27/10/2019
Une analyse marxiste du monde des universitaires s'impose
dans ce lien : https://fr.wikiversity.org/wiki/Recherche:LENR/%C3%89tude...
on voit un autre cas de ce principe "marxiste" : les idées sont conditionnées par les conditions matérielles de vies de ceux qui les produisent, par leurs interêts financier, leur situation dans la processus de production. Pareil pour la recherche. Et le blocage psychologique et social que les modes ou antimodes causent !
Problématique et enjeux de la recherche
Le domaine des transmutations biologiques est très peu étudié par les chercheurs. Surtout à cause de la contradiction entre la théorie actuelle des phénomènes nucléaires et les expérimentations en transmutation biologique. Mais aussi parce qu’il ne semble pas actuellement valorisant ou attrayant financièrement.
Les difficultés des chercheurs semblent être :
- Un domaine non financé par les organismes de recherche
- Des sujets de recherches dont les budgets ne semblent pas suffisants
- Le risque de se marginaliser par des sujets d'études peu répandus
- Le risque de se déconsidérer en se reliant à des concepts scientifiquement rejetées depuis longtemps
et cette citation de Dean Radin :
"les gens du métier savent trop bien qu'une curiosité [remarquez bien rien qu'une curiosité suffit, alors que la curiosité c'est quand-même le BA ba sine qua non de l'esprit scientifique ! en théorie ...]curiosité pour la "pseudo-science" suffit à ce que les crédits de recherche tarissent, à ce que les revues refusent de publier leur communications et que les postes universitaires [donc les copieux salaires afférents !] deviennent mystérieusement inaccessibles"
et un commentateur anonyme sur Internet résume bien le problème question constat et question causes du phénomène .... ..
"mounproject 5 months ago : Clair, le mec n' a vraiment rien compris comment l' université peut détruire votre esprit conceptuel et faire de vous un bon vendeur de salade. Malheureusement, faut bien gagner sa croute"Maintenant un cas pratique édifiant :Jean-Pierre Petit (né en 1937, 82 ans)
Regardez sur internet vous trouverez des vidéos à propos de JP petit, de l'attitude des "pontes" hyper-friqués, hyper élevés dans la hiérarchie, rien que des sommités, avec derrière eux (et devant !!!....) une super carrière (avec sans doute plein d'avantage financiers à la clé, sur les quels on jette toujours un voile pudique !) et de super-postes prestigieux, Elbaz, et Klein pour ne pas les nommer, à quel point dès qu'on leur pose la question « et que pensez-vous de la théorie de Jean-Pierre Petit ? » jusque là si brillants, si AU FAIT de tout, ils se mettent à begayer lamentablement ! à ne pas savoir comment éluder la question, euh euh, je ne suis pas bien au courant, euh je ne suis pas autorisé à en parler, a fini par lâcher Klein.
Or comme j'ai dit ce sont des gens avec des postes et des renommées au sommet, on imaginerait - là aussi naïvement ! - qu'ils devraient se sentir plus sûrs et plus libres de parler que les autres. Eh bien non !! c'est le contraire !! plus ils ont une belle carrière, plus ils ont de FRIC , plus ont à PERDRE si jamais ils se retrouvent blacklistés par leurs confrères !!!
La preuve que c'est bien ça leur motivation, et la raison de leur comportement, a contrario la voilà : avec JPP travaillent 2 personnes, l'un d'eux est son vieil ami (un VRAI ami !) Gilles d’Agostini 61 ans, en n'en parle pas. ET la seconde est une jeune (la 30-aine) prof de math belge, qui n'a PAS DE POSTE UNIVERSITAIRE (elle enseigne en lycée) donc pas de brillante (et rémunératrice ...) carrière à ménager !!!! Donc elle elle peut se permettre d'être courageuse, on ne peut pas lui briser sa carrière universitaire, ni ses colloques (tous frais payés plus les a -côtés ! voir le roman de David Lodge "un tout petit monde" ). Donc elle peut se sentir libre.
CQFD !
et on s'imaginerait naïvement que la principale préoccupation des scientifiques de haut niveau est la vérité, que non ! c'est leur carrière personnelle à eux ! (et tous les avantages qui vont avec). Et c'est une des raison pourquoi les intellectuels ne sont contrairement à ce qu'on pourrait croire naïvement, pas plus libres d'esprit que le peuple, mais moins ! et beaucoup plus conformistes, panurgiques, claniques, terrorisme intellectuel, bornés, petits cucubes à la momode.
