25/04/2018
vive les grêvistes ! ils ont raison !! mais ......... MAIS ....
24/04/2018
les médecins sont maintenant coincés entre le marteau et l'enclume !!!
d'autant plus que :
(ah ah ! ça sera un juste retour des choses !)
et ci-desous un médecin explique cette nouvelle situation des pauvres médecins :
"En ce début d’année, c’est évidemment la question de la vaccination obligatoire qui me taraude alors que le parlement français a entériné la loi sur les 11 vaccins obligatoires.
Désormais, tous les nourrissons de France doivent, avant deux ans, avoir reçu les vaccins suivants : coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C., diphtérie, tétanos, poliomyélite.
La sanction pénale spécifique sur les vaccins qui prévoyait jusqu'à six mois de prison et 3.750 euros d'amende a été abrogée.
Toutefois, il reste une autre sanction applicable liée “à l’obligation de protection des enfants” par laquelle des parents pourraient être punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.
Le gouvernement se veut rassurant. L’objectif n’est pas de réprimer les parents.
La répression aura bien lieu mais à l’égard des médecins. Ceux qui établissent des faux seront systématiquement recherchés et envoyés devant le Conseil de l’ordre. Ceux qui doutent seront blâmés.
Les propos des médecins seront scrutés et corrigés si nécessaires. Leurs prescriptions seront davantage surveillées. Plus que jamais, ils seront mis sous la tutelle de l’administration.
À quoi sert-il que la société, c’est à dire vos impôts, vos charges, paye 10 ans d’études aux médecins, si c’est pour qu’ils n’aient pas le droit de réfléchir, de douter, d’évoluer ?
En ce début d’année, je pense bien sûr aux victimes des vaccinations que l’on oublie systématiquement, mais aussi aux médecins. A tous les médecins.
C’est un métier difficile autant que nécessaire. Il devient aujourd’hui compliqué d’être un praticien honnête et d’éviter les problèmes administratifs ou juridiques.
Les médecins sont dans une position délicate.
- Lorsqu’ils soignent leurs patients avec une méthode alternative, ils risquent d’être attaqués en justice par leur ordre.
- Quand ils refusent d’administrer un acte médical dont ils pensent que ce dernier est dangereux pour leur patient, ils risquent d’être attaqués par leur ordre et/ou par leur patient.
- Et s’ils vaccinent un patient et que ce dernier en subi des conséquences néfastes, ils risquent d’être attaqués par cette personne et sa famille et lâchés par les autorités.
Les médecins vivent dans la peur du procès. Et c’est aussi pour cela que le burn-out est apparu dans la profession, notamment chez les plus jeunes praticiens (1).
Je vous mets ci-dessous, un témoignage de médecin qui est révélateur des doutes qui peuvent traverser la profession.
Certains me diront que c’est aussi aux médecins de se remettre en cause et de se rebeller.
Sans doute ont-ils raison. Mais le changement de notre système de nos santé et de nos “automatismes” de santé (antibiotiques, vaccinations, chirurgie, dépistage etc…) passe aussi par eux.
Le meilleur moyen d’avancer est donc de comprendre ce que disent les différentes parties.
Aujourd’hui, je donne la parole à un médecin classique, qui après avoir administré un vaccin contre l’hépatite B à un patient, qui a déclenché une sclérose en plaques, doute de la bienveillance des autorités de santé.
Son voeu pour 2018 : faire supprimer l’aluminium des vaccins.
Croyez-bien que nous nous battrons pour que celui-ci se réalise !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois "
PS : Retrouvez l’intégrale des vidéos de notre 3e Congrès International de Santé Naturelle en vous rendant ici. (45 heures de conférences à partager en famille ou avec vos amis vous attendent).
Témoignage du Dr JC G. généraliste.
Août 99. Accompagné de sa mère, un jeune homme de 18 ans me consulte pour un rappel de vaccination contre l’hépatite B. La primo vaccination a été effectuée à titre systématique quelques années plus tôt dans son collège et cette injection supplémentaire est déjà inscrite dans son carnet de santé.
«Il m’a dit de relever ma manche et m’a injecté la mort »
En raison du contexte à risque et de l’insistance maternelle, j’effectue le rappel demandé.
Quelques semaines plus tard, mon jeune patient présente des troubles de la marche et un nystagmus me faisant évoquer une première poussée de sclérose en plaques, diagnostic malheureusement confirmé peu après à l’I.R.M.
Aussitôt, les parents portent plainte contre moi, m’accusant d’avoir déclenché la maladie de leur fils en effectuant ce rappel. Ils choisissent un avocat de renom qui, pour faire monter la mayonnaise médiatique, obtient la parution dans le quotidien régional d’une pleine page sur cette affaire avec la photo du jeune homme en fauteuil roulant sous un titre assassin : «Il m’a dit de relever ma manche et m’a injecté la mort ».
Très affecté par cet article heureusement anonyme et éprouvant un profond sentiment de culpabilité, je tente de trouver un peu de soutien autour de moi.
Au ministère de la santé, on m’explique n’être plus concerné puisque l’obligation vaccinale vient d’être suspendue pour « calmer l’inquiétude populaire » (sic).
Le fabricant du vaccin se dédouane en précisant que le risque de survenue d’une réaction neurologique post-vaccinale est un « effet secondaire potentiel » connu et d’ailleurs inscrit dans la notice.
Quant au Conseil de l’Ordre, il me souhaite confraternellement bon courage, non sans avoir vérifié que j’étais à jour de ma cotisation annuelle.
Absolument tout seul pour assumer les conséquences du vaccin.
Bref, je me retrouve absolument tout seul pour assumer les conséquences de mon acte et je rédige moi-même mon argumentaire en défense en le basant uniquement sur l’absence de lien prouvé de causalité entre vaccin et sclérose en plaques.
