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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
COMME TOUJOURS pour le plus grand profit des firmes du GRAND CAPITAL
l'accumulation du capital ça s'appelle, lisez par exemple comment ça s'est passé en Angleterre au XVIe siècle (si vous avez le coeur bien acroché, le cynisme puant et la cruauté de ces gens est hallucinant ! que ça serve d'avertissement il n'y a aucune raison qu'ils ne soient =pas capables de choses pareilles maintenant, ils le sont déjà!) :https://histoireetsociete.wordpress.com/2018/06/13/karl-m...
et un article d'actualité :
COMME TOUJOURS pour le plus grand profit des firmes du GRAND CAPITAL
NOTES À PROPOS DE L’AFFAIRE DU PROFESSEUR FOURTILLAN ET DE CE QU’ELLE MONTRE DE NOTRE SOCIÉTÉ DÉCADENTE DE PLUS EN PLUS INHUMAINE ET DÉNUÉE DE SENS
11 mai 2021
La pitoyable histoire présente du Professeur Fourtillan embastillé en préventive est symptomatique de notre société qui vit la tête en bas. Préventive pour un procès dont l’aspect répréhensible médicalement parlant ne sera sans doute pas facile à établir. Préventive, ce que souvent on n’applique même pas à la racaille notoirement délinquante tant du bas que du haut dela société.
On en a des exemples en masse. Et ceci tous les jours, qui montrent que le monde de la Justice est lui aussi totalement contaminé par le maboulisme ambiant imbécile et/ou malfaisant. Bien évidemment fort révélateur de la déliquescence des mœurs et des dites élites de la bourgeoisie totalitaire, uniformisante, atomisante, dictatoriale et délétère. *
Que reproche-t-on à ce Docteur en Pharmacie ? D’avoir distribué des patches d’une substance naturelle non toxique à des personnes âgées, non pas en vue de leur ramener la jeunesse mais simplement d’améliorer leur mémoire, ou leur sommeil.
Il ne serait pas le premier ni le dernier (fort heureusement) à le faire. J’ignore si ce produit est efficace mais il ne semble pas être plus dangereux (sic) ou néfaste que les herbes médicinales de nos herboristes qui ont été voués à la disparition, pour les remplacer par l’industrie des tisanes des rayons « plantes et produits naturels » (sic, c’est fait comment une industrie naturelle?) des pharmacies et plus encore des supermarchés à vigiles privés.
Le péché du professeur (qui a fait toute sa carrière dans la recherche pharmaceutique) a été de dire ou laisser dire qu’il soignait ! Or en France comme partout ailleurs, sauf dans certains pays dits « sous-développés », la santé est un secteur réglementé par la loi, l’obtention de diplômes et comme on le voit présentement par une vraie police sanitaire qui impose de plus en plus de protocoles dans le domaine de la recherche et même dans celui du traitement des maladies. Avec les directives des ARS entre autres ou le médecin a de moins en moins son mot à dire et n’a plus qu’à appliquer ce qui est écrit sur des fiches de protocoles sanitaires !
Tenant en laisse principalement les soignants donc, y compris même en parfaite contradiction avec les buts premiers de la médecine (et du serment d’Hippocrate) qui est de soigner, de traiter les malades, de secourir, sans discrimination ni distinction aucunes et au mieux des connaissances scientifiques et des savoir-faire de chaque soignant. Avec l’aide de diverses techniques et technologies médicales. La médecine a la particularité d’être à la fois une science et un art où chaque cas est particulier.
Qui n’a pas encore remarqué que dans cette présente corona-folie (montée de toute pièce) le but n’est plus de soigner mais de « vacciner ». Ce qui veut dire que très officiellement (et sous la conduite des monopoles pharmaceutiques) des États ont pu décréter qu’il ne fallait plus soigner (et surtout pas avec de vieilles molécules efficaces et peu coûteuses) mais attendre d’hypothétiques vrais ou faux « vaccins » (ces derniers, totalement expérimentaux et jusqu’à ce jour réservés à des cas désespérés ou à des maladies génétiques ; et connus depuis au moins une décennie ou deux pour ne pas être efficaces, voire dangereux, voire mortels).
Je ne développe pas sur les raisons d’un tel choix : recherche de profits faramineux (cf analyse marxiste), réduction au passage d’une partie de la population, assujettissement des masses humaines à de nouvelles formes d’esclavage (cf Marx : l’Esclavage antique, puis le servage, puis le prolétariat, bien sûr il n’a pas pu prsager ce qui est venu un siècle après sa mort : le nouvel esclavage ) (techno-sanitaire, avant d’être bientôt techno-financier et techno-sécuritaire à l’image de cette grande démocratie qui se trouve en Chine), etc. Chacun choisira, dans cette courte liste, ce qu’il préfère en penser.
