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26/01/2022

Khider Mesloub - redonner leur vrai sens aux mots

Au lendemain de l’effondrement du Mur de Berlin, de l’écroulement du glacis soviétique, le système capitaliste occidental nous promettait le début d’une ère nouvelle emplie de paix et de prospérité. En fait de paix, le monde fut aussitôt ravitaillé par de « prospères » phases de guerres sanglantes et exterminatrices. D’abord, en Irak, ensuite en Yougoslavie, puis au Rwanda, en Afghanistan, en Syrie, en Libye, au Sahel… Enfin, sur toute la planète, notamment par l’explosion du terrorisme structurelle abondamment instrumentalisée par les puissances impérialistes.
Parallèlement à l’ensevelissement du monde soviétique, l’univers bourgeois mondial avait procédé joyeusement à l’enterrement de la lutte de classe, cette anomalie sociale générée, selon les puissants, par la morbide société stalinienne russe contaminée par le virus bolchévique. L’humanité était déclarée enfin guérie de cette pathologie sociale éminemment létale. L’humanité était enfin réunie dans une symbiotique fraternité d’où les conflits sociaux seraient désormais bannis, la question sociale un lointain problème politique. C’était, communiait-on en chœur, La fin de l’histoire, conceptualisée naïvement par le fasciste Francis Fukuyama. Selon les thuriféraires du capital, la «mort du communisme stalinien» allait inaugurer l’ère indépassable de l’horizon du capitalisme triomphant… voyez ce qu’il en est à présent!
La lutte de classes était désormais considérée comme ringarde. Désuète. Une anomalie sociale. La maladie infantile d’un prolétariat enfantin et immature, longtemps en proie à une crise d’adolescence politique marquée par des rébellions stériles contre l’autorité des patrons et des gouvernants. De par le triomphe planétaire du capitalisme, la lutte de classe était devenue une espèce d’expression militante en voie de disparition.
« La lutte des classes est terminée… Les riches l’ont gagnée », titrait un journal économiste français, pastichant Warren Buffet, milliardaire américain. En effet, ce dernier avait déclaré dans une interview accordée à l’époque au New York Times « Il y a une guerre des classes, c’est un fait. Mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la remporter. » Voyez plutôt : Les médias menteurs font l’impasse sur la Résistance populaire…et pourtant ils résistent (Rotterdam-Guadeloupe-
Bien évidemment, ce n’était que le rêve fugace et superstitieux des classes dominantes jamais à cours d’imagination pour élaborer des scénarios visant à s’assurer de leur éternité. (Hitler, après avoir brisé la classe ouvrière allemande et neutralisé despotiquement la lutte des classes – comme tente de le concrétiser actuellement le grand capital financier par sa dictature sanitaro-sécuritaire, mais en réalité la bourgeoisie mondialisée contemporaine s’est tirée une balle dans le pied avec sa tentative de coup d’État international : elle a réveillé la vieille Taupe –, croyait fermement que son Reich durerait 1000 ans : « Mon empire vivra mille ans ! », déclarait-il sans discontinuer. Au final, son Empire aura duré 12 ans. Au reste, depuis quelques semaines, nous assistons à la énième réactivation du narratif (anglicisme ! encore !) discours Covidal induisant les mesures liberticides et les confinements, auquel les puissants – avec l’appui de l’OMS – viennent d’adjoindre l’invention d’un nouveau variant
La classe ouvrière et le prolétariat dans la crise
Au cours de cette période de libéralisme débridé impulsé dès les années 1980, la classe ouvrière, idéologiquement désorientée et politiquement affaiblie (par la gauche et la droite de concert), était totalement écrasée par la domination sans vergogne de la classe capitaliste mondialisée arrogante, enivrée de triomphalisme. Étranglée par la corde du chômage enserrée constamment autour de son cou social pour mieux la ligoter et la soumettre aux diktats du capital, la classe laborieuse subissait dans le silence la dégradation de ses conditions de vie et de travail, avec la complicité criminelle des syndicats, ces suppôts du patronat.
Dans de nombreux pays, plusieurs décennies durant, le peuple opprimé se résigna à endurer les attaques antisociales infligées par le grand capital, subir les plans de licenciement, les fermetures d’entreprises, la baisse de son pouvoir d’achat, la dégradation générale des services publics destinés aux ouvriers et au petit peuple tétanisé.
Puis, le mouvement des Gilets Jaunes surgit des entrailles du capital pour démentir les mensonges éhontés sur la mort de la lutte de classe. Ce mouvement s’apparentait à un sursaut de recouvrement de dignité de la classe laborieuse longtemps piétinée, à un rejet catégorique de la perpétuation de sa condition sociale misérable.  Trois ans plus tard le gouvernement français bataille pour contenir les manifestations des Gilets jaunes – les 7 du quebec
Sans conteste, la taxe sur le carburant fut la goutte d’essence qui mit en branle le moteur de la révolte sociale en France. De fait, l’instauration de la taxe sur le carburant, cette attaque supplémentaire contre les conditions de vie du prolétariat, constitua l’élément déclencheur du mouvement des Gilets Jaunes. AUTOPSIE DU MOUVEMENT DES GILETS JAUNES – AUTOPSY OF YELLOW VESTS – les 7 du quebec
Démarré sur les chapeaux de roues, le mouvement prit de vitesse les classes dirigeantes françaises depuis longtemps habituées à écraser en toute impunité le peuple, mais également les vulgaires observateurs médiatiques, le nez à tel point enfoncé dans le guidon de leurs mesquines analyses sociétales qu’ils ne pouvaient pas apercevoir le resurgissement de la Question sociale et ouvrière (la mère de toutes les questions historiques sous le capitalisme), débouchant de la grande autoroute de la lutte des classes longtemps déclarée définitivement fermée à la circulation de l’histoire. Cette embardée sociale subversive causa une onde de choc parmi les élites françaises, prises de panique devant la propagation fulgurante incontrôlée du mouvement des Gilets jaunes, essaimant dans l’ensemble du pays, bloquant les axes routiers, occupant les ronds-points…dans un mouvement de résistance innovant.
Les Gilets jaunes innovent en terme de tactique de lutte
La singularité de ce mouvement résulta de sa spontanéité. En effet, le mouvement s’ébranla de manière aussi impromptue qu’inorganisée, par-delà les appareils traditionnels d’encadrement politique et syndical.
Le rejet de ces instances institutionnelles officielles inféodées au pouvoir, soumises au capital, constitua la pierre angulaire de ce mouvement original en rupture avec les modes de luttes classiques (usine par usine ou secteur industriel par secteur industriel). Sa caractéristique remarquable fut sa méfiance viscérale envers tous les représentants des organisations politiques et centrales syndicales, ces mandarins enfermés dans leur tour d’ivoire bourgeoise hissée au-dessus du territoire familier du peuple et du prolétariat.
Plus significativement, au cours de leurs luttes, par l’occupation des ronds-points, les membres du mouvement découvrirent de nouveaux rapports de solidarité tout en bloquant l’activité économique source de profits capitalistes. Spontanément, au cours de leurs rassemblements hebdomadaires et l’occupation quotidiennes des ronds-points de circulation du capital, ils tissèrent de véritables liens de fraternité fondés sur leur souffrance sociale commune, l’appartenance sociale (de classe) commune. Fondés sur la même aspiration humaine de changer leur existence  d’exploitation et leurs conditions de vie d’aliénés. Sur la même volonté d’instaurer une «démocratie authentique, directe, horizontale, prolétarienne», appuyée sur des représentants élus et révocables en tout temps – des représentants qui ne soient que des porte-paroles et non des délégués accrédités ou habilités à décider seuls. Sur l’impérieuse urgence de transformer fondamentalement le système économique, d’abolir les inégalités sociales, et donc la superstructure sociale capitaliste faussement démocratique.  Au demeurant, par la diversité de ses membres, composés de catégories socioprofessionnelles hétérogènes, ce mouvement manifestait également sa spécificité. Il n’en demeure pas moins que ce mouvement était composé majoritairement de « travailleurs pauvres », animés par la même « haine des riches » et de l’élite méprisable. Ce que nous avons rapporté dans ce volume synthétique :  AUTOPSIE DU MOUVEMENT DES GILETS JAUNES – AUTOPSY OF YELLOW VESTS – les 7 du quebec    https://les7duquebec.net/
