28/07/2023
ce matin
21/7/2023 ce matin j’ai vu passer une jeune fille sur une trottinette électrique, portant un casque ! Et un gilet fluo ! Bref la parfaite membre des Jeunesses Hitlériennes !
27/07/2023
l'Autriche, grande exportatrice de .... sangsues
On connaît si mal le passé.
Il y a plein de choses à découvrir dans les livres du passé. Par exemple savez-vous quelles étaient les exportations de l'Autriche vers la France en 1832 ?
à l'époque pas question de pétrole ni d'électronique, la principale exportation de l'Empire d'Autriche c'étaient la soie brute (1er) et le blé.
mais juste après, un des postes LES PLUS IMPORTANTS d'exportation (loin, loin devant des choses comme les verreries de Venise les tissus, le tabac, le bois de construction) : les sangsues !
Absolument. Et ça représentait une valeur aussi importante que représentaient les exportations de "denrées coloniales" de la part de la France vers l'Autriche ! trois fois la somme de ce que l'Autriche exportait vers la France de fers et autres métaŭx, il y en avait pour I million 524 mille francs-or de l'époque ! Même le NOMBRE de sangsues était calculé et scrupuleusement rapporté : 50.450.250 sangsues exportées.
d'où venaient-elle exactement ? où et comment étaient-elles "produites" ? on ne le dit pas Mais j'aimerais bien le savoir, si quelqu'un a des documents là-dessus.
Et ça rappelle l'importance que l'usage des sangsues avait dans la médecine de l'époque et jusqu'au début du XXè siècle.
ah oui, la source c'est : Mémoires tirés des papiers d'un homme d'Etat sur les causes secrètes qui ont déterminées la politique des cabinets dans les guerres de la Révolution tome 11, pages 415-416; à Bruxelles - 1841
(oui, à l'époque on avait le droit d'évoquer les causes secrète qui déterminaient la politique sans se faire stigmatiser de "complotisme" !!!)
26/07/2023
26 juillet 2016 matin
j'ai entendu aux infos de France-Culture des choses hallucinantes, qui remplissent paraît-il la presse papier (que je ne lis plus, donc je n'étais pas au courant). La France est en train de devenir folle, c'est extrêmement dangereux, je ne sais pas où ça va nous conduire, c'est carrément au Moyen-Age de la Très Sainte Inquisition qu'on revient ou au régime nazi "Nuit et brouillard" ou L’URSS sous Staline qu'on revient, il paraît que plein de gens demandent à ce qu'on ne cite même plus les nom des terroristes, on doit les tuer sans jugement, sans principes fondamentaux du droit, sans Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (au nom de laquelle on est allé tuer des millions de gens dans divers pays ), exactement comme les régime latino américains des années 70 et 80 faisaient disparaître et tuaient les "communistes", décrétés l' "axe du mal" de l'époque, auxquels on niait toute humanité (déjà en 1850 Henri Wallon en France disait "un rouge n'est pas un homme, c'est un rouge"); ils raisonnent comme les inquisiteurs du Moyen-age qui si ils brûlaient les hérétiques c'étaient car ils ne voulaient pas qu'il en reste la moindre trace sinon leurs disciples pourraient diffuser et vénérer leurs reliques. donc les "terrorises" (dont on ne sait même pas trop si ce ne sont pas des fous, des marginaux manipulés par MK-ultra, des agents Gladio ! ou des vrais terroristes sponsorisée et manipulés par on ne sait trop qui, bref passons) on est tellement horrifié (tiens, Hiroshima c'est pas horrifiant alors ? Landru non plus ?) qu'on leur dénie tout, alors que Landru (qui a quand-même fait par intérêt des crimes assez horribles sur toute une série de femmes qu'il avait séduites avant de les dépouiller) a eu droit à un procès (et à un avocat), ceux qui ont organisé le bombardement de Dresde (il faut relire comment ça a été conçu et calculé, pour comprendre le cynisme criminel et horrifiant de ces gens, il y a des articles détaillés là-dessus), pas de procès ! des décorations au contraire, Celui qui a lancé la bombe sur Hiroshima, son nom est cité, il a même été interviewé avant de mourir dans son lit, non eux c'est comme une mouche qu'on écrase et ça n'a même pas existé.....
Ces réactions sont de l'ordre du délire psychotique, notre pays est (déjà ! alors que ce qu'on a subit comme terrorisme c'est la millième partie, comme l'explique François Asselineau dans sa dernière vidéo, de ce qu'ont subit les irakiens, ou les syriens) devenu comme un fou traumatisé qui commence à délirer.
Allez vous étonner que la France, et les journaputes, étaient mûrs pour le nazisme covidiste !
Et le meurtre de ses vieillards au fond des EPHAD.
Et vous allez, en payant avec des cartes bancaires, vous livrer pieds et mains liés à ces nazis psychopathes et capitalistes avides cyniques et totalitaires ?!
(vous voyez incidemment combien j'avais raison, depuis une vingtaine d'années maintenant, de mettre en garde les gens contre les tendances totalitaires hypercapitalistes et fascistes de notre société ?)
18/04/2023
Ah ! Le Gouvernement réformiste méxicain commence à mener une politique socialisante, ce qui était le bon sens meêm en 1960
Enfin ! Le gouvernement réformiste modéré du Méxique commence à pratiquer une politique socialisante.
E’ « nationaliser les industries clés », à appliquer le programme qu’appliquerait Florian Philippot s’il était élu notre Président.
par Markku Siira
(c'est un finlandais, les finlandais si ils connaissent leur histoire ils doivent savoir à quel point le grand capital peut devenir FEROCE quand il voit ses appétits menacés !)
Le gouvernement mexicain continue de nationaliser des industries clés malgré les fortes objections des États-Unis et des cercles capitalistes occidentaux.
Le gouvernement mexicain a accepté d’acheter treize centrales électriques à l’entreprise énergétique espagnole Iberdrola pour 6 milliards de dollars. L’entreprise publique d’électricité, la Comision Federal de Electricidad, maîtrisera ainsi le marché de l’électricité du pays.
