28/07/2023
ce matin
21/7/2023 ce matin j’ai vu passer une jeune fille sur une trottinette électrique, portant un casque ! Et un gilet fluo ! Bref la parfaite membre des Jeunesses Hitlériennes !
27/07/2023
l'Autriche, grande exportatrice de .... sangsues
On connaît si mal le passé.
Il y a plein de choses à découvrir dans les livres du passé. Par exemple savez-vous quelles étaient les exportations de l'Autriche vers la France en 1832 ?
à l'époque pas question de pétrole ni d'électronique, la principale exportation de l'Empire d'Autriche c'étaient la soie brute (1er) et le blé.
mais juste après, un des postes LES PLUS IMPORTANTS d'exportation (loin, loin devant des choses comme les verreries de Venise les tissus, le tabac, le bois de construction) : les sangsues !
Absolument. Et ça représentait une valeur aussi importante que représentaient les exportations de "denrées coloniales" de la part de la France vers l'Autriche ! trois fois la somme de ce que l'Autriche exportait vers la France de fers et autres métaŭx, il y en avait pour I million 524 mille francs-or de l'époque ! Même le NOMBRE de sangsues était calculé et scrupuleusement rapporté : 50.450.250 sangsues exportées.
d'où venaient-elle exactement ? où et comment étaient-elles "produites" ? on ne le dit pas Mais j'aimerais bien le savoir, si quelqu'un a des documents là-dessus.
Et ça rappelle l'importance que l'usage des sangsues avait dans la médecine de l'époque et jusqu'au début du XXè siècle.
ah oui, la source c'est : Mémoires tirés des papiers d'un homme d'Etat sur les causes secrètes qui ont déterminées la politique des cabinets dans les guerres de la Révolution tome 11, pages 415-416; à Bruxelles - 1841
(oui, à l'époque on avait le droit d'évoquer les causes secrète qui déterminaient la politique sans se faire stigmatiser de "complotisme" !!!)
26/07/2023
26 juillet 2016 matin
j'ai entendu aux infos de France-Culture des choses hallucinantes, qui remplissent paraît-il la presse papier (que je ne lis plus, donc je n'étais pas au courant). La France est en train de devenir folle, c'est extrêmement dangereux, je ne sais pas où ça va nous conduire, c'est carrément au Moyen-Age de la Très Sainte Inquisition qu'on revient ou au régime nazi "Nuit et brouillard" ou L’URSS sous Staline qu'on revient, il paraît que plein de gens demandent à ce qu'on ne cite même plus les nom des terroristes, on doit les tuer sans jugement, sans principes fondamentaux du droit, sans Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (au nom de laquelle on est allé tuer des millions de gens dans divers pays ), exactement comme les régime latino américains des années 70 et 80 faisaient disparaître et tuaient les "communistes", décrétés l' "axe du mal" de l'époque, auxquels on niait toute humanité (déjà en 1850 Henri Wallon en France disait "un rouge n'est pas un homme, c'est un rouge"); ils raisonnent comme les inquisiteurs du Moyen-age qui si ils brûlaient les hérétiques c'étaient car ils ne voulaient pas qu'il en reste la moindre trace sinon leurs disciples pourraient diffuser et vénérer leurs reliques. donc les "terrorises" (dont on ne sait même pas trop si ce ne sont pas des fous, des marginaux manipulés par MK-ultra, des agents Gladio ! ou des vrais terroristes sponsorisée et manipulés par on ne sait trop qui, bref passons) on est tellement horrifié (tiens, Hiroshima c'est pas horrifiant alors ? Landru non plus ?) qu'on leur dénie tout, alors que Landru (qui a quand-même fait par intérêt des crimes assez horribles sur toute une série de femmes qu'il avait séduites avant de les dépouiller) a eu droit à un procès (et à un avocat), ceux qui ont organisé le bombardement de Dresde (il faut relire comment ça a été conçu et calculé, pour comprendre le cynisme criminel et horrifiant de ces gens, il y a des articles détaillés là-dessus), pas de procès ! des décorations au contraire, Celui qui a lancé la bombe sur Hiroshima, son nom est cité, il a même été interviewé avant de mourir dans son lit, non eux c'est comme une mouche qu'on écrase et ça n'a même pas existé.....
Ces réactions sont de l'ordre du délire psychotique, notre pays est (déjà ! alors que ce qu'on a subit comme terrorisme c'est la millième partie, comme l'explique François Asselineau dans sa dernière vidéo, de ce qu'ont subit les irakiens, ou les syriens) devenu comme un fou traumatisé qui commence à délirer.
Allez vous étonner que la France, et les journaputes, étaient mûrs pour le nazisme covidiste !
Et le meurtre de ses vieillards au fond des EPHAD.
Et vous allez, en payant avec des cartes bancaires, vous livrer pieds et mains liés à ces nazis psychopathes et capitalistes avides cyniques et totalitaires ?!
(vous voyez incidemment combien j'avais raison, depuis une vingtaine d'années maintenant, de mettre en garde les gens contre les tendances totalitaires hypercapitalistes et fascistes de notre société ?)
05/07/2023
Anniversaire : 84 ans
1939 – 2019 : 80 ans après l’euthanasie des handicapés
Rebondissement inespéré dans l’affaire Vincent Lambert : la Cour d’appel de Paris a ordonné lundi soir l’arrêt de son euthanasie et la reprise de son alimentation et de son hydratation. Cette décision ravive à nouveau le débat entourant la légalisation de l’euthanasie en France. Pourtant cette affaire ne concerne pas l’euthanasie d’un patient en fin de vie, mais bien celle d’une personne en situation de handicap. Cette situation nous renvoie à des heures sombres de notre passé.
Vincent Lambert se situe dans un état de conscience minimal depuis un accident en 2008. Il n’est ni mourant ni souffrant : sa santé ne se détériore pas et son état est stable. Les seuls soins dont il bénéficie sont ceux d’une hydratation et d’une alimentation par sonde. Nous sommes loin d’un acharnement thérapeutique exercé sur un mourant, entouré par des moniteurs, une assistance respiratoire et des tuyaux en tous sens.
Comment donc définir l’état d’une personne qui a perdu de manière durable plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales et cognitives ? C’est la définition du handicap donnée par la loi française de 2005 sur le handicap et la Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées. La situation objective, bien que dérangeante, est donc la suivante : Vincent Lambert est handicapé. Son état a d’ailleurs été reconnu par le Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.
NOTEZ BIEN CECI (sur la vidéo suivante à 1 H 43min lien : https://ru-clip.net/video/vZEOL0_Uld8/marche-blanche-pari... ) 7 CENTRES D'ACCEUIL DE SOINS ETAIENT PRÊTS à ACCEUILLIR VINCENT ! et ça a été refusé, il s'agit donc bien d'un assassinat délibéré.
Il fallait obtenir sa mort afin de faire avancer un projet global.
Son euthanasie ne renvoie donc pas aux débats entourant la fin de vie, mais bien à la question suivante : faut-il laisser vivre une personne handicapée, dont il nous semble que la vie ne vaut pas d’être vécue ?
Cette question a déjà été posée par le passé, et sa réponse fut radicale :
« Le Reichsleiter Bouhler et le docteur Brandt sont, sous leur responsabilité, chargés d’étendre les pouvoirs de médecins, qui seront nommément désignés, à accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé ».