ça se confirme !!!
voilà ce que je trouve, dans un forum, c'est JPP qui parle :
"Je bosse avec la mathématicienne Nathalie Debergh. Quelle différence, humainement ! Rigueur, honnêteté, humanité, courage, humour, et passion, aussi. Ce qu'il faut pour se trouver éjectée de l'université de Liège. Car, qu'on ne s'y trompe pas, c'est partout pareil. Avec des états de service impressionnants, un esprit exceptionnellement brillant, elle s'est vue barrer l'entrée de l'université. Elle est prof dans une école technique, enseigne à des institutrices et des étudiants en agronomie (…).Dans ces milieux, quand on a décidé de faire tomber quelqu'un, on fait tout pour que la personne ainsi condamnée n'en ait pas conscience.
Alors que ces gens savent pertinemment qu'elle a été "condamnée" par la maffia locale parce que trop brillante, parce qu'elle appelle un chat un chat, parce que ses exceptionnelles qualités font de l'ombre aux autres. Dans le monde de la recherche, être brillant est plus un handicap qu'un avantage. Quand on est comme Nathalie, on ne voit pas le coup venir. On est plongée dans ses recherches. On produit à tout va (cent articles parus dans des revues top niveau). Jusqu'au jour où c'est la dernière année. Où l'université a choisi un "profil" tel que ses compétences ne puissent parce que trop brillante, parce qu'elle appelle un chat un chat être prises en compte. Alors c'est la porte. Retrouver un job n'importe où, tant bien que mal.Moi je m'en suis sorti parce que je me suis toujours efforcé d'anticiper. Sauf la fois où la DG du Cnrs m'avait viré de l'observatoire par lettre de cachet. Je ne pensais pas qu'ils auraient été jusque là. Je pense à James Lequeux, complice de cette opération de "prophylaxie". Lequeux, qui disait qu'il avait le cuir aussi épais que celui d'un rhinocéros. Mais j'ai échappé à ce coup là aussi. Depuis, je n'ai que mépris pour cette institution qu'est le Cnrs, dont la devise devrait être " Je ne veux pas le Savoir". Des structures qui fonctionnent comme la Maffia.
Vous savez pourquoi Nathalie a pris contact avec moi ? Elle m'a dit "j'ai découvert en vous un type intègre. Et ça ne court pas les rues dans le monde université-recherche". Le résultat de cette collaboration a été un super papier en mécanique quantique.
Qu'est-ce que je fais, maintenant ? Je me tourne vers Nathalie. Nous échangeons. J'ai basculé dans la géométrie symplectique. Passionnant, et à terme utile. ’il ne semble pas actuellement valorisant ou attrayant financièrement."Au mieux ils sont lâches"
un médecin,depuis 30 dans la recherche pharmaceutique, et qui, prudemment ! cache son nom, dit dans un interview :
"les mœurs de cour qui sont habituellement la norme dès lors que l’on s’élève, en France, dans l’échelle hiérarchique."
voilà ! ça explique le paradoxe des intellectuels que j'ai mis 20 ans à découvrir àla fin du XXè siècle à la lecture assidue du quotidien "Le Monde". j'ai fit un billet là-dessus, (plus un article en espéranto dans "Sennaciulo") retrouvez le lien !
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04/10/2019
Fiorile et le chômage
J'ai regardé sa vidéo sur le chômage : elle est très bien, il explique peut-être parfois maladroitement (c'est comme ses affirmations péremptoires déja signalées et il y en a d'autres, ça vient seulement d'être trop pressé de vouloir résumer ou impressionner sans faire trop attention) mais son propos est sans doute au coeur du problème. Il y a je crois la notion de survaleur dans Marx. Sa proposition est que cette survaleur soit redistribuée équitablement par l'Etat dans la société
(au fait Bernard Friot a une idée pour réaliser ça, en continuant ce que les législateurs de 1944-45 leCNR, avaient commencé en créant le "modèle français qui nous avait permis de vivre de manière civilisée et prospère durant 30 ans )
je reprends : redistribuée équitablement par l'Etat dans la société pour que les progrès de productivité aboutissent (cf aussi le fameux livre de Lafargue "Le droit à la paresse"http://classiques.uqac.ca/classiques/lafargue_paul/droit_... ) à un progrès pour tout le monde, alors que les relations de dominations dans la société ont toujours fait que cette survaleur- et les loisirs y attenant ! - ont été concentrés de tous temps sur quelques personnes qui en profitaient à plein sur le travail des autres (les propriétaires terriens, dont la fortune se calculait en xxx francs de rente, d'abord seulement les nobles puis, la bourgeoisie aussi, puis des petits bourgeois comme les fameux rentiers 1900, presque tous les personnages d'oeuvres littéraire 1900 se déclarent "rentiers", il ne leur restait plus qu'à planifier leur vie dans les cafés !, comme l'ami Fritz par exemple ou les personnages de Courteline). De nos jours on aurait les moyens d'étendre ces avantages plus ou moins à plein de gens, mais les banquiers par le prêt à intérêt s'approprient tout ce fric, qui se retrouve dans la spéculation, et transforment les gens en esclaves par la dette.