Le président mexicain Andrés Manuel López Obrador (également connu sous le surnom « AMLO », formé à partir des premières lettres de son nom) a évoqué l’importance de nationaliser certaines des industries les plus importantes du pays, telles que la production de minerais et de pétrole, et a pris des mesures en ce sens.
Les États-Unis et le Canada ont exprimé leur opposition aux actions du Mexique et ont menacé le pays d’une guerre commerciale si l’administration de López Obrador « continue à restreindre l’accès des entreprises internationales aux marchés mexicains de l’électricité et du pétrole ».
La nationalisation de secteurs essentiels au fonctionnement de la société n’entre pas dans les plans des oligarques occidentaux, qui visent au contraire à placer tous les biens sous contrôle privé et à mettre les pays sous l’emprise des sociétés transnationales.
[plan de Klaus Schwab, le « great reset » veut même aller plus loin, comme on sait depuis la grande attaque de covidisme, le nazisme 2.0]
La politique du Mexique pourrait créer un dangereux précédent et inspirer d’autres pays. [c’est à dire refaire une fois de plus depuis le début tout ce qui avait été fait depuis un siècle, et que dans les années 50 tout le monde, y compris la droite présentait comme le bon sens même, et que le Grand Bon en Arrière, depuis 1983, a démoli !] Il faut donc s’attendre à des actions contre le régime de López Obrador, notamment de la part des États-Unis. En effet, le président mexicain a déjà été présenté dans les médias américains comme un « autocrate opposé à la démocratie libérale ». [en même temps c’est un aveu ! On en déduit la nature effective de ce qu’ils entendent par « démocratie libérale »!]
« Le Mexique est un pays indépendant et libre, et non une colonie ou un protectorat des États-Unis », a répondu M. López Obrador,
Maintenant AMLO risque de se suicider de 7 balles dans la tête, ou de se noyer dans une baignoire vide…
24/01/2023
la bombe à retardement qu'avait discrétement semée Benoît XVI a explosé !!! ça va faire mal !!!
Pour comprendre le dossier il faut comme frère Alexis Bugnolo être un fin latiniste (ce qu'était aussi Benoît XVI !) et un juriste au fait des arcanes du DROIT CANON (ce qu'était aussi Benoît XVI) !
Aussi asseyez-vous et lisez posément !
(mais les conséquences sont de la dynamite ! Benoît XVI n'a pas démissionné, il faut MAINTENANT lui élire un successeur, et François n'était qu'un imposteur, et tous ses actes pfft ! une poignée de poussière qui n'a plus qu'à s'envoler.
(voilà ce que dit Andrea Cionci)
« Il n’y a qu’un seul pape », répète Benoît XVI depuis huit ans, sans jamais expliquer lequel. Depuis 2013, on a parlé de démission invalide, mais ce n’est que l’année dernière, sur Libero, que nous avons publié les thèses du frère Alexis Bugnolo qui exposait pour la première fois comment les erreurs latines insérées dans la Declaratio de « démission » avaient été insérées par le pape non par hasard, mais pour attirer l’attention sur une abdication qui n’a jamais eu lieu. À partir de ce moment, des indices de plus en plus évidents et probants selon lesquels toute l’opération aurait été organisée à dessein par Ratzinger n’ont cessé de se multiplier, hypothèses qui ont culminé dans le livre de la juriste Estefania Acosta Benedict XVI: pope emeritus?
Tout ce qui est canoniquement contestable dans la « démission » semble, en effet, présent: les erreurs de latin qui font que la Declaratio écrite n’est pas « rite manifestetur » (dûment) et avec le soupçon de contrainte; l’inversion entre munus et ministerium, avec la renonciation inutile à ce dernier (Cf. canon 332 §2) ; la démission génériquement douteuse (canon 14) et enfin le report de « l’heure X » à partir de laquelle Benoît XVI ne serait plus pontife, avec la non-ratification de la « démission ».
L’ensemble de l’opération a été reconstitué ICI, en ordonnant faits et documents, avec tous les approfondissements nécessaires. Et personne n’a encore été en mesure de le remettre en question.
Il y a quelques jours, enfin, un message sans équivoque de Benoît XVI identifié dans Dernières Conversations (Seewald-Ratzinger 2016) dans la phrase : « Aucun pape n’a démissionné depuis mille ans
[eh eh ! Ça implique une chose ! Et on sait qu’il portait un grand intérêt à cet homme, la « démission de Célestin V le 13/1294 n’était pas valide ! On lui a à lui aussi extorqué sa démission, et on l’a enfermé, il a d’ailleurs cherché à fuir et fut rattrapé alors qu’il s’apprêtait à prendre le bateau pour Corfou, et fut mis dans une forteresse, où il mourut peu après !]
et même au premier millénaire, c’était une exception« . Cela semble clore définitivement le débat étant donné que personne n’a été en mesure de donner une réponse alternative à la référence historique à Benoît VIII par laquelle le « XVI » dit explicitement qu’il n’a jamais « abdiqué ».
Ainsi, à la fin, les commentateurs les plus sceptiques mais intellectuellement honnêtes n’ont plus qu’une dernière hésitation : « Oui, d’accord, mais pourquoi tout cela ? ».
[là c’est simple et évident ! On l’a FORCE à démissionner,en le faisant chanter avec la possibilité de transaction monétaire électronique du Vatican, qui autrement allait se retrouver ruiné,en prenant, et on a tout rétabli, sans aucune explication, le lendemain de sa renonciation, il n’a pas cherché à dénoncer les forces en œuvre, ni à résister, ni à s’enfuir, mais il a laissé derrière lui une mine, une bombe à retardement!]
En attendant, on peut s’arrêter ici. Mettons un frein à notre curiosité afin d’agir comme il se doit. Il arrive parfois qu’une personne demande de l’aide de manière voilée et mystérieuse, comme dans le cas classique de la femme qui appelle la police en commandant une pizza pour ne pas être découverte par son partenaire violent. Dans ces cas, nous devons tout d’abord prendre note du fait que 1) dans les messages, il y a quelque chose d’étrange qui ne colle pas 2) la personne est probablement en difficulté 3) de toute évidence, elle ne peut pas parler clairement 4) elle doit avoir ses raisons de demander de l’aide de manière sibylline.