Il suffirait de remplacer le nom des médecins pour croire lire le jugement rendu par les instances françaises dans l’affaire Lambert. Pourtant cette phrase est bien issue d’un décret de 1939, écrit de la main d’Adolf Hitler, qui met en place un programme secret d’extermination des handicapés allemands, connu depuis sous le nom de Aktion T4. De janvier 1940 à août 1941, ce sont 70 273 handicapés physiques et mentaux qui ont été gazés dans des centres de mise à mort installés sur le territoire du Reich. En moyenne, 50% des patients chroniques hospitalisés dans les asiles allemands furent éliminés. Le mois précédent, 5 000 enfants possédant des malformations avaient été assassinés par injection de morphine et de scopolamine ou l’ingestion de comprimés de Luminal ou de Véronal.
Pendant la guerre, l’extermination d’handicapés se poursuit dans toute l’Europe, par gazage, injection létale ou dénutrition. Au total, ce sont plus de 200.000 personnes handicapées qui ont été tuées entre 1939 et 1945.
Avant d’en arriver à une politique d’extermination, l’euthanasie avait été promue comme un moyen d’abréger les souffrances, notamment dans le livre Le Droit de mourir d’Alfred Jost (1895) :
« Quand nous voyons un malade incurable se tordre de douleurs indicibles sur sa couche, avec pour toute perspective celle, misérable, de longs mois de dépérissement, sans espoir de guérison, quand nous traversons les salles d’un asile et que la vision du fou furieux ou du paralytique nous emplit de toute la pitié dont l’homme est capable, cette idée ne peut que surgir en nous malgré tous les préjugés dont nous sommes pétris : « ces gens n’ont-ils pas droit à la mort, la société humaine n’a-t-elle pas le devoir de leur accorder cette mort avec le moins de souffrance possible ? » »
Cette compassion fut à double tranchant : en défendant le droit d’abréger les souffrances d’un mourant, on défendit également le droit de mettre fin à la « souffrance » que constituait la vie d’un handicapé. La rhétorique est progressive et subtile : en mettant sur le même plan les souffrances liées à la mort et les souffrances de la vie, elle ouvre la voie aux excès de l’euthanasie sur des autrui plus vulnérables.
L’euthanasie des handicapés sous le régime nazi fut ainsi opérée officiellement par « compassion ». Ce faisant, le choix d’apprécier la valeur d’une vie ne fut pas laissée à l’intéressé, au contraire. Ce furent des personnes tierces, en premier lieu les médecins, qui par « compassion » ont assassiné des dizaines de milliers d’handicapés physiques et mentaux.
Cette idée a été reprise en 1920 par le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche dans leur ouvrage La libéralisation de la destruction des vies qui ne valent pas d’être vécues, ouvrage qui servira de base au programme Aktion T4.
Les deux auteurs justifient d’ailleurs également l’euthanasie des handicapés physiques et mentaux par le coût qu’ils représentent pour la société :
« D’un point de vie économique, ces idiots totaux qui remplissent le plus les conditions d’une mort mentale complète seraient aussi ceux dont l’existence pèse le plus lourdement sur la collectivité »
Le spectre nazi paraît souvent comme exagéré lorsque l’on se réfère à l’euthanasie. Pourtant, force est de constater que les arguments en faveur de l’euthanasie des handicapés sont identiques à ceux utilisés 80 ans auparavant.
Cette confusion volontaire entre l’euthanasie de « fin de vie » et de « vie qui ne vaut pas d’être vécue » est porteuse de conséquences graves...
Suite de l'article https://lincorrect.org/1939-2019-80-ans-apres-leuthanasie...
Jean-Marie le Méné : Président de la fondation Jérôme-Lejeune : "Vincent Lambert n’est pas mort, il a été tué. La différence est importante. Nous nous attendions bien sûr à cette triste issue. C’est une date historique et symbolique. C’est la première fois, en France, sous l’empire d’une loi de la République, qu’on tue une personne handicapée qui n’est pas en fin de vie, qui n’est pas malade, qui n’a pas de maladie évolutive, qui ne souffre pas et qui n’a rien demandé.
Cette date est très importante parce que, derrière lui, se trouve une quantité de personnes dans cette situation. Elles sont isolées et sans famille. On ne sait pas très bien ce que ces personnes veulent et pensent.
Le danger est que la médecine s’empare de ce pouvoir pour mettre un terme à la vie de ceux qui coûtent trop cher à la société. C’est exactement le sens de l’évolution des sociétés occidentales de l’Europe de l’Ouest d’aujourd’hui.
L’association du Droit à mourir dans la dignité milite activement pour l’euthanasie.
Pensez-vous que l’affaire Vincent Lambert va faire jurisprudence ?
C’est une évidence! La Fondation Jérôme Lejeune dit depuis 15 ans qu’à partir du moment où on assimile la nourriture et l’hydratation à des traitements, on arrête les traitements. Cela veut dire qu’on tue la personne non pas avec sa maladie, mais avec l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition. Il est tout à fait évident que la sédation profonde et continue est un maniement très incommode.
L’agonie de Vincent Lambert a duré suffisamment et pas trop. On a mesuré la sédation, ce qui a entraîné chez lui des souffrances horribles.
Il est évident que l’ADMD va dire ‘’c’est tout à fait inhumain’’. Ils disent d’ailleurs depuis longtemps «acceptons, puisque la société française est mûre, acceptons l’euthanasie dans certain cas avec une loi très encadrée, etc».
Cette étape a été annoncée par le demi-neveu de Vincent qui fait l’objet de pression de la part l’ADMD. La direction dans laquelle on se dirige nous dit «c’est pénible à supporter pour nous les bien-portants, alors faisons en sorte que cela aille plus rapidement».
Le docteur Ducrocq déclarait que la loi Léonetti avait été conçue sur mesure pour régler le cas de Vincent Lambert.
Comme Xavier Ducrocq, je pense que c’est une mauvaise loi. On ne peut pas faire une bonne application d’une mauvaise loi.
La droite parlementaire française pense le contraire. Elle a voté la loi à l’unanimité. La conférence des évêques de France pense aussi que c’est une bonne loi, https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/chouard-tous-les-pouvoirs-abusent-82222mais mal appliquée. Je pense exactement le contraire. C’est une mauvaise loi qui est bien appliquée.
Du reste, c’est ce que toute la jurisprudence a confirmé depuis cinq ans. Nous avons financé la défense de Vincent Lambert depuis cinq ans. Des dizaines et des dizaines de décisions de justice disent toutes que c’est une loi bien appliquée. Jean Léonetti lui-même dit que cette loi est bien appliquée.
Dans les motifs de cette loi Léonetti, il était clair qu’il ne devait plus y avoir de cas comme celui de Vincent Lambert et qu’elle permettait de régler les cas comme ceux de Vincent Lambert. Le problème c’est que le cas de Vincent Lambert est un cas très simple. Médicalement, ce cas est difficile et tragique pour la personne, puisque c’est un grand handicapé tétraplégique, mais médicalement ce type de cas est pris en charge par des établissements spécialisés qui s’occupent admirablement des patients.
Ce n’est pas du tout le cas d’un patient qui fait des arrêts cardio-respiratoires toutes les semaines et qu’il faut réanimer ou non.
