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12/10/2021

Enveloppez-vous dans mon manteau de voyage La grande neige d’automne fond sur votre visage Et vous avez sommeil

Quelques extraits de mon journal intime il y a bientôt 30 ans comme je l'ai déjà dit et redit plusieurs fois !!!


16/2/1985 sur certains souvenirs récents et sur l’ONIC :

Se rendent-ils compte de ce que ça représente de vivre ça, tout seul ?

Ils (elles) me font l’effet de petites figures en carton-pâte qui s’agitent en tous sens, de puériles et inconsistantes marionnettes, sans cœur, et qui ne communiquent rien avec personne, qui échangent des lieus communs et des faux-semblants, ils jouent, avec leurs esprits égoïstes et étroits, à un jeu codé, se masquent les réalités quand elles sont gênantes, et crêvent et puis on t’enterre et puis c’est fini» chantait vers 1960 ROBERT LAMOUREUX. Et les survivants continuent de s’agiter frénétiquement et de manipuler le jeu.

 

- Avec le temps vient le moment où on n’a même plus la force de se révolter, comme ces vieillards qu’on voit évoquer leur mort en
l’acceptant, voire en la souhaitant, état ultime d’aberration et de
déchéance humaine. Déjà avec l’age l’avachissement, le dessèchement du cœur on perd la conscience des choses, même si on l’a eu étant enfant, même si on en a plus que jamais le savoir intellectuel. Et puis  quand l’expérience de la vie, le désespoir et la fatigue ont fini par tout miner, user les facultés productrices d’illusions …n'y a-t-il rien d'autre que le vide et le gâchis ? Et pourtant j'aime tellement la vie. Même si on passe à côté de tout. Même si l'immense majorité des gens sont si bêtes qu'ils lui coupent les ailes et la ratatinent d'égoïsme, de conformisme, d'inconscience et de vulgarité. Et pourtant il y a tellement de si belles choses; du langage Prolog à
l'architecture du château de Hillerød, de la morale personnaliste aux beaux gros minets.
Pourquoi faut-il que tout cela, et la vie de tous ces enfants soient dénués de tout sens !


-
Le 3 avril au soir : Pourquoi faut-il n'avoir à penser que des trucs à vous fendre le coeur ?!  enfermé de toutes parts, hermétiquement, de murs entiers de choses à fendre le coeur. Sans pouvoir y échapper, sans même pouvoir se voiler la face
ou se boucher le nez.
J'ai un coeur qui ne demande qu'à déborder de tendresse, une âme qui ne demande qu'à être aussi vaste que le Cosmos, aussi passionnée que la musique, et je suis irrémédiablement sevré de tout amour, d'espoir, de sens, autour de moi, devant moi que le vide, l'impuissance, le désespoir, le gâchis, la souffrance, et l'horreur.

 

Les chiens écrasés, cette forme de beauté, cette masse de chaleur et d’amour, de vie et de sensations qui est, là, transformée en une informe galette de sang et de boue ; De temps en temps on en rencontre Nulle part, de quelque côté qu’on tourne son esprit, dans la sphère intelligible comme dans la sphère sensible, il n’y a aucun réconfort ni aucun espoir, aucun sens, rien qui soit désirable, ni même supportable. Il n’y a aucune chaleur nulle part dans la vie, ni dans les choses, ni dans les gens, rien qu’un froid mortel. Rien que la solitude et la conscience de devoir mourir.

 

- 8/5/1985 « Manhattan », le film de Woody Allen, est passé à la télévision. C’est un pur chef d’œuvre. Je suis allé le voir 2 fois au cinéma, ça fait donc 3 fois. Et s’il repassait à Arras j’irais encore le revoir une 4ème fois. Il y aurait tant de choses à en dire. La scène finale est une des rares œuvres qui me met les larmes aux yeux. Je me souviens ça ne m’est je crois arrivé qu ‘en lisant un extrait des « Mémoires d’outre-tombe » de Chateaubriand intitulé « Un orage en Suisse ». Et une fois en lisant « Brève rencontre » de Françoise Sagan. Et au cinema la dernière scène de « Paris, Texas »

 

- Je n’essaye même plus d’entreprendre ou d’acquérir quoi
que ce soit, à quoi bon ! puisque ce ne serait que encore des fatigues et des souffrances pour un résultat nul ou une dégradation supplémentaire. Si seulement avec toutes ces fatigues, efforts, souffrances, j’obtenais quelque chose ou si la stérilité n’était que le prix du repos et de la décontraction, même pas : Toujours souffrir pour rien,  fatigues pour le gâchis, dépenses de temps et d’argent pour un mal supplémentaire.

 

- 25/5/1985 Maman ! je voudrais mourir dans tes bras, et avoir enfin la paix.
Mon Dieu, je ne veux pas mourir ! Ayez pitié de nous. J’aime ce monde.

