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11/11/2024

Devoir de mémoire ; Helric Fredou - le seul député heroïque, le seul policier héroïque ("suicidé"), et le seul journaliste héroïque

RElisez bien dans le détail les circonstances de ce qui s'est passé ce soir là au commissariat de Limoges avant la mort de Helric Frédou.

Un suicide est très invraisemblable, par contre une "élimination" par des agents très spéciaux est plus que probable. Surtout dans le contexte de l'enquête qu'il menait et sur laquelle il a eu visiblement un gros différent avec sa hiérarchie.

Et pour ceux qui croient que ça n'existe pas voici : Des policiers à qui on demande de "flinguer" un collègue au boulot et avec l'arme de service de celui-ci, ça existe ! Regardez cette vidéo, de quelqu'un qui a travaillé pour,  ce monde et dont des proches et des amis appartiennent à ce monde, donc il sait ce dont il parle :

https://hdclips.top/hd-videos/N-Lk8RHkDsc/le-faux-suicide...m

 

 

Le 9 septembre, Jeannette Bougrab, nouvelle directrice de l'Institut français de Finlande, nommée discrètement au cours de l'été, sans compétences particulières pour ce poste,  a du recevoir - en raison d'un évènement culturel- un personnage particulier : Christophe Premat, député PS en charge des Français d'Europe du nord

Le 5 février, Panamza avait contacté son assistante parlementaire. Le motif : Premat avait été le seul député à interpeller, une semaine auparavant et par écrit, le ministre de l'Intérieur à propos des "circonstances exactes du décès du policier Helric Fredou" » Affaire Charlie : le mépris de Bernard Cazeneuve pour la famille du policier « suicidé

question écrite, restée au mépris de toute légalité sans réponse, cette queqstion fut renouvellé à deux reprises, et toujours sans aucune réponse. ...

Retrouvé "suicidé" dans son bureau le 8 janvier, ce commissaire adjoint de police de Limoges était chargé, le soir de l'attentat contre Charlie Hebdo, de rédiger un rapport d'enquête relatif à la protection des parents de Jeannette Bougrab, prétendue compagne du directeur assassiné du journal. http://www.panamza.com/230715-bougrab-tombe-charb

Selon la collaboratrice de Premat, la réponse officielle devait être, "a priori", attendue "dans les trois mois, au maximum" (soit le 27 avril, au plus tard).
Aujourd'hui, vendredi 4 septembre, comme l'illustre une case restée blanche sur le site de l'Assemblée nationale, Bernard Cazeneuve n'a toujours pas apporté la moindre réponse (ça peut se faire en démocratie ??? c'est pas un peu anticonstitutionnel ça ?? à quoi ça sert qu'il y ait des lois ? à quoi ça sert qu'il y ait des élections ? à quoi ça a servi un siècle de lutte républicaine et de révolutions ?)

http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-73052QE.htm
Pour en savoir plus sur l'affaire Charlie, consultez le dossier de Panamza L’affaire Charlie Hebdo, revisitée et décryptée par Panamza ***SOUTENEZ L'INFO-PANAMZA Comment soutenir Panamza et puis pensez à

* les tentatives d’intimidation judiciaire intentées par Pierre Bergé et Caroline Fourest.

* les tentatives récurrentes de piratage informatique du site Panamza en provenance de la mouvance ultra-sioniste (Ulcan) et de hackers anonymes.

* l’hospitalisation -au printemps 2015, en service de réanimation médicale- de son rédacteur Hicham Hamza, suite à une brutale et inexpliquée dégradation de santé.

Il n'y a qu'en Espagne et aux USA qu'on se pose des questions et qu'on essaye de mettre les pièces du puzzle ensemble et voilà le résultat : http://www.hispantv.com/newsdetail/Terrorismo/36788/¿Aman...

Christophe Premat seul député héroïque http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-73052QE.htm

Question N° 73052
de M. Christophe Premat (Socialiste, républicain et citoyen - Français établis hors de France )
Question écrite
Ministère interrogé > Intérieur
Ministère attributaire > Intérieur

Rubrique > police

Tête d'analyse > commissaires

Analyse > suicide. enquête.

