08/04/2022
Pas d'abstentions !
Il faut aller voter en masse dimanche pour DUPONT AIGNAN. Chacun doit reussir a convaincre subtilement 1 personne...Je m'abstient à chaque election. Mais cette année ils comptent sur les abstentionnistes pour faire passer le Fuhrer KlausSchwabien Emmanuel McKinsey. Il faut y aller fort !
pour la France pour l'humanité la liberté et la DIGNITE ! et l'honnêteté !! pour recroire en la République, en l'avenir et pour l'avenir et la liberté de nos enfants !
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01/04/2022
la Molière des temps modernes
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26/03/2022
légalisation de l'infanticide !
"avortement" à .... 9 mois !
Il n'est absolument pas ici question d'accouchement pour grossesse à risque, mais de prétendus "avortements" (en vérité "assassinats") pour une excuse bidon : **_détresse psychosociale_* .
Le terme " _avortement_ " désignant une action pour empêcher un processus d'arriver à son terme, donc à 9 mois, on ne peut pas désigner cet acte comme un avortement.
Les pervers qui ont voté pour ce crime contre l'humanité parlent de " _détresse psychosociale_ " , un prétexte bidon dans lequel on va faire entrer tout et n'importe quoi. Un petit tour de passe-passe de ces salauds, et leur excuse bidon, raccordée à un motif médical, leur permet de prononcer l'euthanasie arbitraire d'enfants viables.
Ils ont assassiné nos aînés à coup de refus de soins et de Rivotril,
(déjà en Allemagne du temps de l'Aktion T4 ils faisaient ça, un vieillard en très bonne santé recevait une convocation à une visite médicale en hopital, l'hopital déclarait qu'ils le gardait car "il ne pouvait pas vivre seul", qq semaines plus tard la famille était avisé qu'il était mort, et une urne)
bien ils ont refusé de soigner les cancéreux avec leur excuse de la covid.
Aujourd'hui, une autre partie de l'humanité passe à la trappe : les nourrissons viables des "sans-dents". Les grosses bourges soit ne font pas de gosses, soit optent pour les avortements de confort bien avant 9 mois et de nombreux dirigeant n'ont pas d'enfant.
Voilà où l'on en est rendu, grâce aux nazis eugénistes qui nous appliquent à la lettre les théories de 1933 visant le tri des humains, l'éradication des gens qu'ils jugent "socialement gênants" et la recherche de l'enfant parfait, terme nazi repris par ce laurent alexandre dans ses conférences à vomir.
Nous ne sommes plus du personnel ni de la "ressource humaine", nous somme désormais désignés comme "ressources humaines" ou "matériels humains", voire "recyclable" dans les campagnes de dons d'organes, un marché juteux là aussi.
Les Libéral-fascistes du NWO, sous le faux prétexte de promouvoir "la liberté de circuler des citoyens du monde désignés comme "migrants"" , orchestrent en fait des transferts de populations d'esclaves. Les stocks d'humains sont comptabilisés, évalués en fonction de leur impact sur la planète et le NAIRU (moyen d'assurer par le chômage une pression à la baisse des salaires et des conditions de travail !). Et voilà "kill bill gates" qui nous saoule avec ses 15% d'humains en trop sur terre: les non productifs (vieux, trop malades, puis les pas-diplômés-de-l'enseignement-supérieur) doivent être liquidés et les stocks de main d'oeuvre à venir doivent être puisés chez les esclaves importés.
Sortons des divisions politiques, religieuses : réapprenons la lutte des classes, car c'est un projet du grand capital, comme on vient de le voir, et DEFENDONS L'HUMANITE en tant qu'êtres humains.
"Que le profit soit convenable le capital peut s'employer partout ; 20%, il s'échauffe ; 50%, il est d'une témérité folle, à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n'est pas de crime qu'il ne puisse commettre." (TJ Dunning, 1860 "Trade-Unions and Strikes").
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17/03/2022
Artémise
Dans les années 20 il y avait une chanson qui disait
"Arthémise, enlève ta chemise ! Arthémise, on va faire des bêtises !", j'ai beau chercher son texte sur Internet, je ne le trouve pas.
Artémise c'est aussi le nom que j'ai donné à ma viole de gambe.