 

- Marie-José me réécrit, après 20 ans. Dans ses lettres je lui trouve un type flamand dans le caractère (et ce n’est pas un compliment)
Tant pis ! Puisqu’elle veut bien correspondre avec moi, je vais sauter dessus comme la pauvreté sur le monde !

 

 29/6/1985 Je vis dans  la solitude et l'incomprehension.
Et pourtant je suis sentimental comme un chévrefeuille  …



Le mardi 18 juin j'ai vu le film « Les baliseurs du désert ». Je me
disais C'est de circonstance, c'est comme mes vacances (en tous cas c'est comme ma vie) on cherche on n'arrive pas à savoir quoi, mais ce n'est pas gênant, puisque que de toutes manières on ne le trouve pas ! De toutes façons, c'est pas grave parce qu'il n'y a rien à trouver.

 

- 24/6/1985 Tous les gens que je fréquente sont tellement
médiocres, que même avec les très rares avec lesquels je peux me sentir en confiance, je ne peux rien partager.
J’aurais envie de faire venir l’accordeur de piano, rien que pour voir quelqu’un de sérieux : un professionnel « sérieux » c’est de nos jours quelque chose de si rare, et pour rencontrer quelqu’un, quelqu’un, et pas ces éternelles insignifiantes pécores.

 

- 30/6/1985 Tout va encore bien, mais un jour ça ne
fonctionnera plus ; un jour mon cerveau ne sera plus irrigué, alors toutes ces nunuteries, toutes ces cocottes en papier, toutes ces petites conneries disparaîtront et le monde avec, et la passé et l’amour.

 

Développer la comparaison entre le début d’un amour et le mouvement vers Dieu.

(sauf que je ne l’ai pas fait ! une fois de plus, décidément je ne suis pas assez doué, ou surtout trop feignant, note de 2003) Sauf que Dieu ne répond pas, n'appelle pas, n’a pas de qualités à lui, pas de défauts, pas de visage unique, sacré entre mille, on ne peut pas le serrer dans ses bras, manque plus rédhibitoire qu’on ne pense, pire : il n’existe pas.



Devochelle appelait Mme D.« la môme D. »,
car il l’avait connue toute petite. Bientôt on pourra l’appeler « Mémé D. » … Plus tard on dira « C’était là qu’était enterrée Mme D. » Moi je serai mort depuis longtemps, toutes mes affaires dispersées ou jetées à la décharge. Et plus personne ne se souviendra  seulement que j’ai existé. Pas même moi ; et c’est bien là le problème ……….


Souvenirs mis par écrit le 30/12/97…

Maman était tellement fatiguée qu’elle s’endormait en tricotant ou faisant du crochet, et toutes ses mailles se défaisaient, et quand sa tête penchait et tombait en avant ça la réveillait en sursaut, et ainsi de suite.

Tous ses travaux de broderies !

Elle avait un goût prononcé, et un don, pour la peinture, et n’ayant eu aucune formation, sans calculer ni y mettre d’application comme moi, dont les résultats étaient si maladroits malgré les efforts ! (ou à cause ?), elle parvenait à de bien meilleurs résultats, sans inhibitions elle improvisait des couleurs de son cru et c’était harmonieux ; elle aurait plu aux profs des écoles de maintenant. Mais de son temps ça n’existait pas. Si elle avait pu faire des études ? Mais dans son temps et milieu c’était exclu.

Tout ça a été jeté par papa après ; je n’ai presque plus rien.

Et les radio-crochets avec Zappy Max (Il est mort.. .). Les chansons de Dalida (elle est morte ...) à la radio.

Les cha-cha-cha burlesques. Mireille.
La Marseillaise tous les soirs à minuit à la fin des émissions.

Et les concours qu’on faisait, où il fallait classer les chansons dans le même ordre de préférence que le résultat global. (On n’a jamais gagné je crois)

« Quitte ou double », « Le rêve de votre vie », (et les publicités pour  Soir de Paris de Bourgeois et Kléber-Colombes) « Accusé levez-vous ! », « Je voudrais bien savoir », et l’après-midi du jeudi entièrement consacrée à des émissions enfantines. Michel Auriac, Marianne Oswald.

Stéphane Pizella, « Au-delà des mers » et Bachir Touré, le seul comédien noir à cette époque ! encore coloniale. Les émissions en langue kabyle qu’on écoutait tous les soirs. Et les émissions polonaises de Radio-Lille. « Mouvi Paris nafari gochni Lille » (je ne garanti pas l’orthographe !) Et Simons. Et les messages aux familles des militaires en Algérie. On ne savait pas ce qui se passait réellement à l’époque.

Tout ce que maman avait, des heures durant, raonté sur son enfance, sa jeunesse, sa famille, Malincourt, et les voisins, le curé Bodchon (il y a un opuscule de lui sur Internet ! http://pagesperso-orange.fr/pierre.decaudin/malincourt/in... j’ai vu) - qu’elle critiquait tant ! - et la vie à l’époque ; que j’ai oubliés. Ce n’est plus possible de le reconstituer… plus jamais.