Et sa remarque sur le travail des femmes est très juste aussi. Soral (qui ne dit pas que des conneries, même si effectivement il en dit beaucoup) le fait bien remarquer dans une de ses vidéos. Les femmes au travail sont la grande victoire du capital, et permet d'imposer un système où un salaire ne suffit pas pour vivre. (ce qui était le cas dans les années 5à et 60, quand seul le mari allait dans la jungle de l'exploitation salariale pour gagner par son seul salaire assez pour faire vivre toute sa famille, maintenant que les femmes travaillent on peut baisser les salaires, et sans double salaire, une famille ne peut plus joindre le deux bouts !) économie pour le capital ! (et diminution de l'autonomie ! avant les gens cultivaient leurs légumes, faisaient eux-mêmes leurs repas, et leurs vêtements, maintenant on achète tout, économie marchande et tout ce qui s'ensuit, et les enfants sont gardés par des professionnels normalisés, etc)
En fait elle est très bien cette vidéo sur le chômage, et elle va profond.
"on a été CONDITIONNES par plusieurs siècle de mise en relation de travail= vie sociale"
ouais, c'est une vidéo capitale.
Un autre exemple où il a tendance à exagérer (pour faire du sensationalisme ?) il affirme que pendant 50 ans le club de Bilderberg est resté secret. Faux, ou qu'il n'a jamais été secret au sens strict, Gonzalez-Mata a sorti son livre (celui que j'ai, mais il en avait déjà écrit un autre avant "Cygne") en 1976, Bilderberg avait 20 ans à l'époque, où il expose en long et en large le role du Bilderberg, les noms etc, et pareil sur la Trilatérale.
Bon ce qu'il dit reste globalement sans doute vrai, et nous apprend encore plus de menaces qu'on en savait déjà. Et il explique bien.
Et sur les OGM : raison de plus pour boycotter les grandes surfaces, et manger le plus possible BIO (et cultiver son jardin si on a le courage). Et Asselineau y a pensé en voulant interdire les OGM y compris dans l'alimentation animale, où ils ne sont pas interdits et on ne les voit pas, mais quand on mange les animaux ça fait quoi ?
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12/07/2019
"mais non tu ne vas pas mourir" qu'elle me disait (LW 1907-1976)
Une fois que comme d'habitude durant mon enfance j'avais été épouvanté de ma condition mortelle, maman avait fini par me faire avouer à forces de questions que j'avais eu "peur de mourir", mais avec toujours cette naïveté vraiment "bouchée" typique des adultes, elle croyait que ce dont j'avais peur c'est de mourir, là, maintenant, tout de suite, comme si ça faisait une différence de mourir maintenant ou de mourir un jour x années plus tard !! ("même à 100 ans" comme disait Leny Escudéro)
Et elle me consolait en me disant "tu ne mourra pas". Et dans ces cas là on est assez faible pour se laisser bercer le coeur de ces vaines paroles, quand ils viennent d'une maman.
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18/06/2019
les gilets jaunes : ce mouvement de contestation nous a permis de grandir intellecuellement et humainement
(et il a aussi permis aux hommes du pouvoir de se rabaisser sans limite et de montrer toute leur immonde vilénie !)
lien LIBRE de la vidéo : https://ytube.tv/watch?v=8_57S4A4INQ
lien LIBRE : https://ytube.tv/watch?v=FmJ07fDvaJY
ALERTE !
alerte ! il ne fallait pas baisser les bras !
Le régime profite maintenant que le mouvement des gilets jaunes s'affaiblit, pour déclencher la terreur, une campagne systématique de fichage, d'intimidation de répression totalitaire tous azimuts !