Je sais me montrer convaincant sans être convaincu, et mon jeune patient est débouté en première instance puis en appel. La procédure s’est définitivement éteinte en même temps que la victime, enterrée l’an dernier, mais pas le doute qu’elle a fait naître dans ma conscience.
Alors, quand j’apprends, en mars dernier, que le Conseil d’État a décidé de contraindre les fabricants à ressortir le seul vaccin obligatoire en France, le DTPolio dont ils avaient organisé la pénurie depuis 10 ans pour imposer aux médecins souhaitant respecter la Loi de le combiner à d’autres vaccins, facultatifs et aluminiques ;
Quand je découvre qu’immédiatement le gouvernement, sous la pression du lobby pharmaceutique, a programmé de contourner cet arrêt du CE en rendant obligatoires tous les vaccins facultatifs au motif d’éradiquer ces maladies de la planète (sur laquelle, rappelons-le, nous représentons moins d’1 % de la population).
Quand je note qu’une agence nationale de sécurité médicamenteuse fait taire un chercheur dont les travaux démontrent la toxicité neurologique de l’aluminium quand il est injecté (ce qui n’a rien à voir avec sa bénignité par voie orale dont on nous rebat les oreilles) ;
Quand je constate qu’on retire l’aluminium des vaccins vétérinaires mais qu’on le conserve dans ceux de nos enfants ;
Et quand je sais que dans notre pays merveilleux, les nuages atomiques s’arrêtent aux frontières, des ministres responsables mais pas coupables utilisent le sang contaminé pour ne pas le gâcher et le Médiator tue pendant 10 ans de trop, simplement parce que son fabricant est français, je ne peux m’empêcher d’exprimer un sérieux doute.
Pas sur l’intérêt de la vaccination que je considère comme l’une des découvertes médicales les plus importantes et les plus utiles. Non, j’ai un doute réel et sérieux sur l’innocuité de l’aluminium utilisé dans les adjuvants.
Et tout ce qui se passe et se dit actuellement ne parvient pas à me rassurer, surtout lorsque cela émane de politiques ou de scientifiques dont certains pataugent dans les conflits d’intérêts.
Alors je fais un rêve : si au lieu de menacer de sanctions financières les parents inquiets, d’éviction scolaire les enfants innocents ou de radiation professionnelle les médecins dubitatifs, pourquoi nos Autorités de Tutelle n’imposeraient-elles pas aux Laboratoire de modifier leurs adjuvants ?
Elles l’ont fait spontanément pour l’excipient du Levothyrox, avec les résultats que l’on a pu apprécier et sans que les malades ne leur aient rien demandé.
Cette fois, il existe une vraie demande publique de remplacement de l’aluminium par autre chose, comme par exemple le phosphate de calcium, produit naturel et parfaitement inoffensif, utilisé sans aucun problème dans plusieurs pays et par le Laboratoire Pasteur en France pendant une quinzaine d’années, jusqu’à sa fusion avec Mérieux, signant le retour de l’alu et de ses casseroles.
C’est peut-être un vœu pieux, mais cela aurait le mérite de calmer l’angoisse croissante de la population et, pour nous autres médecins, de lever enfin ce doute lancinant.
ET en amont de tout ça, il faut toujours revenir aux sources, à la RACINE, il y a la carrière de Macron, et il y a les intérêts FINANCIERS, il faut toujours se demander"à qui profite le crime ?"
10/04/2018
ce que sont devenus les parcs publics de maintenant
19/3/2018 Dans le grand parc public qui est derrière chez moi ( et qui depuis quelques années est devenu dégueulasse et non entretenu, un changement spectaculaire !!), un employé vêtu en costume de flic, c’est à dire un survêtement orange fluo « liturgique » de rigueur se promène sur une « tondeuse » automobile sur la pelouse (l’ex-pelouse …) qu’on voit depuis mon jardin. Ça fait un bruit de tous les diables ! Bien sûr, comme les « instances » (pas la municipalité - les municipalités sont en train d’être annihilées! - une quelconque « communauté de communes » bien technocratique, bien non-démocratique, entre copains, technocrates et coquins, et règlements européistes, et lobbies capitalistes bien entendu!) à cause des politiques actuelles ultra-capitalistes/européistes, les dites « instances » responsables ont réduit drastiquement le nombre de jardiniers (les « coûts salariaux n’est-ce pas !), donc il n’y a plus personne pour les entretenir, et les ex-pelouses ne sont plus des pelouses mais des espaces de friches et de branches tombées ! Résultat en fait ce n’est plus de la tonte de pelouse mais carrément du défrichage ! Et d’ailleurs il doit y avoir, depuis 3 ou 4 ans qu’ils n’ont pas passé, les entrepreneurs sous-traitants dont il s’agit certainement, les gens doivent avoir laissé traîner des tas de bouteilles et de canettes de bière avec personne pour les ramasser, ça doit être ça qui fait un tel boucan dans la machine.
02/04/2018
une société ne renonce pas sans conséquences à l'interdit de donner la mort, quand plus rien n'est sacré quand l'égoïsme se cache sous les faux semblants gare aux dérives !
Relisez l'importance du livre de Binder et Hoche paru en ALLEMAGNEen 1922 .... et intitulé "de la libéralisation (sic) du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue (resic)"
bon, l'histoire vous connaissez, non ?
Et maintenant lisez ce qui se passe maintenant en Belgique (Belgique flamande surtout je pense !)
http://reinformation.tv/euthanasie-involontaire-medecins-...