L’éclairage dans les campagnes avant que l’électricité ne soit installée, les lampes à pétrole, les quinquets, les saucissons et les pains de sucre candi pendus au plafond, et dont on cassait de petits morceaux pour mettre dans le café, (ça c'était avant 14) les coups de casquette de son père (une fois passé la toute petite enfance, où ils avaient le droit de tout , les enfants étaient dressés à la dure). Le tennis sport de riches, le scandale devant les premières jupes « courtes » (au genou) etc. Les zizanies, rancunes, et autres démélés dans sa famille (ce n’était pas la joie !) Sa sœur Julie morte en couches, d’hémorragie (c’est pourquoi elle-même 15 ans plus tard est allé à la maternité, et avec raison, car elle aussi a eu une hémorragie), la phlébite et la mort de son père en 41, celle de sa mère en 46 (qu'elle appelait encore dans son sommeil à près de 70 ans) l’occupation par les soldats allemands en 14, et en 40. Les « pikinini chinois » en 18, et les prisonniers russes se nourrissant de trognons de betterave en 40. L’évacuation à Binche en 1918, et la grippe espagnole.

Le vieil Auguste Wargniez, si frèle, si vieux, et sa femme Reine. A Malincourt leur maison sur la place, et son beau « jardin de curé ». Maintenant la maison est mise à louer, en langue anglaise !…  pour des touristes !….

Les dernières batteuses, que je voyais passer dans la rue à Bailleul, et les derniers chevaux de trait, de race flamande, si gros et grands. Et la baladeuse à bras dont papa se servait pour aller monter des chapelles mortuaires chez les gens. La dernière pompe à eau publique dans la rue du Musée, supprimée après 1954, 55 ?
Les séances de jogging qu’on faisait avec Claude Roatta le midi (vers 1990, on change d’époque !), et avec la fameuse Noëlle (morte subitement longtemps après en 2007) en allant à la cantine, avec les aller-retour en voiture c’était la course (en 1987-89 ?), maintenant ce serait tout à fait impossible, les déplacements en voitures en ville deviennent de plus en plus lents et difficiles, quand ce n’est pas carrèment impossibles.

Les éboueurs, vers 1960, à l’époque pas de poubelles standard, ni de benne étudiée pour, simplement un camion où les éboueurs piétinaient dans les ordures en y vidant, à la force du poignet les récipients de fortune qui servaient de poubelle. (Maintenant c’est l’excès contraire ; je ne sais pas où ça va nous mener ce caporalisme et ce totalitarisme hygiéniste qui commence à étendre sa chappe de plomb sur la société (1998, et après ...)

un hygiénisme maladif, psychotique, qui provient du cerveau malade des eurocrates de Bruxelles

 

« Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
Et leurs baisers au loin les suivent

oui, c'est tout à fait ça. Très juste comme expression.

11/10/2021

l'actuelle perversion sociologique, psychologique et idéologique (LES DEUX DERNIERS ÉTANT LA CONSÉQUENCE DE LA PREMIÈRE ! REVENEZ aux principes marxistees !) est un fait bien connu, déjà en 1975 Louis Pauwels l'avait dénoncé témoignage historique !

J’ai acheté la « Ce que je Crois » de Louis Pauwels paru en 1975. Ça « date » un peu, on y voit un discours de droite, assez timide (pas réactionnaire et TOTALITAIRE comme la droite de maintenant, Macron et compagnie) face à la bien-pensance de la gauche intellectuelle de l’époque. C’est là qu’on voit que la situation a bien changée depuis. Mais dans les pages 259 à 273 se trouve une critique fort pertinente d’une certaine haute-bourgeoisie « de gauche », qui outre d’être justifiée et de montrer que Pauwels, contrairement à l’image qu’on avait faite de lui était un humaniste du côté du peuple.

(et d’ailleurs peu de temps avant de mourir , vers 1997, il a vu le début de montée de l’actuel terrorisme intellectuel totalitaire, dans la défense qu’il a tenté des « sectes » devant l’entreprise de diabolisation/interdiction de toute pensée dissidente par « les médias » et les « instances » du pouvoir, on entrait dans l’époque actuelle ! Lui, a voulu rester digne et attaché à l’esprit de recherche vraie au risque de se faire déchirer par la meute, et même traîner en justice, par contre on ne censurait pas encore comme maintenant !!!! … mais ce n’en était plus loin.)

permet de comprendre LE DRAME DE LA GAUCHE (que je dénonce dans un article en Espéranto sur Sennaciulo sous le titre « Respndo al demando ») son pourrissement sociologique, entrainant un pourissement psychologique, puis idéologique (qui permet d’expliquer ça d’une façon très marxiste cetere ) qui l’a transformé en ramassis de bobos réactionnaires et social-traîtres (comme l’avait déjà en 1966 prévu Jacques Brel par sa chanson « Les Bourgeois ») imprégnés de racisme social (thème que j’ai abordé dans plusieurs de mes billets de blogs en français et un peu dans mon article en Espéranto à la gloire des Gilets Jaunes).

