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29/04/2020

est-ce que 1=0 ?

demandait Gödel Et Michel Onfray ? (ce  "philosophe" indigne de porter ce nom) est ce que OUI = NON ? c'est peut-être qu'il y a une logique encore plus forte que celle-là et Etienne Klein ! en voilà qui égalerait les problèmes logiques de Gödel ! (renseignez-vous si vous avez un bon tube d'aspirine !) est-ce que OUI = NON ?

Ben, en fait le problème est plus simple à résoudre que celui de Gödel : il suffit de découvrir qu'il y a une logique encore plus puissante que celle d'Aristote : la logique du fric ! une science qui explique les paradoxes des "philosophes" et des savants : l'analyse marxiste !!

bon arrêtons les mystères (mais ça résume tout simplement ce qui suit !) , regardez Jean-Pierre Petit  (83 ans mais de plus en plus jeune !) interviewé par un philosophe :

https://www.youtube.com/watch?v=H--ZdMR40Co&feature=y...

là on revient sur l'attitude d'Etienne Klein : dans une vidéo on lui a posé la question : "est-ce que vous acceptez un débat avec Jean-Pierre Petit ?" il a répondu "OUI." sans hésiter
Mais ailleurs il répond "NON"
là alors on est dans la logique de Gödel : est-ce que oui = non ?!
plus sérieusement, ça fait penser au "philosophe" Michel Onfray qui le matin dit "Asselineau c'est très bien, je suis tout  à fait d'accord avec lui, vous pouvez le répéter", et moins de 24 heures plus tard dit "Asselineau c'est de la merde je n'ai rien à voir avec ce gars"
En fait il doit s'être passé quelque chose entre-temps, des menaces, sans doute de nature financière. Et sans doute c'est aussi ce qui coince Klein. (ici lisez le roman de David Lodge "un si petit monde",etc,etc)


Ce qui veut dire aussi que


encore plus fort que les problèmes logiques de Gödel - mais si c'est possible ! -  il y a,  derrière, quoi ? l'analyse marxiste !
ou comme disait Prévert "la délicate question d'argent"

(relisez mon billet "de la nécessité de faire une analyse marxiste du petit monde des universitaires"  http://miiraslimake.unblog.fr/2019/05/20/de-la-necessite-... )

 

C'est comme l'usage du terme "racaille" : la droite bourgeoise (y compris celle qui est inscrite au PS, parti réactionnaire, pro-capitaliste et pro-OTAN s'il en est, et y compris celle qui est a EELV) pense aux pauvres des quartiers pauvres, mais la vraie racaille, celle qui a fait de la France ce qu'elle est devenue : une pute de parking déshonorée, hein ? https://ru-clip.net/video/rF2ahvib56s/dieudonn%C3%A9-%C3%...

 

28/04/2020

nous devons les faire arrêter et traduire en justice, dans l'interêt de la santé publique

qui ? Dieudonné nous donne la réponse, une réponse marxiste et morale (et scientifique) absolument évidente ("The proof of the pudding is in the eating" disait Engels)



Jésus aussi était en train de détruire ou de mettre en danger les intérêts financiers "pharaoniques" des changeurs et des vendeurs d'animaux de la cour du temple, et c'est pour ça qu'on l'a tué.

 

petit rappel historique, pas inutile :

https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/melenchon-veut-abolir-lordre-des-medecins-une-organisation-petainiste 
C'est  sous le régime de Vichy, en reprenant le projet législatif du 7 mars 1928 d'Ernest Couteaux, député socialiste du Nord, que la loi du 7 octobre 19404,5 – parue au JO le 26 octobre – crée un Ordre des médecins comprenant le Conseil supérieur de la médecine et les Conseils départementaux. Cette loi supprime aussi les syndicats. Elle est complétée par la loi du 26 mai 1941 portant sur l'exercice illégal de l’art médical et de l’art dentaire et par celle du 26 novembre 1941 qui règle les élections à l’Ordre des médecins6.

Les membres des conseils seront nommés par le ministre par décret7 jusqu'à la loi no 794 du 10 septembre 1942 qui instaure les élections ordinales.

Le retour de Pierre Laval au pouvoir en avril 1942, conduit au remplacement au poste de ministre de la santé de Serge Huard par Raymond Grasset, ancien syndicaliste, qui réorganise l’Ordre par la loi du 10 septembre 19428.

Le , c'est l'arrêt Bouguen9 par lequel le Conseil d'État énonce que : « le législateur a entendu faire de l'organisation et du contrôle de l'exercice de la profession médicale, un service public » et que « si le conseil supérieur de l'Ordre des médecins ne constitue pas un établissement public, il concourt au fonctionnement dudit service ». L'Ordre est concerné par la loi du 14 avril 1943 portant sur la relève des personnels médicaux auprès des prisonniers6.

Les élections au Conseil de l'Ordre – les seules élections de quelque ampleur à avoir lieu en France sous l'Occupation – se tiennent le 22 mai 194310.

En juillet 1943, le Conseil supérieur de la médecine devient le Conseil national de l’Ordre des médecins qui produira sa dernière circulaire le 2 juin 1944 en instaurant une carte d'identité professionnelle. Sous Vichy, l'Ordre des médecins, de sa propre initiative parfois, sous pression de l'Occupant ou du Commissariat général aux questions juives d'autres fois, relayait les consignes gouvernementales. C'est ainsi que, à la suite de la Loi du 2 juin 1941 remplaçant la loi du 3 octobre 1940 portant statut des juifs, il a imposé un Numerus clausus11 pour l'exercice de la médecine par les médecins juifs, les listes ainsi constituées ayant pu ultérieurement être utilisées par les services de police pour des arrestations. Fortement imprégné des idées xénophobes et antisémites qui s'étaient exprimées en son sein dans les années 1930, le corps médical fut indifférent voire parfois favorable à ces mesures d'exclusion12.

