14/10/2019
manipulation des mots - on est en plein dedans hein ?!
"L'outil de base pour manipuler la réalité est la manipulation des mots. Si vous pouvez vous rendre maître de la signification des mots, vous pouvez vous rendre maître des gens qui emploient les mots"
Philip K. Dick
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13/10/2019
C'est vraient très totalitaire comme pays - Opressant !
12/10/2019
philosophie de la vie
« il vous emmène vers une meilleure connaissance de soi » Bof ! Connerie ! Aucun intérêt ! Si il nous emmenait vers une meilleure connaissance des autres oui ou vers une meilleur (normalement il y a un e au bout d’un tel adjectif même si Libre(sic) Office l’interdit obstinément!!!) connaissance du monde, d'accord, mais de soi-même, pff ! quelle horreur. Nul ! c’est bon tout juste pour ceux qui sont focalisés sur leur nombril !
Et ça apporte quoi ? Quel plaisir ? Quel découverte ? Etc. Rien ! Nul. Rien que la règle du jeu du barbu est plus intéressante, et plus vivante.
11/10/2019
les économistes donnent une vision dégradée de l'humanité
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09/10/2019
la vie actuelle
4/9/2019 la vie moderne actuelle est devenu tellement hyper lente, qu’on ne peut plus rien faire qu’attendre, et rien d’autre, le cerveau vide, ou presque, sur son canapé, ou à errer dans son jardin - si il ne fait pas trop chaud ! - et ce pendant des mois, tout le temps, tout est toujours bloqué, pour des durées indéterminées (et indéterminables).
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07/10/2019
tout ce qui a changé depuis trente ans
17/12/2014 J'ai déjà écrit là-dessus, mais je ne me souviens pas de la date, ni des termes utilisés, aussi je ne peux retrouver le passage. Donc une des constatations que l'on fait, que l'on fait à chaque fois, ou alors que l'on fait si on essaie de faire un regard en arrière, c'est que presque tous les changements qui ont été introduits depuis disons trente ans (déjà !) que ce soit par l'Etat ou par les grosses entreprises capitalistes ont tous eu pour effet de rendre la vie plus difficile et plus précaire, plus compliquée, plus lente, moins commode, plus précaire j'ai dit, plus dangereuse, moins conviviale, plus angoissante, tout plus long, plus rare et plus difficile, plus stressant, etc. Quasiment tout ! Repassez, si vous le pouvez toutes les choses qu'on nous a changé depuis trente ans, vous verrez !
C'est tout juste si on peut trouver de temps en temps en cherchant bien deux ou trois améliorations (comme la suppression de l'obligation d'aller à la mairie faire certifier conforme à l'original les photocopies qu'on joint aux divers dossiers administratifs). Tout le reste n'a eu pour effet que de rendre la vie toujours plus pénible et plus précaire, et infiniment plus lente que dans les années 60 (j'ai connu et je peux vous assurer que la moindre démarche et le moindre fonctionnement basique public ou privé et devenu beaucoup beaucoup plus lent qu'à l'époque, et plus compliqué, et moins sûr)
un commentateur sur "réseau international aussi l'a remarqué et d'autres choses encore en plus (ce mouvement n'a pas de fin ) :
3)Et pour les technologies multimédia, en effet, le pigeon c’est celui qui est obligé de dépenser temps, papier, imprimante :
-) qui galère pendant des heures pour payer ses impôts sur le net,
-) qui passe des soirées ou des heures pour faire des tâches qui étaient il y a peu à la charge des administrations ou des entreprises,
-) qui ne peux plus téléphoner aux entreprises ou à l’administration mais est obligé de se « pastiller » des pages de sites sur le net pour obtenir … aucune réponse précise ou appropriée,
-) qui doit imprimer chez lui un nombre de plus en plus affolant de documents jadis fournis : tickets de transport, de ciné, de supermarché …
30 ans seulement
quelle destruction de notre pays !
