Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/10/2021

vous avez dit rentabilité ?

il y a des mots comme ça, que dans notre conditionnement de notre époque on croit avoir toujours existés tellement ils nous apparaissent basiques, mais qui sont en fait vachement récents.
C'est le cas de "rentabilité". Ce mot n'est apparu qu'en ..... 1927 !!!
Je ne sais pas comment on disait avant ?? car quand-même le soucis de rentabilité d'une affaire ça existait déjà !

Mais c'est un député de l'époque M. Reibel qui voulant exprimer la possibilité de faire produire à une terre un revenu régulier (ça n'est même pas le sens actuel ça !! ça dérive directement du vieux sens traditionnel de rente foncière) lors d'un débat à la Chambre, parla de "rentabilité" et à l'époque ça a été reçu comme une ridicule innovation linguistique !!!!!
le journaliste de 1927 commenta : 

"il y a eu autrefois l'invasion des barbares, celle des barbarismes continue"


comme quoi ça relativise bien des choses ! (C'est comme les "terroristes" d'une époque qui deviennent tels les gaullistes les ministres de l'époque suivante !), les nouveautés repoussées deviennent des évidences, puis un passé révolu qu'on regrette (les locomotives à vapeur, tous les écoliers ont appris le poème où Vigny se plaint de la disparition des diligences devant ces horribles et froids représentants du modernisme, dont maintenant les nostalgiques pleurent la disparition).

01/10/2021

Michelle Delaby

à l'IA j'ai connu une certaine Michelle Delaby, elle faisait du mongolfière, eh oui à l'époque le niveau de vie des français -moyens était nettement supérieur à maintenant (relisez ce que je dis d'agents niveau brevet qui avaient une résidence secondaire sur la Côte d'Azur, où ils allaient régulièrement en train-auto-couchette)!. Elle avait un don pour la édéco" éminent, et chaque année l'Amicale lui demandait de faire la déco de Noël à la caféteria, ce qu'elle faisait avec un goût exquis.

La dernière fois que je l'ai vue, il y a peut-être une douzaine d'années, elle filait du mauvais coton, elle frisait la dépression nerveuse, et elle  a parlé de tout ces "hard discount" qu""on commençait à voir fleurir partout, et c'est là que les athéniens s'atteignirent.

Oui, on en arrive au pourquoi de ce billet :
elle qui était habituée de faire ses achats dans des hypermarchés classiques, avec un certain soucis du décor et de la qualité des produits vendus, était horrifée de cette évolution, et elle a dit quelque chose comme - "je ne sais pas ce qui se passe, à quoi on est en train de nous habituer." Bref elle sentait confusément, ou nettement, je ne sais, elle le disait à demi-mots, qu'on était en train de créer des sous-supermarchés, austères et encore plus bon-marchés, parce qu'on prévoyait de faire baisser le pouvoir d'achat des français, et qu'on les habituai à se ravaler à n'acheter que de la sous-merde, à des sous-prix, dans des "hard-discount" (dont les employés sont traités comme des chiens, et encore ça c'était 12 ans avant le fascisme terroriste, covidiste et sa réduction à l'esclavage et à la déshumanisation......), si ils ravalaient la qualité des "enseignes" c'était bien parce qu'ils prévoyaient de réduire le niveau de vie des français-moyen. Elle avait bien senti ça !

 

cette femme, tout à fait française-moyenne de l'époque, et qui avait été mariée a un dépositaire en pneux, et voyait sans doute la vie du point de vue de son nombril comme une bonne-femme classique, n'avait sans-doute aucune culture marxiste, hélas, mais savait-elle que ça ça s'appelle la LUTTE DES CLASSES ? Comme a dit Warren-Buffet " la lutte des classes existe, et c'est ma classe qui est en train de la gagner"....
La crise covidiste n'est que la continuation, devenue criminelle et folle (cf Zygmunt Baumann, il avait compris) , fasciste, comme elle l'avait déjà fait dans les années 30, de cette lutte.

 

 

"Je souhaite beaucoup de malheurs et de souffrances à ceux qui veulent imposer la vaccination covid obligatoire."

c'est peut-être triste, mais MOI AUSSI !!!

