme en médecine la plus importante question ça ! (et la plus morale en fait) Certes les tracas immédiats et individuels des intéressés c'est important, mais si on veut réfléchir un peu plus profondément, et pas simplement se laisser manipuler, il y a la question des causes qui conduisent à cette situation, non ? (et peut-être les intérêts de ceux qui en profitent et veulent continuer à en profiter - NAIRU ! vous connaissez ?). Et si ceusses qui parlent si abondamment des symptômes s’abstiennent soigneusement de rappeler qu’il y a des causes, et d’en chercher les racines, et les profits, il y a peut-être une raison pour ça, une raison honteuse peut-être.

http://www.voltairenet.org/article201687.html

(sans oublier des raisons honteuses du côté des pourris et des collabos de là-bas d'ailleurs, et là Kémi Seba parle un langage de vérité et sans concession :

https://www.youtube.com/watch?v=5MTA3tc5DZg[youtube]https...

08/10/2018

est-ce réjouissant ?

https://histoireetsociete.wordpress.com/2018/09/08/supercalculateurs-la-chine-regne-en-maitre/
ça confirme que la suprématie US c'est fini.
Mais est-ce réjouissant ? la Chine donne très fort dans le totalitarisme social, le capitalisme, ceux qui voient la Chine en puissance sage gentille et pas impérialiste ( et même "communiste" !) se fourrent le doigt dans l'oeil jusqu'au coude,  et comme disait Montesquieu à peu près (je cite de mémoire) "on a n'a jamais vu quelqu'un jouir d'un pouvoir sans succomber à la tentation d'en abuser" .....
et Lord Acton : "Tout pouvoir corromp"
Avec un tel pouvoir informatique on peut, faire plein de choses .... et on voit que déjà la notation totalitaire et bien « citoyenne » (selon le terme - dévoyé ! - qu’on n’arrête pas de nous ressasser de nos jours en France ….) de tous leur citoyens c'est leur dada,  libéral-fasciste le dada.

 

« Comme on peut l’imaginer, il va pouvoir traiter d’énormes quantités de données, vraisemblablement à des fins scientifiques, pour du calcul mathématique et du cloud computing. » ah oui ? Que ça ? Vraiment ??

02/10/2018

les cyniques motivations économiques (capitalistes .... bien sûr !) derrière la Secte des Adorateurs de la Mort

au passage  Coma : la voix des proches favoriserait le réveil › Cerveau › Le Journal de la Science

http://www.journaldelascience.fr/cerveau/articles/coma-voix-proches-favoriserait-reveil-4500

(la Secte des Adorateurs de la Mort, vous ne connaissez pas cette secte ? elle est pourtant au pouvoir chez les éditeurs de livres scolaires, les revues de psychologie, les maîtres à penser, (même chez les curés "horizontalistes" maintenant !), les politiques qui ne rêvent que de légaliser l'euthanasie, etc)

"L"euthanasie stade suprême du capitalisme" vous ne me croyez pas ? vous ne voyez pas le rapport ? regardez déjà ça ....

http://www.dailymotion.com/video/x1a0axg_jean-claude-mart...

et ça  http://www.alterinfo.net/Droit-a-mourir-ou-droit-de-tuer_a139754.html

et le pire c'est que cette perverse façon de penser compte plein d'adeptes chez les français-moyens....

" ... on va bientôt nous demander de soutenir la légalisation du suicide pour tous, avec l’argument mensonger de l’élargissement des droits individuels, (sic !) et de la compassion pour ceux qui souffrent. Les idéologues du totalitarisme démocratique montrent les dents. Et la corporation des croque-morts a tout intérêt à l’essor de l’euthanasie légale. Celle-ci permettra de rationaliser, de planifier, d’étaler les décès (parce qu’il y a une morte saison, celle que les jeunes et bien portants appellent la belle saison), de réduire les coûts, de diversifier les prestations, d’embaucher des psys, d’être inventifs. Une activité encore artisanale et très liée au local pourra se déployer vertigineusement. Les vieux pauvres pourront même être payés pour faire place nette, s’ils ne se laissent pas faire de leur plein gré, gratuitement. Et l’on pourra récupérer bien plus d’organes, donnés pour rien, et revendus bien cher ! Voilà des choses que l’on nous cache, derrière le slogan qui vient, celui de la liberté de mourir « quand je veux, si je veux » http://www.plumenclume.net/articles.php?pg=art1647