Et puis surtout l'artémise, l'Artemisia annua et l'Artemisia afra, c'est la plante anti Grand Capital et anti-totalitaire par excellence !
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10/03/2022
les luttes cyniques et cahées sous les belles paroeles
8/3/2021 de même que mai 68 ça n’était en réalité, comme s’en sont rendu compte Jacques Brel - deux ans AVANT que ça n’aie lieu ! Dans sa fameuse chanson « les bourgeois » - et Philippe de Villiers récemment, quand il a rencontré Cohn-Bendit à la buvette du Parlement, que la concurrence entre les fils de bourges, contre papa-bourgeois, le féminisme actuel c’est en réalité la concurrence entre les bourgeoises qui veulent détrôner les bourgeois de leurs postes de patrons pour prendre leurs places (bien entendu les féministes n'ont en fait JAMAIS rêvé d'être mécaniciennes ni camionneuses, quoi qu'elle aient fait croire, et les femmes du peuple ne sont pas féministes, sauf parfois par "lavage de verveau")
(et les hommes du peuple, ceux qui font l'boulot, les 99 %, pas « diplômés » du supérieur, ne sont plus là-dedans qu’une race inférieure vouée à l’extermination sous les crachats méprisants des féministes.)
03/03/2022
Tous ceux qui lisent des romans d'espionnage savent que c'est possible, et les marxistes connaissent les pratiques du grand captali
l'assassinat de Nestor Kirchner
l'assasinat de personnes "qui dérangent" par les "Services Spéciaux", en s'arrangeant pour que ça aie l'air naturel, c'est la routine pour ces gens.
Vous vous souvenez j'espère du si courageux Nestor Kirchner avec son sourire si particulier :
comme a dit un Alexandre de Marenches ancien chef des services français : une "opération spéciale" qui éveille des soupçons c'est une "opération spéciale ratée" ils savent donc s'arranger pour que ça aie l'air naturel.
26/02/2022
cet immense danger que je pressentais
Sans compte bancaire, c’est la mort sociale et économique. Après s’être rendues incontournables pour mener une vie normale, les banques jettent donc le masque. Elles sont désormais un rouage majeur de la dérive autoritaire de l’Occident.
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24/02/2022
le pourquoi de l'existence du Forum Economique Mondial (et de TOUTES les autres choses qu'on a initié ces trnte dernières années pour nous habituer au totalitarisme capitaliste)
11/02/2022
même Rioufol prend conscience
"Nous vivons une grave crise de l'intelligence": Ivan Rioufol publie son "Journal d'un paria"
Ivan Rioufol tient son bloc-notes dans les pages du Figaro depuis 20 ans. "Journal d'un paria", aux éditions l'Artilleur, rassemble les chroniques des années 2020-2021, années du coronavirus. Écrit au jour le jour, au fil des événements, ce récit retrace « les mesures excessives, liberticides et autoritaires » prises par nos dirigeants pour faire face à la pandémie. Il est augmenté d'une préface inédite qui revient sur ces deux années folles.
Le chroniqueur de CNews revient sur son évolution personnelle : si au début de l’épidémie, devant les annonces cataclysmiques, il soutient un temps le "président de la République", il est rapidement gagné par le doute et il s’interroge sur l’instrumentalisation de la peur. (beaucoup de gens ont suivi ce parcours entre 1940 et 1944)
Face à ces manipulateurs de peur, plus personne n’a été autorisé à "exprimer des doutes élémentaires", se souvient Ivan Rioufol, qui explique que les spécialistes qui dédramatisaient la situation ont été priés de se taire. Une situation qui n’est pas sans rappeler les ressorts de la pensée totalitaire. Il décrit une presse aux ordres qui accompagne le discours officiel et ne s’en cache même plus : "la presse n’est plus un contre-pouvoir", regrette l'éditorialiste, qui constate qu’à de rares exceptions près, journalistes, chroniqueurs, animés d’un esprit sectaire qui s’est installé au motif humaniste qu’il fallait sauver des vies, ne font même plus l’effort "d’exprimer des doutes élémentaires". Un mimétisme inquiétant tandis que dans une cascade informationnelle, les slogans des laboratoires, repris par les "médecins de plateaux", les gouvernements et les médias semblaient exacerbés dans un désir de convergence et de ressemblance.