La question ne se posait pas pour Vincent Lambert. Il n’avait pas de maladie évolutive, il ne souffrait pas et n’était pas en fin de vie. C’est vraiment la mise à mort délibérée d’une personne handicapée qui n’a pas pu s’exprimer sur son sort. On ne l’a guère traitée puisque tel est le vent de l’Histoire aujourd’hui.
Ceux qui ne sont pas aptes à vivre dans la modernité sont passés par pertes et profit. C’est le cas des handicapés avant la naissance. Aujourd’hui en France, il ne naît plus d’handicapés sauf quand on ne les a pas vus. Si c’est le cas,ils sont tous éliminés par l’avortement. Il en sera de même à la fin de la vie.
Cette situation avait été largement prévue par Jérôme Lejeune il y a de cela 35 ans. Nous l’avions confirmée en étudiant la loi Léonetti de 2005. Elle se confirme évidemment. Beaucoup n’ont pas voulu voir et ne veulent pas voir. C’est trop difficile. Il faut être lucide et courageux pour le dire et essuyer les critiques pendant des années lorsqu’on soutient une famille qui dit qu’elle aime son enfant en dépit de son handicap.
Hitler a gagné la guerre
et (eh oui ! il semble que finalement c 'est Hitler qui a gagné la guerre ! c'est son "esprit de la modernité" comme le dénonce Zygmunt Bauman,qui est en train de tout régir...) les idées qui sous-tendaient la tristement célèbre AKTION T4 onten train d'impreigner l'opinion, et d'être à nouveau instaurée dans les lois. Certains cas "médiatiques"servent à faire avancer la cause de la mort (et du capitalisme, eh oui !la fameuse"rentabilité" ,rien n'est moins rentable qu'une pauvre vie humaine, un déprimé, un vieux, un "innocent" etc, des "déchets" quoi ! c'est ça que vous voulez ?
Victime de ce qui n’est rien de moins qu’une euthanasie par privation d’eau et de nourriture en raison de son lourd handicap, Vincent Lambert n’avait pas encore fermé les yeux que déjà les partisans de l’euthanasie se prenaient à rêver d’une légalisation de cette pratique en France, tout en vantant les mérites des lois belges relatives à la fin de vie. Pourtant ces dernières, et particulièrement la loi relative à l’euthanasie, laissent la porte largement ouverte à de graves dérives. C’est précisément sur de telles dérives que la CEDH est saisie pour la première fois dans une affaire : Mortier contre Belgique.
La Cour s’est jusqu’à présent prononcée à propos de personnes réclamant un droit au suicide assisté (Pretty c. Royaume-Uni en 2002, Haas c. Suisse en 2011, Koch c. Allemagne en 2012, Gross c. Suisse en 2014). Elle a aussi validé « l’euthanasie déguisée » par arrêt de soins de patients handicapés tels que Charlie Gard et Vincent Lambert (Lambert et. a. c. France en 2015, Gard et. a. c. Royaume-Uni en 2017). Avec l’affaire Mortier, c’est donc la première fois que la Cour doit se prononcer pour évaluer un cas d’euthanasie déjà réalisée. margin: 0.26cm;" align="justify">Rappelons-en les faits. Madame Godelieve De Troyer, atteinte de dépression chronique pendant plus de 20 ans, a été euthanasiée en 2012 sans que ses enfants ne soient avertis, ceux-ci ayant été informés le lendemain du décès. Son fils, Tom Mortier, se plaint devant la Cour du manquement de l’État belge à son obligation de protéger la vie de sa mère au motif que la législation belge n’aurait pas été respectée et qu’il n’y a pas eu d’enquête effective sur ces faits qu’il a pourtant dénoncés à la justice. Il dénonce notamment le manque d’indépendance de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie (CFCEE) chargée de contrôler a posteriori la légalité des euthanasies. Il reproche en particulier le fait que le médecin qui a euthanasié sa mère est lui-même le président de cette Commission de contrôle ainsi que de l’association LevensEinde InformatieForum (LEIF) qui milite en faveur de l’euthanasie. Or, sa mère a versé 2 500 € à cette association peu de temps avant son euthanasie.
Une loi sur l’euthanasie inadaptée à la souffrance psychique Cette affaire illustre parfaitement la difficulté d’encadrer cette pratique et les abus et dérives graves qui en découlent. Elle n’est d’ailleurs pas un cas d’école car les médias relatent régulièrement des euthanasies controversées en Belgique ou en Suisse. Et nombreux sont ceux qui dénoncent le laxisme avec lequel la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie a été mise en œuvre.
Selon les conditions posées initialement par cette loi belge, l’euthanasie doit faire l’objet d’une demande «volontaire, réfléchie et répétée» émanant d’un patient «capable et conscient» qui «fait état d’une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable». Or les termes employés s’avèrent flous et subjectifs: la souffrance est elle-même une notion subjective, tout comme son caractère insupportable comme en atteste d’ailleurs la CFCEE. En cas de souffrance psychique, son caractère inapaisable est également presque impossible à déterminer, comme l’illustre le cas médiatisé de Laura Emily, 24 ans, souffrant de dépression et qui, ayant demandé à être euthanasiée, s’est ravisée le jour-J en expliquant qu’elle avait mieux supporté les semaines précédentes. Ainsi la possibilité d’euthanasie pour souffrance psychique s’avère véritablement problématique. D’ailleurs, en 2002, la Commission Santé publique de la Chambre ne s’y était pas trompée en s’opposant à l’unanimité à l’inscrire dans la loi, estimant avec raison qu’une telle souffrance est pratiquement impossible à évaluer. Elle soulignait également l’ambivalence de la volonté des malades psychiques. Ainsi en cas de dépression, l’affection dont souffrait Mme De Troyer, la demande d’euthanasie est davantage un symptôme de la pathologie qu’une manifestation de volonté libre et réfléchie. margin: 0.26cm;" align="justify">Il y a en outre un paradoxe à prétendre offrir un droit au suicide assisté ou à l’euthanasie - au nom du respect de l’autonomie individuelle - à des personnes qui précisément ne disposent plus d’un équilibre mental. Le respect de l’autonomie devrait au contraire conduire à interdire l’euthanasie aux personnes dépressives ou atteintes de maladies psychiques. Atteintes d’un « handicap » au sens de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ces personnes vulnérables devraient être protégées, et non exposées au suicide. Mais protéger est malheureusement impossible en pratique puisque la loi belge n’interdit pas le « shopping médical » qui consiste, pour un patient se heurtant au refus du médecin qui le suit habituellement, à réitérer sa demande d’euthanasie auprès d’autres médecins jusqu’à trouver celui qui y soit favorable, c’est-à-dire le plus laxiste ou militant. Mme De Troyer a d’ailleurs usé de cette pratique. La CFCEE, une instance favorisant les dérives ?