(et une razzia capitaliste de plus en plus frénétique et éhontée de la part de la mafia qui est en train de nous voler la république)
05/10/2019
Voilà ce que c'est les femmes - voilà ce que c'est qu'un divorce pour un homme
Mendiant à Reims (eh oui … mais il y a seulement 22 ans qu’il est là je ne l’ai jamais vu …) :
L’existence de Titi sur le bitume, elle, a commencé lorsque sa femme l’a quitté avec ses deux enfants. C’était il y a vingt-deux ans, à Reims. « Cette séparation fut pour moi le début de la descente aux enfers, lâche-t-il. Je me suis vraiment retrouvé dans la merde à partir de ce moment-là. » Il n’en dira pas plus. L’événement remonte à loin, beaucoup trop loin. Il reste surtout trop douloureux à ses yeux.
voilà ce que c'est que l'administration. Voilà ce Ici l'administration allemande, (mais les autres sont-elles mieux ?) :
"Silencieusement depuis des décennies, l’Allemagne, chef de file de l’Union européenne vole des enfants. Sous le couvert du Jugendamt, l’Office de la jeunesse allemande, administration publique, l’Allemagne de Merkel enlève des enfants à leurs parents. D’après le témoignage poignant d’Olivier Renault, qui a enquêté sur les enlèvements d’enfants et qui a lui-même été victime de cette monstruosité, les enlèvements ont été postérieurs à la loi Jugendamt de 1991. La RDA pratiquait déjà ses enlèvements au détriment par exemple d’enfants de parents est-allemands et soviétiques. Tous les ressortissants étrangers qui ont des enfants avec des citoyens allemands sont menacés par sa toute puissance, car le Jugendamt ne date pas d’hier, il plonge ses racines dans l’Ordre Noir du Reich allemand
C’est durant la période du national-socialisme que le Jugendamt fut organisé pour intervenir directement dans la vie privée des citoyens allemands. Dans les années 30, les jeunes allemands furent encouragés à dénoncer leurs parents qui n’étaient pas chaud face au régime nazi. Par le Jugemdamt, les enfants aryens pouvaient être retirés à leurs parents pour de nombreuses raisons, soit qu’ils ne fussent pas de bons allemands, soit qu’ils fussent des enfants partiellement impurs, par des mariages extranationaux censés pervertir le « bon sans aryen ». Les nazis mirent en place la politique du Lebensborn, la fontaine de vie, un programme visant à purifier la population allemande et à repeupler dans le cadre des lois raciales, l’Allemagne du IIIe Reich. Entre 200 et 300 000 enfants furent ainsi volés dans le cadre du Lebensborn et confiés à des familles aryennes pures ou à des maisons spécialisées, orphelinat SS où les enfants devenaient des SS Kind. Après la guerre, les principaux chefs de l’organisation, Max Sollmann et Gregor Ebner ne furent nullement inquiétés et coulèrent des jours paisibles.
Le Jugendamt a également continué ses activités après la guerre, tournant les obstacles jusqu’à devenir une institution obligatoirement présente dans toutes les procédures judiciaires concernant les enfants, en particulier les divorces. Dans ce système, le Jugendamt s’insinuent dans la vie privée des citoyens, sociologues, psychologues, fonctionnaires du Jugendamt, ils ont tout pouvoir pour interférer dans les procédures, prendre parti pour un parent, s’emparer des enfants et peser sur les décisions de justice. Dans la seule année 2011, 12 700 parents ont été déchu de leur autorité parentale, 9 600 enfants ont vu le Jugemdamt procéder au remplacement d’un parent par un autre, selon les lois du Gender, parents n° 1 et 2, qui font qu’un parent biologique peut se trouver débouter de sa parentalité et remplacé par un quelconque quidam dans l’instant. Cette loi sert principalement à s’attaquer aux problèmes des enfants de parents de deux nationalités différentes (un allemand et un étranger), afin de favoriser délibérément les parents allemands. Dans ces procédures d’une rare violence, la Justice allemande permet à des Allemands de lancer des plaintes non fondées, de dangerosité, de violence envers le conjoint, envers l’enfant qui conduisent systématiquement à la condamnation du parent non allemand à ne plus jamais revoir l’enfant.
