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08/07/2025

Paraphrase d'André Malraux

Ne construisons pas une civilisation qui élimine les personnes dont nous considérons que la vie n'est plus digne d'être vécue. Voilà des principes qui rappellent quelque chose....

Et dans certains pays égoïstes et "propres en ordre" c'est déjà très avancé.

« Une vingtaine de personnes se sont rassemblées, mardi 9 juillet 2019 devant le centre hospitalier de Reims où se trouve Vincent Lambert, pour protester contre l’arrêt de ses traitements. (en réalité sa mise à mort par inanition) (c'est à dire 20 personnes  ont réagit comme auraient DU réagir TOUS les athées ! .... réfléchissez, c'est logique !  mais ils ne l'ont même pas fait au nom de l'athéisme et du refus de la mort, mais au nom du catholicisme. Bizarre ! les catholiques sont censés croire en la vie après la mort, alors c'est tout de suite moins grave)

Elles se sont réunies vers 20 h, à l’appel des « Veilleurs de Reims ».

(il est vraiment bizarre que ce soient les cathos qui se mobilisent, et non les athées ! Alors que ce devrait être l’inverse. Quand-même ! les athées devraient être beaucoup plus que les croyants viscéralement et inconditionnellement allergiques à la mort !!! (qui ne leur laisse aucun espoir) enfin ! c’est évident !!! et donc ils devraient NORMALEMENT ressentir bien plus que les croyants un devoir fondamental de s’opposer jusqu’au bout à de telles pratiques ! C’est vraiment le monde à l’envers!)

« Ces personnes, accompagnées d’enfants, [normal!] étaient là « pour une veillée de réflexion et de solidarité avec le combat des parents de Vincent Lambert », fervents catholiques farouchement opposés à l’arrêt des traitements. « On ne pouvait pas être autre part qu’ici ce soir », a expliqué Remy Blondet qui affirme osciller entre « désespoir et colère ». « Il faut avoir le courage des mots : c’est une euthanasie », a-t-il dit. »

(Et ils ne priaient pas ?!!! ne fusse que pour l’âme de celui qui était en train de mourir, drôle de « chrétiens !!! Donc c’est un AVEU : ces « chrétiens » en fait n’ont pas un gramme de foi chrétienne !)

« Comment dire qu’une vie ne peut pas être vécue ? « 

(question fondamentale en effet, base de la morale, et contraire à la logique nazie, qui depuis le livre de Binder et Hoche – et avant ça le personnage du Dr Benassis dans « le médecin de campagne » de Balzac, roman paru en 1832 et pierre milliaire historique - à travers l’Aktion T4 et actuellement le génocide des trisomiques]

Nous ne pouvons pas nous satisfaire de la mort donnée par « charité » (et en réalité pour des considérations financières). Nous défendons la vie et la mort naturelle », [les cathos ? Les athées, eux défendent la vie et refusent la mort, in-con-di-tion-nelle-ment, qu’elle soit naturelle ou pas! ] a défendu Éric Lemaitre, membre des « Veilleurs de Reims ». Le groupe s’est séparé en entonnant le chant scout « L’Espérance ».

 

Quelques heures plus tôt, vers 16h, Alexandre, un jeune Rémois était venu chapelet en main se recueillir [ ah ! Un chrétien lui ? ] seul devant l’hôpital.
« J’ai décidé de venir sur un coup de cœur. Je trouve malheureux qu’il n’y ait pas plus de monde pour défendre la vie de Vincent Lambert et des milliers de personnes qui sont dans son état », avait-il affirmé.
Bref, il n’y a qu’un seul chrétien dans toute la ville de Reims visiblement ! ...

 

"Le médecin de Vincent Lambert, hospitalisé au CHU de Reims et dans un état pauci-relationnel après un accident de voiture en 2008, a engagé mardi 2 juillet un nouvel arrêt des traitements, effectif depuis mercredi soir. Cette décision a été rendue possible le 28 juin par la Cour de cassation. Ce protocole médical prévoit notamment l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition par sonde du patient, ainsi qu’une « sédation profonde et continue ».

[c’est à dire une mise à mort délibérée ; un jour ce traitement sera imposé à toute la population passé un certain âge, déterminé par des « contrôleurs de gestion »]

Mais,au fait !

une question qui n'est pas posée c'est les infirmières qui FONT concrètement les ACTES (et absences d'actes) tueurs (car bien sûr le médecin, le "grand patron" d'hôpital, en général arrogant - oh combien dans ce milieu !  - se contente de donner les ordres à son personnel (et encaisser les gras honoraires) qu'en pensent-elles ? Ce sont pourtant elles qui donnent la mort. Mais bien sûr on ne leur demande pas leur avis, elles n'ont qu'à obéir "ac cadaver" sinon c'est la porte ! La ruine de leur vie, la maison achetée à crédit vendue par la banque, la clochardisation, etc ….

Et là, on ne peut s'empêcher de penser à ce cas : (paru sur  la Midi Libre http://expressions.ecoutespirite.org/aux-frontieres-de-la...) celui de M. Joseph Garcia de Lagamas dans l'hérault, à l'âge de 21ans il s'est retrouvé suite à un accident plusieurs semaines dans le coma, il dit entre autre : "Je sais aussi que malgré la fait que  j'étais  dans  le coma  je  me  rappelle  très  bien  (après 61 ans) du nom  et  du  visage  de  l'infirmière en chef  qui a désobéi  au médecin  pour continuer le bon traitement pour moi et qui 'm'a sauvé la vie. Comment j'ai pu connaître son nom ?"

Un autre aspect des choses qu'on n'aborde guère : les parents avaient demandé à prendre Vincent Lambert CHEZ EUX - car c'était techniquement possible ! - mais ça leur a été refusé !

 

Eh oui ! les gens n'appartiennent plus à eux-mêmes ni à leurs famille, mais aux "instances" (comme on disait en URSS)  et concrètement aux « grands patrons ». Maintenant supposons que la famille décide d'entrer dans l'hopital (lieu public théoriquement, puisque appartenant à la République) et y prendre leur enfant pour l'emmener chez eux, que se serait-il passé croyez-vous ??? En tout bon sens normalement rien ! Mais dans la société actuelle, qui, ne nous le cachons pas, est une société coercitive et totalitaire ! ou aucune liberté n'existe dans la réalité des faits (seulement sur le papier," pour faire joli" !),  je pense que la DIRECTION de l'hôpital "public" aurait envoyé des gorilles privés (pardon, en NOVLANGUE on est obligé d'appeler ça des "agents de sécurité (sic)" ) pour les en empêcher physiquement (par la violence quoi). Quelles sont les implications au niveau de la réflexion politique ? hmm

 

En conclusion, on peut paraphraser le fameux discours que Malraux a prononcé un jour à l’Assemblée Nationale et dire : 

« Dââans dîîx miîîlle ââans, quand les historiens s’occuperont de notre époôôque, ils diront « quelle drôle d’époque ! Quand les athées n’étaient pas athées (puisqu’ils n’étaient pas contre la mort, comment être athée et avoir une telle inconscience !?? c’est inconcevable! c'est infiniment scandaleux ! infiniment, car il y a l'infini entre l'existence et le néant, surtout éternel ....) Quand les chrétiens n’étaient pas chrétiens (puisque pas croyants, UN seul habitant de Reims a réagit en chrétien à la mise à mort de Vincent Lambert !), et quand les médecins n’étaient pas des médecins ! (ni les infirmières, car pas une n'a eu le courage de désobéir) »

 

 

04/07/2025

Anniversaire : 86 ans

1939 – 2025 : 86 ans après l’euthanasie des handicapés

Rebondissement inespéré dans l’affaire Vincent Lambert : la Cour d’appel de Paris a ordonné lundi soir l’arrêt de son euthanasie et la reprise de son alimentation et de son hydratation. Cette décision ravive à nouveau le débat entourant la légalisation de l’euthanasie en France. Pourtant cette affaire ne concerne pas l’euthanasie d’un patient en fin de vie, mais bien celle d’une personne en situation de handicap. Cette situation nous renvoie à des heures sombres de notre passé. 

Vincent Lambert se situe dans un état de conscience minimal depuis un accident en 2008. Il n’est ni mourant ni souffrant : sa santé ne se détériore pas et son état est stable. Les seuls soins dont il bénéficie sont ceux d’une hydratation et d’une alimentation par sonde. Nous sommes loin d’un acharnement thérapeutique exercé sur un mourant, entouré par des moniteurs, une assistance respiratoire et des tuyaux en tous sens.

Comment donc définir l’état d’une personne qui a perdu de manière durable plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales et cognitives ? C’est la définition du handicap donnée par la loi française de 2005 sur le handicap et la Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées. La situation objective, bien que dérangeante, est donc la suivante : Vincent Lambert est handicapé. Son état a d’ailleurs été reconnu par le Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

NOTEZ BIEN CECI (sur la vidéo suivante  à 1 H 43min lien : https://ru-clip.net/video/vZEOL0_Uld8/marche-blanche-pari... ) 7 CENTRES D'ACCEUIL DE SOINS ETAIENT PRÊTS à ACCEUILLIR VINCENT ! et ça a été refusé, il s'agit donc bien d'un assassinat délibéré.

Il fallait obtenir sa mort afin de faire avancer un projet global.

 

Son euthanasie ne renvoie donc pas aux débats entourant la fin de vie, mais bien à la question suivante : faut-il laisser vivre une personne handicapée, dont il nous semble que la vie ne vaut pas d’être vécue ?

Cette question a déjà été posée par le passé, et sa réponse fut radicale :

« Le Reichsleiter Bouhler et le docteur Brandt sont, sous leur responsabilité, chargés d’étendre les pouvoirs de médecins, qui seront nommément désignés, à accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé ».

 

Il suffirait de remplacer le nom des médecins pour croire lire le jugement rendu par les instances françaises dans l’affaire Lambert. Pourtant cette phrase est bien issue d’un décret de 1939, écrit de la main d’Adolf Hitler, qui met en place un programme secret d’extermination des handicapés allemands, connu depuis sous le nom de Aktion T4. De janvier 1940 à août 1941, ce sont 70 273 handicapés physiques et mentaux qui ont été gazés dans des centres de mise à mort installés sur le territoire du Reich. En moyenne, 50% des patients chroniques hospitalisés dans les asiles allemands furent éliminés. Le mois précédent, 5 000 enfants possédant des malformations avaient été assassinés par injection de morphine et de scopolamine ou l’ingestion de comprimés de Luminal ou de Véronal.

Pendant la guerre, l’extermination d’handicapés se poursuit dans toute l’Europe, par gazage, injection létale ou dénutrition. Au total, ce sont plus de 200.000 personnes handicapées qui ont été tuées entre 1939 et 1945.

 

Avant d’en arriver à une politique d’extermination, l’euthanasie avait été promue comme un moyen d’abréger les souffrances, notamment dans le livre Le Droit de mourir d’Alfred Jost (1895) :

« Quand nous voyons un malade incurable se tordre de douleurs indicibles sur sa couche, avec pour toute perspective celle, misérable, de longs mois de dépérissement, sans espoir de guérison, quand nous traversons les salles d’un asile et que la vision du fou furieux ou du paralytique nous emplit de toute la pitié dont l’homme est capable, cette idée ne peut que surgir en nous malgré tous les préjugés dont nous sommes pétris : « ces gens n’ont-ils pas droit à la mort, la société humaine n’a-t-elle pas le devoir de leur accorder cette mort avec le moins de souffrance possible ? » »

Cette compassion fut à double tranchant : en défendant le droit d’abréger les souffrances d’un mourant, on défendit également le droit de mettre fin à la « souffrance » que constituait la vie d’un handicapé. La rhétorique est progressive et subtile : en mettant sur le même plan les souffrances liées à la mort et les souffrances de la vie, elle ouvre la voie aux excès de l’euthanasie sur des autrui plus vulnérables.

L’euthanasie des handicapés sous le régime nazi fut ainsi opérée officiellement par « compassion ». Ce faisant, le choix d’apprécier la valeur d’une vie ne fut pas laissée à l’intéressé, au contraire. Ce furent des personnes tierces, en premier lieu les médecins, qui par « compassion » ont assassiné des dizaines de milliers d’handicapés physiques et mentaux.

Cette idée a été reprise en 1920 par le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche dans leur ouvrage La libéralisation de la destruction des vies qui ne valent pas d’être vécues, ouvrage qui servira de base au programme Aktion T4.

