20/09/2020
la "dette" - mais soyons concret, appelons les choses par leur nom
https://ru-clip.net/video/8YrjiRZEpv0/ils-veulent-r%C3%A9...
(Philippot demande comment faire, mais entre autres déjà rétablir l'échelle mobile des salaires)
115% du pib de dettes ? mais, attend un peu, théoriquement (théoriquement, selon le bon sens qui en fonde le concept) une dette c'est de l'argent que qulqu'un a - a ! - et qui nous a prêté, et qu'on doit donc lui rendre. Mais ! qui possède 115% du pib ? personne ! "il faudra rembourser cet argent" - à qui ? il y a quelqu'un qui possédait cet argent avant ? Cet argent a été "emprunté" à des banques qui ne le possédaient pas ! nada ! pas plus que nous. Et qui se permettent de prétendre avoir "prêté" quelque chose qui n'étaient pas à eux ! et qui n'éxistait même pas ! ET encore réclamer des "interêts" pour cet argent qui n'était pas à eux !!
c'est du vol de grand chemin ! c'est du rackett, c'est du brigandage, c'est un hold-up pur et simple. Normalement ces "prêteurs" (ces gens qui se prétendent prêteurs) devraient être condamnés pour vol aggravé et finir leur vie au bagne, rien d'autre !
19/09/2020
l'échelle mobile des salaires vous avez déjà oublié ? - les gilets jaunes non !
DANS l'HISTORIQUE "cahier de doléance" des gilets jaunes https://citizenpost.fr/2018/11/smic-a-1300e-salaire-maxim... ils ont pensé à demander le rétablissement de l'indexation des salaires sur l'inflation, à savoir l'échelle mobile des salaires.
Etienne Chouard lui n'a pas oublié et il réclame le rétablissement de l'échele mobile des salaires, ici à la 58è minute : https://ru-clip.net/video/4nTNwe0EicM/crise-%C3%A9conomiq...
(eh oui ! on habitue les gens, petit à petit, comme dans la parabole de la grenouille ébouillantée, à croire que c'est normal des salaires aussi bas, que ce serait abuser que d'en vouloir de plus hauts ! or c'est faux ! par exemple tout ça c'est de la manipulation de l'opinion, et au départ simplement une question de rapport des forces, pareil que dans un hold-up, mais avec une habile manipulation des esprits pour faire considérer ça normal par les victimes, qu'elles se sentent honteuse de revendiquer, et faire taire ceux qui s'aviseraient de contester la propagande des maîtres !)
Ne pas indexer les salaires à la hausse des prix (ce qui se faisait jusque 1982 ! l'a-t-on déjà oublié ?) condamne les consommateurs à acheter des produits de plus en plus bon marché. Ces produits bon marché n'étant disponibles que parce qu'ils ont été créés en exploitant une main-d'oeuvre sous-payée ou grâce aux produits de remplacement mauvais pour la santé
Délocalisation de l'industrie française, d'où croissance énorme du chômage, vies et familles brisées, pression à la baisse sur les salaires et à la hausse sur la difficulté de se faire embaucher, rapport de force psalarié-patrons perverti à l'avantage du patronat. Exploitation éhontée de travailleurs chinois , philipins ou bengladeshi !
Donc en acceptant des salaires non ajustés au coût réel de la vie, on entretient ou crée de la pauvreté et de la précarité pour autrui, et on collabore à la détérioration de la santé de tous (je ne détaille pas, j'espère que vous êtes au courant, tout ça est chaque jour de plus en plus documenté)
En fait tout se tient ! comme l'a bien montré Pierre Rougeyron dans son livre "Enquête sur la loi du 3 janvier 1973"
une vidéo bien interessante aussi (ne vous laissez pas arrêter par les élucubrations bibliques de Jova ! c'est pas ça qui est important) :
https://www.youtube.com/watch?v=vhGhQbw2i98
entre autre on apprend pourquoi la guerre civile Libanaise a été provoquée par les USA en 1975.
Et ce qui s'est passé au Chili en 73 ?
pour nos ancêtres aussi : https://hdclips.top/hd-videos/8gLppVXkHCw/la-v%C3%89rit%C...
comme les gilets jaunes demandons le rétablissement de l'échelle mobile des salaires !
13/09/2020
une vague de perversité déferle sur l'Europe
La pauvreté devient un crime en Europe
Qu'y a-t-il de plus pervers pour une société de taxer les misérables qu'elle a créé, en particulier par sa politique capitaliste et néo-libérale, comme c'est le cas en Hongrie, de criminels, et, comme si ça ne suffisait pas ! de poursuivre des gens déjà frappé par le destin et par la difficulté de simplement survivre par une persécution policière !!! et des amendes phénoménales (alors qu'ils n'ont même pas l'argent pour manger) ou des sanctions de criminels (alors que d'autres catégories de criminels, qui volent des millions, de dollars ne sont pas poursuivis, car ils ont de bons conseillers fiscaux !), taper sur ceux qui souffent déjà parce qu'ils souffrent justement, à l'inverse d'aider ceux qui souffrent, tout faire pour les enfoncer encore plus, voilà bien le comble de la perversité morale. Quelles décadence la société actuelle ! Quelle cynsisme cette Europe ploutocratique et fascisante !
La Suède veut pénaliser ses mendiants. Le pays scandinave succombe ainsi à un phénomène de mode européen. Des mesures pour restreindre la mendicité sont prises un peu partout, même dans les pays où cette pratique est autorisée par la loi.
"Sus aux mendiants venus d’ailleurs!" C’est le cri de guerre du parti d’extrême droite suédois, les Démocrates de Suède. Les membres du parti ont proposé cette semaine au Parlement suédois de :
Faire de la mendicité en Suède pour les étrangers un délit et assortir la peine d'une expulsion ou d'une interdiction d'entrée sur le territoire avec une interdiction de revenir plus longue."
Xénophobe jusque dans la mendicité, les Démocrates de Suède distinguent les miséreux suédois des étrangers. Ainsi, les premiers seraient à la rue du fait de problèmes liés à la toxicomanie ou à alcool. Les seconds eux, n’auraient qu’une idée en tête: détrousser les braves citoyens suédois.
Les populistes suédois n’ont pas eu à chercher bien loin pour trouver une idée pareille. Le voisin norvégien part également en croisade contre les plus démunis.
Le gouvernement de coalition, poussé par le Parti du progrès, veut donner les moyens aux municipalités d'interdire la mendicité. Selon la chef de file de ce parti populiste, Siv Jensen, pénaliser la mendicité permettrait de lutter contre la criminalité, mais surtout, contre les Roms. Quand on parle délinquance, les parias favoris de l'Europe ne sont jamais loin.
Si la mendicité est encore légale en Norvège, il pourrait en être autrement dans les prochaines années. Dans son programme, le Parti du Progrès souhaite l'interdire dans tout le pays.