On pourrait croire que la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, instance chargée de vérifier que les euthanasies pratiquées ont respecté les conditions et procédures légales et instituée par la loi du 28 mai 2002, compense les défauts de cette dernière. Il n’en est rien, comme le montre une fois encore la requête Mortier. La CFCEE manque en fait cruellement d’impartialité puisque sur les seize membres titulaires, au moins huit (et au moins six des seize suppléants) font partie d’associations militant en faveur de l’euthanasie (on compte par exemple les présidents du LEIF et de l’ADMD) et/ou sont des médecins pratiquant eux-mêmes des euthanasies. C’est le cas de son président néerlandophone, le Dr Wim Distelmans, qui n’est autre que le médecin qui a euthanasié Mme De Troyer ! À plusieurs reprises, la CFCEE a également avoué son incapacité à mener à bien sa mission car celle-ci repose sur un système déclaratif et donc tributaire de la conscience professionnelle des médecins. Et le Dr Distelmans d’ajouter : « Les cas douteux évidemment, les médecins ne les déclarent pas, alors on ne les contrôle pas ». Or des études révèlent par exemple que près de la moitié des euthanasies en Belgique n’ont pas été déclarées en 2007. En outre, si les termes de la loi relative à l’euthanasie sont effectivement flous et subjectifs, la Commission s’engouffre dans la brèche en les interprétant dans un sens excessivement extensif et libéral. Florilège : selon elle, la coexistence de plusieurs pathologies non graves et non incurables remplit l’exigence d’une affection grave et incurable ; elle a aussi approuvé des cas s’apparentant au suicide médicalement assisté alors qu’il n’entre pas dans le champ d’application de la loi ; il semble qu’elle ait validé l’euthanasie « en duo » obtenue par un couple dont l’un des membres ne se trouvait pas en phase terminale. " align="justify">Enfin, l’on peut s’interroger sur l’utilité d’un contrôle a posteriori, c’est-à-dire une fois que l’euthanasie a eu lieu, ce qui n’a visiblement pas pour objectif de protéger la vie des personnes et est particulièrement inadapté en cas d’euthanasie pour cause de souffrance psychique. Faut-il alors s’étonner qu’entre 2002 et 2016, la CFCEE n’a transmis au procureur du roi qu’un seul dossier sur 14 573 euthanasies ? Membres juges et parties, conflits d’intérêts, partialité, contrôle a posteriori et basé sur un système déclaratif, interprétation large des termes de la loi : la CFCEE s’avère totalement inefficace pour prévenir les dérives. C’est ainsi qu’un de ses membres, médecin, a récemment démissionné, lui reprochant de n’avoir pas renvoyé devant la justice un médecin ayant euthanasié une patiente à la demande de sa famille.
Une affaire mettant en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique L’État belge manque donc de manière évidente à ses obligations découlant de la Convention alors que la CEDH a jugé que le droit à la vie « impose aux autorités le devoir de protéger les personnes vulnérables même contre des agissements par lesquels elles menacent leur propre vie » (Haas c. Suisse, § 54). Ce que décidera la Cour dans cette affaire ne sera donc pas sans conséquence car la portée de la requête Mortier dépasse largement son seul cadre: elle met en effet en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique en montrant combien il s’avère défectueux et les garde-fous illusoires. Alors que la Cour a déclaré que « l’on ne saurait sous-estimer les risques d’abus inhérents à un système facilitant l’accès au suicide assisté » (Haas c. Suisse, § 58), cette affaire confirme que ce risque est bien réel, donne un aperçu concret de telles dérives et en laisse entrevoir les conséquences à grande échelle. En effet, loin de concerner uniquement la personne qui la demande, l’euthanasie et ses modalités ont des conséquences sociales profondes et funestes : suites psychologiques sur les membres de la famille du défunt en premier lieu, mais aussi perte de confiance dans la famille en général et méfiance à l’égard des soignants, fragilisation des personnes vulnérables dont certaines sont incitées au suicide. Il serait abusif et dangereux de faire prévaloir l’autonomie d’un patient en tant que valeur éthique suprême pour justifier une pratique dommageable à la société tout entière et remettant donc en cause le bien commun.
Ne pas condamner l’État dans cette affaire reviendrait donc à pratiquer la politique de l’autruche quant aux dérives de l’euthanasie, alors que la banalisation de la mentalité euthanasique en Belgique est réelle et fait des ravages. En témoignent par exemple les cas d’euthanasie sans obtention du consentement de la personne, l’ouverture de l’euthanasie aux mineurs « dotés de capacités de discernement » sans limite d’âge en 2014, ainsi que les chiffres officiels : de 235 euthanasies pratiquées en 2003, leur nombre a augmenté rapidement d’année en année pour atteindre 2537 en 2018, ce qui représente 2 % du total annuel des décès. Dans ce contexte, notons également que trois études ont révélé que « 40 % des Belges sont pour l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ». Si la Cour ne fait rien, elle accomplira le roman d’anticipation publié en 1907, Le Maître de la terre où l’auteur, Robert-Hugh Benson imagine des maisons d’euthanasie, où « d’un consentement unanime, les être inutiles, les mourants, étaient délivrés de l’angoisse de vivre ; les maisons spécialement réservées à l’euthanasie [prouvaient] combien un tel affranchissement était légitime.
en ce moment en Grande-Bretagne :
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7457145/Tafida-Raqeebs-mother-cries-implores-daughter-dont-up.html
Canada :
À mesure que le régime canadien d’ "aide médicale à mourir" (nouvelle formulation chic pour TUER Bender et Hoche e 1921 disaient "libéralisation du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue", et Hitler disait "Gnadentod" - "aide" "libéralisation" "Gnade" (grace) comme c'est mignon tout ça !) prend de l’expansion, il rencontre plus de résistance. L’une des critiques les plus fortes, qui a souvent fait surface dans les médias, est que certaines personnes atteintes de maladies chroniques, dont la mort n’est pas raisonnablement prévisible, choisissent de mourir parce qu’elles sont pauvres et que les services sociaux (capitalistes !) sont inadéquats. Ils ne veulent pas mourir, mais ils sentent qu’ils n’ont pas le choix.
Les critiques disent que ces cas montrent que les gens sont forcés de choisir l’euthanasie et sont incapables de faire un choix vraiment autonome. Cependant, les critiques peuvent remonter en amont. Selon un récent sondage de Research Co, qui surveille l’opinion publique au Canada, plus d’un Canadien sur quatre autoriserait l’euthanasie pour les sans-abri (28%) et la pauvreté (27%). Ce qui est encore plus choquant, c’est que le sondage a révélé que 50% des Canadiens autoriseraient l’euthanasie pour les personnes qui n’avaient pas accès à un traitement médical et 51% pour les personnes handicapées.
Les jeunes nés après l’année 2000 sont encore plus en faveur. Dans une lettre d’opinion publiée dans le Prince George Citizen, Mario Canseco, directeur de Research Co, souligne que « Les adultes les plus jeunes du Canada sont bien en avance sur leurs homologues plus âgés pour ce qui est de croire que ces deux raisons sont suffisamment convaincantes pour qu’une personne demande l’aide médicale à mourir (60% pour une invalidité et 57% pour un traitement médical non disponible) ».
Lorsqu’on leur demande quelle est la peine appropriée pour un parent reconnu coupable d’avoir aidé un fils ou une fille en phase terminale à mourir, un Canadien sur quatre (24%) ne choisit aucune peine. Une grande majorité (73%) appuie la législation sur l’euthanasie du pays, qui a été qualifiée comme étant la plus radicale au monde. Les Canadiens sont divisés lorsqu’ils se demandent si la maladie mentale devrait justifier qu’un adulte demande l’aide médicale à mourir : 43% appuient cette idée, tandis que 45% s’y opposent. Le gouvernement fédéral a reporté à mars 2024 la décision finale relative à l’admissibilité à la maladie mentale à l’euthanasie.
