28/11/2024
Vous avez dit "spiritualité" ?
La « spiritualité » est le truc derrière lequel les bourgeois parisiens rive-gauche cachent leur athéisme, sous de petits nœud-nœuds qui font jolis, mais sont vides (ils seraient d’ailleurs incapables de le remplir de quelque chose)
la « spiritualité » des bourges parisiens de France-Culture, ceux qui ne se déplacent qu’en taxi et qui blablatent sur LCI, non sur france-cu-cul-euh ...lture en faisant mine de chercher leurs ... euh ... mots !, La « spiritualité », mot si prisé au sein de la Secte des Adorateurs de la Mort, ce n’est qu’un mot (surtout chez des bourgeois, même son aspect terre-à-terre-ment moral c’est trop pour eux ! Il n’y a qu’à voir comment ils réagissent aux gilets jaunes ! … Non "spiritualité" c’est un mot, un zoli ruban rose dont ils décorent leur athéisme et leur euthanasie ! (et leurs taxis ! )
Ils sont beaucoup trop athées (d’ailleurs ça fait partie de la politically-correctness, donc pas question d’y déroger, et puis ils n’ont aucun sentiment d’autre chose, ça serait «peuple» donc vil, "populiste" comme ils disent), et totalement incapables de comprendre aucune des phrases du Sermon sur la Montagne (il y a qu'à voir comment ceux du quartier Beaubourg ont réagi à Giuseppe Belvedere !).
Publié dans histoire, mes aphorismes, mi iras limake, Philosophie, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
08/11/2024
si justes
« Combien d’aspirations hautes, nobles et lucides – oui vraiment hautes nobles et lucides – et peut-être réalisables, ne verront jamais la lumière du vrai soleil et ne trouveront aucune audience ! » |
« Nous avons deux vies. La première, la vraie est celle que nous rêvons enfants, et que nous continuons parfois à rêver par intermittence dans un brouillard une fois adulte. La deuxième, la fausse, est la vie pratique, la vie utilitaire ; celle qui nous mène au cercueil. » |
« J’ai rêvé plus que Napoléon n’a conquis |
« Toute idée fait son œuvre par le rejet, la réfutation, le débat, l’interrogation ou la dénégation qu’elle suscite. » |
« Le grand banditisme mondain, on sait comment le traiter. C’est pas grave au fond. On est du même monde. J’arnaque, tu m’arnaques. Détournons-nous mes frères. Tout est dans l’ordre du pouvoir. C’est propre. C’est la loi du plus fort, en tout bien tout honneur évidemment. Mais la misère ça pue, ça souille les trottoirs. Qu’est-ce qu’on en a à foutre cher collègue ? |
“Une nouvelle vérité scientifique ne triomphe pas en convainquant ses adversaires et en réussissant à leur faire voir la réalité, mais seulement quand ceux-ci finalement meurent et sont remplacés par une nouvelle génération qui a grandi familiarisée avec elle. |
« Une maison qui n’a pas ses fenêtres ouvertes n’est pas une vraie maison. » |
« Nulle part, de quelque côté qu’on tourne son esprit, dans la sphère intelligible comme dans la sphère sensible, il n’y a aucun réconfort ni aucun espoir, aucun sens, rien qui soit désirable, ni même supportable, ni même suportable. J’ai beau retourner le problème sous toutes ses faces, c’est le mur, et le vide. Mon cœur est glacé et la moelle de mes os. » |
« Je voudrais tellement pouvoir aimer quelque chose, ne fusse que moi-même, mais c’est impossible, il n’y a que mort, évanescence et vanité. » |
« C’est quand on cherche toujours à rendre utile la vie qu’on la détruit. » |
« « Ailleurs » c’est bien joli, mais ou bien on n’y est pas, et ça n’existe pas, ou bien on y est, et ce n’est plus ailleurs. Une fois qu’on a bien compris ça il n’y a plus de bonheur possible. » |
« En fait ce sont les dépressifs qui détiennent seuls la vérité, les dépressifs les plus profonds. » |
« L’enfant a pénétré dans le verger du monde. |
« Toute personne refusant de s’adapter aux aspirations de la bourgeoisie et des journalistes bourgeois sera cataloguée « en retard » ». |
« Se é culto é mais livre » |
« Okazon kaptu ĉe l’kapo, ĉar la vosto estas glita. » |
„Poderoso caballero es Don Dinero“ |
« c’est vrai au fait ! on ne voit plus jamais d’enfants portés à bras, encore un signe significatif de notre époque. Quand ils seront grands il leur manquera quelque chose, et c’est un signe sinistre pour notre société. » |
C’est comme les petits ours, on n’existe que par les caresses qu’on vous fait. » |
A-t-on le droit d’être heureux quand d’autres sont morts ? |
« On a besoin des citations comme on a besoin des étoiles. Comme on a besoin des chants d’oiseaux. Comme on a besoin de dormir avec l’air du jardin par la fenêtre. Pour avoir un lieu commun avec les hommes. Pour se constituer un lieu particulier à soi." |
« Je n’habite pas la société, j’habite le monde. » |
« on ne comprend souvent vraiment bien un problème qu'après avoir implanté une première solution. La deuxième fois, on en sait parfois assez pour le résoudre correctement. Ainsi, si vous voulez faire du bon travail, soyez prêt à recommencer au moins une fois » |
« Et pleurer de regret, d’attente et de détresse, (Henri de Regnier) |