La prison en Hongrie
Les pays profitent du vide juridique de l’Union européenne en matière de mendicité. Mise à part la loi sur la liberté de circulation des individus, rien n’empêche vraiment les Etats de l'interdire, si ce n'est les associations de lutte pour les droits de l'homme. La pénalisation peut aller de travaux d’intérêts généraux… à la peine de prison en cas de récidive.
C’est, sans surprise, le cas de la Hongrie, révèle l'ONG Human Rights Watch. Le pays compte près de 30 000 sans-abris. Depuis 2010, le gouvernement de Viktor Orban s’est lancé dans un grand plan de lutte contre la pauvreté visible.
Le "ministre-président" va jusqu’à modifier la constitution hongroise afin d’interdire aux personnes de dormir ou mendier dans les zones urbaines touristiques. Le texte de loi reste cependant évasif sur la définition de "zone urbaine touristique" et laisse cette appréciation aux forces de l’ordre. Dans sa grande mansuétude, le Parlement hongrois à toutefois autorisé les communes à créer des zones réservées aux sans-abris. Qui parle de ghettos ?
La mendicité en Espagne coûte cher
Les Espagnols, eux, préfèrent tout miser sur une amende élevée. Dès 2014, la municipalité de Madrid dressera des procès-verbaux à tous les sans-abris de 750 euros selon El Pais. Les amendes pourront atteindre les 1500 euros si le mendiant tente de nettoyer la vitre d’un automobiliste. Et 3000 euros s'il sollicite la générosité des passants accompagnés d’un enfant. Plusieurs municipalités espagnoles ont déjà été séduites, comme Valladolid. En Espagne, les régions sont libres de légiférer comme elles le souhaitent, concernant la mendicité.
Les villes françaises font de la surenchère
En France, la mendicité est légale et ce depuis les années 1990. Les maires disposent cependant de droits permettant de la contrôler dans leur commune. Des ordonnances peuvent être instaurées par les maires, mais sont limités dans le temps et l’espace.
Plusieurs villes françaises, comme Marseille, Bordeaux, ou Cannes, ont ainsi voté des arrêts "anti-mendicité agressive". Il est ainsi interdit de solliciter la générosité des passants si l'on est accompagné d'un "animal dangereux" ou "en réunion de manière agressive". Ces "dangereux" mendiants devront payer une amende de 38 euros. Et depuis 2011, les sans-abris d'origine étrangère, considérés comme "malveillants", sont directement renvoyés dans leur pays d'origine.
Récemment, la candidate UMP à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko Morizet a déclaré lors du talk Orange-Le Figaro (voir vidéo) qu'elle souhaitait réactiver des arrêts similaires dans la capitale. Ces arrêts ont été suspendus en juin 2012.
Les associations tentent de limiter ce type de dérives électoralistes. Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre ont créé un site incitant les citoyens à rendre public les arrestations constatées sur la voie publique. Selon l’Insee, la France comptait, en 2012, près de 141 500 personnes sans domicile, dont 30 000 enfants.
Les Allemands misent sur la solidarité
La stratégie allemande diffère de ses voisins européens. Depuis le 1er avril 1976, les Landers sont chargés d’apporter un soutien aux personnes en grande difficulté sociale. A eux de mettre en place des structures capables d'accueillir les sans-abris. Il est cependant interdit de mendier dans les parcs ou d’inciter les mineurs à collaborer à tout acte de mendicité.
L'Etat encourage les actions menées par les associations. Quant aux églises, elles ont l'obligation d'utiliser une partie de l'impôt payé par les croyants pour aider les plus pauvres.
Charité italienne mal ordonnée
Le droit italien sur la mendicité est empreint de catholicisme. L’Etat n'interdit pas aux plus démunis de demander de l'argent, seulement ces derniers doivent le faire dans le cadre:
d'une revendication légitime de la solidarité humaine (…) afin de faire ressortir chez l'autre le sentiment d'amour (…) sans pour autant troubler l'ordre public."
Le mendiant doit également vivre dans une situation de pauvreté réelle et peut être interpellé par la police s’il se sert de l’argent récolté pour acheter de l’alcool, de la drogue ou n’importe quel autre bien qui ne serait pas nécessaire à sa survie physique....
Allez vous vous étonner dans une société devenue moralement aussi perverse et indigne, qu'on voit les clébards du pouvoir et un petit président arrogant et haïssant le peuple se conduire avec une aussi indigne abjection :Publié dans la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, Lutte des classes, morale, mort, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
11/09/2020
l'étrange mort de Hiroshi Hasegawa le journaliste vedette de la NHK
et le black-out qui l'a suivi ...
http://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-47177378-1-0-1-0-11...
tiens la vidéo suivante à été effacée, curieux !
*
Ou c'est tabou ? Il s'agit de Hiroshi Hasegawa,le chef commentateur de la chaîne NHK au Japon (l'équivalent de la BBC).
Il est décédé le 21 octobre 2001 d'une mort plus que suspecte,on retiendra cette phrase tenue lors de sa dernière apparition sur la chaîne : "Les 4 000 américains avec la double nationalité israélienne ne sont pas parmi les victimes".
https://www.youtube.com/watch?v=tnWAugpHGCI&feature=y...
Petite vidéo qui résume le truc.
Il a fallu 2 jours pour que sa mort soit mentionnée dans les journaux,et aucun détail quant aux circonstances de sa mort n'a été fourni,aucune précision,aucune autopsie,nada,son décès est à peine brièvement résumé,il se serait apparemment suicidé en sautant du haut du bâtiment de la NHK
http://blogimg.goo.ne.jp/user_image/4e/29/8b4efb6d17dcd64...
On notera également la position de l'article qui lui est consacré,situé tout en bas de la page et pris en "sandwich" par les articles du dessus,probablement pour détourner l'attention du lecteur.
L’affaire a vite été étouffée,et aucun média depuis sa mort n'a osé prononcer ne serait-ce que son nom,et encore moins abordé sa mystérieuse mort.
AUCUNE INFO CONCERNANT HIROSHI HASEGAWA N'EST TROUVABLE SUR INTERNET ! La NHC a effacé toutes traces de son existence,il n'y a qu'une seule photo de lui sur le net,aucune vidéo de lui,pas de page Wikipedia,RIEN !
Étrange,n'est ce pas ? Et c'est pas le seul qui a été décédé pour avoir tenter de relayer la vérité au grand public.
en anglais :
Hiroshi Hasegawa, Chief Commentator and political news analyst at NHK (the only public TV channel in Japan) revealed that Israeli nationals were warned a few hours before 9/11 by a text message sent in Hebrew through a telecommunication company based in Israel called Odigo. This was reported by the Israeli newspaper Haaretz. Using the “people-search” function, the users of the Odigo Messenger could send anonymous messages anywhere in the world to other users, who they could find based on demographics or location. The message was sent on the early morning of September 11, 2001.
The channel announced the “suicide” of the journalist on October 17, 2001. He actually died on October 15. The channel never revealed the name of the person who found him.