"Ce qui est apparu, c’est l’effondrement de la démocratie à travers l’effondrement de tous les contre-pouvoirs : le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, le Parlement, le Sénat qui ont avalisé les mesures successives d’urgence sanitaire et sécuritaire", constate le journaliste.
N’hésitant pas à user du mot de dictature pour qualifier une situation où seule la parole gouvernementale est admise, et où chaque citoyen est sommet de la croire, il dénonce un sanitairement correct, prolongation du politiquement correct qu’il définit comme "un acquiescement à une parole officielle, à une parole d’État, par paresse et par conformisme", comme ce fut en 1940-44.
Enfin, si cette période a révélé une "grave crise de l’intelligence", Ivan Rioufol fait confiance à l’intelligence collective, saluant les Français manifestent tous les samedis depuis plusieurs mois un peu partout en France pour rappeler "qu’une partie de la société ne veut pas obéir à un ordre sanitaire, à un ordre politique ou à un ordre moral". Avec lucidité, talent et ironie, Ivan Rioufol jette sur ces deux années un regard sans concession, et nous fait prendre de la hauteur en posant un diagnostic sincère et parfois désabusé sur cette période folle où, hypnotisés par ce virus, nous avons peut-être oublié la désindustrialisation, l'ubérisation, l'aggravation de l'exploitation de l'homme par l'homme, l’affaiblissement du niveau scolaire...
Et puis la dérive fasciste et totalitaire qui est le vrai "virus" qui nous menace
26/01/2022
Khider Mesloub - redonner leur vrai sens aux mots
Au lendemain de l’effondrement du Mur de Berlin, de l’écroulement du glacis soviétique, le système capitaliste occidental nous promettait le début d’une ère nouvelle emplie de paix et de prospérité. En fait de paix, le monde fut aussitôt ravitaillé par de « prospères » phases de guerres sanglantes et exterminatrices. D’abord, en Irak, ensuite en Yougoslavie, puis au Rwanda, en Afghanistan, en Syrie, en Libye, au Sahel… Enfin, sur toute la planète, notamment par l’explosion du terrorisme structurelle abondamment instrumentalisée par les puissances impérialistes.
Parallèlement à l’ensevelissement du monde soviétique, l’univers bourgeois mondial avait procédé joyeusement à l’enterrement de la lutte de classe, cette anomalie sociale générée, selon les puissants, par la morbide société stalinienne russe contaminée par le virus bolchévique. L’humanité était déclarée enfin guérie de cette pathologie sociale éminemment létale. L’humanité était enfin réunie dans une symbiotique fraternité d’où les conflits sociaux seraient désormais bannis, la question sociale un lointain problème politique. C’était, communiait-on en chœur, La fin de l’histoire, conceptualisée naïvement par le fasciste Francis Fukuyama. Selon les thuriféraires du capital, la «mort du communisme stalinien» allait inaugurer l’ère indépassable de l’horizon du capitalisme triomphant… voyez ce qu’il en est à présent!
La lutte de classes était désormais considérée comme ringarde. Désuète. Une anomalie sociale. La maladie infantile d’un prolétariat enfantin et immature, longtemps en proie à une crise d’adolescence politique marquée par des rébellions stériles contre l’autorité des patrons et des gouvernants. De par le triomphe planétaire du capitalisme, la lutte de classe était devenue une espèce d’expression militante en voie de disparition.