 

Extraits :

« la machine dévorante, au phantasme [hélas ce n’était pas comme le croyais ce moderniste optimiste de Pauwels au phantasme ! On ne constate de plus en plus!!!] de la robotisation » « elle nous boulottera demain »

« ils parlent d’« impératifs » techniques, qui leur enjoignent d’organiser les vies, comme les jésuites invoquaient naguère la Providence. » [cf. mes billets sur la comparaison entre l’ancienne religion et la nouvelle. Ce qui en tient lieu actuellement !]

« Mais ils partagent le sentiment de caste. La nature dirigeants les unit. »

« Quand l’architecte grand-bourgeois, ... il s’y conforte dans son mépris de l’homme quelconque »

« Il y a une fraternité sacerdotale des compétences, réelles ou prétendues. L’important est d’appartenir à la néo-aristocratie »

« Elle tient à montrer qu’elle est encore plus capable que la classe techno-politique de se couper du citoyen ordinaire. Elle veut prouver qu’elle défendra encore mieux la notion de caste. » [aussi bien que Philippe de Villiers et François Bégaudeau et, 40 ans plus tôt juste au début du phénomène, il a bien su « mettre le doigt là où ça fait mal » ! au creux du problème ]

«  le langage isolant et la pompe universitaire »

« Le « poujadisme » [à l’époque les journaputes et les Services secrets n’avaient pas encore inventé ce mot magique, pervers et manipulateur : « populisme » … ] désigne à la fois le sujet non docile et la masse non compacte. Il sert à droite comme à gauche. Il fait l’unanimité du mépris. »

 

« je crois que la politique démocratique consiste d’abord en ceci : préférer l’égoïsme des petits, souvent juste, à l’orgueil des grands, toujours illégitime. »
[il est bon de rappeler que c’est là la définition même de la gauche]

« le culturaliste [de nos jours on dirait « le bobo » ou « le diplômé de l’université »] méprise qui n’est pas de sa caste. »

« Poujadisme est la façon culturelle de dire avec dédain : peuple. »

« Poujadiste qui, appuyé sur son expérience directe [cf. ce que je dis dans mon article en Esperanto sur les Gilets Jaunes], sur sa réflexion native, récuse les compétences [un mot actuellement très à la mode !] de l’Organisation, de la Politique, des corps constitués du Pouvoir et de l’Intelligence. ….. Qui fait soi-même sa cuisine ; »

 

Lui à cela oppose « Croissez et multipliez en particularité : voilà ce que dit le Dieu démocratie »

et «le premier devoirs de l’intellectuel démocrate est de suspecter les élites constituées, à droite comme à gauche. »

Il se réclame de Rousseau « Absolument pas soumis aux pages littéraires du Monde. ….. Nullement impressionné, s’il voit à la télé des élites parisiennes faisant salon : ….

Rousseau, non plus que moi, ne souhaite le démocrate ignorant. Il célèbre le libre esprit. » et de Paul Féval ; qui disait ; « Je travaille pour des gens qui sont intelligents avant d’être sérieux, »

« Quand le citoyen est tenu pour rien[comme c’est le cas maintenant ! En fait depuis 2018] …. la liberté pourrit partout »

« L’idéologie déguisée en science »

« l’ambiance dévote » [cf. une fois de plus ce que je dis sur les avatars de la religion du « parti des prêtres » et des calotins]

« les éminences du pouvoir administratif, social, politique »

« sous prétexte qu’elles son familières de Moloch » [hcf. La comparaison que je fais depuis longtemps entre les « raisons de Sécurité » et le culte du dieu Moloch]

« Une démocratie à prééminence cuistre, qui vénère les compétences prétendues, qui bée à ses spécialistes, qui donne caution à ses directeurs ….. s’abandonne aux Dévorants. Elle n’est plus qu’un champ de bataille entre les tendances autoritaires. »

« Oui je crois à la démocratie. Je crois à la valeur de mon jugement personnel, de mes pensées de source, de mon expérience directe.
Parce que je suis démocrate, je m’oppose au magister qui me retire le libre gouvernement de moi-même »
[d’actualité ! En fait d’actualité depuis les années 80 et de plus en plus chaque jour !…..]

« Entre les leçons de la classe politique, de la classe scientiste et de la classe culturaliste, le jugement, ahuri, défaille. Il cesse d’être personnel. La tyrannie s’insinue. On croit qu’elle vient des machines. Elle vient des mots. » [moi je dirais elle vient surtout des CLASSES SOCIALES]

« C’est être démocrate que refuser tout discours qui tend à nous faire perdre, avec la foi en nous-même, le bon usage de notre privé. »

 

 

maintenant relisez les articles que j’ai consacré à ces thèmes dans des billets sur hautetfort.com et sur unblog.fr (racisme social, il y a une élite qui méprise le peuple, un train peut en cacher un autre, les diplômés de l’université, les bobos, la dérives de ce que les journaputes appellent la « gôche » etc etc)

 

 

 

09/10/2021

une citation de Marcel Aymé

extraite de son très profond livre "Uranus" (Marcel Aymé est injustement méconnu, peut-être parce qu'il est trop humain, et trop lucide, et qu'il l'a été trop tôt.)

