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10/07/2018

si ça dérancge le régime c'est que ça doit être bien !

lisons cet article, mais pas passivement et obéément, comme ils voudraient, lisons-le de manière critique, en réfléchissant ! et en se posant des questions

Qui sont les "Hikikomoris", ces jeunes Japonais qui vivent reclus dans leur chambre ? ULTRA-MODERNE SOLITUDE - Une jeune personne qui reste cloîtrée chez elle pendant plus de six mois sans aller à l'école ou au travail et avec pour tout contact humain les relations avec des membres de sa famille. (ben !!! on n’en demande pas plus !! Quel est le problème ??
Bandes de capitalistes étatiques!!)
Ce phénomène a un nom : les "hikikomoris". Il a émergé au Japon à la fin des années 90 et se répand désormais partout dans le monde, y compris en France.
Kezako "Hikikomori" ? Ce terme, qui signifie "se retrancher" en japonais, est utilisé pour désigner un "mal contemporain", un "trouble de conduite" (ça y est ! Encore la normalisation à outrance ! Le totalitarisme!!) qui frappe les adolescents comme les jeunes adultes. Que font-ils pour susciter une telle appellation ? Ils se retirent, ils se cloîtrent, le plus souvent dans leur chambre, pendant plusieurs mois ou plusieurs années, et n'en sortent pas, ou si peu. Dans cet espace solitaire, ils s'exilent sur Internet, (Internet ce n’est pas un exil !! c’est au contraire une ouverture sur le monde!!! que les autres n’ont pas ! Ce sont ceux au contraire qui n’explorent pas Internet qui sont coupés du monde ! ) jouent à des jeux vidéo, rompent leurs liens avec les autres, avec l'école, avec le monde du travail (c’est à dire de l’exploitation capitaliste ! Tu parles!!!) . Pour faire quoi ? Pour ne rien faire.  Un phénomène déconcertant de "néantisation existentielle" manifestant un désintérêt total pour le monde « réel », ayant émergé dans les années 90 au Japon, touchant près d’un adolescent sur cent et prenant aujourd'hui une nouvelle dimension avec le vieillissement de ces centaines de milliers de reclus. Ainsi, dans une étude parue en 2016, plus d'un tiers des personnes "hikikomori" interrogées disaient s'être mises en retrait de la société depuis plus de sept ans, contre 16,9 % en 2009.

Comment devient-on "hikikomori" ?

Si l'on en parle de plus en plus ouvertement, si même des filmsl'ont mis en lumière, le phénomène "hikikomori" reste mal compris, souvent lié à des "relations difficiles à l'école" (soit ce que l'on appelle au japno "l’ijime", le harcèlement scolaire – (preuve que l’éducation collective c’est pas sain !), à la peur du "monde professionnel"(pas étonnant, vu que c’est celui de l’arbitraire patronal cynique !) , ou à une difficulté à trouver sa place dans le « monde » (euh .. le monde c’est d’abord le monde naturel je te signale !)  Pourtant, il s'avère bien plus complexe qu'une simple « dépression », prenant les atours d'un rejet radical des normes sociales, s'exprimant en réaction à la figure de l'individu autonome et « performant » (je vois …) dans une société japonaise vieillissante ayant brutalement évolué d’une société traditionnelle à une société occidentalisée : "Les Hikikomoris ne sont pas armés pour le passage entre l’enfance et l’âge adulte, ils s’enferment pour se détacher des modes et des injonctions de la société", affirme Kayo Ikeda, psychologue clinicienne. "Ils ne pensent à rien, (ah oui ? Ça ne serait pas plutôt qu’ils pensent tout le temps, au contraire et enfin librement ?) n’ont aucune ambition, aucune préoccupation vis-à-vis de l’ « avenir » (...) et s’affirment par une absence totale d’idéal de vie (vu que le vie mène invariablement à la mort, quel « idéal de vie » peut-on avoir ? Réfléchis un peu !! conditionné de mes deux ! Lis Blaise Pascal ! etc). Ils questionnent notre rapport à la reconnaissance sociale (très bonne initiative). Ils interrogent les fondements même de notre société moderne."  Un ouvrage publié par le psychiatre Tamaki Saito en 1998 en a alors fait un véritable sujet de société. Une interprétation socio-économique a assimilé cette mouvance comme un effet de la "décennie perdue" des années 90, c'est-à-dire la crise ayant vu le Japon sombrer dans une période de déflation et de montée du chômage. Et donc comme à une forme de résistance à la normativité de la compétition qui touche 70 à 80% des hommes, la plupart âgés de 15 à 35 ans (le pendant féminin du "hikikomori" serait, selon la psychologue, l'anorexie). Ce qui tient ces otakus  en éveil ? Les jeux vidéo, les forums ou des jeux en ligne, la démocratisation de l’Internet...

Loin d'être cool, le "hikikomori" constitue un coût comme un joug pour les familles, isolées à leur tour tant elles sont incapables de demander de l'aide. Une position très difficile, à la fois financièrement et émotionnellement. 

