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10/04/2021

le nouveau racisme : le racisme social des "diplômés" comme ils disent .....

 avec mes commentaires en plus

David Van Reybrouck est un écrivain et historien flamand.

Pour l'historien flamand David Van Reybrouck, le populisme d’aujourd’hui se nourrit du fossé culturel grandissant entre une élite de diplômés (de l’université ! Alors comme ça le bac n’est pas un diplôme !! le brevet n’est pas un diplôme !!! le CAP n’est pas un diplôme !!!? lesBTS ne sont pas des diplômes ? Charmant !!!! à quoi ça sert d’aller à l’école ?, quel infect RACISME d’une CASTE de bourgeois friqués, alors comme ça en-dessous de la maîtrise t’est qu’un sous-homme?) et les classes populaires et moyennes. Plutôt que d’ignorer le phénomène, il prône un populisme de meilleure qualité.

Pourquoi les personnes hautement éduquées s’interdisent-elles des plaisanteries sur les allochtones mais prennent-elles en revanche un vif plaisir à se moquer des provinciaux obèses en bermuda qui se promènent sur la digue de Blankenberge, tatouage sur l’épaule et cornet de frites à la main? (très bonne question ! Et qui d’ailleurs confirme ce que je dis : le racisme « ethnique » est toujours en réalité et en dernière analyse un racisme SOCIAL, un racisme anti-pauvre,) C’est la question que pose l’écrivain et historien flamand David Van Reybrouck dans un essai sur le populisme, paru initialement en 2008, plusieurs fois primé depuis et dont la traduction en français* est à présent disponible. Il était temps, car cet essai prophétique n’a rien perdu de son actualité.

Il ne faut pas moins de populisme mais un populisme de meilleure qualité. (quid?)

David Van Reybrouck

Historien (un « diplômé » ? combien par mois? Des chiffres !)

Plutôt que d’assimiler le populisme à une maladie, David Van Reybrouck invite à le dédiaboliser, à le prendre au sérieux, avec empathie (comme c’est méprisant et paternaliste ! On dirait les dames patronesses de Jacques Brel !) afin de mieux le canaliser (bref, on le considère comme un enemie, c’est pareil que l’attitude des bourgeois réformistes, qui au début du siècle admis un peu de mesures sociales-démocrates pour mieux canaliser le mécontentement de leurs exploités!) . Dénigrer ou nier le phénomène ne fera que le renforcer, prévenait-il déjà en 2008. On a vu ce que cela a donné depuis… (exact !)

Fracture sociale

Il explique comment notre société est traversée par une nouvelle fracture sociale, non plus entre catholiques et libres-penseurs (débat typiquement flamand cf « l’écrivain de « Le chagrin des belges ») ou entre socialistes et libéraux, mais entre les diplômés (du supérieur, même remarque) et les peu scolarisés (les peu diplômés. , ceux qui font concrètement le boulôt, créent les biens et services, dont les riches empochent les profits ou spéculent avec, mais sont très peu payés pour ça, ou en fait sont réduit au titytainment et à l’euthanasie, le travail étant fait par les esclaves du tiers-Monde « mondialisé ») Entre les deux, il y a un "fossé culturel". Il observe qu’au Parlement siègent 93% d’universitaires alors qu’ils ne sont que 8% parmi la population. (ce qui montre un argument de plus la justesse du discours d’Etienne Chouard, et la pertinence démocratique du tirage au sort) Étrange pour une démocratie qui se dit "représentative". (je ne te le fais pas dire!!)

La « gauche » se préoccupe d’un nouveau groupe de nécessiteux, plus délaissés encore: les migrants. (à conditions qu’ils soient bien obéissants, et se laissent aliéner ! pas comme Farida Belghoul !!) Ce tournant a scellé pour de bon le divorce entre l’élite et le prolétariat autochtone.

Il dénonce l’élite cosmopolite qui impose ses choix culturels (et rentables …) et « éthiques » (en fait passablement hypocrites) à la classe inférieure et qui considère avec dédain le peuple qui se nourrit d’émissions de divertissement à la télé (qu’eux-même produisent exprès ! Et dont ils ramassent de plantureux profits! Quel cynisme !). Bien sûr, il y a toujours eu des gens moins instruits. Mais aujourd’hui, le cadre sociétal a profondément changé. Avec la disparition des fameux "piliers" sociologiques qui structuraient autrefois la société, l’ascenseur social se retrouve désormais en panne, ce qui ne fait que renforcer le sentiment d’exclusion au sein d’une partie de la population.