Les Allemands le savent, et en abusent. Le cas d’Olivier Renault est intéressant, puisque contre lui ont été mobilisés tous les moyens possibles pour casser le père et le décourager. Plaintes pour violence, plaintes pour dégâts commis dans les biens immobiliers du couple, plaintes pour harcèlement, transmission dans le voisinage, dans l’entourage de l’enfant (y compris scolaire) de fausses informations de dangerosité pour isoler l’étranger de son enfant. Laminés par un système judiciaire bien huilé, les accusés mis en demeure de se justifier ne sont en fait coupable de rien, seulement d’être face à un allemand (souvent une allemande) qui était leur conjoint et avec qui ils sont en procédure de divorce ou divorcé. Le résultat abouti toujours à des tracasseries administratives sans fin, une omerta et une complicité des administrations allemandes, de la Justice et de la Police. Au final, le parent étranger est accusé de violence, interdit d’approcher le conjoint et l’enfant à moins de 500 mètres, interdit de communiquer avec son enfant, arrêté et sérieusement inquiété au cas où il passerait outre. La récurrence de ses faits existe dans tous les cas référencés. Olivier Renault qui enquête depuis plus de 10 ans sur ces faits a recensé des centaines de cas. Ce sont souvent des pères qui en sont les victimes, il en vient de partout, de Pologne, d’Italie, de Russie, de France…
En France, quelques centaines de cas d’enfants volés sont déjà répertoriés mais les chiffres sont difficiles à confirmer, beaucoup de parents préfèrent se taire. Ils sont souvent condamnés à verser des pensions alimentaires à leur ex-femme ou époux en Allemagne, sans avoir ni le droit de parler avec leur enfant, encore moins le droit de le rencontrer. Pendant ce temps, les enfants concernés sont victimes d’un lavage de cerveau, allant jusqu’aux traitements médicaux dans le cas d’une résistance trop forte du bambin. Les parents stigmatisés sont montrés comme des monstres, dévalorisés et discrédités dans l’esprit des enfants au point d’être mis dans l’impasse de choisir leur parent allemand ou d’être à leur tour sous pression. A ce rythme, les têtes blondes ne résistent pas longtemps. Olivier Renault a relevé dans ses enquêtes le cas du Dr Chevalier, un Français dont l’enfant a vu son acte de naissance falsifié par l’Etat civil allemand, le nom de l’enfant ayant été germanisé et son lieu de naissance remplacé par une localité allemande. Le réflexe de certains parents étrangers est souvent de cesser de payer les pensions alimentaires. Sur le territoire allemand, ceci conduit à des expulsions, des peines de prison ferme, des décisions de justice visant à déchoir les travailleurs étrangers de leurs retraites pour versement à leur conjoint comme compensation. Les harcèlements judiciaires conduisent beaucoup d’autres parents à abandonner leurs biens en Allemagne, conduisant aussi à leur spoliation au profit du parent allemand. Toutefois, il est justice d’ailleurs de dire que les Allemands eux-mêmes sont victimes de tels procédés.
L’institution du Jugemdamt a commencé de mettre un pied en France par les lois de Madame Taubira. L’Allemagne est également le chef d’orchestre et maître incontesté et incontestable de l’Union européenne. Lors que les Ukrainiens se félicitent de leur alliance de circonstances avec l’Allemagne bienveillante et l’UE, ils ne se doutent pas qu’ils sont menacés par tout un panel de « progrès » de ce genre qui loin de leur apporter le bonheur civil et professionnel, va faire de ce pays une réserve d’esclaves et de ventres, un formidable terrain d’expérimentation où même en France et en Allemagne ils n’auraient pas été possible de pousser si loin ce « progressisme ». Dans les frontières de l’Europe, l’Allemagne en lançant des mandats d’arrêt européen sont à même d’aller chercher des parents étrangers jusqu’à chez eux, comme ce fut le cas d’Oliver Karrer (en 2012) et de Lionel Gilberti (en 2013), avec la complicité des autorités françaises. Andréa Wessel ex-femme d’Olivier Renault continue de porter des plaintes fantaisistes à son encontre, la dernière en date en 2015, pendant que des pères sont en prison simplement pour avoir aimé un jour une Allemande. L’Ukraine à grande échelle ne sera-t-elle pas une victime totale et globale ?