Hiroshi Hasegawa, Chief Commentator and political news analyst at NHK (the only public TV channel in Japan) revealed that Israeli nationals were warned a few hours before 9/11 by a text message sent in Hebrew through a telecommunication company based in Israel called Odigo. This was reported by the Israeli newspaper Haaretz. Using the “people-search” function, the users of the Odigo Messenger could send anonymous messages anywhere in the world to other users, who they could find based on demographics or location. The message was sent on the early morning of September 11, 2001.
The channel announced the “suicide” of the journalist on October 17, 2001. He actually died on October 15. The channel never revealed the name of the person who found him.
08/09/2020
Jacques Pauwels - passé et actualité du fascisme, instrument des interêts capitalistes - ça revient trs fort d'actualité !n'est-cepas Buzyn, Bills Gates et cie ?
Interview – Le chercheur belge Jacques Pauwels explique le retour du fascisme
Question retour du fascisme c'est d'actualité!
une maladie dangereuse est en train de balayer la planète, une maladie mortelle, et ce n'est pas le COVID 19, c'est le FASCISME ! (pour ceux qui ont encore une culture littéraire de base (....) je dirais plutôt "c'est la Rhinocérite") : Rhinocérite
......Et maintenant une lettre d'un médecin de Lyon inculpé pour avoir fait son travail................. nous sommes en 1940 !!
maintenant un retour sur l'histoire sera instructif !
Août 16 2020 Mohsen Abdelmoumen : Dans votre livre Big Business avec Hitler, vous évoquez la collaboration de l’élite économique industrielle et financière mondiale avec Hitler. Hitler n’est-il pas un pur produit, un instrument, du système capitaliste ?
Dr Jacques Pauwels : Le soi-disant «national-socialisme» d’Hitler, en réalité pas du tout une forme de socialisme,
[et pas si national que ça – d’ailleurs pour les latino-américains le nationalisme est une idée de gauche, l’intérêt de la nation, c.à d. du PEUPLE – d’ailleurs Hitler a dit une fois qu’il n’était pas nationaliste, qu’il voulait que le Reich soit non l’État des allemands, - dont il avait d’ailleurs tué tous les handicapés, Aktion T4, et les communistes, etc, aucune fraternité nationale !- mais l’État de la « race supérieure », aussi les scientifiques SS récupéraient au passage tous les humains identifiés correspondre à leurs standards raciaux dans les pays envahis]
était la variante allemande du fascisme, et le fascisme était une manifestation du capitalisme, la manière brutale et cruelle dont le capitalisme s’est manifesté dans l’entre-deux-guerres en réponse à la menace de changement révolutionnaire incarnée par le communisme, et à la crise économique de la Grande Dépression. Dans la mesure où Hitler a personnifié la variante allemande du fascisme, on peut en effet le qualifier d’«instrument» du capitalisme. Cependant, comme je le mentionne dans mon livre, le terme «instrument» est vraiment trop simpliste. Il serait plus exact de définir Hitler comme une sorte d’«agent», un être humain complexe avec un esprit propre, agissant au nom du capitalisme allemand mais pas toujours en accord avec les souhaits des capitalistes, plutôt qu’un simple «instrument» ou «outil» du capitalisme allemand. Cela explique pourquoi les capitalistes allemands n’ont pas toujours été parfaitement satisfaits des services d’Hitler. Mais l’avantage de cet arrangement était que, après l’effondrement de l’Allemagne nazie, ils ont pu blâmer l’«agent» pour tous les crimes qu’il avait commis en leur nom…..
Le capitalisme n’a-t-il pas un besoin vital du nazisme et du fascisme ?
Le capitalisme est un système socio-économique très souple qui est capable de fonctionner dans différents contextes politiques. C’est certainement un mythe que le capitalisme, appelé par euphémisme «marché libre», est une sorte de jumeau siamois de la démocratie, en d’autres termes, que l’environnement politique préféré du capitalisme est la démocratie. L’histoire nous montre que le capitalisme a prospéré dans des systèmes très autoritaires et a soutenu ces systèmes avec enthousiasme. En Allemagne, le capitalisme s’est extrêmement bien comporté lorsque Bismarck a dirigé le Reich d’une main de fer. L’Allemagne est restée capitaliste à 100% sous Hitler, et le capitalisme a prospéré sous Hitler, avant et pendant la guerre, comme je l’ai démontré dans mon livre. Le capitalisme est également capable et désireux de s’associer à la démocratie, en particulier si des réformes démocratiques semblent nécessaires pour dissiper la menace d’un changement révolutionnaire, par exemple après la Seconde Guerre mondiale, lorsque des réformes politiques et sociales démocratiques (l’Etat Providence) ont été introduites en Europe occidentale dans le but de faire dérailler les revendications beaucoup plus radicales, voire révolutionnaires, formulées par les mouvements de résistance dans des pays comme l’Italie et la France. On pourrait dire que, pour poursuivre ses objectifs de maximisation des profits, le capitalisme est prêt à utiliser la «carotte» de la démocratie ainsi que le «bâton» du fascisme et d’autres formes d’autoritarisme, telles que les dictatures militaires.
La montée des groupes néonazis et fascistes à travers le monde ne sert-elle pas le grand capital et l’oligarchie qui gouvernent le monde ?
Comme mentionné précédemment, le fascisme est une manifestation du capitalisme. En d’autres termes, c’est la façon dont le capitalisme, tel un caméléon, ajuste sa couleur à un environnement social et politique changeant. Le fascisme historique des années trente, personnifié par des personnages comme Mussolini et Hitler (Franco, Salazar, les colonels polonais, etc) reflétait la réponse du capitalisme, en Italie et en Allemagne [cf le rôle joué par Ernst Hanfstaengel], à la double menace du changement révolutionnaire à la russe et de la Grande Dépression. Après la Seconde Guerre mondiale, lorsque le fascisme était vraisemblablement mort et enterré, le capitalisme, en particulier le capitalisme américain, s’est appuyé sur des systèmes néo-, quasi- ou crypto-fascistes pour neutraliser des menaces similaires. Par exemple au Chili, où Pinochet a été porté au pouvoir pour empêcher des réformes radicales et pour permettre aux capitaux d’investissement américains de s’installer en toute sécurité dans le pays. Aujourd’hui, des problèmes économiques et sociaux, toujours plus importants [cf le rapport présenté en 1976 à la Trilatérale « Limits to democracy »] associés à des menaces révolutionnaires réelles ou perçues, ont fait que le capitalisme a donné naissance, dans un certain nombre de pays, à des partis et mouvements politiques fascistes ou, si vous préférez, quasi ou néofascistes. Pour l’instant, le capitalisme n’a pas besoin d’amener ces fascistes au pouvoir mais ils s’avèrent très utiles car, comme Hitler avec son antisémitisme, ils détournent l’attention du public des défauts du système capitaliste en rejetant la faute sur des boucs émissaires (de préférence de couleur) tels que les musulmans, les réfugiés, les Chinois et les Russes. L’écrivain allemand Bertolt Brecht nous a mis en garde de façon poétique, faisant allusion au fascisme hitlérien et à la capacité intacte du capitalisme à générer de nouvelles formes de fascisme :
«Le monde a failli être dirigé par un tel monstre !