« La pluie filtre des arbres et je relève mon col. J’éprouve souvent maintenant un désir mélancolique de tendresse, de mots timides, d’émotions vibrantes et profondes. » |
« Il suffit de regarder autour de soi pour trouver plus de beautés qu’une vie d’artiste ne pourrait en exprimer. » |
« On pourrait crier (Reverdy) |
« à quelle heure viendra-t-on changer |
« Deux âmes solitaires se rencontrent dans le monde. L’une de ces âmes fait entendre des plaintes et implore de l’étrangère une consolation. Et doucement l’étrangère se penche sur elle et murmure : « Pour moi aussi c’est la nuit » Cela n’est-il pas une consolation ? » |
„N’est si granz eise, ce me semble, |
« - Je sais bien qu’à la fin |
« L’homme n’est rien moins que l’œuvre d’une volonté lucide, il n’est même pas l’aboutissement d’un effort sourd et confus. Les processus aveugles et désordonnés qui l’ont conçu ne recherchaient rien, n’aspiraient à rien, ne tendaient vers rien, même le plus vaguement du monde. Il naquit sans raison et sans but, comme naquirent tous les êtres, n’importe comment. » |
« Que sommes-nous ? Qu’est-ce que l’homme ? Que représente-t-il dans l’ensemble des choses ? Qu’est-ce qu’une vie humaine ? je n’hésiterais pas à dire que, s’agissant de ces problèmes, j’aurai traversé l’existence dans un état d’incompréhension effarée. » |
"lorsque vous prenez l'apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt." |
« Mangeant son pain, mangeant ses larmes, |
03/11/2024
l'optimisme
la différence entre se suicider et ne pas se suicider, LA SEULE DIFFERENCE, a été expliquée par Gabriel Matzneff :
* « Quoique j’en aie, il me faut admettre que le suicide est la solution de la facilité. Vivre est plus difficile que mourir, ne serait-ce que parce que ça dure plus longtemps. »
(et le résultat est le même, c'est pourquoi je dis la SEULE différence, et le seul argument rationnel contre le suicide c'est ça)
il a dit aussi :
* « L’optimisme est imbécile, criminel, obscène. »
(c'est tout à fait vrai quand on y pense honnêtement .... )
12/10/2024
alors comme ça on se remet à décider d'apporter une solution finale aux espèces "nuisibles et invasives" ??
il va falloir ajouter un nouveau slogan : Liberté pour les perruches à collier immigrées en France !
et pour les conures veuves immigrées à Bruxelles
l’approche existentielle est la base de la morale, comme l'a sans doute compris Elian-J Finbert (et Brigitte Bardot)
ils (les intégristes de l'écologie et les "scientifiques, aussi impavides que il y a un siècle les savants nazis...) sont tellement dans leurs concepts d’espèces et de biodiversité, qu’ils oublient que les individus, bien vivants et bien concrets, sont des êtres sensibles.
Giuseppe Belvedere la paradigme de la résistance au nazisme ( et relisez Michel Terestchenko) :
Les perruches à collier de France.
Pour retrouver leurs premières traces, il faut remonter au milieu des années 1970, affirment les spécialistes interrogés par franceinfo. "En 1976, une centaine d’individus se sont échappés de l'aéroport d'Orly", assure Rémy Delanoue, ornithologue et juge international lors de concours de beauté de psittacidés (comprenez perroquets, perruches et autres inséparables). La piste semble vraisemblable. A cette époque, l'oiseau, à la mode dans les animaleries, était importé en nombre par avion. "Leur cage s’est ouverte lors d’une manipulation par un Fenwick [un chariot de manutention] et une centaine de perruches ont ainsi pu s'envoler", croit-il savoir. L'autre foyer d'origine, plus récent, se situerait du côté de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d'Oise). Pas d'erreur de manutention cette fois : les soupçons se portent sur un grossiste qui ignorait sans doute la malice de l'animal et sa capacité à s'échapper de sa cage. "Elles sont de la famille des perroquets, l'un des oiseaux les plus intelligents qui soient", explique ****** ******, de l'antenne francilienne de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). "Au début des années 1990, les contrôles des oiseaux étaient moins stricts et les fenêtres du bâtiment où elles étaient entreposées n'étaient pas grillagées. (comme Fleury-Mérogis !...) C'était facile pour elles de prendre le large", insiste R. D.. Depuis un demi-siècle on a vu arriver les tourterelles turques, les roselins cramoisi pointent leurs nez, les merles ont envahi nos villes depuis le XIX siècle (autrefois ils ne sortaient pas des forêts), Autrefois les moineau, oiseaux des rochers, ont peuplé les villes, les alouettes les campagnes. À part les intégristes ecologistonazis qui s’en plaint ? la carte de leurs dortoirs (les lieux où elles passent la nuit) le confirme : ils n'ont quasiment pas bougé depuis quarante ans et se concentrent autour de Wissous (Essonne) et Roissy-en-France (Val-d'Oise). Contacté par franceinfo, le gestionnaire Aéroports de Paris explique avoir entendu parler de ces thèses, mais n'a retrouvé aucune trace des "évasions" supposées. Le responsable du pôle Espaces verts d'Orly penche plutôt pour des remises en liberté par des propriétaires lassés de ces oiseaux trop bruyants.
