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22/05/2024

d'abord chacun doit réveiller son voisin -

30/04/2024

il s'appelait Detlev Rohwedder, peu de bloggeurs en parlent.

On comprend pourquoi "ils" tiennent tellement à forcer la Grèce à  vendre tous ses biens !!
comme l'Allemagne de l'Est, le premier responsable de la privatisation, après la chute du mur et la "réunification" (en fait une annexion pure et simple de l'Est par l'Ouest) essayait au moins de faire que les usines ne ferment pas, et encourageait les ouvriers à se mettre en coopératives et reprendre leur usine - eh oui ! comme Fralib, qui va lancer la marque "1336" - ça n'a pas plu, il a été assassiné, par paraît-il un tireur d'extrème-gauche, on ne saura jamais bien, car celui-ci a depuis été abattu par la police, hmm pratique ! (...), surtout que on voit bien mieux les motifs que pouvaient avoir le grand capital international plutôt que l'extréme gauche à le tuer (toujours se poser la question basique de tout inspecteur de police : "à qui profite le crime ?") ... (Sa remplaçante, elle, a vendu à tout va le capital industriel du peuple est-allemand à des investisseurs US, c'est ce qu'ils voulaient)

il s'appelait Detlev Rohwedder, peu de bloggeurs en parlent.

 

Lukatchenko, un qui a carrément   décidé d'arrêter les fameuses privatisations imposées après la chute de l'URSS, président on n'a pas pu le tuer, mais à partir de ce moment l'Occident s'est mis à le diaboliser à qui mieux mieux ! https://ru-clip.com/video/9jKVOaXYkJc/loukachenko-l%E2%80...

tiens ! "on" a supprimé ru-clip, pourquoi ?


vendre, vendre, vendre, pour toujours plus enrichir les investisseurs, et appauvrir les nations !


C'est quand la révolution ?

*De toutes façons toutes les ventes (=privatisations) d'entreprises (ou de parts) et de biens nationaux (à quand Versailles ? comme dit Jovanovic) sont une aberration (et c'est bien pourquoi la classe des vautours capitalistes mondialistes nous y pousse ! ) , et , outre les autres raisons de critiquer ces pratiques, appauvrissent l'Etat, ne l'enrichissent pas (un peu d'argent liquide passager pour pouvoir "rembourser" ces "dettes", donc fourguer cet argent aux banques, et plus rien par après !!! c'est le traitement qu'on fait aux pauvres citoyens aussi maintenant    : regardez toutes les affiches où on les presse de vendre tout ce qu'ils ont à des prix de misère, pour avoir un peu de liquide tout de suite pour rembourser les crédits ! Quel cynisme !!), mais l'appauvrissent sans cesse en le privant des bénéfices de ces entreprises, c'est une arnaque totale, et les politiciens qui font ça, si ce sont des naïfs incompétents ils sont bien manipulés, ou ce sont plutôt des traîtres. Le crime de haute-trahison on voit pourquoi ils l'ont enlevé de la Constitution  !
Article sur l'appauvrissement de l'Etat pas ces fameuse privatisations : http://o-pied-humide.over-blog.com/article-l-appauvrissem...

23 milliards d'euros de moins dans les caisses de l'Etat (NOS caisses ! normalement .... ) rien que pour 2009.




24/04/2024

toutes les institution en lesquelles on croyait pour avoir accès à la connaissance, accès à la vérité, accès à l'autre, sont devenues perverses et non fiable, même ennemies, mêmes fascistes

21/04/2024

Cette crise fera se révéler des héros - des penseurs aussi, le docteur Louis Fouché sera un des plus grands, et que retiendra la plus la postérité.

le grand enseignement c'est ça, comme pour Jean Moulin, et tout autre

Mais combien de français sauront être des héros, des Résistants, de ceux!qui savent rester attachés à la rationalité, les! complotistes, car c'est ça le complotisme ! relisez les analyses que j'ai déjà indiquées à ce sujet,  des "derniers hommes", comme Béranger à la fin de "Rhinocéros" de Ionesco, des gardiens de "la lumière et le feu" comme dans le beau poème de Robert Desnos, écrit en 1942, combien ? Tant de gens qu'on voit qui ne suscitent que le dégoît et l'envie de vomir ! tant d'êtres "décents" "solidaires" "respectueux de la force publique", comme les bons allemands qui faisaient bien "Heil Hitler!", comme les bons français qui dénonçaient ceux qui écoutent Radio-Londres ! Il va y avoir des règlements de compte en septembre 44 ! .....

relisez l'incontournable livre de Michel Terestchenko "Un si fragile vernis d'humanité". Re gardez les vidéos sur Giuseppe Belvedere, un aussi qui "ne pouvait faire autrementt" et qui a d'un coeur léger sacrifié tout son confort gagné en 40 ans de travail pour aller sous les crachats des vieilles bourgeoises parisiennes du 4ème arrondissement  nourrir, trois fois par jour les pigeons du quartier Beaubourg.

interview :

Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?

Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’é

Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?

Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’écouter. Ensuite, de manière ciblée, il est important d’écouter les peurs de chacun : certains auront peur du virus, d’autres pour leurs parents, d’autres encore de Bill Gates, etc. Avec la crise actuelle, avant même de rassurer, il s’agit de mettre de la clarté, de l’intelligibilité sur ce qui se passe. Personnellement, je ne considère pas que j’ai rassuré ; je suis même plutôt alarmiste concernant le déferlement totalitaire et les conflits d’intérêt dans cette histoire. En revanche, j’essaie de mettre de la clarté. De rappeler aussi que la vie n’est pas confortable, mais que ça n’empêche pas de sourire ou d’être joyeux, au contraire ! Je veille aussi à porter un regard lucide sur la situation. Parce que si les médecins ne savent pas, qui saura ?! Beaucoup de médecins ont dit à propos de ce qui se passe : « Je ne me prononce pas, je ne sais pas. » Par exemple, sur l’hydroxychloroquine. Je leur disais : « Mais si toi, tu ne sais pas, qui saura ? C’est à toi de faire le travail, d’aller lire les études, de regarder ce qu’ont fait les généralistes ! » On a là typiquement un symptôme de la prolétarisation des médecins et des soignants : petit à petit, ils sont là pour faire respecter le protocole, mais ils n’ont plus aucune indépendance, plus aucune responsabilité.