Cependant, nous pouvons déjà esquisser quelques hypothèses sur les raisons pour lesquelles Benoît XVI aurait donné au peuple catholique ces huit années de vacances (au sens large du terme) avec une démission volontairement invalide.
Depuis deux mille ans, un moment de grande crise est annoncé pour l’Église, avec une prise de pouvoir par les forces anti-chrétiennes. Nous avons l’avènement d’un « berger idolâtre » (prophète Zacharie), d’un « faux prophète » (Apocalypse de saint Jean), d’une « fausse église extravagante » (bienheureuse Katharina Emmerick), d’un « siège de l’Antéchrist à Rome » (Notre-Dame de La Salette), d’un « évêque vêtu de blanc » (Fatima), d’un « pape de l’église de propagande » (Fr. Julio Meinvielle), de la « fumée de Satan entrant dans l’Église » (Paul VI) d’une « épreuve finale avec l’apostasie de l’intérieur » (Art. 675 du Catéchisme de 1992), d’une « Anti-Église et d’un anti-évangile » (Saint Jean-Paul II) de « Satan au sommet de l’Église » (Don Stefano Gobbi) … Bref, la possibilité d’un coup d’État spirituellement mauvais n’est certainement pas nouvelle et est connue depuis un certain temps.
Devons-nous donc croire que le cardinal Ratzinger et saint [pas saint ! Et il était vendu à la CIA] Jean-Paul II sont restés inactifs sans préparer un plan d’urgence « B » ?
Déjà en 1983, ils ont élaboré – peut-être dans cette perspective – la diversification « hypnotique » entre munus et ministerium de la fonction papale : si efficace qu’aujourd’hui encore, même les connaisseurs s’y perdent parfois.
En conséquence, si l’on considère que les attaques (documentées) de la mafia de Saint-Gall provenaient de l’intérieur, et si l’on admet qu’elles étaient l’expression de ce qui était prophétisé depuis deux mille ans, d’un point de vue stratégique, le meilleur système de réaction pour le pape Ratzinger ne pouvait certainement pas être celui d’une opposition frontale et asymétrique. Peut-on imaginer – comme le voudraient certains sédévacantistes – Benoît XVI en 2005, avec le monde entier qui le dépeint comme un pape obscurantiste et rétrograde, faisant pleuvoir les excommunications sur les modernistes, suspendant ici, expulsant là ?
Cela aurait été un suicide politique : il n’aurait fait que renforcer la propagande de ses ennemis, à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église, se condamnant lui-même, mais aussi préparant, peut-être, en réaction, une succession légale avec un pape moderniste.
Quand Mgr Viganò identifie le Concile comme la racine de la dérive actuelle, il n’a pas tort, et certainement en 2013 la métastase du modernisme néo-ariano-luthérien, (avec une homosexualité du clergé désormais endémique) avait atteint un état qui exigeait une décision drastique. Vatileaks avait même mis en évidence une féroce guerre intestine entre factions et même des plans présumés pour éliminer physiquement le Pape.
Lorsque le moment est arrivé, Benoît XVI a probablement tiré la « manette d’urgence » sans hésitation, volontairement, en toute science et conscience. La manière la plus intelligente, la plus efficace et la plus sainte de réagir était celle d’une retraite (un mot qu’il utilise souvent), non sans avoir préalablement « miné » le terrain d’invasion ennemi. Dans les études stratégiques, cela s’appellerait un « plan de mystification » avec « retraite élastique » et « fausse cible ».
Ratzinger a donné en pâture aux loups [cf sa phrase dans son discours d’acceptation!] qui l’assiégeaient la « boulette de viande » du ministerium et, se retirant dans un rôle de prétendu pape émérite, il a préservé le munus, permettant aux forces ennemies au sein de l’Église un temps expérimental, pour se dévoiler, afin que le peuple catholique soit scandalisé, qu’il comprenne le vide et le contenu théologiquement destructeur du modernisme maçonnique asservi au globalisme [en français mondialisme! C’est à dire la capitalisme, le NWO et le « great reset »].
Les catholiques devaient voir l’idole païenne trônant à Saint-Pierre, les bouleversements doctrinaux, les changements politiquement corrects du missel, la rosée ésotérico-maçonnique et mille autres bouleversements et renversements inouïs de la saine doctrine.
Les fidèles devaient voir l’Église esclave du « monde », dialoguant avec les avorteurs [bof , elle a bien dialogué avec Hitler, question culture de la mort c’est pas mal non plus et reçu cordialement les Oustachis croates !] et les homosexuels, elle devait toucher le fond, « se cogner la figure » comme le fils prodigue. Ils devaient en être réduits à « garder les porcs » avant de prendre conscience et de retourner à la maison du pape.
En 2013 – si on s’en souvient – personne, parmi les intellectuels, les théologiens, les vaticanistes et les simples fidèles n’était aussi exaspéré, ni animé d’un esprit catholique héroïque. Personne n’aurait risqué sa carrière, aucun prêtre n’aurait été excommunié, aucun groupe de résistance ne se serait coagulé comme dans une « nouvelle Croisade des pauvres ». Personne n’aurait compris la réalité et la vérité de la foi s’il n’avait pas été exaspéré, scandalisé, outragé et épuisé par Bergoglio et ses associés. [et son obligation vaccinale avec licenciement!!!]
Ratzinger savait comment les choses allaient se passer, et il avait tout sécurisé : sa démission entièrement invalide, et cela serait découvert au fur et à mesure que les différents Enzo Bianchi imploseraient d’eux-mêmes, que l’Église abusive se noierait dans de féroces conflits internes, dans des scandales financiers et sexuels, dans des gaffes grotesques et des contradictions patentes.
Et la démission de Benoît serait à jamais invalide, même après sa mort. Un plan définitif pour séparer le bon grain de l’ivraie.