avec les milieux qui ont le pouvoir et la mentalité de la société actuelle L'Euthanasie ça nous pend au nez; Dans un premier temps ils vont nous conditionner et nous convaincre gentiment de la demander volontairement. Puis ceux qui ne le feront pas seront diabolisés et culpabilisés, (on parie ?!) je vois déjà les arguments qu'ils vont utiliser.
et enfin ça sera de force ou ne demandera plus leurs avis aux gens.
on parie ?
regardez cette nouvelle (soit dit en passant ça m'étonne qu'il n'y ai plus que les cathos pour s'inquiéter, alors que croyant à la vie éternelle ça devrait les laisser sereins, eux !) http://belgicatho.hautetfort.com/archive/2015/11/23/la-pi... pourquoi réservé aux plus de 70 ans ? (indépendamment de leur état de santé), visiblement il y a derrières de gens qui pensent comme Attali ! et on sent très bien, que l'étape suivante sera de les encourager à l'acheter, puis à culpabiliser ceux qui ne le feront pas. Puis.

http://www.blogg.org/blog-38767-date-2014-04-28-billet-debranchons_michael_procent-1520169.html
Xavier Lavaud : ".....

Adrien Abauzit a raison : son positionnement officiel à gauche permet au PS de mieux servir les intérêts du capital.
Prolongeant l'analyse de Cornélius Castoriadis, et de Michéa, Adrien Abauzit constate que le capitalisme s'est développé à partir de modèles anthropologiques qu'il n'a pas crées mais qui sont l'oeuvre d'autres structures, d'autres cadres.
L'Etat Républicain national a remplacé comme éducateur et protecteur, l'Eglise Catholique (qui condamnait l'usure).
Devenant, à leur tour, gênantes, "les souverainetés nationales" ont d'abord été placées sous la curatelle de l'Union Européenne.
A présent il est absolument nécessaire, pour le capitalisme, de placer les Etats sous tutelle renforcée.
Le capital pour y parvenir faire dispose de relais
La destruction des structures de résistance sociale (Eglise, Etat, Syndicats) doit être nécessairement suivie par celle de la famille elle-même.

Voici ce qu'en a dit Jacques Attali. http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=2009070115...  :
"L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide (sic !) ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société. L'euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement "

Tuer des enfants, vous pensez que c'est interdit ? Et non, en Belgique, c'est possible et en toute légalité... http://www.dailymotion.com/…/x276fth_laurent-louis-denonc...



L'euthanasie faisait partie des propositions du candidat Hollande. Il s'est cependant, montré très prudent voire alambiqué.
Cependant, pour le développement du capitalisme, quels sont les intérêts ?
Le troisième et le quatrième âge possèdent et donc sont la clé d'une part énorme et croissante du capital.


Naturellement conservatrices, ces populations gênent le mouvement des capitaux.
Cette question du traitement réservés aux vieux touche à une valeur traditionnelle fondamentale.


"On doit honorer ses parents, se réjouir de leur longévité, redouter qu'ils ne viennent à disparaître (...) c'est le premier des devoirs" a noté (de mémoire) Confucius.
Il y a crise, certes ! mais de quoi? du travail ? de l'emploi ou de l'argent ?
Dans cette perspective, la question des vieux est centrale.
Que veut-on vraiment : leur bien ou leurs biens ?

"Et puis, y'a la toute vieille qu'en finit pas de vibrer et qu'on attend qu'elle crève vu qu'c'est elle qu'a l'oseille".
Adrien Abauzit écrit que François Hollande "ne s'attaquera évidemment pas au capital "
Il lui reste donc à détourner les esprits vers de faux problèmes (le mariage gay, l'homo-parentalité) et à désigner un bouc émissaire.
Les vieux, à cet égard, constituent une cible parfaite."