Je reviens au début de la question : médiatiquement, on a beaucoup plus entendu ceux qui étaient là pour faire peur… Pourquoi, selon vous ?

Je crois qu’il y a des conflits d’intérêt très importants autour de cette épidémie. Il y a donc des « profiteurs de guerre ». Finalement, quand vous faites peur et que vous culpabilisez les gens, vous parvenez à prendre le pouvoir sur eux. [c’est le principe de Goering, exposé à Nüremberg, ma note] C’est d’ailleurs une des techniques des pervers narcissiques et des paranoïaques. Ce principe est aussi au cœur du terrorisme, où il s’agit de faire peur pour monopoliser l’attention sur un morceau de problématique extrêmement focal. Dans le cas de cette crise, les gens qui ont produit un message de peur sont soit ceux qui avaient peur eux-mêmes et ressentaient le besoin d’en parler (une grande partie, je crois), soit des pervers qui nous manipulent. Or, en général, on vous manipule pour deux raisons à travers l’histoire de l’humanité : le pouvoir ou l’argent. Comme disent les Américains, quand on ne comprend pas une situation : « Follow the money ! » [Karl Marx pourrait dire la même chose ! ma note]

En ce sens, vous dénoncez le rôle pervers des médias mainstream ?

Oui, parce que les médias servent d’intermédiation à la réalité. On leur a donné un pouvoir démesuré pour dire le réel à notre place, or ils ne disent pas le réel. Ces médias sont aux ordres de puissances d’argent. Chaque année, Le Monde Diplomatique publie à qui appartiennent les médias mainstream. En France, une quinzaine ou une vingtaine de familles, qui sont à la tête de multinationales, se partagent le gâteau des médias et s’en servent comme outil de « fabrication du consentement », dixit le linguiste Noam Chomsky (2). Nous sommes au cœur d’une fabrique du consentement extrêmement élaborée ; dans cette ingénierie sociale (3), elle-même au service du pouvoir politique, lui-même au service des pouvoirs économiques. [il a tout dit ! ma note] Ce n’est ni nouveau ni original ! Reportez-vous à La République de Platon : les esclaves sont enchaînés au fond de la grotte, tandis que les sophistes maintiennent des simulacres, des marionnettes devant le feu et font regarder des ombres sur le mur de la caverne aux esclaves. Chaque fois qu’un esclave veut tourner la tête vers la lumière et tenter de sortir, les sophistes mettent en place un nouveau petit théâtre d’ombre pour maintenir l’illusion. Pire, celui qui voudrait s’échapper et montrer la sortie serait aussitôt lapidé par ses congénères ! Parce que la vérité serait trop dangereuse ; elle viendrait sortir de ce confort-là. Dans cette crise sanitaire, on a donné la parole à ceux qui maintenaient dans l’illusion, dans la peur, le mensonge. Et, en effet, on a essayé de « lapider » ceux qui amenaient vers la vérité, parce que la vérité n’est pas confortable ! Elle vous fait voir toutes les noirceurs du système… qui sont aussi tous les petits arrangements avec le courage que chacun s’autorise. La paranoïa des grands de ce monde est la petite perversion et la paranoïa présentes à l’intérieur de nous. Toutes ces couardises, ces petites rétractations devant la responsabilité que nous avons laissé prospérer d’année en année, jusqu’à ce que le monstre soit tellement gros qu’il cherche à nous manger.

Comment développer une sagesse juste dans cette impasse-là ?

Le vrai sage, c’est celui qui a la mémoire ; il se souvient de ce qui s’est déjà passé dans l’histoire de l’humanité. L’Histoire ne se répète jamais mais elle bégaie toujours. La phase que nous traversons n’est qu’une phase. Et c’est ce qui peut rassurer vos lecteurs : ce déferlement totalitaire arrivera à son aporie, c’est-à-dire au bout de la discussion, quand celle-ci tourne en rond et n’arrive plus à produire quoi que ce soit. Donc, il s’auto-effondrera sur lui-même, car cet avenir techno-sanitariste mondialisé transhumaniste n’est pas désirable et n’est pas pérenne. Il correspond à une illusion.