W a écrit le 30-01-2011
Aujourd'hui, on ne supporte plus aucune contrainte, surtout pas la misère,ni le handicap,ni la laideur ou tout au moins ce que l'on croit être la laideur. Pourtant, si on prenait le temps de regarder l'autre dans son coeur, nous y verrions peut-être toute la vraie beauté. Et surtout que l'on arrête de dire que l'euthanasie est là pour arrêter les souffrances du pauvre malade et acceptons au moins LA VERITE qui est que notre egoïsme nous donne envie de ne plus regarder ce pauvre malade qui souffre, la laideur de ses douleurs qui nous gênent NOUS et nous seuls. Que sait-on de la personne qui souffre? Pourquoi dit-on qu'il vaut mieux pour elle ne pas souffrir? Qui sommes-nous pour décider de l'avenir des autres et même du nôtre? Bravo à vous tous! Vous êtes admirables. Battons-nous justement POUR LA DIGNITE . Souffrir n'a jamais été indigne que je sache; en ce qui me concerne , je trouve que la souffrance, au contraire, révèle toute la dignité d'un être humain. Quelle belle leçon au contraire et quelle admiration pour toute souffrance supportée, quelle qu'elle soit.
d a écrit le 27-01-2011
Qui sommes nous pour prendre la vie de quelqu'un ???????
ils sont nos parents nos enfants nos amis....nous les avons aimés, ils nous ont aimés. Que savons nous réellement de se qu'ils pensent et veulent ?
ils ont le droit de vivre à nous de leur garantir la dignité et de leur porter l'amour nécessaire et des miracles s'opèrent...un sourire, une pression de mains....
l'humain devient de plus en plus égoïste et ne pense qu'à son bien être et son plaisir, il ne veut pas voir les difficultés, encore moins les assumer et préfère les éliminer en tuant sous prétexte que c'est trop dur de voir la souffrance , il se donne plein de soit-disant bonnes raisons.
Une société ne rompt pas avec l’interdit de donner la mort sans conséquences. Cet interdit fondamental, commun à toutes les civilisations, à toutes les cultures, ne peut faire l’objet d’aménagements sans repousser, mécaniquement, plus loin les limites de la transgression.
Aucun Homme n’est jamais indigne. Face à certaines fins de vie, il faut peut-être parfois s’en convaincre mais un principe n’est jamais facile à tenir. Toute action sur la fin de vie devrait être fondée sur ce principe et non sur cette concession scandaleuse et littéralement délétère que ferait la société en admettant que certaines vies seraient indignes au point que seule la mort viendrait les rétablir dans la dignité. On admire Mère Teresa : elle soignait les lépreux, elle ne les achevait pas.
On n’assure pas la dignité d’un Homme en lui donnant la mort. On doit garantir la dignité dans la vie et non par la mort. Au prétendu droit de "mourir dans la dignité", il faut opposer le droit de vivre dans la dignité. Il n’y a pas d’autre choix concevable que d’être aux côtés de ceux qui se battent chaque jour pour assurer la dignité d’une personne mourante, plutôt que de ceux qui, de loin, préconisent l’injection.
L’euthanasie est une démission collective. Elle est l’ultime option d’une société qui a abandonné l’ambition d’être une société, une communauté qui prend soin des siens, une société qui a abandonné l’ambition d’assurer la dignité de ses mourants. Par l’euthanasie, elle tend à effacer, à supprimer, le problème, elle ne le traite pas.
L’euthanasie est le choix d’une société matérialiste, égoïste et individualiste, qui n’accepte pas la faiblesse, la fragilité. Elle cultive la jeunesse, la beauté, la fête, le corps. Le handicap lui fait horreur : il est éliminé ou éloigné. La mort terrifie ? Elle est cachée, elle est hâtée.
Publié dans la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, mi iras limake, mort, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
18/03/2018
à bas l'INTEGRISME écologiste ! vive Elian Finbert !
L’Intégrisme et les dérives bien-pensantes (n’oubliez pas ! l'intégrisme écologiste est pire que l’Intégrisme islamique. Il ne faut jamais oublier, et l’actualité nous le rappelle tous les jours, l’affirmation de Zygmunt Bauman que le seul salut devant les barbaries (elles étaient « bien-pensantes ») comme celles du nazisme, les programmes d’euthanasie et d’« hygiène raciale » à coup de chambres à gaz, c’est la conscience morale « sauvage », individuelle, qui apparaît en dehors de toutes les normes sociales du temps.
Même pas celle d'Antigone ! qui ne faisait qu'obéir à la morale reconnue socialement, je parle de l'irruption, des exigences du coeur de l'individu sans considération des idéologies qu'on lui a apprises; un enfant, même pas "bien élevé"!
Rappelez-vous : personne au XVIIème siècle n’aurait pensé, à part cet extravagant individu au cœur tendre de curé Meslier dans son manuscrit secret, à se scandaliser des bûchers de chats dont au contraire se réjouissaient fort les parisiens à la fête de la Saint-Jean.
Jésus-Christ, quand il a refusé que les juifs lapident la femme adultère, a scandalisé tout le monde.
Aussi il n’y a aucune confiance aveugle à faire ni aux altermondialistes (1) ni aux
écologistes extrêmes, ni à la SPA ! (qui préfèrent, ces intégristes bien-pensants, faire
mourir, pardon ! on dit « euthanasier » , des animaux plutôt que de risquer qu’ils vivent auprès de maîtres dans des conditions qui ne correspondent pas à leur normes), pareil les intégristes de l’écologie [l’ourson de Berlin (2) ] vous voyez à quels dérives dogmatiques et à quelle absence de valeurs humaines (eh ! normal ! justement les valeurs humaines sont récusées par principe par le dogme « naturel » de l’idéologie écologique intégriste, de même qu’elles étaient récusées par l’aryanisme germanique anti-chrétien de l’idéologie Nazie) peuvent mener leur concepts transformés en dogmes constipés ; à ce compte là toute l’humanité – et les enseignements – et les valeurs transcendantes qu’on trouve répandues à pleins bords dans les innombrables histoires d’amitiés entre des animaux et des humains qu’on trouve dans les livres d’Elian-J. Finbert (3) vont être diabolisées comme non-conformes à la bonne et correcte « hygiène spéciste » !),
(autre exemple de ce genre de gens et de ce qu'ils peuvent entraîner !)
l'intégrisme écologiste est une valeur de MORT, point ! https://www.francebleu.fr/infos/climat-environnement/arde...
et maintenant en Suisse (bien sûr ! la Suisse qui fut le PREMIER pays d'Europe à importer les théories eugénistes et à les mettre en pratique (en 1928, les pays scandinaves son venus après, en 1929-1934, l'Allemagne de Hitler encore après) http://www.lexpress.fr/actualite/societe/en-suisse-des-pr...