29/09/2021

en 2009 ils le disaient ouvertement ! vous pensez bien que ces préoccupations se sont concrétisés, forcément !

article de 2009 paru dans The Times (publication pas vraiment « complotiste » ! ), dans lequel on découvre qu’un club de milliardaires veut lutter contre la surpopulation (et donc la réduire ?) :

« Les personnes les plus riches d’Amérique se réunissent pour discuter des moyens de lutter contre une menace environnementale, sociale et industrielle «catastrophique». Certains des plus grands milliardaires américains se sont réunis en secret pour examiner comment leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations en matière de santé et d’éducation. Les philanthropes qui ont assisté à un sommet organisé à l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement. Décrit comme le Good Club par un initié, il comprenait David Rockefeller Jr, le patriarche de la dynastie la plus riche d’Amérique, Warren Buffett et George Soros, les financiers, Michael Bloomberg, le maire de New York, et les magnats des médias Ted Turner et Oprah Winfrey. »

 

27/09/2021

les experts de l'ONU sont corrompus !

Ainsi un rapport récent a conclu que des fondations privées financent directement des experts de l’ONU pour que ceux-ci rédigent des rapports allant dans le sens voulu par ces fondations privées. Ces rapports sont ensuite promus comme des recommandations indépendantes émanant de l’ONU (ou de ses agences ! l'OMS par exemple), et repris par des gouvernements et des juridictions internationales pour soutenir ou justifier leurs décisions. Ceci est en contraction flagrante avec le code de conduite des experts et les résolutions du Conseil des droits de l’homme. Les experts devraient être indépendants, non seulement vis-à-vis des États mais aussi vis-à-vis des fondations privées qui veulent aligner l’agenda des experts sur le leur.

Un exemple parmi d’autres tiré de notre rapport : Juan Méndez, Rapporteur spécial sur la torture entre 2010 et 2016 a été en même temps membre du conseil d’administration de l’Open Society Justice Initiative[2]. L’Open Society Foundations lui a fourni un financement sur deux ans de 200 000 USD pour financer son centre de recherche l’Anti-Torture Initiative qui l’assiste dans la rédaction de ses rapports[3]. En 2015, Monsieur Méndez a reçu 90 000 USD de la Fondation Ford, pour organiser une consultation d’experts sur le thème du "genre" et de la torture[4], puis pour engager un assistant de recherche en vue de la rédaction d’un rapport sur le gender et la torture et pour en faire la promotion[5]. Le rapport officiel de l’expert sur le genre et la torture fut publié par l’ONU le 5 janvier 2016 et promeut l’avortement dans les mêmes termes que les fondations qui l’ont financé[6]. À aucun moment le Rapporteur ne fait référence à la générosité de la Fondation Ford ou de l’Open Society Foundations.

On observe à nouveau que l’Open Society et ses fondations affiliées figurent parmi les plus généreux pourvoyeurs de fonds auprès des experts du Conseil des droits de l’homme, aux côtés de la Fondation Ford.

Il ressort également de notre enquête que la situation des experts varie grandement. Certains ne sont pas financés, d’autres résistent aux propositions ou démissionnent et sont donc très heureux que le travail d’enquête de l’ECLJ voit le jour. D’autres encore semblent accepter les financements privés sans réellement comprendre en quoi cela serait problématique et d’autres enfin acceptent avec plaisir les centaines de milliers de dollars pour promouvoir des causes qu’ils partagent avec les fondations, quand bien même ces combats idéologiques iraient au-delà de leur mandat.

Dans son rapport, l’ECLJ s’attache à expliquer les causes de cette faille dans la protection de l’indépendance des experts ; pourquoi des fondations privées investissent massivement dans les Procédures spéciales de l’ONU ; pourquoi ce sont bien souvent les mêmes qui agissent auprès de la CEDH et quelles solutions seraient envisageables pour éviter cette « capture » des experts onusiens ?

alors forcèment quand il y a des milliards de profits capitalistes en jeu, comme dans l'affaire des vaccins, c'est encore pire, c'est le bon sens même.

"nous vivons des temps historiques" eh oui comme en 1933-1944, mais on s'en serait bien passé ...

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Injections-Tout-doit-partir-!:8

23/09/2021

25,3% de pétainistes en France !

72,7% des français refusent le passeport vaccinal

(une fois de plus : si nous avion le TIRAGE AU SORT, promus par Etienne Chouard, David Van reybrouck, Paul Le Fèvre et Dupuis-Déri, jamais une telle chose ne passerait, car à peu près 73% des députés tirés au sort voteraient contre)

 

On est comme en 40-44, entre les êtres humains et les âmes d'esclaves nazis il ne peut plus y avoir que le mépris et la haine.