Au temps de la pilarisation, (ça veut dire quoi??) les très scolarisés et les peu scolarisés dialoguaient entre eux. Aujourd’hui, la société d’en haut et celle d’en bas ne se fréquentent plus. Van Reybrouck prend le critère de l’internuptialité comme baromètre de la mixité sociale. "Il y a un demi-siècle, il était inconcevable qu’un catholique épouse une socialiste (et vice-versa), mais qu’un médecin épouse une infirmière était un phénomène très courant. (mais pas l’inverse …..) Aujourd’hui, le niveau de formation est devenu le critère le plus important."

Les errements de la « gauche » (qui ont fait qu’on ne peut plus la qualifier de gauche !!!! Mais de Nouvelle Droite!)

Au passage, il règle son compte à la « gauche » classique qui "a laissé tomber l’ouvrier autochtone" (et qui donc n’est plus de gauche mais est devenu une droite réactionnaire, car ses intérêts de classe sont devenus capitalistes, il suffit d’un minimum d’analyse marxiste pour comprendre ça). "La gauche se préoccupe d’un nouveau groupe de nécessiteux, plus délaissés encore: les migrants (qui leur fournit une main d'oeuvre pas chère, et permet de faire pression à la baisse des salaires et à la précarisation, le fameux NAIRU ! vous connaissez ?). Ce tournant a scellé pour de bon le divorce entre l’élite et le prolétariat autochtone."

Dénigrer ou nier le phénomène ne fera que le renforcer. (tu l’as déjà dit plus haut)

Pour Van Reybrouck, "il ne faut pas moins de populisme mais un populisme de meilleure qualité" (quid ? Des « bons pauvres » comme du temps des dames patronesses?).

Ce qui présuppose une meilleure représentation des classes populaires au Parlement. (euh plus simplement il suffit de raisonner comme les marxistes ! Ou alors simplement en terme de démocratie, qui impose on le voit bien le tirage au sort, et que trahit totalement on le voit bien le système actuel)

Ce qui implique aussi de savoir "distinguer les griefs légitimes des propositions politiques fumeuses de certains". (tiens tiens ! ça veut dire quoi ? Expliquez ce que vous entendez ar là ! On aimerait bien savoir!)

Il préconise par ailleurs "un populisme

(et d'abords qu'est qu'il entend par "populisme" on aimerait bien savoir !) il serait plus utile de DEMASQUER cette terminologie, qui n'a pour but que de manipuler l'opinion, et de diaboliser le peuple !!! et créer un racisme anti-peuple, anti-pauvres ! tant qu'on n'a pas dénoncé ça on reste dans son ghetto de bourgeois et de "dames patronnesses"  et on reste manipulés par les patrons, les financiers les bourges et les racistes social !)

qui trouve un cosmopolitisme déraciné tout aussi problématique que le nationalisme borné, qui considère le phénomène migratoire non seulement du point de vue des no*"Plaidoyer pour un populisme", David Van Reybrouck, éditions Samsa, 98 pages, 16 eurosuveaux-venus mais aussi de celui des déjà-établis". (ce qui serait plus utile ça serait de voir QUI profite du phénomène migratoire ! .... un peu d'analyse marxiste aiderait !)

 

En fait le racisme, nous dirons "ethnique", est en dernière analyse toujours un racisme SOCIAL, un racisme de classe, un racisme anti-pauvres.  Réfléchissez ! analysez tous les cas connus vous finirez par y conclure à chaque fois !

Exemple  est-ce que les Emirs fortunés qui arivent avec leurs 4 femmes, sous hidjab, dnaanles hotels 4 étoiles se font traiter de "bougnoules" ? non ! On reproche ses 4 femmes (non voilées) au petit boucher algérien immigré !

La bourgeoisie français, jusqu'à il n"y a pas longtemps très raciste, - du temps où lesalériens venaient touer nos chaussées au marteu-piqueur, où lesnoirs étaient ds "ndigènes  des colonies "tout nus"  - depuis peu se pique d'anti-racisme, histoire de stigmatiser le vil peuple français, "populiste" donc "mauvais" par définition ("cette canaille qui n'est point faite pour penser" disait voltaire), pourquoi , ben dans leurs tours en acier et verre blindé dans leurs bureaux ou  leurs récéptions chics entre deux petits fours ils ont maintenant l'habitude de fréquenter des hommes d'affaires noirs, costume-cravate chics, des universitaires "beurs", des Directrices ds Ressources Humaines femmes, despoliticiens "pédés" et fiers de l'être. Tus ça "ce sont des gens comme nous" - pardi ! Par contre cet anti-racisme ne prendpas encomptelesroms ! là on ale droit dde continuer de dire du mal d'eux, et de titrer "Le problème rom" comme en 1930 on titrait "Le problème juif" sans se faire stigmatiser, pas de problème !

Dans l'es Etats-Unis, un noir c'était automatiquement un esclave, donc les serfs, tout en bas de la société !

Par contre quand les portugais au XVIè siècle sont arrivé au royaume de Kongo, ils se sont dépêché d'ordonner prêtre et même évèques des rinces de la cour du roi de Kongo ! 