 

"... cet impérieux sentiment d'harmonie qui vous pousse à hurler avec les loups"

 

voilà qui explique beaucoup de comportements ! entre autres des comportements contemporains.

 

J'espère que tous les irresponsables de l'opposition vont payer chèrement leur mutisme indécent depuis le 12 juillet.


remarquez que une fois de plus les "complotistes" (dixit les journaputes) avaient raison ... (ça a été comme ça aussi pour l'incendie du Reichtag ! )
(mais Même avec toutes les preuves de la provenance malhonnête de la fabrication du virus et du vaccin. Des gens continueront à croire la version officielle., ça c'est très bien expliqué par la psychopathologiste Ariane Bilheran, ce sont les gens qui, comme dirait Graham Greene "pavent l'enfer", regardez aussi la vidéo intitulée "le meurtre de l'esprit" sur les psychoses de masse, et bien sûr les articles du psychiatre Frédéric Badel, et puis souvenez-vous de la France de l'Occupation !..... les Résistants y étaient fort peu nombreux, contrairement à ce que veut nous faire croire la légende cultivée après coup, les collabos fanatiques l'étaient beaucoup plus)

04/10/2021

fini

3/9/2021 Déjà depuis plusieurs décennies on avait supprimé les églises, les gares, les hôtels, les commerces, fait mourir les cafés. Maintenant tout est disparu et interdit, il ne reste plus rien en France, les villes ne sont plus que de vastes camps de concentration et des cimetières sous les éclairages urbains et les caméras de vidéosurveillance.

03/10/2021

vous avez dit rentabilité ?

il y a des mots comme ça, que dans notre conditionnement de notre époque on croit avoir toujours existés tellement ils nous apparaissent basiques, mais qui sont en fait vachement récents.
C'est le cas de "rentabilité". Ce mot n'est apparu qu'en ..... 1927 !!!
Je ne sais pas comment on disait avant ?? car quand-même le soucis de rentabilité d'une affaire ça existait déjà !

Mais c'est un député de l'époque M. Reibel qui voulant exprimer la possibilité de faire produire à une terre un revenu régulier (ça n'est même pas le sens actuel ça !! ça dérive directement du vieux sens traditionnel de rente foncière) lors d'un débat à la Chambre, parla de "rentabilité" et à l'époque ça a été reçu comme une ridicule innovation linguistique !!!!!
le journaliste de 1927 commenta : 

"il y a eu autrefois l'invasion des barbares, celle des barbarismes continue"


comme quoi ça relativise bien des choses ! (C'est comme les "terroristes" d'une époque qui deviennent tels les gaullistes les ministres de l'époque suivante !), les nouveautés repoussées deviennent des évidences, puis un passé révolu qu'on regrette (les locomotives à vapeur, tous les écoliers ont appris le poème où Vigny se plaint de la disparition des diligences devant ces horribles et froids représentants du modernisme, dont maintenant les nostalgiques pleurent la disparition).

01/10/2021

Michelle Delaby

à l'IA j'ai connu une certaine Michelle Delaby, elle faisait du mongolfière, eh oui à l'époque le niveau de vie des français -moyens était nettement supérieur à maintenant (relisez ce que je dis d'agents niveau brevet qui avaient une résidence secondaire sur la Côte d'Azur, où ils allaient régulièrement en train-auto-couchette)!. Elle avait un don pour la édéco" éminent, et chaque année l'Amicale lui demandait de faire la déco de Noël à la caféteria, ce qu'elle faisait avec un goût exquis.

La dernière fois que je l'ai vue, il y a peut-être une douzaine d'années, elle filait du mauvais coton, elle frisait la dépression nerveuse, et elle  a parlé de tout ces "hard discount" qu""on commençait à voir fleurir partout, et c'est là que les athéniens s'atteignirent.

Oui, on en arrive au pourquoi de ce billet :
elle qui était habituée de faire ses achats dans des hypermarchés classiques, avec un certain soucis du décor et de la qualité des produits vendus, était horrifée de cette évolution, et elle a dit quelque chose comme - "je ne sais pas ce qui se passe, à quoi on est en train de nous habituer." Bref elle sentait confusément, ou nettement, je ne sais, elle le disait à demi-mots, qu'on était en train de créer des sous-supermarchés, austères et encore plus bon-marchés, parce qu'on prévoyait de faire baisser le pouvoir d'achat des français, et qu'on les habituai à se ravaler à n'acheter que de la sous-merde, à des sous-prix, dans des "hard-discount" (dont les employés sont traités comme des chiens, et encore ça c'était 12 ans avant le fascisme terroriste, covidiste et sa réduction à l'esclavage et à la déshumanisation......), si ils ravalaient la qualité des "enseignes" c'était bien parce qu'ils prévoyaient de réduire le niveau de vie des français-moyen. Elle avait bien senti ça !