 

la Résistance :

le vrai lien pour la vraie émisioncomplète 2 HEURES :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

pour une partie seulement de l'épission 40 minutes , sur cette saleté de totalitarisme capitaliste anglophone de Youtube

 

maintenant, cerise sur la gâteau, et c'est une sacré "cerise" je vous assure, regardez ce témoignage de quelqu'un de bien placé pour avoir une vue concrète et chiffrée (et pas trafiquable, elle !)des choses : un entrepreneur de pompes funèbres, préparez-vous, vous allez apprendre ce qu'il a constaté", et comme on dit "ça déménage" ! accrochez-vous bien :

https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/pompe-f...

22/09/2021

comment escamoter la nature de classe des problèmes en les cachant sous une lutte anti-raciste

par exemple,

Martin Luther King et l’ethnicisation du conflit social

tant qu'il s'est battu uniquement pour les noirs il a été soutenu, puis il a passé à un combat "pour les pauvres" il a été assassiné sans doute avec l'aval du président.
et  james Earl Ray, le "patsy" qu'on a condamné pour un crime qu'il n'a sans pas plus commit que Lee Harvey Oswald ou *** (ici mettez plein d'autres noms récents !) mourra sans oser parler, "on" y veillera ....

Beaucoup d'admirateurs de «MLK» doutent que son assassin soit bien James Earl Ray, ce petit délinquant raciste qui a avoué le crime, en 1968, et purge dans un pénitencier du Tennessee la peine de 99 ans à laquelle il a été condamné sans procès. Ce meurtre est, pour la plupart des Blancs, une affaire classée. Pour les Noirs, c'est une plaie toujours purulente.

En février, le juge Joe Brown a ordonné de nouveaux tests balistiques sur le fusil de James Earl Ray pour tenter d'établir si c'est bien l'arme du crime. Ces tests, effectué avec des technologies qui n'existaient ni en1968 (quand le FBI a fait son enquête initiale) ni en 1977 (quand une commission d'enquête parlementaire a rouvert le dossier), ont été jugés «non concluants» début juin. Depuis, la polémique s'est envenimée. Le 18 juin, Dexter, le fils de MLK, a déclaré sur la chaîne ABC que la famille King est convaincue de l'innocence de Ray. Ce dernier, âgé de 69 ans et miné par une cirrhose, proclame depuis sa condamnation qu'il a été poussé à faire des aveux par son avocat afin d'éviter la peine de mort, et qu'il n'a été qu'un bouc émissaire dans un complot plus vaste. Il laisse entendre qu'il pourrait parler au cours d'un procès, s'il ne meurt pas avant. L'assassinat, affirme Dexter King (sans l'ombre d'une preuve), a été le fruit d'un complot ourdi par la CIA et les services secrets de l'armée, avec la bénédiction du président Lyndon Johnson. Le juge Brown a menacé, le 11 août, de nommer un procureur indépendant, parce que «le procureur (du Tennessee, ndlr) paraît résolu à empêcher que la vérité soit mise au jour». Lequel procureur accuse Brown (lui-même noir) de partialité. Un autre magistrat de Memphis argue que Brown n'a pas de compétence pour traiter du dossier Ray, et la cour d'appel du Tennessee vient de bloquer toute la procédure.


L'ethnicisation des problèmes sociaux ou leur sexualisation , et en France on commence à voir ça orchestré massivement, a été depuis un demi siècle une ruse, un artifice pour cacher leur nature de classe, il ne faut surtout pas que le peuple comprenne il pourrait se révolter ! tandis que tant qu'on excite LES noirs LES "quartiers" LES femmes (et on nous fait plein de lois pour imposer 50% de femmes parmi les députés, mais pour corriger le fait qu'il y a 0% de députés d'origine ouvrière ça rien !), ça permet de détourner l'attention.
c'est pour ça qu'on nous rebat de plus en plus les oreilles avec LA femme, et le racisme !
 au point de faire disparaitre les combats de classe de la gauche sous ces lobbies de bourgeois communautaristes !

lisez l'article de la wikipedia on y apprend des choses qui aident à comprendre les causes ... : Martin luther king et Poor's People Campaign - assassinat 1968.doc

Pour les 50 ans du célèbre discours du pasteur Martin Luther King, nous avons eu droit au déluge attendu d’éloges dans les médias dominants. Julien Gunzinger a de Martin Luther King une image un peu différente de celle de l’icône de la résistance à l’oppression et de la paix unanimement célébrée par la presse mainstream.