Ce thème mériterait des exemples plus nombreux et des analyses plus détaillées, mais ici je n'ai pas la  place !

Mas comme j'ai dit c'est pas compliqué, prenez chaque exemple de racisme ou d'absence de  racisme et vous arriverez tojours à cette conclusion. Même quand ça ne saute pas aux yeux, il  suffit de gratter un peu et ça se découvre !

 

05/04/2021

tout ce qui est naturel et fait la vie

Autrefois la seule occasion qu’on avait de trouver des nougats c’était dans les fêtes foraines, maintenant on les achète dans des magasins ou dans les catalogues, maintenant les bourgeois merdeux et racistes (racisme anti-peuple) des centre-villes ont fait disparaitre les fêtes foraines, elles ont disparues, de même que tout ce qui était naturel et faisait la vie, maintenant tout est interdit, interdit de bruler les feuilles mortes, interdit de courir sur les trottoirs, interdit d’adresser la parole aux gens, interdit de faire ses courses en ville, interdit d’aller dans les églises.

01/04/2021

pour le 1er avril

ce serait amer aujourd'hui que de rappeler les paroles qu'avait tenues - vraiment ! c'est pas un canular - Simone Veil quand elle avait en 1972 passé les premières mesures de restriction  envers les fumeurs : elle avait tenu à rassurer les GENS, les êtres vivants, en disant que il ne serai "bien entendu" JAMAIS question d'interdire de fumer dans les restaurants ou les cafés .....

Quand on voit ce qui s'est passé ensuite, ça suscite bien des réflexions ....

Et maintenant le gouvernement est en train de faire DISPARAÎTRE purement et simplement le peu de restaurants et de cafés (trois fois moins nombreux en 2019 qu'en 1972, j'ai bien compté les cafés qui existaient quand  je suis arrivé dans la ville où j'habite et ce qui en reste, restait, en 2019 dernière année de vie de la France) qui avaient survécu à l'interdiction d'y fumer. d'y parler aussi bientôt ? et d'y manger, non ?)

ce mois de mars 2021 un certain Michel Lafosse écrit :

"Le 21 avril 2020, j’ai écrit un article ayant pour titre : C’est la guerre contre le Coronavirus ou contre les peuples ?

Aujourd’hui, avec le recul de 11 mois sur la base des mesures d’ordre sociétales iniques et mortifères, si je devais le réécrire il n’y aurait évidemment plus le « point d’interrogation ».

Pourquoi dis-je “évidemment” ?

Parce que, sauf pour les inconditionnels de Macron, l’objectif de nos dirigeants est bien de mater le peuple et de le réduire au statut d’esclave au nom de la menace hypocrite d’un prétendu virus diabolisé.

(remarquez, ce ne serait que la continuation de l'histoire de l'attitude des classes exploiteuses envers le peuple, je rappelle qu'il y a eu d'abords le stade de l'esclavage, chaines et colliers de fer, puis le servage, puis, du temps de Marx, le prolétariat (et relisez dans les documents de l'époque quel était leur sort, et leur asservissement), et bien ça continue ! maintenant voilà l'esclavage moderne, à coup de passeport "sanitaire", de téléphones portables, et "smart-dust dans les vaccins, de caméras de vidéo-surveillance, de "Crédit Social" comme en Chine Continentale, finalement la période entre - justement ! - les effets libérateurs de la lutte populaire inspirée par Marx, et la crise actuelle - pas sanitaire, mais bien politique ! - disons 1889 et 2019 (en fait cette évolution perverse a commencé en 1983, très précisément ! ma note)

Mais, dans cette guerre, en fait contre notre peuple et ses acquis sociaux, « Jupiter » et ses « sachants », habitués à fréquenter des gens soumis a oublié que les Français « non-sachants » (pas "diplômés du Supérieur" !) ne constituent pas pour autant un peuple de crétins incapables et sans savoir-vivre (contrairement à ce qu'on l'air de croire nos journaputes).

D’abord, nous avons vu une fronde d’une dizaine de médecins courageux se rebeller contre des mesures sanitaires stupides et qui ont osé braver une institution anachronique et redoutable : l’Ordre des Médecins.

Puis, nous avons vu 30 000 médecins (presque le tiers des médecins français) s’organiser en association : “le collectif Covid-19” pour s’opposer aux mesures sanitaires et revendiquer le libre exercice de leur métier de médecin.

Enfin, 6 associations viennent d’élaborer le communiqué de presse ci-dessous qui montre que de plus en plus de monde est conscient de l’imposture des mesures sanitaires et de la dangerosité du prétendu vaccin Covid-19.

À ce communiqué de presse, j’ajoute un point qui me paraît très important et qui n’a pas été soulevé :

Dans cette situation de guerre…

« Tous les vaccinés(es) victimes d’effets secondaires dus aux vaccins ne pourront se retourner contre personne !