texte d'un scientifique habitant Pertuis dans le Vaucluse:
"17/6/19 : Pertuis, Vaucluse (où il n'y a strictement jamais eu de débordements, de dégradations) la chaîne de magasin qui avait prêté un local l'a finalement récupéré après trois mois en s'assurant contre une nouvelle occupation des locaux. Les gendarmes effectuent maintenant des visites à domicile (...) chez des militants Gilet Jaunes de la première heure, qui ont par exemple occupé des péages et qui semblent s'être détournés du mouvement. Comme récemment chez un ouvrière de 42 ans. Il manient consciencieusement l'intimidation et la recherche de témoignages: "qui étaient les meneurs ? Pouvez-vous donner des noms?". On assiste à une fascisation et à un ficheage généralisé. Si vous avez participé à une manifestation, vous aurez été photographié. Vous êtes donc fiché(e). La gendarmerie est donc tout à fait à même de vous rendre visite à tout moment. Si nous ne protestons pas contre ces méthodes, le fait de manifester (ou de demander un réferendum), de porter un gilet jaune (ou une cravate de même couleur) seront considérés, sinon comme des délit, du moins comme une excellent raison de vous ficher et d'exercer des pressions sur vous. Votre gendarmerie s'en chargera en obéissant consciencieusement aux ordres du parquet. Le pouvoir a les hommes, les informations (sur vous), l'argent, les lois et la presse. Quelque chose est en marche d'extrêmement inquiétant. Une "dictature douce" dit Michel Onfray. Est-ce que vous vous en rendez compte ? Non, sans doute. Ne comptez pas sur votre presse, sur vos médias pour monter aux créneaux. Les Gilets Jaunes de Pertuis ont prévu le samedi 29 juin une manifestation depuis le rond point du Magdonald (départ vers 18 heures) jusqu'au Palais de Justice pour dénoncer ces mesures d'intimidation. J'y serai."(J-P Petit)
24/05/2019
André Cherpillod
Cherpillod vere traktis plej diversajn temojn ! Ĉi libro, kiel ĉiam ĉe Cherpillod ege detala informita kaj metode prezentita, estas des pli interesa kaj konvinkiga, ke Cherpillod tute ne estas dikredanto, kaj nur per raciaj konsideroj de centoj da detaloj (plej gravas la detaloj en tiu afero, kiel videblas en la libro), li konkludas por la malfalsecon.
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21/05/2019
histoire des comportements humains
une expérience qui permet de comprendre le fonctionnement des sociétés humaines, la formation et la pérennité des civilisations, des morales, des normes sociales, des religions, des théories scientifiques, et bien d'autres choses encore !
Le Théorème du singe
Mettez vingt chimpanzés dans une chambre.
Accrochez une banane au plafond et mettez une échelle permettant d’accéder a la banane.
Assurez vous qu’il n’y a pas d’autre moyen d’attraper la banane que d’utiliser l’échelle.
Mettez en place un système qui fait tomber de l’eau très glacée dans toute la chambre des qu’on commence a escalader l’échelle.
Les chimpanzés apprennent vite qu’il ne faut pas escalader l’échelle.
Arrêtez le système d’eau glacée, de sorte que l’escalade n’a plus son effet gel.
Maintenant remplacez l’un des vingt chimpanzés par un nouveau. Ce dernier va chercher a escalader et sans comprendre pourquoi, se fera tabasser par les autres.
Remplacez encore un des vieux chimpanzés par un nouveau. Ce dernier se fera encore tabasser, et celui qui a été introduit juste avant lui ne sera pas le dernier à le frapper.
Continuez le processus jusqu’a ce qu’il n’y ait plus que des nouveaux.
Alors aucun ne cherchera a escalader l’échelle et si jamais il y en a un qui pour une raison quelconque ose y penser, il se fait massacrer illico presto par les autres.
Le pire, c’est qu’ aucun des chimpanzés n’a la moindre idée sur le pourquoi de la chose.
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06/05/2019
les CCP
13/2/2019 j’ai reçu ce matin mon relevé du 7/2, donc 6 jours après la date. Autrefois les CCP, service public géré par des fonctionnaires, envoyait un relevé à chaque opération, et avec de courts délais (comme tous les délais postaux d’ailleurs, qui arrivaient dans les 24 heures) et le tout GRATIS. Alors que les avides et cyniques, de plus en plus cyniques, de plus en plus avides, de plus en plus menteurs, pratiquant de manière de plus en plus agressive la lutte de classe anti-peuple, et l’exploitation de leurs clients (autrefois on disait « le client est roi »maintenant les clients sont réduits à l’état d’esclaves, et sont traités comme on traite les pères divorcés!) banquiers privés qui ont volé les CCP sur l’injonction de la Commission « européenne » font payer ! Pour un service dégradé. Et ce relevé, occupé pour moitié par de la PUB, déborde sur deux feuillets et oblige les pauvres détenteurs de compte à passer leur temps à les découper et recoller pour en faire un relevé présentable et rangeable !
Autrefois ils savaient le faire fiable commode et gratis, maintenant à plus forte raison, informatisés, et avec des techniques d’impression de moins en moins chères, il pourraient encore plus facilement ! Alors pourquoi? Ben, le rapport de forces de la lutte des classes a changé, l’URSS est tombée, et depuis 30 ans les capitalistes sont devenus de plus en plus cyniques, de plus en plus avides, de plus en plus arrogants, et ont de plus en plus captés tous les pouvoirs, et ont transformé l’ex-République française en une baraque de camp de concentration à leur service, via la fameuse « Union européenne », ce « puissant levier » , comme disait le Président du medef il y a 20 ans.