La mise en orbite de Martin Luther King commence avec le plagiat de sa thèse de doctorat. Plagiat attesté par un académicien gauchiste proche de King, David J. Garrow, et confirmé par une étude de l’université de Boston. Il a pu le faire grâce à la complaisance des "leftists" qui dominaient l’université et qui le portaient à bout de bras, voyant en lui un leader noir susceptible d’entraîner les masses et donc de créer du désordre. Par ailleurs, Luther King était un dépravé notoire, adultère, grand consommateur d’alcool et de prostitués qu’il lui arrivait de battre. Ses frasques ont notamment été dénoncées par Jackie Kennedy elle-même.

Bref, le profil idéal pour être la gentille marionnette entre les mains de personnes qui se servirent de la lutte pour les droits civiques dans le sens de leurs objectifs révolutionnaires : les maîtres de la haute finance de Wall Street, qui entamaient à l’époque la liquidation de l’appareil productif américain et pour qui les tensions ethniques étaient un heureux moyen de dévier la colère sociale [1].

Les frasques de Martin Luther King relèvent de la petite histoire. Il est par contre important de comprendre que tout comme l’antiracisme et le combat contre les discriminations, depuis les années 80 en Europe, ont pour fonction de créer de la diversion et la division dans le corps social pour l’empêcher de se défendre contre les prédateurs de la haute finance, aidés en cela par les idiots utiles gauchistes, les tensions ethniques ont été avivées dans le même but dans les années 60 aux États-Unis.

Martin Luther King a participé à cette entreprise, puis il a commencé à le comprendre, au point qu’il s’était rendu à Memphis, quand il fut abattu, pour apporter son soutien à une grève de travailleurs noirs et promouvoir le mouvement syndical.

Voici ce qu’en dit William Engdahl :

« Pendant que les grandes usines fuyaient vers les zones de main-d’œuvre non-syndiquée à bon marché du Sud ou vers les pays en voie de développement, les bidonvilles, la drogue et le chômage se développaient à une échelle endémique dans les cités du Nord industriel. La politique de désinvestissement du tissu industriel promue par Wall Street commençait de montrer ses véritables effets. Les ouvriers blancs qualifiés des cités du Nord furent dressés contre les travailleurs noirs et hispaniques sans qualification, de plus en plus désespérés, confrontés à un nombre d’emplois en diminution. Des émeutes furent délibérément fomentées dans des cités industrielles, à Newark, Boston, Oakland et Philadelphie par des « insurgés » soutenus par le gouvernement, tel Tom Hayden. Il fallait détruire la puissance des syndicats industriels établis dans les cités du Nord en les stigmatisant comme racistes. Ces insurgés de commande étaient financés par le programme Grey Areas (Zones grises), soutenu par la Fondation Ford promue en modèle par le président Johnson pour lutter contre la pauvreté.

Le véritable objectif de la guerre de Johnson contre la pauvreté, opération financée par le mouvement, visait à exploiter le déclin économique créé par la politique de l’establishment anglo-américain. Il fallait briser la résistance de la population américaine face aux nouvelles réductions des salaires qui allaient lui être imposées. L’establishment financier se préparait à infliger à l’Amérique un pillage dans le style colonial britannique du XIXe siècle.

Et la manipulation de la “guerre des races” en était l’arme. »

William Engdah, « Pétrole, une guerre d’un siècle »

Julien Gunzinger

Farida Belghoul, même si elle méconnait le caractère essentiel de la Lutte des Classes, et refuse les  méthodes d'analyse MARXISTE, qui sont pourtant le BON SENS MEME ! a bien vu par contre le côté imposture et manipulation de l'anti-racisme, qui n'est qu'un rideau de fumée visant à cacher les - très réels - conflits sociaux, l'EXPLOITATION DE L'HOMME PAR L'HOMME, le cynisme totalitaire du grand cappital, qui de nos jours - crise du "Covid19" - est ent train de redevenir nazi,  sous le rideau de fumée du "racisme" ! (pareil pour le "sexisme" ! d'ailleurs )
écoutez cette noble femme passionnée :

et n'oubliez pas de refuser absolument et en tous lieux le masque de rhinocéros des décents allemands soumis qui font bien "Heil Hitler !" et le vaccin des bons aryens, qui permet de stigmatiser les porteurs d'une étoile QR-code (de quelle couleur cette fois on ne nous le dit pas) de sous-hommes non-vaccinés !
Refusez la psy-op et la manipulation, décrite par le psychiatre Frédéric Badel, lisez ses articles !