– Ni contre les fabricants de vaccins qui ont pris les dispositions juridiques pour dégager leur responsabilité ;

– Ni contre l’État dans la mesure où la vaccination Covid-19 n’aura pas été rendue obligatoire… Les pressions pour se faire vacciner auront été offensantes, agressives même, mais ne confondons pas contraintes et obligations…

C’est pervers et vicieux, je vous l’accorde (surtout pour les associations qui combattent les obligations vaccinales depuis plusieurs décades), mais c’est bien dans l’esprit des individus malades qui nous gouvernent avec un mépris bien connu du peuple, dont les Gilets jaunes ont fait douloureusement les frais pendant une année.

Dans un prochain article, qui sera la suite logique de mon article cité, je m’efforcerai de montrer ce qui a pu conduire Claude Bernard à opposer à Pasteur (et donc à la médecine postérieure  à Pasteur), sa réflexion bien connue :   ” Le microbe n’est rien, le terrain est tout “.

Michel Lafosse

 

Communiqué de presse du 31 janvier 2021

Manifeste Stop à la Vaccination Covid-19  et aux Discriminations contre les personnes non vaccinées

« L’Assemblée demande donc instamment aux États membres et à l’Union européenne :
(…) pour ce qui est d’assurer un niveau élevé d’acceptation des vaccins :
(…) de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ; »
Extraits de la Résolution 2361 adoptée le 27 janvier 2021
par le Conseil de l’Europe à Strasbourg

Les faits : Ce n’est pas de la solidarité, c’est une illusion.

Les “vaccins” actuels contre la Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Ce sont des OGM, matériel génétique injectable.
Ce sont de nouvelles technologies expérimentales qui introduisent par injection du matériel génétique dans les cellules humaines. En France, 5 000 citoyens et médecins ont déposé plainte aux USA contre l’usage des vaccins Pfizer et Moderna.

Le “vaccin” Covid-19 à ARN messager (ARNm) injectable est une forme de piratage génétique.
C’est une procédure qui consiste à injecter du matériel génétique étranger à l’intérieur de nos cellules pour leur donner de nouvelles instructions. M. Stephen Hoge, président de Moderna, compare même cette technologie à l’installation d’un nouveau « logiciel ».

Les “vaccins” Covid-19 injectables ont été exemptés de tout type d’évaluation des risques liés aux OGM.
Le 15 juillet 2020, l’UE a voté une dérogation spéciale pour accélérer la production de vaccins contre la Covid-19. Ces vaccins génétiques ne seront pas évalués quant à leur impact sur notre génome ou sur l’environnement. Les fabricants ont reçu un blanc-seing. EFVV, la LNPLV et quatre autres associations ont déposé un recours en annulation de cette décision devant la Cour européenne de justice à Luxembourg.

Les “vaccins” Covid-19 n’ont pas apporté la preuve démontrant leur efficacité pour la non-transmission du virus.
Lors d’une conférence de presse (à la 18e min) début janvier 2021 sur le déploiement des vaccins en Europe, l’EMA a confirmé qu’il n’existe actuellement aucune donnée à cet égard. L’EMA « espère » que ces injections fonctionneront, mais elle NE SAIT PAS.
Ces propos ont été maintenus lors d’une autre conférence de presse à l’OMS le 28 janvier.

Les “vaccins” Covid-19 pourraient ralentir la transmission OU accélérer la propagation de la maladie.
En fait, après une campagne massive, nous assistons à une explosion des cas dans les pays comme le Royaume-Uni, Israël et l’Afrique du Sud. Raison suffisante pour demander l’arrêt de ces campagnes et analyser les données avant de continuer.

Accepter le “vaccin” Covid-19 n’est pas un acte de solidarité.
L’effet sur la communauté n’a pas été évalué. En acceptant la vaccination, vous participez implicitement à une expérience mondiale, et ces essais cliniques sur les vaccins contre la Covid-19 se poursuivront jusqu’en 2022.

Certains “vaccins” Covid-19 présentent des taux d’effets secondaires très élevés.
22 effets secondaires graves ont été répertoriés, dont le choc anaphylactique, la paralysie faciale, les dommages neurologiques permanents, les réactions auto-immunes et l’arrêt cardiaque. En Californie, en Norvège, à Gibraltar, et en France.

De nombreux médecins refusent de prendre ou d’administrer ces « vaccins » contre la Covid-19.
Des médecins ont déposé une requête officielle à l’EMA pour mettre fin à l’essai clinique (et à la campagne de vaccination) des vaccins contre la Covid-19. Des médecins du monde entier expriment leurs préoccupations au sujet de l’innocuité de ce vaccin. En Californie, aux États-Unis, en Europe et au Royaume-Uni.