Environ 8 000 spécimens (non, êtres vivants ! Je dirais même mieux personnes vivantes, images de Dieu) en Ile-de-France
Quoi qu'il en soit, les perruches sont bien là... et se reproduisent. (comme les humains ! lisez « Un Nid » de Sully-prudhomme) ) Résultat, en Ile-de-France, la population s'est envolée : leur nombre est passé de quelques dizaines d'individus dans les années 1980, à 1 100 en 2008 puis 4 200 en 2015, selon une étude menée par des chercheurs du Muséum d'histoire naturelle de Paris. Avec deux à trois oisillons par an et par couple, la progression est très rapide. Désormais, en 2017, "on s'approche plus des 7 000 à 8 000 individus" dans la région, estime le spécialiste de la LPO. L'Ile-de-France n'est pas la seule concernée par le phénomène : d'autres foyers ont été signalés près de Marseille (Bouches-du-Rhône), Roubaix, Villeuneuve d'Ascq ou encore Toulouse. A l'étranger aussi, comme à Barcelone au-dessus des Ramblas ou en Grande-Bretagne, où elles seraient plus de 30 000. (+ la Rhénanie ! + Bruxelles ! ) L'invasion fait le bonheur des passionnés. Cela fait vingt-trois ans que Bruno Lebrun, agent d'accueil du parc de Sceaux (Hauts-de-Seine) et détaché à la surveillance des oiseaux nicheurs, arpente les 180 hectares pensés par Le Nôtre. Depuis 2003 et l'arrivée du premier couple de perruches, pas un nid ne lui échappe. Chaque année, il est chargé de recenser les couples qui s'installent entre février et juin dans les creux des platanes centenaires, abri idéal pour décourager les écureuils roux, friands de leurs œufs et de leurs oisillons. Aujourd'hui, il en dénombre plus de 90 qui, chaque soir, s'envolent en nuées vers leurs dortoirs de Wissous et Massy, situés de l'autre côté de l'A86.
Ici, elles trouvent de tout, toute l'année. Au printemps, elles dévorent les bourgeons, l'été elles trouvent toutes sortes de fruits et de baies et à l'automne, ce sont les glands et les pommes.Bruno Lebrun, du parc de Sceaux.
"Elles sont magnifiques", glisse un promeneur
mais ces racistes anti-immigrés que sont les écologistes intégristes, n'es veulent pas : elles ne "sont pas d'cheu nous" !
Les perruches peuvent compter sur la générosité des promeneurs qui leur apportent des graines, malgré les panneaux d'interdiction. Au détour d'une allée longeant l'un des bassins du parc de Sceaux, Amadou témoigne. "J'adore les perruches. Elles sont magnifiques",
(LES IBIS SACRES AUSSI ETAIENT MAGNIFIQUES…...)
s'enthousiasme-t-il. Séduit, il en a même acheté plusieurs pour agrémenter son balcon... mais elles se sont échappées. Les fugueuses reviennent le voir régulièrement : "Même après les hivers les plus secs et rigoureux, elles sont toujours là."
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la rigueur de nos hivers ne leur fait pas froid aux yeux. "A l'origine, elles vivent sur les contreforts de l'Himalaya, jusqu'à 1 500 mètres d'altitude", rappelle Frédéric Malher, président du Centre ornithologique Ile-de-France. Autant dire que les quelques épisodes de neige francilienne n'ont rien d'incroyable pour elles. "L'hiver, elles passent 50% de leur temps près des mangeoires ou des boules de graisse disposées dans les jardins par les particuliers", précise Olivier Païkine, de la LPO Ile-de-France. Même celles suspendues en hauteur et destinées aux petits oiseaux y passent. Avec leurs pattes, les perruches agrippent le fil, le remontent et se régalent. Elles se servent aussi chez les particuliers. Près du parc de la Vallée-aux-Loups, à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), un voisin n'a pas pu savourer ses cerises cette année. "Les perruches ont découpé le filet de protection qu'il avait installé pour éloigner les oiseaux et elles se sont régalées", s'amuse Bruno Lebrun.