 

Le « genre », et tout ça, c’est comme le financement US des Talibans, ou celui de Hitler, c’est comme le matraquage obsessionnel sur le tabac : il fallait trouver un « rideau de fumée pour détourner l’attention des gens des vrais problèmes, les problèmes sociaux-économiques, de classe !

21/09/2021

pour moi ce fut moins dramatique dans la mesure où ça l'est depuis longtemps

14/9/2021 Le fait que justement j’ai décelé, et me suis insurgé contre la dérive fascisante et totalitaire que connaît notre civilisation depuis plusieurs décennies (Valérie Bugault est une des rares je l’ai entendu à dire que c’est le continuation d’une évolution qui dure depuis des années), que déjà depuis des années on a perdu successivement les trains, les gares, les autocars, les hôtels, les consignes à bagages des gares, les églises (toutes fermées à double tour), qu’on a vu les villes envahies de vidéosurveillance, les cartes de crédit, la privatisation de tout, les cafés, l’intrusion de plus en plus calotinesque dans nos vies, etc. Et que donc depuis longtemps déjà maintenant je ne voyage plus, je ne prend plus l’avion pour ne pas passer dans les scanner rayons X et cette ambiance, qui était déjà angoissante en 1996, que je boycotte les supermarchés, et puis les centre-villes, les magasins et les restaurants à vidéosurveillance et toute cette merde immonde à vomir, tout ce que les gens à âmes de pétainistes collabos, ce n’est que maintenant qu’on se rend compte de la filiation, acceptaient de gaîté de cœur devant mes yeux de plus en plus désapprobateurs et de plus en plus révulsés, et l’euthanasie, l’avortement jusqu’à 9 mois, et toutes les saloperies actuelles, Bref que j’ai du prendre l’habitude de renoncer, dégoutté et ulcéré, à de plus en plus de choses et de lieux, et que ça fait déjà des années que je me fais livrer presque toutes mes courses surtout depuis que la rue Méaulens qui était la seule et unique rue d’Arras qui était restée une vraie rue de ville, avec des épiceries, cafés-restaurants, un horloger, a cessé elle aussi de l’être et que ne n’y mets plus les pieds. Donc la transformation de la France pour les gens en camp de concentration, ou en France d’après le 8 juillet 1942 pour les juifs, a fait pour moi un moins grand abîme que pour les autres ; seulement accru mon mépris, ma haine, et mon désespoir envers l’avenir de la Civilisation, déjà bien développé !!

20/09/2021

analyse du Dr Badel, psychiatre

Voici le texte entier du Dr Badel – source Ici.

COVID 19 : l’imposture

Malgré les nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique, malgré des recherches mondiales tendant à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, le gouvernement maintient une pression quotidienne à grands renforts de spots alarmistes, pénétrant un peu plus chaque jour dans notre vie privée et nous préparant à une vaccination.

La peur s’est installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions.

Elle se pérennise par d’autres mécanismes qui se superposent à ceux-ci.

L’absence de sens

Dans nos démocraties, nous sommes habitués à avoir des explications qui nous permettent de donner un sens, de comprendre ce qui nous arrive, ce qui arrive aux autres, d’orienter le monde pour nous y mouvoir et nous y adapter. Pour résumer, nous pensons que les personnes que nous avons élues œuvrent pour le bien commun. C’est un monde idéal, voire idéalisé.

Actuellement, le sens a disparu car tout et son contraire est dit sur le virus, et même les chiffres, éléments objectifs, ne sont plus pris en compte.

L’annonce de la catastrophe imminente nous maintient dans la plus grande incertitude et notre horizon se restreint. Les mesures de protection sont prises sans discussion, de façon arbitraire, le peuple étant totalement exclu et n’ayant aucune remarque à formuler.

