28/04/2020
nous devons les faire arrêter et traduire en justice, dans l'interêt de la santé publique
qui ? Dieudonné nous donne la réponse, une réponse marxiste et morale (et scientifique) absolument évidente ("The proof of the pudding is in the eating" disait Engels)
Jésus aussi était en train de détruire ou de mettre en danger les intérêts financiers "pharaoniques" des changeurs et des vendeurs d'animaux de la cour du temple, et c'est pour ça qu'on l'a tué.
petit rappel historique, pas inutile :
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/melenchon-veut-abolir-lordre-des-medecins-une-organisation-petainiste
C'est sous le régime de Vichy, en reprenant le projet législatif du 7 mars 1928 d'Ernest Couteaux, député socialiste du Nord, que la loi du 7 octobre 19404,5 – parue au JO le 26 octobre – crée un Ordre des médecins comprenant le Conseil supérieur de la médecine et les Conseils départementaux. Cette loi supprime aussi les syndicats. Elle est complétée par la loi du 26 mai 1941 portant sur l'exercice illégal de l’art médical et de l’art dentaire et par celle du 26 novembre 1941 qui règle les élections à l’Ordre des médecins6.
Les membres des conseils seront nommés par le ministre par décret7 jusqu'à la loi no 794 du 10 septembre 1942 qui instaure les élections ordinales.
Le retour de Pierre Laval au pouvoir en avril 1942, conduit au remplacement au poste de ministre de la santé de Serge Huard par Raymond Grasset, ancien syndicaliste, qui réorganise l’Ordre par la loi du 10 septembre 19428.
Le , c'est l'arrêt Bouguen9 par lequel le Conseil d'État énonce que : « le législateur a entendu faire de l'organisation et du contrôle de l'exercice de la profession médicale, un service public » et que « si le conseil supérieur de l'Ordre des médecins ne constitue pas un établissement public, il concourt au fonctionnement dudit service ». L'Ordre est concerné par la loi du 14 avril 1943 portant sur la relève des personnels médicaux auprès des prisonniers6.
Les élections au Conseil de l'Ordre – les seules élections de quelque ampleur à avoir lieu en France sous l'Occupation – se tiennent le 22 mai 194310.
En juillet 1943, le Conseil supérieur de la médecine devient le Conseil national de l’Ordre des médecins qui produira sa dernière circulaire le 2 juin 1944 en instaurant une carte d'identité professionnelle. Sous Vichy, l'Ordre des médecins, de sa propre initiative parfois, sous pression de l'Occupant ou du Commissariat général aux questions juives d'autres fois, relayait les consignes gouvernementales. C'est ainsi que, à la suite de la Loi du 2 juin 1941 remplaçant la loi du 3 octobre 1940 portant statut des juifs, il a imposé un Numerus clausus11 pour l'exercice de la médecine par les médecins juifs, les listes ainsi constituées ayant pu ultérieurement être utilisées par les services de police pour des arrestations. Fortement imprégné des idées xénophobes et antisémites qui s'étaient exprimées en son sein dans les années 1930, le corps médical fut indifférent voire parfois favorable à ces mesures d'exclusion12.
Pris dans l'étau de Vichy, l'Ordre des médecins n'a alors jamais protesté contre les lois d'exclusion des médecins de confession israélite (2-4).
En avril 1944, un communiqué allemand diffusé à la radio et publié dans tous les quotidiens fait obligation à tous les habitants et en particulier aux médecins de signaler aux autorités allemandes tout blessé par balle ou par explosif, les contrevenants encourant la peine de mort. Cette disposition heurte la tradition du secret médical fortement ancrée dans le milieu médical français – mais aucune contestation du Conseil national de l'ordre ne s'éleva.
au fait, une découverte : "Hier j'ai assisté à un live du Conseil National de Transition, nous étions plus de 1000 à le suivre, je pense que ça peut-être une bonne structure pour nous réunir nous qui n'en pouvons plus de ces escrocs qui nous pillent de notre richesse, détruisent nos vies et abîment notre planète. Ils sont aux services des cartels banquiers, pétroliers, pharmaceutiques, agroalimentaire...
Il y a un live tous les soirs 20h30 sur demosophie sur youtube.
J'ai adhéré au CNT c'est totalement gratuit ce n'est pas un partis politique et grâce à mon adresse (juste le nom de la ville) on va pouvoir s'organiser par ville pour libérer la France, il y a déjà 60 000 d'inscrits et je le répète ce n'est ni un partis politique ni un syndicat, vous pouvez juste venir assister au live et même prendre la parole. Pour la démocratie absolue ? Rejoignons la France libre ! Conseilnational.TV"
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