Pour ceux qui ne croiraient pas à une volonté délibérée de réduire le nombre d’humains d’une manière radicale et infecte, repensez à ce qui est arrivé l’an passé dans plus d’un EHPAD où plus d’un cas d’euthanasie a été officiellement prôné par le gouvernement et les ARS. Avec la préconisation de l’usage d’un médicament de fin de vie ! Et ce refus de soigner et d’accueillir les plus vieux dans les hôpitaux démunis par l’incurie gouvernementale et des années de diminution des budgets (ceci à la demande de ladite Union Européenne). (Et après on refusera de voir les rapport antre le fascisme actuel et le nazisme eugéniste dont le premier génocide fut celui des fous et des handicapés Aktion T4 !) Demandez-vous pourquoi on s’est empressé de vacciner les personnes des EHPAD avec des produits qui n’ont pas réuni les conditions sanitaires pourtant assez draconiennes (du moins en théorie) de diffusion dans le public. Des produits expérimentaux dont les premiers cobayes sont aussi les plus fragiles (dont un certain nombre « vaccinés » de force, sous la contrainte y compris physique). Dans le non-respect des Conventions de Nuremberg mis en place juste après guerre pour éviter les dérives « médicales ». Précisément pour éviter celles du genre qui avaient sévi dans les camps de concentration allemands.**(rappelez-vous ce que disait Zygmunt Bauman : que le nazisme était ce que donne l’esprit e la modernité « quand il n’y a rien pour l’arrêter »)
Le professeur Fourtillan n’a tué personne. Il est importuné par la Justice et un procureur femelle particulièrement à crans contre lui, en bonne alliée des instances médicales officielles totalement noyautées par les plus bornés ou filous et percluses de « conflits d’intérêts » (comme on dit pudiquement) avec BigPharma. On voit ce que ça donne au niveau de la « gestion » quotidienne de la corona-folie.
Par contre, tous les jours depuis plus d’un an, combien de personnes sont mortes à cause de cette gestion catastrophique ou de la « vaccination » ? À cause, ou par volonté, de BigPharma et alliés genre Gates. ***
Comment en droit on nomme les responsables de morts pour des raisons crapuleuses ?
En fait, Fourtillan est à ranger en compagnie des herboristes d’autrefois. L’artisan doit disparaître comme le petit commerce, comme on le voit également en ce moment. On tolère encore les tireuses de cartes, tout juste les rebouteux et les conjureurs. Attendons-nous à ce qu’ils soient interdits d’exercer en des temps futurs et proches, vu comme on est parti. Les marabouts, tireuses de cartes, ou derniers prêtres font de la concurrence aux psys officiels et (plus ou moins) diplômés. Mais les Impôts s’en satisfont tant que ces anachroniques déclarent leurs revenus.
Dois-je ajouter que pour aggraver son cas Jean-Bernard Fourtillan a établi des correspondances entre le virus de la covid et le dépôt (sauf erreur, en 2015) d’un brevet vaccinal de l’Institut Pasteur. À ce jour, c’est-à-dire plusieurs mois après ses propos publics, l’Institut Pasteur n’a pas encore démenti quoi que ce soit. Ni porté plainte pour diffamation ou propos mensongers.
Cette histoire me fait penser à ce qui s’est passé dans les années d’après-guerre en France où sous couvert de lutter contre l’alcoolisme, les petits producteurs de vin pour leur usage familial ont été incités financièrement à arracher leurs ceps de vigne. Ce fut le cas dans ma famille. Le grand commerce allait bientôt faire son émergence en force partout.
Je me souviens d’une histoire ancienne, peut-être dans les années soixante-dix / quatre-vingt, dans ma région, quand une personne a eu des ennuis pour avoir bouilli quelques litres d’alcool qu’il avait dû vendre illégalement. Il avait confectionné un alambic à partir d’une cocotte-minute. Je ne sais qui l’avait dénoncé et ce qui lui est arrivé au final.
Il faut savoir qu’il faut posséder une patente ou une licence, je ne sais trop, pour pouvoir être bouilleur de cru. Enfin une autorisation officielle. Exercice en voie de disparition puisque que ça fait quelques dizaines d’années maintenant que ce droit n’est plus transmissible. Pour l’unique profit ici aussi de l’industrie des alcools.
On peut prendre n’importe quel domaine de la société et l’on arrive toujours au même type d’exemples qui montrent que tout devient réglementé mais surtout que tout ou presque tout est passé entre les mains de l’industrie, de la grosse industrie, et derrière tout ça dans les mains de la finance ; ou de l’État quand le privé ne peut pas ou ne veut pas se substituer à lui. Il ne reste plus au simple particulier que le droit de vendre du muguet au premier Mai (simple tolérance ! l’administration, la police, les impôts ferment les yeux); ou aux gamins de ma région, sur les bords des grandes routes, à vendre des jonquilles au début du Printemps, et encore j’ai l’impression que cette activité soit en voie de disparition.