Le gouvernement décide seul, avec le conseil scientifique covid19, de ce qui est bon pour nous, ce qui doit nous protéger, quitte à nous bâillonner, nous enfermer, nous sanctionner, nous tracer, nous exclure de nos emplois. Certaines villes sont frappées de privation de vie sociale, leur vie économique est réduite, laissant de nombreuses personnes sans emploi, dans l’angoisse du lendemain. Marseille hier en est le triste exemple. Quel sens donner à des décisions iniques ?

Privés d’éléments factuels et pertinents pour donner du sens, nous sommes de plus en plus sous emprise. Or, une personne sous emprise vit dans une terreur permanente qu’elle essaie de maîtriser en s’ajustant perpétuellement à la personne qui la dirige, pensant qu’elle est responsable de la situation et que, si elle opère les ajustements corrects dans son comportement, la situation s’améliorera. N’y parvenant pas, elle se pense mauvaise, justifie les mauvais traitements et sanctions qui peuvent lui être imposés, se culpabilise et augmente ainsi l’emprise, ou reporte la faute sur le voisin qu’elle sera prompte à dénoncer. Sa faculté de penser, son identité, s’amenuisent jusqu’à disparaître. Il devient alors très difficile de revenir à l’état initial, celui d’avant la peur et l’emprise. Celui du monde d’avant.

Les études rassurantes sur l’épidémie ou celles rapportant le caractère inutile, voire nocif du confinement, sont mises en quarantaine (ex : Full lockdown policies in Western Europe have no evident impacts on the covid-19 epidemic– Thomas Meunier, 24 avril 2020. ResearchGate).

Sous emprise (orchestrée par la propagande incessante couplée à la répression), nous sommes donc prêts à agir de façon irrationnelle, à nous faire tester pour ne pas risquer d’être dangereux, pour pouvoir travailler. Si nous sommes positifs, si nous détectons dans notre appendice nasal le signe d’un contact avec le virus, nous nous mettons spontanément en quarantaine pour ne pas nuire, empêchant ainsi l’apparition classique d’une immunité collective qu’on pourrait attendre.

Les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical.

Des files d’attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatiques ; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle (Swiss Policy Research).

Ces nouvelles habitudes rentent dans les mœurs. Nous sommes les grenouilles de l’expérience de Friedrich Gold : Gold testait la rapidité du système nerveux des grenouilles en leur infligeant un stress, à savoir faire monter la température de l’eau dans laquelle elles étaient trempées. Si la température montait brutalement, la grenouille s’échappait. En chauffant l’eau très graduellement, la grenouille se laissait cuire sans bouger et on la retrouvait morte. Même prise sous l’angle de la fable, nous pouvons craindre que le feu soit doucement allumé depuis mars par un gouvernement peu soucieux de notre santé.

De nombreux médecins étant contaminés par cette peur, certains malades ne sont même plus examinés. Ils sont atteints de la monomanie covid et la défiance des patients à leur égard commence à être perceptible.

Notre monde devient inhumain : les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, pour leur bien évidemment, et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus.

Nous développons la société du sans contact. Après que le sans-contact se généralise pour les paiements, il s’immisce dans les relations, y compris familiales.

Le maintien des comportements de sécurité inadaptés permet la propagation de la peur, de l’emprise, de l’idée de la présence menaçante du virus.

Nous sommes sous emprise, ne parvenons plus à réfléchir, nous nous laissons manipuler au point de nous transformer en grenouille.

Restreindre nos libertés, sur quel fondement ?

Si les décisions de restrictions de nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques.

Après les premières erreurs d’évaluation, le tort de nos dirigeants est d’avoir persisté sciemment dans l’erreur. Pourquoi maintenir des mesures liberticides, populicides (carence de soins, retard de prises en charge, suicides…) et nous pousser vers un avenir déshumanisé dans lequel tout est considéré comme dangereux ? Pour notre bien ?

Du point de vue ontologique, ce monde vers lequel nous allons est une aberration. Nous restons mortels et ne pouvons nous protéger de notre environnement bactérien et viral qui nous fonde. Les hominidés ont toujours vécu entourés de virus ; certaines pandémies ont décimé une partie de la population mais n’ont pas éteint l’espèce. Le virus actuel est loin de posséder le caractère agressif de la peste noire de 1348.

Vivre est dangereux, vivre est mortel, l’histoire d’une vie se termine toujours de la même façon. Une question plus intéressante à débattre est de savoir comment nous comptons vivre cette vie.