Question publiée au JO le : 27/01/2015 page : 512
Date de renouvellement: 02/06/2015
Date de renouvellement: 08/09/2015

Texte de la question

M. Christophe Premat attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les circonstances du décès du policier Helric Fredou dans la nuit du 7 au 8 janvier à Limoges. Helric Fredou était directeur adjoint du service régional de la police judiciaire de Limoges et était chargé de rédiger un rapport sur l'entourage familial de Charlie Hebdo. Ses funérailles se sont tenues dans la plus grande intimité. Les interrogations sur les conditions de son décès se multiplient dans la presse et notamment la presse internationale. Il aimerait savoir si un rapport plus détaillé sur les circonstances de son décès est envisagé.

 

REGARDEZ BIEN !!! cette question n'ayant, au mépris de toute légalité, reçu aucune réponse du ministre, a été renouvelé à deux reprises le 2 juin et le 8 septembre de la même année, et TOUJOURS SANS REPONSE .....
en tous cas remarquez une chose aussi :

1 seul député sur 500, Plus tard l'histoire retiendra ce nom. Peut-être un jour un monument lui sera élevé.

ne l'oubliez pas

 

le 4 juin, le magazine Closer révélait que Pelloux avait accusé – lors d’une déposition policière effectuée le 4 février – Bougrab d’avoir cambriolé son ami Charb dans les heures qui ont suivi l’attentat. Elle aurait obtenu la clé de l’appartement auprès des parents de Charb en se présentant comme sa compagne [http://panamza.com/11596]].
- le 8 juin, Panamza révélait que Bougrab avait affirmé – dans son livre paru en mai – n’avoir « jamais » eu cette clé en sa possession [2].

Reste désormais à décrypter le rôle exact – dans toute cette sombre histoire – de Bougrab, une amie de Manuel Valls et Gilles-William Goldnadel (intime de Mileikovsky, nom d'origine de Natanyahou) qui fut présentée comme la compagne de Charb – pour la première fois – par Caroline Fourest.

Sans oublier le sujet le plus tabou car totalement passé sous silence par la presse traditionnelle d’investigation : éclaircir les dernières heures du commissaire de police Helric Fredou, retrouvé « suicidé » – au soir de l’attentat – alors qu’il s’apprêtait à passer un coup de fil « urgent » et relatif au débriefing des parents de Bougrab [3].

en attendant, la suite de l'affaire FREDOU sur panamza : http://www.panamza.com/130315-charlie-fredou-cazeneuve

et sur Alterinfo : http://www.alterinfo.net/Affaire-Charlie-Hebdo-Bougrab-ac...

08/11/2024

si justes

« Combien d’aspirations hautes, nobles et lucides – oui vraiment hautes nobles et lucides – et peut-être réalisables, ne verront jamais la lumière du vrai soleil et ne trouveront aucune audience ! »
(Pessoa)

« Nous avons deux vies. La première, la vraie est celle que nous rêvons enfants, et que nous continuons parfois à rêver par intermittence dans un brouillard une fois adulte. La deuxième, la fausse, est la vie pratique, la vie utilitaire ; celle qui nous mène au cercueil. »
(Pessoa)

« J’ai rêvé plus que Napoléon n’a conquis
J’ai serré sur mon cœur hypothétique plus d’humanités que le Christ
J’ai conçu en secret des philosophies qu’aucun Kant n’a écrites. »
(Pessoa)

« Toute idée fait son œuvre par le rejet, la réfutation, le débat, l’interrogation ou la dénégation qu’elle suscite. »
(Michel Picard)

« Le grand banditisme mondain, on sait comment le traiter. C’est pas grave au fond. On est du même monde. J’arnaque, tu m’arnaques. Détournons-nous mes frères. Tout est dans l’ordre du pouvoir. C’est propre. C’est la loi du plus fort, en tout bien tout honneur évidemment. Mais la misère ça pue, ça souille les trottoirs. Qu’est-ce qu’on en a à foutre cher collègue ?
(P Piet)

“Une nouvelle vérité scientifique ne triomphe pas en convainquant ses adversaires et en réussissant à leur faire voir la réalité, mais seulement quand ceux-ci finalement meurent et sont remplacés par une nouvelle génération qui a grandi familiarisée avec elle.
(Max Plank)

« Une maison qui n’a pas ses fenêtres ouvertes n’est pas une vraie maison. »
(R.P.)