Pris dans l'étau de Vichy, l'Ordre des médecins n'a alors jamais protesté contre les lois d'exclusion des médecins de confession israélite (2-4).

En avril 1944, un communiqué allemand diffusé à la radio et publié dans tous les quotidiens fait obligation à tous les habitants et en particulier aux médecins de signaler aux autorités allemandes tout blessé par balle ou par explosif, les contrevenants encourant la peine de mort. Cette disposition heurte la tradition du secret médical fortement ancrée dans le milieu médical français – mais aucune contestation du Conseil national de l'ordre ne s'éleva.

 

au fait, une découverte : "Hier j'ai assisté à un live du Conseil National de Transition, nous étions plus de 1000 à le suivre, je pense que ça peut-être une bonne structure pour nous réunir nous qui n'en pouvons plus de ces escrocs qui nous pillent de notre richesse, détruisent nos vies et abîment notre planète. Ils sont aux services des cartels banquiers, pétroliers, pharmaceutiques, agroalimentaire...
Il y a un live tous les soirs 20h30 sur demosophie sur youtube.
J'ai adhéré au CNT c'est totalement gratuit ce n'est pas un partis politique et grâce à mon adresse (juste le nom de la ville) on va pouvoir s'organiser par ville pour libérer la France, il y a déjà 60 000 d'inscrits et je le répète ce n'est ni un partis politique ni un syndicat, vous pouvez juste venir assister au live et même prendre la parole. Pour la démocratie absolue ? Rejoignons la France libre ! Conseilnational.TV"

27/04/2020

quelle différence ça fait pour un pays d'avoir un gouvernement communiste ou pas ?

Eh bien l'exemple du Kérala va vous le montrer !

Le Kérala depuis un demi-siècle fut la plupart du temps gouverné par des ministres communistes. Les 2 partis communistes indiens y sont puissant, militants et actifs.

Ce qui fait qu'au Kerala, petit Etat tout au bout sud-OUEST de l'Inde, coincé entre les Ghats et la mer d'Oman, c'est à peine si on on le voit sur les cartes, dénombre près de 3 000 établissements médicaux, soit près de 20% de tous les établissements que compte l’Inde entière ! Le Kerala offre à ses habitants 330 lits pour 1 000 habitants, contre 0,7 lit pour 1 000 dans le reste de l’Inde. Grâce à son système de santé publique universel et gratuit, ce qui n'est pas le cas dans le reste de l'Inde, l’espérance de vie au Kérala atteint 77 ans, la moyenne en Inde étant de 67 ans. 95% des accouchements se font à l’hôpital, ce qui a permis d’abaisser la mortalité infantile à 12/1000, contre 55/1000 dans le reste de l'Inde. Des magasins d’Etat permettent à la population pauvre d’avoir accès aux produits de première nécessité.

L’éducation y est gratuite et obligatoire, jusqu’à la fin du collège (inutile de dire que dans le reste de l'Inde ce n'est pas le cas, moi-même j'ai vu à Dieu des enfants balayer les res en regardant passer les fils de familles assez riches pour aller à l'école dans leur bel uniforme .... , et 98 % des enfants ont une école à moins de 2 km. La gratuité est totale et inclut les livres scolaires, les uniformes, le déjeuner et les transports. Les résultats de cette politique sont spectaculaires : le taux d’alphabétisation atteint 92% pour les femmes et 96% pour les hommes, contre 48% pour les femmes et 60% pour les hommes pour toute l’Inde.

Certes ce n’est pas un pays riche, mais comme à Cuba (et contrairement à la France actuelle depuis les années 90)  il n’y a pas de mendiants, pas de gens en état d’errance, en revanche, toujours comme à Cuba, les signes du communisme à la keralaise sont partout. Non seulement les portraits du Che Guevara, mais aussi des arrêts de bus en forme de faucille et marteau.

 

autre pays : La Bielorussie http://www.librairie-tropiques.fr/2019/05/viens-et-vois-bienvenu-en-bielarus.html

 

 

26/04/2020

l'individu et la morale

26/3/2018 dans son livre « Jamais seul, ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et le civilisations », Marc-André Sélosse parle, comme d’une «vision profondément occidentale » de l’importance que nous donnons à l’individu dans la société, il a l’air de la critiquer, mais cette attitude (de même que la capacité à savoir toujours remettre en cause ses certitudes, comme l'a fait remarquer François Asselineau) si elle est « occidentale » (j’en doute) a raison, est la base pour une société civilisée, et fut de tout temps menacée, et l’est plus que jamais actuellement (en Occident particulièrement !) par l’évolution de plus en plus totalitaire, et encouragée par les progrès de la technique, du « Libéral-fascisme » (voirla définition sur le site  Syti) actuel, de la nouvelle religion hygiéno-sécuritaire, des formes nouvelles de cette hubris, de l’ « esprit de la modernité » dénoncé par Zygmunt Bauman.

Comme l’a montré Michel Terestchenko, comme en témoigne le curé Meslier, seul de son temps à se scandaliser des bûchers de chats qui réjouissaient les parisiens, Elian Finbert seul à se sentir frère des animaux de sa maison de Minya-al-Qamh ou Brigitte Bardot souffrant de l’agonie des animaux à fourrure, la morale, est essentiellement une révolte subjective de l’individu. Et les progrès de la science et de la pensée n’ont été possible que par des individus sortants de la pensée collective.

 

des gens qui comme Didier Raoult ( et comme Dieudonné aussi !) font "ce qu'ils ont à faire" et disent "ce qu'on pense de moi, je m'en fout !" vidéo : https://ru-clip.net/video/rF2ahvib56s/dieudonn%C3%A9-%C3%...

25/04/2020

rendre à la banque de France et à elle seule son pouvoir régalien de création monétaire

La création monétaire, le coeur du problème : https://ru-clip.net/video/9ECMRzDt338/dieudonn%C3%A9-la-c...