Heureusement, les nations l’ont vaincu.
Mais ne nous réjouissons pas trop vite
Le ventre d’où il a surgi est encore fertile.»
[oui ! Sous la forme de l’OMS, Macron, Buzyn, les journaputes qui déblatèrent à la TV, Castaner, Blackrock, l’Union Européenne, le cercle « le Siècle », etc, etc]
(La Résistible Ascension d’Arturo Ui)
L’Union européenne accuse l’URSS d’avoir déclenché la Seconde Guerre mondiale. Qu’en pensez-vous ?
Blâmer l’URSS et, par conséquent, l’Etat russe qui lui a succédé, pour la Seconde Guerre mondiale est une déclaration purement politique. Cela constitue une distorsion monstrueuse et honteuse de l’histoire. Dans les années 1930, l’Union soviétique a cherché pendant des années à établir une alliance antihitlérienne avec la France et la Grande-Bretagne, mais elle a été rejetée à maintes reprises. La raison à cela réside dans le fait que les hommes au pouvoir à Londres et à Paris ne voulaient pas entrer en guerre aux côtés des Soviétiques contre Hitler mais voulaient qu’Hitler utilise la puissance militaire de l’Allemagne pour marcher vers l’est et détruire l’Union soviétique pendant qu’ils regarderaient joyeusement depuis les coulisses. Hitler voulait certainement la guerre, c’est pourquoi on lui reproche, à juste titre, d’avoir déclenché la Seconde Guerre mondiale. Mais les dirigeants français et britanniques méritent une part de responsabilité car ils ont encouragé Hitler et l’ont soutenu avec leur politique d’«apaisement», par exemple en lui offrant la Tchécoslovaquie sur un plateau d’argent dans le cadre du tristement célèbre pacte qu’ils ont conclu avec lui à Munich en 1938.
En blâmant l’URSS, les politiciens et les médias occidentaux ne cherchent-ils pas à dissimuler leur propre sale histoire de collaboration avec Hitler et le nazisme ?
En effet, en blâmant l’Union soviétique, les pays «occidentaux», ou du moins leurs dirigeants, cherchent à détourner l’attention de leur propre rôle dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Par le biais de leur infâme politique d’apaisement, les dirigeants britanniques et français ont encouragé et facilité les plans d’Hitler pour une «croisade» contre l’Union soviétique. Et l’élite des entreprises et des finances des pays occidentaux, y compris les Etats-Unis, a collaboré très étroitement – et de manière très profitable – avec Hitler, comme je l’ai démontré dans mes livres Big Business avec Hitler et Le Mythe de la bonne guerre.
Dans vos ouvrages Big Business avec Hitler et Le Mythe de la Bonne Guerre : Les USA et la Seconde Guerre mondiale, vous démontez le mythe de la «libération» de l’Europe par les Etats-Unis alors que l’on sait que c’est la victoire de Stalingrad par les Soviétiques qui a été le tournant de la guerre. Dire que les Etats-Unis ont libéré l’Europe n’est-il pas un autre mensonge historique ? Les Etats-Unis n’ont-ils pas tout simplement colonisé l’Europe ? Comment expliquez-vous la dépendance de l’Europe vis-à-vis des Etats-Unis et le fait que les Européens suivent toujours la politique impérialiste des USA ? L’OTAN n’est-elle pas devenue obsolète ?
Il est vrai que l’Union soviétique a apporté la plus grande contribution, et de loin, à la victoire des Alliés. Si l’Armée rouge n’avait pas réussi à arrêter le rouleau compresseur nazi devant Moscou en 1941 et à remporter des victoires importantes à Stalingrad et ailleurs, Hitler aurait gagné la guerre. Mais les nazis avaient la machine de guerre la plus puissante que le monde ait jamais vue, et la vaincre nécessitait la contribution de toutes les armées alliées et aussi des mouvements de résistance. On ne peut nier que l’armée américaine a également apporté une contribution importante ; cependant, les dirigeants américains ont profité de la présence de leur armée en Europe occidentale pour établir leur hégémonie sur cette partie du monde. A bien des égards, ils n’ont pas vraiment «libéré» les pays d’Europe occidentale. Aujourd’hui encore, l’Allemagne n’est pas «libre» de demander aux troupes américaines de quitter son territoire, et la Belgique et les Pays-Bas doivent tolérer la présence à l’intérieur de leurs frontières de bombes atomiques américaines. Le président français Charles de Gaulle n’était pas loin de la vérité lorsqu’il a décrit la libération américaine de la France comme une seconde «occupation», faisant suite à l’occupation allemande. Contrairement aux Allemands et aux Belges, il a eu le culot d’exiger que les troupes américaines quittent la France, et c’est l’une des raisons pour lesquelles la CIA semble avoir été impliquée dans divers attentats contre sa vie. Mais même de Gaulle n’a pu éviter d’adhérer à l’OTAN, qui n’est pas du tout une alliance d’égaux, mais un club de «satellites» européens des Etats-Unis, strictement contrôlé par le Pentagone, et fonctionnant comme un département de vente et de relations publiques du «complexe militaro-industriel» américain. L’OTAN a été créée à l’origine pour défendre l’Europe occidentale contre une menace totalement fictive émanant de l’Union soviétique et aurait donc dû être dissoute après l’effondrement de l’«empire du mal». Pour les Etats-Unis, cependant, l’OTAN est un instrument très utile et puissant pour contrôler l’Europe. Et en effet, ce contrôle, cette hégémonie, a été établi par les Etats-Unis dans les mois qui ont suivi le débarquement de leurs troupes en Normandie en 1944. Ironiquement, cet exploit n’aurait pas été possible si l’Armée rouge n’avait pas porté des coups mortels à l’Allemagne nazie bien plus tôt.
L’intervention américaine en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale n’est-elle pas tout simplement une guerre capitaliste ? Ne sert-elle pas en premier lieu les intérêts de l’impérialisme américain et son complexe militaro-industriel ?
La Seconde Guerre mondiale s’est résumée à deux guerres en une seule. D’une part, il s’agissait bien d’une guerre «capitaliste», ou plutôt d’une guerre «impérialiste». L’impérialisme était/est la manifestation internationale, mondiale du capitalisme, impliquant la concurrence et le conflit entre les principales puissances capitalistes/impérialistes sur des territoires regorgeant de desiderata tels que les matières premières (comme le pétrole) et la main-d’œuvre bon marché. La Première Guerre mondiale était un conflit impérialiste, mais elle n’a pas réglé les choses, alors les puissances impérialistes sont entrées en guerre une seconde fois. Les Etats-Unis sortiraient de ce conflit comme le grand gagnant grâce, ironiquement, à la défaite écrasante de l’Union soviétique face à l’autre candidat à la suprématie impérialiste, l’Allemagne nazie. En même temps, la Seconde Guerre mondiale était aussi un conflit entre le capitalisme-impérialisme et le socialisme, incarné par l’Union soviétique. C’est une ironie de l’histoire que les deux types de conflits aient fusionné, produisant des contradictions telles que l’alliance de facto de l’Union soviétique socialiste, intrinsèquement anticapitaliste et anti-impérialiste, avec deux puissances impérialistes antisocialistes, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. La guerre a servi les intérêts de l’impérialisme américain en ce qu’elle a permis aux Etats-Unis d’émerger comme le numéro un incontesté de l’impérialisme. Mais l’issue de la guerre était imparfaite car elle signifiait aussi un triomphe pour l’Union soviétique anti-impérialiste. C’est pourquoi, immédiatement après la Seconde Guerre mondiale, Washington a commencé une nouvelle guerre, la «Guerre froide», avec pour objectif rien de moins que l’élimination de l’Union soviétique.