Un autre exemple est également remarquable : celui des plants normés et souvent « OGM-isés » que les coopératives agricoles vendent aux agriculteurs, maraîchers, jardiniers, ce qui met au rancart un tas d’espèces agricoles et horticoles. Autrement dit la diversité, qui est la vie même. Pendant qu’on crée à tour de bras des plantes résistantes à ceci ou cela, ou des fleurs hybrides plus vraiment naturelles. Ou qu’on choisit d’engraisser la terre avec des produits qui tuent les abeilles, autre vecteur essentiel de la vie de la flore sur Terre. Fort heureusement des bourses d’échange existent et des espèces renaissent (il existe de véritables archives des graines et des plantes). Il ne faut pas le dire trop fort car je crois bien qu’il est interdit d’en faire commerce. Jusqu’au jour où un produit ou une espèce sera reprise par l’industrie agricole. Là l’interdiction sera levée, comme par enchantement. Plus encore quand le produit sera déclaré bio, à bon ou à mauvais escient. ****
Notre monde est devenu un monde de dépossession de tout ce qui a un aspect productif et créatif, ou de bien commun naturel ou humain, de patrimoine, pour la masse humaine. L’homme du commun qui autrefois était celui d’une communauté naturelle, d’une langue, d’une église, ou même d’un parti ou syndicat de masse, n’est plus que l’homme dépossédé, simple rouage de la production ou de la consommation (consommation au sens le plus large, de la consommation alimentaire à la consommation sanitaire en passant par la consommation dite culturelle, plus précisément sous-culturelle et audio-visuelle ; ou encore consommation élective politicienne, bien que la concurrence ne semble plus y exister, réduite à de simples étiquettes publicitaires de produits politicards et autres ersatz de grande consommation, interchangeables comme les lessives). Un simple spectateur d’un changement vers l’inhumanité.
Et de nos jours ce qui tient les hommes atomisés (et présentement masqués comme des "Rhinocéros", du moins dans les espaces clos publics) entre eux relève d’une médiatisation inouïe : automatisation, robotisation d’une bonne part de la production industrielle, même les BTP sont sur-équipés en machines diverses ; médiatisation audio-visuelle de l’information (communication à sens unique, propagandiste pour l’essentiel), médiatisation électronique des moyens de paiement, médiatisation des communications interpersonnelles par sa généralisation à distance et dans l’instant même…
J’ai écrit plus haut « élites de la bourgeoisie totalitaire, uniformisante, atomisante, dictatoriale et délétère ». Ce ne sont pas des mots mais bien une réalité concrète. Des maux sociaux. Que l’on prenne le milieu de la finance, de l’industrie, du commerce, ou … de la santé, de l’agriculture, des media et de la « culture ».
Notes :
* Pour donner un exemple : Cela faisait dix ans que le Tunisien (« bien connu des services de police ») qui a égorgé une policière il y a quelques jours vivait en toute illégalité en France. À Nantes, un jeune Guinéen arrivé en France en 2017, et depuis parfaitement intégré, qui fait des études tout en travaillant en alternance, et dont le temps libre consiste à écrire de la poésie (dangereux terroriste!) … est en instance d’expulsion parce que la Préfecture juge sans preuve que ses papiers d’identité guinéens ne seraient pas bons, bien que produits par l’administration consulaire guinéenne ! Heureusement pour ce dernier, il a du soutien, mais en aura-t-il suffisamment et du « bon » si on peut dire ?
** Mais, j’ajouterai que les « méchants nazis » n’ont pas eu le monopole d’une recherche criminelle, pour ne citer que deux pays — sans développer sur les deux bombes atomiques balancées sur les « sous-hommes » jaunes — il est bien connu (ou plutôt pas assez connu) que les « démocratiques » États-Unis (et en particulier le département de la CIA) se sont faits une spécialité bien avant la seconde guerre mondiale, ou après, d’expérimenter sur diverses populations dont les amérindiens mais aussi sur celles de divers pays du monde, des produits « médicaux » ou autres. Pensez-y :Quand on est capable de balancer du napalm et des défoliants sur une population entière et une végétation comme au Vietnam on est prêt à tout, y compris aujourd’hui à expérimenter n’importe quoi sur une partie de l’humanité sous le couvert de la soigner, non pardon, de la « vacciner » avec des produits qui ne sont d’ailleurs pas des vaccins. Mais qui relèvent, répétons-le encore, au moins en partie, d’une thérapie génique criminelle. Le deuxième exemple est celui des milliers de Juifs séfarades qui ont subi, bien évidement à leur insu, des expérimentations criminelles dans les années cinquante en Palestine occupée, de la part de Juifs européens ashkénazes. Qui a dit ashkénazis ? Qu’en pensent les anti-fascistes et anti-nazis ?
*** Rigolo au moins à ce niveau, la femme de Gates semble avoir demandé le divorce depuis que Melina a pris conscience que Bill avait fréquenté Epstein et plus précisément ses soirées … Du moins, c’est ce qui se dit dans la presse nord-américaine (mais pas trop fort, quand-même).