Les produits injectables liés à la Covid-19 pourraient avoir un impact sur la fertilité.
La protéine spike induite est similaire à une substance appelée syncytine qui est présente dans le placenta. Cela pourrait avoir de multiples répercussions chez la femme enceinte et son bébé.

Les « vaccins » Covid-19 présentent des risques mortels.
Il s’agit de l’aggravation dépendante d’anticorps ou la facilitation immunitaire et de l’amorçage pathogène. Cela se produit lorsqu’une personne vaccinée rencontre le virus naturel et a une réaction excessive menant à une insuffisance organique et à la mort.

Le nombre de personnes décédées après avoir reçu les “vaccins” contre la Covid-19 est alarmant.
En fait, plusieurs pays hésitent à le recommander aux personnes âgées, ou même envisagent déjà de cesser l’utilisation de ces vaccins. En cas d’accident suite à la vaccination, il est probable que personne n’obtiendra d’indemnisation. Les fabricants ont conclu des contrats spéciaux les exonérant de responsabilité en cas d’accident vaccinal.

SUR LES PRINCIPES : CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ, PRESSION, OBLIGATION

La campagne de vaccination contre la Covid-19 viole le Code de Nuremberg.
Signé en 1947, après l’horreur des expériences nazies, ce code a « identifié le consentement éclairé comme une condition préalable absolue à la conduite de recherches impliquant des sujets humains ».

La campagne de vaccination contre la Covid-19 viole la Convention d’Oviedo
« pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain en ce qui concerne la biologie et la médecine ».

La pression coercitive pour inciter à la vaccination contre la Covid-19 violerait les droits constitutionnels.
Dans la plupart des pays, dont en France, la loi Kouchner de 2002 stipule qu’aucune intervention ou aucun traitement médical ne peut être effectué sans le consentement libre et éclairé de la personne, lequel consentement peut être retiré à tout moment. [Se reporter à la législation en vigueur dans chaque pays].

La pression coercitive pour inciter à la vaccination contre la Covid-19 violerait la Charte européenne des Droits de l’Homme.
Le 27 janvier 2021, le Conseil de l’Europe, qui conseille la Cour européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg, a demandé instamment aux États-membres et à l’Union européenne : « (…) de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement  ».

Nos dirigeants semblent perdus et désorientés.
Les “pouvoirs” en place sont mal informés, ils nous servent un discours incohérent et en permanente contradiction avec la réalité épidémique.

Nous, signataires, ne vivons pas dans la peur, la culpabilité et le mépris des voies alternatives et des professionnels qui les prônent.

Les accusations de « criminels », « irresponsables », « égoïstes », « obscurantistes » « complotistes » formulées à notre encontre par les médias institutionnels sont la projection de l’image des auteurs et des responsables de cette opération qui inversent en permanence le sens des mots et manipulent les statistiques.

LOIN D’ÊTRE ÉGOÏSTE,
LA LIBERTÉ QUE NOUS REVENDIQUONS
EST UNE ATTITUDE LUCIDE ET RESPONSABLE.

European Forum for Vaccine Vigilance
http://www.efvv.eu

Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations.
http://Infovaccin.fr

Terra-SOS-Tenible
http://www.tierrasostenible.es

Coordination Nationale Médicale Santé Environnement.
http://www.cnmse.fr

AIMSIB Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante
https://www.aimsib.org

faites passer l'info ! à diffuser un max !

31/03/2021

cloches sonnant

Dimanche matin : Tiens on entend des cloches ! Il y a quelque part un tas de brique fermé à double-tour qui cherche à se faire passer pour une église.

26/03/2021

contrairement à ce que croient les racistes, les identitaires affolés et tout ça - et avec encore une vidéo en plus découvrez la chaîne maquis cévénol !

l'assimilation ça se fait ! sI  si !  y compris avec les gens d'origine "arabe"


(le lien : https://www.youtube.com/watch?v=w1ZNKEu_nFc ) autre lien libre, où on peut télécharger https://ru-clip.net/video/w1ZNKEu_nFc/gj-musulman-attenta...

Tous ensembles avec les gilets jaunes pour chassez la mafia exploiteuse au pouvoir et pour rendre sa démocratie et son humanisme à ce pays

Et d'ailleurs relisez les vieux journaux, livres d'histoire, études sociologique anciennes et tout ça : les belges (les belges !) quand à la fin du XIXè siècle ils sont arrivés dans les usines du Nord les journalistes, ont  dit que c'était des "barbares inassimilables", en 1900 on reprochait aux italiens de Marseille de refuser l'assimilation, de vivre entre-eux, d'être des terroristes (eh oui ! on venait d'assassiner plusieurs rois, impératrice, président de la république et même lancer une bombe dans la chambre des Députés, et à chaque fois c'était un anarchiste italien !), en 1930 on reprochaient aux polonais de se pas s'assimiler, ils venaient avec leurs curés, car ils étaient "trop religieux", et les polonaises ne sortaient pas de leurs corons et ne savaient même pas parler français,  on a reproché ça aussi, très officiellement - étude d'une équipe de sociologues ! - aux arméniens, etc, etc (on a reproché ça aux juifs aussi quand ils sont arrivés de Russie au début du siècle).