Les deux auteurs justifient d’ailleurs également l’euthanasie des handicapés physiques et mentaux par le coût qu’ils représentent pour la société :

« D’un point de vie économique, ces idiots totaux qui remplissent le plus les conditions d’une mort mentale complète seraient aussi ceux dont l’existence pèse le plus lourdement sur la collectivité »

Le spectre nazi paraît souvent comme exagéré lorsque l’on se réfère à l’euthanasie. Pourtant, force est de constater que les arguments en faveur de l’euthanasie des handicapés sont identiques à ceux utilisés 80 ans auparavant.

Cette confusion volontaire entre l’euthanasie de « fin de vie » et de « vie qui ne vaut pas d’être vécue » est porteuse de conséquences graves...

Suite de l'article https://lincorrect.org/1939-2019-80-ans-apres-leuthanasie...

Jean-Marie le Méné : Président de la fondation Jérôme-Lejeune : "Vincent Lambert n’est pas mort, il a été tué. La différence est importante. Nous nous attendions bien sûr à cette triste issue. C’est une date historique et symbolique. C’est la première fois, en France, sous l’empire d’une loi de la République, qu’on tue une personne handicapée qui n’est pas en fin de vie, qui n’est pas malade, qui n’a pas de maladie évolutive, qui ne souffre pas et qui n’a rien demandé.
Cette date est très importante parce que, derrière lui, se trouve une quantité de personnes dans cette situation. Elles sont isolées et sans famille. On ne sait pas très bien ce que ces personnes veulent et pensent.
Le danger est que la médecine s’empare de ce pouvoir pour mettre un terme à la vie de ceux qui coûtent trop cher à la société. C’est exactement le sens de l’évolution des sociétés occidentales de l’Europe de l’Ouest d’aujourd’hui.
L’association du Droit à mourir dans la dignité milite activement pour l’euthanasie.
Pensez-vous que l’affaire Vincent Lambert va faire jurisprudence ?

C’est une évidence! La Fondation Jérôme Lejeune dit depuis 15 ans qu’à partir du moment où on assimile la nourriture et l’hydratation à des traitements, on arrête les traitements. Cela veut dire qu’on tue la personne non pas avec sa maladie, mais avec l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition. Il est tout à fait évident que la sédation profonde et continue est un maniement très incommode.
L’agonie de Vincent Lambert a duré suffisamment et pas trop. On a mesuré la sédation, ce qui a entraîné chez lui des souffrances horribles.
Il est évident que l’ADMD va dire ‘’c’est tout à fait inhumain’’. Ils disent d’ailleurs depuis longtemps «acceptons, puisque la société française est mûre, acceptons l’euthanasie dans certain cas avec une loi très encadrée, etc».
Cette étape a été annoncée par le demi-neveu de Vincent qui fait l’objet de pression de la part l’ADMD.
La direction dans laquelle on se dirige nous dit «c’est pénible à supporter pour nous les bien-portants, alors faisons en sorte que cela aille plus rapidement».
Le docteur Ducrocq déclarait que la loi Léonetti avait été conçue sur mesure pour régler le cas de Vincent Lambert.

Comme Xavier Ducrocq, je pense que c’est une mauvaise loi. On ne peut pas faire une bonne application d’une mauvaise loi.
La droite parlementaire française pense le contraire. Elle a voté la loi à l’unanimité. La conférence des évêques de France pense aussi que c’est une bonne loi, https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/chouard-tous-les-pouvoirs-abusent-82222mais mal appliquée. Je pense exactement le contraire. C’est une mauvaise loi qui est bien appliquée.
Du reste, c’est ce que toute la jurisprudence a confirmé depuis cinq ans. Nous avons financé la défense de Vincent Lambert depuis cinq ans. Des dizaines et des dizaines de décisions de justice disent toutes que c’est une loi bien appliquée. Jean Léonetti lui-même dit que cette loi est bien appliquée.
Dans les motifs de cette loi Léonetti, il était clair qu’il ne devait plus y avoir de cas comme celui de Vincent Lambert et qu’elle permettait de régler les cas comme ceux de Vincent Lambert. Le problème c’est que le cas de Vincent Lambert est un cas très simple. Médicalement, ce cas est difficile et tragique pour la personne, puisque c’est un grand handicapé tétraplégique, mais médicalement ce type de cas est pris en charge par des établissements spécialisés qui s’occupent admirablement des patients.
Ce n’est pas du tout le cas d’un patient qui fait des arrêts cardio-respiratoires toutes les semaines et qu’il faut réanimer ou non.
La question ne se posait pas pour Vincent Lambert. Il n’avait pas de maladie évolutive, il ne souffrait pas et n’était pas en fin de vie.
C’est vraiment la mise à mort délibérée d’une personne handicapée qui n’a pas pu s’exprimer sur son sort. On ne l’a guère traitée puisque tel est le vent de l’Histoire aujourd’hui.
Ceux qui ne sont pas aptes à vivre dans la modernité sont passés par pertes et profit. C’est le cas des handicapés avant la naissance. Aujourd’hui en France, il ne naît plus d’handicapés sauf quand on ne les a pas vus. Si c’est le cas,ils sont tous éliminés par l’avortement. Il en sera de même à la fin de la vie.
Cette situation avait été largement prévue par Jérôme Lejeune il y a de cela 35 ans. Nous l’avions confirmée en étudiant la loi Léonetti de 2005. Elle se confirme évidemment. Beaucoup n’ont pas voulu voir et ne veulent pas voir. C’est trop difficile. Il faut être lucide et courageux pour le dire et essuyer les critiques pendant des années lorsqu’on soutient une famille qui dit qu’elle aime son enfant en dépit de son handicap.

Hitler a gagné la guerre

 

et (eh oui ! il semble que finalement c 'est Hitler qui a gagné la guerre ! c'est son "esprit de la modernité" comme le dénonce Zygmunt Bauman,qui est en train de tout régir...) les idées qui sous-tendaient la tristement célèbre AKTION T4 onten train d'impreigner l'opinion, et d'être à nouveau instaurée dans les lois. Certains cas "médiatiques"servent à  faire avancer la cause de la mort (et du capitalisme, eh oui !la fameuse"rentabilité" ,rien n'est moins rentable qu'une pauvre vie humaine, un déprimé, un vieux, un "innocent" etc, des "déchets" quoi ! c'est ça que vous voulez ?

Victime de ce qui n’est rien de moins qu’une euthanasie par privation d’eau et de nourriture en raison de son lourd handicap, Vincent Lambert n’avait pas encore fermé les yeux que déjà les partisans de l’euthanasie se prenaient à rêver d’une légalisation de cette pratique en France, tout en vantant les mérites des lois belges relatives à la fin de vie. Pourtant ces dernières, et particulièrement la loi relative à l’euthanasie, laissent la porte largement ouverte à de graves dérives. C’est précisément sur de telles dérives que la CEDH est saisie pour la première fois dans une affaire : Mortier contre Belgique.

La Cour s’est jusqu’à présent prononcée à propos de personnes réclamant un droit au suicide assisté (Pretty c. Royaume-Uni en 2002, Haas c. Suisse en 2011, Koch c. Allemagne en 2012, Gross c. Suisse en 2014). Elle a aussi validé « l’euthanasie déguisée » par arrêt de soins de patients handicapés tels que Charlie Gard et Vincent Lambert (Lambert et. a. c. France en 2015, Gard et. a. c. Royaume-Uni en 2017). Avec l’affaire Mortier, c’est donc la première fois que la Cour doit se prononcer pour évaluer un cas d’euthanasie déjà réalisée. margin: 0.26cm;" align="justify">Rappelons-en les faits. Madame Godelieve De Troyer, atteinte de dépression chronique pendant plus de 20 ans, a été euthanasiée en 2012 sans que ses enfants ne soient avertis, ceux-ci ayant été informés le lendemain du décès. Son fils, Tom Mortier, se plaint devant la Cour du manquement de l’État belge à son obligation de protéger la vie de sa mère au motif que la législation belge n’aurait pas été respectée et qu’il n’y a pas eu d’enquête effective sur ces faits qu’il a pourtant dénoncés à la justice. Il dénonce notamment le manque d’indépendance de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie (CFCEE) chargée de contrôler a posteriori la légalité des euthanasies. Il reproche en particulier le fait que le médecin qui a euthanasié sa mère est lui-même le président de cette Commission de contrôle ainsi que de l’association LevensEinde InformatieForum (LEIF) qui milite en faveur de l’euthanasie. Or, sa mère a versé 2 500 € à cette association peu de temps avant son euthanasie.

Une loi sur l’euthanasie inadaptée à la souffrance psychique Cette affaire illustre parfaitement la difficulté d’encadrer cette pratique et les abus et dérives graves qui en découlent. Elle n’est d’ailleurs pas un cas d’école car les médias relatent régulièrement des euthanasies controversées en Belgique ou en Suisse. Et nombreux sont ceux qui dénoncent le laxisme avec lequel la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie a été mise en œuvre.

Selon les conditions posées initialement par cette loi belge, l’euthanasie doit faire l’objet d’une demande «volontaire, réfléchie et répétée» émanant d’un patient «capable et conscient» qui «fait état d’une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable». Or les termes employés s’avèrent flous et subjectifs: la souffrance est elle-même une notion subjective, tout comme son caractère insupportable comme en atteste d’ailleurs la CFCEE. En cas de souffrance psychique, son caractère inapaisable est également presque impossible à déterminer, comme l’illustre le cas médiatisé de Laura Emily, 24 ans, souffrant de dépression et qui, ayant demandé à être euthanasiée, s’est ravisée le jour-J en expliquant qu’elle avait mieux supporté les semaines précédentes. Ainsi la possibilité d’euthanasie pour souffrance psychique s’avère véritablement problématique. D’ailleurs, en 2002, la Commission Santé publique de la Chambre ne s’y était pas trompée en s’opposant à l’unanimité à l’inscrire dans la loi, estimant avec raison qu’une telle souffrance est pratiquement impossible à évaluer. Elle soulignait également l’ambivalence de la volonté des malades psychiques. Ainsi en cas de dépression, l’affection dont souffrait Mme De Troyer, la demande d’euthanasie est davantage un symptôme de la pathologie qu’une manifestation de volonté libre et réfléchie. margin: 0.26cm;" align="justify">Il y a en outre un paradoxe à prétendre offrir un droit au suicide assisté ou à l’euthanasie - au nom du respect de l’autonomie individuelle - à des personnes qui précisément ne disposent plus d’un équilibre mental. Le respect de l’autonomie devrait au contraire conduire à interdire l’euthanasie aux personnes dépressives ou atteintes de maladies psychiques. Atteintes d’un « handicap » au sens de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ces personnes vulnérables devraient être protégées, et non exposées au suicide. Mais protéger est malheureusement impossible en pratique puisque la loi belge n’interdit pas le « shopping médical » qui consiste, pour un patient se heurtant au refus du médecin qui le suit habituellement, à réitérer sa demande d’euthanasie auprès d’autres médecins jusqu’à trouver celui qui y soit favorable, c’est-à-dire le plus laxiste ou militant. Mme De Troyer a d’ailleurs usé de cette pratique. La CFCEE, une instance favorisant les dérives ?