En France, le phénomène et la catégorie elle-même restent peu connus Au gré des années, cette expression très radicale de l'ultra-solitude venue du Japon tend à s’étendre dans toutes nos sociétés modernes, aux États-Unis et en Europe à travers le nombre grandissant de NEET, ces jeunes de 16 à 18 ans qui préfèrent devenir SDF plutôt que de s’insérer socialement et qui veulent se prémunir de ce qu’on appelle le "burn-out" en Europe et "kiroshi" (mort par excès de travail qui concerne un actif sur cinq) au Japon.  Le pays du Soleil-Levant a été précurseur dans la reconnaissance de ces jeunes adultes et dans la prise de conscience. Aux Etats-Unis, c’est encore tabou. En France, il n’y a pas de mot spécifique pour les désigner. Dans le livre Hikikomori, ces adolescents en retrait (Maïa Fansten, Cristina Figueiredo, Nancy Pionnié-Dax, Natacha Vellut, 2014), on nous explique pourquoi, en Occident, les conditions sont réunies pour qu'émerge une mouvance comparable aux Hikikomoris ailleurs qu'au Japon : "En France, le phénomène restent peu connus (bien moins repris par les médias qu'en Italie, par exemple). Il est principalement perçu à travers d'autres catégories existantes : sous l'angle de la déscolarisation, du décrochage scolaire ou, en termes psychopathologiques, à partir des catégories de phobie scolaire ou de refus scolaire, ou plus généralement de phobie sociale."  Au Japon, le phénomène se révèle pris très au sérieux. À tel point que le ministre de la Santé a, pour l’année 2018, demandé l’équivalent de 20 millions d’euros de crédits pour aider les hikikomoris à retourner dans "le droit chemin" ( "le droit chemin" ! je vois ….) . La plupart finissent en effet par sortir de cette forme de solitude, au bout de quelques mois ou de quelques années (le record est de près de 20 ans !). Si la situation dure trop longtemps, ces derniers pourraient se retrouver face à une autre peur, celle de mourir seul. Une phobie qui a également un nom au Japon - "kodokushi" - et très répandue dans un pays vieillissant, en manque d'enfants. (en France aussi)

09/07/2018

rien que pour n'avoir écrit que ça il mériterait le pinacle et de n'être jamais oublié !

« Seigneur, je vous sais gré, rêveur et fainéant.

De m'avoir mis au monde et tiré du néant !

Ceux qui ne sont pas nés n'ont pas vu les étoiles, »

                                   (Alphonse ESQUIROS, 1841)

 

 

 

06/07/2018

du tre trafaj poemoj- kiujn mi povus diri

kiuj metas onin en marojn da meditadoj


« Soleco havas dornojn       [tio facile kompreniĝas, mi pensas]
Mi tre amas la solecon
ĉar ĝi similas al rozoj. »
(Angel arquillos)
ne nur pro la dornoj, soleco estas stato kie eblas flari parfumojn de aĵoj ne flareblaj alimaniere,.
Do ankaŭ mi povas diri tiun poemon

 

ankaŭ :


« Sub olivarb'
amoras mi
kun mia am' »
(Angel arquillos)
videble ĝi ne aludas al vera amorado (kvankam tio estas bona kaj laŭdinda ! Mi tre ŝatas kaj alte metas lian poemon « Bela momento ») sed estas ludo kun la am' , ia Valery-a eble, la am' kiun povas naski la vido de folioj de olivarbo, aŭ simila loko. Speco da pleneco kaj transcendo de amo.

 

 

(Estu afablaj, bv. lernu vi ilin parkere ! poemoj estas faritaj por ilin lerni parkere, tiuj, kiuj ne indas esti lernitaj parkere, ankaŭ ne indas esti legitaj !)

 

 

05/07/2018

réflexions

5/7/2010 Elle est jolie cette petite bête, qu’est-ce que c’est ?
Mais ça n’a pas d’importance, c’était quand il y avait encore une France, un monde, une vie. Mais il n’y a plus de France, plus de monde, la vie est interdite par la loi, et par les règlements municipaux ! quand aux petites bêtes elles sont qualifiées maintenant de "nuisances" et sont pourchassées par la police et par les "prêtres" de la nouvelle "religion" au pouvoir.

De toutes façons il n’y a pas d’avenir, donc pas de présent. Fermez l’banc !

01/07/2018

Burkini

1902 - femmes en burkinis sur la plage de Sainte-Adresse :

1902femmes en Burkini sur la plage de Ste-Adresse.jpg

30/06/2018

une citation "incontournable" de CAMUS dans "le Malentendu"

 

«  Voici maintenant ma vieille angoisse, là, au creux de mon corps, comme une mauvaise blessure que chaque mouvement irrite. Je connais son nom. Elle est peur de la solitude éternelle, crainte qu’il n’y ait pas de réponse. »

 

malheureux ceux que cette citation ne visite pas au moins uns fois par jour...

 

29/06/2018

Le bon vivant

Au Japon à Ise à côté du sanctuaire (qui est le plus sacré de tout le Japon), il y a un café français ! Appelé « le bon vivant » !