EN fait la plupart des gens d'origine musulmane etc, la plupart se considèrent comme français et  fiers d'être français, et raisonnent en français (de même  que les polonais qu'on traitait de ""polaks ou les arméniens du groupe Manouchian...). Et avec la tradition frondeuse des français, https://ru-clip.net/video/Wfa6VXuEBSQ/%F0%9F%9A%A8le-plan...

et sous une des dernières vidéos de Florian Philippot, un commentaire dit :

E Kml Il y a 34 minutes

Mr Philippot, je suis français d’origine marocaine, sachez que je vous écoute depuis pas mal de temps et que nous français avons absolument besoin de vous! J’aime mon pays, j’aime ma patrie et notre France doit être dirigé par une personne comme vous qui n’est pas nationaliste mais qui protège l’âme de notre France. Svp ne lâchez rien face à tout ces corrompus. Je vous soutiens et encourage mon entourage à en faire autant. Vive la France

il faut faire de la pub pour la chaîne de Florian et dans votre entourage : https://ru-clip.net/video/cpw-QxnCITw/esclavage-pour-dett...

17/03/2021

l'analyse du philosophe Michel Weber ou le fascisme 2.0 - depuis 2013 il savait que ça allait arriver


son récent livre : https://www.t-pas-net.com/libr-critique/chronique-michel-...

en 2013 il avait déjà annoncé ce qui se passe en ce moment :

Michel WEBER

Tocqueville (1835) a indiqué que la démocratie de marché pouvait facilement donner naissance à un totalitarisme mou. Depuis Mumford (1932), on sait que la technoscience donnera volontiers un peu de rigueur au tropisme fasciste. Où en sommes-nous ?

La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.

De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité.

Il est donc fort piquant de remarquer que le grand public est parfaitement ignorant de ce retour de l’extrême-droite. Il pressent certes l’imminence de l’effondrement sociétal mais il n’a absolument pas conscience de la nature exacte du danger. La réouverture de camps de concentration ou même la généralisation des conflits régionaux semble passer inaperçue. De même, le sens et la portée de l’existence d’apologies hollywoodiennes (au propre comme au figuré) de la torture demeurent entièrement mystérieux. Cette double tension est paralysante et anxiogène, ce qui fait le jeu de l’oligarchie : quoi de plus manipulable en effet que des individus dans un état de coma moral et politique ?

Pire, les acteurs sociaux les plus remuants, les militants et les universitaires pensent l’effondrement de la civilisation globalisée à partir de leur expertise et sont dès lors conduits systématiquement à manipuler des statistiques, parfois très convaincantes, mais qui comprennent la transformation sociétale annoncée sur le mode de la lente désagrégation d’un pan de la société. Le long terme est ainsi mis en perspective à partir d’une facette supposée cruciale.

Or, ce qui s’annonce c’est un effondrement total et abrupt des « démocraties de marché » à la faveur de l’emballement d’une de ces crises qui constitue, en synergie, la crise globale systémique. Peu importe la nature de l’événement déclencheur — une pénurie de dix jours de l’approvisionnement de pétrole, des émeutes de la faim dans des quartiers (ou des pays) « défavorisés », des macro-mouvements de population forçant les portes de la citadelle Europe, un accident industriel majeur, une nouvelle bulle financière, une vraie-fausse pandémie, une guerre inter-régionale ou même mondiale, … — la conséquence politique sera inévitable et immédiate : l’état d’urgence, c’est-à-dire le totalitarisme, ou le chaos absolu, c’est-à-dire la guerre de tous contre tous. Une guerre civile serait comparativement plus structurante.

L’enseignant-chercheur qui n’a pas oublié la leçon de citoyenneté magistrale que nous a laissé Victor Klemperer (LTI, 1947) se doit en conséquence de mettre en évidence deux dynamiques : premièrement, il faut montrer que la réponse à la crise globale systémique est bien d’ores et déjà politique et que, si aucune force ne vient entraver l’inexorable progression du capitalisme du désastre, il ne nous restera bientôt plus qu’à émettre des regrets carcéraux ou post-mortem. Deuxièmement, il faut discerner les pistes théoriques et pratiques qui sont susceptibles d’infléchir cette trajectoire dès aujourd’hui.