20/04/2019
le seul commentaire non insignifiant
sous cette très belle vidéo :
a été posté par "Anonyme Anonyme", qui a dit :
This song makes me feel extremely depressed. I'll never be touched by the Grace of God.
pari de Pascal - Un texte incontournable qu’il faut connaître, et sur lequel il faut se positionner et méditer, SERIEUSEMENT, pas seulement comme un texte littéraire
"Penser à Dieu est une action"
(Joubert)
Pascal – le pari
- Examinons donc ce point, et disons : « Dieu est, ou il n'est pas. » Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se joue un jeu, à l'extrémité de cette distance infinie, où il arrivera croix ou pile. Que gagerez-vous ? Par raison, vous ne pouvez faire ni l'un ni l'autre ; par raison, vous ne pouvez défendre nul des deux.
Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car vous n'en savez rien.
- « Non ; mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix, mais un choix ; car, encore que celui qui prend croix et l'autre soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est de ne point parier »
- Oui ; mais il faut parier. Cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager :
votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature a deux choses à fuir : l'erreur et la misère.
Votre raison n'est pas plus blessée, en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter.
- « Cela est admirable. Oui, il faut gager ; mais je gage peut-être trop. »
- Voyons. puisqu'il y a pareil hasard de gain et de perte, si vous n'aviez qu'à gagner deux vies pour une, vous pourriez encore gagner ; mais s'il y en avait trois à gagner, il faudrait encore jouer (puisque vous êtes dans la nécessité de jouer), et vous seriez imprudent, lorsque vous êtes forcé de jouer, de ne pas hasarder votre vie pour en gagner trois, à un jeu où il y a pareil hasard de perte et de gain. Mais il y a une éternité de vie et de bonheur. Et cela étant, quand il aurait une infinité de hasards, dont un seul serait pour vous, vous auriez encore raison de gager un pour avoir deux ; et vous agiriez de mauvais sens, en étant obligé à jouer, de refuser de jouer une vie contre trois à un jeu où d'une infinité de hasards il y en a un pour vous, s'il y avait une infinité de vie infiniment heureuse à gagner. Mais il y a ici une infinité de vie infiniment heureuse à gagner, un hasard de gain contre un nombre fini de hasards de perte, et ce que vous jouez est fini. Cela ôte tout parti : partout où est l'infini, et où il n'y a pas infinité de hasards de perte contre celui du gain, il n'y a point à balancer, il faut tout donner. Et ainsi, quand on est forcé à jouer, il faut renoncer à la raison pour garder la vie, plutôt que de la hasarder pour le gain infini aussi prêt à arriver que la perte du néant.
Car il ne sert de rien de dire qu'il est incertain si on gagnera,
et qu'il est certain qu'on hasarde, et que l'infinie distance qui est entre la certitude de ce qu'on s'expose, et l'incertitude de ce qu'on gagnera, égale le bien fini, qu'on expose certainement à l'infini, qui est incertain. Cela n'est pas ; aussi tout joueur
hasarde avec certitude pour gagner avec incertitude ; et néanmoins il hasarde certainement le fini pour gagner incertainement le fini, sans pécher contre la raison. Il n'y a pas infinité de distance entre cette certitude de ce qu'on s'expose et l'incertitude du gain ; cela est faux. Il y a, à la vérité, infinité entre la certitude
de gagner et la certitude de perdre. Mais l'incertitude de gagner est proportionnée à la certitude de ce qu'on hasarde, selon la proportion des hasards de gain et de perte. Et de là vient que, s'il y a autant de hasards d'un côté que de l'autre, le parti est à
jouer égal contre égal ; et alors la certitude de ce qu'on s'expose est égale à l'incertitude du gain : tant s'en faut qu'elle en soit infiniment distante. Et ainsi, notre proposition est dans un force infinie, quand il y a le fini à hasarder à un jeu où il y a pareils hasards de gain que de perte, et l'infini à gagner. Cela est
démonstratif ; et si les hommes sont capables de quelque vérité, celle-là l'est.
« Je le confesse, je l'avoue. Mais encore n'y a-t-il point moyen de voir le dessous du jeu ? »
- Oui : l'Ecriture, et le reste, etc. (de nos jours j'ajouterait Rupert sheldrake, les récits de NDE ouhttp://monblog.ch/letrehumain/?story=l-adn-fantome-et-rea...