On pourrait croire que la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, instance chargée de vérifier que les euthanasies pratiquées ont respecté les conditions et procédures légales et instituée par la loi du 28 mai 2002, compense les défauts de cette dernière. Il n’en est rien, comme le montre une fois encore la requête Mortier. La CFCEE manque en fait cruellement d’impartialité puisque sur les seize membres titulaires, au moins huit (et au moins six des seize suppléants) font partie d’associations militant en faveur de l’euthanasie (on compte par exemple les présidents du LEIF et de l’ADMD) et/ou sont des médecins pratiquant eux-mêmes des euthanasies. C’est le cas de son président néerlandophone, le Dr Wim Distelmans, qui n’est autre que le médecin qui a euthanasié Mme De Troyer ! À plusieurs reprises, la CFCEE a également avoué son incapacité à mener à bien sa mission car celle-ci repose sur un système déclaratif et donc tributaire de la conscience professionnelle des médecins. Et le Dr Distelmans d’ajouter : « Les cas douteux évidemment, les médecins ne les déclarent pas, alors on ne les contrôle pas ». Or des études révèlent par exemple que près de la moitié des euthanasies en Belgique n’ont pas été déclarées en 2007. En outre, si les termes de la loi relative à l’euthanasie sont effectivement flous et subjectifs, la Commission s’engouffre dans la brèche en les interprétant dans un sens excessivement extensif et libéral. Florilège : selon elle, la coexistence de plusieurs pathologies non graves et non incurables remplit l’exigence d’une affection grave et incurable ; elle a aussi approuvé des cas s’apparentant au suicide médicalement assisté alors qu’il n’entre pas dans le champ d’application de la loi ; il semble qu’elle ait validé l’euthanasie « en duo » obtenue par un couple dont l’un des membres ne se trouvait pas en phase terminale. " align="justify">Enfin, l’on peut s’interroger sur l’utilité d’un contrôle a posteriori, c’est-à-dire une fois que l’euthanasie a eu lieu, ce qui n’a visiblement pas pour objectif de protéger la vie des personnes et est particulièrement inadapté en cas d’euthanasie pour cause de souffrance psychique. Faut-il alors s’étonner qu’entre 2002 et 2016, la CFCEE n’a transmis au procureur du roi qu’un seul dossier sur 14 573 euthanasies ? Membres juges et parties, conflits d’intérêts, partialité, contrôle a posteriori et basé sur un système déclaratif, interprétation large des termes de la loi : la CFCEE s’avère totalement inefficace pour prévenir les dérives. C’est ainsi qu’un de ses membres, médecin, a récemment démissionné, lui reprochant de n’avoir pas renvoyé devant la justice un médecin ayant euthanasié une patiente à la demande de sa famille.

Une affaire mettant en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique L’État belge manque donc de manière évidente à ses obligations découlant de la Convention alors que la CEDH a jugé que le droit à la vie « impose aux autorités le devoir de protéger les personnes vulnérables même contre des agissements par lesquels elles menacent leur propre vie » (Haas c. Suisse, § 54). Ce que décidera la Cour dans cette affaire ne sera donc pas sans conséquence car la portée de la requête Mortier dépasse largement son seul cadre: elle met en effet en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique en montrant combien il s’avère défectueux et les garde-fous illusoires. Alors que la Cour a déclaré que « l’on ne saurait sous-estimer les risques d’abus inhérents à un système facilitant l’accès au suicide assisté » (Haas c. Suisse, § 58), cette affaire confirme que ce risque est bien réel, donne un aperçu concret de telles dérives et en laisse entrevoir les conséquences à grande échelle. En effet, loin de concerner uniquement la personne qui la demande, l’euthanasie et ses modalités ont des conséquences sociales profondes et funestes : suites psychologiques sur les membres de la famille du défunt en premier lieu, mais aussi perte de confiance dans la famille en général et méfiance à l’égard des soignants, fragilisation des personnes vulnérables dont certaines sont incitées au suicide. Il serait abusif et dangereux de faire prévaloir l’autonomie d’un patient en tant que valeur éthique suprême pour justifier une pratique dommageable à la société tout entière et remettant donc en cause le bien commun.

Ne pas condamner l’État dans cette affaire reviendrait donc à pratiquer la politique de l’autruche quant aux dérives de l’euthanasie, alors que la banalisation de la mentalité euthanasique en Belgique est réelle et fait des ravages. En témoignent par exemple les cas d’euthanasie sans obtention du consentement de la personne, l’ouverture de l’euthanasie aux mineurs « dotés de capacités de discernement » sans limite d’âge en 2014, ainsi que les chiffres officiels : de 235 euthanasies pratiquées en 2003, leur nombre a augmenté rapidement d’année en année pour atteindre 2537 en 2018, ce qui représente 2 % du total annuel des décès. Dans ce contexte, notons également que trois études ont révélé que « 40 % des Belges sont pour l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ». Si la Cour ne fait rien, elle accomplira le roman d’anticipation publié en 1907, Le Maître de la terre où l’auteur, Robert-Hugh Benson imagine des maisons d’euthanasie, où « d’un consentement unanime, les être inutiles, les mourants, étaient délivrés de l’angoisse de vivre ; les maisons spécialement réservées à l’euthanasie [prouvaient] combien un tel affranchissement était légitime.

  en ce moment en Grande-Bretagne :
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7457145/Tafida-Raqeebs-mother-cries-implores-daughter-dont-up.html

Canada :

À mesure que le régime canadien d’  "aide médicale à mourir" (nouvelle formulation chic pour TUER Bender et Hoche e 1921 disaient "libéralisation  du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue", et Hitler disait "Gnadentod" - "aide" "libéralisation" "Gnade" (grace) comme c'est mignon tout ça !) prend de l’expansion, il rencontre plus de résistance. L’une des critiques les plus fortes, qui a souvent fait surface dans les médias, est que certaines personnes atteintes de maladies chroniques, dont la mort n’est pas raisonnablement prévisible, choisissent de mourir parce qu’elles sont pauvres et que les services sociaux (capitalistes !) sont inadéquats. Ils ne veulent pas mourir, mais ils sentent qu’ils n’ont pas le choix.

Les critiques disent que ces cas montrent que les gens sont forcés de choisir l’euthanasie et sont incapables de faire un choix vraiment autonome. Cependant, les critiques peuvent remonter en amont. Selon un récent sondage de Research Co, qui surveille l’opinion publique au Canada, plus d’un Canadien sur quatre autoriserait l’euthanasie pour les sans-abri (28%) et la pauvreté (27%). Ce qui est encore plus choquant, c’est que le sondage a révélé que 50% des Canadiens autoriseraient l’euthanasie pour les personnes qui n’avaient pas accès à un traitement médical et 51% pour les personnes handicapées.

Les jeunes nés après l’année 2000 sont encore plus en faveur. Dans une lettre d’opinion publiée dans le Prince George Citizen, Mario Canseco, directeur de Research Co, souligne que « Les adultes les plus jeunes du Canada sont bien en avance sur leurs homologues plus âgés pour ce qui est de croire que ces deux raisons sont suffisamment convaincantes pour qu’une personne demande l’aide médicale à mourir (60% pour une invalidité et 57% pour un traitement médical non disponible) ».

Lorsqu’on leur demande quelle est la peine appropriée pour un parent reconnu coupable d’avoir aidé un fils ou une fille en phase terminale à mourir, un Canadien sur quatre (24%) ne choisit aucune peine. Une grande majorité (73%) appuie la législation sur l’euthanasie du pays, qui a été qualifiée comme étant la plus radicale au monde. Les Canadiens sont divisés lorsqu’ils se demandent si la maladie mentale devrait justifier qu’un adulte demande l’aide médicale à mourir : 43% appuient cette idée, tandis que 45% s’y opposent. Le gouvernement fédéral a reporté à mars 2024 la décision finale relative à l’admissibilité à la maladie mentale à l’euthanasie.

Commentaire de votre serviteur. Quelle est la signification de cet engouement pour l’euthanasie ? Les Canadiens ne doivent peut-être plus supporter les longs hivers d’une rudesse parfois déroutante alors qu’ils attendent le réchauffement du climat qui ne se concrétise toujours pas. Ou bien ils perdu toute forme d’humanité. Un précédent Premier ministre japonais avait déclaré qu’il serait préférable pour la société que les « vieux » malades soient euthanasiés pour réduire les dépenses sociales du pays. Cette dérive sociétale ressemble progressivement à ce que les régimes totalitaires ont mis en place durant les années 1930 et 1940. La société ne peut pas accepter que l’euthanasie soit banalisée à moins que tout sens moral disparaisse surtout quand il s’agit de motifs économiques. De nombreuses découvertes archéologiques ont montré que les sociétés anciennes, il y a vingt à trente mille ans, prenaient soin des malades et des anciens, ils étaient inhumés décemment. Accepter cette banalisation de l’euthanasie ne pourra qu’aboutir à des excès pour des raisons économiques ou financières. Qui pourra objectivement fixer une limite pour que des malades mentaux soient euthanasiés ? Il semble que les sociétés occidentales rejoignent l’idéologie de l’époque de l’URSS mise en place par le pouvoir central pour éliminer les citoyens récalcitrants en détruisant d’abord leurs aptitudes mentales puis en les éliminant sans aucun état d’âme. Ces abus semblent se reproduire dans les pays anglo-saxons avec l’uniformisation du style de vie, le « chacun pour soi et rien pour les autres » une sorte de disparition de tout sorte de respect et d’humanité.

source : Jacques Henry

Le nouveau projet de loi britannique “sur l’aide à mourir” a été adopté malgré les inquiétudes et les objections de diverses personnes et organisations.  C'est comparable au programme d'euthanasie nazi Aktion T4, qui normalisait et acceptait le meurtre de vies innocentes par des professionnels de la santé pour le « bien commun ».

Dans ce qui suit, Jonathan Engler établit des parallèles entre le nouveau projet de loi, le programme nazi et d’autres événements, tels que l’euthanasie de patients à la Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina, soulignant les dangers de diminuer la valeur de la vie et d’accepter le meurtre comme un élément légitime des soins de santé. Qu'est-ce qui relie la nouvelle loi britannique “sur la mort assistée” au programme d'euthanasie nazi “Aktion 4” ?

Par Jonathan Engler

'ai écrit pour la dernière fois sur le “projet de loi sur l'aide à mourir” du Royaume-Uni1 la veille du vote (ICI), quand j'ai gardé un certain espoir qu'il puisse être vaincu. Cela ne devait pas arriver. Elle a été adoptée la semaine dernière, malgré les problèmes manifestes liés au nouveau projet de loi.

Elle l’a fait après environ 150 heures de débat, y compris en commission. À titre de référence, le projet de loi interdisant la chasse au renard (The Hunting Act 2004) a été débattu pendant environ 700 heures sur plusieurs années.

CETTE est un excellent fil de discussion “de A à Z” de Dan Hitchens décrivant les nombreux problèmes de ce projet de loi.

CETTE bref article dans Hérisson décrit le vote comme “le jour le plus honteux du Parlement”, et je suis enclin à être d'accord.

Mes propres objections au projet de loi sont à plusieurs niveaux. L’une d’entre elles porte sur la capacité de ces lois (et systèmes) à diminuer la valeur de la vie, à la peser de manière utilitaire par rapport à ce à quoi elle contribue ou à ce qu’elle coûte à la société.

C’est alors la première étape sur un chemin par lequel il devient acceptable de faire des choses indescriptibles “pour le bien commun”

Lors de discussions avec des amis et des collègues, Jessica Hockett m'a fait prendre conscience de cette vidéo de 56 minutes, qui vaut vraiment la peine d'être regardée.2 Il décrit – avec des détails atroces – comment le programme d'euthanasie nazi a permis à la société de normaliser et d'accepter la prise de vies innocentes par des professionnels de la santé :

Apprendre à désapprendre : prendre soin des personnes corrompues | Les infirmières tueuses du Troisième Reich (2017) (56 min)

(Une brève description de ce programme – connu sous le nom d'Aktion T4– peut également être trouvée ICI.)

L’un des moments les plus effrayants pour moi dans la vidéo ci-dessus se situe vers 17h30, lorsqu’une personne interrogée dit :

J’ai été intrigué par la façon dont ils pouvaient en venir à croire que tuer était une partie légitime de leur rôle de soignant, ce qu’ils faisaient.
La propagande autour de l’idée même de tuer des gens pour le bien de l’État était profonde, même jusqu’à ce que les enfants fassent des exercices dans leurs manuels scolaires sur le coût de garder les personnes handicapées.

En y réfléchissant davantage, je me suis souvenu de l’article que j’avais écrit avec Jessica Hockett sur les événements survenus à la Nouvelle-Orléans au lendemain de l’ouragan Katrina (ci-dessous), au cours desquels il ne fait aucun doute que des patients ont été euthanasiés. Le fait est qu’en raison des circonstances, la société a pris la décision collective de modifier son cadre juridique pour garantir que les coupables échappent à toute condamnation pour ce qui équivalait sans aucun doute à un homicide.

Lire: Les limites éthiques dans la prise de décision médicale peuvent être floues par les circonstances12 Novembre 2024, Jonathan Engler et Jessica Hockett

Dans cet article, nous avons discuté des similitudes entre l'événement post-Katrina et la façon dont certaines personnes ont été traitées pendant les années “pandémique”, un sujet sur lequel j'ai écrit abondamment ici: ‘Les protocoles de test et d'euthanasie ont-ils contribué à créer l'apparence d'un nouveau virus mortel qui se propage soudainement?