**** Autrefois on se limitait à dire que l’enseignement était obligatoire de 6 ans à 14 ans. Puis on est passé à l’éducation nationale (alors même que les premiers éducateurs sont les parents, normalement), où il fallait moins instruire les jeunes que les bien former et formater, mais à quoi donc ? Vu les résultats depuis l’après-guerre, on dira que le but a été — par des théories absurdes (lecture globale, usage de la théorie des groupes en mathématiques tout en généralisant l’usage des calculettes), restriction drastique de l’apprentissage par cœur, de l’usage des livres, refus de la rigueur et du développement de la notion de travail, et cerise sur le gâteau : histoire devenue simple propagande politique — de transformer des générations en analphabètes et consommateurs/électeurs béats. Mais ce n’était pas encore assez, ces dernières années on a fait rentrer le sociétal et le polémique dans les écoles. Y compris une « liberté d’expression » fausse et biaisée pouvant aller jusqu’à la propagande pornographique au collège, ou la théorie délirante du genre à la maternelle. Et ce n’est toujours pas assez, car en ces temps présents l’apprentissage scolaire à la maison a été notablement restreint (autorisé). Toujours pour de bonn2,00es raisons. Les atteintes à la liberté, aux libertés essentielles sont toujours initiées par les dominants pour restreindre ou interdire de « mauvais usages » de ces mêmes libertés. Présentement ce serait celui (fantasmé) d’un apprentissage islamiste et « séparatiste », « non républicain ». Pour avoir été l’un des anonymes qui participèrent aux débuts difficiles des écoles Diwan en langue bretonne (ou plus exactement bilingues françaises et bretonnes), je sais ce que veux dire « séparatisme » et ce qu’il recouvre dans les hautes sphères jacobines — depuis d’ailleurs la révolution bourgeoise et centraliste de 1789… On en est, aux temps présents, non plus à un enseignement obligatoire de six à quatorze ans, mais à une école obligatoire de trois ans à seize ans, pour un résultat global peut être pire qu’il y a un siècle. Combien de bacheliers d’aujourd’hui ne seraient même pas capables d’obtenir l’ancien, abandonné il y a un demi-siècle par là, certificat d’études primaires ? !! Tout est dans les mots, devenus vides de sens. Analphabète, certes, mais bachelier et chômeur (pardon, « demandeur d’emploi ») déqualifié à venir et … bien souvent à vie. Que demander de plus pour les capitalistes et autres exploiteurs ?! Bien évidemment, certains s’en tirent (tout relativement) mieux que d’autres puisqu’il existe deux écoles en France : celle des riches (ou des pauvres qui pensent mieux s’en sortir de cette manière, mais ils ne savent pas que tout se joue ailleurs, dans des réseaux auxquels ils n’ont pas accès), l’école privée confessionnelle ou non, et celle de la masse des pauvres et moins pauvres, publique (dans un aussi bon état que les hôpitaux publics). Tandis que ceux qui prenaient le problème à bras le corps en se passant de l’instruction publique comme on disait « dans le temps », doivent remettre contraints et forcés (et pourtant archi-minoritaires) leurs enfants à la société, ou plus exactement à l’État (quel qu’il soit). On peut alors se demander s’il existe une différence entre une école dite laïque, républicaine et démocratique et une école d’une société stalinienne ou maoïste, ou mieux encore chinoise de 2021.
je regrette mais pour moi ce sera "ni oubli ni pardon" ! je refuserai désormais de remettre jamais les pieds chez des gens et dans des lieux qui auront à un moment donné appliqué l'ordonnance du 8 juillet 1942 (que celui qui a des oreilles entende !!!) Je n'arrive absolument pas à comprendre comment des gens puissent se retrouver face à des gens pareil sas avoir envie de leur cracher à la gueule et de tourner le dos en "secouant la poussière de ses chaussures"
la France envahie de rhinocéros nazis :
Avec ceux qui ont du rester chez eux en prenant de l'Aspirine avant d'appeler le 15, le chiffre de 20.000 morts est évoqué ça et là.
c'est une honte de vivre cette dictature en France alors que des anciens ce sont battues et sont mort pour devenir un pays libre.
pourquoi un tel matraquage, qui tourne à l'obsession, de la part des médias des 9 milliardaires (un autre proverbe de bon sens dit "qui paye commande", tous ces médias ne sont en rien libres, ni honnêtes, leurs "collaborateurs" - terme NOVLANGUE pour désigner leurs salariés, bref ou bien putes ou bien chômeurs ! -
Pour conclure, on aurait envie de dire à la classe dirigeante : “laissez-les prescrire, laissez-les filmer, laissez-nous écrire, laissez-nous travailler, laissez-nous penser, laissez-nous ... tranquilles.”
"Il ne faut pas se rassurer en pensant que les barbares sont encore loin de nous ; car s'il y a des peuples qui se laissent arracher des mains la lumière, il y en a d'autres qui l'étouffent eux-mêmes sous leurs pieds." Alexis de Tocqueville
Le bonheur d’être suisse » (Jean Ziegler, 1993) sous ce titre bizarre et anodin se cache un des livres les plus riches et émouvants qui soient.