- « Oui ; mais j'ai les mains liées et la bouche fermée ; on me force à parier, et je ne suis pas en liberté ; on ne me relâche pas. Et je suis fait d'une telle sorte que je ne puis croire. Que voulez-vous donc que je fasse ? « - Il est vrai. Mais apprenez au moins que votre impuissance à croire, puisque la raison vous y porte, et que néanmoins vous ne le pouvez, vient de vos passions. Travaillez donc, non pas à vous convaincre par l'argumentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions. Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir. Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.
« Mais c'est ce que je crains. »
- Et pourquoi ? qu'avez-vous à perdre ?...
Mais, pour vous montrer que cela y mène, c'est que cela diminue les passions, qui sont vos grands obstacles
Fin de ce discours. - Or, quel mal vous arrivera-t-il en prenant ce parti ? Vous serez fidèle, honnête, humble, reconnaissant, bienfaisant, ami sincère, véritable. A la vérité, vous ne serez point dans les plaisirs empestés, dans la gloire, dans les délices ; mais n'en aurez-vous point d'autres ? Je vous dis que vous y gagnerez en cette vie, et que, à chaque pas que vous ferez dans ce chemin, vous verrez tant de certitude du gain, et tant du néant de ce que vous hasardez, que vous connaîtrez à la fin que vous avez parié pour une chose certaine, infinie, pour laquelle vos n'avez rien donné.
plus en détail http://www.penseesdepascal.fr/II/II1-moderne.php
Quelques réflexions en passant :
- Vu comment il est présenté, la foi parait y être par intérêt , mais ça peut étre considéré comme un début de cheminement.
- moi-même on peut dire que j’ai fait le pari de Pascal vers 1970, après avoir découvert la philo. Bon par la suite ça n’a rien changé, mais ces années-là si, et un parcours n’est pas l’autre.
" . . . Terura ligo; vagas en nebulo
Unikaj homoj en mistero sama » (Marjorie Boulton)
Un conte Socratique : Dans le ventre de la mère, deux bébés discutent. L’un est croyant, l’autre non.
- BC : Eh bien, je ne connais pas tous les détails. Mais là-bas il y aura beaucoup de lumière, beaucoup de joie. Et par exemple là-bas on va manger avec notre bouche.
- BA : Maman ? Tu crois en maman !? Et où se trouve-t-elle ?
- BC : Eh bien, je ne suis pas d’accord. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie ne commence qu’après l’accouchement.
Appliquer la philosophie à la vie quotidienne, c’est sortir de l’amnésie. (et c'est valable pour toutes les philosophies, le marxisme par exemple ça serait vachement utile ! )
une page face de bouc notez le lien suivez-là régulièrement, et elle n'est pas sans rapport avec la Pâque, et avec le sujet dont on parle :
https://www.facebook.com/groups/actiondeTOUSpourGiuseppe/
(Mais comment faire le pari de Pascal, ou même seulement y réfléchir sérieusement, sans se retrouver intellectuellement (et peut-être socialement) au banc de la société ! tellement Il est certes permis de nos jours d'adhérer à la religion ou à la philosophie de son choix, mais à la condition, tacite, de ne pas y croire vraiment !
)
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20/02/2019
vous avez dit FNSEA ? voilà ce que c'est ... C'est ça le capitalisme ! maintenant vous avez compris ce qu'il faut faire ?
Sofiprotéol, société présidée par Xavier Beulin (qui est aussi accessoirement président de la FNSEA, syndicat qui se targue de défendre les agriculteurs !).
via Jules Vairne
Les aviculteurs de la Coordination Rurale des Côtes-d'Armor se sont rendus lundi 22 juillet à l'entreprise Farmor de Guingamp, qui fabrique des plats préparés, afin de connaître la provenance de leurs approvisionnements en volailles.
Alors que les aviculteurs bretons agonisent financièrement - ils ont reçu le coup fatal la semaine dernière avec l'annonce de la fin des restitutions – ils ont fait une découverte scandaleuse !
90 % de poulets étrangers dans les frigos !
Le directeur du site, qui a reçu la délégation de la CR22, s'est dit très à cheval sur la traçabilité et l'origine des viandes. Il a insisté sur le fait que 40 % de la volaille utilisée provenaient de France et 60 % de volailles importées.
Pourtant, lors de la visite qui a suivi, la délégation de la CR a pu s'apercevoir que 90 % du poulet en stock ce lundi, provenaient du Brésil, des Pays-Bas ou de Thaïlande (voir étiquettes ci-dessous). Seuls quelques cartons, sans étiquettes d'origine, provenaient, selon les dires du directeur, de l'abattoir Bocher, appartenant aussi au groupe Sofiprotéol, à Mur de Bretagne.