Commentaire de votre serviteur. Quelle est la signification de cet engouement pour l’euthanasie ? Les Canadiens ne doivent peut-être plus supporter les longs hivers d’une rudesse parfois déroutante alors qu’ils attendent le réchauffement du climat qui ne se concrétise toujours pas. Ou bien ils perdu toute forme d’humanité. Un précédent Premier ministre japonais avait déclaré qu’il serait préférable pour la société que les « vieux » malades soient euthanasiés pour réduire les dépenses sociales du pays. Cette dérive sociétale ressemble progressivement à ce que les régimes totalitaires ont mis en place durant les années 1930 et 1940. La société ne peut pas accepter que l’euthanasie soit banalisée à moins que tout sens moral disparaisse surtout quand il s’agit de motifs économiques. De nombreuses découvertes archéologiques ont montré que les sociétés anciennes, il y a vingt à trente mille ans, prenaient soin des malades et des anciens, ils étaient inhumés décemment. Accepter cette banalisation de l’euthanasie ne pourra qu’aboutir à des excès pour des raisons économiques ou financières. Qui pourra objectivement fixer une limite pour que des malades mentaux soient euthanasiés ? Il semble que les sociétés occidentales rejoignent l’idéologie de l’époque de l’URSS mise en place par le pouvoir central pour éliminer les citoyens récalcitrants en détruisant d’abord leurs aptitudes mentales puis en les éliminant sans aucun état d’âme. Ces abus semblent se reproduire dans les pays anglo-saxons avec l’uniformisation du style de vie, le « chacun pour soi et rien pour les autres » une sorte de disparition de tout sorte de respect et d’humanité. Il est vrai que dans les villages de la campagne profonde, dans les années 1950 et j’ai connu cela quand j’étais enfant, lorsqu’un « vieux » ne trouvait plus son chemin pour aller donner à manger aux poules dans l’une ou l’autre des familles du hameau où je suis né alors sa ration de nourriture et de vin dilué avec de l’eau était progressivement réduite, une forme douce d’euthanasie qui ne disait pas son nom …
source : Jacques Henry
18/04/2023
Ah ! Le Gouvernement réformiste méxicain commence à mener une politique socialisante, ce qui était le bon sens meêm en 1960
Enfin ! Le gouvernement réformiste modéré du Méxique commence à pratiquer une politique socialisante.
E’ « nationaliser les industries clés », à appliquer le programme qu’appliquerait Florian Philippot s’il était élu notre Président.
par Markku Siira
(c'est un finlandais, les finlandais si ils connaissent leur histoire ils doivent savoir à quel point le grand capital peut devenir FEROCE quand il voit ses appétits menacés !)
Le gouvernement mexicain continue de nationaliser des industries clés malgré les fortes objections des États-Unis et des cercles capitalistes occidentaux.
Le gouvernement mexicain a accepté d’acheter treize centrales électriques à l’entreprise énergétique espagnole Iberdrola pour 6 milliards de dollars. L’entreprise publique d’électricité, la Comision Federal de Electricidad, maîtrisera ainsi le marché de l’électricité du pays.
Le président mexicain Andrés Manuel López Obrador (également connu sous le surnom « AMLO », formé à partir des premières lettres de son nom) a évoqué l’importance de nationaliser certaines des industries les plus importantes du pays, telles que la production de minerais et de pétrole, et a pris des mesures en ce sens.
Les États-Unis et le Canada ont exprimé leur opposition aux actions du Mexique et ont menacé le pays d’une guerre commerciale si l’administration de López Obrador « continue à restreindre l’accès des entreprises internationales aux marchés mexicains de l’électricité et du pétrole ».
La nationalisation de secteurs essentiels au fonctionnement de la société n’entre pas dans les plans des oligarques occidentaux, qui visent au contraire à placer tous les biens sous contrôle privé et à mettre les pays sous l’emprise des sociétés transnationales.
[plan de Klaus Schwab, le « great reset » veut même aller plus loin, comme on sait depuis la grande attaque de covidisme, le nazisme 2.0]
La politique du Mexique pourrait créer un dangereux précédent et inspirer d’autres pays. [c’est à dire refaire une fois de plus depuis le début tout ce qui avait été fait depuis un siècle, et que dans les années 50 tout le monde, y compris la droite présentait comme le bon sens même, et que le Grand Bon en Arrière, depuis 1983, a démoli !] Il faut donc s’attendre à des actions contre le régime de López Obrador, notamment de la part des États-Unis. En effet, le président mexicain a déjà été présenté dans les médias américains comme un « autocrate opposé à la démocratie libérale ». [en même temps c’est un aveu ! On en déduit la nature effective de ce qu’ils entendent par « démocratie libérale »!]
« Le Mexique est un pays indépendant et libre, et non une colonie ou un protectorat des États-Unis », a répondu M. López Obrador,
Maintenant AMLO risque de se suicider de 7 balles dans la tête, ou de se noyer dans une baignoire vide…
21/03/2023
"La Marianne", les "marianneux", plus ça va plus on voit que ce bon vieux Marx avait raison de dire "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'oeuvre que des travailleurs eux-mêmes"
plus ça va plus il se confirme que tout parti, et toute association, prétendument "de gauche" et composée de bourgeois ne peut être que de la merde, des social-traîtres, des bobos, avec des petites préoccupations de bourgeois collabos et déconnectés de la "galère" et des humiliations du peuple. Comme j'ai dit dans mon article en Esperanto sur SENNACIULO, seuls les gilets jaunes, ou les maîtres à penser des gilets jaunes pourront créer un nouveau parti de gauche, à condition de ne pas s'embourgeoiser (ni se faire acheter par la CIA comme les "antifas" !) et de garder leur dignité (devant tous les chantages, honte à ceux qui se sont "déculottés" !) et leur liberté de pensée, et leur enracinement dans les conditions de vie des GENS du peuple.
Et où on voit que la façon dont le pouvoir, et sa bourgeoisie, considère les gilets jaunes n'est pas nouvelle, dans les années 50 du XIXè siècle il y avait "les Marianneux", lisez :
"En demandant à un inconnu des nouvelles de Marianne, les républicains, les "rouges", savaient immédiatement par sa réponse s’il faisait, ou non, partie d’une société affiliée.
Les « Marianneux », qui étaient particulièrement nombreux dans l’Ouest, furent poursuivis en 1854, et condamnés à des peines allant jusqu’à quatre ans de prison.
- Nous sommes, écrivait l’historien Viel-Castel, en présence de sociétés secrètes les plus sauvages, les plus ennemies de toute civilisation et de tout progrès….... Les incendiaires, les voleurs, les assassins et les pillards sont prêts. Tous ces gens s’appellent « La Marianne ».
on croirait entendre ce que disaient en 2019 contre le peuple des gilets jaunes nos ministres macroniens, ou les journaputes de BFM-WC !
et de nos jours contre les "conspirationnistes" !