Le ministre de la santé a asséné que nous devions apprendre à vivre avec le virus. M. le ministre, cela fait plus de trois millions d’années que nous faisons ainsi et en tant que médecin, vous ne l’ignorez pas. Jusqu’à aujourd’hui, cela s’est plutôt bien passé. Depuis que vous avez l’orgueil de prétendre pouvoir contrôler la propagation d’un virus, toute une population souffre.

Le port du masque est une tentative de muselage des populations : pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, à regarder l’usage qui en est fait le plus souvent, (il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche de jean), il serait rendu rapidement inopérant. Le masque est inefficace, et il est dangereux : les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines. Il est vrai que réaliser une journée dans des conditions de privation d’oxygène est risqué.

On permet ainsi à des élèves masqués d’en fréquenter 35 autres également masqués chaque jour pendant 8 heures mais on interdit les regroupements privés de plus de 10 personnes. Dans les restaurants, on permet aux clients assis d’enlever leur masque mais on impose à ceux qui sont debout ou se déplacent de le mettre etc. Il n’y a plus aucune cohérence visible dans cette accumulation anarchique de règles dites sanitaires, il n’y a plus que l’arbitraire.

Le port du masque rassurerait la population entend-on parfois. En quoi les comportements de sécurité ont-ils jamais permis d’éteindre un signal de danger ? Au contraire, ils effraient.

Un proche me disait qu’il avait été arrêté dans la rue car son masque n’était pas positionné correctement. Quelle est cette police des mœurs qui émerge, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans?

A quand la lapidation publique pour avoir invité chez soi plus de dix personnes ?

Nous sommes poussés à la délation par des instances qui ont perdu toute boussole et refusent de regarder les données scientifiques.

La manipulation des chiffres : L’automne et l’hiver sont les saisons propices aux infections ORL et pulmonaires. Nous aurons donc des malades et des morts comme chaque année. Leur décompte, couplé à la détection systématique du covid, risque de gonfler les chiffres des « morts du covid » en ne les différenciant pas des « morts avec le covid », comme cela a été fait semble-t-il en début d’année 2020. Or, « Depuis le 1er mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019, et un excédent minime par rapport à 2018 (+1%). » (cf Nombre de décès quotidiens, France, régions et départements, www.insee.fr, 18/09/2020).

Ce risque d’amalgame est du reste déjà réalisé, favorisé par l’emploi systématique du mot « cas », source de confusion. Les chiffres présentés par le gouvernement sont ainsi ceux des seuls cas positifs. Or, comme l’explique de façon simple et pédagogique le Pr. Raoult, pour interpréter un phénomène, il faut croiser différentes données. On peut parler de 16000 cas positifs sans qu’il n’y ait aucun caractère inquiétant si la létalité n’est pas supérieure à ce qu’elle est habituellement à la même période, ce que les données de l’Insee semblent attester. Quant aux 41 morts décomptés récemment comme si une catastrophe était survenue et pouvait justifier encore les restrictions qui suivaient, ils n’ont rien d’alarmant.

Alors pourquoi une telle manipulation alors même que le virus aurait connu des mutations importantes et perdu de son agressivité ? Pourquoi ne pas relayer cette information et, plutôt que d’attiser les peurs, calmer les esprits ?

Nos dirigeants ont complètement perdu le sens des réalités car ce sont pourtant ces chiffres répétés chaque jour qui permettent à Marseille de renouer avec l’époque des grandes épidémies, lorsque la ville était bouclée. Nous agissons comme au temps d’avant les lumières, d’avant la science, en plein obscurantisme moyen-âgeux.

La dictature sanitaire

Le projet est déjà bien engagé, la vaccination des professionnels de santé contre la grippe étant d’ores et déjà annoncée. En sera-t-il de même pour le Covid quand, demain, il faudra écouler le vaccin contre un virus alors qu’il a déjà disparu ? Car il faudra bien que les laboratoires aient un retour sur investissement. Le corps des soignants appartient-il au gouvernement, aux laboratoires ?

Pour la première fois de l’histoire, un vaccin va voir le jour en un an. On peut espérer que nombreux seront ceux qui douteront des conditions de sécurité de son élaboration (raccourcissement des durée des phases 1, 2 et 3), de sa tolérance et de son efficacité. Les laboratoires eux-mêmes ont du reste déjà prévenu que les premières versions ne seraient ni les mieux tolérées, ni les plus efficaces !