(c'est le moment de vous interesser à Bernard Friot et à son projet de supprimer les banques (si !) et les prêts (si  !) remplacés par des caisses d'investissements accordant des subventions non  remboursables, cherchez sur Internet il y a toute une série de vidéos de ses conférences où il explique tout ça !)

Etienne Chouard a aussi des choses à nous apprendre sur ce sujet https://ru-clip.net/video/4nTNwe0EicM/crise-%C3%A9conomiq...

 

Si aujourd’hui les Etats avaient conservé le pouvoir de création monétaire, nous pourrions financer, sans augmenter la fiscalité, et sans emprunter, tout ce qui serait possible de réaliser pour répondre à la situation : nous pourrions envisager une mutation rapide de nos modes de transport, en particulier en développant le rail des transports collectifs, qu’il serait possible de rendre gratuits ; nous pourrions nous engager plus massivement dans une politique de réduction de consommation d’énergie ainsi que dans le développement et la mise en service d’énergies renouvelables. Nous pourrions orienter rapidement notre production agricole vers des méthodes qui restaurent les terres et ne polluent plus les rivières et les sous-sols ; nous pourrions améliorer les services de santé, la justice, l’éducation… Au lieu de penser le monde au travers des moyens financiers que l’on estime possible de mobiliser, on pourrait enfin le penser en fonction des seules vraies questions qui se posent à nous aujourd’hui et nous focaliser sur les solutions dont les limites seraient uniquement fixées par :

-les ressources humaines d’une part :

-en qualité  et en quantité : car on peut imaginer qu’alors le plein emploi serait vite retrouvé et que l’on pourrait même manquer rapidement de personnels,

-les ressources naturelles d’autre part : 

Au lieu de cela et à cause de la privatisation de la monnaie :

- l’intérêt produit l’effet d’une pompe qui ramène l’argent, où qu’il soit déversé au départ, dans la poche des possédants. Il a pour effet de désertifier des espaces pourtant riches de potentiels.

- Des centaines de millions de personnes sont au chômage.

- Le montant des intérêts, qui n’est jamais créé avec le capital, place la population mondiale dans la situation où le montant global de sa dette est supérieur à la masse monétaire disponible. … Les termes de démocratie, de solidarité, d’entraide, de coopération, de paix, ne sont que déguisements verbaux et effets de manche impuissants à cacher la réalité qu’impose la dynamique guerrière de l’argent privatisé. »

   André-jacques Holbecq & Philippe Derudder ( La dette publique, une affaire rentable )

 

22/04/2020

"c'est pour ton bien" ah oui, vaiment ? ....

ALERTE : regardez, le fameux google (propriété de qui ? rappelez-moi)
https://www.google.com/search?q=asselineau&ie=utf-8&a...
en fait tout un placrage, comme les placrages qu'ils font sur Maduro !

moi je me pose toujours la question : à qui profite  le crime ?
Le grand capital européiste bien entendu a de plus en plus peur de l'UPR, surtout depuis ce que révèle la crise du coronavirus, et le sondage qui montre que maintenant une majorité d'italiens sont pour la sortie de l'UE !
 leur beau "cheval" dictatorial, leur URSS capitaliste, l'UE risque de s'effondrer, et les grasses sinécures avec, et leur beau projet capitalo-mondialiste, NWO, le projet de Jean Monnet (relisez le livre de Phillippe deVilliers)  est alors compromis.
Alors leurs rêve est de faire comme avec l'autre danger mortel qui les menace,  Etienne Chouard (vu la réflection que ça crée dans le peuple relativement à l'élection et les politiciens professionnels aidés par les médias dans l'intêret du gand capital), essayer de le briser,

il y a une attaque en règle, orchestrée, (par qui ?) une volonté de nuire, ils ont envoyé tous leurs limiers pour trouver de quoi abattre FA,ils savent bien que sans FA l'UPR est mort, et sans l'UPR, ils espèrent contrer la destruction de l'UE, son projet de camp de concentration néo-libéral, et les grasses sources de corruptions et de prébendes, ils ne faut pas oublier la psychologie individuelle ! il n'y a pas que les interêts de clase ! pour avoir des Séides il faut aussi appater les interêts individuels).

 

L'oeil du cyclone
Il Souffle un Vent Terrible # 06
La guerre des riches contre les pauvres

"Il y a une guerre des classes, c'est un fait, mais c'est ma classe, la classe des riches qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner."
Warren Buffet, milliardaire américain, 1ère fortune des Etats-Unis