Les intégristes écologistes sont aussi dogmatiques et impavides que l'étaient les médecins d'une époque historique bien connue
un autre : En début de semaine, les services douaniers de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle ont saisi une petite centaine d’oiseaux, arrivés illégalement du Mexique. Comptant parmi eux des Chardonnerets gris, des Cardinaux rouge et des Cardinaux à poitrine rose, les oiseaux captifs ont alors été remis aux services vétérinaires. Mais au lieu d’être soignés, puis réexpédiés vers leur pays d’origine, les volatils ont tout bonnement été congelés vivants. Selon la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), en l’absence de structures adéquates (sites de quarantaine etc.), l’euthanasie est une pratique courante dans l’enceinte de l’aéroport de Roissy.
Totalement opposée à cette option radicale, appliquée même sur des individus en bonne santé, l’association a dénoncé la congélation d’animaux vivants comme une « lente agonie ». Appelant les autorités hiérarchiques concernées à condamner de telles méthodes, elle menace de porter plainte, avec le soutien de la Fondation Brigitte Bardot. A l’aube de la nouvelle année, les associations ont déjà fait part de leurs résolutions, notamment l’ouverture d’un centre adapté à l’accueil des animaux saisis dans les aéroports parisiens.
Vraiment typique de notre époque et son impavide cruauté administrative et son "calotinisme" jésuitique. Je ne sais pas si vous sentez ça aussi, mais pour moi TOUT L'ESPRIT et toute la mentalité de l'époque actuelle est "encapsulée" dans cet épisode.
et tous ceux qui ont renoncé à sentir, et pensent à travers des principes, des concepts (- modes ! il y a toujours des concepts "à la mode" - plaisante verité qu'une rivière borne -), des idéologies.
(1) oui ! oui ! même à eux, je suis persuadé qu’un jour ça aussi ça se verra.
(2) "Nourrir (l'ourson) à la main n'est pas "approprié" et constitue une violation grave (sic) des lois de la protection animale (re-sic)", a déclaré le militant de la cause animale Frank Albrech. D'autres militants ont dénoncé la manière dont l'animal était traité estimant que cela pourrait l'empêcher d'avoir des relations "normales" (sic) avec ses congénères
à ce compte-là la moitié des histoires d'Elian-J. Finbert vont toutes être des histoires d' amour "contre-nature" comme on disait au XIXème siècle !
(3) tre malgandan kaj malsufiĉan ekzemplaron de liaj kolektaĵoj legeblas esperantigita ĉi tie.
Naiva demando : ĉu la kanario havis "normalajn" rilatojn kun la muso?
: Bernard Charbonneau
et n'oubliez pas de lire les livres du premier, et jusqu'à présent unique
écologiste anti-totalitaire .....
14/03/2018
Les Inrocks, Conspiracy Watch, confusionnisme.info, etc. Tous ces organes d’inquisition, tantôt sous contrôle des réseaux d’influence américains, tantôt directement financés par les banquiers
http://arretsurinfo.ch/les-anti-fascistes-agents-du-neoli...
Les Inrocks, Conspiracy Watch, confusionnisme.info, etc. Tous ces organes d’inquisition, tantôt sous contrôle des réseaux d’influence américains, tantôt directement financés par les banquiers,
https://www.agenceinfolibre.fr/inquisition-sur-le-mouveme...
(et lire les commentaires ! aussi utiles que l'article)
(c'est comme les "antifas", soit "idiots utiles" manipulés, soit directement agents d'influence US infiltrés (comme Gonzalez-Mata par exemple le fut en 68) dans les milieux qui étaient autrefois extrème-gauche pour leur faire faire un boulot utile au grand capital et à l'impérialisme US en faisant taire tout discours critique !)
l'embêtant pour nos maîtres c'est que quand Internet est arrivé ça a été le monde entier qui commence à s'éveiller
on additionne les infos et on se dit "maintenant je comprends pourquoi"
http://www.dailymotion.com/video/x2blfd3_eric-fiorile-dem...
à propos de liens, le conseil qui se dégage en premier de Fiorile c'est "cherchez! documentez-vous !" par exemple ces fameux "Chevaliers du Temple" au Mexique ça existe vraiment ! http://www.lepoint.fr/monde/mexique-trafic-d-organes-ou-r...
contrairement à ce qu'on voudrait nous faire croire, Fiorile n'est pas un huluberlu, et il a des infos exactes.
des "fascistes de la pensée" , écoutez minutes 24 et 25 :
ce que sont en réalité les "antifas" - demandez-vous simplement comme les détectives "à qui profite le crime ?"
Il suffit de se poser la question simple : Quelles sont les cibles des antifas ? le patronat ? l’UMPS ? les fauteurs de guerre ? l’extrême-droite néoconservatrice islamophobe ou identitaire ? rien de tout cela, les antifas combattent justement ceux qui s’attaquent avec sérieux et méthode à l’impérialisme : les dissidents, les antisionistes, les nationalistes progressistes ou souverainistes et les vrais communistes, en particulier le Comité Valmy et le PRCF qualifiés de nationaux-communistes. Voyant des staliniens partout, ils vont jusqu’à s’attaquer à la gauche altermondialiste.