Laurent Brayard pour Novorossia Vision"
04/10/2019
Fiorile et le chômage
J'ai regardé sa vidéo sur le chômage : elle est très bien, il explique peut-être parfois maladroitement (c'est comme ses affirmations péremptoires déja signalées et il y en a d'autres, ça vient seulement d'être trop pressé de vouloir résumer ou impressionner sans faire trop attention) mais son propos est sans doute au coeur du problème. Il y a je crois la notion de survaleur dans Marx. Sa proposition est que cette survaleur soit redistribuée équitablement par l'Etat dans la société
(au fait Bernard Friot a une idée pour réaliser ça, en continuant ce que les législateurs de 1944-45 leCNR, avaient commencé en créant le "modèle français qui nous avait permis de vivre de manière civilisée et prospère durant 30 ans )
je reprends : redistribuée équitablement par l'Etat dans la société pour que les progrès de productivité aboutissent (cf aussi le fameux livre de Lafargue "Le droit à la paresse"http://classiques.uqac.ca/classiques/lafargue_paul/droit_... ) à un progrès pour tout le monde, alors que les relations de dominations dans la société ont toujours fait que cette survaleur- et les loisirs y attenant ! - ont été concentrés de tous temps sur quelques personnes qui en profitaient à plein sur le travail des autres (les propriétaires terriens, dont la fortune se calculait en xxx francs de rente, d'abord seulement les nobles puis, la bourgeoisie aussi, puis des petits bourgeois comme les fameux rentiers 1900, presque tous les personnages d'oeuvres littéraire 1900 se déclarent "rentiers", il ne leur restait plus qu'à planifier leur vie dans les cafés !, comme l'ami Fritz par exemple ou les personnages de Courteline). De nos jours on aurait les moyens d'étendre ces avantages plus ou moins à plein de gens, mais les banquiers par le prêt à intérêt s'approprient tout ce fric, qui se retrouve dans la spéculation, et transforment les gens en esclaves par la dette.
Et sa remarque sur le travail des femmes est très juste aussi. Soral (qui ne dit pas que des conneries, même si effectivement il en dit beaucoup) le fait bien remarquer dans une de ses vidéos. Les femmes au travail sont la grande victoire du capital, et permet d'imposer un système où un salaire ne suffit pas pour vivre. (ce qui était le cas dans les années 5à et 60, quand seul le mari allait dans la jungle de l'exploitation salariale pour gagner par son seul salaire assez pour faire vivre toute sa famille, maintenant que les femmes travaillent on peut baisser les salaires, et sans double salaire, une famille ne peut plus joindre le deux bouts !) économie pour le capital ! (et diminution de l'autonomie ! avant les gens cultivaient leurs légumes, faisaient eux-mêmes leurs repas, et leurs vêtements, maintenant on achète tout, économie marchande et tout ce qui s'ensuit, et les enfants sont gardés par des professionnels normalisés, etc)
En fait elle est très bien cette vidéo sur le chômage, et elle va profond.
"on a été CONDITIONNES par plusieurs siècle de mise en relation de travail= vie sociale"
ouais, c'est une vidéo capitale.
Un autre exemple où il a tendance à exagérer (pour faire du sensationalisme ?) il affirme que pendant 50 ans le club de Bilderberg est resté secret. Faux, ou qu'il n'a jamais été secret au sens strict, Gonzalez-Mata a sorti son livre (celui que j'ai, mais il en avait déjà écrit un autre avant "Cygne") en 1976, Bilderberg avait 20 ans à l'époque, où il expose en long et en large le role du Bilderberg, les noms etc, et pareil sur la Trilatérale.
Bon ce qu'il dit reste globalement sans doute vrai, et nous apprend encore plus de menaces qu'on en savait déjà. Et il explique bien.
Et sur les OGM : raison de plus pour boycotter les grandes surfaces, et manger le plus possible BIO (et cultiver son jardin si on a le courage). Et Asselineau y a pensé en voulant interdire les OGM y compris dans l'alimentation animale, où ils ne sont pas interdits et on ne les voit pas, mais quand on mange les animaux ça fait quoi ?
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03/10/2019
Il n'y a pas eu que Chavez - Velasco le Nasser Péruvien
Ne croyez pas les articles qui présentent une image péjorative de Velasco ! n'oubliez pas à quelles puissances d'argent appartiennent les grand médias ! et à quel point la Wikipédia est biaisée par de "mafias" de rédacteurs autoproclamés et de désinformateurs stipendiés.
Réfléchissez (par exemple "échec" économique, forcément si les puissances bancaires et impérialiste cherchent à étrangler l'expérience, comme ils font en coemoment au Vénézuéla !) et sachez lire entre les lignes, et retenir ce que signifient les mesures de Velasco.
http://www.jornaldearequipa.com/Volvera.htm 2015 - Pese a quen le pese Velasco volverá
Piura ha dado al Perú las dos glorias más grandes de su historia republicana, uno en cada siglo. Uno marinero: Miguel Grau, "el Caballero de los Mares" y, el otro, Juan Francisco Velasco Alvarado.
