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15/12/2019

vive le cirque ! vive les cirques - avec des animaux


sen mi

 Returne! Nokt' min kovras tute,
De fore krias fat-imamo,
Mi paŝas sen mi, blinde kaj mute
-- Returne -- kun palpanta mano

 

(Ferencz SZILÁGYI)

03/12/2019

La VRAIE VIE

       On ne voit presque plus jamais (sauf dans le Tiers-Monde) de mère portant son enfant à bras ! C’est lamentable et un symptôme inquiétant.
On ne voit plus non plus d’enfant se tenant par la main, alors qu’avant c’était presque la règle, là aussi c’est un mauvais symptôme.

« Ĉiutage lernu, pensu, desegnu, pentru, kantu, dancu ludu kaj laboru iomete » dit un texte
sur Bazaro, très juste : chaque jour apprenez, chaque jour pensez, chantez, dancez, jouez et travaillez (un peu !). « kion oni meritas scii » qu’elle dit oui, mais cet art de bien vivre et humanistement, on en est loin ! maintenant qui danse encore tous les jours ? peu de gens apprennent (c’est bon pour les enfants n’est-ce pas ? Glandouiller dans la cage à écureuil et à se regarder le nombril, les zizanies et les magouilles
c’est tellement plus interessant ! pensez ... passons, jouez chanter, pareil qui oserait encore vivre ? Et pourtant voilà bel et bien un programme qu’il faudrait suivre.
- « ekprenu la manon de via kunulo kaj ne disiĝu unu de la alia ! » qu’elle dit aussi ; Combien vrai ! Kiel prave !
(veege)
prenez la main de votre compagnon (agne) et ne vous séparez pas l’un de l’autre.
Il faudrait le dire à beaucoup de nos jours ! et même ils ne comprendraient même pas ! le plaisir ni la valeur que ça peut avoir ! à une époque où même les amis ne se tiennent plus par la main !
« ekprenu la manon de via kunulo kaj ne disiĝu unu de la alia » « Kaj manon en mano la vojon
daŭrigis » si je pouvais hélas
                                                    
ne disiĝu de la alia

 

Quand on ne pleure plus on n’existe plus, plus rien n’existe.

30/11/2019

le néolibéralisme EST un fascisme

en complément de mon billet (que vous avez peut-être déjà lu, sinon j'en conseille la lecture):

Question rentabilité, travail, société, n'est-on pas en train de faire tragiquement fausse route ?

il appert de plus en plus qu'il y a eu un pervertissement de notre société et de nos valeurs à partir du moment où le tout-capitalisme a réussi à imposer le règne du terme "rentabilité " (terme tout à fait nouveau dans la langue française, il fut employé pour la première fois dans les années 20 - 1920 - à la tribune de la chambre pour désigner la capacité d'une terre de rapporter à son propriétaire - pas à l'agriculteur ! détail significatif ! ...  - des rentes. Le journaliste qui rapportait ce terme était offusqué de cet étrange "barbarisme" et disait "après l'invasion des barbares voici l'invasion des barbarismes" !) et la recherche sacro-sainte de l'efficacité
(par exemple Hitler s'est distingué des autres massacreurs par un souci d'efficacité....),
considérée comme une DEVOIR, plus important que tous les devoir moraux et que tout ce dont était fait la nature humaine, ce basculement de civilisation était lourd de conséquences, comme on l'a vu, et comme on n'a pas fini de le voir.

Mantenant lisez ci-dessous une démonstration que le néolibéralisme est un fascisme :

03/03/2016 Par DANIEL ZIARKOWSKI  :
J’ai appris que le néolibéralisme est un totalitarisme car il frappe chacune des sphères de notre société. 
Si l’on considère que le fascisme est une aptitude autoritaire, arbitraire, violente et dictatoriale imposée par un groupe quelconque à son entourage, l’extrémisme néolibéraliste répond à cette définition du Larousse. En outre, le fascisme se définit aussi et surtout comme une action de toutes les composantes de l’Etat à sa seule idéologie totalitaire. Notre politique actuelle, depuis ces deux derniers quinquennats répondant à des actions politiques dénuées de tout sens, de tout but, de toute vérité compréhensible par le plus grand nombre en diminuant tout autant un maximum de valeurs qui furent et sont les fondements de toute république, la dénomination de gouvernement fascisant pourrait donc être évoquée.
 