Une nouvelle guerre mondiale a commencé. C'est une guerre sociale et intérieure, une guerre d'élimination menée par les élites dirigeantes contre une population devenue trop nombreuse et inutilement coûteuse. 
Cette guerre se caractérise par l'instauration d'un nouvel esclavage appelé "néo-libéralisme", et simultanément, par l'accroissement de la répression contre le citoyen ordinaire afin d'obtenir sa soumission.
Pour commencer on nous bassine non stop avec ce crédo:
C’est pour ton bien !
Gamin, c’est pour ton bien que tu dois te lever à 7h du mat’ et passer ta journée entre quatre murs à l’école à écouter tes professeur, te taire et obéir, à apprendre par cœur tes leçons sans sourciller ;
[c’est pour ça que l’enseignement par correspondance et l’école à la maison c’est beaucoup mieux, et à favoriser au maximum] prendre tes récréations quand on te le dit, rentrer chez toi pour faire tes devoirs avec discipline ; c’est pour ton bien qu’il faut respecter tes parents quoi qu’ils fassent ou qu’ils disent, qu’il faut te lever quand le directeur entre dans la classe même si c’est une grosse crapule, qu’il faut savoir les paroles de la Marseillaise et les tables de 9. C’est pour ton bien qu’on te sert une bouffe de merde équilibrée à la cantine, pour que tu ne sois pas trop perturbé quand tu seras grand.
Prolétaire, c’est pour ton bien que le travail est rendu obligatoire, que les usines ont été inventées, que le patron te donne des ordres au boulot en te gueulant dessus, que les trains de banlieues avec leurs contrôleurs ont été mis en place ; c’est pour ton bien que les heures supplémentaires existent, et que les syndicats parlent en ton nom pour négocier dans ton dos ; c’est pour ton bien que l’argent liquide a été supprimé pour être remplacé par un totalitaire argent électronique sous le contrôle totalitaire des banques ! C’est pour ton bien qu’il faut te sacrifier corps et âme à l’économie du pays, au Dieu Capital.
Citoyen, c’est pour ton bien qu’il faut voter et élire tes maîtres, qui organisent ce meilleur des mondes possibles ; c’est pour ton bien qu’on te sonde et te questionne, et c’est pour ta protection que les flics patrouillent jour et nuit, pour ta sécurité, et ainsi compléter le bien que te font vidéosurveillance, puces RFID et fichiers.
Jeune, c’est pour ton bien qu’il ne faut pas traîner dans les rues la journée, qu’il ne faut pas traîner dans les rues le soir ni la nuit, même quand il y a de magnifiques étoiles dans le ciel, qu’il ne faut pas que tu fumes, qu’il ne faut pas que tu boives, qu’il ne faut pas que tu baises ni que tu penses ; c’est pour ton bien qu’il faut renoncer enfin à tes utopies stupides et « populistes », et apprendre ce qu’est la Pensée Unique des « diplômés » ; que l’on construit des terrains de foot au pieds de tes tours HLM, car le sport ça éduque. C’est pour ton bien que l’on place vigiles et anti-vols devant les magasins, car il vaut mieux que tu crèves la dalle avec ton SMIC plutôt que tu deviennes malhonnête. C’est pour ton bien qu’on te formate, te conseille, qu’on te réprime et qu’on t’oriente, qu’on t’insère et te réinsère à vil prix, qu’on t’apprivoise.
Vieillard, c’est pour ton bien qu’on recule l’âge de la retraite, sans quoi tu t’ennuierais à attendre la mort en prenant le temps de vivre ; c’est pour ton bien que les médicaments ne sont plus remboursés, car sinon tu prendrais l’habitude de tomber malade, et puis il faut bien dépenser les fruits de ton travail d’octogénaire. Et comme tu seras ensuite bien fatigué, c’est pour ton bien que les maisons de retraite t’accueilleront et te garderont à l’écart, bien à l’écart.
Migrant clandestin, c’est pour ton bien qu’on te rafle, qu’on te maintient en garde-à-vue, puis dans de jolis centres fermés ; comme le capitalisme ne peut pas accueillir toute la misère du monde qu’il a créée, c’est pour ton bien qu’il t’expulse comme il t’exploite et te « rapatrie » ; c’est pour ton bien que les centres de rétention où l’en t’enferme sont entourés de fils de barbelés car l’évasion est dangereuse, tout comme la liberté en général. C’est pour ton bien que ces centres sont construits par tes compères sans-papiers, car qui mieux qu’un de tes camarades peut savoir comment les fabriquer pour ton confort ? C’est pour ton bien que l’on te tabasse et te tire dessus des deux côtés des frontières, pour te rappeler qu’il y a encore pire : les passeurs. C’est pour rendre ta prison plus douce et plus agréable que la Cimade et la Croix Rouge la co-gèrent, c’est pour ton bien.
Populations bombardées, foutues dans des camps, otages des guerres étatiques, c’est pour votre bien qu’on rase vos maisons, que le Pouvoir vous prend comme chair à canon, que vous êtes les « pertes collatérales » ; comme c’est par la trique qu’on apprend le bien-être, c’est par les bombes, le napalm, les mines et la mort qu’on apprend ce que sont la Démocratie et le Progrès. 
Et puis c’est bien connu, il y aura de juteux marché pour les « groupes » d’investisseurs qui vont reconstruire tut ça.
Prisonnier, c’est pour ton bien que les syndicats de mâtons demandent un renforcement des effectifs et des murs plus épais, la construction de nouvelles taules, car il n’y en a pas assez comme ça, c’est évident. C’est pour ton bien que les ERIS interviennent, car la prison c’est si violent, il faut bien faire cesser les bagarres entre détenus… C’est pour ton bien qu’on te colle la perpétuité car dehors tu serais dangereux pour toi-même, et qu’on te colle aux chevilles un bracelet électronique car, n’est-ce pas, pour mieux reprendre goût à la liberté, rien ne vaut une bonne vieille laisse, comme celles des badges plastiques des puissants et de leurs serviteurs.

Pauvres, c’est pour votre bien qu’on vous apporte la Kulture sur un plateau et l’Art près de chez vous, comme avant-garde de la pacification sociale, comme preuve d’une entente possible autour de la soi-disant création, pour vous prouver que l’ascension sociale est possible, avec un peu de bonne volonté et d’imagination. Et puisque avec un peu de peinture on s’en met plein les poches, si vous ne vous sortez pas de votre misère, c’est bien votre faute.

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Il paraît que c’est pour notre bien que ce monde de merde doit continuer comme il est, que c’est pour notre bien qu’il faut laisser la liberté dans un tiroir comme on oublie une mauvaise plaisanterie.
Il paraît que c’est pour notre bien que tout doit rester en place : l’argent qu’on a ou qui nous manque, les patrons qui ont la bonté de nous « offrir du travail », les flics, les chefs d’Etat et ceux qui rêvent de prendre leur place, les banques, les centrales nucléaires et leurs déchets dans chaque parcelle de terre, les lignes haute et très- haute tension, les autoroutes (privatisées) et la bagnole pour aller plus vite des vacances au taff, les caméras à chaque putain de coin de rue, les tranquillisants absorbés en masse pour tenir, les militaires et leurs armes si évoluées, l’industrie même si c’est une fabrique à esclaves, à cancers et à mutilations, la marchandise même si elle nous écrase et nous bouffe la vie ; la famille, et les nouvelles religions hygiénistes, séuritaires ou « climatiques », qui nous dressent comme du bétail humain à bien nous conformer et nous priver, la biométrie et le contrôle oppressant, la médecine et la dépendance qu’elle implique, la prison et sa soumission, les écoles et leur domestication, les élections et leurs illusions proférés par les candidats que les riches aident, les machines qui font des machines et qui nous façonnent à leur image, les usines qui sont une des prisons du dehors, cette société et sa fausse joie, la politique et ses vrais mensnges, l’autorité comme référence rassurante quand tout tend vers un approfondissement du nihilisme ambiant.