Risqué ? Pour l’instant – à l’heure où nous écrivons ces lignes – le plan a fonctionné, du moins dans sa première partie. On a compris son jeu, huit ans trop tard, mais on y est arrivé et la vérité de certains faits devient virale dans le monde entier. Et Benoît est toujours vivant et lucide. On a compris que l’Église est sur le point d’être définitivement purifiée, au prix d’un schisme, cette fois utile et nécessaire. Nous en avons parlé ici en février et, après avoir été submergés de critiques, aujourd’hui personne ne parle d’autre chose.
Maintenant, il ne reste plus qu’à décider si ce seront les traditionalistes ou les modernistes qui quitteront l’Église ( comme siège).
Et le nœud de tout cela est, une fois de plus, l’invalidité de la démission de Benoît XVI.
Si Ratzinger n’a pas démissionné, Bergoglio, ses cardinaux, ses théologiens, ses nominations, ses innovations doctrinales disparaîtront dans un souffle, comme de la poussière dans le vent, « brûlés eschatologiquement » par le droit canonique. Ils formeront une nouvelle église mondialiste, maçonnico-luthérienne et rejoindront les protestants européens. D’ici quelques années, ils deviendront insignifiants, comme toutes les églises protestantes. Sinon, si personne n’a la force de contester la démission, il appartiendra à l’Église romaine d’abandonner le siège et de reprendre la foi, comme Athanase, de retourner dans les catacombes, comme l’a prédit aussi Ratzinger. En tout cas, ce sera un schisme purificateur, à espérer, pourrait-on dire. Nous sommes maintenant non seulement en présence de deux religions différentes, mais aussi antithétiques.
Aujourd’hui, à ce stade, les évêques et les cardinaux ne doivent pas nécessairement faire un choix de camp décisif. Il suffirait qu’ils demandent une clarification, de manière neutre, une opération vérité sur la démission de Benoît XVI.
Si Bergoglio n’était pas le pape, il ne pourrait certainement pas excommunier un cardinal qui a simplement demandé de la clarté, à moins de se dévoiler.
Ce qu’il faut, c’est une conférence de presse publique de Benoît XVI avec des garanties médicales et de sécurité. Ou une confrontation publique entre canonistes, ou un synode avec des cardinaux nommés avant 2013. Une opération de transparence absolue et rigoureuse devrait être in primis dans l’intérêt de Bergoglio, s’il est le vrai pape, et aussi de son successeur. Évidemment, cette fois, ils ne peuvent pas s’en tirer avec les titres montés de toutes pièces de Vatican News ou en faisant appel à l’habituel journaliste pro-Bergoglio qui interprète tout à sa façon. L’opération vérité doit être claire, nette et définitive.
22/01/2023
Béranger condamné à la prison en 1823 n'a jamais demané pardon au clergé catholique, lui
(c'est pour "impiété" qu'il avait été condamné)
un commentaire :
"Je suggère à Dieudo de méditer sur cette lucide citation du poète romantique allemand Heinrich Heine : "Il faut pardonner à ses ennemis mais pas avant de les avoir vu pendus" !!!"
bon n'a-t-il pas dit dans une de ses meilleures vidéos : "la lâcheté et l'indignité sont les deux traits les plus caractéristiques de ma corporation"
Publié dans l'étude de l'histoire est une grande libératrice, libertés, morale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
19/12/2022
rien de nouveau sous le soleil dans les pays anglo-saxons !

11/11/2022
quelques dates
Compte rendu des Conseils des cardinaux au Pape Jules III à son élection en 1550 :
"La lecture de l'Evangile ne doit être permise que le moins possible surtout en langue moderne et dans les pays soumis à votre autorité.
Le très peu qui est lu généralement à la messe devrait suffire et il faudrait défendre à quiconque d'en dire plus.
Tant que le peuple s'en contentera, vos intérêts prospèreront ; mais dès l'instant qu'on voudra en lire plus vos intérêts commenceront à en souffrir.
Voilà le livre qui plus qu'aucun autre provoqua contre nous les rébellions, les tempêtes qui ont risqué de nous perdre. En effet, quiconque examine diligemment l'enseignement de la Bible et le compare à ce qui se passe dans nos églises trouvera bien vite les contradictions et verra que nos enseignements s'écartent souvent de celui de la Bible et plus souvent encore s'opposent à celle-ci.
Si le peuple se rend compte de ceci, il nous provoquera jusqu'à ce que tout soit révélé et alors, nous deviendrons l'objet de la dérision et de la haine universelle.
Il est donc nécessaire que la Bible soit enlevée et dérobée des mains du peuple avec zèle, toutefois sans provoquer de tumultes."
Je rappelle qu'en 1524 fut élu pape l'ex-précepteur de Charles-Quint, théologien à la tête du Saint-Office, un flamand Adrien 1524 Florizoone, qui pri le nom d'Adrien VI. Luther venait de publier ses premières critiques de l'Eglise catholique, Adrien VI dit que Luther avait raison de critiquer l'Eglise, et que en effet il y avait un bon nettoyage à faire. Il est mort au bout de 33 jours
Comme par hasard ! Ce qui le plus bizarre (ou le plus parlant ...) c'est qu' on n'a jamais retrouvé ses notes personnelles. Tiens ! où sont-elles passées ? C'est bête !
en 1562, après cette époque cette fois, on a élu comme pape un abbé de monastère, réputé pour son savoir et sa grande piété, comme les faviris n'arrivaient pas à se départager ça faisait un "pape de transition" ! ça ne mange pas de pain !. Oui mais voilà, comme Adrien VI, c'était quelqu'un qui croyait vraiment et prenait le christianisme au sérieux, aussi pour son couronnement il a exigé que ce soit dans la plus grande simplicité sans aucun luxe, déjà les cardinaux ont du se méfier ! puis il a refusé de faire venir à Rome ses neveux pour leur donner des postes élevés, pratique, appelée népotisme", qui était considéré comme tout à fait normale à l'époque, . et puis il s'est mis a dire que l'Eglise devrait se recentrer sur ses fondamentaux, par exemple sur l'interdiction du prêt à intérêt ! et faire régner les interdits religieux dans la gestion financière du Vatican. Vous avez deviné ! il est mort au bout de 19 jours ! Joachim Du Bellay qui était alors à Rome et s'y sentait mal écrivait ses fameux poèmes " les Regrets", dans l'un d'eux où il critique l'ambiance de la cour de Rome il dit à peu près (je cite de mémoire) Heureux qui peut jouir de la pourpre cardinalice ou des clefs de Saint-Pierre sans avoir peur du poison"
Visiblement il avait compris.