Quoi qu'il en soit, j'ai réalisé que j'avais au total considéré sept vidéos et articles (tous liés dans cette pièce) qui, ensemble, pourraient transmettre un message important.

Comme vous le savez, j'ai expérimenté des conversations audio générées par NotebookLM, j'ai donc pensé que je l'alimenterais avec ces 7 sources et que je verrais ce qu'il proposait.  Voici le résultat – un podcast conversationnel de 14 minutes [cliquez sur l'image ci-dessous pour accéder au Substack d'Engler et écouter l'audio] :

Cela fait un bien meilleur travail que ce à quoi je m'attendais. Effrayant, je pense que cela reflète à peu près ce que j’ai pensé.

 

14/06/2025

la première fois


    Je me souviens encore  la première fois quand enfant j'ai pleuré dans mon lit, de trop de douleur et  de chagrin de savoir que je n'étais venu au monde que pour mourir.

« Un silence tombe et à ma grande surprise, Mme Edmonde se met à pleurer. Sans lâcher le bras gauche de Robbie, elle pleure sans un sanglot, silencieusement, les larmes roulant sur ses joues et gâchant son maquillage. » (Robert Merle - Madrapour)

 Bien sûr ce n'était qu'un début, le désespoir et l'épouvante par la suite devinrent bien évidemment beaucoup plus grands encore, ce n'était plus des pleurs.

toute ma vie

 

26/12/2024 Ma vie toute entière a été sous le signe de la mort. Un de mes tous premiers souvenirs a été du jour où en ? 1956 ou 57 peut-être quand on a annoncé à la radio qu’on avait mis au point un cœur artificiel (on devrait pouvoir retrouver la date en charchant sur internet) J’ai, je m’en souviens très bien cherché un bout de papier, écrit dessus “quand ma maman mourra je veux qu’on lui mette un cœur artificiel” et puis j’ai cherche où le cacher, je ne sais plus où. C’était de la plus grande importance. Et puis des années plus tard il y a eu le jour où frappé soudainement par la conscience qu’elle mourra je me suis aussitôt précipité dans le coumoir où elle était en train de wassinguer et que je me suis jeté sur elle en l’embrassant. Elle n’a jamais su pourquoi je faisais ça.
Et maintenant à l’autre bout de ma vie je viens de recevoir le livre de Christian Combaz sur les EMI “Tous les hommes naissent et meurent le même jour”, et commencé à le lire. Il a l’air très bien. C’et drôle: alors que dans les années 50 “il n’y a plus d’après à Saint-Germain-des-Près”, Beckett et Ionesco, et tous, tous, c’était tellement évident et tout soupçon d’espoir tellement exclu, c’était par excellence, comme j’ai dit dans un billet traduit en Esperanto, l’époque de la Science et du désespoir, je finis ma vie dans cette époque où depuis le livre de Raymond Moody (traduit en français par Paul Misraki, qui avait grandi dans un monde ou on représentait pour amuser le public l’operette “La-haut” (où sont les lavabos, la-haut ? Est-ce qu’il y a le gaz et l’eau ? La-haut? , est-ce qu’on reçoit les journeaux ? La-haut”) la fin de toute vraisemblance religieuse, au point que je maudissait ceux qui font perdre la foi à ceux qui l’ont, car une fois perdue comment la retrouver:  ?! Les dogmes religieux sont tellement absurdes, auto-contradictoires, impossibles et irrationnels, que seuls des débiles mentaux peuvent croire à ça, dès qu’on réfléchit le moins du monde ça devient totalement impossible), puis tous les livres et maintenant les émissions télé, et maintenant Pierre Jovanovic ça devient presque un espoir crédible. Va-t-on se retourver dans un époque où la foi en une vie après la mort sera revenue ? On n’aurait jamais cru ! Plus sainement on en vient à se dire : ça recouvre queuqu’chose tout ça, mais quoi ? Qu’en penser ?
Entre deux il y a eu tant de morts que je n’oublierai jamais : l’agonie de mon chien colley Eliott, le couple d’orvets que j’ai tué à coup de bêche avec acharnement, je ne me le pardonnerai jamais. La mort du petit chat noir aux jambes écrasées par mon volet roulant et qui s’est enfui terrorisé en dévalant l’escalier (et ses deux petits frères que je n’ai plus revus en sont certainement morts de chagrin, ça meurt de chagrin les animaux, il y a plein de récits là-dessus). La mort de mon père bien sûr et celle à laquelle je n’ose même pas penser.
Et bien quand j’ai pleuré de désolation dans mon lit en me rendant compte que je n‘étais venu au monde que pour mourir pour toujours, et quand j’ai hurlé de terreur dans la salle de séjour, Et toutes les journées, qui commençaient dans le bonheur illusoire du matin avant que la conscience ne ramène l’horreur du néant et la panique.
Oui, à l’age de la Terminale philo j’ai un moment fait le pari de Pascal, et un moment fini par presque croire vraiment, mais ça na’a pas duré. Et de tous ces témoignages sur les EMI les souvenirs de réincarnation, Et sur les animaux, c’est ça le plus important forcément si c’est un phénomène naturel les animaux doivent être concernés, pas seulement les humains, le livre de 1599 Noël Taillepied, celui au XVIIIè de Pierre Massuet, “éléments de philosophie nouvelle” ses pages sur les animaux, Bozzano, Jean Prieur. Mais au bout, qu’en penser ? Comment répondre à Montaigne “ce qui n’est pas éternel n’existe pas”, et Jean Rostand la page sur “l’aventure falôte du protoplasma” que je cite si souvent. Pierre Jovanovic c’est bien joli, mais après ?

Lotfi Hadjat a eu la révélation de la vanité de tout à 4 ans, rien d’étonnent, les enfants ont plus de conscience des choses et de bon sens que les adultes, je m’en suis bien rendu compte moi aussi.
http://leblogdelotfihadjiat.unblog.fr/2025/03/16/chercheu...

10/06/2025

Henri Cazalis c'est qui ?

C'est celui qui a dit :

« Sois bon, sois doux, sois aimant. Aie l’âme pleine de pitié devant la douleur des êtres. Puisque la vie est un combat, et que l’odieuse loi du plus fort est la loi de l’univers entier, aie compassion des faibles, des petits qui succombent, recueille les blessés, adoucis leurs souffrances, console leurs misères ; aime comme le Bouddha ou Jésus. Et sois poëte aussi, crée de glorieux mensonges. Parle du bien, proclame la splendeur du beau : — n’évite quelquefois que de parler du vrai... »

(Henri Cazalis)

car :

« Le monde ne m’apparaît plus que triste et morne, comme un froid cimetière en automne : et je pleure par instants, j’ai froid et je tremble, comme si j’étais devant une tombe, où pourriraient toutes mes amours, devant une grande fosse commune, où seraient pêle-mêle ensevelis, tous les Dieux du passé, toutes les splendeurs, tous les antiques Soleils disparus, et le Christ même, le dernier Dieu »

(Henri Cazalis)

 

c'est ma vision du monde. Et c'est celle de tous les humanistes lucides.

07/06/2025

Hitler a gagné la guerre

Hitler a gagné la guerre
Les idées nazies emplissent le capitalisme et l’esprit du capitalisme emplit les maîtres de la société actuelle.

Le gouvernement britannique a pour politique d'ignorer les besoins des personnes âgées, les médecins et les infirmières étant chargés de suspendre les traitements et de laisser les personnes âgées mourir pour économiser les lits d'hôpitaux et réduire les coûts.

l'âge limite pour la réanimation est souvent de 55 ou 50 ans, toute personne de plus de 60 ans étant considérée comme âgée et constituant un fardeau pour la société.

Les patients âgés sont souvent laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés, et privés de nourriture et d'eau, signalés dans les hôpitaux et les foyers de soins.

“Le seul -isme dant personne ne se soucie est l'âgisme,” Dr. Vernon Coleman écrit : Par Dr. Vernon Coleman

En Grande-Bretagne, c'est maintenant la politique officielle du gouvernement d'ignorer les besoins des personnes âgées. Cette politique est commune dans le monde entier. Les médecins et les infirmières sont invités à laisser les personnes âgées mourir – et à refuser un traitement qui pourrait leur sauver la vie. On dit au personnel hospitalier de priver les personnes âgées de nourriture et d'eau afin qu'elles meurent plutôt que de prendre des lits d'hôpital. Le personnel des maisons de soins infirmiers a même eu le droit de mettre sous sédation des patients âgés à leur insu. Le seul -isme dont personne ne se soucie est l'âgisme.

Mais à quel âge les patients sont-ils simplement « autorisés » à mourir? Et quel âge est trop vieux pour que les patients soient réanimés? À quel moment la société a-t-elle le droit de dire que You’ve a vécu assez longtemps, maintenant vous devez mourir et faire place à quelqu'un d'autre’? (quel cynisme « écologique »!) Et pourquoi la réanimation devrait-elle être décidée par âge? Il est possible de soutenir qu'il serait tout à fait logique de décider en fonction de la richesse ou de la beauté. Mais l'âgisme est maintenant officiellement accepté. Toute personne de plus de 60 ans est maintenant officiellement âgée, bien que dans un nombre croissant d'hôpitaux, l'âge limite pour la réanimation soit de 55 ou même 50 ans.

Les rapports après rapport montre que les patients âgés sont laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés. Les patients âgés à l'hôpital sont ignorés par le personnel et laissés mourir de faim, privés même d'eau s'ils ne peuvent pas sortir du lit et aller les chercher eux-mêmes.

Les personnes âgées sont un fardeau dont les gouvernements ne veulent pas s’embarasser, et les politiciens continueront donc à autoriser toutes les méthodes nécessaires pour assurer que le nombre de personnes âgées « couteuses » soit réduit au minimum. L'existence d'une branche absurde de la médecine appelée gériatrie est utilisée comme une excuse pour pousser les personnes âgées dans les salles de remous et de leur fournir un traitement médical de deuxième ordre. En février 2011, un rapport officiel a condamné le NHS (britannique) pour son traitement inhumain “des patients âgés” et a déclaré que les hôpitaux du NHS “ne répondant même pas aux normes de soins les plus élémentaires” pour les plus de 65 ans. Il n'est pas exagéré de dire que le NHS traite les personnes âgées avec mépris. (On disait que vous pouvez juger une civilisation par la façon dont elle traite ses personnes âgées.)

C'est en février 2005 qu'il a été révélé que le Gouvernement avait indiqué que les patients hospitalisés qui avaient peu d'espoir de guérison devaient être « autorisés » à mourir en raison du coût de leur maintien en vie. Le Gouvernement travailliste a suggéré que les personnes âgées se voient refuser le droit à la nourriture et à l'eau si elles tombaient dans le coma (cf l’acharnement judiciaire que les autorités ont mis pour faire mourir Vincent Lambert !). (qu’en penserait M. Joseph Garcia de Lagamas ? https://www.midilibre.fr/2012/09/30/aux-frontieres-de-la-... )

Voilà pour tout espoir pour les victimes d'accident vasculaire cérébral. Le Gouvernement a estimé que la nécessité de réduire les coûts était antérieure à la nécessité de préserver la vie des patients
[or dans une société athée la vie humaine doit nécessairement être tenue comme SACREE inconditionnellement, sinon elle cesse d’être une société civilisée! Et d’être une société] et a décidé qu'il avait le droit d'annuler une décision sur le droit à la vie qui avait été rendue lorsqu'un juge a ordonné que la nutrition artificielle et l'hydratation ne soient pas retirées à moins que la vie d'un patient ne puisse être qualifiée d' “intolérable.” (Le juge avait ajouté qu'en cas de doute, la préservation de la vie devrait prévaloir.) - (cf on comprend mieux l’acharnemet judiciaire que les autorités ont mis à faire mourir Vincent Lambert, ils voulaient en faire un exemple, le débur de leur Aktion T4 nazie!)

Bien sûr, priver les personnes âgées de nourriture et d'eau est parfois plus une conséquence de l'incompétence que de la politique officielle. Quand ma mère était à l'hôpital à Exeter, elle ne pouvait pas se nourrir, mais le personnel ne l'a pas nourrie. Si aucun parent ne pouvait se rendre à l'hôpital pour la nourrir, elle n'a pas mangé !!!! Des boissons ont été mises sur son plateau, puis emportées intactes. “Pas soif, aujourd'hui?” un crétin irresponsable demanderait joyeusement.