Nous refusons ce faux paternalisme qui sera toujours plus puant que réellement bienveillant, qui nous offre de moins en moins de confort matériel et de plus en plus de coups de matraque dans les côtes. Il n’y a qu’un vaste mensonge déconcertant pour nous faire croire que la servitude c’est le bonheur, que l’autorité permet la liberté, que la peur est source de création, que la domestication et l’exploitation généralisées ouvrent la voie à l’émancipation.

Quand nous renvoyons à la gueule du Pouvoir une partie de la violence qu’il n’est pas parvenu à nous enlever, il se souvient que ce n’est pas pour son bien que nous nous révoltons, mais pour sa disparition totale et définitive.

La "lutte des classes" prônée par Karl Marx était celle des pauvres contre les riches, des exploités contre les exploiteurs. Depuis 1980, la lutte des classes s'est inversée. C'est désormais une guerre des riches contre les pauvres. Son but est d'effacer un siècle de progrès social en occident, de décupler les profits des entreprises, et de permettre un enrichissement sans précédent des élites dirigeantes au détriment de la population ordinaire devenue une simple ressource à exploiter.

Mais cette guerre sociale vise également des objectifs plus vastes et à plus long-terme...

Le constat des Maîtres du Monde
Ceux qui dirigent actuellement le monde considèrent que la planète est surpeuplée. Or cette surpopulation menace leur pouvoir. Ils le théorisent depuis le fameux rapport à la Trilatérale pare M. Crozier, S. Huntington, J. Watanuki, The Crisis of Democracy, Report on the Governabiliy of Democraties to the Trilateral Commmission, New York Université, N.Y. 1975. Plus la population est nombreuse, plus elle risque d'échapper un jour au contrôle de la minorité qui gouverne contre l'intérêt de la majorité. Et encore plus si elle instaure le tirage au sort au lieu de candidats « qu’on peut aider », comme le préconise Etienne Chouard.

De plus, les Maîtres du Monde considèrent qu'une majorité de la population est inutile ou non-rentable. La plupart des "citoyens ordinaires" ont une valeur négative pour le système économique.

Par ailleurs, du point de vue des Maîtres du Monde, la principale cause de la pollution est la surpopulation. Si les humains étaient 5 fois moins nombreux sur la planète, il y aurait 5 fois moins de pollution. Par ailleurs, plus il y a d'humains sur la planète, et plus se réduit la part de ressources naturelles (eau, nourriture, énergie, matières premières, espace) disponibles pour chaque humain.

Une alternative serait que l'humanité renonce à la société de surconsommation et aux profits qu'elle permet de générer. Pour les Maîtres du Monde, cette solution n'est pas envisageable. Une seconde alternative serait que l'humanité investisse massivement dans des nouvelles énergies et des nouvelles technologies qui dégraderaient moins l'environnement. Mais les énergies alternatives ne parviendront pas à satisfaire entièrement les niveaux de consommation actuels. Enfin cela coûtera cher, et sans réduire le danger d'instabilité sociale.

Les Maîtres du Monde ont donc choisi une autre solution: permettre aux plus favorisés de conserver les avantages d'une société industrielle hautement polluante, mais réduire la pression globale sur l'environnement et les risques d'instabilité sociale en ramenant la population mondiale à 1 milliard d'habitants d'ici le milieu du 21è siècle.

La "solution finale"
Une guerre d'élimination contre la population mondiale a donc commencé. Attali ou la mise à mort de Vincent Lambert nous préparent les esprits, pour qu’on soit d’accord !
Et puis les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l'accès à l'espace vital, à la nourriture, à la santé, à l'éducation, à l'information, et à l'énergie. L'envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction des allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d'éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l'électricité sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.

Les Mensonges du Libéralisme
"La mondialisation profite à tous", "La croissance crée des emplois", "Le libéralisme est le seul choix possible, sous peine de s'isoler du Monde"

FAUX: La croissance crée des emplois dans un premier temps, mais elle sert surtout à financer les "restructurations" et les délocalisations. Au bout du compte, elle détruit davantage d'emplois qu'elle n'en crée. Un pays cours le risque d'une délocalisation accrue des entreprises si il ne va pas dans le sens de leurs désirs. Du fait de la mondialisation, les salariés occidentaux sont désormais en concurrence avec les salariés de l’Ukraine ou du Cambodge, y compris pour des emplois qualifiés dans le tertiaire ou les secteurs technologiques. Tant qu'il y aura le moindre profit à réaliser en délocalisant, les entreprises iront au plus offrant, dans le pays où elles trouvent les lois sociales et environnementales les moins contraignantes. 

Mais si il en est ainsi, c'est parce que nos gouvernements se sont entendus pour créer ces conditions, en appliquant simultanément dans tous les pays les déréglementations prônées par l'idéologie libérale. Ils ont réalisé la mondialisation uniquement dans un sens favorable aux entreprises, sans la contrepartie d'une mondialisation au niveau des lois de protection sociale et environnementale. La mondialisation néo-libérale est résolument dissymétrique.

D'autre part, cette absence apparente de choix revient de fait à une dictature des entreprises, via l’UE, le CETA ou le TAFTA. Accepter cette dictature, c'est renoncer au pouvoir souverain des Etats et des représentants élus du Peuple. C'est donc renoncer à la démocratie, et accepter à terme un esclavage généralisé.