Pareillement, politiquement, ce mouvement populaire exprimait une tendance singulière. Quoiqu’en rupture avec les catégories de pensée classiques, il semblait réunir une palette hétéroclite d’obédiences politiques exprimées de façon diffuse, confuse, incohérente. Quoi qu’il en soit, la solidarité du mouvement demeura longtemps intacte. Selon les sondages publiés par les médias menteurs  à l’époque des mobilisations massives des Gilets jaunes, près des deux-tiers de la population soutenaient le mouvement. Dans tout mouvement de lutte, la violence accompagne inéluctablement la révolte sociale. jusqu’à l’éruption du mouvement des Gilets jaunes, le capital assenait que la lutte de classes était révolue, la Question sociale résolue. Puis, par le relèvement de sa combativité, la remise à l’ordre du jour de la lutte des classes, le mouvement des Gilets jaunes impulsa un souffle salvateur à la vie sociale et politique, aussi bien en France que dans d’autres pays, enflammés par l’aube du Grand Soir, le Crépuscule du petit matin du capital… fumisterie dont nous prolétaires devons nous méfier. La Révolution prolétarienne sera extrêmement longue et compliquée comme le démontre la Révolte des Gilets jaunes et la Résistance à la terreur pandémique qui en est la suite. Les médias menteurs font l’impasse sur la Résistance populaire…et pourtant ils résistent (Rotterdam-Guadeloupe-.  La terreur pandémique non terminée que sans attendre, le Grand capital nous annonce déjà son prochain terrain d’attaque contre notre classe sociale, la supposée « urgence climatique et la transition énergétique » (sic) Le spectacle éphémère de la COP26 étant terminé, voici la facture salée! – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/ De toute évidence, ce mouvement original imprévu bouscula les schémas habituels d’analyse des luttes. Il avait entraîné les révolutionnaires à revoir certains paradigmes. Incontestablement, il avait ouvert des perspectives de combats internationaux. Surtout, il avait bouleversé les interprétations classiques sur les mouvements sociaux pollués par le prisme du stalinisme et du gauchisme. Nul doute, depuis le surgissement du mouvement des Gilets jaunes, la lutte de classe ne serpente plus les minuscules cours sinueux balisés par le capital. Elle est sortie de son lit assoupi pour sillonner librement les voies fluviales torrentielles de la lutte sociale spontanée tempêtueusement déchaînée. Aucune digue politique traditionnelle ne peut plus contenir sa fougueuse force subversive et insurrectionnelle.  De fait, portée par une nouvelle génération de travailleurs pauvres tumultueux, la lutte de classe est sur le point de submerger l’ancien monde. Le nouveau peuple travailleur s’apprête à engloutir définitivement le capital déjà en plein naufrage. Une chose est sûre : avec le mouvement des Gilets jaunes, les peuples opprimés ont appris que la révolution ne sera pas l’œuvre des seuls “ouvriers”, mais également de l’ensemble des salariés et des catégories sociales exploitées par le grand capital, ses flics et ses Séides. Contrairement à la conception répandue par le gauchisme adepte de la transplantation de la conscience de classe par des révolutionnaires professionnels dans la classe ouvrière réputée par essence ignorante, la transformation sociale révolutionnaire ne triomphera que par la participation de la majorité laborieuse du peuple (femmes, hommes, jeunes, travailleurs, chômeurs, étudiants, retraités, petits entrepreneurs prolétarisés.
« L’émancipation des travailleurs ne pourra être l’oeuvre que des travailleurs eux-mêmes » (Karl Marx)
Comme l’avait écrit Lénine en 1916 : « Quiconque attend une révolution sociale « pure » ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution. (…) La révolution socialiste (en Europe) ne peut pas être autre chose que l’explosion de la lutte de masse des opprimés et mécontents de toute espèce. Des éléments de la petite bourgeoisie et des ouvriers arriérés y participeront inévitablement : sans cette participation, la lutte de masse n’est pas possible, aucune révolution n’est possible. Et, tout aussi inévitablement, ils apporteront au mouvement leurs préjugés, leurs fantaisies réactionnaires, leurs faiblesses et leurs erreurs. Mais objectivement, ils s’attaqueront au capital, et l’avant-garde consciente de la révolution, le prolétariat avancé, qui exprimera cette vérité objective d’une lutte de masse disparate, discordante, bigarrée, à première vue sans unité, pourra l’unir et l’orienter, conquérir le pouvoir, s’emparer des banques, exproprier les trusts haïs de tous (bien que pour des raisons différentes !) et réaliser d’autres mesures dictatoriales dont l’ensemble aura pour résultat le renversement de la bourgeoisie et la victoire du socialisme.». Assurément, le mouvement des Gilets jaunes, structure embryonnaire et hétéroclite, demeure encore à l’état infantile sur le plan politique. Certes, c’est encore un nouveau-né enfanté dans la douleur par les contradictions de classes, les injustices sociales criantes et intolérables infligées par le capital. Mais, par sa force exceptionnelle, avec promptitude, il a su faire preuve d’une croissance combative prodigieuse. Après seulement quelques mois d’existence, il a acquis de la maturité. De la combativité. De la popularité. Du haut de ses quelques mois d’âge subversif, il a su faire pousser des cheveux blancs aux classes possédantes françaises, entrevoyant leur mort dans l’œil brillant de jeunesse de ce « peuple jaune » emmailloté symboliquement du drapeau rouge des Communards ; donner du fil à retordre au gouvernement Macron saisi de frayeur devant la fraîcheur insurrectionnelle de ce mouvement juvénile doté d’une énergie militante vigoureuse ; faire couler des sueurs froides aux forces de l’ordre depuis longtemps assurées de leur supériorité répressive exercée en toute impunité. Le mouvement des Gilets jaunes force le respect. À son évocation, on se remémore instantanément ses milliers de martyrs : manifestants bousculés, bastonnés, blessés, éborgnés, assassinés, embastillés. De même, il aura marqué l’Histoire. Y compris la linguistique, puisque désormais on parle de giletjaunisation d’un mouvement de lutte (des esprits) pour souligner sa radicalité, spécifier sa dimension subversive et insurrectionnelle. Résultats de recherche pour « gilet jaune » – les 7 du quebec https://les7duquebec.net/?s=   Aujourd’hui, depuis l’éruption du vaillant mouvement des Gilets jaunes, partout dans le monde, la peur a changé de camp. Le nouveau camp de la peur tremble sur ses bases vermoulues. La peur règne dans les palais présidentiels en proie à une fièvre obsidionale. La faiblesse a envahi le pouvoir, désormais gouvernant par la seule force. Dans le même temps, le pouvoir de la force s’est également emparé du peuple. Il ne demeure au peuple qu’à s’emparer de la force du pouvoir pour abolir définitivement la gouvernance par la force imposée par la minoritaire classe dominante, restituant au majoritaire peuple spolié la force de sa gouvernance.