et déjà du temps de la Révolution française (menée par des bourgeois affairistes et propriétaires ne l'oublions pas !) - cette Révolution dont la Convention le 19 mars 1793 a voté un décrêt punissant de MORT toute personne qui PROPOSERAIT une loi de REFORME AGRAIRE ... - il y a eu Babeuf, dont la "Conspiration des égaux" fut le premier mouvement socialiste concret, eh bien par exemple "En Bresse, l’instituteur Robin est également appréhendé pour avoir « prêché les monstrueuses théories babouvistes » à Arbigny et à Pont-de-Vaux" les théories babouvistes font tellement peur aux possédants qu'elles sont tout de suite qualifiées de "monstrueuses" ! RIEN DE NOUVEAU SOuS LE SOLEIL ! ce sont des termes semblables qui accueillent de nos jours ceux qui défendent la chloroquine (menace aux énormes profits escomptés par Big Pharma), ou les gilets jaunes ! ou ceux qui prônent le Frexit, critiquent la 5G (énormes profits en vue là aussi et esclavagisation totale de tous les humains !) qui dévoilent l'imposture de l'assimilation de la démocratie avec le système de l'élection, menaçant ainsi les grasses carrières de politiciens actuels et aussi tout le système de corruption et de domination bourgeois !!! (cf les ignoble et sournoises attaques contre Etienne Chouard, le plus profond et puissant penseur de la démocratie que la france aie connu depuis deux siècles). Rien d'étonnant que le colonel Nasser aie fini par être TUE par les services Secrets US! -
de nos jours l'interview de ce "député Baudin du XXIè siècle Fabrice Lalanne le seul gars du show-biz (caractérisé comme dit Dieudonné par la lâcheté et l'indignité) à avoir eu le courage de se lever (comme Brigitte Bardot fut la seule de ce milieu à avoir eu le courage de soutenir les gilets jaunes), une interview qui comme celle de Jean-Jacques Crèvecœur restera dans l'histoire :
ss
voilà un de ces être "inéduqués et inéducables" qui "ne pouvaient simplement pas faire autrement" dont parle Michel Terestchenko dans son livre sur la morale personnelle "un si fragile vernis d'humanité" !
(Cette vidéo a été regardée 200.000 fois en 24 heures ! et ça a continué au même rythme le lendemain : 400.000 en 48 heures Et qu'est-il arrivé ? imaginez, par des procédés dignes de Staline, les propriétaires de Youtube ont remis le compteur à zéro ! Il semble que ça a provoqué un tollé et qu'ils se sont repentis, aussi le 28 au matin on retrouve les chiffres non trafiqués, qui sont arrivés à 458 mille vues - en 2 jours et demi)
y a une peur (cf Goering ...) créée par ce monde des journaputes appartenant aux 9 milliardaires, la classe même qui a mis son pion Macron au pouvoir, et qui fait partie du Business-Plan de la vaccination. Quand à la "solidarité nationale" c'est un truc qu'à bien su exploiter aussi Hitler en 33, et son obligation du masque, pardon ! du salut hitlerien dans la vie quotidienne.
Florian Philippot, admirateur de Chavez, est lui contre l'hyper-capitalisme mondialisé, principal ennemi de l'écologie (et des peuples, et de nos libertés !) :
28/02/2023
Hold-up - pourquoi museler un chien qui aboie ???
https://laveritesansmasque.blogspot.com/
Hold-up, Plandemic, Vaccination covid le crime parfait" le documentairele d'Olivier Probst, le Pr. Fourtillan et ses révélations sur les brevets, documents à l'appuis: le bon sens est sans appel : pourquoi museler un chien qui aboie ??? à moins qu'il empêche de dormir, donc s'il dit une vérité très redoutée, qu'on ne veut pas que le peuple sache ça !!!
Les producteurs du film contre-attaquent ! ils ont survécu au déferlement de HAINE, que les grand capital pharmaceutique et les Séides du régime fasciste à son service.
C'est pas nouveau ! chaque fois que le GRAND CAPITAL, la bourgeoisie, les propriétaires, sent ses intérêts financiers menacés (là ce sont les profits de la vaccination de 8 milliards d'humains qui sont en jeu, imaginez le "business-plan" !) ildevient fou de rage, capable de TOUT, d'une cruauté folle !!! souvenez-vous (ou informez vous si vous ne le savez pas !!!) ce qui s'est passé en Hongrie à partir de juillet 1919, ) à Mûnich à la chute de la République des Conseils, à Paris à la chute de la Commune ! en Finlande lors de la guerre civile de 1918, en Argentine ! au Chili de Pinochet, les financiers et investisseurs et les journaputes à leur service sont des nazis pleins de HAINE
Connaître la géographie du mal nous permet de ne pas emprunter ses chemins. et d'en ouvrir d'autres
C'est le refus de voir le mal qui crée les "moutons".
donc il fallait s'attendre qu'un film dénonçant leurs mensonges allait déchaîner une haine absolument hystérique et une censure de fer !!
(et les participants interviewés, n'oublions pas que l'un d'eux a été carrément interné en hopital psychiatrique comme autrefois en URSS !!!....)
l'argument du "complotisme est non seulement pervers et spécieux, mais totalement absurde, être "complotiste est leBA ba de tou inspecteur de police quand-même !!! ils sont même payés pour ça c'est leur travail, c'est si ils ne seraient pas "complotiqstes" qu'il seraient coupables et jetés , à raison ! à la prote de leur services de police ! Et même en fait ce que font les "complotistes c'est l'essencemême de l'esprit scientifique, qui consiste je le rappelle à refuser de considérer l'apparent chaos du donné comme un simple hasard, mais à chercher des explications invisibles sous-jacente à tout ça !!! si on n'avait pas eu de scientifiques "complotistes" pur faire ce travail on serait encore à l'age de pierre !! Thales de Milet fut le premier complotiste !
(et bien sûr pour voir cette vidéo en ligne ce n'est pas sur cet ignoble site de Youtube qu'il faut aller mais, pour pouvoir lire les commentaires, et télécharger (c'est très très important ! on est en Guerre, il faut prendre TOUTES les précautions et tout entreposer bien à l'abris, avant que les Gafas ne les effacent) sur ru-clip.net ou bien findclip.net ou bien kzclip.com ou bien sur odysee.com )
Et n'oubliez pas surtout de regarder aussi les films "manigance-19" et "Mal-traités", qu'on peut trouver sur les mêms plateforme(j'e ai d'ailleurs donné de liens dans d'autres billets précédents, cherchez !)
Ils n'ont pas arrété de vus mentir ! ils ont détruit le système de santé par ordre des gopés de l'UE, ils ont euthanasiés nos personne agées (comme les nazis avaient tués les handicpés en 39, Aktion T4) Ils ont détruit les libertés pour un nouveau fascisme 2.0 ces Goebbels !
regardez cette vidéo : https://odysee.com/@BobTremblay:6/3858:6https://odysee.co...
si vous n'avez pas encore compris que ce que nous vivons en ce moment est un remake, un nouvel avatar du fascisme (la fascisme 1.0) des années 30 !
Connaître la géographie du mal nous permet de ne pas emprunter ses chemins. et d'en ouvrir d'autres
C'est le refus de voir le mal qui crée les "moutons".
Il faut se révolter, on ne peut pas accepter d'être malmené ainsi
Nous sommes gouvernés par des pitres immondes, des Séides mafieux qui plongent le pays dans un mal innommable !
Le Soulèvement populaire est plus que jamais nécessaire ! C'est une véritable insurrection qu'il faudrait organiser! Mais vu l'apathie du peuple!!!
Et ils y en a encore qui parlent d’attendre 2022 pour éjecter macron de son siège !
C’est aujourd’hui qu’il faut agir .