Pendant ce temps, le gouvernement verse de l'argent pour subventionner la vie des paresseux et des travailleurs timides. Des enfants en bonne santé de 30 ans s'assoient autour de dos de puces et de ventres de bière en croissance, affaissés devant leurs téléviseurs numériques haute définition en regardant leur choix de télévision par satellite subventionnée par l'État, ouvrant les fenêtres pour baisser la chaleur car il est plus facile que de baisser le chauffage central .

Les personnes âgées sont classées comme la “Unwanted Generation”: un embarras politique. Les personnes âgées confrontées à la cécité due à la maladie maculaire liée à l'âge se voient refuser des médicaments qui auraient pu prévenir leur cécité. Les personnes âgées sont considérées comme coûteuses, inutiles et inutiles. La théorie est qu'ils ne’t contribuent et votent rarement et peuvent donc être ignorés. Mais ceux qui croient cela seront vieux plus tôt qu'ils ne le pensent. Et la définition de “old” rajeunit d'ici l'année.

Les guerres nous ont appris que les gens semblent prêts à accepter comme normal toutes sortes de choses terribles. Mais comme il est incroyablement horrible que les médecins et les infirmières acceptent que les personnes âgées (officiellement les plus de 60 ans) doivent être autorisées à mourir parce que les garder en vie est rentable. L'attitude officielle semble être que les personnes âgées ont des droits simplement parce qu'elles sont âgées. À la mi-août 2007, un Select Committee on Human Rights, composé de députés et de pairs, a signalé que 21% des hôpitaux et des foyers de soins ne respectaient même pas les normes minimales de dignité et de vie privée des personnes âgées. Le Comité a déclaré avoir découvert des preuves de négligence, d'abus, de discrimination et de traitement injuste des personnes âgées fragiles. (Leur découverte n'a pas surpris ceux d'entre nous qui ont découvert de tels abus depuis des décennies.) Comment avons-nous réussi à oublier que dans les années 1930, les nazis ont délibérément affamé et déshydraté les patients âgés et vulnérables parce qu'ils étaient considérés comme un fardeau inutile pour la société? C'est exactement ce que nous faisons aujourd'hui.

Une enquête étonnante (et horrifiante) menée auprès des lecteurs des revues Nursing Standard and Nursing Personnes âgées a montré que moins d'une infirmière sur six a déclaré que rien ne les empêcherait de signaler l'abus de personnes âgées dans leurs soins.

En d'autres termes, cinq infirmières sur six ne signalaient pas, du moins parfois, les mauvais traitements infligés aux personnes âgées pour lesquelles elles étaient payées. Donc, à mon avis, cinq infirmières sur six sont aptes à être infirmières.

C'est tout à fait épouvantable et un acte d'accusation de la profession infirmière moderne.

La même enquête a montré que six infirmières sur dix fermaient les yeux sur les mauvais traitements infligés aux personnes âgées. Ils ne diraient rien s'ils savaient qu'un patient âgé ou un résident d'un foyer de soins était battu, intimidé ou volé.

Une des raisons est la lâcheté.

Incroyablement, il semble que les infirmières ont peur de signaler les abus au cas où elles seraient elles-mêmes maltraitées par la personne qui les maltraite.

Les patients hospitalisés et les résidents des maisons de retraite souffrent souvent de malnutrition et de déshydratation, d'abus et de mauvais traitements, de manque d'intimité, de négligence, de mauvaise hygiène et d'intimidation. Des milliers et des milliers de personnes âgées sont laissées pendant des heures dans des vêtements souillés.

Serait-ce parce que trop d'infirmières modernes sont paresseuses, stupides et incompétentes? Trop de gens sont trop importants pour faire autre chose que de regarder un écran d'ordinateur toute la journée.

À mon avis, les infirmières qui ne disent rien quand elles voient des abus sont aussi coupables que les agresseurs. Une profession autrefois grande est, aujourd'hui, dans un état pire qu'elle ne l'était à l'époque de Dickens. Est-ce si démodé de ma part de croire que chaque infirmière devrait toujours signaler chaque incident de maltraitance? Toujours. Sans exception.

L'âgisme est, semble-t-il, maintenant endémique dans les soins de santé. Un lecteur m'a écrit pour me dire que quand elle a visité son médecin se plaignant de genoux douloureux, son médecin lui a dit, très brusquement, que son problème était qu'elle vivait trop longtemps. Elle était dévastée. “Il a été dit comme une blague,” elle m'a dit. “Il le voulait dire.” Dans les mois qui ont précédé sa mort, mon père s'est plaint à plusieurs reprises: “Les gens me traitent comme un imbécile parce que je suis vieux Un lecteur de 79 ans m'a dit: “Si vous avez plus de 55 ans, ils veulent votre mort parce que vous êtes trop cher vivant.”

Nous vivons maintenant dans un monde où il est considéré comme acceptable pour les hommes et les femmes d'avoir à partager une salle; où les salles de bains de l'hôpital sont si sales que les patients n'osent pas les utiliser; où les dentistes sont si rares et coûteux que les gens doivent recourir à tirer leurs propres mauvaises dents à l'aide d'une longueur de ficelle attachée à une poignée de porte. Mais ce sont les personnes âgées qui, par-dessus tout, sont considérées comme jetables et non pertinentes. Ce sont les personnes âgées qui n'ont aucun droit. Le sexisme et le racisme sont interdits, mais pas l'âgisme. En effet, il semble clair que l'âgisme est maintenant un préjugé parrainé par l'État. Les jeunes violents et sauvages qui sont pris à agresser des citoyens âgés respectueux de la loi sont susceptibles d'être “punished” avec une poignée de bons leur donnant droit à une poignée de CD gratuits (dont les paroles peuvent bien encourager plus de violence) mais honnêteles citoyens âgés qui ne peuvent pas se permettre de payer leur facture fiscale du conseil finiront en prison.

Lorsque les médecins appartiennent au Gouvernement, les priorités de Government’s prennent le relais. Ainsi, les personnes âgées, qui sont considérées comme un fardeau coûteux, sont considérées comme consommables.

Note: L'essai ci-dessus est tiré du livre de Vernon Coleman’s intitulé ''thereadPourquoi et comment les médecins tuent plus de gens que le cancer’. Le livre est disponible via le librairie sur son site.

https://expose-news.com/2025/01/20/your-government-wants-...

Mémo Christine Lagarde: Les personnes âgées posent un risque important de fardeau financier pour l'économie mondiale et comment les cibler pour atténuer le risque

Christine Lagarde: Les personnes âgées posent un risque important de fardeau financier pour l’économie mondiale COMMENT s'en débarrasseer ?

Le “Christine Lagarde Mémo: POUR VOS YEUX SEULEMENT, à partir de ‘la Coalition’” est un mémo qui traite des préoccupations au sujet de la longévité “” et de son impact sur l'économie mondiale.

La note, prétendument divulguée par un haut responsable de la Commission européenne, a été adressée aux chefs d'État et aux ministres des Finances, dont Angela Merkel, Theresa May et Emmanuel Macron.

Il suggère que l'augmentation de la durée de vie de la population âgée pose un risque important pour l'économie mondiale et appelle à des mesures urgentes pour résoudre ce problème.

La note propose plusieurs stratégies pour atténuer le fardeau économique de la longévité “,”, y compris le relèvement de l'âge de la retraite et la réduction des droits. Il suggère également d'utiliser une terminologie non sexiste comme “personnes âgées” pour éviter les difficultés de relations publiques associées au ciblage spécifique des femmes âgées.

Il y a quelques jours, nous publié un article cela comprenait un extrait de la Christine Lagarde Mémo.  Nous avons encouragé nos lecteurs à lire le reste de la note pour comprendre les raisons possibles de l'agression sur nos personnes âgées.  Nous n'avons aucun moyen d'authentifier le mémo ou l'endroit où il a été trouvé. Cependant, le fait qu'un auteur primé de renom soit déclaré l'avoir publié, lui donne de la crédibilité.

Nous soulignons à nouveau cette note en la republiant ci-dessous. Malheureusement, ce n'est pas le mémo entier car il semblerait que le mémo ait été déchiré en plus d'une pièce et que seule la première partie ait été récupérée.
Le ‘Christine Lagarde Memo’: POUR VOS YEUX SEULEMENT, de ‘la Coalition’

Par Margaret Morganroth Gullette comme publié par Revue Mensuelle le 9 octobre 2018

en français :  
Les personnes âgées vivent trop longtemps et c'est un risque pour l'économie mondiale. Nous devons faire quelque chose, de toute urgence.”—Christine Lagarde, Directrice du Fonds Monétaire International (Traduit de l'Espagnol)

“Cette note secrète a été découverte dans le panier de déchets d'un membre du personnel de haut rang de la Commission européenne. Il nous a été envoyé par le Dr. Margaret Morganroth Gullette, auteur de ‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’ (2017).

“Le mémo de “la Coalition” commence “Chère Angela, Teresa, Emmanuel..” et a une autre liste de prénoms (chefs d'État et secrétaires ou ministres des finances, de la santé et des services humains), la plupart du temps griffonnés avec marqueur. Monthly Review est heureux de publier cet important document divulgué ici pour la première fois.”—Eds [Monthly Review]

Chère Angela, Teresa, Emmanuel …

POUR TES YEUX SEULEMENT

[S'il vous plaît noter: L'Exposé n'a pas modifié le mémo en aucune façon.  C'est exactement comme il a été publié par Revue Mensuelle, y compris les erreurs typographiques, anglais américain, etc.]

Ici, à la Coalition, nous avons été impressionnés par la bravoure de Christine’s, disant publiquement que les personnes âgées “vivent trop longtemps” et que les responsables de l'économie mondiale doivent faire quelque chose à ce sujet, de toute urgence. Récemment, une photo d'elle, avec un langage potentiellement incendiaire de ses discours, est devenue virale, sans soulever de résistance.

La Coalition se félicite de ce nouveau moment pour faire avancer notre programme sensé et coordonné vers les personnes surannées, de plus en plus justifiées, car tous nos budgets sont engloutis par les droits, nos rues et nos USI sont encombrées de personnes âgées, les frais médicaux pour le sénile augmentent et les enfants adultes sont accablés par les coûts et la culpabilité.

Tout en exploitant cette ouverture à une action positive, cependant nota bene, ce mémo crypté n'est pas pour la distribution. Sa discussion franche et ouverte sur le problème des nations grisonnantes signifie que ses suggestions sont placées dans un cercle restreint. Veuillez imprimer et supprimer.

Lagarde s'en tire avec la promotion de nos recommandations politiques en faisant les chiffres sur la longévité. Numbers don’t. Notre conseil est de faire connaître l'ampleur du problème en évoquant la situation désastreuse du Japon. Leurs données font peur à d'autres pays de se conformer à l'augmentation de l'âge de la retraite et à la réduction des droits. Utile pour nous aux États-Unis, les associations Alzheimer’s publient déjà les données dont nous avons besoin. Répéter les pourcentages de personnes âgées vivant maintenant dans votre pays, et projeter les chiffres terriblement plus importants à l'avenir (2040 ou 2050), ainsi que les pourcentages de cas de démence de temps en temps, est une tactique infaillible pour créer une anxiété fructueuse et soulignant la nécessité de réponses bipartisanes dramatiques à la crise.

Certains wimps et wets se plaindront de “ageism” mais la bonne nouvelle est que cette charge n'a pas d'importance. Peu de gens dans une société connaissent le terme. En Espagne, ils utilisent le mot de prêt anglais, “ageism.” Aux États-Unis, une étude récente montre que l'âgisme vient en dernier dans une liste des autres personnes “isms” sont préoccupés, après le sexisme—sexisme maintenant, avec le mouvement #MeToo et le cirque autour de la justice Kavanaugh, a atteint le sommet de la liste—and puis le racisme et l'homophobie. L'âgisme n'est tout simplement pas considéré comme une oppression.  Aux États-Unis, la Cour suprême n'a pas ajouté l'âge en tant que catégorie protégée, et a même refusé aux travailleurs de la quarantaine certaines des protections générales de l'Age Discrimination in Employment Act de 1967. Lorsqu'on leur a demandé, les personnes âgées disent souvent que l'âgisme fait référence aux jeunes qui leur offrent un siège dans le bus. Ou qu'il se réfère à mots“ridlies” (en Grande-Bretagne) ou “geezer” (aux États-Unis). Les lettres à l'éditeur ou les colonnes qui se disputent la façon de répondre aux questions de nomenclature triviales sont une distraction utile de notre agenda économique.