Khider Mesloub

l'analyse la plus approfondie sur les méthodes du Grand Capital pour implémenter sa stratégie d'ensemble par la manipulation mentale, la corruption le chantage etc

 

20/01/2022

ce qu'est devenu l'art moderne

L’Art au service du globalisme MONDIALISME [ en réalité et en français : de la spéculation capitaliste ! ]

Patrice-Hans Perrier - Samedi 11 Janvier 2020

Quand les ressources de l'état sont confisquées par une mafia culturelle

Nous reprenons le fil de la discussion sur la place des arts et culture dans le processus de domination de l’ORDO globaliste. Suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris, plusieurs s’interrogent sur l’avenir de notre patrimoine culturel dans un contexte où les industries du divertissement sont en voie de reprendre totalement la main. Il y a péril en la demeure puisque les édiles parisiens, entièrement cautionnés par le gouvernement Macron, souhaitent profiter du grand chantier de reconstruction de la cathédrale gothique pour implanter un parc touristique au cœur de l’île de la Cité.

En outre, le président français a prévu un délai de cinq années pour rebâtir une partie de l’œuvre colossale qui avait mis plus de deux siècles pour aboutir. Une pléiade d’experts se sont élevés contre ce projet marathon et certains y voient une volonté politique de faire coïncider l’aboutissement du chantier avec la venue des Jeux olympiques dans la capitale française. Qui plus est, plusieurs cabinets d’architectes internationaux se sont bousculés au portillon afin de présenter des esquisses de projets futuristes complètement irrespectueux de l’histoire et du patrimoine historique en présence. C’est un peu comme s’il fallait faire de Notre-Dame de Paris et de l’ensemble de l’île de la Cité une nouvelle destination prestigieuse dans le circuit des « nouvelles cités intelligentes » du futur
(je suis de plus en plus persuadé que cet incendie n’est pas un accident mais que des agents du «Service Action » y ont mis le feu.)
Faire tabula rasa

Si la cathédrale pouvait constituer le cœur de la cité médiévale, elle ne représente plus qu’un centre touristique névralgique capable de drainer 14 millions de visiteurs par année. (avec les profits y afférents pour les « groupes »c. àd.lesmontagesjuridiques etfinanciers desinvestisseurs capitalistes) Il convient donc de « réhabiliter » ce monument historique en accord avec une vision de la mise en marché des « villes intelligentes » qui table sur l’« attractivité » afin de gagner des parts de marché. Puisque la cité est, désormais, livrée aux appétences des marchés financiers à l’international. Privée de sa légendaire flèche qui ressemblait à un gigantesque cadran solaire, le vaisseau de pierre ne sera jamais plus un lieu d’enseignement, de recueillement ou de pèlerinage. Nos décideurs politiques souhaitent plutôt en faire une sorte de sarcophage touristique au service d’une nouvelle mise en marché de l’île de la Cité
L’Art au service de la cité

Et, pourtant, l’écrivain Daniel-Rops nous avait déjà parlé de la naissance et de destinée des grandes cathédrales gothiques en des termes édifiants : « Il est arrivé quelquefois dans l’histoire – peu souvent – qu’une société humaine s’exprimât tout entière en quelques monuments parfaits et privilégiés, qu’elle sût faire tenir en des œuvres léguées aux générations futures tout ce qu’elle portait en soi de vigueur créatrice, de spiritualité profonde, de possibilités techniques et de talents. De telles fleurs ne jaillissent et n’atteignent à leur épanouissement que lorsque la sève est pure et abondante, c’est-à-dire lorsque la société est féconde, harmonieuse, et qu’il existe dans sa masse cet instinct de création, cette ferveur spirituelle qui, portant l’homme mortel au-dessus de lui-même, le poussent à s’éterniser. De telles œuvres ne naissent point par hasard, mais des patiences obscures et des grandes espérances, en un moment favorable du temps ».

La cité au service des promoteurs

Il semblerait que, de nos jours, seuls les centres d’achats et autres furoncles de l’architecture vedette soient conviés à ce remodelage des centres historiques d’une cité qui devient un parc d’attractions pour touristes et technocrates de la nouvelle « économie numérique » (et vigiles privés ! ne pas oublier la logique des vigiles privés, qui est au centre de la société actuelle!) . Les populations autochtones pauvres ayant été repoussées vers les marges périurbaines (comme l’ont été à Amiens les habitants du quartier saint-Leu, etc.) , les monuments et les places qui formaient les fils génériques de ce tissu urbain ont été rasés ou mis sous verre. Et, c’est ce qui pourrait bien attendre Notre-Dame alors que l’essentiel des reliques urbaines ne sert plus qu’à appâter les consommateurs apatrides (c’est quoi ces conneries ? qu’ils soient « patrides ou apatrides on s’en fout! ) qui ont remplacé les anciens citoyens.

Nous l’avions déjà dit : « Que reste-t-il des cultures d’élite ou populaires, à une époque où les « produits culturels » tiennent lieu d’AVATARS qui servent à promouvoir des stratégies de marketing ou, pour dire les choses autrement, des campagnes d’endoctrinement des citoyens devenus consommateurs. De la notion d’industrie culturelle, c’est le premier terme qui retient notre attention en cela que la culture ne représente plus qu’une production étant prise en charge par une industrie au service de la plus-value matérielle ou symbolique captée par les forces dominantes du marché ». Or, dans un contexte où, pour l’essentiel, nos centres-villes ont été évidés de leurs populations, alors que le tissu urbain était détruit par les conquêtes des promoteurs immobiliers, les autorités en place ont pris le parti de conserver sous vide quelques chefs-d’œuvre architecturaux susceptibles de constituer des pôles d’attraction. [pôles d'attraction générant des profits financiers pour l'industriei touristique !]

L’Art contemporain comme monnaie d’échange

C’est avec ces considérations en tête que nous avons entrepris un entretien privé avec Aude de Kerros, prétextant la sortie de son dernier ouvrage portant sur les enjeux actuels de l’Art contemporain international (ACI). « ART CONTEMPORAIN – MANIPULATION ET GÉOPOLITIQUE » ressemble à un véritable guide qui nous aide à saisir les enjeux d’un marché de l’art qui n’a de comptes à rendre qu’à une poignée d’investisseurs très fortunés.

Auteur, graveur et peintre, notre interlocutrice partage avec nous cette appréhension concernant la mainmise des milieux financiers sur un monde culturel qui est mis au pas afin de servir des objectifs de rentabilité à court terme et d’endoctrinement idéologique. Elle met la table pour une étude en profondeur des processus qui participent à la mondialisation des transactions qui émaillent un marché de l’art qui ressemble à s’y méprendre à une institution « capable de battre monnaie », dans un contexte où l’art ne sert plus que de « lettre de change ». Si l’Art contemporain est devenu un vecteur de soft power au service de toutes les CIA de ce monde, Aude de Kerros nous prévient que c’est Marcel Duchamp et les autres épigones de l’Art conceptuel qui ont permis de dématérialiser l’art pour en faire une « valeur faciale » ou valeur nominale.

Il fallait bien dématérialiser l’art afin de pouvoir en faire une monnaie d’échange. C’est chose faite selon l’auteure qui estime que les dadaïstes, Marcel Duchamp et le POP ART américain ont permis aux opérateurs des marchés internationaux – et toutes les agences de renseignement – de pousser le marché de l’art dans les derniers retranchements de la fétichisation de l’objet et de sa prise en charge par la mise en marché de sa « valeur nominale ». Ainsi, toujours selon elle, « le conceptualisme n’est plus de l’art au sens commun du terme, qu’il soit moderne ou non : en art, la forme exprime le sens et les critères de jugement sont d’abord esthétiques. L’adoption du conceptualisme comme avant-garde unique autant que définitive a un avantage déterminant : avec ce nouvel instrument, la CIA n’est plus limitée par le silence des images, mais peut aussi s’approprier et détourner les discours révolutionnaires : critique sociale, art pour tous, table rase, etc., et, ainsi, créer un leurre qui serait fatal aux intellectuels de gauche ».