Juan Francisco Velasco Alvarado demostró no sólo valor sino también honor, generosidad y lealtad para los suyos, los más humildes, los más necesitados y desvalidos. Pero, por lo que más se recordará a este hombre será por haberse enfrentado al imperialismo y haber inculcado en nuestro pueblo el concepto de dignidad nacional, criterio que, por cierto, la burguesía parasitaria del Perú, lo que José Zuzunaga llamara lupemburguesía, no conoce, como tampoco la conocen algunos periodistas "mermeleros" que solo escriben o hablan lo que sus patrones quieren que hablen.
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Junto a Salvador Allende |
Para los que no sepan, este general del ejército peruano nació pobre y murió pobre. Vio la luz en el barrio popular piurano de Castilla el 16 de junio de 1909 en el seno de una familia de trabajadores, cursó sus estudios primarios en una escuela fiscal de Castilla y los secundarios en el colegio nacional de Piura. Al concluir la secundaria viajó a Lima para ingresar al ejército como soldado raso, voluntario, finalizando su carrera militar como presidente del Comando Conjunto de las Fuerzas Armadas del Perú. Su experiencia militar le permitió conocer el país de punta a punta, teniendo la oportunidad de constatar cómo nuestra patria era expoliada por las transnacionales, mientras un empresariado "nacional" parasitario, ocioso y subsidiario de esas transnacionales "gobernaba" la nación, para usufructo de sus patrones extranjeros.
Juan Velasco Alvarado fue el Presidente más brillante que ha tenido el Perú en toda su historia no solo porque tuvo la hombría de enfrentarse al imperialismo y a la oligarquía en un país donde la testosterona para tratar al capital extranjero es articulo de lujo. Fue brillante porque, con él se recuperaron nuestras riquezas naturales, se nacionalizaron el petróleo y las minas y fuimos potencia energética; se repartió la tierra a los campesinos; se nacionalizaron la industria pesquera y los ferrocarriles; se desarrollaron nuestra marina mercante y la aviación comercial y se dio participación a los trabajadores en las ganancias de sus empresas. Finalmente, se promulgó una avanzada Ley General de Educación que, de haber sido aplicada, hubiera cambiado la faz del país, sin embargo, un sector de profesores emprendieron una cruzada contra ella movilizando a bastos sectores del magisterio y a estudiantes secundarios y universitarios, argumentando que era una ley fascista
Sus detractores debieron quedar entre el imperialismo y los terratenientes, empresarios y banqueros; barones del azúcar y toda la burguesía expropiada. Sin embargo, fueron los revolucionarios del entonces maoísta "Partido Comunista del Perú-Patria Roja" de Rolando Breña, recién fundando, los que pusieron contra Velasco las masas descontentas de maestros y estudiantes "huantinos de corazón". Fueron ellos los que debutaron aquí, en Arequipa, con la asonada fascistona del 20 de noviembre de 1973, cuando convirtieron a Radio Universidad en la Rosa de Tokio al servicio de la mentira.
Como sucede casi siempre en la historia, la felonía y la traición -más la ayuda de estos revolucionarios- acabaron con el mejor gobierno de la historia republicana y no republicana del Perú.
El honor y la dignidad frente a este proceso son para el Partido Comunista Peruano, el partido del Senador (años después) Del Prado. Fue el PC el que se jugó todo, hasta el final, por esta revolución de la que Fidel Castro dijo "no será marxista-leninista", pero desde la perspectiva del marxismo leninismo "si, es una revolución".
El Partido Comunista tuvo que luchar en varios frentes defendiendo esta causa. Contra la derecha, contra el Apra y contra esta izquierda pervertida. Fueron los trabajadores de la CGTP y de la FDTA los que se movilizaron para salvaguardar lo conquistado. Fueron en esas movilizaciones que vimos cómo Generales (con mayúsculas) del ejército peruano como Leonidas Rodríguez Figueroa, Edgardo Mercado Jarrín, Enrique Gallegos Venero, José Graham Hurtado y Jorge Fernández Maldonado junto a Rolando Gilardi Rodríguez de la FAP, marchaban en "columnas checas" con los trabajadores, abrazados por las calles junto a Jorge Del Prado, Raúl Acosta e Isidoro Gamarra y con ellos el Embajador de Cuba revolucionaria: Antonio Núñez Jiménez.
Mientras, los discípulos de Mao vivían en las Universidades su revolución cultural proletaria cantando "veremos a Consuelo (Gonzáles, la esposa del presidente), colgada de un farol y al chino de Velasco con las tripas al sol".