Par rapport à la grippe classique, il semble que le covid s’accompagne plus souvent de micro-thromboses vasculaires et d’hypoxie heureuse. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Il y a effectivement des spécificités dans cette infection, qui présente un tableau clinique particulier. Les gens qui pensent qu’il n’y aurait pas de virus se trompent. Il y a bien un virus et une maladie particulière liée à celui-ci : la covid-19. Elle se manifeste par une atteinte vasculaire, une sorte d’inflammation des capillaires, notamment au niveau pulmonaire. Ce qui aboutit à l’hypoxémie : une diminution de la quantité d’oxygène dans le sang ou des difficultés à faire passer l’oxygène depuis les poumons jusqu’au sang. Le gros de notre prise en charge est donc de donner de l’oxygène, beaucoup d’oxygène. Or, on pourrait l’administrer à la maison (en s’organisant avec la médecine de ville, les soins infirmiers à domicile), comme l’a d’ailleurs fait remarquer la Société de Pneumologie de Langue Française. Ce qui aurait freiné le remplissage des réanimations. On en vient à l’hypoxie heureuse ; c’est-à-dire que certains vont faire un premier épisode symptomatique, avec de la fièvre, éventuellement des courbatures et une anosmie (perte de l’odorat, du goût), puis pas grand-chose… Ils seront fatigués, et si on dosait l’oxygène dans leur sang, on trouverait qu’ils en ont très peu, mais on ne peut pas le voir cliniquement. Il faut utiliser une petite machine : un oxymètre de pouls ou un saturomètre qui permet, par une analyse infrarouge de la couleur du sang, de savoir s’il y a désaturation, baisse du taux d’oxygène dans le sang. Cet examen n’est pas compliqué, il ne coûte pas très cher et c’est ce qu’il faudrait proposer à ceux qui ont été symptomatiques, qui ont eu un test positif et présentent des facteurs de risque de développer des formes graves. En dessous d’un certain seuil (le chiffre va de 0 à 100 ; en-dessous de 95, ce n’est pas normal), il y aurait lieu d’aller à l’hôpital. Cela permettrait aux patients d’arriver au bon moment, avant d’atteindre une forme de gravité. Vous devez prendre soin des gens qui ont un diagnostic positif et des risques de faire des formes graves. Leur dire : « Rentrez chez vous, prenez du Doliprane, on se revoit quand vous serez mourant » est irresponsable ! Le traitement antiviral (hydroxychloroquine, Zithromax, Zinc) permet de diminuer la survenue de ces épisodes-là. Et dans la phase inflammatoire, une corticothérapie semble être une piste intéressante pour couper l’herbe sous le pied à l’orage cytokinique. Vous pouvez aussi mettre à disposition de l’oxygénothérapie à haut débit dans les EHPAD. Ce ne sont pas des techniques difficiles à mettre en place et elles sauvent des vies. Il a été démontré par l’IHU (l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille, dirigé par le Pr Raoult, ndlr) qu’en mettant en place de l’oxygénothérapie à haut débit dans des EHPAD, on diminuait de 30% la mortalité. Qui plus est sans avoir à passer par la réanimation. Bref, nous avons énormément de pistes efficaces, allopathiques ou qui travaillent sur l’immunité positive, les ressources intérieures ( NDLR : voir dossier sur ce thème dans le Néosanté de février prochain), qui permettent de faire que cette maladie soit relativement bénigne. Et qu’elle ressemble, effectivement, à une grippe, en terme de mortalité. Même si le tableau clinique, lui-même, ne ressemble pas à une grippe.

Vous avez cité ce terme que l’on a beaucoup entendu dernièrement : orage cytokinique. Qu’est-ce qu’il signifie ?

Le virus, c’est de l’information qui nous traverse. Et la réaction du corps à ce virus est ce fameux « orage cytokinique ». En d’autres termes, le dégoupillage de la grenade de l’inflammation qui était déjà là (notamment dans la graisse abdominale, pour ceux qui en ont). Il y a donc des gens qui sont dans un état pré-inflammatoire chronique : les hypertendus, obèses, diabétiques… Ou des gens qui prennent des médicaments qui inhibent leur réponse inflammatoire normale, favorisant ce « dégoupillage ». On sait aussi qu’il peut exister des phénomènes d’interactions virales. Qu’est-ce que ça veut dire ? On s’est posé la question de savoir pourquoi à Bergame, en Italie, lors de la première vague épidémique, il y avait eu tant de morts et davantage d’hyper-inflammation qu’ailleurs. Une hypothèse de plus en plus étudiée, même si elle n’est pas complètement avérée, est qu’ils auraient reçu une vaccination contre la méningite, puis une vaccination contre la grippe, puis là-dessus le SARS-CoV-2 est arrivé… Il semble que toutes ces informations contradictoires pour le système immunitaire aient déclenché cet orage cytokinique. C’est même une des lignes d’explication des quelques rares sujets jeunes qui ont fait des formes graves de covid, alors même qu’ils n’avaient aucun antécédent. Peut-être ont-ils eu des vaccinations ou des infections virales dans les semaines qui ont précédé leur infection à SARS-CoV-2 ? Ceci est un plaidoyer pour bien réfléchir à l’idée de vaccination antigrippale et anti Sars-CoV-2. Car elles pourraient provoquer un effet inverse à celui escompté…

On a entendu, à propos des personnes âgées, qu’on favorisait leur départ anticipé pour relâcher la pression hospitalière et faire de la place. Est-ce vrai ?

Il y a eu des directives dans ce sens faites dans les EHPAD, recommandant l’utilisation du Rivotril, une benzodiazépine anxiolytique qui, en même temps, est un dépresseur respiratoire – il induit de moins respirer, avec un deuxième effet qui est de faire arrêter de respirer. Donc, effectivement, c’est une molécule qu’on utilise en soins palliatifs pour une sédation terminale ou pour diminuer les souffrances d’un patient en détresse respiratoire. Ce qui est choquant, ce n’est pas tant l’utilisation de cette molécule (déjà utilisée), mais plutôt l’indication qui a été posée. C’est-à-dire que pour un patient âgé qui respire mal, on ne se soucie même pas de savoir ce qu’il a ; d’emblée, on lui administre du Rivotril. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?!? Au contraire, ces gens doivent être soignés ; on peut donner de l’oxygène, de l’hydroxychloroquine, du Zithromax, du zinc, de la vitamine C, de la vitamine D, éventuellement du bleu de méthylène… Toutes les molécules proposées dans cette indication ne coûtent rien et ne sont pas compliquées. On peut aussi donner un antibiotique à large spectre qui couvre la plupart des difficultés respiratoires et des pneumonies qui surviennent chez les personnes âgées – c’est la norme en matière de traitement. Si c’est quelque chose qui est traitable, ça va marcher. En l’occurrence, ici, on a recommandé de ne rien faire… et pire que de ne rien faire, on a recommandé d’utiliser le Rivotril sans le consentement éclairé des patients, des familles. C’est extrêmement choquant ! Et ça correspond ni plus ni moins à des homicides qui seront passibles de procédures pénales quand le temps sera venu… Ceci a été réitéré lors de la deuxième épidémie, de manière encore plus choquante. À terme, il faudra regarder comment ont été instrumentalisés les soignants dans cette histoire. Ces derniers ont été en quelque sorte la main du bourreau, mais la décision du bourreau n’était pas la leur. Il faudra bien démêler l’écheveau des responsabilités, car certains soignants ont pensé bien faire. De même qu’on les met aujourd’hui dans cette clé de bras systémique, consistant à imposer la vaccination à des personnes âgées. Vaccination qui n’est ni avérée en matière d’efficacité ni renseignée en matière d’effets secondaires ! Vaccins dont les études de phase 3 ne sont même pas terminées. Avec un empressement coupable, on propose cette vaccination aux personnes âgées, avec un discours extrêmement cynique du pouvoir qui dit que, puisqu’elles sont âgées, cela servira de « ballon d’essai ». De cobayes. Ma recommandation à tous les gens qui peuvent lire cet entretien est d’aller voir directement les directeurs d’EHPAD où résident leurs (grands)parents, et de mettre un frein immédiat à ça. Vous devez refuser cette vaccination qui n’a aucun sens scientifique, aucun fondement épidémiologique et qui, pour le moment, est un dogme, ni plus ni moins, vendu par une propagande cynique et nauséabonde. Qui ne profitera qu’aux laboratoires pharmaceutiques.