Peu de prédateurs et très envahissante
ouais , mais comme dit Christian Lévêque :
« Les écosystèmes ont des capacités d’adaptation importantes, aussi bien lorsqu’ils perdent des espèces que lorsqu’ils acquièrent de nouvelles espèces, comme l’a montré l’écologie rétrospective. »
Leur vie est à peine troublée par quelques prédateurs : la chouette hulotte. Des plumes de perruches ont été retrouvées dans le nid d'un rapace, dans le 15e arrondissement de Paris, rapporte la LPO. Et si les écureuils et les rats peuvent occasionnellement se délecter de leurs œufs, les perruches savent se défendre d'un coup de bec. Un écureuil en a déjà fait les frais dans un parc de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne).
Sans véritable prédateur et avec son chant, la perruche agace. Et inquiète aussi (les fonctionnaires du Commissariat général aux questions juives ) Car elle entre en compétition avec d’autres oiseaux, notamment pour les nids. Opportuniste, la perruche à collier ne creuse pas son propre nid. Dès février, elle élargit ceux des autres oiseaux (comme la sittelle torchepot, l'étourneau sansonnet et le pigeon colombin), bien avant que ces espèces ne s'y installent. Ce qui les oblige à trouver d'autres lieux de nidification.
Dans le parc de Sceaux, on a déjà remarqué une baisse du nombre d'étourneaux sansonnets. Bruno Lebrun à franceinfo. Pour certains spécialistes de la biodiversité, il est temps de « réguler » la population de perruches. La LPO demande d'ailleurs l'aide des Franciliens pour les "signaler" ! (ça s'est déjà fait autrefois pour localiser des personnes pourchassées) Pour le moment, "en Ile-de-France, elles ne vivent qu'en petite couronne, tempère Bruno Lebrun. Mais si elles s'attaquent aux cultures, comme elles le font en Inde par exemple, elles peuvent faire des ravages..." par exemple, jusqu'à 70% des récoltes de tournesol ont parfois été perdues. De quoi préoccuper certains maires franciliens. à Antony (Hauts-de-Seine), des perruches ont déjà creusé des nids dans les plaques isolantes de façades d'immeubles récemment ravalés. [tant mieux ! j'ai vécu les effets de l'isolation thermique de l'IA,c'est étouffant !]
La perruche à collier est-elle une menace pour « notre » [ça veut dire quoi ? Un écosystème par définition ça évolue constamment, ça veut dire quoi une « menace » ? Si on réfléchit bien, ça n’a pas de sens, et puis c’est quoi ce « notre » ? l’écosystème ne vous appartient pas], écosystème ? Aucun consensus ne s'est dégagé sur la question, estime l'ornithologue Philippe Clergeau, et la loi reste floue.. N'empêche, le sujet devient politique. En 2015, le sénateur des Hauts-de-Seine André Gattolin (ex-EELV, désormais LREM - tiens tiens ! je vois le genre .... ) avait interpellé le ministère de l'Ecologie pour inclure la perruche à collier parmi les espèces nuisibles et invasives. [et donc à exterminer, exactement comme Hitler avait mis les tziganes et les juifs dans la liste des espèces d’humains nuisibles et invasives…] "La législation actuelle permet à l'autorité administrative d'organiser la capture ou la destruction des immigrés. Mais, pour l'instant, aucune action de cet ordre n'a été entreprise à ma connaissance", explique-t-il à franceinfo.
Une population trop difficile à "contrôler" (en anglais ça se dit :"to control a disease" mais en français ça veut dire "se rendre maître de" voire "éradiquer", là ils sont en train d'éradiquer la langue française !)
Au cas où, plusieurs solutions existent pour réguler leur nombre : stériliser des couples ou secouer leurs œufs pour les empêcher d'éclore. Mais avec des nids situés à plus de 10 mètres de hauteur dans les arbres, "de telles opérations semblent irréalisables" à grande échelle, aux yeux de Bruno Lebrun. "En revanche, en lançant des filets sur les dortoirs des perruches, on pourrait en capturer un grand nombre d'un seul coup. Mais cela coûte très cher à réaliser." Aux Seychelles, dans l'océan Indien, la réponse au problème des perruches à collier (après le « problème juif » on nous bassine avec le « problème rom », et après ça va être le « problème perruches à colliers » ! mais les intéressés qu’est-ce qu’ils en pensaient ou qu’ils en pensent? Comment ils on vécu, ou vivront ça ?) a été radicale (une « solution finale » quoi ! Comme pour les Ibis Sacrés). Des opérations d'éradication ont été lancées dès 2013 et le dernier spécimen de perruche à collier aurait été tué début septembre, rapporte Seychelles News Agency. Mais pour Jean-Philippe Siblet, du Muséum d'histoire naturelle, il est déjà trop tard. "Sur une île, une espèce invasive peut être éradiquée, mais à l'échelle d'un continent comme l'Europe, c'est totalement impossible." En cage comme en liberté, les perruches à collier n'ont donc pas fini d'échapper au contrôle de l'homme. (les roms non plus)
un millier de Tadorne Casarca, beau canard roux originaire des déserts d'Asie centrale, s'est installé en Suisse (outre qq millions d'humains de toutes origines). L'office Suisse de "protection" des oiseaux commente
"Cette situation est problématique, car ses effectifs ne sont pas indigènes."