« Nulle part, de quelque côté qu’on tourne son esprit, dans la sphère intelligible comme dans la sphère sensible, il n’y a aucun réconfort ni aucun espoir, aucun sens, rien qui soit désirable, ni même supportable, ni même suportable. J’ai beau retourner le problème sous toutes ses faces, c’est le mur, et le vide. Mon cœur est glacé et la moelle de mes os. »
(R.P.)

« Je voudrais tellement pouvoir aimer quelque chose, ne fusse que moi-même, mais c’est impossible, il n’y a que mort, évanescence et vanité. »
(R.P.)

« C’est quand on cherche toujours à rendre utile la vie qu’on la détruit. »
(R.P.)

« « Ailleurs »  c’est bien joli, mais ou bien on n’y est pas, et ça n’existe pas, ou bien on y est, et ce n’est plus ailleurs. Une fois qu’on a bien compris ça il n’y a plus de bonheur possible. »
(R.P.)

« En fait ce sont les dépressifs qui détiennent seuls la vérité, les dépressifs les plus profonds. »
(R.P.)

« L’enfant a pénétré dans le verger du monde.

Comme l’on entre en un jardin clos
Comme l’on frôle une robe dégrafée. »
(R.P.)

« Toute personne refusant de s’adapter aux aspirations de la bourgeoisie et des journalistes bourgeois sera cataloguée « en retard » ».
(revue PLPL 2002)

« Se é culto é mais livre »
(Abel Prieto)

« Okazon kaptu ĉe l’kapo, ĉar la vosto estas glita. »
(L. Zamenhof)

Poderoso caballero es Don Dinero“
(Quevedo)

« c’est vrai au fait ! on ne voit plus jamais d’enfants portés à bras, encore un signe significatif de notre époque. Quand ils seront grands il leur manquera quelque chose, et c’est un signe sinistre pour notre société. »
(R.P.)

C’est comme les petits ours, on n’existe que par les caresses qu’on vous fait. »
(R.P.)

A-t-on le droit d’être heureux quand d’autres sont morts ?
(R.P.)

« On a besoin des citations comme on a besoin des étoiles. Comme on a besoin des chants d’oiseaux. Comme on a besoin de dormir avec l’air du jardin par la fenêtre. Pour avoir un lieu commun avec les hommes. Pour se constituer un lieu particulier à soi."
(R.P.)

 

« Je n’habite pas la société, j’habite le monde. »
(Atiq Rahimi)

« on ne comprend souvent vraiment bien un problème qu'après avoir implanté une première solution. La deuxième fois, on en sait parfois assez pour le résoudre correctement. Ainsi, si vous voulez faire du bon travail, soyez prêt à recommencer au moins une fois »

« Et pleurer de regret, d’attente et de détresse,
Et d’un obscur tourment que rien n’a consolé. »

(Henri de Regnier)

« La pluie filtre des arbres et je relève mon col. J’éprouve souvent maintenant un désir mélancolique de tendresse, de mots timides, d’émotions vibrantes et profondes. »
(Erich-Maria Remarque)

« Il suffit de regarder autour de soi pour trouver plus de beautés qu’une vie d’artiste ne pourrait en exprimer. »
(Rembrant)

« On pourrait crier
Personne n’entend
On pourrait pleurer
Personne en comprend.