Michel Weber

Une première version de ce billet a été publiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=53721
Dernier ouvrage paru : De quelle révolution avons-nous besoin ?, Paris, Éditions Sang de la Terre, 2013. (978-2-86985-297-6)

Et n'oublions pas MICHAEL PARAIRE, lisez son article Covid 19 et Fascisme 2.0 dans son blog " un quart d'heure avec le penseur " http://leblogdupenseur.canalblog.com/archives/2020/05/02/...

Dans un Etat fasciste et totalitaire on connait déjà à l'avance quels seront  les résultats  : (!)

https://ruclip.com/video/sV7MRHL_OzI/covid-l%E2%80%99incr...

Enfance et Libertés, l'association : https://enfance-libertes.fr/

La culture , le sport , les loisirs , la créativité, la joie et la confiance ont fait place au repli sur soi , à la méfiance , au rabougrissement, au mépris envers les autres .
La vie que le grand capital et son gouvernement nous laissait n’était pas terrible , mais mon Dieu nous parvenions à peu près à l’embellir .
Aujourd’hui c’est devenu de la merde et ils nous interdisent d’en sortir .
Cela va se finir en révolte armée et ils joueront les étonnés . Si on pouvait les pendre comme au tribunal de Nüremberg !

"Covid 19 le grand Reset" de Claus Schwab est leur Mein Kampf

autre philosophe : https://odysee.com/@Dieudonn%C3%A9officiel:f/episode-161:0



15/03/2021

Clouscard et l'évolution de la société contemporaine

Michel Clouscard (1928-2009) sociologue et philosophe français, proche du parti communiste. Professeur de sociologie à l’Université de Poitiers, marxiste, auteur de nombreux ouvrages, il a fait une critique radicale du libéralisme en prenant en compte les changements de processus de production d’abord, l’évolution de l’objet même de la production ensuite.
Second volet d’un triptyque comprenant par ailleurs Le Capitalisme de la séduction et Critique du libéralisme libertaire, Michel Clouscard se propose ici d’« étudier par quelle stratégie le capitalisme a produit la société civile, ce que Hegel appelait  la Bête Sauvage : une société qui n’est plus qu’un marché ». (Contrôlé et normalisé par toute une flicaille, et à l’avenir une nuée de dispositifs électroniques et de caméras à reconnaisance faciale automatisées).
Sous de Gaulle, le capitalisme d’État permet à la France de développer son infrastructure, et une politique de distribution des profits donne aux ménages la possibilité de s’équiper, créant « l’environnement qui permet aux vertus ménagères de se déchaîner, à l’enfant de bien travailler dans son coin, au père de se reposer ». Ceci fait, le capitalisme a besoin d’un nouveau marché. Le temps libéré par la mécanisation et par l’équipement des ménages deviendra sa cible : ce sera le tournant de la société des loisirs servie par l’idéologie du désir. Mais il faut pour cela passer du sérieux incarné par de Gaulle, au frivole : ce sera le rôle de Mai 68 qui mettra au pouvoir Pompidou le libéral

(le paradoxe vroudra que celui aui fera lanalyse la plus marxiste de MAI 68 sera un gars étiquetté "extrème-droite", l'aristocrate catholique Philippe de Villiers ! lisez ce qu'il a appris là-dessus tout y est et c'est on ne peut plus marxiste !)

(Pompidou l'homme de la Loi de 1973, celui que dès 1965 Gabriel Matzneff avait déjà identifié comme « le croque-mort idéal aux yeux de ceux qui veulent enterrer le gaullisme avec le Général » (article dans Combat du 26/8/65)

et les idées de Cohn-Bendit, le libertaire. Dès lors, l’appareil d’État n’est plus l’émanation de l’État – qui de répressif devient « permissif » (en apparence bien sûr, car de plus en plus normalisateur, et culpabilisateur au nom de la nouvelle religion, qui remplace l’ancienne, définitivement morte, la religion de l’hygiéno-sécuritarisme)

– mais du grand capital. La liquidation des valeurs traditionnelles devient nécessaire ; le gauchisme sera « l’instrument privilégié de cette opération : toute morale sera dite réactionnaire, (Mais ce programme en apparence libérateur prépare en fait une société bien plus coercitive et bien plus aliénante, totalitaire en fait, ceux qui on tpasé à la moulinette des nouvelles méthodes de gestion des "ressources humaines" en savent quelque-chose... ou l'école qui dresse les enfants sous le muffles des caméras de vidéo-surveillance à se conduire selon les normes de plus en plus totalitaires rebaptisées avec perversité du doux nom de "citoyenneté" !) ce qui permet de ridiculiser la résistance populaire, du travailleur chef de famille » au nom des "diplômés de l'université", méprisants souverainement cette race inférieure que sont les pauvres, le peuple (= " populiste " !). qui ne l'est pas et qui donc, on revient à voltaire, redevient une "canaille qui n'est point faite pour penser" !

ce qui permet de ridiculiser la résistance populaire, du travailleur chef de famille » au nom des "diplômés de l'université", méprisants souverainement cette race inférieure que sont les pauvres, le peuple (= " populiste " !). qui ne l'est pas et qui donc, on revient à voltaire, redevient une "canaille qui n'est point faite pour penser" !