Osons une petite prospection, le gouvernement en fait bien depuis le début de cette crise en annonçant tous les 15 jours l’arrivée de la deuxième vague depuis avril : la pente idéologique nous conduit prochainement au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile (je vous laisse le choix de la couleur). Les applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide de votre smartphone et de votre carte vitale, la surveillance sera totale.

Ces gens qui nous gouvernent n’étant pas stupides et disposant des mêmes chiffres que nous, nous pouvons craindre le pire pour nos droits fondamentaux.

Conséquences psychiatriques à ce jour des mesures iniques et arbitraires :

Aujourd’hui en pratique clinique, je vois des patients anxieux qui auparavant allaient bien, des patients déprimés, que la perte de sens ou de travail conduit au suicide. Certains également culpabilisent de rendre visite à leurs parents, qu’ils craignent pour eux-mêmes ou pour les autres ; je vois aussi des anciens qui pleurent de ne plus avoir de contact avec leur descendance. La possibilité de se rencontrer, d’échanger, de se toucher, disparaît, les lieux festifs ferment etc.

Et je vois, comme chacun de nous, des conducteurs masqués, seuls au volant de leur voiture, des joggeurs masqués…

Le peuple se porte mal car il est maltraité. Le monde qui se dessine est un monde qu’il ne souhaite pas et d’où la vie, ou tout ce qui rend la vie passionnante, s’échappe.

Un premier pas de raison serait de mettre fin immédiatement à l’état d’urgence, de rouvrir les lieux de convivialité qui ont été fermés, de rendre facultatif le port du masque à l’extérieur, d’arrêter de tester les personnes asymptomatiques.

Dr BADEL Frédéric
Psychiatre

(Maintenant souvenez-vous de comment ça s'est passé en  Allemagne nazie en 1933 .. . il y a des comparaisons intéressantes à faire .......)

Relisez mon analyse (ou celle d'auteurs plus "côté" !  tels l'éditeur anarchiste Michael Paraire, ou le philosophe Michel Weber !) qui identifie une tendance historique "lourde" au fascisme, qui a connu sa génèse durant le XIXè sicle, et dont on a connu un premier accès virulent dans les années 30, "surfant" sur la grande peur des possédants, bourgeoisie, rentiers, konzerns, banques, devant une révolution bolchévique comme en Russie, mais dont l'essence est dans ce que Zygmunt Bauman a appelé "l'esprit de la modernité". et regardez cette discussion entre trois gars du show-biz qui ont bien compris (et le disent, et donc sont censurés ! forcément ! logique ! un enfant comprendrait !) :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

diffusez cette vidéo au maximum, (comme on faisait pour les samizdats en URSS, ou pour les numéros clandestins des journaux de la Résistance en 1942, tels France-Soir !), il faut que les gens sachent !

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Cobaye-gratuit-:8
Si certaines catégories n'ont pas leur carte du NSDAP à jour de cotisation ils perdent leur boulôt, oui, comme les juifs sous Hitler (et Pétain)

les confinement la "distanciation", les couches-culottes sur le visage, tout ça n'avait pour but que de mettre la population dans un état de psychose, pour obtenir leur acceptation de l'inacceptable :
https://odysee.com/@BobTremblay:6/8037.1:d

19/09/2021

ça Marx ne l'avait pas prévu.

1848-1881 époque des abolitions de l'esclavage

2020-2021 rétablissement de l'esclavage sur toute la planète.

(projet qui était sur les rails depuis une trentaine d'années, relisez tous mes billets, la tendance au totalitarisme était en route depuis 1978, mais personne n'a voulu s'en inquiéter !! à part moi, maintenant il est un peu tard pour s'en alarmer ..

méfiez-vous de "galops d'essai", ils se transforment un jour en réalité et ce jour-là vous vous réveillez en plein cauchemar faute d'avoir lu assez sérieusement les textes qui vous mettaient en garde !!! .) et l'opération covidiste avait déjà été tentée en 2009, mais là ça a raté, SEULE JANE BURGERMEISTER nous avait alerté, mmais là aussi les gens n'avaient pas voulu la croire, maintenant ils voient !!!

 

le livre de Jane Bürgermeister
lien ici, ci-dessus.

16/09/2021

le moteur de recherche de la lutte de classe, ça doit forcèment être un qui prohibe le tracage capitaliste

(et tout autre)

le moteur de recherche de la lutte de classe.jpg

 

*