L’impérialisme américain n’a jamais cessé une politique de guerre et de coups d’Etat à travers le monde. Les guerres impérialistes qui ont ravagé l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, la Syrie, le Yémen, etc. ne sont-elles pas symptomatiques de la barbarie de l’impérialisme américain ?
Historiquement, l’impérialisme américain a poursuivi ses objectifs de manière systématique, impitoyable et, pourrait-on ajouter, non seulement ouvertement mais aussi furtivement, via la guerre ouverte, la guerre économique, la déstabilisation, le sabotage et les tentatives d’assassinat. Parmi les exemples de cette impitoyabilité, citons le bombardement inutile d’Hiroshima, la guerre chimique contre les Vietnamiens, les tentatives d’assassinat réussies ou non de dirigeants récalcitrants tels que Fidel Castro et Lumumba, et des sanctions économiques qui coûtent la vie à des dizaines, voire des centaines de milliers de femmes et d’enfants, comme l’a tristement reconnu Madelaine Albright dans une référence à l’Irak. Alors oui, les guerres déclenchées par les Etats-Unis en Irak, en Afghanistan, en Libye, etc. sont symptomatiques de cette impitoyabilité ou barbarie, comme vous l’appelez.
Qui est le Dr Jacques Pauwels ? Jacques R. Pauwels est un historien, chercheur et écrivain, né à Gand, en Belgique. Il a émigré au Canada en 1969 après des études d’histoire à l’université de Gand et s’est installé près de la ville de Toronto. Il est devenu professeur d’histoire dans plusieurs universités canadiennes, dont l’université de Toronto et celle de Guelph. Il est conférencier dans diverses universités de l’Ontario et a publié de nombreux articles. Il a écrit plusieurs ouvrages traduits en plusieurs langues dont Women, Nazis, and Universities : Women University Students in Nazi Germany, 1933-1945 ; Le Mythe de la bonne guerre ; Les Etats-Unis et Seconde Guerre mondiale ; Big Business avec Hitler ; Les Mythes de l’Histoire moderne, Le Paris des sans-culottes.
Son site internet http://www.jacquespauwels.net
Published in American Herald Tribune August 13, 2020: https://ahtribune.com/interview/4347-jacques-pauwels.html
suivez les articles du Pardem :
https://pardem.org/actualite/la-serie-demondialisons/1055...
07/09/2020
1° N’ENVOYEZ PLUS VOS GOSSES A CETTE ECOLE QUI LES BAILLONNE ! (mais 2° c'est pas tout ! il va falloir virer la mafia au pouvoir comme des malpropres qu'ils sont)
"Indignez-vous" ? Non ! "Révoltez-vous !!!" (révoltez-vous contre la censure qui s'abat sur ru-clip.net aussi !!!!) - par Gérard Luçon
Jamais en France, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, un pouvoir n’était allé aussi loin dans la menace et la répression ..
Que se passe-t-il aujourd’hui dans nos écoles, collèges, lycées? Non seulement l’imposition continuelle d’un bâillon, parfois jusqu’à plus de 10 heures/ jour – sauf durant les repas, moment où la promiscuité est à son maximum, les échanges vocaux aussi et le contact mains-bouche à son apogée… – mais aussi la présence imposante de brigades de gendarmerie aux abords et jusque dans ces établissements, tout comme dans les transports scolaires !!!
En 68, pour moi qui, lycéen, y ai activement participé, et alors que nous bloquions et occupions notre lycée (à Manosque, en Provence) aucun flic ni gendarme n’entrait, et aucun n’essayait d’entrer, c’était tout simplement inconcevable …
La république a bien changé ! Et la notion de DROIT et de légalité..
La Gendarmerie, c’est l’armée, et en France cette fois-ci cette frange de l’armée s’est rangée du côté de ce pouvoir défaillant, voire criminel (n’oublions pas le Décret 2020-190 du 3 mars interdisant la vente de masques aux particuliers). Pire, ces gendarmes font appliquer une mesure « insalubre » au moment même où des tribunaux condamnent l’obligation de port du masque dans l’espace public (voir liens en bas de texte), or avec la présence dans les écoles de ces gendarmes, l’école est désormais un espace public et non plus un lieu privilégié d’enseignement, d’apprentissage, de socialisation …
Ce pouvoir est à « gerber », et comme il ne tient que par la violence et l’intimidation, il est à virer sans ménagement avant que nous ne nous retrouvions avec des gosses malades, allergiques, traumatisés!
N’ENVOYEZ PLUS VOS GOSSES A CETTE ECOLE QUI LES BAILLONNE !!!
Certains me rétorqueront que c’est facile pour moi de donner ce conseil, mon fils ayant 43 ans… je crois que le problème que la société française d’aujourd’hui rencontre est celui de l’individualisation et de sa conséquence directe, l’isolement et la perte de solidarité. C’est là que l’on trouve la vraie conséquence des événements de 68. À l’époque j’étais donc lycéen et membre des Jeunesses communistes (et aussi du PCF et des C.A.L.); outre l’occupation du lycée je fréquentais la Bourse du Travail où je coyotais les ouvriers, les militants, et même au plus fort de la grève paralysant le pays, les paysans qui apportaient leurs produits pour les offrir aux familles des grévistes … O tempora, o mores !
De 68 les médias ne retiennent que la photo de Cohn Bendit, Personnellement je retiens ceci de cet énergumène bourgeois : à son retour fanfaron et „incognito” d’Allemagne il déclarait à un journal que c’étaient ses réseaux révolutionnaires qui lui avaient permis de rentrer ! Lui qui en réalité était rentré caché dans le coffre de la voiture de Marie-France Pisier (ça ne s’invente pas !!!). Quand à l’autre comique-troupier télévisé, le dénommé „Goupil” autoproclamé créateur des CAL (Comités d’Actions Lycéens) on ne l’a découvert que parce qu’il était d’une famille squattant la Cité des Artistes, donc proche des "médias" et de la „jet-set”.
La conséquence directe de 68, de ces ouvriers disant à Georges Séguy que ses accords de Grenelle il pouvait „se les tailler en pointe”, c’est que tous les pouvoirs qui ont suivi et quasiment tous les dirigeants syndicaux et politiques ont cherché à museler le peuple, le canaliser et éviter toute initiative populaire non contrôlée depuis le sommet … ainsi nous en sommes arrivés à un parlement où il n’y a plus aucun ouvrier, plus aucun petit paysan, que „des bourges”, „des cuillers en argent”, „des De la Haute” !