En parlant de vaccin, plus largement sur la population planétaire, il semble que le virus mute ; par conséquent, la vaccination ne serait pas pérenne

En effet, et lorsque je soulève ce point, l’argument qui m’a été opposé, c’est que de toute façon on revaccinera tous les six mois. Est-ce que vous voulez vraiment vivre dans un monde où vous recevrez un vaccin tous les six mois ? Pour simplement avoir le droit de vivre, puisque c’est la clé de cette histoire de vaccination : au-delà de l’absence de preuves de bénéfices, au-delà de l’absence complète de preuves de l’innocuité (de toute évidence, ce ne sera pas sans effets secondaires ou indésirables), c’est la concaténation, la corrélation qui est faite entre le fait d’être vacciné et le fait d’avoir droit à l’accès aux droits sociaux. Il s’agit ni plus ni moins d’un hold-up, sous motif sanitaire, du contrat social. En l’occurrence, on vous enlèvera par exemple le droit d’aller skier, de prendre l’avion, d’aller à l’école… et on ne vous le redonnera que si vous êtes vacciné. Cela ne doit pas avoir lieu pour aucune vaccination que ce soit, et encore moins pour celle qui est proposée aujourd’hui ! Les libertés fondamentales ne sont pas respectées.

Comment résister dans ce climat délétère ?

La résistance, pour moi, c’est l’idée de se relier, de s’accrocher les uns aux autres, de se serrer les coudes pour tenir. Il ne s’agit même pas de renverser le pouvoir, mais simplement de s’accrocher à des éléments de bon sens, de bonnes grosses prises : la paix, la joie, la liberté, l’amour… L’image qui me porte, c’est celle d’une symphonie ou d’un opéra. Lors du final, il y a cette apothéose où les chœurs reprennent toutes les parties du morceau, alors que les cymbales battent à toute volée, quasi jusqu’à la cacophonie. Vous avez cette petite flûte traversière qui tient les sept notes fondamentales du morceau, alors même que vous ne l’entendez plus. Soudain, le chef d’orchestre lève les bras… l’apothéose retombe… laisse place au silence… et la flûte traversière reprend les sept notes une dernière fois. Pour moi, c’est ça la résistance ! Il s’agit de traverser l’effondrement, le déferlement totalitaire, d’être « poncé » au passage par ces vents forts, ces grêlons, qui viennent révéler notre quintessence, le meilleur de nous-même. Pour que le joyau puisse enfin apparaître dans sa plus belle brillance, la plus simple, la plus nue.

Quelle est alors votre vision de l’après-covid, et plus globalement de l’avenir ?

J’ai vraiment l’impression que le grand arbre est en train de s’effondrer une fois pour toutes. Nous sommes au bout de cette crise itérative. Cette fois, elle est tellement manifeste que si l’on ne veut pas la voir, c’est que l’on veut s’aveugler. Or, quand l’arbre s’effondre, il ouvre un chablis dans la forêt. Il y a alors de la lumière pour toutes les petites pousses qui étaient déjà là. En l’occurrence, la permaculture, l’éco-construction, l’habitat partagé, la monnaie libre, une autre vision de l’éducation centrée sur l’enfant (non pour en faire un rouage de la société), du travail et de l’artisanat, une relocalisation de l’économie, etc. Tout est déjà là, il faut juste attendre que le grand arbre s’effondre. Et il est en train de s’effondrer, donc tout va bien. Mais il y a encore du travail ! Il va (nous) falloir du courage. Et le courage, étymologiquement et concrètement, vient du cœur. Ces temps obscurs sont aussi une invitation à l’héroïsme. Ici, il est donné à tout le monde d’être un héros. Il n’y aura ni sauveur, ni messie. Il n’y a que le choix d’une vie héroïque qui s’attache à se mettre en lien avec les autres, reliés ensemble à des valeurs fondamentales, qui puisse être une voie de sortie, de survie, dans ce déferlement totalitaire.

Propos recueillis par Carine Anselme

 

 Fouché Président !

20/04/2024

ces petites lâchetés-là, ce sont elles qui sont complices du monde épouvantable dans lequel on vout vous enfermer vous avez envie que vos enfants vivent dedants ? Alors vous n'avez pas le choix il faut lutter et refuser pied à pied quoi qu'i en coûte

09/04/2024

avec Chouard découvrir la cause des causes ! ou L’oeuf de Colomb

lien censuré par le totalitarisme capitaliste !!!!!!

https://nos-medias.fr/video/p-jovanovic-e-chouard-la-revue-de-presse-mars-2015

 

dans un forum qq a dit : « La trahison est coutumière en France , c'est même la première des qualités des politiques bien avant le mensonge ...! » non seulement c’est vrai mais c’est même STRUCTUREL ça a des raisons liées au système lui-même, et les gens n’en ont pas concience !!! Enorme !   Comme dit Chouard quelque part dans cette vidéo : https://www.findclip.net/video/vwRSxgoyPwU/la-foret.html « ce qui est important c’est notre transformation intérieure » pareil, ce qui est important dans les institutions « démocratiques » actuelles, c’est la transformation intérieure qu’elle causent chez les hommes politiques ! - n’oubliez pas ça ! c’est la clef de tout ! Et dans ce remarquable entretien avec Pierre Jovanovic, de la 45è à la 50è minutes, écoutez-le, tout y est !