"L'entreprise crée des richesses. Elle est la source de la prospérité des pays et de leurs habitants"

FAUX: le plus souvent, les entreprises ne créent pas de richesses, car la valeur créée est inférieure aux coût réel des ressources utilisées ou détruites, si on prend en compte le coût environnemental et humain, ainsi que le coût réel des matières premières non-renouvelables.

Le "profit" des grandes entreprises est en réalité prélevé sur la nature, saccagée par l'exploitation, l'urbanisation et la pollution, ou "vampirisé" sur d'autres acteurs économiques:

- sur les salariés qu'on aura licencié pour économiser des coûts ou "augmenter la productivité", ou dont on aura réduit la rémunération ou la protection sociale.

- sur les consommateurs qui doivent payer plus pour une qualité ou une quantité moindre.

- sur les fournisseurs (en particulier sur les producteurs de matières premières minières ou agricoles)

- sur d'autres entreprises dont on aura provoqué la faillite par des pratiques déloyales, ou qui sont rachetées pour être ensuite dépecées, vendues par morceaux, et dont les salariés sont transformés en chômeurs.

- sur les populations du Tiers-Monde qui ont été spoliées de leurs terres et de leurs ressources, et qui ont été réduites en esclavage, obligées de travailler dans les mines ou les "ateliers de la sueur" des entreprises transnationales, ou pire encore, obligées de servir de cobayes à l'industrie pharmaceutique, ou de vendre leurs organes (le plus souvent un rein ou un oeil) qui seront ensuite greffés à des malades fortunés. (le prix payé pour le prélèvement d'un rein va de 20.000 euros en Turquie, à seulement 800 euros en Inde)

A quoi sert le mensonge libéral dans la période actuelle ? 

A obtenir le consentement des travailleurs pour casser des éléments du système qui sont devenus obsolètes du point de vue de la bourgeoisie et de la haute finance néo libérale.

Il est important de ne pas sous-estimer ce point : pour toute classe dominante il est indispensable de conserver le consentement des dominés. Même Hitler y veillait. Ainsi on se servira de l'idéologie libérale pour transformer des entreprises publiques en entreprises privées – en prétendant que les prix des services fournis par ces entreprises vont baisser, ou que le service sera meilleur. L'idéologie libérale a servi aussi pour faire accepter la baisse du coût de la force de travail. Elle l’a fait de façon directe en favorisant la compétition entre travailleurs, en cherchant au maximum à remplacer la négociation collective par le contrat individuel. Elle l’a fait aussi en faisant accepter la baisse du salaire indirect (retraites, assurance chômage, prestations de santé...). Tout ceci peut être accepté d'autant plus facilement que les travailleurs y voient l'expression d'une plus grande liberté individuelle, ou d'une meilleure responsabilisation de chacun envers la collectivité.

Les plans de " sauvetage " coordonnés par la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne et Fonds Monétaire International) auquel participe la Belgique ne bénéficient pas aux États mais aux banques. Ces " aides " sont en réalité des prêts empoisonnés assortis de mesures d'austérité anti-sociales qui servent principalement à renflouer les banques privées alors que ces dernières sont largement responsables de la crise. Bien loin d'être solidaire avec ses citoyens, la Belgique participe donc à des prêts illégitimes qui profitent encore aux banques, violent les droits des peuples et la souveraineté des États.

Par Belgique je parle de nos représentants, de ceux qui se sentent responsables de nous, et se présentent comme tels, alors même qu’ils sont en état de panique froide.

En revanche, ce que Marx a appelé le capitalisme ne connaît pas de panique de ce genre. Et il ne connaît ni panique ni même hésitation parce que, assez simplement, il n’est pas équipé pour cela. C’est d’ailleurs pourquoi on peut s’inscrire aujourd’hui dans l’héritage de Marx sans pour autant être « marxiste ». Ceux qui nous disent « Marx est dépassé », avec un petit sourire satisfait et obscène, se gardent bien, en général, de nous dire pourquoi le capitalisme tel que Marx l’a nommé ne serait plus un problème. Ils sous-entendent seulement qu’il est invincible. Aujourd’hui, ceux qui disent la vanité de la lutte contre le capitalisme disent : « La barbarie est notre destin. »

Si nous avons besoin, maintenant plus que jamais peut-être, de la manière dont Marx a campé le capitalisme, c’est d’abord pour ne pas entretenir l’espoir que, nécessité faisant loi, « ils » vont finir par se poser des questions, par comprendre qu’il y va de l’avenir, celui de leurs enfants comme celui des nôtres. C’est-à-dire aussi pour ne pas perdre son temps à s’indigner, à dénoncer, quitte à tirer de noires conclusions sur les tares de l’espèce humaine, qui n’aurait finalement que ce qu’elle mérite. (Et c’est pourquoi nous avons aussi besoin de la manière dont Etienne Chouard a campé la démocratie.

Le temps est venu 

Quelques mesures économiques à prendre d'urgence:

-Sortir de l’UE, de l’Euro et de l’OTAN, sans ça ni changement ni même arre de la régression actuelle n’est possible.
- Restaurer les protections douanières, seul moyen efficace pour lutter contre les délocalisations, en instaurant des droits de douane proportionnels aux différences de conditions sociales et environnementales.
- restaurer le contrôle des mouvements de capitaux.
- Supprimer les subventions aux entreprises sans contreparties en faveur de l'emploi.
- Loi pour limiter les écarts de salaires (pour restaurer le sentiment de justice, la confiance, et la motivation des salariés). Un écart de 1 à 20 entre le salaire le plus bas et le plus élevé est un maximum. Actuellement, cet écart est de 1 à 200. (voir la liste des salaires des PDG).
Un écart de 1 à 10 serait optimal pour un bon équilibre social et pour limiter l'inflation alimentée par l'excès de richesse des riches.
- Nationalisation ou mise sous tutelle par l'état des grandes entreprises dans les secteurs de la pharmacie et de l'énergie (ces secteurs étant trop importants pour être laissés sans contrôle à des sociétés privées dont les intérêts sont à l'opposé de l'intérêt général)
- Mise sous tutelle des entreprises de grande distribution, et privilégier les circuits courts.