« La lutte des classes est terminée… Les riches l’ont gagnée », titrait un journal économiste français, pastichant Warren Buffet, milliardaire américain. En effet, ce dernier avait déclaré dans une interview accordée à l’époque au New York Times « Il y a une guerre des classes, c’est un fait. Mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la remporter. » Voyez plutôt : Les médias menteurs font l’impasse sur la Résistance populaire…et pourtant ils résistent (Rotterdam-Guadeloupe-
Bien évidemment, ce n’était que le rêve fugace et superstitieux des classes dominantes jamais à cours d’imagination pour élaborer des scénarios visant à s’assurer de leur éternité. (Hitler, après avoir brisé la classe ouvrière allemande et neutralisé despotiquement la lutte des classes – comme tente de le concrétiser actuellement le grand capital financier par sa dictature sanitaro-sécuritaire, mais en réalité la bourgeoisie mondialisée contemporaine s’est tirée une balle dans le pied avec sa tentative de coup d’État international : elle a réveillé la vieille Taupe –, croyait fermement que son Reich durerait 1000 ans : « Mon empire vivra mille ans ! », déclarait-il sans discontinuer. Au final, son Empire aura duré 12 ans. Au reste, depuis quelques semaines, nous assistons à la énième réactivation du narratif (anglicisme ! encore !) discours Covidal induisant les mesures liberticides et les confinements, auquel les puissants – avec l’appui de l’OMS – viennent d’adjoindre l’invention d’un nouveau variant
La classe ouvrière et le prolétariat dans la crise
Au cours de cette période de libéralisme débridé impulsé dès les années 1980, la classe ouvrière, idéologiquement désorientée et politiquement affaiblie (par la gauche et la droite de concert), était totalement écrasée par la domination sans vergogne de la classe capitaliste mondialisée arrogante, enivrée de triomphalisme. Étranglée par la corde du chômage enserrée constamment autour de son cou social pour mieux la ligoter et la soumettre aux diktats du capital, la classe laborieuse subissait dans le silence la dégradation de ses conditions de vie et de travail, avec la complicité criminelle des syndicats, ces suppôts du patronat.
Dans de nombreux pays, plusieurs décennies durant, le peuple opprimé se résigna à endurer les attaques antisociales infligées par le grand capital, subir les plans de licenciement, les fermetures d’entreprises, la baisse de son pouvoir d’achat, la dégradation générale des services publics destinés aux ouvriers et au petit peuple tétanisé.
Puis, le mouvement des Gilets Jaunes surgit des entrailles du capital pour démentir les mensonges éhontés sur la mort de la lutte de classe. Ce mouvement s’apparentait à un sursaut de recouvrement de dignité de la classe laborieuse longtemps piétinée, à un rejet catégorique de la perpétuation de sa condition sociale misérable. Trois ans plus tard le gouvernement français bataille pour contenir les manifestations des Gilets jaunes – les 7 du quebec
Sans conteste, la taxe sur le carburant fut la goutte d’essence qui mit en branle le moteur de la révolte sociale en France. De fait, l’instauration de la taxe sur le carburant, cette attaque supplémentaire contre les conditions de vie du prolétariat, constitua l’élément déclencheur du mouvement des Gilets Jaunes. AUTOPSIE DU MOUVEMENT DES GILETS JAUNES – AUTOPSY OF YELLOW VESTS – les 7 du quebec
Démarré sur les chapeaux de roues, le mouvement prit de vitesse les classes dirigeantes françaises depuis longtemps habituées à écraser en toute impunité le peuple, mais également les vulgaires observateurs médiatiques, le nez à tel point enfoncé dans le guidon de leurs mesquines analyses sociétales qu’ils ne pouvaient pas apercevoir le resurgissement de la Question sociale et ouvrière (la mère de toutes les questions historiques sous le capitalisme), débouchant de la grande autoroute de la lutte des classes longtemps déclarée définitivement fermée à la circulation de l’histoire. Cette embardée sociale subversive causa une onde de choc parmi les élites françaises, prises de panique devant la propagation fulgurante incontrôlée du mouvement des Gilets jaunes, essaimant dans l’ensemble du pays, bloquant les axes routiers, occupant les ronds-points…dans un mouvement de résistance innovant.
Les Gilets jaunes innovent en terme de tactique de lutte
La singularité de ce mouvement résulta de sa spontanéité. En effet, le mouvement s’ébranla de manière aussi impromptue qu’inorganisée, par-delà les appareils traditionnels d’encadrement politique et syndical.
Le rejet de ces instances institutionnelles officielles inféodées au pouvoir, soumises au capital, constitua la pierre angulaire de ce mouvement original en rupture avec les modes de luttes classiques (usine par usine ou secteur industriel par secteur industriel). Sa caractéristique remarquable fut sa méfiance viscérale envers tous les représentants des organisations politiques et centrales syndicales, ces mandarins enfermés dans leur tour d’ivoire bourgeoise hissée au-dessus du territoire familier du peuple et du prolétariat.