21/10/2022
l'éléphant dans le salon
Vincent Lambert, c'est nous !

TRIBUNE — Vincent Lambert a été précipité vers son destin à peine six mois avant l’explosion de la Covidémence, avec son cortège de dizaine de milliers de morts évitables et puis, depuis 18 mois, les dizaines (centaines ?) de milliers de morts et blessés par injection expérimentale. Le tout, dans le silence des agneaux.
À trois ans de sa mort, le 11 juillet 2019. À Monsieur Vincent Lambert, résistant.
Vincent Lambert, c’est nous.
Ayant détruit l’Afrique et l’Amérique latine, les fonds d’investissement, privés des opportunités de pillage que leur fournissait la délocalisation en Russie et en Chine, se doivent, pour « sauver le soldat Finance », de liquider les populations de l’Union européenne. À l’exception de quelques mercenaires, informaticiens-mathématiciens à leur service et quelques cuisiniers, couturiers et hommes de ménage, le citoyen lambda n’a plus de raison d’exister car aucune utilité. Il est devenu une bouche inutile, pour qui les fours crématoires seraient trop inefficaces car trop lents.
Vincent Lambert, c’est nous.
Quels sont les enseignements que Vincent Lambert nous a laissés ?
Eu égard à la malveillance ambiante, je remplacerai les termes qui autrement s’imposeraient par une circonlocution. Ainsi par exemple, on lira « extinction par main d’autrui » à la place de...
Comme son nom l’indique, l’auteur de ces lignes n’est ni catholique, ni même chrétien — inutile donc de le taxer de fondamentaliste chrétien. À l’instar des musulmans avec lesquels il échange beaucoup, Mendelssohn Moses professe une religion orientale. Celle-ci est fondée sur dix commandements dont le premier exhorte à vénérer Yahvé et le sixième : « Tu ne tueras point ».
Or, l’extinction de Monsieur Lambert, ourdie par ceux qui méconnaissent Yahvé, jette une lumière cruelle sur les faiblesses de l’idéologie française depuis la Révolution : un anti-cléricalisme frôlant l’hystérie et aboutissant à une aversion pathologique à la notion de transcendance et à tout individu mu par des principes ; une passivité coupable doublée de fascination érotique devant les autorités (comment ose-t-on célébrer les guerres de Napoléon en Espagne et en Russie ?) ; un esprit de meute, dont la Terreur est l’exemple le plus « abouti ».
Cette tribune est un appel à l’introspection.
Par ailleurs, l’affaire est caractérisée par l’intervention sans relâche des autorités françaises dans le processus judiciaire. À chaque fois qu’un Tribunal ordonnait la reprise de l’eau et des aliments, le gouvernement a fait appel, allant jusqu’à la Cour de Justice européenne et la Cour de cassation et ce, jusqu’à obtenir la mort.
Quant à M. Macron, qui a pour ainsi dire présidé à la mort, il a refusé d’intervenir — trois mois à peine après avoir refusé de répondre à la lettre formelle des ophtalmologues au sujet des Gilets jaunes éborgnés.
Un projet de comité
En février 2020, juste avant que n’éclate la Covidémence, je rédigeais un projet pour l’établissement d’un comité permanent en l'honneur de M. Vincent Lambert, et écrivais :
« Le sort dévolu à M. Vincent Lambert – la mort par privation d’eau et de nourriture - est emblématique de celui auquel seront voués - sous prétexte de restrictions budgétaires prétendues inéluctables - de plus en plus de grands handicapés, de vieillards impotents et de personnes atteintes de maladies dites “incurables”. Incurables, car la France se désintéresse de la recherche fondamentale […] tout en privatisant son jadis-enviable système de santé public, garant du droit à la vie de tout son peuple. »
Le principe fondateur du proto-comité était « la défense de la vie [qui] conformément au droit naturel, se trouve à l’origine de tous les systèmes juridiques du monde. »
Qui était Vincent Lambert ?
Sans prononcer un mot ni faire un geste, par sa seule volonté de résister aux mauvais traitements infligés, Vincent Lambert a su déclencher la plus terrible polémique en France depuis la guerre d’Algérie.
Infirmier psychiatrique de son état, Monsieur Lambert est victime d’un grave accident de la route en septembre 2008. Aucun organe vital n’est touché et il vivra sans aucun dispositif de réanimation. Cependant, il se débat depuis dans un état pauci-relationnel (dite « conscience minimale plus ») jusqu’à son extinction par main d’autrui en 2019.
Une fois transféré à l’hôpital, il ne bénéficie que pendant trois mois d’un suivi en kinésithérapie, abandonné pour motifs non-élucidés (budgétaires ? La Loi Hôpital dite Loi Bachelot entrée en vigueur en 2008 ?) En 2011, il se retrouve à l’unité de soins palliatifs au CHU de Reims.
Rédigée par ses familiers, la chronologie de l’affaire permettra au lecteur de se retrouver dans les batailles juridiques précédant l’extinction ; ainsi nous ne ferons ici que souligner les principes en jeu.
Dîtes vos adieux à ceux qui « coûtent un pognon de dingue » à la collectivité.
Soudain, en 2012, alors que l’état de santé de Monsieur Lambert n’avait nullement empiré, une campagne médiatique et politique en faveur de son extinction est lancée, orchestrée par un scénariste X (agence de conseil étrangère ? fonds d’investissement ?) dans le style d’un feuilleton télé américain.
Pour ce faire, puisqu’il est tout sauf mourant et n’est branché à aucune machine, hâter son destin par intervention de main d’autrui devient indispensable.
Mais parmi les quelque 1 700 autres patients de France en état pauci-relationnel, pourquoi Monsieur Lambert a-t-il été désigné à l’opprobre public, puis à l’extinction ? Il se fait que l’entourage de Monsieur Lambert présentait des spécificités fort utiles.