La preuve que ce qu'il dit est très  très important, l'ESTABLISHMENT a peur et cherche toutes les ruses possibles pour empêcher les gens d'entendre sa voix et ce qu'il a à nous faire comprendre, et réfléchir !!!!!!

Il a fallu que Chouard nous le dise, et dise, et encore ! Il a mis le temps pour le conclure : des années de réflexions, et de travail sur la démocratie, et les élections, et la lutte des classes.

C’est comme l’oeuf de Colomb : c’est simple, mais il faut y penser !!

(et en tirer les conséquences, de manière pratique, institutionnelle !) Car il y aurait  à l'inverse (« mais si c’est possible ! ») d’autres institutions qui nous pousseraient à la vertu, et ce sont celles-là qu’il nous faut mettre en place C’est ça la grande découverte, une des grandes découvertes, de Chouard, si les politiques au pouvoir sont des pourris, des traîtres et des collabos, ce n’est pas parce qu’ils sont des pourris (bons ils le sont peut-être, mais de toutes façons ce n’est pas là le problème), c’est le système ! Ce sont les institutions, telles qu’elles sont qui les rend pourris, qui sélectionne, telle une sélection darwinienne, les meilleurs menteurs, les plus cyniques manipulateurs, qui pousse les acteurs politiques à être, ou devenir, même si ce sont des purs au départ, des pourris, et des magouilleurs ambitieux, et des collabos, « parce qu’on ne peut pas faire autrement »

« ils deviennent ce qu’ils sont parce qu’il n’y a pas de limite à leur ambition. » Si on leur mettait des limites, avec impossibilité de facto de les détourner par magouilles comme ils font maintenant, ils resteraient vertueux. c’est pourquoi Chouard loue les gilets jaunes de rester inorganisés, ça les affaiblis certes, mais « organisés, avec des chefs, donc corruptibles, plus possibilité de noyautage, plus risques de dévoiement» ce serait un immense danger, voilà ! c’est logique !

La « démocratie » normalement doit donner le pouvoir au peuple, mais en FAIT, objectivement comme disent les marxistes, L'ELECTION DONNE LE POUVOIR AUX RICHES, à ceux qui ont les moyens d’influencer l’opinion publique par les médias, de se réserver les places de responsabilités, de choisir et d’aider parmis les candidats ceux qui ont les programmes qui leur plaisent. Comme tous les théoriciens de la politique depuis l’antiquité jusqu’à Sièyes exclu le disaient, il est étrange qu’on l’ait à ce point oublié ! (mais peut-être que certains, certaines classes, avaient intérêt à nous le faire oublier ? Là, un petit coup d’analyse marxiste ne ferait pas de mal) l’élection entraîne l’aristocratie, la démocratie c’est le tirage au sort. Alors choisissez !

On n'est pas préparés à cette idée : la première fois qu'on nous parle de tirage au sort en politique, on ouvre tous des yeux incrédules et on se demande quelle est cette nouvelle lubie. Le mythe de l'élection est très puissant et il n'est pas facile de s'en déprendre, même quelques minutes pour voir. Alors lisez le livre très documenté de David Van Reybrouck ! Et puis lisez ou écoutez Chouard. (et puis Dupuis-Déri, et Paul Le Fèvre, l’idée fait son chemin !)

La comparaison par Chouard des deux système rappelle ce fait à chaque pas : l’élection est un système qui de manière darwinienne SELECTIONNE, FAVORISE les comportements vicieux chez les politiciens, lisez :L’ÉLECTION, inégalitaire et corruptriceLE TIRAGE AU SORT, égalitaire et incitant à la vertu1. L'élection repose sur la volonté des gens et donc donne de nombreuses prises aux escrocs, menteurs séduisants, trompeurs professionnels de volonté.

1. Le tirage au sort ne repose pas sur la volonté des gens et donc ne donne aucune prise aux escrocs, menteurs séduisants,trompeurs professionnels de volonté.

  3. L’élection pousse au mensonge les représentants : d’abord pour accéder au pouvoir, puis pour le conserver, car les candidats ne peuvent être élus, puis réélus, que si leur image est bonne : cela pousse mécaniquement à mentir, sur le futur et sur le passé.

3. Le tirage au sort dissuade du mensonge les repré -sentants, aussi bien pour accéder au pouvoir que pour le conser-ver : d’abord le mensonge ne sert à rien (et on évite les intrigues)

. 4. L’élection pousse à la corruption : elle permet (à ceux qui le peuvent) d’aider des candidats, et les élus ainsi "sponsorisés" sontainsi mécaniquement dépendants de ceux qui ont financé leurcampagne électorale et acheté les médias pour les faire connaître da-vantage que les autres candidats. Les acteurs politiques servirontdes intérêts particuliers au lieu de servir l’intérêt général.

4. Le tirage au sort ne permet pas d’aider quelqu’un à accéderau pouvoir. Ceci est absolument décisif. Il ne peut pas y avoir de tirés au sort sponsorisés-donc-débiteurs. L’indépendance desreprésentants est donc garantie (alors que l’élection l’interdit !).

Les acteurs politiques serviront le bien commun au lieu deservir des intérêts particuliers.

  5. L’élection favorise certaines classes sociales et en défavorise d’autres : ceux qui parlent bien, ceux qui savent s’imposer, et ceux qui ont des facilités (avocats et fonctionnaires), ce qui contredit gravement l’égalité politique revendiquée par la démocratie. Une assemblée élue n’est jamais représentative, elle diffère toujours profondément de la population représentée. 5. La procédure du tirage au sort est impartiale et équitable : la loi des grands nombres garantit une justice distributive, la parité hommes-femmes par exemple mais aussi la parité sociale ! Une assemblée tirée au sort est toujours représentative, elle ressemble au peuple représenté. 6. L’élection incite au regroupement en partis et soumet l’action politique à des clans et surtout à leurs chefs, avec son cortège de turpitudes liées aux logiques d’appareil et à la quête ultra prioritaire (vitale) du pouvoir.