Des progrès ont été réalisés dans notre programme depuis les années 1980. Il semble maintenant tout à fait possible de réformer davantage les filets de sécurité sans attirer une attention indésirable. Bien que les personnes âgées votent, elles semblent incapables de se défendre. “Augmenter le déficit” est une stratégie non-pareil, permettant à de nombreux gouvernements de cibler les systèmes de santé nationaux qu'ils doivent vraiment réduire. La tactique des États-Unis consistant à répéter que la Sécurité sociale et Medicare seront bientôt insolvables, et que les jeunes ne bénéficieront pas de la vieillesse, s'avère fructueuse.

Pendant des années, nous avons clairement indiqué que la réduction des attentes fonctionnerait. Appeler la colère contre l'inégalité “guerre de classe conflictuelle” est une recommandation que nous soutenons, maintenant que la syndicalisation a été discréditée pour fournir des emplois sur-payés à des groupes subordonnés qui ne méritent clairement pas un examen spécial. Nous suggérons qu'à mesure que l'inégalité augmente, vous détournez l'attention de classe envie de Schadenfreude liée à l'âge, opposant génération contre génération. Dans les sections de commentaires et les éditoriaux, les jeunes Américains, sans être payés pour le dire, ridiculisent volontairement quiconque fait confiance aux États-Unis. Bons du Trésor. Ils se tournent avec colère contre les baby-boomers vieillissants, qui, selon eux, seront la dernière génération à recevoir des prestations. Cette croyance mène à l'inaction. Nous avons l'intention de faire de cette croyance une prophétie auto-réalisatrice.

Nous prévoyons des progrès sur d'autres fronts. Aux États-Unis, les républicains réduisent le ballonnement du ventre en coupant les bureaux ruraux de la Social Security Administration. Certaines âmes prudentes ont brièvement fait valoir que la réduction des services n'économise pas assez d'argent pour contrer la valeur gênante d'avoir des temps d'attente téléphoniques plus longs et des bureaux de moins en plus éloignés, ce qui rend les plaintes des médias judiciaires et irrite les lettres aux éditeurs. Pourtant, c'est un modèle utile d'insérer des coins minces invisibles en essayant de déstabiliser le troisième rail“” de la politique américaine, comme la Sécurité Sociale était appelée. N'étant plus aussi électrifiés, nous sommes heureux de constater. Le candidat Donald Trump, par exemple, a promis encore et encore pendant sa campagne de défendre les programmes hérités de la FDR. Les promesses semblent tout ce qui est nécessaire pour influencer l'électorat.

Medicaid est le prochain. Couper les personnes qui ne travaillent pas, le premier mouvement en Arkansas, a chuté de tous les rôles sauf 2%. Cela permet de réaliser des économies pour un État bien géré à utiliser pour les citoyens plus productifs (un groupe de plus en plus petit, à mesure que la robotisation et l'informatisation prennent le relais). Réduire les protections pour les personnes dans les maisons de soins infirmiers est une autre tactique des États-Unis.

Pendant au moins une décennie, cependant, notre Coalition prévoit que les réformateurs des droits devront prendre en considération les personnes âgées qui deviennent sans abri, car la presse devient étonnamment alerte à cet égard. Le temps exceptionnellement froid de l'hiver dernier a été en faute ici.

Les hommes âgés qui deviennent soudainement sans abri peuvent être décrits comme les victimes de leurs vices. Mais les vieilles femmes démentes au coin des rues qui mendient ou pleurent auront presque certainement besoin d'une campagne publicitaire différente pour que cela semble inévitable. Le trope de la fille Boomer peu accueillante, peut-être? Le problème est que les femmes âgées, bien qu'elles vivent plus longtemps, conservent un certain prestige en tant que mères et grands-mères et présentent donc la principale difficulté de relations publiques dans ce secteur. Nous avons suggéré d'utiliser une terminologie non-sexuée, comme “personnes âgées.” Puisque tout le monde sait que les personnes âgées sont sans sexe, cet usage ne risque pas d'être remarqué, et encore moins attaqué.

La Coalition a décidé de porter une attention particulière à l'avenir sur la longévité, l'ourson de l'État moderne rationnel. Les établissements médicaux et scientifiques se vantent de cela comme de leur succès, et ils ne peuvent pas et ne doivent pas être empêchés de le faire, ou toute la notion de progrès pharmaceutique et chirurgical est jetée par la fenêtre. Imaginez les cris du lobby de Big PhaRMA et les associations médicales étaient n'importe quel ministre de la santé à se plaindre les attentes de la vie augmentent. Pourtant, cette augmentation est le problème auquel nous sommes confrontés tant que les réponses collectives aux problèmes sociaux persistent. Souviens-toi de ce que Margaret nous a appris à dire. “Il n'y a pas de société, seulement des individus.”

Saisissant le moment, les leaders d'opinion du Consortium ont décidé de relever le défi de faire en sorte que la longévité “” elle-même semble un résultat négatif. La presse et les éditeurs n'ont eu besoin d'aucun élan de notre part—excepté l'incitation indirecte que certains de nos bailleurs de fonds possèdent eux—pour laisser les auteurs et les journalistes diaboliser les patients Alzheimer’s, et, malgré les démentis de quelques gérontologues qui sont en quelque sorte devenus des personnalités publiques, pour assimiler Alzheimer’s et la vieillesse. C'est la meilleure publicité pour notre position.

Financée par beaucoup d'entre vous avec des dons généreux, cette campagne de la Coalition continuera de concevoir des moyens humains et discrets pour réduire le grand nombre de personnes surannées dans les économies avancées. Certains retraités partent à la retraite dans des pays à faible revenu, vident nos rues et remettent le parc immobilier aux jeunes, mais dépensent leur revenu disponible en tant que consommateurs ailleurs. Ceux qui restent, vivent plus souvent avec leur propre espèce, hors de vue, et restent à l'intérieur, bien respectueux des besoins des jeunes de parler et de marcher rapidement sur les trottoirs publics sur leur chemin pour effectuer leurs tâches essentielles sans avoir à se soucier de courir dans les codgers confus lents.

Nous continuons d'insister pour que l'expansion du surtraitement “” meme—overtreatment soit une dépense nuisible et inutile. Dans de nombreux pays, la campagne contre le surtraitement dans les hôpitaux et les cabinets médicaux est solidement engagée. Les médecins mettent en garde contre les risques et la qualité de vie inférieure des interventions médicales ultérieures. La presse une fois de plus volontairement aider chaque fois qu'ils lient le terme émotionnel “burden” aux dépenses brutes de soins.

Note aux magnats des médias: n'hésitez pas à risquer plus. Temps publié une plainte de man’s sur le coût de sa mère’s $100 000 opération cardiaque, même si la mère a vécu encore dix ans. Le commentaire qui sert le mieux est de la “I would’t vouloir vivre au-delà de 75,” type—exemplifié par le Dr. Ezekiel Emanuel, qui a appelé son propre père à l'âge de 77 “lent” après son opération cardiaque et a dit il je ne voudrais pas qu'on se souvienne comme lent. Son autorité en tant que bioéthicien dans les National Institutes of Health lui a donné un laissez-passer gratuit. Barack Obama, parlant de sa propre grand-mère à la New York Times, déploré le coût des soins de fin de vie. Les rédacteurs peuvent être encouragés à publier des enfants adultes’s unhappiness with the national costs of careing, surtout si les auteurs ont des parents dits séniles ou proches de la mort. La prochaine crise économique—non pas que nous attendons un— facilitera plus de ces inquiétudes poignantes.

Au cours de cette campagne, nous avertissons les personnalités publiques de faire preuve de prudence et d'afficher des sentiments positifs, toujours en faisant allusion aux horreurs de la vie ultérieure et aux maladies des personnes âgées. Il est plus facile de laisser les jeunes faire le travail négatif. De nos jours, beaucoup d'autres sont désireux de dire ouvertement qu'ils refuseront “d'être relié à des machines.” “I’ll die before I get that way,” ils disent. Nous, de toutes les personnes, en proie à la pro-vie, comme j'aime à le dire, devrions donner un ton respectueux envers “mourir avec dignité.”

Les données ne seront peut-être jamais disponibles sur l'efficacité de l'accentuation du surtraitement chirurgical “” sur la réduction des coûts médicaux, mais je peux attester que cela distrait d'autres coûts que beaucoup de nos alliés dans Big Pharma préférez que la presse et le public n'y entrent pas. De plus, les gens sont de plus en plus convaincus qu'il y a un devoir de mourir— un devoir qu'ils ressentent envers leurs enfants bien sûr, plutôt que l'État.

Tant que le surtraitement (coûteux) reste la cible de choix dans le courant dominant, tant que la presse consentante compare les patients Alzheimer’s aux zombies, tant que les éditeurs publient les préoccupations très naturelles des enfants adultes sur les coûts croissants des choix médicaux parentaux, tant que chaque ralentissement économique ou réduction d'impôt volumineuse produit des soucis de déficit et un chômage de longue durée accru cette tendance à démoraliser génération après génération pour vieillir va croître.

En réduisant le nombre de personnes surannuées, les personnes dans leurs années intermédiaires qui sont devenues au chômage permanent se sont suicidées en nombre croissant, certaines de surdoses d'opioïdes, selon plusieurs rapports des États-Unis. Centers for Disease Control and Prevention. Les soi-disant décès par désespoir chez les hommes âgés sont devenus courants. Les vieilles femmes, bien que craignant de devenir des fardeaux pour leurs enfants, s'accrochent. En réponse, le Consortium suggère que la discrimination fondée sur l'âge, à laquelle les femmes âgées semblent plus facilement sujettes, peut être le moyen le plus simple d'atteindre...

[Ici le texte se termine, le reste du papier ayant apparemment été arraché.] 

À propos Margaret M. Gullette

‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’, Gullette’s le livre le plus récent a été présenté dans Le New Yorker en Novembre 2017 et a remporté le 2018 American Psychological Association’s Division 35 Florence L. Danemark Prix pour les contributions aux femmes et au vieillissement qui favorisent la justice sociale. A examen de Mettre fin à l'âgisme in Tikkun appelle anti-âge “le prochain grand mouvement social.” Elle a publié d'autres livres primés sur les contextes culturels de l'âge, et ses essais ont paru dans New Political Science, Nation, Dissent, Mme, American Prospect. Un essai a gagné le Prix du millénaire Daniel Singer. Ses essais sont souvent cités comme notables dans Meilleurs Essais Américains. Elle est une étudiante résidente au Women’s Studies Research Centre à Brandeis University.

Mise à jour: En 2024 Margaret Morganroth Gullette publié un autre livre ‘American Eldercide: How It Happened, How to Prevent It’ concernant le décès de 200 000 résidents de maisons de retraite pendant la pandémie de covid-19.  Le livre a été nominé pour un Prix Pulitzer et un National Book Award.  Katherine S. Newman, Provost et Vice-Président Exécutif des Affaires Académiques de l'Université de Californie écrit“Avec des détails sans faille Américain Eldercidedénigre l'indifférence du gouvernement et l'échec de la réglementation pendant la pandémie. Les portraits poignants de personnes réelles nous mettent face à face avec des individus qui sont sous notre responsabilité. Ce livre puissant devrait être lu par tous ceux qui se soucient de la santé publique, du vieillissement digne et de la responsabilité du gouvernement

https://expose-news.com/2025/01/20/christine-lagarde-memo/

Jean Fourastié dans son ouvrage, dans  la  célèbre collection  que sais-je : "La civilisation de 1960" (qui date de 1950) qui est un hymne à la Croissance, dans l'introduction mentionne cependant l'idée suivante, il dit que des pessimistes se rallient à "des slogans comme "Hitler a gagné la guerre" (en ce sens qu'il aurait imposé au monde sa conception de l'Etat et de la vie économique)

BEN ! VOYEZ ! ces "pessimistes" (Jean Fourastier, qui fut le créateur de la pensée  des "technocrates" était sans doute aussi celui des bobos "anti-complotistes") avaient bien raison. Ce qui se passe depuis 2020 (et EN FAIT DEPUIS BIEN AVANT ! POUR QUI SAIT OBSERVER !) l'a bien montré!!   il y a d'ailleurs une continuité entre sa pensée et Klaus Schwab


tiens ! c’est un peu ce que j’ai dit une fois dans ce journal, ça s’accorde aussi sans doute avec la pensée de Bernard Charbonneau.
et avec les dénonciations de Jean-Marie Le Mené

 

oui, ce texte je l'avais écrit un an avant la crise politique et idéologique  (car ce n'EST PAS UNE CRISE SANITAIRE !) actuelle, et même si j'étais largement plus pessimiste de le commun des naïfs, je ne savais pas à quel point j'avais raison !!!