C'est comme les Mémoires d'Outre-Tombe de Chateaubriand, et ça les vaut. Comme Mémoires d'Outre-Tombe ce n'est pas seulement l'histoire d'une vie (très attachante et Jean Ziegler est un personnage admirable, qu'on ne peut oublier) et celles des personnages, qui ont croisé sa vie et dont il sauve la figure et le destin de l’oubli, c'est mêlé à un cœur de chair saignant et à une intelligence perçante, une vaste symphonie humaine et historique, une fenêtre ouverte sur toutes les dimensions du temps et de l'espace. Avec ceci de plus par rapport à Chateaubriand que ça parle de notre monde où nous vivons, où d'autres meurent (ou sont morts...) et dont Ziegler a si bien su mettre à jours les noirs dessous, et dénoncer les scandales fondateurs. ("En écrivant je veŭ contribuer à délégitimer la doxa des seigneurs.") Ca déborde non seulement d'intelligence et de révolte, mais d'émotion, d'angoisse, de fraternité, de poésie et de sensualité. C'est le genre de livre qu'on a envie de garder sur sa table de nuit pour en faire un livre de chevet (c’est ce que j’ai fait durant plusieurs années).
En 1997, quand je suis allé en Suisse, j’ai orienté tout mon voyage sur la recherche des lieŭ où il a passé.(si ! si ! voilà le genre de passion que peŭ susciter cet homme, j'ai fais la même chose pour seulement un autre auteur : Chateaubriand justement ! ) En commençant par Thoune sa ville natale, où j’ai cherché le Château-tribunal, sa maison natale de la rue des magnolias, et puis Aeschi (où il a rencontré Ricarda Huch ) et le village de son grand’ père pasteur. J’ai aussi cherché (en vain c’est tellement mal indiqué que pourtant pas loin je n’ai pu arriver à trouver la route qui y mène !) les villages de Kiental et de Zimmerwald (ceŭ qui connaissent l’histoire sauront tout de suite ce qui s’est passé là). Et à Genève j’ai pris ces deŭ photos : (censurées par la firle de menteurs capitalistes qu'est devenu Ipernity
L’Université de Génève où il est professeur de sociologie : (non ! ce n’est pas lui qui a fait mettre le panneau de circulation )
Et la Place des philosophes où il habite :
Son livre « est tout poétique », Et en plus il cite des poètes à chaque pas :
La roue épaisse de la terre
Fait rouler sa jante épaisse d’oubli,
Coupant le temps
En d’inaccessibles moitiés
(Pablo Neruda)
Maintenant, pris presque au hasard (pas tout à fait ! mais presque), et ce ne sont même pas les meilleurs ni les plus interessants (le reste est encore mieŭ ! pensez !) quelques extraits du livre :
Mon père croyait aŭ « mondes de raison » chers à Valéry. L’esprit seul peut annuler le chaos du monde. Ses œuvres procurent consolation et abri à l a dignité blessée, au désir à jamais inassouvi des hommes. Il me récitait souvent en allemand ces vers de Saint-John Perse, sans que j’en comprisse alors le sens :
« Écoute, ô nuit, dans les préaŭ déserts et sous les arches solitaires, parmi les ruines saintes et l’émiettement des vieilles termitières, le grand pas souverain de l’âme sans tanière. »
Au cours de nos longues promenades dans la montagne, j’entendis aussi les vers somptueŭ de l’Exil que mon père disait à voix basse, la tête baissée comme s’il parlait à ses pieds :
« nous mènerons encore plus d’un deuil, chantant l’hier, chantant l’ailleurs, chantant le mal à sa naissance et la splendeur de vivre qui s’exile à perte d’hommes cette année »
Très jeune déjà, j’avais le sentiment que mon père avait de la peine à vivre. (p.43)
Au Collège libre, les jeunes filles étaient souvent très jolies. Dans les couloirs sinistres, elles passaient légères comme des papillons. Mon corps de quatorze ans brûlait de tous les feŭ de l’univers. Le désir me ravageait. Pourtant je n’ai jamais touché ni même frôlé ces boucles dorées, ces seins et ces hanches naissantes. Je louchais donc comme un débile. J’étais terrorisé par les foudres virtuelles que l’Ancien, le Nouveau et tous les autres Testaments promettent aŭ fornicateurs et, d’une façon générale à tout homme manquant – ne fusse que par le regard – à la loi sacrée de la chasteté. (p. 88)
Clarté (fama franca intelekta/politika revuo) m’a donné le goût de repenser toute chose de façon radicale. Je veŭ dire : de déterrer à travers pierrailles et boue, brumes, distances et barricades, la racine de ce qui est.