(Reverdy)

« à quelle heure viendra-t-on changer
l’air de cette effroyable cellule ? »
(Reverdy)

« Deux âmes solitaires se rencontrent dans le monde. L’une de ces âmes fait entendre des plaintes et implore de l’étrangère une consolation. Et doucement l’étrangère se penche sur elle et murmure : « Pour moi aussi c’est la nuit » Cela n’est-il pas une consolation ? »
(Rainer-Maria Rilke)

N’est si granz eise, ce me semble,
Comme d’omme et de femme ensemble.„
(Robert de Boron)

« - Je sais bien qu’à la fin
vous me mettrez à bas ;
N’importe : je me bats ! je me bats ! je me bats !
(Cyrano de Bergerac de Edmond Rostand)

« L’homme n’est rien moins que l’œuvre d’une volonté lucide, il n’est même pas l’aboutissement d’un effort sourd et confus. Les processus aveugles et désordonnés qui l’ont conçu ne recherchaient rien, n’aspiraient à rien, ne tendaient vers rien, même le plus vaguement du monde. Il naquit sans raison et sans but, comme naquirent tous les êtres, n’importe comment. »
(Jean Rostand)

« Que sommes-nous ? Qu’est-ce que l’homme ? Que représente-t-il dans l’ensemble des choses ? Qu’est-ce qu’une vie humaine ?

je n’hésiterais pas à dire que, s’agissant de ces problèmes, j’aurai traversé l’existence dans un état d’incompréhension effarée. »
(Jean Rostand)

"lorsque vous prenez l'apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt."
(Rothschild)

« Mangeant son pain, mangeant ses larmes,
mangeant sa haine et son désir,
Sans y penser : pour se nourrir. »
(Jean Rousselot)

 

03/11/2024

l'optimisme

la différence entre se suicider et ne pas se suicider, LA SEULE DIFFERENCE, a été expliquée par Gabriel Matzneff :
* « Quoique j’en aie, il me faut admettre que le suicide est la solution de la facilité. Vivre est plus difficile que mourir, ne serait-ce que parce que ça dure plus longtemps. »

(et le résultat est le même, c'est pourquoi je dis la SEULE différence, et le seul argument rationnel contre le suicide c'est ça)

il a dit aussi :
* « L’optimisme est imbécile, criminel, obscène. »
(c'est tout à fait vrai quand on y pense honnêtement .... )

02/11/2024

le néant et l'enfant

Mémorables
poème en prose de René Daumal (1908-1944)

Souviens-toi de ta mère et de ton père, et de ton premier mensonge dont l’indiscrète odeur rampe dans ta mémoire.

Souviens-toi de ta première insulte, à ceux qui te firent : la graine de l’orgueil était semée, la cassure luisait, rompant la nuit une.

Souviens-toi des soirs de terreur où la pensée du néant te griffait au ventre, et revenait toujours te le ronger, comme un vautour ; et souviens-toi des matins de soleil dans la chambre.
(...)

 

 

eh oui ! le 3ème paragraphe c'est tout à fait moi

01/11/2024

la nuit des néants infinis

connaissez-vous Auguste Angellier ?

il fut un maintenant obscur universitaire nordiste, il a sa rue à Lille.
(rue où se trouvait cette Université Lille III où l'on pouvait, la France était alors un pays civilisé, entrer et se déplacer comme dans un moulin et que j'ai tant connue en automne 1973 .......)

Il écrivit des poèmes.

Il est mort en 1911

pour toujours

 

un poème qu'il a écrit :

Ainsi nous resterons séparés dans la vie,
Et nos cœurs et nos corps s'appelleront en vain
Sans se joindre jamais en un instant divin
D'humaine passion d'elle-même assouvie.

Puis, quand nous gagnera le suprême sommeil,
Ils t'enseveliront loin de mon cimetière ;
Nous serons exilés l'un de l'autre en la terre,
Après l'avoir été sous l'éclatant soleil ;

Des marbres différents porteront sur leur lame
Nos noms, nos tristes noms, à jamais désunis,
Et le puissant amour qui brûle dans notre âme,

Sans avoir allumé d'autre vie à sa flamme,
Et laissant moins de lui que le moindre des nids,
Tombera dans la nuit des néants infinis.