Et maintenant, suite de la propagande destinée à préparer en douceur l'opinion.
Tiré du chapeau, surgit un nouveau « droit à une sédation profonde et continue jusqu’au décès ». Les formules utilisées entretiennent la confusion.
S’agit-il d’endormir le patient qui va mourir, ou de l’endormir pour le faire mourir ?
C’est bien un nouveau protocole euthanasique qui arrive, masqué, avec la sédation associée à l’arrêt de l’hydratation. La mort est garantie en quelques jours. L’étiquetage « fin de vie » censé favoriser l’accès aux soins palliatifs, se retourne en « arrêt de vie ». Simplement, on aura évité le mot « euthanasie » qui divise. Endormir les patients et endormir l’opinion relèvent d’une même logique politique : façon expéditive de se débarrasser d’un problème complexe, qu’on ne peut régler ni par de nouveaux protocoles de fin de vie, ni à coup de sondages d’opinion. […]
C’est finalement un choix truqué qui est imposé aux parlementaires, entre une nouvelle loi fin de vie inutile, dangereuse et déjà transgressive, abusivement présentée comme consensuelle, et la surenchère des députés de la majorité présidentielle pour l’amender dans un sens explicitement euthanasique.


étape de plus vers leur but final

10/09/2018

les "contrôles"

  Maintenant on ne peut plus rien faire ni avoir, ni vendre, ni utiliser, ni, ni, etc, sans devoir une multitude de « contrôles », « attestations », « diagnostics », etc que le gouvernement (= l’intendant du grand capital comme le disait déjà Marx il y a un siècle et demi, et qui de nos jours ne sont carrément plus que des « kapos » de baraques du grand camp de concentration qu’est l’UE, avant d’être le monde entier), entre « copains » et « coquins », nous impose au nom de l’ « écologie », de la « sécurité », ou autre mot magique. Tous ces contrôles bien entendu ne servent à rien, n’ont jamais évité aucun accident, aucune maladie, etc, c’est du pur chiqué, de la parade que seuls les « mougeons », bien « citoyens », croient docilement. En fait le but - « copains et coquins » oblige ! - est uniquement de fournir sur un plateau à toute une branche, qui autrement n’existait pas, une clientèle captive, dont on peut soutirer du fric ! C’est, comme dans la nature ! - Eh oui ! De même que le capitalisme, et que la prédation, c’est naturel ! - un phénomène de parasitisme (pas de symbiose, dans une symbiose, le symbiote est utile). Bref, dans un sens ça a quand-même une utilité : ça permet de réduire le chômage    , ça fournit des emplois (outre les gras profits pour leurs patrons!) à plein de gens qui autrement ne trouveraient pas de carrière, ça crée ex-nihilo de nouveaux débouchés professionnels ; ça les occupe ; comme les pompistes ou les gardiens de parkings les gens qui font ça ont comme ça outre un salaire le sentiment d’avoir une place dans la société et de servir à quelque chose, un statut.
On se console comme on peut !

21/08/2018

extension du totalitarisme et de la théocratie - sous sa version moderne - la pensée de Bonald quoi !

octobre 2017

L’extension du domaine de la censure croît sans cesse. La BBC demande excuse à ses auditeurs d’avoir laissé parler à l’antenne Lord Lawson, ancien ministre climato-sceptique, sans le contredire. Après la race et le genre, la tyrannie morale s’étend maintenant au climat.
 
On sait que la liberté de parole est surveillée à la radio. Les journalistes ont la consigne, qu’encadrent en France les lois Pleven et Gayssot, de ne pas laisser passer une parole prononcée par un invité lors d’une interview qui pourrait passer pour antisémite, raciste, ou discriminatoire à l’égard d’une religion, d’une orientation sexuelle, d’une nationalité, sans la relever avec réprobation et la contredire. Ainsi le veut le code moral imposé par les lobbyistes aux législateurs, aux médias par la loi, au public par les médias.
 