 

cette femme, tout à fait française-moyenne de l'époque, et qui avait été mariée a un dépositaire en pneux, et voyait sans doute la vie du point de vue de son nombril comme une bonne-femme classique, n'avait sans-doute aucune culture marxiste, hélas, mais savait-elle que ça ça s'appelle la LUTTE DES CLASSES ? Comme a dit Warren-Buffet " la lutte des classes existe, et c'est ma classe qui est en train de la gagner"....
La crise covidiste n'est que la continuation, devenue criminelle et folle (cf Zygmunt Baumann, il avait compris) , fasciste, comme elle l'avait déjà fait dans les années 30, de cette lutte.

 

 

"Je souhaite beaucoup de malheurs et de souffrances à ceux qui veulent imposer la vaccination covid obligatoire."

c'est peut-être triste, mais MOI AUSSI !!!

29/09/2021

en 2009 ils le disaient ouvertement ! vous pensez bien que ces préoccupations se sont concrétisés, forcément !

article de 2009 paru dans The Times (publication pas vraiment « complotiste » ! ), dans lequel on découvre qu’un club de milliardaires veut lutter contre la surpopulation (et donc la réduire ?) :

« Les personnes les plus riches d’Amérique se réunissent pour discuter des moyens de lutter contre une menace environnementale, sociale et industrielle «catastrophique». Certains des plus grands milliardaires américains se sont réunis en secret pour examiner comment leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations en matière de santé et d’éducation. Les philanthropes qui ont assisté à un sommet organisé à l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement. Décrit comme le Good Club par un initié, il comprenait David Rockefeller Jr, le patriarche de la dynastie la plus riche d’Amérique, Warren Buffett et George Soros, les financiers, Michael Bloomberg, le maire de New York, et les magnats des médias Ted Turner et Oprah Winfrey. »

 

27/09/2021

les experts de l'ONU sont corrompus !

Ainsi un rapport récent a conclu que des fondations privées financent directement des experts de l’ONU pour que ceux-ci rédigent des rapports allant dans le sens voulu par ces fondations privées. Ces rapports sont ensuite promus comme des recommandations indépendantes émanant de l’ONU (ou de ses agences ! l'OMS par exemple), et repris par des gouvernements et des juridictions internationales pour soutenir ou justifier leurs décisions. Ceci est en contraction flagrante avec le code de conduite des experts et les résolutions du Conseil des droits de l’homme. Les experts devraient être indépendants, non seulement vis-à-vis des États mais aussi vis-à-vis des fondations privées qui veulent aligner l’agenda des experts sur le leur.

Un exemple parmi d’autres tiré de notre rapport : Juan Méndez, Rapporteur spécial sur la torture entre 2010 et 2016 a été en même temps membre du conseil d’administration de l’Open Society Justice Initiative[2]. L’Open Society Foundations lui a fourni un financement sur deux ans de 200 000 USD pour financer son centre de recherche l’Anti-Torture Initiative qui l’assiste dans la rédaction de ses rapports[3]. En 2015, Monsieur Méndez a reçu 90 000 USD de la Fondation Ford, pour organiser une consultation d’experts sur le thème du "genre" et de la torture[4], puis pour engager un assistant de recherche en vue de la rédaction d’un rapport sur le gender et la torture et pour en faire la promotion[5]. Le rapport officiel de l’expert sur le genre et la torture fut publié par l’ONU le 5 janvier 2016 et promeut l’avortement dans les mêmes termes que les fondations qui l’ont financé[6]. À aucun moment le Rapporteur ne fait référence à la générosité de la Fondation Ford ou de l’Open Society Foundations.

On observe à nouveau que l’Open Society et ses fondations affiliées figurent parmi les plus généreux pourvoyeurs de fonds auprès des experts du Conseil des droits de l’homme, aux côtés de la Fondation Ford.

Il ressort également de notre enquête que la situation des experts varie grandement. Certains ne sont pas financés, d’autres résistent aux propositions ou démissionnent et sont donc très heureux que le travail d’enquête de l’ECLJ voit le jour. D’autres encore semblent accepter les financements privés sans réellement comprendre en quoi cela serait problématique et d’autres enfin acceptent avec plaisir les centaines de milliers de dollars pour promouvoir des causes qu’ils partagent avec les fondations, quand bien même ces combats idéologiques iraient au-delà de leur mandat.

Dans son rapport, l’ECLJ s’attache à expliquer les causes de cette faille dans la protection de l’indépendance des experts ; pourquoi des fondations privées investissent massivement dans les Procédures spéciales de l’ONU ; pourquoi ce sont bien souvent les mêmes qui agissent auprès de la CEDH et quelles solutions seraient envisageables pour éviter cette « capture » des experts onusiens ?

alors forcèment quand il y a des milliards de profits capitalistes en jeu, comme dans l'affaire des vaccins, c'est encore pire, c'est le bon sens même.