 

A propos, « Le bon vivant » ça me rappelle le tableau de Magritte intitulé « le bon vivant », qui représente un cercueil posé sur un fauteuil.

Excellent tableau ! Incontournable ! Un condensé, un rappel hautement pertinent de la réalité.

28/06/2018

un peu d'bon sens s'y'ou plait ! (et d'humanisme, mais ça ça serait trop vous demander j'en suis persuadé)

Alors comme ça je suis un "homme voilé" ?

Ben oui ! c'est logique il paraît que maintenant on appelle "femme voilée" une femme qui porte un fichu sur la tête, ce qui avant 1960 était le cas de toutes les femmes, surtout en URSS, mais en France aussi, je suis bien placé pour le savoir, (celles qui n'en portaient pas c'est parce qu'elles portaient un chapeau !! Bref les bonnes-femmes sur lesquelles Jean Bellus ou Jacques Faizan plaisantait sur leur "dernier petit bibi ravissant" maintenant on dirait que ce sont des "femmes voilées" !!

Par conséquent si une femme qui porte quelque chose sur la tête est une "feme voilée donc logiquement un homme qui porte un chapeau sur la tête est un "homme voilé", logique !!

Il faut quand-même revenir à la pratique du BON SENS le plus élémentaire, on n'y coupe pas, on est censé lutter pour l'égalité hommes/femmes non ? donc ce qui est valable pour les femmes est tout aussi valable pour un homme, sinon c'est du "sexisme", y'a pas photo, n'essayez pas de dire le contraire, les féministes !

donc, je continue

les arsouilles qui portaient  crânement  une casquette c'étaient des "hommes voilés ! les policiers qui portent une casquette ou les militaires qui portent un képi, aussi par conséquent, et les skieurs n'ont plus le droit de porter un bonnet sur la tête , c'est "un enfermement du mâle" ce sont des "islamistes" des "hommes soumis" .... ben !

Je reviens à ma conclusion, alors comme ça il faut désormais m'appeler un "homme soumis" victime de "l'enfermement du mâle", un "islamiste" portant un "voile" de feutre noir, ben si j'avais su !

 

mon cœur se réchauffe chaque fois que je vois des femmes musulmanes en robes et fichu sur la tête.

Car je pense que ce seront elles qui sauveront la France.

En effet,

d’abord elles croient encore en Dieu, de nos jours il n’y a, hélas, plus que dans ces milieux qu’il y en a. (1)

ensuite elles sont également les seules à encore s’habiller avec élégance, et à être esthétiques (tandis que le blue-jeans = "étouffoir de l'altérité", et laideur garantie, et uniforme casernicole),
enfin, last but not least comme on dit en "européen" !, krome kaj krone comme on dit en espéranto, la persécution et la haine qu’elles et leurs filles rencontrent de la part des institutions françaises et de nos nouveaux « calotins », les amène à un esprit de résistance, et de revendication de leurs droits individuels (lisez le livre récemment paru : http://lmsi.net/spip.php?article732 ) sauvant ainsi, les traditions, autrefois considérées comme constituant l’identité des français ! sensés – autrefois ! – être rebelles et « frondeurs »

En tous cas les témoignages de ce livre montre bien la maturation que l’hostillité et les persécutions qu’elles rencontrent amène en elles.  

 

et pour apporter un  peu de maïeutique, regardez ces femmes portant un, comment on apelles ça maintenant ? ah oui ! "voile islamique" en train de danser :

http://www.ipernity.com/doc/80979/10703072

 

 

(1) Les catholiques défendaient les mêmes principes, AVANT (et aussi l'interdiction du prêt à interêt, encore avant!) Comme le dit fort justement Pierre Hillard, les catholiques ne sont plus catholiques, et la pensée unique est antireligieuse, seul le Bouddhisme est toléré, mais parce que justement il est athée ! et ne croit qu'au néant le fameux "vide", qui plait tant à l'actuelle Secte des Adorateurs de la Mort qui sont les maîtres à penser de la société (bon moi non plus je ne crois pas, mais à la manière de Unamuno ou de Camus : eux refusaient de pactiser avec la mort, qui leur faisait horreur)

(Cela vous amène tout naturellement à prendre la défense des religions dont on sent bien que les élites dominantes souhaitent la diabolisation, après avoir eu la peau du catholicisme) 

27/06/2018

"c'est un gage de moralité que d'être pris pour de la merde par nos maîtres" - exact !


26/06/2018

"sécurité"

"Sicherheit" en allemand. Les inquisiteurs espagnols, quand ils voulaient brûler vifs des hérétiques ils appelaient  ça un "auto-da-fe" un ACTE DE FOI, question "image" (comme disent nos pubards) ça jette hein ! c'est nettement mieux que d'appeler les choses par leur nom, ça a tout de suite un prestige idéologique (et puis ça cache...) , voilà ! c'est la règle,  de nos jours ils auraient appelé ça des "ACTES DE SECURITE"

voilà voilà ...