Et quels sont les politiques qu'ils critiquent et cherchent à salir aux yeux du public ? une fois de plus les "antifas" concentrent leurs attaques sur les dirigeants étrangers qui résistent à l’impérialisme étasunien ou israélien, iens tiens ! comme par hasard, Bachar el-Assad , Hugo Chavez ou Vladimir Poutine en particulier, épargnant pzr contre les monarchies sanglantes du Golfe, l’État d’Israël et l’Ukraine nazie. La théorie de l’Axe du Mal a trouvé là des adeptes convaincus. Dès lors on ne s’étonnera guère qu’une partie de leurs financements leur vienne de la CIA !!
http://reseauinternational.net/les-antifas-sans-cagoule/
en fait ce sont au mieux des "idiots utiles" manipulés par les "Services" de l'OTAN, si ce ne sont pas carrèment des agents infiltrés de ces "Services" (comme le fut par exemple Gonzales-Mata, qui après avoir participé à ce titre aux évènements de mai 68 a, lui, viré de bord, et "laché le morceau" dans ses mémoires)
ici, dans la vidéo, Georges Gastaud, marxiste, président du Pole de Renaissance Communiste en France, réplique aux "petits merdeux" que sont les prétendus "antifas" http://miiraslimake.over-blog.com/ce-que-sont-en-r%C3%A9a...
et l'innénarable ornella guyet :
remarquez la revue du miliardaire Pinaut, "Le Point" le magazine des opulents et raffinés bourgeois chics investisseurs cyniques et autre puants miliardaires parle le même language et essaye de considérer d'"extrème-droite" (alors que l'extrème-droite c'est eux !) toutes les forces de gauche qui contestent la mise en esclavage des peuples et des gens par la dette et la politique réactionnaire sauvage qualifiée par eux de "courage" !
François Asselineau a bien analysé les choses et a en fait tout à fait raison dans ce qu'il dit du rôle du FN. Et donc aussi de ceux qui le dénoncent rituellement ! c'est également ce qu'avait montré Michel Piquemal dans "le prophète du libéralisme"
soit dit en passant :
L’UPR se veut « ni de droite ni de gauche » encore moins d’extrême-droite.
« Dès que vous voulez sortir de l’Union européenne on dit que vous êtes
d’extrême-droite. » C'est un "truc" artificieux et malhonnête pour faire taire
la contestation au régime de nos maîtres.
L’extrême droite en fait, au contraire, a plus exactement le visage… du
gouvernement actuel, « principal vecteur de la finance, qui refuse de
célébrer la victoire sur le nazisme, met sous surveillance le peuple
français, ne respecte plus les droits de l’Homme. Si ça ce n’est pas
d’extrême-droite ! »
08/03/2018
une fois que vous aurez fait ça vous serez vraiment capable de désobéir
07/03/2018
Steen, Teniers
On ne voit plus jamais les tableaux de Steen ou des Teniers, qui sont si nombreux et qu’on voyait si souvent. Bien sûr de nos jours la joie, et les jeux de cartes, ça n’est plus à la mode. Fumer, boire, lutiner les filles : voilà qui est maintenant aussi tabou qu’en Afghanistan.
05/03/2018
L'injustifiable génocide des compteurs électromécaniques !
tous les prétextes avancés pour justifier le programme totalitaire d'installation forcée de compteurs Linky sont complètement mensongers.
SCOOP - LINKY : la preuve de la tromperie
organisée par Enedis et soutenue par l'Etat
regardez la photo censurée sur le site : http://refus.linky.gazpar.free.fr
photo qui montre :
Un capteur installé sur un bon vieux compteur
électromécanique, pour ceux qui veulent avoir
de jolies courbes de consommation... sans
changer de compteur et donc sans Linky !
suite de l'article :
"Nous le répétons inlassablement : tous les prétextes avancés pour justifier le programme totalitaire d'installation forcée de compteurs Linky sont complètement mensongers. Par exemple,
1° il est totalement faux que ce programme soit "imposé par l'Europe", même la Commission européenne reconnait que sa directive est purement indicative.
2° Il est tout aussi mensonger de prétendre que les compteurs communicants sont indispensables pour piloter les réseaux électriques à l'heure des énergies intermittentes (éolien, solaire, etc) : l'industrie européenne de l'électricité, réunie en congrès à Vilnius, a fait savoir que "les compteurs communicants sont superflus".
3° Ne nous attardons pas sur d'autres plaisanteries d'Enedis qui prétend par exemple installer les Linky... "pour que les clients aient des factures précises". D'abord nous sommes des usagers et non des "clients", et de plus nous pouvons depuis longtemps avoir des factures parfaitement précises sans l'ombre d'un Linky, et ce même chez EDF... maison mère d'Enedis !
4° Mais la plus grosse tromperie d'Enedis, hélas reprises très souvent telle quelle (sans la moindre investigation) dans de nombreux articles ou reportages, consiste à prétendre que le Linky permettrait de faire des économies d'énergie, ce qui serait bon pour l'environnement et pour notre porte-monnaie. A nouveau, c'est totalement mensonger.
Pourtant, Enedis maintiens ses allégations en avançant que le Linky permet enfin au "client" de suivre sa consommation en consultant de jolies courbes sur Internet. Avec toutefois un décalage de 24 heures ce qui, selon les experts, rend totalement illusoire l’efficacité du dispositif. Et ce d'autant que, pour faire réellement des économies, il existe des solutions beaucoup plus efficaces (par exemple faire diagnostiquer son logement et ses équipements) que de consulter béatement des courbes.
Ceci dit, bien que déjà parfaitement informés de la politique généralisée de mensonges mise en oeuvre par la direction d'Enedis, quelle n'a pas été notre surprise en découvrant (cf la photo en début d'article) que les adeptes des courbes de consommation peuvent parfaitement être satisfaits... en gardant leur bon vieux compteur électromécanique !