Alors parents, effectivement vous êtes seuls face à cette école de la répression et de la soumission! Car que représente donc le port continuel de ce masque? D’abord et avant tout des conséquences sanitaires. La santé des élèves est purement et simplement mise en danger : hypoxie (et les problèmes sur le fonctionnement du cerveau qu’elle engendre), problèmes respiratoires, bactéries, problèmes cutanés…
Mais aussi, peut-être plus symboliquement, l’interdiction de s’exprimer et de voir les autres s’exprimer, même les mimiques sont censurées car devenues invisibles. Avec un masque on entend mal ce que les gens disent, on ne voit plus leur expression, leur sourire ou leur rage. La communication s’arrête. Comme une servitude volontaire (Ô combien faut-il relire La Boëtie! - et ionesco ! « Rhinocéros »), le silence s’impose.
Est-ce bien ça que vous souhaitez à vos gosses? Est-ce bien raisonnable de l’accepter? Ne vaut-il pas mieux prendre le risque d’une année scolaire perdue ou effectuée à la maison, voire d’un contrôle social qui a de grandes chances de n’avoir jamais lieu, plutôt que de prendre le risque de leur porter préjudice?
Il y a une annonce de manifestation ce 12 septembre. Prenez cette date comme date charnière et historique, descendez dans la rue si vous le souhaitez et le pouvez, mais aussi à partir de cette date ne mettez plus vos enfants à l’école tant que le baillon sera en vigueur !
Voici une école à Wuhan, le fameux épicentre de la „pandémie”:
Et voici une école en langue roumaine, en Hongrie:
Ci après quelques liens utiles:
« En vigueur depuis samedi, l’arrêté qui rendait obligatoire le port du masque dans 13 communes de plus de 10 000 habitants dont Strasbourg a été suspendu par la justice hier. Une décision qui fait suite à la plainte de deux pratiquants hospitaliers : un psychologue hospitalier Vincent Feireisen et le médecin Christian Chartier. Tous les deux Strasbourgeois, ils ont décidé de saisir le tribunal administratif de Strasbourg pour « atteinte grave et imminente à une liberté fondamentale ». Le psychologue, qui a eu la Covid-19, a confié à France 3 avoir été choqué par « le caractère disproportionné de cet arrêté », même s’il précise « ne pas être anti-masque ». « On met en place des contraintes, ce n’est pas de la prévention, mais une forme de contrôle social qui viole ostensiblement la vie privée car disproportionnée et inadéquate à ce qui est visé : la protection de la santé. Depuis le début de l’épidémie et sans contraintes, les gens dans les magasins et dans les lieux clos mettent le masque, car ils sont intelligents ».
https://frontpopulaire.fr/o/Content/co209466/port-du-masq...
https://www.sudouest.fr/2020/09/02/pyrenees-atlantiques-l...
https://www.lepoint.fr/politique/la-justice-casse-l-oblig...
et ce lien lourd de sens: une école à Wuhan :
https://www.lindependant.fr/2020/09/03/coronavirus-le-ret...
(merci à Anne et Stéphane pour la collaboration)
regardez ci-dessous ce reportage sur cette immonde et capitaliste plateforme : youtube , qui a saboté, piraté, censuré, hacké l'excellent et LIBRE portail de vidéo ru-clip.net, le seul échappatoire qui restait pour y échapper et sur laquelle il y avait moyen de lire les commentaires !! et de télécharger les vidéos !!!
que l'action de ces 500 familles serve d'exemple, surtout dans le contexte actuel d'infame et humanismicide épidémie de "Rhinocérite " aigue qui s'abat sur la france et le monde ! (OMS, et qui finance l'OMS ? hein ? - "qui paye commande" dit la sagesse des nations, "à qui profite le crime ?" dit le BON SENS policier ..) puisse servir d'exemple et être suivie par un max de personne, en Bretagne et ailleurs !
et même pour ceux qui y vont il y a des moyens juridique de défense, lisez cet article :
https://reseauinternational.net/comment-dispenser-ses-enfants-de-porter-le-masque-a-lecole
Publié dans Bravi abbracciatevi come eravamo abituati a fare, comme le temps passe !, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, la vraie vie, libertés, Liens interessants, Lutte des classes, mes aphorismes, mi iras limake, morale, Politique, Science, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
06/09/2020
Bon, concernant cette question du VIOL, et la quasi déification qu'on fait actuellement de sa répression, il faut quand-même creuser le problème plus profondément
- juin/1987 : Réflexions d’actualité
On juge et on condamne ceux qui volent et ceux qui violent ; or les patrons (et les cadres sup des services du personnel) qui foutent à la porte (c’est à dire dans le contexte actuel à la misère, au chômage sans recours, à la mort lente, au désespoir à la clochardisation, etc., etc.) des gens, éventuellement après les avoir piégés et foutu artificiellement une faute professionnelle sur le dos, ou par arbitraire ou sur un caprice quelconque de chef et maquillé sous une licenciement économique, etc., on ne les juge pas, on ne les condamne pas (non, ce sont eux qui jugent et qui condamnent) et pourtant. Les effets psychologiques sont les mêmes, la violence la même, et c’est aussi dégueulasse, et souvent aussi criminel. La misère est au bout autant et en fait plus que pour celui qui se fait tout voler par un voyou (ah mais les patrons sont des gens « respectables » n’est-ce pas et les voyous des « marginaux » !). On a vu des gens condamnés à 20 ans de prison pour un viol, et jamais pour un licenciement, même arbitraire, or c’est une forme de viol pourtant, dans le contexte actuel, et surtout quand on s’est fait virer arbitrairement ou après avoir été piégés par un tout-puissant, ou quand on a sa maison à payer à crédit (comme la belle-sœur de Mme Possien à l’U.G.C.A.). La preuve il y en a qui se suicident, ou qui sombrent dans la dépression. D’un viol certaines restent traumatisées toute leur vie, d’un licenciement c’est pareil. Comment expliquer cette différence ? Sans doute avec Gilliard « Ce qu’on appelle l’ordre établi n’est qu’un état de violence entré dans l’habitude. Il n’y a pas d’injustice, d’injure, d’iniquité, d’indignité, de brutalité, de barbarie, à qui la durée ne puisse conférer, par l’accoutumance, « morale » une apparence de civilité, un air de décence, des dehors de bienséance » (cité par Catherine Baker, in « Insoumission à l’école obligatoire »)
31/08/2020
de la nécessité de faire une analyse marxiste du petit monde des universitaires !
le snobisme grégaire – fusse-t-il au sein de la communauté dite scientifique – relève plus de la lâcheté ou de la défense d’intérêts, que d’une réelle intelligence de situation. https://zerhubarbeblog.net/2020/10/02/conscience-quantiqu...
dans ce lien : https://fr.wikiversity.org/wiki/Recherche:LENR/%C3%89tude...
on voit un autre cas de ce principe "marxiste", financier, rapports dans la processus de production, de la recherche, et du blocage psychologique et social que les modes/antimodes causent !