Obligation de contredire tout climato-sceptique qui veut parler  

 
L’affaire de Lord Lawson vient de démontrer l’extension de cette surveillance morale au domaine de l’environnement. L’homme n’est pas n’importe qui. Il fut deux ans ministre de l’énergie, puis six ans ministre des finances de Margaret Thatcher, comme tel chargé d’appliquer la privatisation et la réforme fiscale radicale qu’elle a menée. Toujours député conservateur, il était interrogé sur le programme Today de Radio 4, qui fait partie de la BBC. Il y a tenu des propos inacceptables au regard des normes actuelles, sans personne pour le contredire. Il a en effet affirmé que le corpus de données publiées par l’ONU « confirmait qu’il n’y a pas eu d’augmentation des événements climatiques extrêmes ». En ajoutant que « si l’on relève une tendance ces dix dernières années, c’est que la température moyenne du globe a légèrement régressé ».
 

La BBC s’excuse : extension du domaine de la tyrannie

 
Aussitôt de nombreux auditeurs se sont plaints à la BBC de cette déclaration climato-sceptique. Today a d’abord paru ne pas leur donner satisfaction, puis s’est rétracté en reconnaissant que l’interview de Lord Lawson constitue une « brèche dans la ligne éditoriale », et le directeur du bureau des plaintes de la BBC a présenté « ses excuses ».
 
Le lecteur attentif aura noté que Philippe Verdier, le monsieur météo de France 2, avait été licencié à l’automne 2015 pour avoir publié un livre timidement climato-sceptique, et qu’il a perdu son procès contre la chaîne aux prud’hommes en avril 2017. L’extension de la tyrannie morale au domaine du climat n’est donc pas neuve. Mais cette fois cela touche la BBC, qui a la réputation (qui fut longtemps justifiée mais qui ne l’est plus) de laisser la parole libre. Et cela concerne non pas un journaliste quasiment fonctionnaire, mais un invité : il ne faut plus, en aucun cas, qu’une personne de quelque poids puisse énoncer des faits contraires au dogme de la religion dominante sans subir l’assaut des picadors de l’antenne.
 
Une dernière remarque : le dogme de cette religion dominante s’accroit chaque jour de nouveaux canons, la tyrannie s’étend aussi bien au domaine de l’intime qu’au climat, elle pourra s’étendre demain à n’importe quel us, conviction ou science : le totalitarisme sans frontière, sans limite, c’est-à-dire le totalitarisme au sens strict, est en marche." "

Pauline Mille

rappelez-vous ce que j'ai écrit sur les ""vêtements liturgiques (http://miiraslimake.unblog.fr/2017/05/19/vetements-liturg.../) , sur les "calotins" de notre époque, la permanence de l'inquisition, des détails du régime nazi, etc.

 

 

14/08/2018

ce n'est pas une lutte pour une couleur de peau c'est une lutte contre le capitalisme


 


16/07/2018

LA RENATIONALISATION DES SERVICES PUBLICS C'EST QUAND-MÊME LA MOINDRE DES CHOSES DANS UNE REPUBLIQUE !

LA RENATIONALISATION DES SERVICES PUBLICS C'EST QUAND-MÊME LA MOINDRE DES CHOSES DANS UNE REPUBLIQUE !

c'est même pas du socialisme, c'est tout bonnement la REPUBLIQUE, et le respect de ses citoyens, c'est la Civilisation, c'est dire "stop !" aux vautours ....

et aux larbins formatés aux dents longues


**

En fait il faudra aller plus loin que ça, car :   "Si les pays impérialistes comme la France ont pu maintenir pendant quelques décennies un relatif confort de vie à ses esclaves salariés, ainsi qu’une mascarade de «démocratie», cette période est définitivement révolue. Chaque jour, ce système apparaît de plus en plus sous son véritable visage, entièrement dévoué aux intérêts d’une minorité de parasites au détriment des besoins, de la vie et de la santé de tous.


 

quand on compare avec les électeurs à macron !


18/06/2018

VOUS pouvez changer le monde ! "qui paie commande"

Jamais autant qu’aujourd’hui le refus de l’acte d’achat n’aura revêtu une telle portée politique

OUI, Il ne faut pas oublier que les commerçants ne vivent que du bon vouloir de leurs clients !
Aussi les consommateurs,
si ils le voulaient bien!!  (.....  ) , pourraient avoir une puissance extraordinaire pour changer la société !