(p. 107)
Nous marchâmes sur le boulevard, côte à côte. Elle prit ma main. Sentant la brûlure et voyant le pourpre de mes joues, elle me dit : « Je t’aime bien. « J’étais ivre de joie et fou d’absolu, d’être et d’universel. Nous avons fait connaissance dans le petit café du coin.
Née à même le plancher d’un grenier d’une maison du ghetto de Prague cernée par des brutes bottées en uniforme noir, Sarah avait pu quitter sa cachette dans les bras d’une bonne slovaque avant l’arrivée des camions. (p. 123)
L’étonnant Appenzellois me posait un problème que je devais rencontrer plusieurs fois encore au cours de mon existence ; Comment et pourquoi aimais-je des hommes et des femmes professant des opinions politiques et une vision de l’histoire diamétralement opposées aŭ miennes ? Derrière les conflits idéologiques et politiques, et au-delà d’eŭ, il y a le commun destin des hommes, leurs souffrances, leurs doutes, la mort. J’aime ce chant de Joan Baez : « Be not too hard … for life is short … and nothing is given to man. “ Celui qui tente d’alléger les angoisses de son prochain ou qui, dans sa chair, souffre lui-même abolit les distances, les contradictions politiques. J’éprouve pour lui une immédiate et intense sympathie. (p ; 179)
Vittoria ne s’opposa pas à mon départ.
Au pied du DC-3 qui devait me conduire à Kamina, puis à Élisabethville, elle prit mon visage entre ses mains. « Je t’aimes … beaucoup …. Plus que ma vie. » dit-elle dans un souffle. Elle m’embrassa doucement sur le front. Puis elle se détourna et quitta le tarmac en courant.
Je ne devais plus jamais la revoir.
(p. 183)
Opposant intraitable à la tyrannie marocaine, Ben Barka avait choisi l’exil en Europe. Hassan II avait été son élève en mathématiques. Il tentait maintenant de le faire assassiner.
Je vouais au petit homme rond aŭ yeŭ de charbon une admiration sans borne, une grande affection et beaucoup de gratitude. Lors de nos conversations nocturnes, autour d’un plat de couscous dans un restaurant algérien de la porte de Clichy, il m’avait révélé la lutte des peuples du Tiers-Monde et enseigné la stratégie de leurs ennemis.
A mes yeŭ, tout officier marocain – même sous le casque bleu – ne pouvait être que le complice du régime abhorré.
La plupart du temps, Urquhart était parfaitement maître de lui. Malgré la différence de nos statuts, malgré les décennies qui nous séparaient, il me parlait avec simplicité et franchise et parfois avec une émouvante modestie. Comme ce soir de pluie où, les traits du visage marqués par la douleur, la voix curieusement tremblante, presque timidement, il me demanda : « Comment puis-je faire pour communiquer à mon fils, qui refuse toute discussion avec moi, tout engagement pour une cause, un peu de votre esprit socialiste ? »
Je ne me souviens plus des balivernes dogmatiques, certainement assez confuses, que je lui servis en guise de réponse. Mais je ressens aujourd’hui encore l’intensité de la satisfaction et la flambée d’orgueil qui m’envahirent ce soir-là ; Un père humilié me demandait conseil … C’était le monde à l’envers. Pourtant, à l’instant même, je me détestai, mesurant brusquement, face à cet homme au regard douloureŭ et à la voix humble, l’étendue des blessures que j’avais infligées à mon propre père une dizaine d’années auparavant. Dans cet abris puant le tabac froid, le bois mouillé et la sueur, sous ce déluge de pluie, au cœur le plus profond de l’Afrique, à onze mille kilomètres de mon lieu de naissance, je découvris que j’aimais mon père … et que j’avais été incapable de le lui dire et de lui demander pardon. La fureur m’envahit. La honte. Je me haïssais. (p. 191)
J’ai d’ores et déjà remporté une victoire : car les seigneurs de la finance internationale n’aiment pas s’exposer à la lumière du jour. Ils s’avancent cachés ; Le crépuscule est leur monde. Ils craignent comme la peste le regard des peuples. (p. 303)
"L'intelligence d'un seul m'éteint la bêtise universelle." (Anne Archet)
Questar de Keith Jarret www.youtube.com/watch?v=Y-OMprqBbRA « Questar : conserver, croire, chérir envers et contre tout au fond de son cœur les valeurs de la vie, de la raison, de l’idéal, croire à la morale, au romantisme, au cœur, à la bonté, à la vie, même si on ne la vit pas ! croire à tout ce qui fait la dignité humaine, contre tout réalisme avilissant, en dépit de l’impuissance, du doute, même sans espoir, ne fusse que par défi, que pour être soi-même, que pour passer le temps, que pour l’amour de tout ce qui est beau et vrai.» j'ai écrit ça seul chez moi le soir du 3/12/1984
En 2015, un nationaliste ukrainien déclarait publiquement
concernant le Donbass que "c'est une région surpeuplée de
personnes inutiles" comme par exemple dans la région de
Donetsk ou "sur les 4 millions d'habitants, 1.5 sont superflus"
et de rajouter glacial: "nous n'avons pas besoin de comprendre
le Donbass qui doit-être exploité comme la ressource qu'il est
Je ne prétends pas avoir de solution rapide mais la chose la plus
importante que nous devons faire, aussi cruel que cela puisse
être à entendre, c'est qu' IL Y A UNE CERTAINE CATEGORIE DE
PERSONNES QUI DOIVENT ETRE EXTERMINEES" !!!