Et voilà ! C'est clair, comme motivation ! (mais les celtes quand ils sont arrivés en Helvétie étaient-ils indigènes ? pas plus que les alouettes et les moineaux, bref tout ce qui n'était pas hommes de Néandertal et rhinocéros laineux ! )
alors comme ça sous prétexte qu'elles "ne sont pas d'cheu nous" et qu'elles en concurrencent d'autres il faudrait es exterminer ?
donc fallait-il au XIXè sièce exterminer les auvergnats qui ont concurrencé les bistrotiers parisiens "de souche" en ouvrant partout des commerces de "vins et Charbon" ? Heureusement qu'on n'a pas fait ça : on n'aurait pas eu les bals musettes !! ni cette musique qui pendant un demi-siècle est devenue le symbole même de la culture française populaire !
donc faut-il exterminer les jaïns de l'Inde qui à Anvers sont en trains de retirer le commerce des diamants des mains des juifs ?
donc Fallait-il exterminer les polonais du Pas-de-Calais qui ont pris le charbon des mains des mineurs autochtones ?
Etc donc selon les écologistes, et les préfets à leurs ordres, il faut raisonner comme ça ? ban en voilà des génocides en perspective ! Le Pen à côté c'est un ange ! Je sais , dans les années 30 il y a eu quelqu'un qui a raisonné comme ça, envers les juifs et les roms, mais je croyait qu'il en avait gardé une sinistre réputation ! Les écologistes vont-ils se mettre à son école ?
15/09/2024
moi
quelques questions : quelle sentiments avez-vous envers
les femmes ? - beaucoup de méfiance
les policiers ? - le mépris et le dégoût
les bourgeois ? - un peu d’aversion (de plus en plus d'aversion)
les musulmans ? - aucune opinion générale ! Il y en a de toutes sortes.
Les banquiers ? - ce sont les ennemis, c’est clair.
Les publicitaires ? - beurk !
Les journalistes ? - ce sont des "putes", et les agents de désinformation et de manipulation du régime comme autrefois en URSS
Quelle valeur mettez-vous le plus haut ? - la tendresse
Les choses que vous aimez ? - les caresses, la poésie, la philosophie, l’espéranto, l’histoire, les chats, les roses, les galaxies, les sciences, le rire, l’amitié
qu’aimez-vous entendre ? - au hasard : un plénum de cloches, le chant d'une grive musicienne, la musique de Scarlatti ou Geeta Chisti, France Gall, etc, etc
Comment vous définissez-vous politiquement ? - lutte des classes !
république, services publics, Bernard Friot, Asselineau bien entendu ! Et puis aussi le Pardem, et Etienne Chouard; humanisme et résistance.
Croyez-vous en Dieu ? - si on ne peut répondre que par OUI ou NON, je dirais NON. Mais en fait c’est plus compliqué. Je ne sais pas. Je suis très intéressé par Rupert Sheldrake, les EMI, les témoignages de réincarnation, les apparitions de Zeitoun, etc, et comme Jean Rostand je suis éffaré et ne comprend pas.
Vous intéressez-vous à votre monde intérieur ? Pas du tout ! Le « monde intérieur » est de toutes façons toujours beaucoup moins intéressant que le monde extérieur. Lui, oui, est intéressant.
Etes-vous pour ou contre l’avortement ? - Contre. Je suis athée, donc je suis contre la mort. Je suis contre la mort donc je suis contre l’avortement. CQFD
Que pensez-vous du bouddhisme ? - J’ai horreur de ça ! Une façon de s’euthanasier déjà de son vivant. L’amour du Néant ! Sinistre, beaucoup plus que le Théatre de l’Absurde, les philosophes de l’Absurde eux ils refusent la mort de toutes leurs forces.Votre plus grand espoir ? - non; aucun espoir.