Cible idéale, les parents Lambert sont des catholiques fervents et ont eu de nombreux enfants. Le père, médecin-obstétricien, très âgé et cardiaque, n’était pas censé pouvoir résister (« Yet who would have thought the old man to have had so much blood in him ? » – Lady MacBeth).
Leurs avocats, Me Paillot et Me Triomphe, très engagés et à qui nous tenons à rendre hommage ici, sont également de fervents catholiques.
Tout ce monde sera taxé dans la presse, Libération en tête of course, de suppôts de l’extrême droite, accusation pour laquelle on peine à trouver une base factuelle. Que Valeurs Actuelles ou la Fondation Lejeune aient soutenu Monsieur Lambert n’enlève rien aux vérités en jeu.
Belle trouvaille du point de vue du scénariste X, la famille est divisée.
L’épouse de Monsieur Lambert, Rachel, charmante blonde télégénique, et son neveu, le fringant François, sont reçus sans cesse et complaisamment à la télévision, où il se montrent animés de la même ferveur pro-euthanasie que celle qu’entretiennent pour la foi chrétienne les parents, la sœur Anne et le demi-frère de Vincent, David Philippon.
La mission dévolue au scénariste X
La mission dévolue au scénariste X, mission énergiquement appuyée par les pouvoirs dits publics, était d’amener le Français moyen à se réjouir devant la mort d’un innocent. Après tout, la Covidémence guettait pour 2020, et il fallait en préparer le lancement, comme l’explique Paul Schreyer.
Mission de propagande qui serait en effet avantageusement mise en œuvre à grande échelle en 2020, avec notamment la kyrielle de mensonges entourant l’extinction des « bouches inutiles » — les aînés à l’hôpital, à domicile et en EHPAD sous prétexte de Covid (cf. l’article anonyme qui termine avec ces mots : « Quand on vit dans une dictature à tendance totalitaire qui décide de la vie et de la mort de sa population, on ne signe pas ses articles. »)
Le Mensonge officiel
Le feuilleton médiatique repose sur deux mensonges patents :
- Monsieur Lambert « aurait » dit à son épouse qu’il « aurait souhaité » mourir en cas d’accident grave.
Or, le seul témoin d’une prétendue conversation informelle sans valeur juridique était l’épouse. Alors que Monsieur Lambert était infirmier et connaissait la loi, il n’a laissé aucune directive écrite en ce sens.
- Monsieur Lambert bénéficiait de traitements lourds, était en réanimation non-stop, et présentait un encéphalogramme plat.
L’eau et les aliments ne sont pas des soins. De fait, il ne bénéficiait d’aucun traitement, ni même de kinésithérapie. Pourtant, dans les mass-média, on retrouve omniprésent le terme « traitements ».
Quant à l’éncéphalogramme dit plat, Monsieur Lambert voit, entend, reconnaît son entourage et ses amis (cf. cette vidéo tournée par son ami Emmanuel Guépin).
Le 5 décembre 2016, soit huit ans après l’accident, Monsieur Lambert a tenté quatre fois de vocaliser devant ses parents, et la quatrième fois devant deux aide-soignantes, qui en furent témoins. Ainsi, huit ans après l’accident et même sans le bénéfice de soins spécialisés, son état s’est encore amélioré.
Cela n’a pas échappé au polémiste Michel Houllebecq, qui écrit :
« Vincent Lambert n’était nullement en proie à des souffrances insoutenables, il n’était en proie à aucune souffrance du tout. [...] Il n’était même pas en fin de vie. Il vivait dans un état mental particulier, dont le plus honnête serait de dire qu’on ne connaît à peu près rien […] La dignité ne peut en aucun cas être (altérée) par une dégradation, aussi catastrophique soit-elle, de son état de santé. Ou alors c’est qu’il y a eu, effectivement, une "évolution des mentalités". Je ne pense pas qu’il y ait lieu de s’en réjouir. »
C’est précisément pour cela que le scénariste X devait faire souffler la chandelle de la vie devant les yeux des Français, voyeurs gourmands d’un calvaire qui s’est transformé en résistance farouche.
L’affaire est caractérisée par l’intervention sans relâche des autorités françaises dans le processus judiciaire. À chaque fois qu’un Tribunal ordonnait la reprise de l’eau et des aliments, le gouvernement a fait appel, allant jusqu’à la Cour de Justice européenne et la Cour de cassation et ce, jusqu’à obtenir la mort.
Marisol Touraine Reveyrand de Menton dans ses oeuvres. Diligent petit commis dans cette entreprise, le ministre de la Santé et des Solidarités (!). Selon la chronologie :
« Fin janvier 2013 : Sollicités par Marisol Touraine, ministre de la Santé, Rachel l’épouse, François le demi-neveu de Vincent et le CHU annoncent leur décision de faire appel de la décision prise par le Tribunal Administratif de Châlons-en-Champagne le 16 Janvier 2014 devant le Conseil d’Etat.
« À noter, fait incroyable dans une affaire privée, mettant en jeu la vie d’un homme, que la ministre de la Santé a donné l’ordre écrit au Directeur général de faire appel, alors qu’il avait annoncé ne pas vouloir porter cette affaire devant le Conseil d’Etat. Marisol Touraine appellera également Rachel Lambert pour l’assurer de son soutien.
« C’est la première fois que la plus haute juridiction administrative française devra se prononcer sur la légalité d’une décision médicale ayant pour conséquence d’entraîner la mort d’une personne par arrêt de son alimentation et de son hydratation. »
Il n’est nullement surprenant de retrouver Marisol Touraine — épouse de l’Ambassadeur Reveyrand de Menton et mère de Gabriel Reveyrand de Menton aux loisirs très particuliers — yeux dans les yeux, le 8 mai 2022 lors de l’inauguration de M. Macron, lui chuchotant amoureusement à l’oreille : « Maintenant tu as les mains libres. Tu peux fa« Maintenant tu as les mains libres. Tu peux faire tout ce que tu veux... »ire tout ce que tu veux... »
Soutien de Dominique Strauss-Kahn et comme lui chantre de l’austérité, Mme Touraine Reveyrand de Menton s’est fait connaître par la réforme des retraites et son habileté à déguiser l’austérité budgétaire à l’hopital.