Mais il ne faudra pas s’arrêter là et il faudra :

- Ecouter Bernard Friot.

a suivre

Nous sommes dans l'oeil du cyclone, et bientôt le vent va se lever.

Une chose est certaine.
Il n'y a d'impuissance que quand on délaisse ses responsabilités pour laisser à d'autres le soin de diriger nos vies.

21/04/2020

ça y est l'alliance du totalitarisme capitaliste et du totalitarisme de la nouvelle religion

dans les années 90 parlant du Canada j'avais déjà lu un article dans ce sens présentant l'alliance entre la pouvoir (ascétique et répressif) de normalisation/culpabilisation (bref le rôle qui était autrefois celui des calotins de l'inquisition et de la Sainte Eglise, ses confessionaux et ses commandements) et le néo-libéralisme le plus sauvage, le plus rentable, et le plus esclavagiseur du peuple. Et terrorisation des individus ravalés dans leur solitude.

 <https://fbcdn-sphotos-b-a.akamaihd.net/hphotos-ak-xap...

Et voilà l'alliance - la nouvelle "alliance du sabre et du goupillon", comme dans les années 80 - (1880 !) - qui prend forme
où on voit une raison de plus de boycotter les supermarchés
 
Et la gestion de l'épidémie a visiblement pour but de renforcer le monopole éhonté de ces  immondes enfers orwelliens du GRAND CAPITAL que  sont les supermarchés ! la première chose qu'ils ont fait fut de faire fermer les restaurants,obligants les gens à tous acheter leur nourriture, et puis ils ont fermés tous les petits commerces, POUR LES FAIRE MOURIR, et obliger les gens à ne plus se nourrir que par les entreprises du GRAND  CAPITAL ! qui sont en train dese faire "des couilles en or" les chiffres d'affaire de ces grosses boites a doublé, le gens n'ont plus de baraques à frites ni de chinois pour se nourrir ! et faisant des stocks en plus ! Selon pierre JOVANOVIC, vidéo à cette adresse :
la moitié des PMEvafaire faillite,
Et donc l'emprise des "groupes" monstrueux du GAND CAPITAL va devenir de pus en plus monopolistique !!!

et la dramatique erreur qu'on a fait en ne le faisant pas:
quand toute autre possibilité d'achat aura définitivement disparue, il sera trop tard pour pleurer,
et bien sûr si "on" fait tout pour réduire de plus en lus de gens à un degré de misère tel qu'il sont obligés d'acheter dans ces officines staliniennes pour avoir pouvoir espérer boucler leur budget c'est POUR CA, pour forcer le "bétail" dans le camp de concentration, sous le joug du grand capital, et bien faire disparaitre la libre entreprise, tout ce qui voudrait perpétuer un commerce  indépendant normal à taille humaine.
 
ALERTE ! nos maîtres viennent de pondre discrètement un nouveau moyen de faire mourir tout ce qui n'est pas grande surface et commerces de luxe :
Si vous êtes commerçant d'ici 2018  pour être bien sur que l'état  reçoivent sa TVA vous devrez obligatoirement  vous équipez  d'un encaissement sécurisé informatisé  d'une valeur de xxxx euros sous peine de 5000 euros d'amende
Autant dire que tous ceux qui déjà  ne sont peu rentables  c'est même pas la peine de penser à continuer  votre activité !

A la fin il ne doit rester que les Auchan, carrefour, etc pour être bien sur d'avoir le pouvoir total sur la nourriture de toute façon.
 
En plus ces cons n'ont rien compris à la manoeuvre et s'imaginent que c'est une "islamisation", diviser les "mougeons" et y répandre la haine, alors que ce n'est pas du tout le cas.
c'est aussi, (aussi seulement, ça n'est même pas la cause principale, la cause principale c'est celle au-dessus, l'alliance entre la nouvelle église culpabilisatrice ascétique et la normalisation/soumission du troupeau dans le camp de travail totalitaire du grand capital) c'est aussi le moyen de forcer tout le monde de tous les pays au même régime amerloque et capitaliste, de faire renoncer les gens à toutes leurs boissons et ne plus boire que ce que j'appelle "du profit capitaliste amerloque avec un peu d'aspartame dedans" à savoir coca-fanta-pepsi-sevenup-orangina.
(c'est ce qui se passe déjà dans les restaurants chinois "servez-vous vous même", ce qui permet de faire de grasses économies de salaires, ou la boisson est incluse A CONDITION que ça soit du "profit capitaliste amerloque avec un peu d'aspartame dedans").

Et comme avec d'autre domaines (tabac, fichage ADN, rfid, fichage des enfants dans base-élève https://retraitbaseeleves.wordpress.com/ et la suite, etc, etc) ce n'est que la première étape, la totale prohibition et la criminalisation - menottes et tasers à la clé - viendra.



20/04/2020

Il y a seulement quelques semaines, ceux qui parlaient de la démondialisation passaient pour des farfelus

Par le Parti de la démondialisation
le 11 avril 2020

Il y a seulement quelques semaines, ceux qui parlaient de la démondialisation passaient pour des farfelus, des zozos incapables de s’adapter à un monde de plus en plus ouvert etc.
Au pire, nous passions pour des populistes, des ‘’rouges-bruns’’ dominés par la peur de l’autre, par la xénophobie et rêvant de repli sur soi.
Apparemment, le vrai monde, celui des altermondialistes de tous poils, des internationalistes de pacotille, de la ‘’gôche’’ de salon (insoumise ou pas…) et de Macron, avait le vent en poupe et n’avait rien à voir avec les analyses des ‘’illuminés’’ démondialisateurs.…

Et la pandémie est arrivée…bousculant les discours de tous ces ‘’bien-pensants’’.