2022 il n’y aura plus d’élections où alors des élections comme aux USA faites à l’avance !
et, je le rapelle :
Les moments de crise ont ceci d’intéressant : ils dévoilent les individus et ce qui les anime au plus profond d’eux-mêmes. (qui se sent morveux il se mouche... Quand aux héros, bien malgrès eux, tels Giuseppe Belvedere, ou les parents auxquels les flics de la DDASS ont arraché leurs enfants, les gens qui ont été licenciés par leurs sales collabos nazis de patrons, ceux qui sont maintenant à la rue ou dans la misère. Relisez à ce sujet la réflexion de Mohamed Tahiri, que j'ai répercuté dans ce blog.
Publié dans Films, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, l'étude de l'histoire est une grande libératrice, la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, le mondialisme est le stade ultime du capitalisme, libertés, Lutte des classes, mi iras limake, morale, Philosophie, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
24/01/2023
la bombe à retardement qu'avait discrétement semée Benoît XVI a explosé !!! ça va faire mal !!!
Pour comprendre le dossier il faut comme frère Alexis Bugnolo être un fin latiniste (ce qu'était aussi Benoît XVI !) et un juriste au fait des arcanes du DROIT CANON (ce qu'était aussi Benoît XVI) !
Aussi asseyez-vous et lisez posément !
(mais les conséquences sont de la dynamite ! Benoît XVI n'a pas démissionné, il faut MAINTENANT lui élire un successeur, et François n'était qu'un imposteur, et tous ses actes pfft ! une poignée de poussière qui n'a plus qu'à s'envoler.
(voilà ce que dit Andrea Cionci)
« Il n’y a qu’un seul pape », répète Benoît XVI depuis huit ans, sans jamais expliquer lequel. Depuis 2013, on a parlé de démission invalide, mais ce n’est que l’année dernière, sur Libero, que nous avons publié les thèses du frère Alexis Bugnolo qui exposait pour la première fois comment les erreurs latines insérées dans la Declaratio de « démission » avaient été insérées par le pape non par hasard, mais pour attirer l’attention sur une abdication qui n’a jamais eu lieu. À partir de ce moment, des indices de plus en plus évidents et probants selon lesquels toute l’opération aurait été organisée à dessein par Ratzinger n’ont cessé de se multiplier, hypothèses qui ont culminé dans le livre de la juriste Estefania Acosta Benedict XVI: pope emeritus?
Tout ce qui est canoniquement contestable dans la « démission » semble, en effet, présent: les erreurs de latin qui font que la Declaratio écrite n’est pas « rite manifestetur » (dûment) et avec le soupçon de contrainte; l’inversion entre munus et ministerium, avec la renonciation inutile à ce dernier (Cf. canon 332 §2) ; la démission génériquement douteuse (canon 14) et enfin le report de « l’heure X » à partir de laquelle Benoît XVI ne serait plus pontife, avec la non-ratification de la « démission ».
L’ensemble de l’opération a été reconstitué ICI, en ordonnant faits et documents, avec tous les approfondissements nécessaires. Et personne n’a encore été en mesure de le remettre en question.
Il y a quelques jours, enfin, un message sans équivoque de Benoît XVI identifié dans Dernières Conversations (Seewald-Ratzinger 2016) dans la phrase : « Aucun pape n’a démissionné depuis mille ans
[eh eh ! Ça implique une chose ! Et on sait qu’il portait un grand intérêt à cet homme, la « démission de Célestin V le 13/1294 n’était pas valide ! On lui a à lui aussi extorqué sa démission, et on l’a enfermé, il a d’ailleurs cherché à fuir et fut rattrapé alors qu’il s’apprêtait à prendre le bateau pour Corfou, et fut mis dans une forteresse, où il mourut peu après !]
et même au premier millénaire, c’était une exception« . Cela semble clore définitivement le débat étant donné que personne n’a été en mesure de donner une réponse alternative à la référence historique à Benoît VIII par laquelle le « XVI » dit explicitement qu’il n’a jamais « abdiqué ».
Ainsi, à la fin, les commentateurs les plus sceptiques mais intellectuellement honnêtes n’ont plus qu’une dernière hésitation : « Oui, d’accord, mais pourquoi tout cela ? ».
[là c’est simple et évident ! On l’a FORCE à démissionner,en le faisant chanter avec la possibilité de transaction monétaire électronique du Vatican, qui autrement allait se retrouver ruiné,en prenant, et on a tout rétabli, sans aucune explication, le lendemain de sa renonciation, il n’a pas cherché à dénoncer les forces en œuvre, ni à résister, ni à s’enfuir, mais il a laissé derrière lui une mine, une bombe à retardement!]
En attendant, on peut s’arrêter ici. Mettons un frein à notre curiosité afin d’agir comme il se doit. Il arrive parfois qu’une personne demande de l’aide de manière voilée et mystérieuse, comme dans le cas classique de la femme qui appelle la police en commandant une pizza pour ne pas être découverte par son partenaire violent. Dans ces cas, nous devons tout d’abord prendre note du fait que 1) dans les messages, il y a quelque chose d’étrange qui ne colle pas 2) la personne est probablement en difficulté 3) de toute évidence, elle ne peut pas parler clairement 4) elle doit avoir ses raisons de demander de l’aide de manière sibylline.
Cependant, nous pouvons déjà esquisser quelques hypothèses sur les raisons pour lesquelles Benoît XVI aurait donné au peuple catholique ces huit années de vacances (au sens large du terme) avec une démission volontairement invalide.
Depuis deux mille ans, un moment de grande crise est annoncé pour l’Église, avec une prise de pouvoir par les forces anti-chrétiennes. Nous avons l’avènement d’un « berger idolâtre » (prophète Zacharie), d’un « faux prophète » (Apocalypse de saint Jean), d’une « fausse église extravagante » (bienheureuse Katharina Emmerick), d’un « siège de l’Antéchrist à Rome » (Notre-Dame de La Salette), d’un « évêque vêtu de blanc » (Fatima), d’un « pape de l’église de propagande » (Fr. Julio Meinvielle), de la « fumée de Satan entrant dans l’Église » (Paul VI) d’une « épreuve finale avec l’apostasie de l’intérieur » (Art. 675 du Catéchisme de 1992), d’une « Anti-Église et d’un anti-évangile » (Saint Jean-Paul II) de « Satan au sommet de l’Église » (Don Stefano Gobbi) … Bref, la possibilité d’un coup d’État spirituellement mauvais n’est certainement pas nouvelle et est connue depuis un certain temps.
Devons-nous donc croire que le cardinal Ratzinger et saint [pas saint ! Et il était vendu à la CIA] Jean-Paul II sont restés inactifs sans préparer un plan d’urgence « B » ?
Déjà en 1983, ils ont élaboré – peut-être dans cette perspective – la diversification « hypnotique » entre munus et ministerium de la fonction papale : si efficace qu’aujourd’hui encore, même les connaisseurs s’y perdent parfois.
En conséquence, si l’on considère que les attaques (documentées) de la mafia de Saint-Gall provenaient de l’intérieur, et si l’on admet qu’elles étaient l’expression de ce qui était prophétisé depuis deux mille ans, d’un point de vue stratégique, le meilleur système de réaction pour le pape Ratzinger ne pouvait certainement pas être celui d’une opposition frontale et asymétrique. Peut-on imaginer – comme le voudraient certains sédévacantistes – Benoît XVI en 2005, avec le monde entier qui le dépeint comme un pape obscurantiste et rétrograde, faisant pleuvoir les excommunications sur les modernistes, suspendant ici, expulsant là ?
Cela aurait été un suicide politique : il n’aurait fait que renforcer la propagande de ses ennemis, à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église, se condamnant lui-même, mais aussi préparant, peut-être, en réaction, une succession légale avec un pape moderniste.