Plus significativement, au cours de leurs luttes, par l’occupation des ronds-points, les membres du mouvement découvrirent de nouveaux rapports de solidarité tout en bloquant l’activité économique source de profits capitalistes. Spontanément, au cours de leurs rassemblements hebdomadaires et l’occupation quotidiennes des ronds-points de circulation du capital, ils tissèrent de véritables liens de fraternité fondés sur leur souffrance sociale commune, l’appartenance sociale (de classe) commune. Fondés sur la même aspiration humaine de changer leur existence d’exploitation et leurs conditions de vie d’aliénés. Sur la même volonté d’instaurer une «démocratie authentique, directe, horizontale, prolétarienne», appuyée sur des représentants élus et révocables en tout temps – des représentants qui ne soient que des porte-paroles et non des délégués accrédités ou habilités à décider seuls. Sur l’impérieuse urgence de transformer fondamentalement le système économique, d’abolir les inégalités sociales, et donc la superstructure sociale capitaliste faussement démocratique. Au demeurant, par la diversité de ses membres, composés de catégories socioprofessionnelles hétérogènes, ce mouvement manifestait également sa spécificité. Il n’en demeure pas moins que ce mouvement était composé majoritairement de « travailleurs pauvres », animés par la même « haine des riches » et de l’élite méprisable. Ce que nous avons rapporté dans ce volume synthétique : AUTOPSIE DU MOUVEMENT DES GILETS JAUNES – AUTOPSY OF YELLOW VESTS – les 7 du quebec https://les7duquebec.net/
Pareillement, politiquement, ce mouvement populaire exprimait une tendance singulière. Quoiqu’en rupture avec les catégories de pensée classiques, il semblait réunir une palette hétéroclite d’obédiences politiques exprimées de façon diffuse, confuse, incohérente. Quoi qu’il en soit, la solidarité du mouvement demeura longtemps intacte. Selon les sondages publiés par les médias menteurs à l’époque des mobilisations massives des Gilets jaunes, près des deux-tiers de la population soutenaient le mouvement. Dans tout mouvement de lutte, la violence accompagne inéluctablement la révolte sociale. jusqu’à l’éruption du mouvement des Gilets jaunes, le capital assenait que la lutte de classes était révolue, la Question sociale résolue. Puis, par le relèvement de sa combativité, la remise à l’ordre du jour de la lutte des classes, le mouvement des Gilets jaunes impulsa un souffle salvateur à la vie sociale et politique, aussi bien en France que dans d’autres pays, enflammés par l’aube du Grand Soir, le Crépuscule du petit matin du capital… fumisterie dont nous prolétaires devons nous méfier. La Révolution prolétarienne sera extrêmement longue et compliquée comme le démontre la Révolte des Gilets jaunes et la Résistance à la terreur pandémique qui en est la suite. Les médias menteurs font l’impasse sur la Résistance populaire…et pourtant ils résistent (Rotterdam-Guadeloupe-. La terreur pandémique non terminée que sans attendre, le Grand capital nous annonce déjà son prochain terrain d’attaque contre notre classe sociale, la supposée « urgence climatique et la transition énergétique » (sic) Le spectacle éphémère de la COP26 étant terminé, voici la facture salée! – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/ De toute évidence, ce mouvement original imprévu bouscula les schémas habituels d’analyse des luttes. Il avait entraîné les révolutionnaires à revoir certains paradigmes. Incontestablement, il avait ouvert des perspectives de combats internationaux. Surtout, il avait bouleversé les interprétations classiques sur les mouvements sociaux pollués par le prisme du stalinisme et du gauchisme. Nul doute, depuis le surgissement du mouvement des Gilets jaunes, la lutte de classe ne serpente plus les minuscules cours sinueux balisés par le capital. Elle est sortie de son lit assoupi pour sillonner librement les voies fluviales torrentielles de la lutte sociale spontanée tempêtueusement déchaînée. Aucune digue politique traditionnelle ne peut plus contenir sa fougueuse force subversive et insurrectionnelle. De fait, portée par une nouvelle génération de travailleurs pauvres tumultueux, la lutte de classe est sur le point de submerger l’ancien monde. Le nouveau peuple travailleur s’apprête à engloutir définitivement le capital déjà en plein naufrage. Une chose est sûre : avec le mouvement des Gilets jaunes, les peuples opprimés ont appris que la révolution ne sera pas l’œuvre des seuls “ouvriers”, mais également de l’ensemble des salariés et des catégories sociales exploitées par le grand capital, ses flics et ses Séides. Contrairement à la conception répandue par le gauchisme adepte de la transplantation de la conscience de classe par des révolutionnaires professionnels dans la classe ouvrière réputée par essence ignorante, la transformation sociale révolutionnaire ne triomphera que par la participation de la majorité laborieuse du peuple (femmes, hommes, jeunes, travailleurs, chômeurs, étudiants, retraités, petits entrepreneurs prolétarisés.