Quant à la "crise climatique" (écoutez dans la vidéo ci-dessous comme elle est de nouveau instrumentalisée par la mafia de Davos !) c'était de même que le Covidisme (et que l'hystérique campagne anti-tabac qu'on nous martèle depuis trente ans, qui était un test pour voir si on pouvait culpabiliser soumettre et décérébrer toute une population par la Peûeûeûrrrr !) un plan pour soumettre la totalité de l'humanité en un nouvel "esclavage antique" l'esclavage deux point zéro où les téléphones portables et les QRcodes remplacent les colliers de fer

(bon, le gars est un peu "approximatif" Poutine et Trump "sauveurs de l'humanité" ! ils Poutine, objectivement, comme dirait un marxiste, je veux bien comme le fut l'URSS en 44, mais Trump plus typiquement américain tu meurs ! demandez à Maduro et aux vénezueliens pour voir si il est un "sauveur" ! )

par contre ce n'est pas pour rien que NOS MAÎTRES du grand capital, et donc une de leurs bras armés l'UE, veulent INTERDIRE tout ce qui ne leur rapporte pas des PROFITS (et tout ce qui pourrait ressortir de la libre vie des personnes)  - élémentaire mon cher Watson !  - tout se tient ! on revient vous le voyez TOUJOURS aux principes d'analyse marxiste !  le marxisme c'est le bon sens même, (pour ceux à qui le seul nom de MARX donne "des cloques sur la poitrine" lisez La Fontaine, ça peut suffire !)

 

et ici un lien à une vidéo censurée qu'on n'a pas le droit ni de télécharger ! ni d'intégrer dans un blog !!

https://rumble.com/v1azc8b-pre-michel-viot-le-prtre-catho...

24/05/2025

la vérité, les images, les avocats français qui réagissent

15/04/2025

Vatican II

Les années 50, ceux qui les ont vécues, ou ceux qui ont beaucoup lu les productions non seulement littéraires, mais les revues, les chansons, les romans d’espionnage, etc, tout ce uqui fait l’esprit du temps dans lequel baignent les gens, tout ce qui est implicite, qu’on ne dit même plus souvent tellement pour tout le monde c’est tellement évident)  c’était l’époque de la science  et  du désespoir. La grande déculottade chrétienne des années 60 et 70, le « christianisme » horizontaliste post-Vatican II est le fruit de ce scientisme dur comme fer, et son désespoir, que la vulgate des psychomachinchose devenu la Secte des Adorateurs de la Mort essaye de faire passer à coups de sophismes et de diabolisation.
exemple ce commentaire de 2020, très dans l'esprit Vatican II, et mon commentaire après :
« Les textes bibliques sont des paraboles. Par exemple, l’aveugle né qui devient voyant, c’est celui d’entre nous qui se met à voir les actions de "Dieu"  ici bas. Jésus ne s’est jamais promené avec ses disciples puis rencontré un aveugle né au sol, qui mendiait. Il n’y a pas de réalité physique dans ces écrits, seul Hollywood en en faisant un film peut en faire une représentation trompeuse d’une existence matérielle. Lorsque vous lisez la bible, il s’agit de vous dans le texte. La bible vous parle de vous. Le seul personnage qui existe réellement lorsque vous lisez, c’est vous.
Sous cette révélation, vous comprenez aussitôt que rechercher les contradictions dans la cohérence des textes entre eux n’a pas de sens, ni d’intérêt.
La grande majorité ne verra jamais la présence ni les actions de Dieu.
Le peuple élu est l’ensemble de ceux qui verront la présence de Dieu durant leur vie terrestre. »

moi : – cette façon de nier la  possibilité de  miracles (et la vie éternelle aussi bien entendu, et l’existence d’un Dieu réel et objectif aussi pendant qu’on y est) est   typique  de l’Eglise post Vatican II !
Je connais bien, je lisais toute la presse catholique gratis à l’époque ! (grâce à mon père sacristain, qui était chargé de les disposer dans les présentoirs de l’église, alors encore ouvertes, et en ramenait à la maison un exemplaire de chaque !) et on constatait partout, que les curés continuaient à utiliser le vocabulaire traditionnel, mais en lui donnant à chaque fois un sens tout autre, un sens compatible avec l’athéisme, le matérialisme et tout ça ! Les miracles dans leur esprit bien sûr ne peuvent pas exister, alors ce sont des « paraboles » à interprêter. Dieu c’est, comme  les dieux de l’antiquité, un symbole, une personnification d’un concept :  dans ce cas  le symbole des aspirations transcendantes de l’homme (pendant quelques années ! avant de disparaître dans le néant pour toujours bien sûr) . « rencontrer Jésus-christ ça devenait vivre la fraternité entre hommes, l’éternité ça voulait dire une certaine dimension (subjective) de l’instant !
Un « christianisme » comme ça n’a plus aucun intérêt ni aucune réalité !  (si ce n’est l’effort de ceux qui en vivent d’essayer de faire durer leur fond de commerce, mais surtout en se montrant bien conforme et soumis à l’athéisme rationaliste athée ambiant.)

24/02/2025

Belgique pays de la mort les dérives épouvantables de l'euthanasie en Belgique (surtout en Flandre)

Belgique : étude sur la pratique de l’euthanasie en Flandre

Les néerlandophones sont beaucoup plus enclins à exclure les personnes âgées de plus de 85 ans des soins plus onéreux.”

19/03/2015 - « Fin de vie » comme ils disent

Ce 15 mars, le New England Journal of Medicine a rendu publics les résultats d’une étude menée par deux universités belges sur les pratiques médicales en fin de vie, basée sur un questionnaire transmis à quelques 6188 médecins exerçant dans la partie néerlandophone de la Belgique et auquel plus de 3700 ont répondu.
Il en ressort une très nette augmentation des euthanasies pratiquées en Flandre entre 2007 et 2013, puisque le pourcentage des morts par euthanasie sur le total des décès en Flandre est passé de 2% à 4,6 %.
Les résultats montrent également une différence flagrante entre le nombre d’euthanasies rapportées à la commission de contrôle (1454 cas rapportés en Flandre en 2013) et le nombre d’euthanasies réellement pratiquées, qui tourne autour de 2800. Ce qui signifie que, dans la pratique, près d’une euthanasie sur deux échappe à tout contrôle.
Quant au pourcentage des décès ayant été volontairement hâtés sans consultation du patient, il reste stable à 1,7% en 2013.
Les responsables de l’étude identifient deux raisons à la hausse de la pratique de l’euthanasie. D’une part, de plus en plus de personnes demandent à être euthanasiées. D’autre part, il y a de plus en plus de médecins qui acceptent d’accéder à ces demandes, puisqu’en 2007, ils y accédaient dans 56% des cas, et qu’en 2013, c’est près de 77% des demandes d’euthanasies qui sont acceptées par les médecins, qui se sentiraient plus « aptes » à la pratiquer, révèle une étude parallèle.
Dans près de
74% des cas, les soignants d’un service de soins palliatifs ont été partie prenante, ce qui, selon les responsables de l’étude, prouve qu’« après 11 ans, l’euthanasie est de plus en plus considérée comme une réelle option de choix de mort ». L’euthanasie fait donc désormais partie des soins palliatifs, selon ce que certains appellent le modèle belge des soins palliatifs intégraux.
Si l’on compare l’évolution des chiffres avec ceux des Pays-Bas, certaines différences sont frappantes. Le professeur Deliens affirme que la Flandre est sans doute plus permissive, et que le fait d’intégrer l’euthanasie dans les services de soins palliatifs comme cela se passe en Belgique, a certainement un impact non négligeable sur l’évolution du nombre d’euthanasies, car aux Pays-Bas, euthanasie et soins palliatifs sont deux circuits complètement séparés.

Source : The New England Journal of Medicine 

 Belgique : euthanasie toujours plus loin

A peine un an après la promulgation de la loi dépénalisant l’euthanasie des mineurs, s’exprime maintenant la volonté d’aller plus loin. Conférences, symposiums et articles de presse traduisent la volonté de certains médecins d’étendre le champ d’application de l’euthanasie aux personnes démentes (CF Allemagne nazie AKTION T4), (lien vers VUB-Gent) mais aussi aux nouveau-nés prématurés et/ou porteurs d’un handicap (CF Allemagne nazie AKTION T4), et pour lesquels l’équipe médicale jugerait que la « qualité de vie » (CF Allemagne nazie AKTION T4) pose question (cf le livre de Binder et Hoche en Allemagne 1922). (Symposium International d'éthique clinique chez le nouveau-né et l'enfant)

or 80% des euthnasies belges ont lieu en Flandre

Soit dit en passant la Flandre (le pays des bigots ! ceux qui en ont connu dans leur famille ou ont vécu les années 50 ou 60 au milieux d'eux en savent quelque chose ! et je rappelle que après la mort de la religion chrétienne la mentalité bigote ça continue, sous d'autres formes, car la nature de la bigoterie c'est : formalisme, niaiserie, flicarderie, conformisme, absence d'âme), c'est aussi le pays où on instaure ça :

Belgique : la Flandre envisage de surveiller les chômeurs sur Internet

La Cour européenne des droits de l’homme a accepté de se prononcer sur la requête introduite par un homme dont la mère a été euthanasiée sans que lui, ni sa sœur, n’en soient informés.

La Cour européenne a communiqué au Gouvernement belge la requête introduite par un Belge dont la mère a été euthanasiée à son insu. Cet homme estime que l’euthanasie de sa mère a violé sa vie familiale et son intégrité psychique, protégées par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme.

Le succin résumé des faits établi par la Cour permet d’ores et déjà de pointer des problèmes graves dans la procédure d’euthanasie telle qu’elle est pratiquée actuellement en Belgique :

  • Une « Commission fédérale de contrôle et d’évaluation » a bien effectué un contrôle du « respect de la procédure et des conditions prévues par la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie » s’agissant de la mère du requérant, et « ne décela aucun manquement à la loi ». Cependant, cette procédure est confidentielle, si bien que le fils de la personne euthanasiée, qui a porté plainte contre le médecin responsable de l’euthanasie de sa mère, n’a pas été informé des suites de sa plainte.
  • Le requérant déposa également une plainte pénale contre X, mais n’ayant pu apporter d’éléments de preuve en raison de la confidentialité de la procédure d’euthanasie, sa plainte fut clôturée par le Procureur.
  • Le requérant met en cause l’indépendance de ladite Commission de contrôle, car le médecin qui a euthanasié sa mère est aussi co-président de cette même commission.
  • Enfin, ce médecin a reçu 2.500 € pour une association dont il est le président, de la part de cette mère qu’il s’apprêtait à euthanasier…

Ces quelques éléments donnent un triste aperçu de la réalité de l’euthanasie : combien celle-ci affecte les proches de la personne euthanasiée ; et comment des procédures censées être claires et rigoureuses se révèlent en fait opaques, voire inefficaces. L’ECLJ a demandé à déposer des observations écrites dans cette affaire.

La Cour européenne a déjà pu se prononcer plusieurs fois sur des plaintes liées à l’euthanasie, mais le plus souvent celles-ci étaient déposées par les personnes souhaitant être euthanasiées et voulant être reconnues dans « ce droit » (Gross c. Suisse, Koch c. Allemagne, Haas c. Suisse, Pretty c. Royaume-Uni).

À l’inverse, la Cour a été saisie dans deux affaires ayant eu une large publicité, Lambert et autres c. France et Charles Gard c. Royaume-Uni, et dans lesquelles les parents demandaient à ce que la procédure d’euthanasie de leur enfant fût annulée. Dans les deux affaires, et de manière très décevante, la Cour avait rejeté les demandes des parents et validé l’euthanasie de leurs enfants, estimant la procédure satisfaisante et respectée.