Détruire la notion d’oeuvre

Bien de l’eau a coulé sous les ponts depuis l’époque où la CIA utilisait l’expression lyrique d’un Jackson Pollock ou le POP ART d’un Robert Rauschenberg comme armes de destruction massive contre le réalisme socialiste à l’honneur au sein des pays de l’ancien empire soviétique. Aude de Kerros passe au peigne fin l’époque charnière qui va de l’après-guerre jusqu’à mai 68 pour nous faire prendre conscience que les épigones de l’art conceptuel et du dadaïsme ont servi les visées impérialistes du marché de l’art new-yorkais et des services secrets américains. Profitant des Trente Glorieuses – les années de prospérité économique qui couvrent les années 1950-60-70 – les financiers anglo-saxons ont créé un nouvel avatar afin de monopoliser le marché de l’art contemporain et toutes ses déclinaisons. Ainsi, le marchand d’art américain Leo Castelli aurait manipulé – toujours si l’on se fie à l’analyse de Mme de Kerros – le critique d’art parisien Pierre Restany pour investir, tel un cheval de Troie, la Ville lumière. Disciple de la pensée de Marcel Duchamp, le théoricien Restany n’avait pas hésité à clamer dans son manifeste de 1960 que « La peinture est morte ! », un mot d’ordre qui convenait parfaitement aux financiers de Wall Street désireux de mettre la main sur le marché émergeant de l’Art contemporain.

Aude de Kerros souligne que « la promotion par la CIA de l’expressionnisme abstrait en Europe n’a pas provoqué le choc attendu ». De fait, après la chute des régimes fascistes et nazis, et dans le sillage de la lente décomposition du bloc soviétique, l’esthétique néoréaliste n’avait plus la cote dans une Europe où tous les courants esthétiques se remettaient à circuler le plus librement du monde. Et, partant de là, la nouvelle peinture POP et l’expression lyrique ne constituaient pas vraiment de quoi jeter par terre les artistes du Vieux Continent. Si les croûtes de Jackson Pollock avaient bien suscité quelques mouvements de curiosité vers la fin des années 1950, l’armada du POP ART ne parviendra pas à faire de grands dommages dans les milieux de l’art parisien et ailleurs en Europe.

Toutefois, c’est la pensé de Marcel Duchamp qui parviendra à s’infiltrer par tous les pores d’un système de l’art désormais prisonnier des marchés anglo-saxons. Ainsi, « à partir de 1960, les stratégies de Castelli [manifestement adoubé par les marchés de Wall Street et les services secrets américains] et le travail de la CIA commencent à produire des résultats. Le choix d’une nouvelle avant-garde ayant pour théorie fondatrice le conceptualisme de Marcel Duchamp est efficace. Sa doxa affirme : « Est de l’art tout ce que l’artiste dit être de l’art ». (et qui dit que xest un artiste ? Les réseaux ? Les copains et les coquins ausein du marché des milliardaires ? Puisque il n’y a plus de critère objectif, qui crée le critére - de fait - ? lecopinage lesréseaux et le fric, je ne vois plus que ça) Créer – poursuit Aude de Kerros – c’est concevoir et déclarer. L’œuvre c’est le concept ! La forme, l’objet matériel, n’est que la partie négligeable de l’œuvre, un artisanat que l’on peut sous-traiter. Duchamp définissait cette pratique conceptuelle comme un « non-art », ses artistes comme des « anarchistes ». Cette fois-ci, la rupture est totale : si l’art conceptuel est déclaré être de « l’art » à la place de « l’art » c’est que le mot « art » a changé de définition. Les critères, jusque-là esthétiques, de concordance entre fond et forme, étaient compréhensibles, partageables, discutables. Ils permettaient une évaluation à laquelle on pouvait adhérer ou non, en sachant pourquoi. Ce n’est plus le cas avec l’art conceptuel ».

Il s’agit d’un curieux paradoxe, le fait qu’un pseudo artiste parisien, Marcel Duchamp, ait fourni le cadre conceptuel idéal aux marchés new-yorkais ! Désormais, dans le sillage de la révolution libérale-libertaire, une nouvelle définition de l’art est née sur les prémisses des extravagances jetées à la face du monde par les dadaïstes, les conceptuels et leurs épigones de la « mort de l’art ».

Une dématérialisation de l’art

Aude de Kerros s’est confiée à nous dans le cadre d’un entretien qui portait justement sur cette dématérialisation de l’art au profit des nouveaux investisseurs dans le monde de la culture dite « contemporaine ». Interrogée au sujet de cette manipulation des produits de l’art contemporain, elle s’emporte : « Aujourd’hui, par exemple, j’ai appris qu’un artiste japonais ayant produit une sorte de petit graffiti – tout à fait simpliste – a réussi à en tirer des millions sur le marché. Alors on se pose la question qui tue : « quel est le rapport entre la chose et le prix ? » La réponse est compliquée. Précisons qu’au départ, il y a peut-être 200 personnes qui jouent ensemble au sein d’un cercle fermé d’investisseurs privilégiés. Ils forment donc un réseau et c’est eux qui décident de la valeur « faciale » des œuvres qu’ils font circuler à travers leur cercle respectif. Après, vous avez le cercle des médias, parce qu’il faut bien rendre les choses visibles et vous retrouvez, à la toute fin de la chaîne, les institutions d’état qui achètent.(et qui sont donc les vaches à lait du truc, qui se résume, comme la « dette » publique, à une opération de pompage de l’argent public au profit d’un petit cercle d’affairistes !)Profitant de sa position d’initié, le collectionneur privilégié, avant même que l’œuvre n’ait été mise sur le marché, a déjà acheté le produit. Il y a tous les cercles concentriques des milieux de diffusion et de vente de l’art – galeries, biennales, ports francs, etc. – et, en dernier lieu, vous retrouvez les institutions publiques. Ce sont des joueurs qui jouent à un jeu financier dont le moteur est constitué de ce réseau de collectionneurs privilégiés qui sont capables d’investir entre 1 million et 100 millions pour une œuvre, comme ça, sans problème ! »

Un système endogamique

On comprendra que, dans un tel contexte, une poignée de membres de l’hyperclasse soit en mesure d’influencer le « haut marché de l’art » et de phagocyter les institutions de l’état afin que les œuvres de leurs poulains y soient exposées et, partant, gagnent de la valeur sur le marché de la spéculation culturelle. C’est sans doute ce qui explique la raison pourquoi les institutions publiques complices ne veulent pas se départir de tout ce système de cotation, de mise en valeur et de promotion d’un art contemporain qui table sur des valeurs ontologiques résolument conceptuelles. Les produits artistiques, ainsi voulus, ne seront plus jugés sur cette base anthropologique qui, toujours selon Mme de Kerros, « fait que tout le monde recherche la beauté et l’harmonie au gré de son expérience avec l’œuvre d’art ».

Ainsi, quoi de plus commode que d’utiliser un système conceptuel fonctionnant sur le mode des vases communicants : de la conception de l’œuvre jusqu’à son évaluation, tout le discours qui sert à positionner l’art est construit à partir de valences qui n’ont rien à voir avec la valeur intrinsèque du « produit ». L’œuvre d’art sera, conséquemment, jugée sur la foi d’un système de valeurs abstraites, conceptuelles, qui peuvent être manipulées à volonté par les médias, le marché de l’art ou les spéculateurs. L’œuvre d’art à l’intérieur de ce système artificiel n’a donc plus aucune valeur en soi. C’est le discours sur l’art qui détermine la valeur

(bon, ça a toujours été ça) et permet de fixer des cotations par la suite et, a fortiori, de justifier la monopolisation des institutions publiques pour diffuser les « produits » de ce marché artificiel qui fonctionne sur le mode de la boucle de rétroaction.