Les scènes de films que j'ai le plus aimées et qui me hantent le plus (et qui me donnent les larmes aux yeux) :
* la scène finale de "Manhattan" , de Woody Allen https://www.youtube.com/watch?v=ylZgG5kC6cI
* la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)
* la scène finale de "Les joueurs d'échecs" ("Chatrandj ke Khilari") de Satyajit Ray. http://www.youtube.com/watch?v=8lvnl_W59IE
* ET puis le dernier paragraphe du roman de Haruki Murakami: "La course au mouton sauvage"
Autres films :
* "La Strada"
* "Central do Brasil"
* "Mon oncle" (de Jacques Tati)
Mes tableaux préférés:
* "Le chant du rossignol à minuit et la pluie matinale" de Joan Miró
* "Toutes les lumières" tableau de Paul Delvaux, peint en 1962
* "la voix du sang" de Magritte
* (ce n'est pas un tableau au sens strict, c'est une tapisserie) : "Avant l'aube" de Manessier - 1967.
Mon sculpteur préféré:
* Georges JEANCLOS
* Sabine Cherki aussi, mais il n'est plus possible de voir ses œuvres sur internet, le féminisme est passé par là, de nos jours il n'est plus permis à aucun artiste, même si elle est elle-même une femme, de représenter une femme nue !
interprêtes préférés:
* Martha Argerich
* Rosalyn Tureck
Les espèces d'oiseaux pour lesquels j'ai une attirance particulère:
* le rougequeue noir (Phoenicurus ochruros)https://www.hautetfort.com/admin/posts/post.php
* et, bien sûr, les grues
* Le merle, le chant le plus beau, et le plus créatif, sans doute de la terre entière.
* l'alouette, bien sûr
* celui de la fauvette à tête noire!
* le gazouilli des hirondelles (hirondelles de cheminée) entendu depuis chez soi perchées sur les fils électriques pour les rares qui ont encore cette chance (y en a-t-il encore seulement? ou est-ce totalement disparu? alors que pourtant ça devrait être le B-A ba dans toutes les villes !!! seuls les sales cons fascistes intolérants et ennemis de la vie qui grouillent dans la France profonde se réjouissent de leur disparition)
* le chant des martinets : mais attention à condition que ce soit dans le ciel au-dessus de villes de France ! et que ce soient de vraies villes, de vraies villes avec des églises (ouvertes) des hôtels (au choix pour toutes les bourses), des rues (sans caméras de vidéo-surveillance), des magasins, des cafés, des bancs, des vraies villes quoi ! dans un vrai pays, qu'on peut sillonner toute la journée d'une ville à l'autre sans problème par de vrais trains, dont on peut ouvrir les fenêtres, des trains qu'on prend dans des gares qui sont de vraies gares: commodes, conviviales et à visage humain, tenus par une SNCF qui ne se foutrait pas du monde et ne serait pas stalinienne.
Bref rien que des choses qui n'existent plus
Mes races de chiens préférés:
* Les colleys !!! sans hésitation. Je ne peux pas un voir un sans me sentir fondre et m'écrier "oh ! un beau gros toutou tout velu !"
les poètes français que j'aime le plus :
* Apollinaire
* Prévert
* Francis Jammes
* Norge
* Saint-John Perse
* Verlaine
* Jules Laforgue
* Jean Tardieu
et plein d'autres
les poètes étrangers:
*Xu Zhimo
*Tagore
*Trakl
*Yeats
*Juan Ramon Jimenez
*J Ringelnatz
*et Morgenstern
en Espéranto: Marjorie Boulton et Angel Arquillos
les dramaturges :
* Jean Giraudoux
* Henry de Montherlant
les romans : (voir in "livres recommandés")
*Sed nur fragmento (Trevor Steele)
*La course au mouton sauvage (Haruki Murakami)
*La femme des sables (Kobo Abe)
*En gagnant mon pain (Maxim Gorki)
*Le Château (Franz Kafka)
*Le facteur humain (Graham Greene)
*les Chroniques martiennes (Ray Bradbury)
les autobiographies:
*en n°1 ! : "Le bonheur d'être suisse" (Jean Ziegler)
ensuite:
*"Les mémoires d'outre-tombe" (Chateaubriand)
*"Mémoires d'un enfant" (Jean Dutour)
Les peintres:
* Le Lorrain
* Daumier le plus extraordinaire original et intense peintre du XIXè siècle !
* Miro
* Giorgione
* Delvaux
* Magritte
* Jesus de Perceval https://www.bing.com/images/search?q=j%C3%A9sus+de+percev...