Il faudrait peut-être s'en servir non?

Par exemple si on boycottait les produits issus de l'agriculture intensive et polluante, tous les agriculteurs seraient bientôt obligés de se mettre à l'agriculture biologique (dont on sait maintenant qu'elle est parfaitement capable de nourrir la planète). Et vous savez ça ?
Pareil pour l'exploitation des enfants (et des adultes !) des "zones économiques spéciales". Et savez-vous quel est le salaire minimum dans l'industrie du vêtement au Cambodge ? on ouvre les paris !  le salaire minimum correspond à 36 € mensuels. On peut, para
phrasant Montesquieux, dire : "C'est à ce prix que vous avez des vêtements bon marché en Europe"

Autre chose, il faudrait, dès maintenant  que tous les citoyens dignes décident de boycotter systématiquement les magasins qui mettent des caméras de vidéo-surveillance, c'est à dire non seulement les grandes surfaces mais aussi les petits magasin qui font comme ça - même les pharmacies !!! on aura tout vu ! quelle honte ! (il y en a de plus en plus, et même des vétérinaires !! et même des curés !!! Jésus se retournerait dans sa tombe). Ce serait  marquant pour la défense de la Civilisation devant le processus de Stalinisation de la société auquel nous assistons actuellement. Et après tout, il est normal qu'un client ne remette pas les pieds dans la boutique d'un commerçant qui l'a insulté ! Or mettre des caméras de vidéo-surveillance dans son magasin c'est insulter ses clients. Les gens n'ont pas l'air de en rendre compte. Une fois qu'on en a pris conscience on ne peut plus y entrer de même coeur, ni regarder le commerçant avec les mêmes yeux.
Vous ne vous sentez pas insultés? vous devriez pourtant, car c'est tout à fait ça!

"Qu'on me comprenne bien: Il s'agit d'un engrenage fatal. Nous mettons les pieds, sans vraiment nous en rendre compte, dans un engrenage fatal. Il commence à l'aéroport, lorsque nous acceptons d'être visualisés dans notre intimité,  pour prouver que nous ne sommes pas des terroristes.  Lorsque, aussi, nous acceptons les caméras de surveillance partout, vidéo-surveillance fallacieusement rebaptisée vidéo-"protection", nous nous soumettons implicitement au dépouillement de tous les aspects de notre vie."
("Dans un monde où l'humiliation est devenue tellement familière que l'on ne la reconnaît plus")

En 1945 déjà, l’écrivain français Georges Bernanos dénonçait en ces termes l’accoutumance à la surveillance comme un recul des libertés face à la menace totalitaire du « Moloch technique » au service du contrôle social : « L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne. Le jour le processus de Stalinisation de la société auquel nous assistons actuellement. n’est pas loin peut-être où il nous semblera aussi naturel de laisser notre clef dans la serrure, afin que la police puisse entrer chez nous nuit et jour, que d’ouvrir notre portefeuille à toute réquisition. Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée (4). »

 

et il y a aussi ça maintenant : http://713705.net/2017/01/01/flicage-la-video-verbalisati...

allez, ils vont le sentir !


On s'y met ?
victory.gif
ça va faire des vagues!


"il faut vivre comme on pense  sinon tôt ou tard on finit par penser comme on vit (1)
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987

(
(1)regardez ce quie est arrivé aux bourges "socialistes"  )

pouvoir.jpg?w=474&h=198

pour ce qui est de "consommer BIO, local, artisanal" ça commence; "Local"

Il y a ça aussi :

antiBanques.jpg

*et ici (ICI !!!!!!!) IL Y A une VIDEO, une VIDEO qui normalement devrait se voir et FONCTIONNER
i

 au fait (regardez quelles sortes de gens sont les "gorilles" de super-marchés http://www.francetvinfo.fr/monde/russie/mort-de-l-opposan... )

 

lisez cet article, lui aussi voit le pouvoir des consommateurs et appelle à ce qu'ils s'en servent : http://www.liberation.fr/futurs/2016/10/20/eric-sadin-l-a...