Dans ses observations écrites, l’ECLJ soutiendra que la vie familiale comporte non seulement des droits mais également des devoirs envers ses proches et démontrera qu’un État comme la Belgique, qui euthanasie ses citoyens y compris mineurs, ne respecte pas le droit à la vie garanti par la Convention européenne. C’est au contraire une atteinte flagrante à un droit érigé juste après-guerre, où les hommes avaient encore à l’esprit les programmes d’euthanasie des nazis.

 

17/02/2025

pour l'horreur qu'on connue les vieux ni oubli ni pardon !

03 déc. 2024 Pardonner et oublier ? NON !!! surtout pas !!!

Sommes-nous prêts à pardonner les crimes contre l’humanité perpétrés au cours des quatre dernières années et demie ?

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Sommes-nous prêts à oublier le mal qui nous a été imposé et utilisé pour nous rendre esclaves ?

La journaliste et cinéaste Jacqui Deevoy dit « absolument pas ».

Au cours des quatre dernières années et demie, j’ai été plongé dans le monde sombre des maisons de soins et des crimes perpétrés par notre gouvernement (britannique) et les médias contre les résidents des maisons de soins et leurs familles.

La politique d’interdiction des visiteurs n’a jamais été une loi et le fait que le site Web du gouvernement ait toujours déclaré discrètement que les visites devraient être facilitées dans la mesure du possible, les gestionnaires de maisons de retraite ont suivi ce que la télévision leur a dit et ont verrouillé, certains dès février 2020. Ensuite, c’était tout - des résidents âgés enfermés et leurs amis et familles enfermés dehors. Des histoires d’horreur dans les maisons de retraite ont commencé à émerger : j’ai enquêté et j’en ai écrit plusieurs. Vous vous souvenez de ça ? https://dailymail.co.uk/femail/article-9023539/Shocking-moment-dementia-stricken-removed-window-visit-daughter-begs-carers.html...

Et ça ? https://dailymail.co.uk/femail/article-9304591/Woman-reveals-told-waving-father-80-care-home-window-illegal.ht... (L’homme dans cet article - Attilio Criscuo - est malheureusement décédé en septembre, à peine 18 mois après sa publication. RIP, Attilio.)

Nous n’oublierons jamais l’ampleur des souffrances que le gouvernement - et ceux qui ont fait ce qu’il a voulu - ont infligées à nos personnes âgées dans les maisons de retraite et les hôpitaux. Négligés, emprisonnés, privés de voir leurs proches, pensant qu’ils avaient été abandonnés, beaucoup ne recevant pas le traitement dont ils avaient besoin, inutilement et dangereusement piqués avec une injection expérimentale toxique, beaucoup euthanasiés, avec du RIVOTRIL en France, de la morphine et du Midazolam (comme utilisé aux États-Unis pour exécuter les criminels du couloir de la mort) tout cela sous le couvert d’un traitement pour une maladie dont l’existence n’a jamais été prouvée.

Le Covid Death Pathway, je l’ai appelé. Car c’était bien de cela qu’il s’agissait. Des milliers de personnes ont été tuées sans pitié dans le cadre de programmes de « fin de vie » et leur décès a été considéré comme un décès dû au « Covid ». (J’ai proposé à quelques journaux des articles sur cette fausse attribution évidente et délibérée de la mort au Covid - ainsi que des histoires de décès et de blessures dues aux vaccins et la preuve que la soi-disant pandémie était un canular - mais tous ces arguments ont été rejetés.)

Ils veulent que nous oubliions des histoires comme celle-ci : https://dailymail.co.uk/femail/article-9027457/Officer-refused-visit-dying-mum-care-home-able-recognise-him.html... Ils veulent nous faire oublier qu’ils ont jamais publié des histoires comme celle-ci : https://dailymail.co.uk/femail/article-8785349/Care-home-nurse-sacked-claiming-pandemic-hoax-insists-shes-seen-no-evidence-cornavirus.html... J’ai dû pousser fort pour que des histoires comme celle-ci soient publiées dans la presse grand public : https://telegraph.co.uk/family/life/incensed-dads-care-home-shutting/... - des histoires sur mon père, coincé dans une maison de retraite fermée pendant 10 mois, mais libéré dès que j’ai menacé de les traduire en justice pour séquestration et violation des droits humains. https://telegraph.co.uk/family/life/sprung-dad-care-home/... Et maintenant, on nous suggère d’oublier tout cela et de passer à autre chose. Oui, ils ont menti - sur à peu près tout - mais, bon, tout cela appartient au passé et il est important de laisser le passé être révolu. Vraiment?

My dad was never the same after being deprived of visits, hugs, kisses and cuddles. He could not understand why we were only permitted to speak through a closed window and he was permanently perplexed as to why he was being punished. When I got him home, he was an echo of his former self: he had become fearful, depressed, anxious and paranoid. He started self-harming, he had suicidal thoughts and was suffering from a clear case of survivor’s guilt, his joy at being free overshadowed by worry about the people he’d left behind. That miserable stint in the home had caused him to lose the will to live and, exactly a year after his homecoming, he died when a paramedic injected him with a too-high dose of a drug he’d never had before. https://telegraph.co.uk/christmas/2020/11/23/caring-dad-home-hard-know-done-right-thing/…

I told The Telegraph what had happened to my dad. The editor I deal with there didn’t even offer any condolences - she just said that sort of story wasn’t really her department and gave me the email address of an editor who she thought might be interested. I emailed this other editor three times but got no reply. (typique de notre époque !!

And what about Captain Tom? He was allowed visitors and he even popped off on holiday with Cliff Richard, while our elderly relatives died alone and had ‘rule of six’ funerals held for them. Just unbelievable. https://davidicke.com/2021/02/03/rip-to-sir-tom-moore-who-died-surrounded-by-his-family-but-tough-luck-to-the-rest-of-the-elderly-who-died-alone/…

It’s been a tough time for pretty much everyone but tougher still for anyone going against the narrative. I ignored all the stupid and unlawful rules but others felt they weren’t able to. As a result of the masking, social distancing, being under house arrest and getting jabbed, people lost their jobs, had their businesses shut down and suffered a deterioration in health. Many died because they couldn’t get hospital or doctor appointments. Those that died passed alone with no one to advocate for them, no one to protect them and no one to hold their hand. Behind the closed doors of care homes and hospitals, sinister and deathly protocols were being implemented. And there were no witnesses apart from the killer medics who, of course, were just doing their job. Just following orders. (Let’s see that excuse stand up in court. Bring on Nuremberg 2 ASAP!) The numbers of suicides seemed to be on the rise (going by social media) but these weren’t being reported by the national papers. And, to this day, many of those damaged or killed by the still-being-trialled Covid jabs are being ignored.

Our tyrannical government and the lapdog press would probably like me to forget that, in May 2021, I approached 28 editors with the story of the century - proof of a mass culling of the elderly in NHS facilities all over the UK. I had meetings with editors from two national newspapers and both agreed that the story was most definitely front page news. Then they went quiet. One hasn’t spoken me since.

The following month, I pitched a story about the use of blanket DNRs (Do Not Resuscitate orders) in care homes and hospitals to an editor at the Telegraph. It was commissioned. I told the story of how I’d discovered that my dad had a DNR on his notes and that it had been placed without his or my consent. I also included shocking quotes from a whistleblower doctor who revealed that, due to the hoax pandemic, DNRs were being put on anyone over 60, the disabled, people with mental health issues and children with autism. I met the deadline and filed the article. Weeks later, I was told it was not being published. No reason was given. I later offered it to an alternative news website and they published it. https://newspunch.com/new-dnr-protocol-doctor-daughter-speak-out/… I haven’t forgotten the fact that this story was rejected but I bet they wish I had. I’m sure they’d like me to forget that I ever made this film (co-produced with Ickonic Media): Link here….in the hope that if I forget, I’ll stop sharing it at every opportunity and then everyone else will forget too. And this one too - directed by Naeem Mahmood and Ash Mahmood and produced by Phil Graham and myself. https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events/playing-god/playing-god-premier/… They’d probably prefer me - and everyone who watched and listened to me - to forget every word I’ve said (about the fake virus, the scamdemic, the toxic clot shots, the way the police and government were breaking the law on a daily basis, the ridiculousness of the never ending rules) in the 100 or so no-holds-barred interviews I’ve done for various radio and TV internet news shows. Here’s one with David Icke from December 2020: https://davidicke.com/2020/12/09/the-premeditated-mass-murder-of-old-people-worldwide-david-icke-talks-with-real-journalist-jacqui-deevoy/… and another I did in January 2022 with Alex Jones. https://davidicke.com/2021/12/08/journalist-jacqui-deevoy-talks-to-alex-jones-about-ickonics-groundbreaking-documentary-about-midazolam-mass-murder-of-the-elderly-2/… And they’d probably be pretty chuffed if this little film could be forgotten too: https://davidicke.com/2022/06/17/i-believe-midazolam-killed-my/… I’ve emailed those 28 editors many times over the last few years.

All told, I’ve contacted over 100 editors and staff writers on U.K. newspapers and magazines since 2021.

In one email, I informed them all that their refusal to publish my story made them complicit in the ongoing Midazolam murders and that they all had blood on their hands.

Je n’ai pas reçu une seule réponse à ce joyeux petit « round robin ». Pas de surprise là-bas. Déjà tant de mauvaises choses ont été balayées sous le tapis, mais nos tortionnaires et nos bourreaux veulent que nous oubliions tout cela - et plus encore. Des millions de personnes ne veulent pas et ne peuvent pas le faire. Les personnes qui ont le plus souffert, dont la vie a été irrémédiablement endommagée, n’oublieront jamais. Et ils sont encore moins susceptibles de pardonner. Nous devons nous assurer qu’ils savent que nous n’allons pas les laisser effacer tous leurs actes répréhensibles ; que nous ne permettrons pas que l’histoire soit réécrite ; et que nous garderons la vérité vivante. Jusqu’à ce que les destructeurs psychopathes soient tenus responsables, nous devons jurer de ne jamais cesser de leur rappeler les crimes qu’ils ont commis et la dévastation qu’ils ont causée. La bataille ne fait que commencer.

Jacqui Deevoy

 

14/02/2025

merle dans la nuit audition la plus belle mais aussi la plus émouvante qui soit, - et tout un symbole métaphysique - Pascal ! Simone de Beauvoir ? ou Jean Rostand ?

Pensez un peu au chant des merles (males). Surtout le matin à 5 heure du matin voire encore avant ça dépend de la saison, en tous cas encore en pleine nuit avant que le soleil se lève, imaginez ! en février à 7 heures du matin dans le froid et le noir, tout le monde dort, eux ils sont là ils chantent, et y mettent tout leur coeur, toute leur créativité, je répète leur CREATIVITE, et voilà un problème éthologique et métaphysique de première grandeur.
Et d'abord quel symbole ! plus grand que toute la civilisation humaine, car la créativité des chants de merles

 (ils ne sont pas du tout stéréotypés, mais sont de vraies créations artistiques, aux phrases toutes différentes et toujours renouvelées, et visiblement objet de recherche volontaire.

(pensez : que de beautés perdues ! pensez à tous les chants de merles par le monde que les gens n'écoutent pas !)


Quel symbole poignant ces êtres qui se décarcassent durant des heures à chanter et à inventer de nouveaux motifs, dans le froid et le noir, petit être de 100grmmes dans l'infini de la terre et du "silence éternel de ces espaces infinis" l'absurde "aventure falôte du protoplasma" (Jean Rostand http://palimpsestes.fr/metaphysique/livreI/rostand3.html ) !
Y pensez-vous quand vus l'entendez ?
Non vous ne l'entendez pas justement !
Personne ne les entend à cette heure. Sauf les autres merles. Symbole paradigmatique de la solitude dérisoire de l'être, même avec son ambigüe "liberté" sartrienne, dans la nuit noire de son destin de condamné à mort et à l'oubli éternel, et dans un univers indifférent...
Pauvre merle ! il chante, il y met tout son cœur, il croît que c’est très important, peut-être même qu’il est tout content, il ne sait pas que ça n’a aucune importance, que ça n’aura même pas eu lieu, tout son chant, sa création, son inventivité, son énergie mise à chanter comme ça tous les soirs (et matins) ; Le pauvre, il croit qu’il est venu au monde, il ne sait pas qu’il n’est jamais venu au monde, qu’il ne sera jamais venu au monde, ni lui ni le monde.
(les humains non plus d'ailleurs)

l' aventure falôte du protoplasma n'est rien d'autre qu' un mauvais pélérinage de la chair ?