"nous vivons des temps historiques" eh oui comme en 1933-1944, mais on s'en serait bien passé ...

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Injections-Tout-doit-partir-!:8

23/09/2021

25,3% de pétainistes en France !

72,7% des français refusent le passeport vaccinal

(une fois de plus : si nous avion le TIRAGE AU SORT, promus par Etienne Chouard, David Van reybrouck, Paul Le Fèvre et Dupuis-Déri, jamais une telle chose ne passerait, car à peu près 73% des députés tirés au sort voteraient contre)

 

On est comme en 40-44, entre les êtres humains et les âmes d'esclaves nazis il ne peut plus y avoir que le mépris et la haine.

 

la Résistance :

le vrai lien pour la vraie émisioncomplète 2 HEURES :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

pour une partie seulement de l'épission 40 minutes , sur cette saleté de totalitarisme capitaliste anglophone de Youtube

 

maintenant, cerise sur la gâteau, et c'est une sacré "cerise" je vous assure, regardez ce témoignage de quelqu'un de bien placé pour avoir une vue concrète et chiffrée (et pas trafiquable, elle !)des choses : un entrepreneur de pompes funèbres, préparez-vous, vous allez apprendre ce qu'il a constaté", et comme on dit "ça déménage" ! accrochez-vous bien :

https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/pompe-f...

22/09/2021

comment escamoter la nature de classe des problèmes en les cachant sous une lutte anti-raciste

par exemple,

Martin Luther King et l’ethnicisation du conflit social

tant qu'il s'est battu uniquement pour les noirs il a été soutenu, puis il a passé à un combat "pour les pauvres" il a été assassiné sans doute avec l'aval du président.
et  james Earl Ray, le "patsy" qu'on a condamné pour un crime qu'il n'a sans pas plus commit que Lee Harvey Oswald ou *** (ici mettez plein d'autres noms récents !) mourra sans oser parler, "on" y veillera ....

Beaucoup d'admirateurs de «MLK» doutent que son assassin soit bien James Earl Ray, ce petit délinquant raciste qui a avoué le crime, en 1968, et purge dans un pénitencier du Tennessee la peine de 99 ans à laquelle il a été condamné sans procès. Ce meurtre est, pour la plupart des Blancs, une affaire classée. Pour les Noirs, c'est une plaie toujours purulente.

En février, le juge Joe Brown a ordonné de nouveaux tests balistiques sur le fusil de James Earl Ray pour tenter d'établir si c'est bien l'arme du crime. Ces tests, effectué avec des technologies qui n'existaient ni en1968 (quand le FBI a fait son enquête initiale) ni en 1977 (quand une commission d'enquête parlementaire a rouvert le dossier), ont été jugés «non concluants» début juin. Depuis, la polémique s'est envenimée. Le 18 juin, Dexter, le fils de MLK, a déclaré sur la chaîne ABC que la famille King est convaincue de l'innocence de Ray. Ce dernier, âgé de 69 ans et miné par une cirrhose, proclame depuis sa condamnation qu'il a été poussé à faire des aveux par son avocat afin d'éviter la peine de mort, et qu'il n'a été qu'un bouc émissaire dans un complot plus vaste. Il laisse entendre qu'il pourrait parler au cours d'un procès, s'il ne meurt pas avant. L'assassinat, affirme Dexter King (sans l'ombre d'une preuve), a été le fruit d'un complot ourdi par la CIA et les services secrets de l'armée, avec la bénédiction du président Lyndon Johnson. Le juge Brown a menacé, le 11 août, de nommer un procureur indépendant, parce que «le procureur (du Tennessee, ndlr) paraît résolu à empêcher que la vérité soit mise au jour». Lequel procureur accuse Brown (lui-même noir) de partialité. Un autre magistrat de Memphis argue que Brown n'a pas de compétence pour traiter du dossier Ray, et la cour d'appel du Tennessee vient de bloquer toute la procédure.


L'ethnicisation des problèmes sociaux ou leur sexualisation , et en France on commence à voir ça orchestré massivement, a été depuis un demi siècle une ruse, un artifice pour cacher leur nature de classe, il ne faut surtout pas que le peuple comprenne il pourrait se révolter ! tandis que tant qu'on excite LES noirs LES "quartiers" LES femmes (et on nous fait plein de lois pour imposer 50% de femmes parmi les députés, mais pour corriger le fait qu'il y a 0% de députés d'origine ouvrière ça rien !), ça permet de détourner l'attention.
c'est pour ça qu'on nous rebat de plus en plus les oreilles avec LA femme, et le racisme !
 au point de faire disparaitre les combats de classe de la gauche sous ces lobbies de bourgeois communautaristes !

lisez l'article de la wikipedia on y apprend des choses qui aident à comprendre les causes ... : Martin luther king et Poor's People Campaign - assassinat 1968.doc

Pour les 50 ans du célèbre discours du pasteur Martin Luther King, nous avons eu droit au déluge attendu d’éloges dans les médias dominants. Julien Gunzinger a de Martin Luther King une image un peu différente de celle de l’icône de la résistance à l’oppression et de la paix unanimement célébrée par la presse mainstream.