Sofiprotéol, acteur de la mort de l'aviculture en Bretagne
Farmor est une filiale de Glon Sanders, elle-même détenue par Sofiprotéol, société présidée par Xavier Beulin (qui est aussi accessoirement président de la FNSEA, syndicat qui se targue de défendre les agriculteurs !).
source :
http://www.brujitafr.fr/2015/07/du-poulet-bresilien-dans-...
Et puis sortir de l'élevage intensif/auschwitz-à-animaux et l' "agriculture" industrielle polluante malsaine, immorale et pas durable.
Et tourner le dos au capitalisme et à ses logiques !
Et sortir de l'Union dite "Européenne" Qu'est devenue l'agriculture française ? (François Asselineau et Claude Bourguignon) - YouTube
analyse sur l'agriculture :
10/01/2019
quelques exigences
ça aussi ça fait partie de l'attaque (ici de "Big Pharma") du grand capital contre le peuple ! 11 vaccins de la Buzyn, flics barbares de castaner, mensonges des merdias propriété de 10 milliardaires : même combat !
venimeux Cymès : https://hdclips.top/hd-videos/rtXBhZDf3Po/vaccins-michel-...
Lettre Ouverte à Mr le Président Macron par le Dr André FOUGEROUSSE
Dr André FOUGEROUSSE Docteur d’État ès sciences 1973Professeur de Chimie honoraire de l’Université de StrasbourgDoyen honoraire de la Faculté de ChimieSite personnel www.andrefougerousse-recherche.frLe 2 octobre 2017Monsieur le Président de la République,Votre projet de budget pour l’année 2018 me range dans la catégorie des fonctionnaires retraités nantis et me demande de contribuer au soutien des Français moins favorisés.J’accepte volontiers ce geste de solidarité, mais, pour rester cohérent avec mon statut de fonctionnaire, je me permets d’émettre quelques exigences.Être fonctionnaire, c’est être chargé d’une fonction par l’État, fonction que l’on s’engage à remplir avec sérieux et dignité et à en rendre compte.J’ai commencé par être élève-maître à l’École Normale d’Instituteurs de la Moselle, après avoir réussi le concours d’entrée, à l’âge de seize ans. Présentant certaines capacités et ayant une bonne aptitude au travail, j’ai réussi le baccalauréat Math-Elem en 1963 (AB), puis quelques concours (IPES, CAPES de Physique-Chimie) et à me faire remarquer par un professeur de l’Université de Strasbourg, qui m’a recruté comme assistant en 1968.Après avoir passé un DES, un DEA, soutenu une thèse d’État en chimie (en 1973), qui m’a permis de découvrir les contraintes et les exigences de la recherche scientifique, fait un stage d’un an à l’Université de Montréal, j’accédais à la carrière universitaire, dont je gravissais tous les échelons. J’ai même été nommé Directeur du DEUG Sciences (1985 – 1990), pour répondre aux défis de la première massification des études supérieures, et élu Doyen de la Faculté de Chimie (1999 – 2004).Se superpose un parcours d’une quinzaine d’années en tant qu’élu de la République, trois mandats de maire (à partir de 1977, à l’âge de 33 ans, pour administrer une ville de dix mille habitants, réélu avec des scores croissants), un mandat de conseiller régional d’Alsace, de vice-président de la Communauté Urbaine de Strasbourg (malheureusement écourté, comme mon 3e mandat de maire), qui a contribué à parfaire ma formation et à me faire découvrir les méandres de la nature humaine, les contraintes d’un parti, mais aussi les vertus de l’écoute et de la concertation.Ce parcours a aussi été remarqué. J’ai été nommé Chevalier de l’Ordre du Mérite Agricole, décoré par M. Rocard en 1987, et Chevalier de l’Ordre National du Mérite par un décret de 1989 du Président F. Mitterrand, suite à la demande du Préfet.Ce curriculum étant rapidement brossé, j’en arrive à expliciter mes exigences : c’est votre projet d’imposer onze vaccinations obligatoires à de très jeunes enfants qui me révolte, parce qu’il ne répond pas aux exigences auxquelles m’ont soumises mes responsabilités de chargé de fonction publique à l’université, comme enseignant, chercheur et gestionnaire.Je m’explique.L’obligation vaccinale ne pourrait se justifier que s’il était démontré de façon incontestable, en respectant des démarches scientifiques rigoureuses, dont les procédures et les résultats seraient publiés dans des revues d’audience internationale :– que les vaccins protègent parfaitement tous les vaccinés (ceux-ci étant infectés artificiellement, ils risquent d’être contagieux et des transferts de virulence sont possibles) ;– que les non-vaccinés représentent un danger pour la santé publique ;– qu’il faut un minimum de 85 % de vaccinés pour lever tout risque d’épidémie ;– que les vaccins proposés sont sans danger ;– qu’il