Problématique et enjeux de la recherche
Le domaine des transmutations biologiques est très peu étudié par les chercheurs. Surtout à cause de la contradiction entre la théorie actuelle des phénomènes nucléaires et les expérimentations en transmutation biologique. Mais aussi parce qu’il ne semble pas actuellement valorisant ou attrayant financièrement.
Les difficultés des chercheurs semblent être :
- Un domaine non financé par les organismes de recherche
- Des sujets de recherches dont les budgets ne semblent pas suffisants
- Le risque de se marginaliser par des sujets d'études peu répandus
- Le risque de se déconsidérer en se reliant à des concepts scientifiquement rejetées depuis longtemps
et cette citation de Dean Radin :
"les gens du métier savent trop bien qu'une curiosité [remarquez bien rien qu'une curiosité suffit, alors que la curiosité c'est quand-même le BA ba sine qua non de l'esprit scientifique ! en théorie ...] curiosité pour la "pseudo-science" suffit à ce que les crédits de recherche tarissent, à ce que les revues refusent de publier leur communications et que les postes universitaires [donc les copieux salaires afférents !] deviennent mystérieusement inaccessibles"
"il s’agit de ne pas s’écarter trop des théories à la mode, sans quoi, adieu les crédits." ("1999 ou Dieu pris sur le fait", page 75)
et un commentateur anonyme sur Internet résume bien le problème question constat et question causes du phénmène .... ..
Regardez sur internet vous trouverez des vidéos à propos de JP petit, de l'attitude des "pontes" hyper-friqués, hyper élevés dans la hiérarchie, rien que des sommités, avec derrière eux (et devant !!!....) une super carrière (avec sans doute plein d'avantage financiers à la clé, sur les quels on jette toujours un voile pudique !) et de super-postes prestigieux, Elbaz, et Klein pour ne pas les nommer, à quel point dès qu'on leur pose la question « et que pensez-vous de la théorie de Jean-Pierre Petit ? » jusque là si brillants, si AU FAIT de tout, ils se mettent à begayer lamentablement ! à ne pas savoir comment éluder la question, euh euh, je ne suis pas bien au courant, euh je ne suis pas autorisé à en parler, a fini par lâcher Klein.
Or comme j'ai dit ce sont des gens avec des postes et des renommées au sommet, on imaginerait - là aussi naïvement ! - qu'ils devraient se sentir plus sûrs et plus libres de parler que les autres. Eh bien non !! c'est le contraire !! plus ils ont une belle carrière, plus ils ont de FRIC , plus ont à PERDRE si jamais ils se retrouvent blacklistés par leurs confrères !!!
CQFD !
et on s'imaginerait naïvement que la principale préoccupation des scientifiques de haut niveau est la vérité, que non ! c'est leur carrière personnelle à eux ! (et tous les avantages qui vont avec). Et c'est une des raison pourquoi les intellectuels ne sont contrairement à ce qu'on pourrait croire naïvement, pas plus libres d'esprit que le peuple, mais moins ! et beaucoup plus conformistes, panurgiques, claniques, terrorisme intellectuel, bornés, petits cucubes à la momode.
ça se confirme !!!
voilà ce que je trouve, dans un forum, c'est JPP qui parle :
"Je bosse avec la mathématicienne Nathalie Debergh. Quelle différence, humainement ! Rigueur, honnêteté, humanité, courage, humour, et passion, aussi. Ce qu'il faut pour se trouver éjectée de l'université de Liège. Car, qu'on ne s'y trompe pas, c'est partout pareil. Avec des états de service impressionnants, un esprit exceptionnellement brillant, elle s'est vue barrer l'entrée de l'université. Elle est prof dans une école technique, enseigne à des institutrices et des étudiants en agronomie (…).Dans ces milieux, quand on a décidé de faire tomber quelqu'un, on fait tout pour que la personne ainsi condamnée n'en ait pas conscience.
Alors que ces gens savent pertinemment qu'elle a été "condamnée" par la maffia locale parce que trop brillante, parce qu'elle appelle un chat un chat, parce que ses exceptionnelles qualités font de l'ombre aux autres. Dans le monde de la recherche, être brillant est plus un handicap qu'un avantage. Quand on est comme Nathalie, on ne voit pas le coup venir. On est plongée dans ses recherches. On produit à tout va (cent articles parus dans des revues top niveau). Jusqu'au jour où c'est la dernière année. Où l'université a choisi un "profil" tel que ses compétences ne puissenparce que trop brillante, parce qu'elle appelle un chat un chatt être prises en compte. Alors c'est la porte. Retrouver un job n'importe où, tant bien que mal.Moi je m'en suis sorti parce que je me suis toujours efforcé d'anticiper. Sauf la fois où la DG du Cnrs m'avait viré de l'observatoire par lettre de cachet. Je ne pensais pas qu'ils auraient été jusque là. Je pense à James Lequeux, complice de cette opération de "prophylaxie". Lequeux, qui disait qu'il avait le cuir aussi épais que celui d'un rhinocéros. Mais j'ai échappé à ce coup là aussi. Depuis, je n'ai que mépris pour cette institution qu'est le Cnrs, dont la devise devrait être " Je ne veux pas le Savoir". Des structures qui fonctionnent comme la Maffia. Vous savez pourquoi Nathalie a pris contact avec moi ? Elle m'a dit "j'ai découvert en vous un type intègre. Et ça ne court pas les rues dans le monde université-recherche". Le résultat de cette collaboration a été un super papier en mécanique quantique.
Qu'est-ce que je fais, maintenant ? Je me tourne vers Nathalie. Nous échangeons. J'ai basculé dans la géométrie symplectique. Passionnant, et à terme utile. ’il ne semble pas actuellement valorisant ou attrayant financièrement.Autre aspect de ce qu'on découvre (sans aucun étonnement, c'est le "bon sens même ! on sait que les gens, surtout dans les plus puissant niveaux de la société, sont comme ça) c'est ce que certains propagandistes de l'Establishment appellent le "conspirationniste", en français l'esprit d'exament tout bonnement, le BA-ba de n'importe quel inspecteur de police !
et le principe de base de la plupart des "conspirations" (traduisez : stratégies d'ensemble du grand capital) est simple (et s'analyse par la théorie marxiste, tout bonnement !) c'est "le business avant tout" ! exemple :
et un commentateur anonyme sur Internet résume bien le problème question constat et question causes du phénmène .... ..
Regardez sur internet vous trouverez des vidéos à propos de JP petit, de l'attitude des "pontes" hyper-friqués, hyper élevés dans la hiérarchie, rien que des sommités, avec derrière eux (et devant !!!....) une super carrière (avec sans doute plein d'avantage financiers à la clé, sur les quels on jette toujours un voile pudique !) et de super-postes prestigieux, Elbaz, et Klein pour ne pas les nommer, à quel point dès qu'on leur pose la question « et que pensez-vous de la théorie de Jean-Pierre Petit ? » jusque là si brillants, si AU FAIT de tout, ils se mettent à begayer lamentablement ! à ne pas savoir comment éluder la question, euh euh, je ne suis pas bien au courant, euh je ne suis pas autorisé à en parler, a fini par lâcher Klein.