6. Le tirage au sort n’incite pas au regroupement en partis pour aider des candidats à conquérir le pouvoir, et ne soumet donc pas la société à leur logique hiérarchique (fin du combat des chefs et des logiques d’appareil).

Les partis imposent leurs candidats, ce qui rend nos choix fac-tices. La concurrence déloyale des partis dans la compétition électo-rale prive la plupart des individus isolés de toute chance de participerau gouvernement et favorise donc le désintérêt politique (voire le re-jet) des citoyens.

  10. L’élection crée des rancunes de la part de tous ceux qui ont "perdu", et des fiertés chez ceux qui ont "gagné" qui deviennent vaniteux et se sentent supérieurs et légitimes pour décider seuls.

10. Le tirage au sort ne crée jamais de rancunes : pas de vanité d’avoir été choisi ; pas de ressentimenblob:https://www.youtube.com/53226fc2-3740-49d8-ade2-8a3e984dd85et à ne pas avoir été choisi : il a des vertus pacifiantes pour la Cité, de façon systémique. L’élection fabrique des maîtres, qui se sentent supérieurs.   12. L’élection délègue... favorise la formation de castes d’élus, professionnels à vie de la politique, toujours portés à tirer vanité de leur condition et cherchant toujours à jouir de privi-lèges, très loin de leurs électeurs pour finalement ne plus représenterqu’eux-mêmes.

12. Le tirage au sort peut mobiliser n’importe qui et responsabi-lise (rapproche) les citoyens de l’activité politique ; il empêche l’apparition de politiciens professionnels ,ilimposel’amateurisme en politique ; les amateurs tirés au sort, forcé-ment proches du peuple, partagent ses intérêts et objectifs, ils sontde bons porte-voix populaires.

  14. L’élection donne le pouvoir à ceux qui le veulent (les candidats),c’est-à-dire aux pires d’entre nous, alors qu’on sait depuis au moins 2500 ans qu’il ne faut surtout pas donner le pouvoir à ceux qui le veulent (lire Platon et Alain). 14. Le tirage au sort donne le pouvoir à ceux qui ne le veulent pas et qui sont précisément les meilleurs d’entre nous, mo-destes et honnêtes. Les mandats courts et non renouvelables per-mettent de ne pas les surcharger.   16. DE FAIT, depuis 200 ans (depuis le début du 19 ème siècle), l’élection donne le pouvoir politique aux plus riches et à eux seuls, jamais aux autres : l’élection de représentants politiques SYNCHRONISE durablement le pouvoir politique et le pouvoir économique, créant progressivement des monstres irresponsables écrivant le droit pour eux-mêmes et s’appropriant le monopole de la force publique à des fins privées, créant ainsi des fortune colossales (et une puissance de corruption supplémentaire en proportion).

On est donc tenté de penser que c’est l’élection des acteurs politiques qui a rendu possible le capitalisme : écrire la constitution a permis aux riches de choisir la procédure qui leur permet d’aider les candidats, de rendre débiteurs les élus, et d’imposer leurs lois.

16. DE FAIT, pendant 200 ans de tirage au sort quotidien (au V e et IV e siècle av. JC à Athènes), les citoyens riches n’ont JAMAIS gouverné, et les citoyens pauvres toujours. (Les riches vivaient confortablement, mais ils ne pouvaient pas tout rafler sans limite, faute d’emprise politique.) Ceci est essentiel : mécaniquement, in-failliblement, irrésistiblement, le tirage au sort DÉSYNCHRONISE le pouvoir politique du pouvoir économique. C’est une façon astucieuse d’affaiblir les pouvoirs pour éviter d’être dominé par eux.

Le tirage au sort retirerait aux capitalistes leur principal moyen de domination.  

Vive Chouard ! Vive Bernard Friot !
dans les livres d'histoire de l'avenir ils seront reconnus comme les deux plus grands penseurs politiques français du XXIè siècle. Parmi les esprits les plus pertinents, les tempéraments les plus intègres et humanistes, et les oeuvres qui auront le plus apporté au progrès politique du peuple

 

07/04/2024

il ne plaisait pas au grand capital et à l'impérialisme US - il fallait le faire taire ...

Lisez cette lettre, envoyée en 2002 le 3 octobre 2002 à George W Bush, et vous comprendrez que certains milieux tenaient à LE FAIRE TAIRE !! Et qu’ils étaient prêt à tout pour détourner l’attention du public ! Et pour l’abattre !!
C’est clair !

Lettre du Cardinal Bernard Law au président W Bush

«Monsieur le Président,

Dites la vérité au peuple, Monsieur le Président, au sujet du terrorisme. Si les illusions au sujet du terrorisme ne sont pas détruites, alors la menace continuera jusqu’à notre destruction complète. La vérité est qu’aucune de nos nombreuses armes nucléaires ne peut nous protéger de ces menaces. Aucun système Guerre des Étoiles (peu importe la technique de pointe, ni combien de milliards de dollars seront gaspillés dans ces projets) ne pourra nous protéger d’une arme nucléaire transportée dans un bateau, un avion ou une voiture louée.

Aucune arme, ni de notre vaste arsenal, ni un centime des 270 millions de dollars gaspillés chaque année dans le dénommé «système de défense», ne peut éviter une bombe terroriste. C’est un fait militaire. En tant que lieutenant-colonel à la retraite et dans de fréquentes conférences au sujet de la sécurité nationale, j’ai toujours cité le Psaume 33 : «Un roi n’est pas sauvé par son armée puissante.

Monsieur le Président, vous n’avez pas dit la vérité sur le «pourquoi» nous sommes la cible du terrorisme, quand vous avez expliqué pourquoi nous bombardions l’Afghanistan et le Soudan. Vous avez dit que nous étions la cible du terrorisme, parce que nous défendons la démocratie, la liberté et les droits humains dans le monde.

C’est absurde, Monsieur le Président.