est justifié d’inoculer la même dose à tous les bébés, quelles que soient leurs aptitudes.Je demande que Madame la Ministre me et vous fournisse les références des publications scientifiques sur lesquelles elle se fonde pour soutenir les affirmations ci-dessus. C’est la moindre des choses pour une telle entreprise d’agression physique aux effets incertains, que l’on veut imposer de force à tous les bébés.Mon fils ayant fait un accident après BCG en 1973, à l’âge de quatre ans, j’ai lu énormément de choses sur les vaccins et j’accuse vos services du Ministère de la Santé d’être incapables de prouver scientifiquement les assertions ci-dessus exposées, qui leur servent de justifications, indiscutables, selon eux…, mais pas prouvées.Dès lors, on ne peut pas fonder une politique vaccinale obligatoire sur la base d’observations partielles, imaginées, manipulées, interprétées, affirmées avec aplomb par des pontifes, mais malheureusement marquées par des quantités d’incertitudes et de faits contradictoires qui ne répondent pas aux dogmes officiels.J’ai enseigné et fait ma recherche en chimie organique, la chimie du vivant. Le fonctionnement d’un organisme humain est d’une extrême complexité et personne, pas même les grands professeurs de médecine (omni compétents par définition), ne sont capables de comprendre et de prévoir toutes les interactions qui seront provoquées par l’injection directe de microorganismes étrangers (boostés par des substances dangereuses et parfois bricolés génétiquement) ni d’imaginer les conséquences à long terme sur des organismes affaiblis. Évaluer l’efficacité d’un vaccin en se fondant exclusivement sur le taux d’anticorps n’est absolument pas fiable.Vous trouverez ci-joint la lettre ouverte que je destine à Madame Buzyn. Je cite certains travaux scientifiques publiés, qui mettent en doute l’utilité des vaccins. Je propose qu’ils soient calmement réexaminés, en toute transparence.La Liberté.
Vous abordez souvent, dans vos discours, l’importance des libertés, vertus défendues de façon exemplaire, semble-t-il, dans notre pays.Et pourquoi pas dans le domaine des vaccinations, domaine incertain s’il en est ??J’affirme que les non-vaccinés ne représentent aucun danger (ce sont les vaccinés que l’on infecte artificiellement) et qu’il est outrancier et diffamatoire de les accuser d’incivisme.J’estime que vous n’avez pas le droit d’imposer un acte aussi agressif, sans être assuré de son efficacité et de son innocuité à court et long terme, assurance qui n’existe pas à ce jour, sauf à ce que vous me le démontriez rigoureusement ?Et forcer la soumission des parents à l’acte vaccinal, si contestable, en le subordonnant à l’obligation scolaire est d’une incroyable violence, un abus de pouvoir injustifié, contraire au Droit. C’est un acte digne d’une dictature, dont l’Ordre des Médecins serait le bras armé, cette étonnante survivance de la sinistre police médicale créée sous le régime de Vichy…Je souhaiterais, Monsieur le Président de la République, que vous laissiez un autre souvenir que cette lourde intervention obligatoire hasardeuse, parce qu’il y aura forcément d’innombrables ratés, des accidents, des scandales, du contentieux et des drames humains… pour rien.Les maladies infectieuses constituent seulement 1 % de toutes les causes de décès dans le monde industriel. Agiter le chiffon rouge en brandissant un décès par rougeole est pathétique.En vous remerciant pour l’attention que vous voudrez bien accorder à cet acte, dont vous porterez la responsabilité pleine et entière, je vous prie d’accepter, Monsieur le Président de la République, l’expression de mes sentiments respectueux.Dr André FOUGEROUSSEChargé d’une fonction de l’État pendant quarante ans.Copies transmises à Madame Buzyn et à la presse peut-être intéressée, d’abord dévouée aux puissants…Résumé
Faire un discours à la Sorbonne, c’est acquiescer aux valeurs universelles de la recherche universitaire. En l’appliquant à l’acte vaccinal, on est stupéfait d’observer le manque flagrant de preuves scientifiques et d’assister au recours à des croyances béates, perpétuées par des bonimenteurs privés, relayées par de pseudo-scientifiques souvent intéressés.La santé publique exige des preuves et des assurances, dont le Président de la République est le garant. La liberté des vaccinations s’impose pour une intrusion intime qui n’a prouvé ni son utilité irremplaçable ni son innocuité. Il existe des traitements qui méritent d’être reconnus et tentés.Et comme il faut prévoir si la résistance devient necessaire :