Or comme j'ai dit ce sont des gens avec des postes et des renommées au sommet, on imaginerait - là aussi naïvement ! - qu'ils devraient se sentir plus sûrs et plus libres de parler que les autres. Eh bien non !! c'est le contraire !! plus ils ont une belle carrière, plus ils ont de FRIC , plus ont à PERDRE si jamais ils se retrouvent blacklistés par leurs confrères !!!
La preuve que c'est bien ça leur motivation, et la raison de leur comportement, a contrario la voilà : avec JPP travaillent 2 personnes, l'un d'eux est son vieil ami (un VRAI ami !) Gilles d’Agostini 61 ans, et qui a sa propre entreprie en dehors du monde de la recherche institutionnelle, on n'en parle pas. ET la seconde est une jeune (la 30-aine) prof de math belge, qui n'a PAS DE POSTE UNIVERSITAIRE (elle enseigne en école de vétérinaires) donc pas de brillante (et rémunératrice ...) carrière à ménager !!!! Donc elle elle peut se permettre d'être courageuse, on ne peut pas lui briser sa carrière universitaire, ni ses colloques (tous frais payés plus les a -côtés ! voir le roman de David Lodge "un tout petit monde" ). Donc elle peut se sentir libre.
CQFD !
et on s'imaginerait naïvement que la principale préoccupation des scientifiques de haut niveau est la vérité, que non ! c'est leur carrière personnelle à eux ! (et tous les avantages qui vont avec). Et c'est une des raison pourquoi les intellectuels ne sont contrairement à ce qu'on pourrait croire naïvement, pas plus libres d'esprit que le peuple, mais moins ! et beaucoup plus conformistes, panurgiques, claniques, terrorisme intellectuel, bornés, petits cucubes à la momode.
ça se confirme !!!
voilà ce que je trouve, dans un forum, c'est JPP qui parle :
"Je bosse avec la mathématicienne Nathalie Debergh. Quelle différence, humainement ! Rigueur, honnêteté, humanité, courage, humour, et passion, aussi. Ce qu'il faut pour se trouver éjectée de l'université de Liège. Car, qu'on ne s'y trompe pas, c'est partout pareil. Avec des états de service impressionnants, un esprit exceptionnellement brillant, elle s'est vue barrer l'entrée de l'université. Elle est prof dans une école technique, enseigne à des institutrices et des étudiants en agronomie (…).Dans ces milieux, quand on a décidé de faire tomber quelqu'un, on fait tout pour que la personne ainsi condamnée n'en ait pas conscience.
Alors que ces gens savent pertinemment qu'elle a été "condamnée" par la maffia locale parce que trop brillante, parce qu'elle appelle un chat un chat, parce que ses exceptionnelles qualités font de l'ombre aux autres. Dans le monde de la recherche, être brillant est plus un handicap qu'un avantage. Quand on est comme Nathalie, on ne voit pas le coup venir. On est plongée dans ses recherches. On produit à tout va (cent articles parus dans des revues top niveau). Jusqu'au jour où c'est la dernière année. Où l'université a choisi un "profil" tel que ses compétences ne puissenparce que trop brillante, parce qu'elle appelle un chat un chatt être prises en compte. Alors c'est la porte. Retrouver un job n'importe où, tant bien que mal.Moi je m'en suis sorti parce que je me suis toujours efforcé d'anticiper. Sauf la fois où la DG du Cnrs m'avait viré de l'observatoire par lettre de cachet. Je ne pensais pas qu'ils auraient été jusque là. Je pense à James Lequeux, complice de cette opération de "prophylaxie". Lequeux, qui disait qu'il avait le cuir aussi épais que celui d'un rhinocéros. Mais j'ai échappé à ce coup là aussi. Depuis, je n'ai que mépris pour cette institution qu'est le Cnrs, dont la devise devrait être " Je ne veux pas le Savoir". Des structures qui fonctionnent comme la Maffia. Vous savez pourquoi Nathalie a pris contact avec moi ? Elle m'a dit "j'ai découvert en vous un type intègre. Et ça ne court pas les rues dans le monde université-recherche". Le résultat de cette collaboration a été un super papier en mécanique quantique.
Qu'est-ce que je fais, maintenant ? Je me tourne vers Nathalie. Nous échangeons. J'ai basculé dans la géométrie symplectique. Passionnant, et à terme utile. ’il ne semble pas actuellement valorisant ou attrayant financièrement.Autre aspect de ce qu'on découvre (sans aucun étonnement, c'est le "bon sens même ! on sait que les gens, surtout dans les plus puissant niveaux de la société, sont comme ça) c'est ce que certains propagandistes de l'Establishment appellent le "conspirationniste", en français l'esprit d'exament tout bonnement, le BA-ba de n'importe quel inspecteur de police !
et le principe de base de la plupart des "conspirations" (traduisez : stratégies d'ensemble du grand capital) est simple (et s'analyse par la théorie marxiste, tout bonnement !) c'est "le business avant tout" ! exemple :
28/08/2020
je ne comprend pas pourquoi les responsables parmi l'élite au pouvoir ne sont toujours pas sur le banc des accusés, pour entre autres, crimes contre l'humanité.... Voilà la vrai question aujourd'hui
17/08/2020
le hameau du Planquay nombril de la france, de la dignité et de la lutte de son peuple - et des vertus chrétiennes d'un VRAI prêtre
*l'Abbé Francis Michel est adoré de ses paroissiens, des Gilets Jaunes, et..... de Jésus
le peuple n'a pas sa vie en mains :
Gilets jaunes et espéranto :
Jai trouvé un poème, écrit en Espérato selon les règles d'un genre traditionnel chinois, qui pourrait très bien devenir l'hymne de giets jaunes :
Cioj laŭ melodio de Tjaŭŝjaŭling
Ili konsistas el ok versoj de 2,2,6,6,6,2,2,6 silaboj, kun rimaranĝo aaabbccc. La dua verso ripetas la unuan kaj la sepa la sesan. La sesa verso devas esti son-alterne konsista laŭ la lastaj du silaboj de la kvina verso (ekzemple en E-o: diri - ridi)
- origine esperantligvaj ekzemploj
- de Lu Jixin
- Frapo,
- Frapo
- Plonĝas al la kapo
- Ankaŭ sorta jugo
- Ne kliniĝu l’nuko
- Konu,
- Konu
- Ĝustas nia voj’ nu !
*et regardez téléchargez et diffusez cette vidéo ! Alberto Bagnai vient de la gauche, et Philippot est un admirateur de Chavez (L'europe n'est qu'un prétexte pour saigner à blanc les pauvres pour enrichir davantage les supers riches) : https://ru-clip.net/video/vH6bQUCIHFI/entretien-avec-albe...
n'attendez plus ! ne restez pas seul !
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