Quand Mgr Viganò identifie le Concile comme la racine de la dérive actuelle, il n’a pas tort, et certainement en 2013 la métastase du modernisme néo-ariano-luthérien, (avec une homosexualité du clergé désormais endémique) avait atteint un état qui exigeait une décision drastique. Vatileaks avait même mis en évidence une féroce guerre intestine entre factions et même des plans présumés pour éliminer physiquement le Pape.
Lorsque le moment est arrivé, Benoît XVI a probablement tiré la « manette d’urgence » sans hésitation, volontairement, en toute science et conscience. La manière la plus intelligente, la plus efficace et la plus sainte de réagir était celle d’une retraite (un mot qu’il utilise souvent), non sans avoir préalablement « miné » le terrain d’invasion ennemi. Dans les études stratégiques, cela s’appellerait un « plan de mystification » avec « retraite élastique » et « fausse cible ».
Ratzinger a donné en pâture aux loups [cf sa phrase dans son discours d’acceptation!] qui l’assiégeaient la « boulette de viande » du ministerium et, se retirant dans un rôle de prétendu pape émérite, il a préservé le munus, permettant aux forces ennemies au sein de l’Église un temps expérimental, pour se dévoiler, afin que le peuple catholique soit scandalisé, qu’il comprenne le vide et le contenu théologiquement destructeur du modernisme maçonnique asservi au globalisme [en français mondialisme! C’est à dire la capitalisme, le NWO et le « great reset »].
Les catholiques devaient voir l’idole païenne trônant à Saint-Pierre, les bouleversements doctrinaux, les changements politiquement corrects du missel, la rosée ésotérico-maçonnique et mille autres bouleversements et renversements inouïs de la saine doctrine.
Les fidèles devaient voir l’Église esclave du « monde », dialoguant avec les avorteurs [bof , elle a bien dialogué avec Hitler, question culture de la mort c’est pas mal non plus et reçu cordialement les Oustachis croates !] et les homosexuels, elle devait toucher le fond, « se cogner la figure » comme le fils prodigue. Ils devaient en être réduits à « garder les porcs » avant de prendre conscience et de retourner à la maison du pape.
En 2013 – si on s’en souvient – personne, parmi les intellectuels, les théologiens, les vaticanistes et les simples fidèles n’était aussi exaspéré, ni animé d’un esprit catholique héroïque. Personne n’aurait risqué sa carrière, aucun prêtre n’aurait été excommunié, aucun groupe de résistance ne se serait coagulé comme dans une « nouvelle Croisade des pauvres ». Personne n’aurait compris la réalité et la vérité de la foi s’il n’avait pas été exaspéré, scandalisé, outragé et épuisé par Bergoglio et ses associés. [et son obligation vaccinale avec licenciement!!!]
Ratzinger savait comment les choses allaient se passer, et il avait tout sécurisé : sa démission entièrement invalide, et cela serait découvert au fur et à mesure que les différents Enzo Bianchi imploseraient d’eux-mêmes, que l’Église abusive se noierait dans de féroces conflits internes, dans des scandales financiers et sexuels, dans des gaffes grotesques et des contradictions patentes.
Et la démission de Benoît serait à jamais invalide, même après sa mort. Un plan définitif pour séparer le bon grain de l’ivraie.
Risqué ? Pour l’instant – à l’heure où nous écrivons ces lignes – le plan a fonctionné, du moins dans sa première partie. On a compris son jeu, huit ans trop tard, mais on y est arrivé et la vérité de certains faits devient virale dans le monde entier. Et Benoît est toujours vivant et lucide. On a compris que l’Église est sur le point d’être définitivement purifiée, au prix d’un schisme, cette fois utile et nécessaire. Nous en avons parlé ici en février et, après avoir été submergés de critiques, aujourd’hui personne ne parle d’autre chose.
Maintenant, il ne reste plus qu’à décider si ce seront les traditionalistes ou les modernistes qui quitteront l’Église ( comme siège).
Et le nœud de tout cela est, une fois de plus, l’invalidité de la démission de Benoît XVI.
Si Ratzinger n’a pas démissionné, Bergoglio, ses cardinaux, ses théologiens, ses nominations, ses innovations doctrinales disparaîtront dans un souffle, comme de la poussière dans le vent, « brûlés eschatologiquement » par le droit canonique. Ils formeront une nouvelle église mondialiste, maçonnico-luthérienne et rejoindront les protestants européens. D’ici quelques années, ils deviendront insignifiants, comme toutes les églises protestantes. Sinon, si personne n’a la force de contester la démission, il appartiendra à l’Église romaine d’abandonner le siège et de reprendre la foi, comme Athanase, de retourner dans les catacombes, comme l’a prédit aussi Ratzinger. En tout cas, ce sera un schisme purificateur, à espérer, pourrait-on dire. Nous sommes maintenant non seulement en présence de deux religions différentes, mais aussi antithétiques.
Aujourd’hui, à ce stade, les évêques et les cardinaux ne doivent pas nécessairement faire un choix de camp décisif. Il suffirait qu’ils demandent une clarification, de manière neutre, une opération vérité sur la démission de Benoît XVI.
Si Bergoglio n’était pas le pape, il ne pourrait certainement pas excommunier un cardinal qui a simplement demandé de la clarté, à moins de se dévoiler.
Ce qu’il faut, c’est une conférence de presse publique de Benoît XVI avec des garanties médicales et de sécurité. Ou une confrontation publique entre canonistes, ou un synode avec des cardinaux nommés avant 2013. Une opération de transparence absolue et rigoureuse devrait être in primis dans l’intérêt de Bergoglio, s’il est le vrai pape, et aussi de son successeur. Évidemment, cette fois, ils ne peuvent pas s’en tirer avec les titres montés de toutes pièces de Vatican News ou en faisant appel à l’habituel journaliste pro-Bergoglio qui interprète tout à sa façon. L’opération vérité doit être claire, nette et définitive.
22/01/2023
Béranger condamné à la prison en 1823 n'a jamais demané pardon au clergé catholique, lui
(c'est pour "impiété" qu'il avait été condamné)
un commentaire :
"Je suggère à Dieudo de méditer sur cette lucide citation du poète romantique allemand Heinrich Heine : "Il faut pardonner à ses ennemis mais pas avant de les avoir vu pendus" !!!"
bon n'a-t-il pas dit dans une de ses meilleures vidéos : "la lâcheté et l'indignité sont les deux traits les plus caractéristiques de ma corporation"
Publié dans l'étude de l'histoire est une grande libératrice, libertés, morale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
06/01/2023
Benoît XVI que le grand capital avait contraint à la démission en bloquant les distributeurs de billets du Vatican, et puis gardé enfermé au Vatican pendant dix ans est mort
et c'était lui qui était le seul vrai pape, pas comme cet imposteur de Bergoglio, qui a licencié les employés du vatican refusant de se faire injecter ! vachement chrétien !
Benoît XVI savait tout ce qui le menaçait : son premier acte fut d'aller prier devant la tombe de ... Jean-Paul 1er !
Et dans son discours d'acceptation il avait dit : priez pour moi que j'ai le courage de ne pas céder devant les loup" ah ah ! de quels loups parlait-il ?
(Et souvenez-vous du triste sort de célestin V, d'Adrien VI et de Marcel II)