Depuis 2007, l’Etat et donc le gouvernement, n’ont eu de cesse (tout en explosant le déficit budgétaire) de réaliser des coupes budgétaires sous le prétexte fallacieux de modernisation de leurs actions. Ces mêmes actions ne sont, donc, que l’application par l’Etat de l’action des entreprises (en particulier celles du CAC 40) dans un but évident de la diminution de la charge salariale (RGPP, Réate, réforme territoriale …) mais aussi donc, dans une supposée diminution des coûts de production, de rentabilité incontournable. En conséquence, l’Etat se désengage du public dont pourtant il se doit d’être au service avec de graves conséquences comme celles des plus démunis qui ont de plus en plus de difficultés tels l’accès aux soins, aux droits fondamentaux (programmes du FN qui a deviné la faille et s’y est engouffré d’où son score au niveau de cette part de la population).
Les discours publics récurrents depuis une décennie, ont donc créé une forme d’abstraction de l’humain au profit seul de la rentabilité en dehors de toute solidarité nationale d’où l’émergence de discours violents mettant en avant les principes de patriotisme, d’attachement à ce qui fut, du repli sur soit, à la notion de « nationalité » mise en danger. C’est donc l’émergence d’un repli identitaire qui fustige, de fait, ces personnes qualifiées d’assistées que l’ère sarkozienne a tant déclamée et continue à déclamer au travers des propos d’un Bruno Le Maire, d’un Guillaume Pelletier et tant d’autres.

Nos gouvernements successifs et, en général, les gouvernements des pays démocratiques, sont devenus sujets « lobbyant » de l’économie. L’Etat, de par cet entregent lobbyiste avec l’entreprise, n’appuie que « sa » réflexion sur ce principe économique et ce malgré l’affirmation hollandaise de « Mon ennemie c’est la finance ». Les toutes dernières lois en termes de sécurité, du travail, cet amendement ahurissant de dédouaner de toutes responsabilités financières les pollueurs … pour ne citer qu’elles, ne tendent, ouvertement qu’à la protection de l’économie au détriment et de la mise en péril du bien commun. Comme le clamait Margaret Thatcher « There is no alternative ! ».
 
Sur cette expression selon laquelle il n’y a aucune alternative, qu’il se faut donc être réaliste et rationnel, tout ce qui est proche d’une action ou d’une proposition humaniste est disqualifié par le discours gouvernemental et la menace du 49.3. L’humanisme devient donc une utopie en contradiction avec les préceptes économiques. L’histoire du pays n’a pu sa place d’enseignements qui est donc mise au rencart sous le prétexte de la nécessité. Encore une fois, l’action du néolibéralisme a créé des hydres qui se réclament de l’importance du passé dont les ZEMMOUR et FINKIELKRAUT furent les hérauts les plus retentissants ! Et pourtant, l’Etat, son gouvernement auraient du apprendre de l’Histoire !
 
A cet effacement de l’histoire, et qui pourtant dans un certain sens nous renvoie au XIXème siècle et à cette allégorie de CHAPLIN par ces « Temps Modernes », l’absence de performance dirige vers la disparition. On a induit dans l’esprit collectif, et on l’enseigne à nos enfants, que l’inefficacité est coupable, que chaque acte et action doivent être justifiés, que l’on doit démontrer ses objectifs appuyés sur une foultitude d’indicateurs qui sont « textes d’évangile » et donc que l’application d’une forme de théologie économique. Dieu est Argent ! Son enseignement fustige la créativité, l’esprit critique, l’intelligence humaine, et la morale, au seul profit de la table de la loi économique où le premier commandement est : rentabilité ! On a rompu la confiance et, par contre, on a emmené une part de la population vers cette sous-culture.

Aujourd’hui l’humanisme a été mis au rencart ! Le néolibéralisme est effectivement fasciste, l'humanité se doit être économique. Comme le clamait Eric WOERTH dans sa présentation de sa loi pour les retraites, un ouvrier s'use. L'humain est devenu un outil qui s'use et que l'on met au rebut. On se refuse à utiliser des mots qui sont pourtant la définition de ce qu'est ou ressent l'homme comme l'usure au lieu de fatigue, comme la rentabilité au lieu du professionnalisme, comme un coût au lieu de richesse, comme un frein au lieu de levier, comme une économie à la place d'une vie ou de la compétence.