La lucha de Patria Roja "contra la junta militar fascista" dio sus frutos. El 29 de Agosto de 1975, Francisco Morales Bermúdez, general borrachín y traidor, dio el golpe que los ex latifundistas impulsaron y la CIA financió. A partir de ese día el general felón empezó por desmontar toda la obra de Velasco. Y fue entonces que se devolvió todo, se remató todo, absolutamente todo fue a parar a manos de nuevos monopolios capitalistas apátridas para borrar de la memoria nacional al General Velasco. No obstante, y a pesar de todo, él vivirá eternamente en la conciencia de todos los peruanos.
Quando murió, un millón de limeños, desafiando la represión del traidor le acompañaron a su morada final.
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desde el 3 de octubre de 1968 han pasado 47 años y el prestigio de Velasco va creciendo como la gloria de Bolívar cuando el sol declina. Porque Velasco aún vive en el recuerdo de los pueblos olvidados del Perú y, más temprano que tarde, volverá, como escribiera Gustavo Valcárcel, "en el agua que besará el desierto y en el regazo de las comunidades indias". Esos versos dedicados a Mariátegui (25 años después de su muerte) y al partido comunista, sirven, perfectamente, para hoy, porque Velasco, también, volverá en el campo repartido entre los indios y en las comunidades campesinas. En el petróleo que nacionalizó y en la tierra devuelta a sus milenarios dueños.
No importa que pasen cien años, pero Velasco volverá: "en el átomo, el carbón y el hierro; en la electricidad popular llena de luces; en el maíz...". Volverá "en el rocío de la vida; en la risa marina de los negros; en el campo repartido entre los indios; en la dicha nacional de las mujeres. En la salud y el agua y en el alfabeto viviente de los libros". Volverá en las fábricas de los trabajadores que protegió con sus leyes y que hoy luchan por recuperar sus horas de trabajo o el trabajo mismo los que fueron despedidos.
Volverá en los trapiches de las haciendas azucareras de Laredo, Pomalca y Chucarapi; en Cerro Verde, Marcona y Cerro de Pasco. Y si Mariátegui, a decir de Gustavo Valcárcel, deberá volver sobre los hombros gloriosos del Partido Comunista, Velasco volverá sobre los hombros de los trabajadores petroleros de Talara y los pescadores de Chimbote.
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Arequipa, 20 de noviembre de 1973: asonada fascistona contra el General Velasco |
Finalmente, volverá sobre los hombros de su tropa y sus reservistas. Volverá en los lomos fieros de los trabajadores arequipeños que en junio del 2002 se levantaron contra la privatización de sus empresas y en los puños encrespados de los campesinos de Cocachacra que pelean hoy para que la Southern no les envenene ni el aire ni el agua ni la tierra.
Y volverá para quedarse, por más obstáculos que le pongan los felones, los de siempre, los que lucran con el dolor ajeno y los que se venden diariamente a Cerro Verde. Velasco volverá con su cuerpo completo y su espíritu intacto.
(Escrito originalmente para La Jornada, publicación de la FDTA, de Octubre del 2003)
01/10/2019
Un livre dur, comme notre condition, mais capital
« La femme des sables » de Kobo Abé
C'est bien sûr, on s'en apperçoit rapidement, une parabole de la condition humaine. C'est une espèce de Kafka japonais, ou Beckett, il y a aussi comme un parfum de Camus ou de Saint-Exupéry (l'allumeur de réverbère dans le Petit Prince)
ici présenté par Max-Paul Fouchet http://www.ina.fr/video/I10103489 (à qui on peut seulement reprocher vers la fin sa tentative ridicule d'ethniciser Kobo Abé, la recherche raciste et infantile des occidentaux du temps passé à se polariser sur les différences entre LA pensée japonaise et LA pensée occidentale, conneries ! Surtout pour cette oeuvre, elle est, hélas, on ne peut plus essentielle et universelle : il n'y a qu'une seule et même condition humaine)
c'est un livre capital, un des classiques éternels de la littérature mondiale. Achetez-le, il peint votre sort, et sans doute votre atttitude, je vous le souhaite, car c'est une sorte de rédemption de Sysiphe par l'amour, physique, on pense à la philosophie de Schopenauer là, et moral aussi, profondément.
un livre à ajouter bien sûr au livres recommandés http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/09/13/liv... )