Nous sommes la cible des terroristes, parce que, dans la plus grande partie du monde, notre gouvernement a défendu la dictature, l’esclavage et l’exploitation humaine. Nous sommes la cible des terroristes, parce que nous sommes haïs ; et nous sommes haïs, parce que nous avons fait des choses odieuses.

En combien de pays des agents de notre gouvernement ont-ils chassé des leaders élus par leurs peuples, en les remplaçant par des dictateurs militaires, des marionnettes désireuses de vendre leur propre peuple à des groupes américains multinationaux ?

Nous avons fait cela en Iran, quand les marines et la CIA ont déposé Mossadegh, parce qu’il avait l’intention de nationaliser l’industrie pétrolière. Nous l’avons remplacé par le Shah Reza Pahlevi et nous avons armé, entraîné sa garde nationale haïe, la Savak, qui a réduit à l’esclavage, brutalisé le peuple iranien, pour protéger les intérêts financiers de nos compagnies pétrolières. Depuis cela, est-il difficile d’imaginer qu’il existe, en Iran, des personnes qui nous haïssent ?

Nous l’avons fait au Chili, nous l’avons fait au Vietnam. Plus récemment, nous avons tenté de le faire en Irak. C’est clair ! Combien de fois l’avons-nous fait au Nicaragua et dans d’autres républiques en Amérique latine ?

Une fois après l’autre, nous avons destitué des leaders populaires, qui voulaient répartir les richesses de leur terre que le peuple gère. Nous les avons remplacés par des tyrans assassins, qui vendaient leur propre peuple pour que – moyennant le paiement de sommes énormes pour engraisser leur compte bancaire privé – la richesse de leur propre terre puisse être accaparée par des sociétés telles que Domino Sugar, United Fruit Company, Folgers et d’autres semblables.

De pays en pays, notre gouvernement a obstrué la démocratie, a étouffé la liberté et a piétiné les droits humains. C’est pour cela que nous sommes haïs dans le monde et c’est pour cela que nous sommes cible des terroristes.

Le peuple du Canada jouit de la liberté et des droits de l’Homme, ainsi que le peuple de Norvège et de Suède. Avez-vous entendu dire que des Ambassades canadiennes, norvégiennes ou suédoises aient été bombardées ? Nous ne sommes pas haïs parce que nous pratiquons la démocratie, la liberté et les droits de l’Homme. Nous sommes haïs, parce que notre gouvernement refuse ces choses aux peuples des pays du tiers-monde, dont les ressources sont convoitées par nos groupes multinationaux.

Cette haine, que nous avons semée, se tourne contre nous en nous effrayant par le terrorisme, et, dans l’avenir, par le terrorisme nucléaire.

Une fois que la vérité a été dite sur les raisons de cette menace et une fois qu’elle a été entendue, la solution devient évidente. Nous devons changer nos pratiques.

Nous libérer de nos armes nucléaires (même unilatéralement s’il le faut) améliorera notre sécurité. Changer drastiquement notre politique extérieure, la consolidera. (…)

En résumé, nous devrions être bons, au lieu d’être mauvais. Qui, alors, essaierait de nous arrêter ? Qui nous haïrait ? Qui voudrait nous bombarder ?

C’est cela la vérité, Monsieur le Président.

C’est cela que le peuple américain a besoin d’entendre.

Bernard LAW (Archevêque de Boston) Témoignage Chrétien, 3 octobre 2002  

 

05/04/2024

Chouard, le penseur le plus important de notre époque, nous explique - et Ferdinand II d'Aragon aussi !!

en passant,n'oubliez pas  de  consulter   régulièrement cette page pour y lire les messages de soutien : https://www.mesopinions.com/petition/justice/soutien-chri...

 

 

Par l'opération de l'Union "Européenne" l'Etat devient une machine à voler l'argent des citoyens pour le donner aux financiers!

*lisez ce constat : https://histoireetsociete.wordpress.com/2016/01/21/evasio...

la seule solution pour se sortir d'un tel système mafieux et "bétonné" c'est d'instaurer une démocratie par tirage au sort version Etienne Chouard. Là ça serait radical ! On comprend donc que les milieux de la bourgeoisie politicienne au pouvoir, via les séides à leur service, s'efforcent à tout prix de déconsidérer Etienne Chouard !!! vous avez compris ?

"Monsieur Chouard, vous êtes tombé dans un piège tendu par des salauds ou des collabos.

Vous êtes d’une gentillesse extrême, quasi surnaturelle, et cette gentillesse vous fait prendre sur vous la méchanceté et la bassesse des autres, vous songez en permanence à vous excuser alors que c’est vous la victime et vos « hôtes » qui sont vos agresseurs et bourreaux.

Quand vous aurez pris un peu de recul sur cette affaire, sans doute, parce que vous êtes intellectuellement intègre, comprendrez-vous qu’il n’y a aucun espoir à avoir du côté des « grands » media, ces instruments de propagande qui sont depuis le début – à l’époque des premiers « grands journaux » – avant tout au service des marchands de canons et des banquiers, et dont la fonction première N’EST PAS d’informer mais de DÉformer la perception du monde au profit de quelques-uns. « L’information » n’est que l’habillage de la propagande, ce qui lui permet de passer plus facilement.

Nous sommes dans une guerre de l’information, et il faut la vaincre, collectivement, pour les 99% de gens « normaux » comme vous et moi et non les 1% de prédateurs insatiables. Il faut donc choisir son camp, et ne pas se tromper : « Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. » – Malcolm X"

et voilà pourquoi "vous allez voir un torrent de calomnies" :

 

* Et pour revenir à Asselineau, voici le parcours d'un ex-soixante-huitard belge, qui découvre que sur l'Europe on lui avait  fait prendre des vessies pour des lanternes depuis 40 ans !