 

"ce n'est pas la France dans laquelle j'ai été éduqué" (moi non plus) :

https://ru-clip.net/video/I218JLUT6RA/j%C3%A9r%C3%B4me-rodrigues-%C2%AB-les-gilets-jaunes-ce-n%E2%80%99est-que-le-d%C3%A9but-les-16-et-17-novembre-seront-%C3%A9normes-%C2%BB.html

https://ru-clip.net/video/I218JLUT6RA/j%C3%A9r%C3%B4me-rodrigues-%C2%AB-les-gilets-jaunes-ce-n%E2%80%99est-que-le-d%C3%A9but-les-16-et-17-novembre-seront-%C3%A9normes-%C2%BB.html

26/11/2019

une maison, un foyer, à vous glacer le sang

J’ai vu vers le début du 21è siècle, rue de la Croix de Grès, une chose à glacer la sang.
C’était une maison au n° 19 de la rue. Un couple, un vieux couple, y habitait, ils devaient être relativement aisés, car la maison était assez grande, et avec une porte cochère pour la voiture. Et régulièrement on voyait le vieux monsieur sortir sa voiture par la porte, avec sa femme à côté de lui. Par la fenêtre on les voyait - car c’étaient des gens d’une époque pas encore devenue « chiens » et paranoïaques comme les gens de maintenant, qui se claquemurent derrière des volets roulants - dans leur salon assis chacun dans un fauteuil.
Puis, un jour on s’est mit à pouvoir remarquer que l’homme avait « une poche » dans son pantalon (cancer de l’intestin ? Ou quelque chose dans ce goût là), et on ne les a plus vu sortir en voiture. Ils restaient toujours assis dans leur salon tous les deux.
Et puis on n’a plus rien vu, ni l’homme ni la femme, la maison a été mise en vente, cette petite vie tranquille avait disparue - néant ! - comme une bulle de savon qui a fait « pschitt ».
Voilà.
On ne peut pas imaginer plus triste comme histoire.
Ah oui un français moderne a tout de suite racheté la maison et changé la porte pour un truc dans le goût moderne.

02/11/2019

Interview de jean Rostand par Gilbert Ganne en 1964

Interview de JEAN ROSTAND par Gilbert Ganne en 1964

 

« Si un jour vous aviez la grâce ? [question de Gilbert

Ganne].

— Ce n'est pas possible!

— Si, je vous assure, ça peut vous arriver.

— Pour moi, on est tout seul dans cette espèce de folie !

— Vous n'avez jamais pensé au Christ ?

— Jamais !

— Vous êtes baptisé ?

— Oui, j’ai même fait ma première communion et je me suis marié à l'église avec une femme très croyante. Mais je suis scientifique et moraliste: les grenouilles et  les hommes, et c’est tout.

(...)

— Vous croyez à la responsabilité de l’écrivain ?

— Oui, elle est énorme. D'autant plus que, quoi qu'on en dise, il n’est pas possible de faire une censure. Combien de fois ai-je entendu mon père (Edmond Rostand) dire: « J’ai un sujet, je peux écrire telle pièce, mais je n'ai pas le droit de le faire. »

Mon père aurait refusé d'écrire un chef-d'œuvre plutôt que de pervertir. De telles idées ne sont plus de notre époque.

C'est peut-être ça qui me rend incohérent. J'ai un côté progressiste, et des racines qui plongent de l’autre côté.

Pour la sensibilité, je tiens du christianisme. Comme certains animaux qu'on appelle « chimères », en biologie, moitié crapauds, moitié grenouilles, je suis un peu une chimère spirituelle. J'ai des morceaux chrétiens et des morceaux antichrétiens. Je me demande parfois si j’ai le droit d'avoir certains sentiments... Au moment de l’affaire de la Thalidomide, j’étais de ceux qui trouvaient inconcevable de supprimer une vie. D'un autre côté, pour un matérialiste comme moi, quelle importance de supprimer un être difforme, qui est à charge...

— Vous réprouvez aussi l'avortement ?

Oui. ça me choque. Naturellement, il faut arriver à un contrôle des naissances. Mais l'avortement est un infanticide. Ce sont des idées qui ne vont pas avec le matérialisme.

Je sens en moi des choses suspectes...

— Si vous aviez la foi, vous trouveriez une unité. Vous croyez qu'il y a des gens qui prient pour vous?

— Oui. c'est gênant à dire.

— Parmi les académiciens ?

— Non, ce sont des gens très simples et des gens très

bien. Non. Je n’ai pas l’impression que Daniel-Rops prie

pour moi. Guitton peut-être...