 

Eric Sadin : «L’anarcho-libéralisme numérique n’est plus tolérable»
Ecrivain et philosophe critique, Eric Sadin analyse depuis dix ans l’impact du numérique sur nos sociétés. Après la Vie algorithmique en 2015, il publie la Silicolonisation du monde - l’irrésistible expansion du libéralisme numérique (1). Une charge violente et argumentée contre les Google, Apple et autres Facebook, qui prennent subrepticement les commandes de nos vies pour en tirer profit comme aucune autre entreprise auparavant.

Ce nouvel âge des machines, caractérisé par la mise en données de tous et de toutes choses, serait donc le stade ultime du capitalisme ?
Le technolibéralisme entend opérer une pression continue sur la décision humaine par la suggestion continuellement renouvelée des «meilleures» actions à prendre. Cet «accompagnement» de nos vies par les algorithmes s’est institué lors de l’avènement des smartphones et des applications à partir de 2007. Et nous franchirons un nouveau seuil lorsque les assistants numériques tels Siri d’Apple ou Google Now, à l’efficacité encore balbutiante, en viendront à nous prodiguer des conseils pour tous nos faits et gestes du quotidien. Et plus encore. Ce sera notamment le cas avec la voiture autonome, qui ne se contentera pas de piloter le véhicule mais également notre emploi du temps, en nous proposant de faire une pause dans tel restaurant ou tel hôtel supposés adaptés à notre «profil». Mais en outre, cet accompagnement peut aussi prendre une forme coercitive pour servir comme jamais les objectifs de productivité et de compétitivité du projet technolibéral.
Quand le patron de Microsoft, Satya Nadella, dit que «le défi de l’homme est de reprendre le pouvoir sur les données», c’est un début de mea culpa ?
Il s’agit là typiquement du langage schizophrénique tenu par les gourous de la Silicon Valley, qui collectent systématiquement des données sur tous nos faits et gestes, et qui en retour cherchent à rassurer les consciences. Le «siliconisme» sait très bien générer des discours positifs qui sont partout repris en boucle sans distance critique. Concernant la question des données personnelles, nous sommes au cœur d’un des grands malentendus de l’époque. La question cruciale ne regarde pas notre «vie privée», à laquelle certes nous tenons tous, mais qui représente si peu en regard de ce qui se trame et qui devrait autrement nous mobiliser. Car ce n’est pas une question de société, c’est une question de civilisation. Le technolibéralisme entend à terme tout automatiser et orienter nos vies afin de satisfaire de seuls intérêts privés. Et ce modèle se déploiera surtout si les données sont parfaitement protégées, instaurant une «confiance dans l’économie numérique» apte à assurer son expansion. Avant de nous prétendre victimes du traçage sécuritaire et commercial, nous devrions à la base individuellement et collectivement nous demander si nous voulons de tous ces objets, capteurs et systèmes appelés, non pas tant à violer notre vie privée qu’à progressivement nous dessaisir de notre pouvoir de décision.

Vous assimilez l’esprit start-up à de la «sauvagerie entrepreneuriale» et l’irresponsabilité des cerveaux de la Silicon Valley à de la «criminalité en sweat-shirt». Carrément ?
 Le technolibéralisme relève de la criminalité, non pas en col blanc, mais en hoodie [sweat-shirt à capuche, ndlr]. Et pourtant ce modèle est partout célébré. Mais comment un tel aveuglement est-il possible ?
Vous écrivez que le «technolibéralisme est désormais libre d’agir sans entrave». Alors, que faire ?
Nous sommes tous citoyens mais également consommateurs, et nous pouvons, par des décisions simples mais d’une redoutable efficacité, mettre en échec ce modèle. Pour ma part, j’en appelle au refus de l’achat d’objets connectés et de protocoles dits «intelligents» chargés de nous assister en continu. Ces compteurs Linky par exemple, appelés à mémoriser nos gestes de consommation électrique au sein de nos habitats. Jamais autant qu’aujourd’hui le refus de l’acte d’achat n’aura revêtu une telle portée politique.