Attention, il ne s'agit absolument pas pour nous de faire de la publicité pour le fournisseur "Greenyellow" qui appartient à un groupe d'hypermarchés (un modèle totalement antisocial et antiécologique) et qui, par ailleurs, ne s'oppose absolument pas au programme Linky.
Mais force est de constater qu'il est parfaitement possible d'installer, sur le compteur électromécanique, un petit appareil qui enregistre les variations de consommation et qui permet, qui plus est en temps réel (et non avec un délai de 24 heures comme avec Linky), de satisfaire les usagers désireux de se pâmer devant de jolies courbes de consommation.
C'est une preuve accablante de la tromperie généralisée organisée par la direction d'Enedis qui n'en finit plus de bafouer les valeurs du service public et dont un des objectifs réels est de procéder au véritable "génocide" des compteurs électromécaniques qui ont le "tort" de ne pas nous surfacturer, de ne pas nous espionner, de ne pas faire dysfonctionner nos appareils, et de durer jusqu'à 70 ans pour certains !
Enedis organise délibérément le génocide de ces merveilleux
compteurs électro-mécaniques car ils ne nous surfacturent
pas, ils ne nous espionnent pas, ils ne font pas dysfonctionner
nos appareils, et ils peuvent durer plus de 70 ans !
(eh oui ! voilà l'explication !! une fois de plus il faut utiliser la bonne vieille méthode du bon vieux père Karl (Marx, pour ceux qui l'ont oublié ! ) les inspecteurs de police des vaudevilles disaient "cherchez la femme !" le papa Marx nous rappelle "cherchez le profit capitaliste !")
En effet, il est facile de voir que la durée de vie réelle des compteurs communicants est terriblement courte : 5 à 7 ans, beaucoup moins que les 15 à 20 ans allégués par Enedis, et immensément moins que les 40 ou 50 ans, parfois 70 ans de durée de vie des compteurs électromécaniques.
Pour essayer de justifier ce scandale écologique (et économique), Enedis et l'affligeant Nicolas Hulot assurent que les compteurs électromécaniques seront recyclés : encore heureux ! Mais on ne doit recycler que des appareils cass
(une fois de plus allez sur la page és, pas 35 millions de ces merveilleux compteurs en parfait état de marche ! (et une fois de plus et de plus allez encore et toujours sur la page : http://refus.linky.gazpar.free.fr
pour voir la belle image très impressionnante et qui donne à réfléchir et qui fait si bien dans l'article )
(pour lire la suite et fin de l'article de Stéphane Lhomme : http://refus.linky.gazpar.free.fr )
26/02/2018
l'air du temps n'est plus à la liberté !
ça c'est bien vrai ! ....
« L’air du temps n’est pas à la liberté »
Interview de Jean-Pierre Galland qui dénonce une société liberticide…
Certains jugeront qu’à l’heure des
rafles de sans-papiers et des attaques sarkozystes contre notre système
social, son combat est anecdotique. Plus amusant qu’autre chose. Marginal… Erreur ! D’abord parce que Jean-Pierre Galland, apôtre de la dépénalisation du cannabis et président du Collectif d’information et de recherche cannabique (Circ) [1], est un militant. Un vrai. Les innombrables tracasseries subies, les multiples procès intentés et les amendes récoltées à la pelle suffisent
à le prouver. Au-delà, la façon dont son combat est perçu par la
société est révélatrice. Et à l’évidence, elle n’a jamais été aussi
bloquée sur la question.
Tout avait pourtant bien commencé… Si la création du Collectif d’information et de recherche cannabique, né en en 1991 avec pour objectif la légalisation de la production, de la distributions et de l’usage de cette plante, est passée plutôt inaperçue, ses membres ont su ensuite se faire connaître. Des procès intentés, ils ont fait des tribunes, assénant devant les juges leurs nombreux arguments en faveur de la dépénalisation. Des journalistes, ils se sont faits des soutiens, tant leur mot d’ordre était sympathique et leurs opérations médiatiques. Partisans de l’agit-prop façon provos, les militants du Circ savaient faire sourire, qu’ils réactivent l’Appel du 18 joint ou qu’ils organisent l’opération Pétards aux députés, qui vit 577 joints et une lettre ouverte en faveur de la dépénalisation envoyés aux élus de l’Assemblée. Christine Boutin faillit en avaler son écharpe… A chaque fois, Jean-Pierre Galland a été le premier à monter au créneau, sans se laisser démonter par les amendes salées.
Las, les temps ont changé. Se sont faits plus moralistes, moins tolérants, bêtement réactionnaires. Le combat du Circ est devenu de moins en moins audible dans une société qui préférait les grandes généralités débiles, à l’exemple de ce rapport sénatorial de 2003 sobrement intitulé Drogue : l’autre cancer , aux discours des anti-prohibitionnistes. Bref, tolérance zéro, une attitude symbolisée par les prises de position du ministre de l’Intérieur, puis président, Nicolas Sarkozy sur la question… Dans ce monde-ci, le
libertaire Jean-Pierre Galland n’a plus tellement sa place. Mais
qu’importe, il résiste.
Les fumeurs de pétards n’ont plus tellement la cote, en ce moment…
C’est clair que l’air du temps n’est pas à la liberté.
Et le retournement de situation, à propos du cannabis comme de tout le
reste, a été très rapide : nous sommes passés d’une époque, il n’y a
pas si longtemps, où la dépénalisation semblait imminente à l’inverse
absolu… Je suis effaré par ce à quoi nous avons droit aujourd’hui : des
lois scélérates, un flicage permanent et une hygiénisation croissante
de la société. Cette idée que l’État doit lutter pour notre bonne
santé, y compris en empiétant sur nos droits individuels, me hérisse.