Le ministre Touraine Reveyrand de Monton a été remplacée par un autre bienfaiteur de l’humanité, Agnès Buzyn, chevalier de l’épopée hydroxychloroquine, qu’elle fit classer substance vénéneuse en janvier 2020 — juste à temps pour éviter que cette antidote au Sars-Cov-19 ne soit disponible aux médecins cherchant à retenir de ce côté du fleuve Styx leurs milliers de patients.
Alors que la Cour d’appel de Paris avait, en mai 2019, ordonné que Monsieur Lambert reçoive de l’eau et des aliments (toujours qualifiés de « traitement lourds » dans la presse), le ministre Buzyn se pourvoit sur le champ en Cassation contre la décision de la Cour d’appel. Cet acharnement non-thérapeutique aboutira à neuf jours d’agonie, sans aliment et avec un seul verre d’eau, jusqu’à l’extinction de Monsieur Lambert, survenue le 11 juillet 2019.
Je propose au lecteur de tenter de survivre neuf jours sans eau ni aliment, puis de revenir vers moi.
Si certains meurent, d’autres sabrent le champagne.
Alors qu’en 2020, les vieillards des EHPAD seront interdits d’hôpital, enfermés à clef dans leur chambre avant d’être évacués vers Hadès dans des sacs-poubelle, en cette France si bienveillante et solidaire, Mme Buzyn, ex-ministre des Solidarités, sera richement récompensée de ses faits d’armes : promue en 2020 chef de l’Académie de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Légion d’Honneur dans la promotion 2022, et dès le 1er septembre 2022, maître conseiller à la Cour des comptes. Gagner sa vie en faisant ce que l’on aime !
Monsieur Lambert est un résistant.
À l’instar de tous les grands malades, Vincent Lambert ne voulait pas mourir, mais guérir.
Tous les progrès de la médecine reposent sur la lutte désespérée des médecins de sauver les cas désespérés.
Le cas d’Adrien Bocquet, arraché plusieurs fois à la mort puis à la chaise roulante, illustre bien les avancées récentes en neurologie. Il devrait être une évidence qu’éteindre les Adrien Bocquet de ce monde, qui « coûtent un pognon de dingue », stoppera net tout progrès scientifique.
Car il ne fait aucun doute que Monsieur Lambert tenait à la vie.
Justement, l’opinion dissidente de la Cour eLe cas d’Adrien Bocquet, arraché plusieurs fois à la mort puis à la chaise roulante, illustre bien les avancées récentes en neurologie. Il devrait être une évidence qu’éteindre les Adrien Bocquet de ce monde, qui « coûtent un pognon de dingue », stoppera net tout progrès scientifique.uropéenne des droits de l’homme (CEDH), rendue publique en juin 2015, met en exergue ce passage issu de la requête de ses avocats, qui y confrontaient le gouvernement français :
« Si réellement M. Vincent Lambert avait eu la volonté ferme de ne plus vivre, si réellement il avait "lâché" psychologiquement […] il serait déjà, à l’heure actuelle, mort. Il n’aurait en effet pas tenu 31 jours sans alimentation (entre le premier arrêt de son alimentation, le 10 avril 2013, et la première ordonnance rendue par le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, le 11 mai 2013 ordonnant la remise en place de son alimentation) s’il n’avait pas trouvé en lui une force intérieure l’appelant à se battre pour rester en vie. Nul ne sait quelle est cette force de vie. Peut-être est-ce, inconsciemment, sa paternité et le désir de connaître sa fille ? Peut-être est-ce autre chose. [...]
« À l’inverse, tous les soignants de patients en état de conscience altérée le disent : une personne dans son état qui se laisse aller meurt en dix jours. Ici, sans manger, et avec une hydratation réduite à 500 ml par jour, il a survécu 31 jours. »
Ignorée de la majorité des Français, ladite opinion dissidente est signée par les Juges de la CEDH Hajiyev, Šikuta, Tsotsoria, De Gaetano et Gritco et leurs conclusions sont très sévères :
« […] à présent […] que les distinctions juridiques les plus subtiles ont été établies et que les cheveux les plus fins ont été coupés en quatre, ce qui est proposé revient ni plus ni moins à dire qu’une personne lourdement handicapée, qui est dans l’incapacité de communiquer ses souhaits quant à son état actuel, peut, sur la base de plusieurs affirmations contestables, être privée de deux composants essentiels au maintien de la vie, à savoir la nourriture et l’eau, et que de plus la Convention est inopérante face à cette réalité. Nous estimons non seulement que cette conclusion est effrayante mais de plus – et nous regrettons d’avoir à le dire – qu’elle équivaut à un pas en arrière dans le degré de protection que la Convention et la Cour ont jusqu’ici offerte aux personnes vulnérables.
« Nous ne comprenons pas, […] pourquoi le transfert de Vincent Lambert dans une clinique spécialisée […] a été bloqué par les autorités.
« Nous posons donc la question : qu’est-ce qui peut justifier qu’un État autorise un médecin […] en l’occurrence non pas à "débrancher" Vincent Lambert […] mais plutôt à cesser ou à s’abstenir de le nourrir et de l’hydrater, de manière à, en fait, l’affamer jusqu’à la mort ? Quelle est la raison impérieuse, dans les circonstances de l’espèce, qui empêche l’État d’intervenir pour protéger la vie ? Des considérations financières ? Aucune n’a été avancée en l’espèce. La douleur ressentie par Vincent Lambert ? Rien ne prouve qu’il souffre. Ou est-ce parce qu’il n’a plus d’utilité ou d’importance pour la société, et qu’en réalité il n’est plus une personne mais seulement une "vie biologique" ?
« Cette affaire est une affaire d’euthanasie qui ne veut pas dire son nom. En principe, il n’est pas judicieux d’utiliser des adjectifs ou des adverbes forts dans des documents judiciaires, mais en l’espèce il est certainement extrêmement contradictoire pour le gouvernement défendeur de souligner que le droit français interdit l’euthanasie et que donc l’euthanasie n’entre pas en ligne de compte dans cette affaire. »
Aktion T4, l’éléphant dans la pièce
Or, les considérations financières sont bien l’éléphant dans la pièce : retraités, malades, bébés « malformés » voire même « sains », sont désormais qualifiés d’« unfunded liabilities » (passifs non provisionnés), pour emprunter le terme de l’analyste financier Edward Dowd.