Et, parlant de ce mode de fonctionnement, notre interlocutrice précise que « ces gens-là sont actifs au sein d’un système endogamique et, s’il s’interrompt, tout s’effondre. C’est justement parce que c’est un système fermé que la valeur peut être produite. Mais, contre toute attente, ils devront subir les inconvénients des avantages. Le circuit du milieu intellectuel produisant une critique sur l’art est lié à l’état. Il s’agit donc d’un système qui se protège avec des gardiens, des barrières, et les bénéficiaires (TOUT dans la société contemporaine capitaliste fonctionne sur ce schéma! Dans notre vie quotidienne nous nous y heurtons en permanence, le but de la dictature capitaliste totalitaire et fliquée actuelle est de tout enfermer dans un système comme ça) de ce système en vase clos sont désespérés parce que désormais, grâce à la circulation de l’information sur le net, on peut raconter leurs bêtises ».

L’art a perdu son âme

Nous avions déjà précisé, dans un article s’intitulant La culture POP : art pornographique par excellence, que « des ready-made de Marcel Duchamp jusqu’aux troupeaux de badauds dénudés pour être photographiés par Spencer Tunick, en passant par l’arte povera des années 1970-80, le monde de l’art occidental se contente de mettre en scène des rogatons qui témoignent de l’emprise incontestable et incontestée du marketing. L’art contemporain tient lieu de processus de récupération des produits de la culture du marketing, puisque la culture n’est plus un espace de représentation au service de la quête spirituelle d’une collectivité donnée ».

Justement, à propos de cette spiritualité qui a été chassée du monde de l’art, Aude de Kerros estime que « l’effondrement de la notion du transcendant et de la spiritualité fait qu’il y a un vide considérable et c’est l’argent qui a fini par combler ce vide. L’argent n’a pas d’âme : c’est un bon serviteur et un mauvais maître. C’est l’effondrement de la civilisation qui est lié à l’effondrement de la spiritualité – et de la notion de la transcendance – qui fait que l’occident est si mal en point, parce que c’est une histoire occidentale cette affaire d’art contemporain ».

La réalité du globalisme de l’anglophonisation de la France !!!

Prenant acte d’un globalisme qui n’est pas qu’une idéologie (mais le stade ultime du capitalisme), mais pouvant correspondre à certains aspects de la réalité, Mme de Kerros nous aide à conclure notre article au moyen d’un passage révélateur contenu dans son dernier essai. En effet, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle nous prévient que « cette contrainte occidentale d’une idéologie de l’art, certes très adaptée aux affaires, peut-elle s’exercer encore longtemps sur un marché aujourd’hui mondialisé (ah ! En fin on parle en français!)? Si les intérêts d’argent sont aisément partageables à l’échelle planétaire, la culture ne s’impose pas si facilement … Artistes et amateurs originaires d’autres continents ne sont peut-être pas prêts à renoncer entièrement à leurs aspirations […] »

S’il est vrai que plusieurs sociétés « émergentes » n’ont toujours pas été entièrement contaminées par ce système et cette vision mercantile de l’art, il n’en demeure pas moins que l’ubiquité d’Internet sert surtout à promouvoir des idéologies qui reposent, d’abord et avant tout, sur la « société du spectacle ». En outre, les derniers rescapés de la classe moyenne mourante (justement ils sont protégés ! ils achètent de belles oeuvres qu’ils découvrent dans les expositions locales de « peintres du dimanche ») n’ont pas toujours les moyens de se payer des œuvres d’art « abordables », dans un contexte où la fiscalité favorise surtout les gros investisseurs. On connaît la chanson au chapitre des paradis fiscaux et des autres voies de contournement qui sont l’apanage de l’hyperclasse.

Aude de Kerros nous confiait, en fin d’entretien, avoir espoir que les sites qui font la promotion des « artistes dissidents » pourront aider à mettre en place des marchés parallèles, pour que l’authentique création soit en mesure de se faire connaître. Encore faudrait-il que les internautes s’intéressent à autre chose qu’à la promotion de leur ego ou à cette fuite en avant qui caractérisent les communications postmodernes.

Optimiste, certes, Aude de Kerros demeure réaliste en affirmant que « le krach financier de 2008 a marqué un tournant dans le domaine de l’appréciation de l’Art contemporain. Le public mondial a assisté au grand spectacle de la dématérialisation des titres. D’évidence, les produits financiers dérivés, dits « sécurisés » n’avaient pas de contrepartie matérielle, ne reposaient pas sur une richesse tangible. Malgré le fait que le marché financier n’a pas entraîné le marché de l’art dans sa chute, l’analogie fut faite avec ce qui était devenu très semblable à un produit financier : l’Art contemporain ».

Un hubris démoniaque

Si ce système de l’Art contemporain a permis de dématérialiser les fondamentaux de l’expression artistique, c’est peut-être parce que nos élites ont été submergées par une hubris emportant tout sur son passage. Aude de Kerros nous aide à comprendre les ficelles d’un système de reproduction culturelle qui sert à « monétiser » des œuvres conceptuelles et, du même coup, à faire la promotion de messages qui font le jeu d’un soft power globaliste. Toutefois, elle n’épilogue pas trop sur cette dégénérescence qui est le propre des civilisations qui se meurent. Mis à part quelques perles, comme celle-ci : « L’art contemporain, dont le but proclamé est transgression, subversion, table rase, a eu depuis le début de son existence la nécessité impérieuse d’être rapidement muséifié pour exister. On peut dire que le musée d’Art contemporain est consubstantiel à cette redéfinition de l’art désormais séculaire ». (c’est à dire que c’est un « art » artificiel que personne ne mettrait chez soi ?!)

In fine, si l’on suit le fil de la discussion, force-nous est de constater que les institutions publiques, prêtant main-forte à ce marché artificiel, ont contribué à sanctuariser un air du temps qui flirte dangereusement avec le nihilisme le plus complet. Rajoutons-en un peu, même si la coupe est pleine. Le terrible incendie qui a dévasté toute la charpente de Notre-Dame de Paris était-il le fruit d’un malencontreux hasard (bien sûr que non ! c’était trop providentiel pour Macron, et si on étudie les détails c’est patent) ou bien l’œuvre d’un mauvais génie de la performance in situ ? (non, des technciens du « service Action ») Toujours est-il que la reconstruction de ce trésor du patrimoine pourrait servir à reconvertir l’auguste cathédrale en musée … d’Art contemporain. On pourrait y reproduire, par hologrammes, des épisodes de cet incendie dantesque et, chemin faisant, célébrer la victoire d’une culture qui a définitivement enterré la spiritualité.

Un livre incontournable à lire :
« ART CONTEMPORAIN – MANIPULATION ET GÉOPOLITIQUE »
Par Aude de Kerros, aux Éditions Eyrolles, Paris, 2019, ISBN : 978-2-212-57302-2

Site de l’auteur :

patricehansperrier.wordpress.com

13/01/2022

les inéducables (Michel Terestchenko) katoj kaj humanismo

* les hommes libres et les collabos.png

et des gens qui résistent sur internet dans leurs coins il commence à y en avoir beaucoup,

celui-ci par exemple : "Bonjour!! J’ai 70 ans, et je passe toutes mes journées à rassembler des infos qu’il faut comprendre pour comprendre la guerre mondiale en cours, souvent de 9 heures à 23 heures, avec un repas vite pris !! Par contre j’ai effectivement un bon stimulant des neurones, des cigarillos, car le tabac n’est pas nocif pour tout !! Encore un mensonge à détruire!"

* et ci-dessous un grand homme , d'une grande sagesse et de grande connaissances, l'un des rares à pointer du doigt ce problème, qui est AU CENTRE du projet de Klaus Schwab et des promoteurs de Neom :

et souvenez-vous de la phrase msystéreuse qu'avait découvert Pierre Jovanovic "la marque de la Bête, sans laquelle personne n'aura plus le droit de vendre ni d'acheter" dans l'Apocalypse de Saint Jean

08/01/2022

ENFIN ON SAIT !