Décidément, les comportements des nazis, allemands ou ukrainiens, sont toujours les mêmes. Il ne faudra pas commettre l’erreur de laisser subsister cette engeance.
un autre traitement à base de Chloroquine, encore meilleur !
Des médecins de new-york ont trouvé un protocole encore mieux : Le Dr. Vladimir Zelenko d’un hôpital de NYC rapporte que son service a traité à peu près 700 patients avec la combinaison du dr. Raoult à laquelle il a ajouté un dérivé du zinc. Sur les 700 patients seuls 4 ont été hospitalisés, pas d’intubation et aucun mort parmi ces patients. Protocole employé: – 200 mg 2X daily chloroquine – 500 mg 1xs daily Azithromycin – 220mg 1x daily zinc sulfate (NB: Zinc as gluconate is known To be considerably More bioavailable than zinc as sulfate fwiw but that’s american Médecine imvho).
Une explication détaillée de la raison de l’augmentation d’efficacité par le zinc est fournie mais beaucoup trop technique pour moi.
En gros, ce que je pense avoir compris: Wikipédia « L’hémoglobine, couramment symbolisée par Hb, parfois Hgb, est une métalloprotéine contenant du fer, présente essentiellement dans le sang des vertébrés au sein de leurs globules rouges, ainsi que dans les tissus de certains invertébrés. Elle a pour fonction de transporter l’oxygène O² depuis l’appareil respiratoire (poumons, branchies) vers le reste de l’organisme. »
et donc: D’après ces chercheurs américains, le virus consommerait le fer de l’hémoglobine, lorsque tout le fer serait consommé le patient mourrait complètement asphyxié, son sang ne pouvant plus transporter l’oxygène aux organes. Les poumons étant eux-mêmes absolument intacts, simplement remplis d’eau et de glaires. C’est donc dès le début, lorsque l’hémoglobine est encore intacte en quantité qu’il faut agir: les médicaments vont pouvoirs agir au maximum, au moment le plus opportun: lorsque les virus se goinfrent du fer de l’hémoglobine et c’est à ce moment que le zinc agit au mieux. Lorsqu’ils ont tout bouffé c’est fini; le patient meurt asphyxié et les virus disparaissent également. Bon j’ai peut-être rien compris à l’explication mais ça semble bien booster le protocole du dr. Roult
Ainsi, en transfusant le patient suffisamment tôt il devrait être possible d’appliquer ce protocole avec un certain succès, si évidemment les organes du patient ne sont pas encore trop touchés. Cette amélioration du protocole du dr. Raoult est très intéressant puisqu’elle permettrait de traiter les patients intubés.
Et si on y joint la logique de la prévention active, pour plus d'efficacité, car il ne faut pas perdre de tems mais traiter dès les débuts de 'infection :
Au Maroc des médecins proposent de traiter tous les états grippaux à la chloroquine sans attendre :
Le professeur Chafik Chraibi, gynécologue-obstétricien a diffusé hier, lundi 6 avril, sur sa page Facebook une vidéo dans laquelle il recommande d’utiliser le traitement à base de chloroquine « très tôt c’est-à-dire avant même de faire le diagnostique de la maladie – car ça prend du temps – ou qu’elle se complique ».
(prévention active, comme pour le protocole du Dr Gernez contre le cancer)
« Je voudrais apporter ma modeste contribution à cette pandémie que nous traversons partout dans le monde et notamment dans notre pays. Je ne veux certainement pas interférer avec les autorités sanitaires qui font un travail colossal qui est très salutaire », entame le professeur.
Face à « l’augmentation importante de cas confirmés et de décès » au Maroc, et « selon toute la littérature que j’ai lue, je trouve que le traitement par la chloroquine est très important. Les autorités sanitaires marocaines l’ont compris depuis longtemps vu qu’elles ont réservé tous les stocks de chloroquine existant au Maroc au niveau de la pharmacie centrale du ministère de la Santé. Mais ce même ministère utilise cette chloroquine dans les cas avérés de coronavirus », poursuit Chraibi qui précise par ailleurs qu’il « serait très intéressant d’abord d’utiliser non pas la bithérapie c’est-à-dire sulfate de chloroquine et azithromycine mais aussi d’ajouter du sulfate de zinc ». (protocole du Dr Zelenko de New-York)
« Dès que la personne présente des signes d’une simple grippe, il faudrait commencer le traitement, et pas en automédication, mais en consultant un médecin notamment un cardiologue car les principaux effets secondaires de la chloroquine sont des anomalies cardiaques. Il faudrait donc que la personne fasse un électrocardiogramme et que le médecin lui-même puisse prescrire ces médicaments que le patient peut trouver en pharmacies et non pas dans les hôpitaux, ce qui retarde le traitement », indique-t-il dans sa vidéo. Et d’ajouter que si une personne présente des symptômes grippaux en avril, « c’est plus probable qu’il s’agisse du coronavirus que de la grippe normale car on a dépassé la période de la grippe normale ».