— Vous ne croyez pas à l'efficacité de la prière ?

— Mais non. voyons!

— Et ça ne vous agace pas. tous ces gens qui prient

pour vous ?

— Non, ça me touche énormément. C'est une preuve

de sympathie, d'amour...

— Vous ne parlez pas de religion avec votre femme ?

— Jamais ! Je l'accompagne à la messe, mais je l'attends

au café. J’aime surtout sa foi. Mon fils, François, est

terriblement catholique.

— Pourquoi terriblement ?

— Parce qu’il est très fort. Il vit sa foi. c’est un grand

croyant. Vous pensez que ça m'ennuie?

— Non, vous avez trop de respect pour les autres.

— Mais si, je vois que vous êtes choqué...

— Je pense seulement que vous êtes cerné, pourchasse

comme un cerf aux abois...

— Ah! ah! ah! Je ne suis pas traqué par ma femme

et mon fils, mais plutôt par des étrangers.

— Je me demande pourquoi tant de gens essaient de

vous convertir?

— C'est charmant, c’est joli, c'est touchant. D'habitude

on se fout des autres.

— Pas les bons chrétiens ?

— C'est vrai.

— Alors, vous êtes rassuré?

— Je ne suis pas content. Je trouve effroyable de penser

que d'une minute à l'autre, tout peut s'arrêter. C’est enfantin de trouver la mort scandaleuse... Mais, moi, ça me révolte ! »

 

Et la longue interview se termine sur cette note dou­loureuse. Comment ne pas avouer que ces « choses suspectes » que Jean Rostand sent en lui nous le rendent bien sympathique.

 

En fait j'ai toujours été effaré de voir les cathos contre l'avortement et l'euthanasie, et les athées pour ! c'est le monde à l'envers !

Les croyants peuvent toujours dire : "prions pour son âme" et même "il est mieux là où il est maintenant que quand il vivait".

Les athées NON ! les athées bien plus que quiconque devraient avoir un refus viscéral et inconditionnel de la mort ! quand-même ! c'est évident ! donc ce devraient être les plus incoditionnellement CONTRE l'avortement !

ceux d'entre eux qui défendent l'avortement sont des inconscients !!! c'est aberrant ! ou alors sont-ils des adorateurs de la mort et du néant ????

23/10/2019

époque révolue - chef d'oeuvre du rap


Paroles Epoque Révolue
chanteur: El Matador
Année: 2007

Refrain X2 :
Plus on avance dans la vie plus on aimerait faire marche arriere
Les proches partent en un clin d'oeil c'est la fin de carriere
Le temps passe il nous reste que des souvenirs, obliger de surmonter le
meilleur ou le pire

Je cour vers l'avenir
A tout les coups jme casse la gueule comme dans le générique de la
petite maison de la prairie
Meme le climat prends des giffles c'est la faute de l'espece humaine
De nos jours on a des soleils d'été en plein hivers
Le désespoir a ma plume est allier, avec toutes mes plus belles années
ma notion de bonheur s'en est allée
Quand je vois des michtoneuses qui sont mariées, jme di que l'amour
n'est aveugle que dans les chansons de Gilbert Montagnier
Certains sont devenuent RMistes attendent le 6 du mois, d'autres ont
du taf et se levent tout les jours a 6 du mat
Vouloir imiter le grand frere cause beaucoup de dégats, arriver au meme
age la vie devient un cour métrage
Jsuis devenu majeur, c'est plus la même, beaucoup de choses ont
changées mis a part les rues du quartiers
Les rides sur le visage de ma darrone me donnent beaucoup de regrets
Le destin garde un oeil sur nous de loin ou de prés

Refrain X2

La rue c'est l'asile plus on est de fous plus on rit
Le courant d'air du frigo vide me rappelle que la prime motive
Moi j'ai plus le temps de m'asseoir sur le fil du rasoir, obligé de
faire la caille jvais pas laisser mes petites soeurs crever la dalle
Quand t'as rien a gérer c'est plus facile, qui aurait dit qu'on
serait tous devenus des hommes de façon si rapide
La paix s'est faite licenciée avant son départ en retraite
La colombe se transforme en Boing 747
Quand on est petit on calcule rien ca s'appelle l'innocence
Quand on grandit on se dit que le passé nous a prit notre chance
Le temps agit en maitre, le malheur lui tue ses élèves
La nostalgie fait grève ainsi la pendule se déregle
C'est pour les absents et ceux qui nous ont quittés
Ceux qui a cause de la poisse n'ont pas tirés le bon ticket
Le droit chemin n'est pas indiqué, de plus se projetter vers l'avenir
devient compliqué