Vous savez que - suivant la pratique typique des puissants et des capitalos ! - les cyniques promoteurs du compteur  "linky" (en amerloque dans le texte, ce qui n'est pas du tout innocent ...)  on avait bien tenu SECRET (le "secret des affaires" ! ) le nombre de personnes ayant refusé, et ayant réussi à faire respecter leur refus, le "linky".  les Résistants se battaient dans le noir sans savoir réellement combien de gens avaient réussis à échapper à ce tout-flicage visant la maximisation du profit (et oui l'analyse marxiste on y revient toujours, c'est le bon sens même !) .

Maintenant on sait ! La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a du avouer pour faire l'état des lieux de ses projets :

au moins 10% des compteurs en France ne sont pas des Linky. On peut estimer à 4 millions les compteurs ordinaires encore en service, c'est ÉNORME !

Du coup, pour soutenir Enedis et ses sous-traitants voyous dans leurs entreprise d'intimidation, la CRE a annoncé que les "sans-linky" se verraient appliquer une facturation de 64 euros par an. Attention, c'est encore une fois du bluff !

En effet, d'après mes informations, Enedis ne mettra PAS cette facturation en place car il faudrait alors continuer à payer les releveurs. Or un des principaux objectifs du programme Linky est de les licencier pour rendre Enedis encore plus profitable (et préparer sa privatisation).

07/01/2022

changer de sexe c'est quoi ? c'est d'abord .... un juteux marché ! du fric pour les chirurgiens et les "entreprises" qui font ça !! , maximisation du profit ! lutte des classes ! on n'es sort pas

https://odysee.com/@Chloe_F:b/Infoenquestions82:8

et comme du temps des rois l'Eglise était la complice du pouvoir et des profits des exploiteurs (au XIXè la bourgeoisie), les calotins de la nouvelle religion, donc la DDASS, les "Assitantes sociales " et toute cette flicaille sociale, sert de rabatteur pour ces nouveaux investisseurs ! logique !

 

24/12/2021

Monsieur Phillipot, votre nom restera à jamais dans l'histoire de la resistance.

) 22/11/2021 qu‘est-ce qu‘ils font tous ces gens en voitures ?!? Eh ben la France elle est belle !!!! s‘il y a 50 millions de nazis !!!  sur 60. Quelle horreur !!!!
que de nazis ! que de nazis ! rien que des files d'esclaves qui défilent avec leur boulets. et qui ont l'air d'être d'accord avec leur sort ces immondes collabos.

n'oubliez SURTOUT PAS de lire régulièrement les commentaires que les gens mettent sous les vidéos de Florian Philippot, et si vous avez le temps de les diffuser une par une en les tapant vous-même à la main à vos correspondants si vous en avez !

on y voit qu'au milieu de cette France Pétainiste il y a quand-même des gens qui ont compris ce qui se passe depuis deux ans !

Sauf que ces immondes pourriture à crever de sites (Youtube ? ça ne serait pas étonnant !) empêchent TOTALEMENT qu'on puisse en aucune manière les copier et les republier nulle part !!! "celui qui doit la vérité il doit être exécuté" n'est-ce pas !!

aussi je n'en mets qu'un parmi des milliers d'autres pour la plupart encore meilleurs :

"Non aucune capitulation, pas de pass ni de vax, jamais ! quitte à rester cloitrée chez moi je ne cèderai pas à ce chantage abject, merci pour votre combat acharné Mr Philippot !"

lisez les TOUS, c'est un vrai cours de morale, de politique, d'histoire des idéologies, de socio-économie, d'histoire contemporaine, tout y est ! y compris la réflexion sur la nécessité de prendre les armes

23/12/2021

Touts ces français collabos feraient bien de méditer les phophéties de Pierre Dac sur la ondes de Radio-Londres !

en regardant depuis le trottoir  : 12/2021 rien que des esclaffes du Krand Gapital ach !! encorr des Nazis, pien zoumis et pien “zitoyens” afek leur couche-culotte sur le fisach’, ach so !

et n'oublions pas que tout ça, ce business-plan, ce nouvel esclavage (l'esclavage antique étant selon MARX la première forme historique de domination des travailleurs par les exploiteurs) qu'on appellera comme Florian Philippot le covidisme, ressort de la lutte des classes, ce trait fondamental de toute l'histoire humaine, et source favorisant toutes les psychopathologies et toutes les perversions morales.

 

Frédéric Lordon : le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (1/2)

 problème de la “gauche” bourgeoise-bobo-bien-pensante :

"Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu'ils ont été trompés". Mark Twain

 

18/12/2021

le capitalisme totalitaire


quelque choses à bien comprendre soit avant de visionner cette vidéo, soit suite à ce visionnage :

La "dette" est (depuis l'antiquité! documentez-vous, et lisez les romans de B. Traven aussi,) une invention perverse utilisés insidieusement pour devenir un truc d'asservissement des travailleurs par leurs exploiteurs !

C'est donc comme le dit Bernard Friot (si vous ne connaissez pas sa pensée il faut absolument regarder ses conférences ! renseignez-vous ! réfléchissez !) une chose à faire disparaître, carrément !

Le capitalisme, en tout cas l'actuel, est par essence TOTALITAIRE. il faut donc le faire disparaître ! absolument

en guerre contre qui ? ben ! quelle question ! contre le peuple, contre les travailleurs, pour recréer l'esclavage, c'est le principe du fascisme https://odysee.com/@R%C3%A9veillez-vous!:0/Hold-On-%28tea...

D'ailleurs l'enjeu des libertés individuelles et publiques est devenu LE problème crucial, et majeur de l'humanité. Qui menace rien moins que la survie des notions de personne et de Civilisation, et la dignité la plus élémentaire. Le covidisme, psy-op fasciste 2.0 (lisez "deux point zéro"). Et celui-ci (le covidisme Klaus-Schwabien, Big Pharma et tout ce qui fait le projet pervers de la mafia qui a organisé tout ça (car bien sûr c'est organisé ! ça se voit comme le nez au milieu de la figure, seuls les collabos décérébrés, ou le troupeau complexé par le propagande perverse des journaputes, peuvent encore en douter !) fait partie de tous les plans TOTALITAIRES et de mise en ESCLAVAGE (relisez MARX à ce sujet, c'est indispensable ou un bon livre d'histoire depuis l'antiquité et une bonne dose de réflexion personnelle) qui sont la conséquence en droite ligne du CAPITALISME, TOTALITAIRE et pervers par essence. C'est ce que Zygmunt Bauman appelle "l'esprit de la modernité"

17/12/2021

les français

8/12/2021 Il y a maintenant deux sortes de français :

les NAZIS, 80% qui vont se restaurer dans des camps de concentration (autrefois appelés “restaurants”) réservés au non-juifs, dôté de leur carte de membre du NSDAP et de leur brassard à croix-gammée; ces Fleury-Mérogis de nutrition ça ne doit beaucoup les changer, car ils habitent déjà, depuis des années, dans des Fleury-Mérogis d’habitation, des apparts “de luxe”, en tout cas chers, sous digicodes, aux murs vides, fliqués et appartenant à des Investisseurs Immobiliers.

Et les juifs, victimes de l'Ordonnance du 8 juillet 1942, qui ont gardé des bribes de principes moraux et de sens républicain, voire marxistes, voire scientifiques, c’est à dire “conspirationnistes”, comme on dit maintenant, et qui préparent leur manger eux-mêmes chez eux, à partir de ce que leur livrent les esclaves du Grand Capital, transformés par leur patrons en rhinocéros nazis (sauf celui de chez Maximo, qui a eu le courage et la liberté de rester un être humain).

Quel avenir pour les non-aryens ? Sans doute une “solution finale”, car le grand capital n’a pas l’habitude de tolérer le moindre manque à gagner sur les “bénéfices escomptés”.