Contre l’ambition démesurée du technolibéralisme à vouloir piloter le cours de nos vies, nous devons protéger la part inviolable de nous-mêmes, autant que notre autonomie de jugement et d’action.
Il est également temps de signifier aux responsables politiques que le soutien par des fonds publics à cet anarcho-libéralisme numérique n’est plus tolérable. En France, ce n’est pas à Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat au Numérique et ardente propagandiste du siliconisme, de décider abusivement des choses à notre place en vue de satisfaire les tenants de l’économie de la donnée. Ni non plus au Conseil national du numérique : les deux tiers de ses membres sont des responsables d’entreprises internet et de la donnée, ce qui constitue exactement un «conflit d’intérêt». C’est pourquoi, nous devons, à toutes les échelles de la société - citoyens, syndicats, associations - défendre le bien commun et notre droit à déterminer librement du cours de nos destins. Si nous ne reprenons pas la main, c’est le technolibéralisme qui va diriger nos vies individuelles et collectives, et cela est inacceptable.
(1) La Silicolonisation du monde l’irrésistible expansion du libéralisme numérique, d’Eric Sadin, éd. l’Echappée, 256 pp., 17 €.

boycott des vaccins obligatoires aussi :


 

Et si le 5 mai vous commencez tous à appliquer ce programme de résistance passive, de 8 minutes 8 à 11 minutes 8, ce sera la révolution pacifique qui mènera à la chute du pouvoir de nos maîtres et à notre libération :

 

(bon "ne pas voter" je ne suis pas d'accord, ce n'est en rien un acte de désobéissance civile car C'EST CE QU'ILS ESPERENT, que le peuple ne vote plus bien loin de les embêter ça les arrange ! (voir mon billet "la démocratie on en veut bien mais à condition que le peuple ne vote pas"), si vous vous abstenez, ça ne fera que renforcer le pouvoir de la classe dominante  et denos maîtres autoproclamés !!

 

ColucheBoycott.png

09/06/2018

une possible explication de la trahison de Tsipras et de SYRIZA

(source : commentaire dans https://ruptures-presse.fr/actu/tsipras-schulz-ue-grande-... )

Je me demande si derrière cette "révélation" du vrai Tsipras, il ne faut pas chercher du côté des fondations allemandes. Une thèse de doctorat d'une historienne polonaise, qui s'est penchée sur cette question, a montré comment l'Allemagne, via ses fondations politiques, créaient des partis satellites notamment dans l'Est de l'Europe - ceci financé par l'UE à hauteur de 500 millions d'€ avec les sous des contribuables européens ( oui, la "générosité" de l'UE qu'on nous vante tant, elle se fait sur notre dos), agissant comme des chevaux de Troie.
Même les partis de gauche ex-communistes ont envoyé leurs cadres dans des stages de formation organisés ad hoc par la maison-mère, et en sont revenus séduits et convertis à l'européisme béat et capitaliste.

Or Syriza n'a pas de fondement historique comme le KKE, glorieux. Il est un parti opportuniste, mais créé avec quels moyens ?
N'est-il pas un de ces partis satellites créatures du PGE ou de la Fondation Rosa Luxemburg, voire pire ?
ça expliquerait cette pseudo-radicalité, tous ces moyens pour émerger et contrecarrer, au moment de l'effondrement du PASOK, la popularité en force du KKE ?

 

06/06/2018

tiens ça varie selon les intérêts de nos maîtres !!

11/7/2016 après la coupe d’Europe Sur france-culture les journalistes font l’éloge du patriotisme. Tiens ! Ça n’est plus raciste ? Xénophobe, fasciste, antisémite ! demeuré, « populiste » quoi ! (du latin populus = peuple) Nos maîtres se sont dit que ça aide à faire tenir tranquille le troupeau, les prisonniers de leur baraque du camp, comme ça pendant ce temps ils sont contents, ça leur sert d’opium du peuple et ils obéissent bien au grand capital, à la propagande médiatique, aux flics, aux patrons, aux vigiles privés, aux interdictions de fumer, à l’ « Europe », les bobos refont l’éloge de ce qu’ils ont tant diabolisé parce que pendant ce temps-là le « peuple » ne pense pas à réfléchir, et à mettre le pouvoir de leurs maîtres donneurs d’ordre en question.