* Feng Zi Kai
et plein d'autres
Journalistes:
* Michel Collon
* Marie-Monique Robin
* Frédéric Lordon
le seul espace de liberté d'expression, d'humanisme, de diversité, de rationalité, de CIVILISATION QUOI !!! qui rete dans le monde entier c'est :
https://odysee.com/
https://odysee.com/
tout le reste est maintenant censuré et interdit d'accès, partout il n'y a plus que le fascisme du grand capital et partout il n'y a plus moyen d'avoir aucune info sur ce qui se passe sur cette pauvre terre ravagée par leur projet d'esclavage 2.0
et il n'y a plus un seul site où règne la moindre liberté d'expression (qui était encore dans la années 70 la BA ba, la base même de l'enseignement dès le secondaire, le droit le plus sacré de toute civilisation hors des horreurs des régimes totalitaires, tel celui de la théocratie catholique ou du Mac-Carthysm
https://odysee.com/
https://odysee.com/
tout
voix d'acteurs:
* Fabrice Lucchini
* Michel Bouquet
* Claude Rich
* Suzanne Flon
* Claude Piéplu
Chanteurs/euses:
* Barbara
* France Gall
* Alain Souchon
* Nicoletta
* Aznavour
* Pierre Vassiliu
* Eddie Constantine
Tous des "vieux" ? non, aussi:
* Keny Arkana
* El Matador
* Césaria Evora
*Juliette
les femmes que je trouve le plus séduisantes :
* Annie Lacroix-Riz (si si ! absolument ! regardez-la sur ses vidéos)
* Martha Argerich
* Giulietta Massina
* Béatrice El-bèze quand elle appellait à la grève générale
* Lydia Bourguignon (au passage voici la plus instructive conférence de Claude https://www.youtube.com/watch?v=LmF06t-V13U )
) 2019 : Quels sont les personnages français contemporains vivants, que vous
considérez les plus éminents ?
euh, Bernard Friot, Etienne Chouard,
Claude Bourguignon, Jean-Pierre Petit, Dieudonné, Brigitte Bardot, et ajoutons
Giuseppe Belvedère, ce martyre de l'humanisme, ce héros, un paradigme cet homme.
Quels sont les œuvres litttéraires que vous appréciez particulièrement ?
euh, « Alcools » d’Apollinaire,
« Caligula » de Camus
« La femme des sables » de Kobo Abé
« Le Château » de Kafka
« La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami
« Memoires d’outre-tombe » de Chateaubriand
« Candide » de Voltaire
Parmis les personnages de l'antiquité dont nous sont parvenus les portraits statufiés, mon visage préféré:
* Euripide
philosophes:
* Carnéade
* Bernard Charbonneau
* Michel Weber
* Parménide
* Hobbes
* Thomas Kuhn
* Paul Feyerabend
* Blaise Pascal
* Michel Terestchenko
* Miguel de Unamuno
Publié dans Bravi abbracciatevi come eravamo abituati a fare, Films, GEORGES JEANCLOS, Ili eldetruis la domon, kie niaj koroj sangis, la vraie vie, les collabos masqués me font vomir de dégoît, libertés, Littérature - une outre de sang et de fade infini, Livres, Lutte des classes, mes aphorismes, mi iras limake, Musique, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
02/09/2024
mes aphorismes - deuxième partie
Les souvenirs il n’y a que ça de bien : les souvenirs communs, les souvenirs communs avec quelqu’un de vivant.
|
Les touristes, c’est les mouches des temps modernes, c’est les nouvelles mouches, qui volent et grouillent exactement pareil autour de tous les lieux attirants.
|
Les violences morales font beaucoup plus de mal que les violences physiques.
|
L’Europe n’est pas une expression géographique, c’est une idéologie. (celle du libéral-fascisme) Son usage est d’ailleurs fortement marqué socialement.
|
Maintenant dans le commerce on traite les clients comme sont traités les pères divorcés, c'est à dire: « aboule le fric, et casse-toi! »
|
Ne critiquez pas les innovations du modernisme : elles deviendront si vite un passé révolu qu’on regrette !
|
Ne estas vivi krom brakumo
|
On a besoin des citations comme on a besoin des étoiles. Comme on a besoin des chants d’oiseaux. Comme on a besoin la nuit de dormir avec l’air du jardin par la fenêtre.
|
On a besoin des citations pour avoir un lieu commun avec les humains, une « meïdan » ; et pour se constituer un lieu particulier à soi.
|
On a eu tort de critiquer encore et toujours, en long et en large les turpitudes du régime soviétique : ce n’était qu’un exemple, banal, parmi plein d’autres, de la perversité intrinsèque des puissants. |
On a tort de critiquer les drogues, puisque la vie humaine n’est possible que dans l’inconscience.
|
On empêche les garçons d’être câlins, à cause de préjugés ridicules et qui leur coûtent cher.
|
On est ce qu’on donne. |
On ne peut être heureux que sans y penser, et sans le vouloir. Si on recherche le bonheur on ne peut être que déçu.
|
On n’est même pas des agonisants, mais d’ores et déjà des cadavres, et la vie et le monde entier est un cadavre. Où peuvent divaguer des bouts de cendre dans un cimetière ça n’a aucune importance.
|
On ne peut jouer aux cartes avec personne ; car cette personne va vieillir, enlaidir et mourir. et pourrir à tout jamais |
On ne vit que d’équivoques et de mensonges.
|
Politiquement correct.