16/12/2021

il faut que tout le monde sache se qui se passe actuellement dans ce pays qui tait autrefois la République Française !!

hallucinante persécution du Pr Fourtillan

plainte du Pr Fourtillan Contre le Docteur Olivier SCHWARTZ, directeur scientifique de lInstitut Pasteur (et donc contre lInstitut Pasteur) pour mensonges et déformation de la vérité, préjudiciables pour ma notoriété scientifique et pour les peuples du monde que je veux protéger, à propos du reportage du 20 h de France 2, du Dimanche 15 novembre 2020 ; reportage sur le Film Hold up réalisé par Pierre BARNERIAS.  

Dans le Film Hold up, le passage qui me concerne dure 3 min 25 sec (voir Pièce 1) au cours desquelles :  

1- Je parle des 3 brevets déposés par lInstitut Pasteur en 2003 et 2011 : 

- 2 brevets déposés en Europe et aux Etats Unis dAmérique, avec les mêmes dates de priorité au 2 décembre 2003 : un brevet européen  EP 1694 829 B1  (Pièce 2) et un brevet américain US 012.8224 A1   (Pièce 3 

- 1 brevet déposé, en 2011, aux Etats Unis dAmérique : brevet américain US 8,243,718 B2  (Pièce 4), qui est une continuation des 2 brevets de 2003, avec la même date de priorité au 2 décembre 2003. Ce brevet décrit donc le même virus que les 2 brevets de 2003 ; cest à dire le coronavirus artificiel Sars-CoV1, inventé par lInstitut Pasteur avant 2003, que lInstitut Pasteur a changé de nom en l'appelant Sars-CoV-2.  

2- Et jexplique, avec tous les détails nécessaires, les dates et les procédés de fabrication du Covid-19 à partir de 2011. 

Le Covid-19 est le résultat de linsertion de 4 séquences dARN du VIH1, le virus du SIDA, dans le génome du Coronavirus Sars-CoV2. À ce sujet, l'Institut Pasteur soutient que le virus Covid-19 est identique à Sars-CoV2, car ils veulent cacher la présence du virus du SIDA dans le Covid-19, qui fait de ce virus artificiel un virus tueur.  

Le reportage de France 2, sur le Film Hold up, dure 3 min 26 sec. (Pièce 5 

Ma plainte porte sur une période de 43 secondes, entre les temps 1 min. 14 sec. et 1 min. 57 sec., avec les évènements suivants :  

1- Entre 1 min. 14 sec. et 1 min. 35 sec., soit pendant 21 secondes, la chaîne France 2 a fait un résumé fallacieux, dans lequel sont absents tous les détails techniques sur les brevets et les preuves de la fabrication du virus artificiel Covid-19 par linstitut Pasteur, que javais donné pendant 3 min. 25 sec. dans le film Hold- up  

2- Entre 1 min. 35 sec. et 1 min. 40 sec., soit pendant 5 secondes, apparait à l’écran un seul brevet, le brevet américain US 012.8224 A1  (Pièce 3), alors que javais montré 3 brevets dans le film Hold up, et un commentateur non identifié déclare : « Mais, là encore, cest faux, le brevet ne concerne pas le virus Covid-19, mais un autre coronavirus ». Les responsables de lInstitut Pasteur mentent, quand ils soutiennent que Covid-19 est Sars-CoV2. Et le brevet quils disent ne pas être un brevet de Covid-19 est en fait un brevet américain de Sars-CoV2, identique en tous points à Sars-CoV1. En effet, ils nont pas pu breveter le Covid-19 obtenu comme je lai dit plus haut par insertion du VIH1 dans Sars-CoV2 (identique à Sars-CoV-1), car, dune part, les examinateurs de brevet nauraient jamais accepté une telle invention, et, dautre part, ils ont évidemment voulu cacher la présence du virus du SIDA dans le virus artificiel Covid-19, qui va rendre le vaccin mortel.    

3- Entre 1 min. 40 sec. et 1 min. 57 sec., soit pendant 17 secondes, le Docteur Olivier SCHWARTZ, directeur scientifique de lInstitut Pasteur, dit : « Et, surtout, lInstitut ninvente pas de nouveau virus. Le brevet dinvention, cest un terme technique, cest donc protéger un procédé, une façon de faire un test diagnostic, un traitement ; ça ne veut pas dire quon a inventé le virus »  

Le Docteur Olivier SCHWARTZ ment quand il dit que lInstitut Pasteur na jamais inventé de Virus, puisque les 3 brevets de lInstitut Pasteur sont des brevets dinvention qui protègent un nouveau virus comme indiqué : 

Dans les titres 

-du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1  (Pièce 2) : NOUVELLE SOUCHE DE CORONAVIRUS ASSOCIE AU SRAS ET SES APPLICATIONS.  

-du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1  (Pièce 3) : NOVEL STRAIN OF SARS-ASSOCIATED CORONAVIRUS AND APPLICATIONS THEREOF.  

-du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2  (Pièce 4) : STRAIN OF SARS  ASSOCIATED CORONAVIRUS AND APPLICATIONS THEREOF. 

Dans les abstracts   du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1  (Pièce 2) à la page 3 :  

[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue dun prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules dacide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules dacide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin. 

- du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1  (Pièce 3) à la première page :  

(57) Abstract  : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine. 

- du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract :  The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.  

Il sagit dun mensonge éhonté et grotesque par lequel le Docteur Olivier SCHWARTZ, responsable de lInstitut Pasteur, en tant que Directeur scientifique, prend ses interlocuteurs pour des imbéciles

Une telle erreur volontaire est fatale pour lInstitut Pasteur, qui cherche à nous faire croire que le Sars-CoV1, identique au Sars-CoV2, et le Covid-19 qui en dérive sont des virus naturels.  

Il faut préciser que le Docteur Olivier SCHWARTZ, a fait le même mensonge dans un article de Sciences et Avenir publié le 20 Mars 2020 (Pièce 6). 

II 

LInstitut Pasteur cherche désespérément à nier l’évidence, et fait courir le bruit quelle va porter plainte contre le Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN. La vidéo de la chaîne Jasper Mader « Alerte Vaccins » du 20 août a été vue par plus de 3 millions et demi de personnes, parmi lesquelles figurent le Président TRUMP, le Président POUTINE et la plupart des gouvernants du monde entier, comme en atteste lInformateur du 9 novembre 2020 (voir Pièce 7).  

Cette information publiée par Q-actus, lorganisme dinformations de Q-anon (US Army Intelligence Service) sous la forme de Q-VIDEOS, précise que les Présidents POUTINE et TRUMP, ainsi que pratiquement tous les gouvernements du monde ont vu la vidéo Jasper Mader du 20 août qui dénonce la fabrication du virus Covid-19 par lInstitut Pasteur en France.  

Lire le bas de la page du mail (Pièce 7) 

Ainsi, cette annonce de Q-anon était destinée à faire savoir à lInstitut Pasteur, Macron, et ses proches du Nouvel Ordre Mondial que TRUMP et Mike POMPEO savaient tout sur lorigine du Covid-19 au moment de sa visite éclair à lElysée le 16 novembre 2020 ; visite très discrète où Mike POMPEO a rencontré uniquement MACRON et Jean-Yves LEDRIAN. LInstitut Pasteur, la Macronie, et les Français membres de la Cabale, qui savent la Vérité sont sans doute peu nombreux : une dizaine de personnes tout au plus.  