En résumé, Chafik Chraibi conseille 1) l’utilisation de la chrolorquine dès les premiers symptômes, 2) l’utilisation de la trithérapie en ambulatoire, 3) le confinement qui doit être toujours de mise et 4) le port du masque qui est très important, une précaution confirmée par l’académie de médecine. « Je crois que de cette manière-là, nous pourrons arriver à stopper voire même a éradiquer cette maladie ».
Si les politiciens sont tous des pourris et des corrompus, c'est à cause du système de l'élection reécoutez les vidéos de Chouard, ou mon article là dessus "l'oeuf de Colomb", d'élire les dirigeants crée automatiquement un phénomène de sélection naturelle, comme dans le darwinisme, ce sont les meilleurs menteurs qui gagnent ! et pourquoi ? parce que dans le système de l'élection ce sont ceux "qu'on peut aider" comme dit Chouard, c'est à dire ceux que les riches, propriétaires des médias, de l'argent, des réseaux, aident, et bien sûr ils aident ceux qui leur profitent, quelle question ! (ils n'aideront jamais un révolutionnaire, sauf si c'est un faux ! un social-traitre, une "opposition contrôlée"), et ça crée une CLASSE politique de cyniques aux dents longues avides et sans honneur. Voilà pourquoi votre fille est muette, ou plus exactement voilà pourquoi on a des politiciens plus pourris les uns que les autres. Conclusion ?c'est le système qu'il faut changer ! écrire nous-même notre constitution, et remplacer l'élection par le tirage au sort.
E,bien entendu, des politiciens qui roulent pour le grand capital seront forcément des pourris, c'est dans les gênes de cette classe, c'est la base de leur idéologie.
« Lorsque j’étais adolescent – nous dit Gilbert Ganne dans « Contre les valeurs bourgeoises » Berget Levrault 1967 – il y avait trois classes dans les chemins de fer. Les secondes étaient, par excellence, le domaine des bourgeois moyens ; on les reconnaissait facilement à leur mine constipée. Dans ces compartiments aux places louées, il régnait une atmosphère compassée et parfaitement ennuyeuse, bien différente de celle des troisièmes où la conversation s’engageait aussitôt entre compagnons de voyage. Cela débutait par des sourires adressés aux enfants, par des réflexions sur le temps ou la longueur du trajet. A midi on déballait joyeusement les provisions et, si quelqu’un se trouvait démuni, jamais l’on n’entamait le repas sans lui offrir quelque chose. Si bien que je négligeais toujours les vivres dont ma mère voulait me charger, persuadé que j’étais que de trouver ce qu’il me faudrait dans le train. Ce n’était point de ma part réflexe de malin, mais soucis de simplification ; j’avais déjà compris que les questions pratiques, pour lesquelles j’ai peu de goût, se résolvent d’elles-mêmes, par le plaisir que prennent les autres à les résoudre ; (c’est bien passé maintenant ! ) Cette façon de partager, mon acceptation sans arrière-pensée, et d’autant plus franche que souvent les produits offerts venaient directement de la ferme ou avaient été amoureusement mijotés, les compliments que j’en faisais rendaient les vis-à-vis très heureux et contribuaient à faire régner, durant tout le parcours, un climat d’harmonie fraternelle.
Il est possible qu’aujourd’hui cette simplicité aie disparue en même temps que les troisièmes. Toujours par soucis de simplification je vais maintenant au wagon-restaurant où les gens se regardent mastiquer sans s’adresser la parole. Engager la conversation, à plus forte raison offrir un verre, vous ferait passer pour un malotru. »
ceux qui ont obéi sont des criminels, vils, COUPABLES et ne méritant que le dégoût, mais tout ceux qui n'agissent pas aussi ! Où est la solidarité humaine minimum devant d'aussi horrible injustices (par exemple envers les soignants !) ??? où est la révolte du peuple ? quand prendra-t-il l'Elysée et les chaines télé d'assaut ? Quand la résistance passive se répandra-t-elle dans nos villes ?
Tous ceux qui ont laissé faire le mal et s'instaurer le fascisme, la réaction anti-peuple, l'arrogance mortifère, le génocides de nos proches, sont pires que les fascistes, ce sont eux les vrais coupables, les français sont-ils donc tous devenus des larves kollabos et nazies ???
Avec ceux qui ont du rester chez eux en prenant de l'Aspirine avant d'appeler le 15, le chiffre de 20.000 morts est évoqué ça et là.