Pourtant, les gens l’acceptent.
Les gens… Ils sont souvent prêts à croire tous les discours, y compris celui qui stigmatise les drogues. Pour une bonne raison : la France n’a pas de vraie politique d’éducation, d’information et de prévention en la matière.
Ça a été le rôle du Circ, à une époque. Ça l’est encore ?
C’est plus difficile aujourd’hui. Si le Circ Paris compte encore 60 adhérents, il n’y a plus que trois ou quatre militants réellement actifs. Bref, plus grand monde… A force de ne pas voir les résultats de leurs efforts, les militants se sont fatigués. Et les quelques plumes ou intellectuels qui nous soutenaient auparavant ont tous déserté : je me retrouve seul à écrire les textes et les communiqués. J’ai un peu l’impression de porter le Circ à bout de bras.
C’était déjà le cas quand tu acceptais de te retrouver au tribunal à titre personnel pour les actions intentées, non ?
Notre tactique était de profiter de toutes les occasions de répercuter nos arguments et de faire le procès de la loi
de 1970, qui interdit tout débat sur la question des drogues [2].
A titre personnel, je ne me suis jamais préoccuppé de ce que je pouvais
risquer, pensant que l’important est juste de rester sincère. Et puis,
les militants m’ont aidé à payer les centaines de jours-amendes
auxquels j’ai été condamnés.
Avant, tu avais le soutien des médias, dont Libération ou Le Nouvel Obs, et de quelques politiques. C’est fini ?
Oui, bel et bien fini… C’est vrai que certains médias
ont relayé notre combat à une époque. Lors de la campagne présidentielle de 2002 par exemple, quand le cannabis était un vrai enjeu et qu’on avait l’impression de de voir notre lutte aboutir. Et puis, Chirac est passé après ce deuxième tour effrayant contre Le Pen…
Depuis, nous n’intéressons plus personne.
Quant aux politiques… Il fut un temps où nous étions proches des Verts, de Jean-Luc Benhamias ou de Dominique Voynet. En 1995, nous nous sommes même chargés de la partie « cannabis » de leur programme : c’était un vrai brûlot. A l’époque, on sentait chez eux une vraie volonté de changer les choses, même s’il y entrait une part d’opportunisme. Aujourd’hui, ils ont pris le tournant hygiéniste.
En fait, nous ne comptons plus que la LCR parmi nos soutiens affichés : Besancenot a un discours intelligent et sincère sur le cannabis. De même que les anarchistes, qui ne nous ont jamais
abandonné [3] Des procès en rafale, des militants qui se réduisent comme peau de chagrin et une société qui voit ton combat d’un très mauvais oeil : tu ne te dis pas que tu devrais passer l’éponge ? Une fois que tu es dans le mouvement, tu ne t’arrêtes pas. D’autant que tu t’attends toujours à ce que ça aille dans le bon sens… En 1995, il nous semblait évident que le cannabis serait dépénalisé avant 2000. On voit le résultat… Mais je n’arrive pas à abandonner. J’y ai songé plusieurs fois sans m’y résoudre.
Au fond, c’est paradoxal : la dépénalisation ne semble plus intéresser grand monde mais la France fume (presque) toujours autant.
On compte en France 1,2 millions d’usagers réguliers du cannabis, dont 600 000 en font un usage quotidien. Tous ces gens continuent à fumer, quelque soit le niveau de répression. C’est d’ailleurs ce que prouve une récente étude de L’Organisation mondiale de la Santé, qui montre que les pays les plus répressifs sur la question sont aussi ceux qui comptent le plus grand nombre d’usagers dedrogues [4].
C’est tellement ridicule de mettre des gens en prison parce qu’ils fument… Juste un chiffre, d’ailleurs : il y avait 900 interpellations liées au cannabis en 1970, on en compte déjà pas loin de 80 000 pour le seul premier trimestre de 2008. C’est clair, dépénaliser permettrait de régler le problème de surpopulation dans les prisons…
Le dernier rapport de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les toxicomanies
pointe le développement de l’auto-production. A juste titre ?
C’est sûr que l’auto-production est à la hausse, qu’elle soit destinée à la vente ou à une consommation privée [5]. Selon l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies, 200 000 Français cultivent leur propre herbe. Ce qui représente une production annuelle de 32 tonnes : un joint sur neuf fumé en France est issu d’une culture locale ! Arrêtons de nous voiler la face, dans certaines régions, la culture du cannabis contribue à l’essor économique… Je préfère acheter de la « beuh bio » à un petit paysan plutôt que dans une cité. Non seulement, je n’enrichis pas le crime organisé, mais paradoxalement je préserve ma santé : comme chacun sait, l’herbe coupée aux microbilles de verre est particulièrement nocive [6]
La dépénalisation, tu y crois encore ?
Je ne sais plus… Je pensais que ça changerait à cause du côté absurde et grand-guignolesque d’une prohibition qui ne fait
qu’aggraver le problème. Il me semblait que tout personne censée ne pouvait, à terme, qu’en convenir et se ranger à la raison. Aujourd’hui, on en est bien loin… Même si… tu sais, si je n’y croyais plus, j’arrêterais.
Ce côté combat un peu perdu d’avance, c’est dur à vivre ? C’est vrai que ça finit plutôt mal pour le cannabis.
Pour moi aussi, d’ailleurs. Je me retrouve Rmiste parce que je n’arrive
pas à vivre de ma passion, du seul truc qui m’intéresse : l’écriture.
Je ne me sens pas intégré, je survis, j’ai appris à vivre avec dix euros par jour.
Tu penses que l’étiquette « dépénalisation » te colle trop à la peau ?
Pas totalement. Il ne faut pas se leurrer, ça m’a fait aussi plaisir de me retrouver sur le devant de la scène, porte-parole de cette cause. J’ai eu mon quart d’heure de gloire… Mais c’est vrai
qu’aujourd’hui, c’est moins rigolo : je me retrouve seul et j’ai un peu peur de ne pas être soutenu si les flics décident de me tomber dessus.