Entre temps, il y a eu la sortie officielle du Film Hold up le mercredi 11 novembre à 11h qui a été brutalement censuré le 12 novembre à 18h 35. La raison de la censure est mon intervention de 3 min 25 sec entre les temps 1h 49 min et 1h 52 min 25 sec, au cours de laquelle je dévoile toute la Vérité sur la fabrication du virus Covid-19 par lInstitut Pasteur, et les 3 brevets de lInstitut Pasteur qui protègent cette fabrication. Tous ces évènements survenus entre le 9 novembre et le 16 novembre 2020 déclenchent une panique incroyable à lInstitut Pasteur, MACRON et leurs plus proches complices, au courant de la situation, qui se savent condamnés. Ils répètent en boucle que les propos du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN sont des Fake News diffamatoires et quils vont le poursuivre en justice. Ils censurent toutes ses interventions dans lesquelles il énonce la Vérité  

  • - Hold up censré le 12 novembre à 18h 35, avec interdiction de diffusion à Viméo.
  • - You tube censure toutes les vidéos Jasper Mader mises en ligne depuis le 20 août 2020. 

III  

Cest dans cet affolement et cette obsession de cacher la Vérité que lInstitut Pasteur, dans lincapacité de démentir les accusations du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN, a intimé au centre dhébergement OVH de stopper immédiatement lhébergement de notre site www.verite-covid19.fr  dans lequel nous faisons toute la vérité sur le virus Covid-19 et les vaccins anti Covid-19 (Pièce 8). Par chance, OVH, pour justifier notre éviction de leur centre dhébergement, nous a adressé la demande de lInstitut Pasteur (Pièce 9).  

Outre le fait que lordre de lInstitut Pasteur soit totalement illégal, car il nest pas assorti dune commission rogatoire, ni dune décision judiciaire confirmant le caractère fallacieux des informations diffusées par le site www.verite-covid19.fr  , cette notification est un aveu de culpabilité par lInstitut Pasteur qui indique que ce que nous dénonçons est diffamatoire pour le Docteur Frédéric Tangy et lInstitut Pasteur, mais qui ne disent pas que cest faux ! 

IV 

Dans leur souci de neutraliser le Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN, lInstitut Pasteur, le Président MACRON et ses complices mont fait convoquer au Tribunal Judiciaire de Paris (Pièce 10) au prétexte dune mise en examen dans une procédure déjà réglée depuis ma mise en examen du 11 Mars 2020, au cours de laquelle javais répondu à toutes les questions, ce qui a permis de montrer que les 8 accusations de lANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament), et de madame Agnès BUZYN, alors Ministre de la Santé, en date du 19 septembre 2019, étaient sans fondement.  

Cette convocation est un piège  

Le jeudi matin 26 novembre 2020, à 9h 30, un détachement de 4 officiers de la Gendarmerie Nationale de lOCLAESP de Marseille, a fait irruption dans mon lieu actuel de résidence perdu en pleine campagne, dans la commune de Saint Privat les Vieux dans le département du Gard. Ils étaient accompagnés dune personne qui a été aperçue par des témoins, qui avait une voiture banalisée équipée dun système d’écoute et de moyens de localisation. Personnellement, je ne lai pas vu. Il était resté en retrait, ne les accompagnant pas lors de leur irruption à mon lieu de résidence, et au cours de la perquisition et de la saisie de tout le matériel informatique.  

Contrairement à la perquisition effectuée à mon domicile de Poitiers, un an auparavant, le 12 novembre 2019, à laquelle avait participé une quarantaine dofficiers de Police judiciaire, Gendarmes, etc..., sous la direction de madame le Juge Brigitte JOLIVET. Le 12 novembre 2019, ils s’étaient présentés à 7 h du matin à mon domicile de Poitiers. Javais été immédiatement mis en garde à vue. A 10h du matin, madame Brigitte JOLIVET a tout compris de la situation en lisant un document confidentiel que javais adressé au Président MACRON le 29 octobre 2019 (Pièce 11).  

En plus de la remise de convocation (Pièce 10), et contrairement à la perquisition du 12 novembre 2019, où ils avaient seulement copié le contenu de mes ordinateurs, les Gendarmes avaient reçu lordre de saisir tout le matériel informatique 

- 2 ordinateurs : 1 Macbook Pro et 1 MacBook Air. 

- 1 iPad utilisé par mon épouse. 

-  Une vingtaine de clés USB. 

Ils nous ont laissé nos 2 téléphones dont ils ont demandé les numéros. 

Et, une chose qui ma intrigué et ma décidé à ne pas me rendre au TJ Paris le 4 décembre, ils mont demandé que je leur remette mon passeport. Je leur ai montré ma carte didentité, en leur disant que cela suffisait. Ils ont acquiescé. Je leur ai dit que mon passeport était à Poitiers. Après avoir saisi tout le matériel informatique et perquisitionné, ils sont repartis à 11h 15. 

A 19h, le même jour, le propriétaire de ma résidence qui avait vu la personne qui accompagnait les 4 gendarmes, ma téléphoné pour me donner le numéro de téléphone dun Officier de la Police Judiciaire de Poitiers, le Commandant de Police Petit-Jean que je devais appeler de toute urgence au 07 86 46 60 53. A 19h 26 jai aussitôt envoyé un SMS à Mr. Petit-Jean, en lui confirmant que javais bien reçu ce jour la convocation délivrée par le détachement OCLAESP de Marseille, et que je me rendrai à cette convocation.

A 20h 30, jenvoie à Mr. Petit-Jean le SMS suivant : 

Cher monsieur 

Je vous confirme que j'ai bien reçu la convocation de madame Brigitte Jolivet, pour le vendredi 4 décembre à 10h au Tribunal judiciaire de Paris. Elle m'a été remise ce matin par le détachement OCLAESP de Marseille. Je vous confirme donc que je me rendrai à la convocation de madame Brigitte Jolivet le 4 décembre 2020 à 10 h au Tribunal Judiciaire de Paris 

Bien cordialement à vous 

Pr Jean-Bernard Fourtillan  

A 20h 36, Mr. Petit-Jean me répond le SMS suivant :  

Bonsoir M. Fourtillan, 

Mme Jolivet souhaite que votre passeport soit récupéré à votre domicile de Poitiers. Souhaitez-vous assister à l'opération de perquisition ou souhaitez-vous désigner un représentant (qui pourra être votre fils Mathieu) ?Sans réponse de votre part, je suis tenu de désigner deux témoins. Bien cordialement. 

Commandant de Police Jéme Petit-Jean.  

A 20h 37, je réponds :  

Mon fils Mathieu peut récupérer mon passeport qui est dans le tiroir de gauche d'un secrétaire ancien situé entre les 2 fenêtres de la chambre d'amis de notre appartement de Poitiers 

Vous n'avez qu'à le contacter, et il vous le donnera pour l'envoyer à madame Jolivet Bien cordialement  

Jean-Bernard Fourtillan  

 

A 20h 40, il me répond finalement :  

Je vous remercie de votre réponse.  

Cest le motif de la convocation, la saisie de tout mon matériel informatique, et la saisie du passeport, qui mont conduit à la décision de ne pas me rendre à cette convocation qui navait sans doute dautre but que de me placer en détention, dans lincapacité totale de diffuser la vérité sur le Covid-19  

V  

Privation injustifiée de tous mes moyens financiers  

Blocage depuis le 30 juillet 2020 de tous mes modes de paiement : Cartes bancaires, Chèques, Distributeurs despèces, alors que mes comptes bancaires BNP et Banque Postale ont été pendant cette période : supérieurs à 10 000 euros, à la BNP, à laquelle je nai plus accès car ils mont supprimé mes cartes bancaires et laccès à toute information sur mon propre compte, et compris entre 15 000 et 25 000 € à la Banque Postale, comme on peut le vérifier sur mes relevés bancaires. 

De plus, sur ordre de la « Justice » les comptes du Fonds Josefa et de la société Sodeval sont séquestrés depuis le 12 novembre 2019, sans justification financière ni judiciaire. 

Afin de me neutraliser dans tous les domaines,  

ON cherche à maffamer et à me détruire.