 Ah ! Ferdinand II d'Aragon ? eh bien voilà ! à l'époque on avait l'expérience des deux systèmes : élection et tirage au sort, et on en avait tiré la leçon, voilà ce que disait Ferdinand II d'Aragon, excusez du peu :

« Par expérience, on voit que les régimes dits du sort et du sac (tirage au sort des représentants publics, comme préconisé par Etienne Chouard), dans les cités et dans les villes, favorisent davantage la vie bonne, une administration et un régime sains, que les régimes qui se fondent à l’inverse sur l’élection. Ils sont plus unis et plus égaux, plus pacifiques et plus détachés des passions. »

(Ferdinand II d’Aragon, en 1492)

 

30/03/2024

les USA entourent de laboratoires secrets de guerre biologiques non seulement la Russie mais aussi la Chine - une tradition !"

trouvé dans Sven Lindqvist “Maintenant tu es mort ou Le Siècle des bombes » 1999, trad. franc. 2002 page 66

Il nous parle d'un des livres de science-fiction dont se régalaient les occidentaux (un autre de ces romans laisse également rêveur ) au début du siècle :

L’un des derniers récits de Jack London s’intitule The unparalleled invasion (1910) Vers 1970, le « monde » (la « communauté internationale » quoi !) découvre avec effroi que la Chine est peuplée de plus de cinq cent millions (sic!) de chinois « Cette monstrueuse marée » a déjà submergé l’Indochine et se presse maintenant vers la frontière nord de l’Inde. Rien ne semble pouvoir arrêter ce déferlement humain. (et le déferlement humain de l’Europe ? commencé au XVIè siècle par le Génocide de 80 millions d’amérindiens et qui du temps de London battait son plein ?)
Cependant un chercheur américain du nom de Jacobus Laningdale eu une idée novatrice. Un jour de septembre, alors que les rues de Pékin sont, comme d’habitude, pleines de « chinois qui jacassent », on aperçoit dans le ciel un minuscule point noir qui grandit et s’avère être un avion. Il lâche quelques fragiles tubes de verre qui s’écrasent simplement dans les rues et sur les toits, sans provoquer d’explosions. Mais six semaines plus tard, les onze millions de pékinois sont morts. Personne n’a échappé aux effets conjugés de la variole, de la fièvre jaune, du choléra et de la peste bubonique. Ce sont ces bactéries qui ont été déversées en pluie  sur Pékin. 

Les chinois essaient de sauver leur vie en quittant le pays, mais à la frontière, les millions de fugitifs se heurtent aux armées de l’Occident. Ce qui donne lieu à un massacre épouvantable. Et, régulièrement, les troupes sont obligées de reculer de quelques dizaines de kilomètres pour ne pas être contaminées par les immondes tas de cadavres.
Pour ces millions d’hommes qui ont perdu toute organisation et tout dynamisme, il n’y a plus aucun espoir. Ils n’ont plus d’autres issue que la mort. Et pendant que les engins de guerre gardent les masses encerclées, la peste achève son œuvre. La Chine est devenue l’enfer sur terre. Des centaines de millions de morts gisent sans sépulture. Le cannibalisme, le meurtre et la folie règnent en maître.
Les expéditions envoyées en février de l’année suivante ne trouvent que des meutes de chiens sauvages et des groupes isolés de bandits errants. Tous les survivants sont immédiatement liquidés. Le sol est désinfecté, et de nouveaux habitants s’installent  (sans état d’âme; au fait les colons allemands amenés par Hitler en Pologne en avait-ils ? en tout cas les habitants actuels de la « Prairie » U.S. ou ceux des quartiers bâtis sur les villages palestiniens rasés n’en ont pas) venus du monde entier (sic). Une ère nouvelle commence, faite de paix et de progrès, d’art et de science.

(NB le texte complet de cette nouvelle de Jack London peut se lire dans plusieurs sites sur internet, mais malheureusement le livre de Sven Lindqvist il faut l'acheter, ça vaut le coup il est capital)


Un article sur tous ces romans de l'époque http://www.depauw.edu/sfs/clarkeess.htm

 

maintenant ce n’est plus du roman, mais des réalités; pas mal non plus les réalités :

page 251 du même livre

Au Kenya, ce sont quarante mille Blancs qui règnent sur plus de cinq millions de Noirs. Le pouvoir suprème se trouve au ministère des colonies, à Londres.

Vers la fin du XIXè siècle, la première vague d’immigration britannique a « heureusement » coincidé avec une épidémie de variole qui a décimé la population noire au point de l’anéantir presque complètement dans certaines régions. Le pays paraissait « inhabité ». Les opposants ont  été tués, et leurs villages brulés. Comme tant d’autres colonisateurs contemporains, le gouverneur britannique Sir Charles Eliot considérait que les indigènes étaient en voie d’extinction. « il ne fait aucun doute que les Masaï et bien d’autres tribus vont disparaître. C’est une perspective que j’envisage avec sérénité et bonne conscience. »
Après la Première Guerre mondiale, une nouvelle vague d’immigration est arrivée – des milliers d’officiers britanniques démobilisés sont venus d’Europe, et, coup de chance, ont apporté avec eux une épidémie de grippe qui a tué plus de cent mille Kikuyu. Cinq millions d’arpents de terre ont pu être confisqués et mis à la disposition des Britanniques. Les noirs sont devenus les ouvriers agricoles sans terre, sur les terres qui avaient appartenu à leur ancêtres.

La suite :

La révolte des Mau-Mau (1952-1960)
Tout au long des années cinquante, les Britanniques sont arrivés à convaincre l’opinion mondiale qu’ils se battaient non contre des rebelles dépossédés de leurs terres et de tout droit à une justice quelconque, mais contre des « assasins bestiaux », des indigènes primitifs rendus fous par des drogues, des rituels et des orgies sexuelles, qui décapitaient les femmes et les enfants blancs.

En réalité, pendant toute la guerre, quatre-vingt-quinze blancs seulement ont été tués, dont trente-deux civils. Pendant la même période, dans la seule ville de nairobi, on compte plus de blancs tués dans des acciedents de circulation.
D’après leurs propres sources, les « forces de sécurité » britanniques ont tué onze mille cinq cent Mau-Mau. Le nombre de victimes civiles n’a jamais été rapporté.

26/03/2024

Ken O'Keefe nous explique