Ce qui était présenté comme une évidence par les tenants du système néolibéral s’est révélé aux yeux de tous une absurdité.
Ce qui était qualifié d’absurdité par la coagulation néolibérale-verts-alter, anti-nation sonne désormais comme le bon sens !
Les démondialisateurs auraient donc raison ?
Impensable avant la « crise » sanitaire. Evidence aujourd’hui !

Par exemple, il allait de soi qu’il fallait confier les capacités industrielles du monde occidental à la Chine et se placer ainsi dans une situation de dépendance totale. C’était, paraît-il la seule réalité économique possible, le seul développement harmonieux du monde et des peuples, bref, la seule voie de progrès pour l’Humanité boboïsée et néolibéralisée… Il allait de soi que ceux qui voulaient réindustrialiser la France, lui rendre sa souveraineté économique, politique (démocratique), monétaire et financière, militaire, diplomatique, restaurer et élargir la sécurité sociale pour garantir la justice sociale, préserver la biodiversité, refonder l’instruction publique etc. n’étaient que de dangereux (et idiots) souverainistes (voire nationalistes) dégénérés.
Aujourd’hui, renversement de situation. Tout le monde se rend compte (ou feint de se rendre compte…) qu’une nation ne maîtrisant pas les leviers de sa souveraineté et son autonomie industrielle dans les domaines stratégiques est à la merci de ses ‘’fournisseurs’’ et que la mondialisation que nous vivons depuis des années, impulsée par l’Union européenne et ses affidés, est un véritable cauchemar.

Quand nous disons que l’avenir des peuples sera celui de la « démondialisation », nous ne sommes pas des idéologues éthérés. Nous analysons simplement la réalité telle qu’elle est : la mondialisation néolibérale fait peser tous les dangers sur les peuples et voulons l’éradiquer.

Dit autrement, les souverainetés énumérées plus haut redeviennent le fondement des Nations et un espoir pour les peuples du monde.

Du mondialisme, il faudra passer à la relocalisation, construire une planification étatique pour satisfaire les besoins de la population, utiliser prioritairement les circuits courts et l’achat local et national, faire preuve de patriotisme économique. Il faut cesser de s’imaginer que la planète est un village et que la soumission aux marchés est un idéal indépassable.

Un État souverain favorisera la coopération entre les peuples car nul ne rêve d’un monde constitué de pays repliés sur eux-mêmes et hostiles les uns aux autres.

Mais chaque peuple, de chaque pays, devra, dans la mesure du possible, chercher à renouer avec ce vieux principe qui redevient une évidence : l’indépendance nationale.voulaient réindustrialiser

Le programme de démondialisation que le Pardem présente, pour résoudre les crises sociale, économique, environnementale, sécuritaire, politique, morale, afin de remettre notre pays debout, vise à sortir de la mondialisation néolibérale. Comme cette notion fait l’objet d’un flou savamment entretenu par les classes dirigeantes, les grands médias et tous ceux qui détestent la France ou qui se sentent impuissants et veulent communiquer leur inertie aux autres, nous voulons ici mettre les points sur les i.

Car pour mieux comprendre le processus de démondialisation à construire, il faut savoir comment s’est bâtie la mondialisation :

https://www.pardem.org/le-parti/le-programme-du-pardem/735-fiche-3-elements-de-comprehension-historique

Le déconfinement devrait sonner la débandade dans les rangs de ces gens-là   https://ru-clip.net/video/RhjLRmhr3zE/dieudonn%C3%A9-hanouna-la-chute.html

15/04/2020

la mafia néo-libérale

"Trop tard. Mi-mars, après moult atermoiements, la Commission européenne s’est résignée à invoquer la « clause dérogatoire générale », encore jamais utilisée, qui suspend officiellement l’austérité. Les Etats sont autorisés à dépenser sans compter. C’est la seule chose que Bruxelles pouvait faire de bien : ne plus surveiller, ne plus menacer, ne plus sanctionner – en un mot, la boucler.

Sauf que le mal est fait. Pendant ses vingt-trois ans d’existence, le pacte de stabilité a constitué une arme de destruction massive des dépenses publiques des Etats membres, avec les services publics en première ligne."

C’est ainsi que commence l’éditorial du numéro 94 daté du 6 avril 2020 du journal Ruptures, signé Pierre Levy.
 
Ne manquez pas de lire la suite : c’est clair et argumenté. Est-ce utile de préciser que le Pardem partage les analyses de ce texte ? Nous diffusons ce texte avec l’accord de son auteur.
https://pardem.org/union-europeenne/151-pourquoi-et-comment-sortir-de-l-euro/1031-les-deux-piliers-de-l-ue-vacillent


Les " médias" sont devenus les journa-putes du grand capital.

14/04/2020

épidémie de fièvre aphteuse - des fois on trouve par hasard des choses, des choses qui révèlent le pot au rose !

Ce document, en deŭ parties, cette image et la suivante,

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vient d'un livre, trouvé par hasard dans une foire au livre : "La Vérité (en gros caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle.
Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient !
Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça.
Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage en mars 2001 aŭ Pays-bas)

En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait d la soigner. Et on la trayait. C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout.
Et les gens n'en mourraient pas !
Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches !
Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'aueur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteŭ.

(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on ne peut pas vendre le lait, ça fait baisser la rentabilité de l'élevage
voilà voilà .... )

Ce document, en deux parties, cette image et la précédente (bon je ne met pas la seconde, la première suffira, on n'est pas dans Ipernity ! ) vient d'un livre : La Vérité (en grands caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle.
Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de rares cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient !
Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça.
Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage Jacqueline et moi en mars 2001 aŭ Pays-bas)

En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait de la soigner. Et on la trayait ! C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout.
Et les gens n'en mouraient pas !
Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches !
Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'auteur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteux.

(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on n'encaisse pas de rentrées d'ARGENT, ça compromet la SACRO-SAINTE rentabilité ! Voilà le problème.