Refrain X2

Le parcourt de la vie, c'est une naissance et un sourire
Une maman soulagée, un jeune père qui voit son reve s'assouvir
Un bébé qui découvre le monde en un soupir
Une mère qui va devenir grand mère a sa plus grande surprise
Et pour chacun de nous chaque histoire suit son cours
Toute experience vaut la peine d'etre vécue comme on dit c'est mektoub
On aurait tous voulu etre des stars des terrains de foot
Maintenant notre passe-temps c'est esquiver les chtars et rien foutre
Memme si ta vie est une pute tu t'en souviendra, quand la mort se
présentera pour une passe sous viagra
J'veux apporter ma pierre a l'édifice mais jsuis malheureu comme un
palestinien manchot en pleine intifadah
Moi j'ai que le mic comme outil de traivail
Une petite touche de mélancolie en aucun cas ne sussite la rage
Le temps passe a en croire la boite a musique
J'ai du mal a éclore comme une rose arrosée a l'urine

RefrainX2

Yeah, El Matador, plus on avance dans la vie plus on aimerait faire
marche arrirere




11/10/2019

les économistes donnent une vision dégradée de l'humanité


09/10/2019

la vie actuelle

4/9/2019 la vie moderne actuelle est devenu tellement hyper lente, qu’on ne peut plus rien faire qu’attendre, et rien d’autre, le cerveau vide, ou presque, sur son canapé, ou à errer dans son jardin - si il ne fait pas trop chaud ! - et ce pendant des mois, tout le temps, tout est toujours bloqué, pour des durées indéterminées (et indéterminables).

07/10/2019

tout ce qui a changé depuis trente ans

17/12/2014 J'ai déjà écrit là-dessus, mais je ne me souviens pas de la date, ni des termes utilisés, aussi je ne peux retrouver le passage. Donc une des constatations que l'on fait, que l'on fait à chaque fois, ou alors que l'on fait si on essaie de faire un regard en arrière, c'est que presque tous les changements qui ont été introduits depuis disons trente ans (déjà !) que ce soit par l'Etat ou par les grosses entreprises capitalistes  ont  tous  eu  pour  effet  de  rendre  la  vie  plus  difficile et plus précaire, plus compliquée, plus lente, moins commode, plus précaire j'ai dit, plus dangereuse, moins conviviale, plus angoissante, tout plus long, plus rare  et plus difficile, plus stressant, etc. Quasiment tout ! Repassez, si vous le pouvez toutes les choses qu'on nous a changé depuis trente ans, vous verrez !
C'est tout juste si on peut trouver de temps en temps en cherchant bien deux ou trois améliorations (comme la suppression de l'obligation d'aller à la mairie faire certifier conforme à l'original les photocopies qu'on joint aux divers dossiers administratifs). Tout le reste n'a eu pour effet que de rendre la vie toujours plus pénible et plus précaire, et infiniment plus lente que dans les années 60 (j'ai connu et je peux vous assurer que la moindre démarche et le moindre fonctionnement basique public ou privé et devenu beaucoup beaucoup plus lent qu'à l'époque, et plus compliqué, et moins sûr)

 

un commentateur sur "réseau international aussi l'a remarqué et d'autres choses encore en plus (ce mouvement n'a pas de fin ) :

3)Et pour les technologies multimédia, en effet, le pigeon c’est celui qui est obligé de dépenser temps, papier, imprimante :
-) qui galère pendant des heures pour payer ses impôts sur le net,
-) qui passe des soirées ou des heures pour faire des tâches qui étaient il y a peu à la charge des administrations ou des entreprises,
-) qui ne peux plus téléphoner aux entreprises ou à l’administration mais est obligé de se « pastiller » des pages de sites sur le net pour obtenir … aucune réponse précise ou appropriée,
-) qui doit imprimer chez lui un nombre de plus en plus affolant de documents jadis fournis : tickets de transport, de ciné, de supermarché …

 

 

30 ans seulement 

quelle destruction de notre pays !

(et une razzia capitaliste de plus en plus frénétique et éhontée de la part de la mafia qui est en train de nous voler la république)