Voilà l’idéologie qui a abouti à l’Aktion T4.
Par exemple, pour le théologien Christine Fontaine (juillet 2015), l’état de délabrement des hôpitaux serait un fait irréversible et avec lequel il faudrait composer. En conséquence, le triage des « bouches inutiles » telles que Monsieur Lambert serait indispensable. Elle écrit :
« Je viens d’accompagner […] un ami très proche dans l’hôpital d’une ville de province […] aux jours de forte canicule. Pas de ventilateur dans les chambres, pas de personnel pour venir hydrater les patients […] une seule fois en dix jours, une aide-soignante a posé un gant de toilette sur le front de mon ami. Pas de médecin titulaire […] personne pendant le week-end. Raisons de tout cela : restrictions budgétaires. La vie humaine de ces personnes hospitalisées dans cette ville de province est-elle moins "sans prix" que celle de Vincent Lambert dont l’hospitalisation depuis 13 ans a coûté à la société environ deux millions d’euros ? […] Monseigneur Barbarin […] n’a pas le droit de faire supporter le coût de son choix à l’ensemble de la société. Je serais donc favorable à ce qu’il organise une collecte auprès de tous ceux qui, au nom de leur foi, pensent à l’opposé des lois civiles que la vie de Vincent doit être maintenue. »
Et sur le même site « chrétien », Mme Triomphe-Hollier renchérit : « Pourquoi Vincent Lambert, plus qu'un enfant très prématuré, qu'un vieillard en état végétatif, aurait-il le droit d'absorber des ressources collectives ? »
Si je suis la logique de l’argument de Mesdames Fontaine et Triomphe-Hollier, une fois soufflée la chandelle de Monsieur Lambert, l’hôpital et les comptes publics seront saufs, à condition que l’on sacrifie aussi les 1 700 autres personnes en état pauci-relationnel en France (trois milliards et 40 millions d’euro épargnés sur ces mêmes 13 ans), puis les dizaines de milliers d’impotents et de grabataires en France. Après tout, pourquoi auraient-ils le droit de faire supporter le coût de leur choix de vivre à l’ensemble de la société ? (c'est l'argument qu'on utilise aussi pour les fumeurs, vous voyez que tout est lié dans cette pente glissante vers l'abîme de Satan, comme dans la politique de la Mairie de Paris envers les pigeons)
Effectivement, il est plus aisé de mépriser avant d’éliminer les vulnérables, que de s’attaquer à la puissance monstrueuse des fonds d’investissement qui sont maîtres de tout en ce pays.
Les sentiments de Mme Fontaine se trouvant reflétés dans des milliers de commentaires haineux sous les articles dans la grande presse relatant l’affaire, pour apprécier le contexte, j’invite le lecteur à consulter l’abondante documentation sur Aktion T4 et à étudier l’affiche que nous reproduisons ici.
L’affiche date de 1938 et indique : « 60 000 Reichsmark, c’est ce que la vie de cette personne souffrant d’un défaut héréditaire coûte à la communauté populaire. Chers concitoyens, c’est aussi votre argent. »
voilà la nature du monde de Klaus Schwab-Davos-les Young World Leaders.
L'antithèse de celui du Sermon sur la Montagne et de celui de Giuseppe Belvedere
01/06/2022
petite leçon de politique (démocratique) et d'humanisme - il ne faut pas se laisser aller à ses "bons"sentiments de "bien"-pensant ! ils peuvent être la porte du MAL !
et n'oublions jamais la règle d'or de Goebbels
« C’est l’un des droits absolus de l’État de présider à la constitution de l’opinion publique » disait Joseph Goebbels, haut dignitaire nazi, de 1933 à 1945 au ministère de l’Éducation du peuple et de la Propagande.
conclusion : les Gouvernements qui font comme ça (suivez mon regard ....) ont les mêmes principes que les nazis.
Que ceux qui sont tentés de donner raison à ce principe (et il y en a beaucoup, surtout chez les centristes ! https://www.causeur.fr/centristes-democratie-extreme-popu... et les européistes), sont de la graine de nazis, il faut en prendre conscience, c'est très important !
(or le thème est d'actualité n'est-ce pas ? et de manière générale de plus en plus. ça aussi c'est ce que Zygmunt Bauman appelle "l'esprit de la modernité" ... d'ailleurs on voit bien que ce thème qui existait à peine dans la CEE des débuts est maintenant devenus obsessionnel chez les européistes !!.....)
vidéo : http://babelleir.be/pages/008-covid-19-analyse-de-david-i...
des résistants se lèvent partout, sauront-ils s'unir , être efficaces ?
https://ru-clip.net/video/F2q_QY2QpeA/vid%C3%A9o.html
Pas un politique, pas un intellectuel ne s'élève contre cette " dictature en marche"...... Florian Philippot est le seul à le faire !
Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore
De la splendeur du jour et de tous ses présents.
Si nous ne dormons pas c’est pour guetter l’aurore
Qui prouvera qu’enfin nous vivons au présent.
Robert Desnos, 1942
Ils ont violé l'âme des français par les menaces de licenciement misère interdiction de vie (comme les juifs victimes de l'ordonnance du 8 juillet 1942 !), ils on VIOLE leurs corps par des injections mortelles d'oxyde de graphène ayant pour but de les tracer et maintenir en esclavage comme les colliers de fer des esclaves de l'antiquité. Ils on violé la science et l'intelligence en prétendant que les milliers de rapports et d'études qui se sont accumulées sont des "fake news" (en amerloque dans le texte!) et en cherchant à déconsidérer les plus éminents et compétents spécialistes de la science actuelle, et par une censure surréaliste, pire que Goebbels)
Ils ont violé toute les valeurs humaines morales, intellectuelles et de Civilisation, et jusque la plus élémentaire dignité. Ils méritent le même traitement que les nazis à Nüremberg