« L’émancipation des travailleurs ne pourra être l’oeuvre que des travailleurs eux-mêmes » (Karl Marx)
Comme l’avait écrit Lénine en 1916 : « Quiconque attend une révolution sociale « pure » ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution. (…) La révolution socialiste (en Europe) ne peut pas être autre chose que l’explosion de la lutte de masse des opprimés et mécontents de toute espèce. Des éléments de la petite bourgeoisie et des ouvriers arriérés y participeront inévitablement : sans cette participation, la lutte de masse n’est pas possible, aucune révolution n’est possible. Et, tout aussi inévitablement, ils apporteront au mouvement leurs préjugés, leurs fantaisies réactionnaires, leurs faiblesses et leurs erreurs. Mais objectivement, ils s’attaqueront au capital, et l’avant-garde consciente de la révolution, le prolétariat avancé, qui exprimera cette vérité objective d’une lutte de masse disparate, discordante, bigarrée, à première vue sans unité, pourra l’unir et l’orienter, conquérir le pouvoir, s’emparer des banques, exproprier les trusts haïs de tous (bien que pour des raisons différentes !) et réaliser d’autres mesures dictatoriales dont l’ensemble aura pour résultat le renversement de la bourgeoisie et la victoire du socialisme.». Assurément, le mouvement des Gilets jaunes, structure embryonnaire et hétéroclite, demeure encore à l’état infantile sur le plan politique. Certes, c’est encore un nouveau-né enfanté dans la douleur par les contradictions de classes, les injustices sociales criantes et intolérables infligées par le capital. Mais, par sa force exceptionnelle, avec promptitude, il a su faire preuve d’une croissance combative prodigieuse. Après seulement quelques mois d’existence, il a acquis de la maturité. De la combativité. De la popularité. Du haut de ses quelques mois d’âge subversif, il a su faire pousser des cheveux blancs aux classes possédantes françaises, entrevoyant leur mort dans l’œil brillant de jeunesse de ce « peuple jaune » emmailloté symboliquement du drapeau rouge des Communards ; donner du fil à retordre au gouvernement Macron saisi de frayeur devant la fraîcheur insurrectionnelle de ce mouvement juvénile doté d’une énergie militante vigoureuse ; faire couler des sueurs froides aux forces de l’ordre depuis longtemps assurées de leur supériorité répressive exercée en toute impunité. Le mouvement des Gilets jaunes force le respect. À son évocation, on se remémore instantanément ses milliers de martyrs : manifestants bousculés, bastonnés, blessés, éborgnés, assassinés, embastillés. De même, il aura marqué l’Histoire. Y compris la linguistique, puisque désormais on parle de giletjaunisation d’un mouvement de lutte (des esprits) pour souligner sa radicalité, spécifier sa dimension subversive et insurrectionnelle. Résultats de recherche pour « gilet jaune » – les 7 du quebec https://les7duquebec.net/?s= Aujourd’hui, depuis l’éruption du vaillant mouvement des Gilets jaunes, partout dans le monde, la peur a changé de camp. Le nouveau camp de la peur tremble sur ses bases vermoulues. La peur règne dans les palais présidentiels en proie à une fièvre obsidionale. La faiblesse a envahi le pouvoir, désormais gouvernant par la seule force. Dans le même temps, le pouvoir de la force s’est également emparé du peuple. Il ne demeure au peuple qu’à s’emparer de la force du pouvoir pour abolir définitivement la gouvernance par la force imposée par la minoritaire classe dominante, restituant au majoritaire peuple spolié la force de sa gouvernance.
Khider Mesloub
l'analyse la plus approfondie sur les méthodes du Grand Capital pour implémenter sa stratégie d'ensemble par la manipulation mentale, la corruption le chantage etc