|
Politiquement correct. Eh ! vous savez ? : « La tolérance, c’est toujours la tolérance envers ceux qui ne pensent pas comme vous. » Eh oui ! Si ! si ! Ça vous embête, hein !?
|
Quand on achète un vêtement on achète du profit spéculatif, avec un peu de textile dedans.
|
Quelle tristesse ! Quelle douleur, d’apercevoir un beau chemin de terre filant tout droit dans la campagne et de ne pas pouvoir l’emprunter.
|
Rien n’est plus indispensable à la vie que des souvenirs partagés.
|
Sa chatte devait être amputée d’une patte avant ; pour qu’elle ne soit pas malheureuse on l’a fait « piquer » : ils font avec les animaux comme ils font avec les humains . . .
|
Sans des mains sur son visage il n’est pas possible de vivre |
Selon Kant, nous rappelle Unamuno, nous devons considérer nos proches, les autres hommes, non comme des moyens, mais comme des fins. Ce qui condamne le salariat. Mais pas l’érotisme.
|
Seul avec les animaux existent les vrais rapports humains, et l’universelle métaphysique.
|
Si l’amour que nous ressentons pour les animaux est souvent plus pur que celui qu’on porte à des humains c’est qu’il nous amène tout de suite à l’essentiel.
|
Si on veut pouvoir supporter la vie il faut ne rien en attendre.
|
Si, on ne sait pas rêver on ne vit pas.
|
Tous ceux qui sont sorti vivants de la guerre 14-18 sont morts à l’heure qu’il est.
|
Tous les japonais qui se sont extasiés devant la beauté du matin sont morts.
|
Tout le malheur de nos relations humaines vient de ce qu’on ne sait plus se donner.
|
Un être qui n’est pas caressé, n’existe pas.
|
Une maison qui n’a pas ses fenêtres ouvertes n’est pas une vrai maison.
|
Une ville où les églises ne sont pas ouvertes n’est pas une ville. Une maison dont les fenêtres ne sont pas ouvertes n’est pas une maison. Une route où on ne peut pas s’arrêter sur les bas-côtés n’est pas une route.
|
Maintenant une personne de 13 ans est considérée comme un enfant qui n’a pas le droit de faire l’amour, et qui n’est même pas considéré comme capable d’avoir un libre consentement, mais par contre il a parfaitement le droit d’être fiché par la police et d’être considéré comme un criminel ! (ficher « Edvige »). Il n’a pas le droit d’être caressé mais il peut recevoir des coups de matraques et de « taser », et être traumatisé à vie par les traitements dégradants de la police ! Ca laisse quand même rêveur. Il y a comme une inquiétante conception des valeurs, là.
|
Y’en a marre de ces bien-pensants qui « bétonnent », de ces gens heureux – mais à quel prix ? – qui s’estiment raisonnables, mais qui ne sont que médiocres et égoïstes !
|
33-45 n’était qu’un 1er essai, grossier et brutal il était voué à l’échec…. |
T |
|
|
|
|
Les poèmes qui ne méritent pas d'être appris par coeur ne méritent pas d'être lus. (et corrélativement les poèmes que vous aimez il faut que vous les appreniez par coeur)
|
V
P |
|
Publié dans mes aphorismes, mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
24/07/2024
Keny Arkana la seule, la référence de l'humanisme
les gens
- J’en ai marre des mondanités et des civilités ininterrompues de milieux populaires, qui ne sont pas moins étouffantes, ni moins artificielles, ni moins rigides, que celles des milieux « chics ».
Et puis ne vivre que pour le travail (chez soi et, accessoirement un peu au bureau) et pour les mondanités, comme ils (elles surtout) font : quelle horreur ! sans une seconde pour vivre véritablement, même un petit peu, autant se flinguer !
Et ces conversations-pieuvres omni-envahissantes et prioritaires, tellement oiseuses et conventionnelles, et vides, et sans âme aucune, sans aucun intérêt dans leur contenu ni aucune communication entre les personnes ; le silence et la solitude valent bien mieux que ce bulldozer destructeur comme une chape de béton !
- Sur le grégarisme superficiel et conventionnel des gens et leur étouffement visqueux, le vide des relations humaines de ce type hyper-dominant et de ces conversations, je ne m’appesantirai pas.
Publié dans mes aphorismes, mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
10/07/2024
la déshumanisation de l'humanité, réfléchissez
Maintenant (déjà dans les années 90, maintenant c'est encore pire) le désir sexuel est invariablement décrit comme celui d’un chien pour un bifteck, la tendresse comme une violence, la beauté comme attentatoire à la dignité de la femme, faire l’amour comme une perversion, la complicité comme une aliénation, l’attachement comme une maladie mentale !
Publié dans les paranoïas ayatollesques, mes aphorismes, mi iras limake, morale, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
10/06/2024
les morts sont encore plus précaires que les vivants
Publié dans mes aphorismes, mort | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer