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03/07/2015

L’UE est un système de domination et d’aliénation une entreprise de dressage des peuples comme des animaux de trait à bien entraver et rentabiliser pour leurs propriétaires

http://www.humanite.fr/blogs/faudra-t-il-ressortir-le-chant-des-partisans-579356

la Grèce :

enquête chez les grecs partisans du oui, qui sont-ils ?

Référendum en Grèce: Le camp du « oui » entre peur et rancœur - 20minutes.fr
"quartiers cossus" "propriétaire d'un restaurant, eh eh ! bien sûr on voit le genre.
Et quand on voit la photo des manifestants en faveur du oui, ils ont la même allure qu'avaient  les manifestants anti-chavistes au Vénézuela

Pour l’économiste Stavros Mavroudeas, le vote de dimanche a mis en lumière une division de classes sociales, opposant d’un côté la jeunesse dorée et les Grecs aisés, « qui n’ont pas ou peu morflé pendant la crise », et de l’autre « ceux qui n’ont plus rien à perdre » (chômeurs, retraités, groupes sociaux défavorisés). Ces derniers « n’ont rien à craindre d’une sortie de la zone euro »,

et ils sont idéologiquement européistes, et "collabos" (comme en 40 en France ! souvenons-nous des vidéos de FA)

http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-l...
réussir à mater la bête, lui remettre le harnais, encore plus lourd, toujours plus lourd jusqu'à ce qu'elle crève, ça on s'en fout, on l'enverra à l'équarisseur, pouvoir refermer et solidement ressouder au fer rouge le collier de l'esclave nègre, qu'il vienne ramper aux pieds de ses maîtres en acceptant d'user ses dernières forces à travailler encore plus dur pour une pitance encore plus réduite et-  surtout! -  qu'il rapporte toujours plus à ses maîtres, ils ont la mentalité des propriétaires d'esclaves du temps passé.

(et après la Grèce ce sera le tour des autres bien sûr, c'est la logique et le but)

 

 

Pour lire la déclaration adoptée à Athènes le 28 juin, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/Declaration-d-Athenes-contre-l-Union...

Dans tous les pays de l’UE et spécialement ceux qui font partie de l’euro zone, des politiques antipopulaires perverses sont poursuivies impitoyablement par l’UE et les gouvernements qui en sont membres : des coupes massives dans les dépenses sociales et les salaires, augmentation des impôts pour les travailleurs et diminution pour les riches, des subventions sans vergogne à de grandes entreprises supposées créer des emplois qui ne se matérialise jamais ou de courte-durée, des privatisations et des démantèlements de services publics et de la sécurité sociale. Il en résulte une augmentation exponentielle de la pauvreté, de l’inégalité sociale, du chômage de masse et l’absence de la sécurité d’emploi.

Cette situation trouve son origine dans la nature même de l’UE et de la monnaie unique, comme résumé le plus récemment dans le Traité de Lisbonne. Ce dernier est basé sur tous les dogmes néolibéraux qui ont déjà démontré leur impact négatif sur les intérêts des classes populaires et des classes moyennes. Dans l’euro zone, le déséquilibre entre les pays a empiré. L’euro est une arme de destruction massive dirigée contre l’emploi. La monnaie unique est seulement utilisée pour protéger le rendement sur l’investissement des capitalistes en maintenant un haut niveau de chômage permanent et volontaire. L’introduction des pratiques de la « Gouvernance économique européenne » entraîne une condition de souveraineté limitée et des formes disciplinaires agressives de supervision économique, comme l’a montré le rôle de la Troïka (UE-FMI-BCE)  en Grèce (où elle a poussé à des réformes néolibérales perverses et une redistribution de masse de revenus vers le capital). De plus, la politique de l’UE et l’arrangement monétaire et institutionnel de l’euro zone rendent la crise actuelle même plus aigue et perpétue un cercle de récession pervers – l’austérité – le chômage.

L’essence véritable de cette construction européenne est basée sur les valeurs et les intérêts des classes dirigeantes occidentales : européanisme, atlanticisme, le capitalisme et l’autoritarisme. Un tel système ne peut pas changer de nature ; il ne peut pas s’améliorer de l’intérieur. Il doit être démantelé  afin de construire quelque chose de radicalement nouveau. L’UE est en effet le système le plus sophistiqué au monde fondée sur une tentative de construire une civilisation basée sur les forces du marché. L’UE est un système de domination et d’aliénation horrible dont les peuples doivent s’émanciper eux-mêmes.

L’UE et le processus d’intégration européen est intrinsèquement non-démocratique. En réduisant drastiquement la souveraineté populaire au niveau de l’état-nation et en transférant le pouvoir aux mécanismes non élus de l’UE, elle mine la capacité des gens à s’organiser, à lutter, à résister et à transformer la société. Détruire la souveraineté populaire est la garantie pour les classes dominantes qu’il n’y a moyen de revenir sur « les réformes » néolibérales. Ceci va de pair avec la tentative de garantir la domination des entreprises capitalistes au niveau global, poursuivie par des organisations supranationales (l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, l’OTAN, l’UE, l’OCDE). Ceci peut expliquer le caractère de plus en plus autoritaire de l’UE et son soutien à des régimes semi-fascistes comme celui de Kiev.  

Actuellement, la politique néolibérale de l’UE adopte même une forme plus agressive. En jeu ici n’est pas la crise dans la périphérie européenne mais la préparation de nouvelles attaques dévastatrices contre les classes dominées contre les pays au cœur de l’Europe. Une nouvelle vague d’austérité, des coupes dans les dépenses sociales, des privatisations, des démantèlements des gains historiques du mouvement des travailleurs est en route. La nécessité de résister est plus nécessaire que jamais.

Au départ de cette situation la plus grande partie de la gauche non sociale-démocrate en Europe ne conteste pas l’UE. Le résultat est un « européanisme de gauche » qui refuse de lutter contre les racines du problème, notamment le cadre économique, monétaire institutionnel de l’intégration européenne, son néolibéralisme enraciné, son caractère non-démocratique. Des appels pour « une autre Europe » avec une BCE « généreuse » et des « solutions européennes pour la dette » sont simplement prendre ses rêves pour la réalité, pas des réponses politiques. Cette incapacité d’organiser une contestation à l’UE, laisse ouvert un espace politique à « l’Euroscepticisme » raciste, réactionnaire, pro-business, chauviniste, un ersatz de partis d’extrême-droite et néofascistes.

Sortir de la zone euro et de l’UE ne sera pas des actes de nationalisme ou de chauvinisme économique. Ce seront des actes d’internationalisme et de solidarité populaire, parce qu’ils conduiront à un démantèlement d’un processus d’intégration agressif capitaliste et impérialiste.

 

Pour ces raisons, il est de la plus grande urgence d’organiser une Coordination paneuropéenne  d’organisations politiques de gauche, d’organisations populaires et de mouvements sociaux qui lutte contre l’UE et l’euro zone, afin de coordonner leur travail et rouvrir collectivement les débats sur la rupture nécessaire avec l’intégration européenne. La sortie de l’euro et de l’UE doivent de nouveau être la pierre angulaire de l’aile gauche et de la politique radicale, le point de départ d’un nouvel avenir progressiste, démocratique et socialiste pour les classes de travailleurs et les peuples d’Europe.

 

Pour toutes ces raisons un comité organisateur (MARS Grèce, le Comité « Euroexit », Autriche, la Coordinamento nationale sinistra contro l’euro’ Italie, M'PEP France, Initiative .e.V. Duisburg Allemagne), prend l’initiative d’appeler à ce Forum de gauche paneuropéen et des organisations politiques et sociales de masse qui discuteront le problème en cours et établir cette Coordination. La rencontre se tient en Grèce comme un signe de solidarité envers la lutte continue du peuple grec contre la politique d’austérité et les réformes de l’UE.

Ces six dernières années, la Grèce est passée par un désastre social sans précédent. L’étendue de la crise grecque a été le résultat direct de l’architecture financière, monétaire, institutionnelle de l’euro zone et de l’UE. Les propositions de « sortir d’affaire » de l’UE, le FMI et de la BCE ont signifié une austérité extrême et des réformes néolibérales accompagnés d’un manque de respect total pour une procédure démocratique et une souveraineté populaire. C’est une preuve de plus de la nature profondément réactionnaire et non-démocratique de l’UE et du projet « d’intégration  européenne » en général. La colère et le mécontentement contre l’austérité ont porté au pouvoir le nouveau SYRIZA-ANELL. Malgré le fait que son programme, tel qu’il est exprimé dans le dit programme de Thessalonique, soit modéré et contradictoire, le nouveau gouvernement a été placé sous une pression énorme pour capituler et accepter une humiliante continuation de la politique d’austérité. Il est clair que dans le cadre de  l’euro zone, il est impossible pour tout gouvernement de sortir de l’austérité et du programme néolibéral. C’est pourquoi une stratégie de sortie est plus nécessaire que jamais. Le forum anti-UE coïncidera avec la date limite imposée par l’UE et le FMI pour de nouvelles propositions d’austérité qui vont accroitre la politique catastrophique actuelle contrairement à la volonté du peuple grec de mettre fin à l’austérité.

**

C'est criminel et ils le savent, c'est dans leur interêt :

 **il faut choisir : les travailleurs ou les financiers. Le peuple ou les oligarques. L'Union "Européenne" a été faite par et pour les financiers, ils ont choisi eux !

 

(…)

rappel de notre histoire récente :

 

=== APRÈS LE ROYAUME-UNI, L'AUTRICHE ===
261 159 citoyens autrichiens (soit 4,12% de l'électorat du pays) ont signé une PÉTITION APPELANT À LA SORTIE DE L'UNION EUROPÉENNE. Le parlement de Vienne est donc désormais contraint par la Constitution autrichienne de décider si cette pétition justifie ou non l'organisation d'un référendum.
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Cette information très importante - dont j'avais déjà parlé au futur il y a quelques mois - vient d'être révélée par Russia Today :
http://francais.rt.com/…/3890-autriche-signatures-pour-so...
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Elle est passée sous silence par les principaux médias français.
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Elle confirme à la fois le degré d'anticipation et de prescience de l'UPR - qui propose précisément aux Français, depuis déjà 8 ans, de sortir de l'UE -, et le degré de nécrose de la prétendue « construction européenne ».
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Quiconque a un tant soit peu le sens de l'Histoire et celui des grandes évolutions politiques et idéologiques ne peut désormais plus avoir de doute : la prétendue « belle idée européenne » est moribonde.
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Dans l'Europe de 2015, le dogme des « lendemains qui chantent » de la « construction européenne » est devenu aussi risible que l'était devenu le dogme des « lendemains qui chantent » de la « construction du socialisme » dans les pays du Pacte de Varsovie en 1985.
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Quant au caractère « inéluctable et irréversible » de l'UE et de l'euro, il est aussi crédible que l'était le caractère « inéluctable et irréversible » de l'URSS et du rouble soviétique.
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En réalité, la prétendue « construction européenne » apparaît chaque semaine un peu plus crûment aux peuples d'Europe comme un simple outil d'asservissement aux États-Unis d'Amérique et à l'OTAN, et comme la pseudo-justification d'un pouvoir tyrannique aux mains d'une oligarchie capitaliste euro-atlantiste en perdition.
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Alors que le débat de fond s'ouvre enfin, un peu partout à travers l'Europe, sur cette prison des peuples qu'est l'UE, il n'y aura bientôt plus qu'en France que ce débat, approfondi et serein, sera encore interdit ou diabolisé dans les grands médias nationaux.
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Il ne s'agit bien entendu que d'un combat d'arrière-garde : la précision, la justesse et l'irréfutabilité des analyses de l'UPR ont déjà fait leur chemin dans de nombreux cénacles, y compris dans la haute administration, dans le monde des affaires, et dans de nombreuses salles de rédaction de télévision, de radio ou de journaux.
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Les grands médias nationaux français ne pourront plus encore très longtemps taire l'existence de l'UPR et museler l'inéluctable résurgence de la liberté et de la vérité dont notre mouvement est le fer de lance depuis 8 ans.
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François Asselineau
2 juillet 2015

02/07/2015

lutte des classes, notion de bon sens élémentaire, moteur de base de l'histoire

"Les impérialistes voient des "extrémistes" partout. Ce n’est pas que nous soyons des extrémistes. C’est que le monde se réveille. Il se réveille partout. Et les gens se lèvent".   Hugo Chavez.

quelques exemples d'extrèmistes :
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"Par pitié qu’on revienne aux fondamentaux : la lutte des classes, la propriété privée des moyens de production et du capital financier." (Jean Bricmont)

 

01/07/2015

proposition de loi à la Douma : affichage obligatoire des entrepprises ayant collaboré avec les nazis

Le député de la Douma, Alexéi Zhuravliov, a proposé d’identifier les produits des entreprises qui ont collaboré avec les nazis en Allemagne, le journal russe Izvestia a rapporté lundi.

« Pour que notre histoire ne soit pas  déformée, il est nécessaire que la jeune génération se souvienne et sache ce qui s’est passé au cours du XXe siècle, et que dans la Russie d’aujourd’hui il y a des sociétés qui, à l’époque, ont travaillé activement pour le troisième Reich, produisant des substances toxiques qui ont empoisonné notre peuple, et ont  fabriqué des armes et des avions », a déclaré Zhuravliov, au journal.
Selon le projet de loi, il est proposé de créer une législation sur « l’affichage des produits des entreprises commerciales étrangères ayant des contacts d’affaires avec le parti socialiste National de l’Allemagne ou le parti fasciste de l’Italie ».

Selon les amendements, les productions de ces entreprises doivent indiquer qu’ils avaient eu une relation avec les nazis et comprendre des informations sur le caractère criminel de ces activités, a dit le journal.

En particulier , lors de la publicité  à la radio de ces producteurs,  le passé de la société doit comprendre une annonce de pas moins de trois secondes.
Dans les publicités à la télévision, cette information ne devra pas être en deça de cinq secondes et occuper pas moins de 7 % de la surface de l’image,a  rapporté Izvestia.
« Dans d’autres types d’annonces, cette information devrait occuper au moins 10 % de la surface de la publicité, » .

lhttp://www.themoscowtimes.com/news/article/russian-lawma...

 Pas mal comme initiative ! non seulement c'est de bonne guerre face aux menées des amerloques et leurs larbins européistes, mais il est tout à fait souhaitable que les gens, le public, prenne conscience de toutes les entreprises capitalistes qui ont collaboré avec le nazisme, en général ils ne le savent pas, et ça déforme très fort la vision qu'ils ont du monde et de l'histoire.