Pour ceux qui voudraient soutenir Jean-Pierre Galland et le combat du Circ, rendez-vous sur le net, ICI ou LA .
Sites disparus maintenant …….
[1] [ Il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages sur le sujet : Fumée Clandestine, tome I et II, et Cannabis : nouvelles du front aux éditions du Lézard et J’attends une récolte aux éditions Trouble Fête.
[2] Cette loi du 31 décembre 1970, « relative aux mesures sanitaires de lutte contre la toxicomanie et à la répression du trafic et de l’usage des stupéfiants »,
se montre d’une grande sévérité envers l’usager de drogue. De plus,
l’article L 34 21 – 4 du Code de la santé publique, article issu de la
loi de 1970, punit d’amende et d’emprisonnement toute « présentation sous un jour favorable de stupéfiant », empêchant tout débat public sur les drogues.
[3] Aujourd’hui encore, ils permettent au Circ de se faire entendre. Une
fois tous les quinze jours, le dimanche, Radio Libertaire accueille Y a d’la fumée dans le poste, une (bonne) émission réalisée par un membre du Circ : ça se passe de 18 h 30 à 20 h 30 sur 89.4 ou en streaming sur le net.
[4] « Les pays dotés d’une législation sévère à l’encontre des consommateurs n’enregistrent pas des taux de consommation inférieures à ceux des pays bénéficiant d’une législation plus libérale (…) Il semble donc évident qu’une politique répressive quant à la possession et la conso mation de drogues n’intervient que partiellement sur les taux de consommation de substances illégales à l’échelle des pays », écrit ainsi l’OMS. Le journaliste Arnaud Aubron revient sur cette étude dans un billet posté sur Rue89. Et écrit notamment : « Il apparaît ainsi (…) que les Etats-Unis sont, et de loin, les principaux consommateurs de cocaïne et de cannabis au monde, alors qu’ils mènent
également l’une des politiques les plus répressives. »
[5] [Un sujet que Jean-Pierre Galland abordait récemment sur Rue 89, prenant la plume pour rappeler que les cannabiculteurs « sont des gens comme vous et moi qui ne présentent aucun danger pour la société et ne méritent pas qu’on les traque comme de vulgaires producteurs de drogue. Leurs revendications ? Qu’on cesse de les prendre pour des imbéciles, que le gouvernement cesse de les infantiliser et que la raison l’emporte enfin sur l’absurdité. » A lire ICI.
[6] [A l’été 2006, une herbe coupée aux microbilles et au verre pilé a fait
son apparition sur le territoire français. L’ajout de ces matières
dangereuses, à l’initiative de dealers souhaitant alourdir la marijuana
vendue et lui donner un aspect plus brillant, a causé au moins deux cas
de pathologies respiratoires sérieuses, tandis que de nombreux usagers
auraient connu des désagréments plus bénins. En matière de drogues
aussi (surtout ?), le capitalisme fait des ravages…
Notes
[1] [ Il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages sur le sujet : Fumée Clandestine, tome I et II, et Cannabis : nouvelles du front aux éditions du Lézard et J’attends une récolte aux éditions Trouble Fête.
[2] Cette loi du 31 décembre 1970, « relative aux mesures sanitaires de lutte contre la toxicomanie et à la répression du trafic et de l’usage des stupéfiants »,
se montre d’une grande sévérité envers l’usager de drogue. De plus,
l’article L 34 21 – 4 du Code de la santé publique, article issu de la
loi de 1970, punit d’amende et d’emprisonnement toute « présentation sous un jour favorable de stupéfiant », empêchant tout débat public sur les drogues.
[3] Aujourd’hui encore, ils permettent au Circ de se faire entendre. Une
fois tous les quinze jours, le dimanche, Radio Libertaire accueille Y a d’la fumée dans le poste, une (bonne) émission réalisée par un membre du Circ : ça se passe de 18 h 30 à 20 h 30 sur 89.4 ou en streaming sur le net.
[4] « Les pays dotés d’une législation sévère à l’encontre des consommateurs n’enregistrent pas des taux de consommation inférieures à ceux des pays bénéficiant d’une législation plus libérale (…) Il semble donc évident qu’une politique répressive quant à la possession et la conso mation de drogues n’intervient que partiellement sur les taux de consommation de substances illégales à l’échelle des pays », écrit ainsi l’OMS. Le journaliste Arnaud Aubron revient sur cette étude dans un billet posté sur Rue89. Et écrit notamment : « Il apparaît ainsi (…) que les Etats-Unis sont, et de loin, les principaux consommateurs de cocaïne et de cannabis au monde, alors qu’ils mènent
également l’une des politiques les plus répressives. »
[5] [Un sujet que Jean-Pierre Galland abordait récemment sur Rue 89, prenant la plume pour rappeler que les cannabiculteurs « sont des gens comme vous et moi qui ne présentent aucun danger pour la société et ne méritent pas qu’on les traque comme de vulgaires producteurs de drogue. Leurs revendications ? Qu’on cesse de les prendre pour des imbéciles, que le gouvernement cesse de les infantiliser et que la raison l’emporte enfin sur l’absurdité. » A lire ICI.
[6] [A l’été 2006, une herbe coupée aux microbilles et au verre pilé a fait
son apparition sur le territoire français. L’ajout de ces matières
dangereuses, à l’initiative de dealers souhaitant alourdir la marijuana
vendue et lui donner un aspect plus brillant, a causé au moins deux cas
de pathologies respiratoires sérieuses, tandis que de nombreux usagers
auraient connu des désagréments plus bénins. En matière de drogues
aussi (surtout ?), le capitalisme fait des ravages…
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