La mise en orbite de Martin Luther King commence avec le plagiat de sa thèse de doctorat. Plagiat attesté par un académicien gauchiste proche de King, David J. Garrow, et confirmé par une étude de l’université de Boston. Il a pu le faire grâce à la complaisance des "leftists" qui dominaient l’université et qui le portaient à bout de bras, voyant en lui un leader noir susceptible d’entraîner les masses et donc de créer du désordre. Par ailleurs, Luther King était un dépravé notoire, adultère, grand consommateur d’alcool et de prostitués qu’il lui arrivait de battre. Ses frasques ont notamment été dénoncées par Jackie Kennedy elle-même.

Bref, le profil idéal pour être la gentille marionnette entre les mains de personnes qui se servirent de la lutte pour les droits civiques dans le sens de leurs objectifs révolutionnaires : les maîtres de la haute finance de Wall Street, qui entamaient à l’époque la liquidation de l’appareil productif américain et pour qui les tensions ethniques étaient un heureux moyen de dévier la colère sociale [1].

Les frasques de Martin Luther King relèvent de la petite histoire. Il est par contre important de comprendre que tout comme l’antiracisme et le combat contre les discriminations, depuis les années 80 en Europe, ont pour fonction de créer de la diversion et la division dans le corps social pour l’empêcher de se défendre contre les prédateurs de la haute finance, aidés en cela par les idiots utiles gauchistes, les tensions ethniques ont été avivées dans le même but dans les années 60 aux États-Unis.

Martin Luther King a participé à cette entreprise, puis il a commencé à le comprendre, au point qu’il s’était rendu à Memphis, quand il fut abattu, pour apporter son soutien à une grève de travailleurs noirs et promouvoir le mouvement syndical.

Voici ce qu’en dit William Engdahl :

« Pendant que les grandes usines fuyaient vers les zones de main-d’œuvre non-syndiquée à bon marché du Sud ou vers les pays en voie de développement, les bidonvilles, la drogue et le chômage se développaient à une échelle endémique dans les cités du Nord industriel. La politique de désinvestissement du tissu industriel promue par Wall Street commençait de montrer ses véritables effets. Les ouvriers blancs qualifiés des cités du Nord furent dressés contre les travailleurs noirs et hispaniques sans qualification, de plus en plus désespérés, confrontés à un nombre d’emplois en diminution. Des émeutes furent délibérément fomentées dans des cités industrielles, à Newark, Boston, Oakland et Philadelphie par des « insurgés » soutenus par le gouvernement, tel Tom Hayden. Il fallait détruire la puissance des syndicats industriels établis dans les cités du Nord en les stigmatisant comme racistes. Ces insurgés de commande étaient financés par le programme Grey Areas (Zones grises), soutenu par la Fondation Ford promue en modèle par le président Johnson pour lutter contre la pauvreté.

Le véritable objectif de la guerre de Johnson contre la pauvreté, opération financée par le mouvement, visait à exploiter le déclin économique créé par la politique de l’establishment anglo-américain. Il fallait briser la résistance de la population américaine face aux nouvelles réductions des salaires qui allaient lui être imposées. L’establishment financier se préparait à infliger à l’Amérique un pillage dans le style colonial britannique du XIXe siècle.

Et la manipulation de la “guerre des races” en était l’arme. »

William Engdah, « Pétrole, une guerre d’un siècle »

Julien Gunzinger

Farida Belghoul, même si elle méconnait le caractère essentiel de la Lutte des Classes, et refuse les  méthodes d'analyse MARXISTE, qui sont pourtant le BON SENS MEME ! a bien vu par contre le côté imposture et manipulation de l'anti-racisme, qui n'est qu'un rideau de fumée visant à cacher les - très réels - conflits sociaux, l'EXPLOITATION DE L'HOMME PAR L'HOMME, le cynisme totalitaire du grand cappital, qui de nos jours - crise du "Covid19" - est ent train de redevenir nazi,  sous le rideau de fumée du "racisme" ! (pareil pour le "sexisme" ! d'ailleurs )
écoutez cette noble femme passionnée :

et n'oubliez pas de refuser absolument et en tous lieux le masque de rhinocéros des décents allemands soumis qui font bien "Heil Hitler !" et le vaccin des bons aryens, qui permet de stigmatiser les porteurs d'une étoile QR-code (de quelle couleur cette fois on ne nous le dit pas) de sous-hommes non-vaccinés !
Refusez la psy-op et la manipulation, décrite par le psychiatre Frédéric Badel, lisez ses articles !

 

Le « genre », et tout ça, c’est comme le financement US des Talibans, ou celui de Hitler, c’est comme le matraquage obsessionnel sur le tabac : il fallait trouver un « rideau de fumée pour détourner l’attention des gens des vrais problèmes, les problèmes sociaux-économiques, de classe !