 

À ce stade, « la société civile tient les deux bouts : le macrosocial et le microsocial, l’État et la famille, l’instance suprême de la morale sociale et la cellule de base de sa diffusion ». C’est l’avènement de la social-démocratie qui, bien plus qu’un courant de pensée ou un parti politique, est « un concept opératoire : la gestion de la nouvelle société voulue par le capitalisme moderne ». (relisez mon article sur les centristes les plus ennemis de la démocratie !)

14/03/2021

constat pessimiste

Texte paru sur le site capitaliste totalitaire (c’est à dire imposant à ses lecteurs l’injection d'immondes et fascistes cookies DANS LEURS ORDINATEURS ) « les moutons enragés » :
Une accalmie trompeuse est en train d’endormir encore un peu plus les Français. Le réveil sera très douloureux. 
Lorsqu’on entend certaines des vedettes qu’il est convenu d’appeler, selon qu’on les condamne ou qu’on les loue, des complotistes, des dissidents ou des lanceurs d’alerte, on est frappé par un discours qui se veut d’un optimisme à toute épreuve.
Que l’on souhaite ne pas décourager ceux qui tentent de lutter contre la dictature, peut se concevoir. Toutefois, il ne faudrait pas perdre le sens des réalités. D’autant que, quand on est en guerre, ce qui est bien le cas, l’une des exigences les plus impératives pour ne pas perdre, est de mesurer correctement le rapport des forces, et donc, entre autres, de ne pas surestimer ses propres atouts. 
Du rêve … 
Or, certains semblent prendre leurs rêves pour des réalités. Aussi a-t-on droit aux sempiternelles banalités du genre : les Français ont compris; de plus en plus de Français comprennent (1); plus personne ne croit ce que radotent le gouvernement et les médias du système; les gens ne sont pas dupes; plus personne ne se laisse avoir etc etc.
… à la réalité
Eh bien, si, mesdames et messieurs, dans leur immense majorité, les populations ont été complètement bernées, et elles ne comprennent strictement rien à ce qui se passe. 
D’ailleurs, si vraiment elles avaient aussi bien réalisé que vous le prétendez, nous n’en serions pas là. 
A Si nous nous trouvons dans une situation aussi catastrophique, c’est bien parce que la plus grande partie du pays gobe absolument toutes les sornettes que la presse mainstream lui débite, à commencer par les plus énormes. 
Quand vous entendez des personnes parler du Covid-19, ne répètent-elles pas, le plus souvent, exactement ce que leur serinent la télévision, les radios et les journaux du pouvoir ? Nous n’aurions d’ailleurs même pas besoin de regarder la télé pour connaître la teneur de sa propagande : nous en percevons assez bien l’écho par le truchement du discours que débitent au quotidien les personnes que nous croisons, et nous devinons ainsi ce que l’oligarchie veut qu’elles croient (2). 
Nous avons pu constater notamment que le quidam n’est pas gêné le moins du monde par ce qui devrait lui apparaître comme des contradictions, des incohérences ou des bizarreries : par exemple, on lui raconte que le vaccin est super efficace, mais qu’il faudra se le faire injecter tous les six mois tout en continuant à porter le masque, à respecter la distanciation sociale, à garder les commerces fermés ? Eh bien, oui, puisque la télé clame que c’est normal, il n’y a rien là qui perturbe le moins du monde ceux qui, d’après nos lanceurs d’alerte, ont soi-disant tout compris (3).Une accalmie trompeuse est en train d’endormir encore un peu plus les Français. Le réveil sera très douloureux. 
B Si tant de gens avaient saisi ce qui se passe, il y aurait peut-être davantage de monde pour refuser de baisser la tête et de ramper (4). 
Et il y aurait peut-être moins de peureux pour porter la muselière y compris quand ils ne risquent pas d’amende. Car c’est l’une des choses qui nous frappent : des individus qui ne dévissent pas leur masque même quand, se trouvant en un lieu désert, ils pourraient l’enlever (5). 
Ce serait bien la preuve qu’ils sont persuadés de devoir se protéger pour ne pas attraper le Covid-19, ou qu’ils poussent la soumission aussi loin que celui qui s’enfermerait lui-même, de son propre gré, dans sa geôle (6). Comme les bons allemands bien « solidaires » et « décents » à partir de 1933
C Il faut les voir aussi s’écarter de l’outrecuidant qui ne porte pas la muselière, ou se reculer en tirant leur tête vers l’arrière, des fois que le virus leur sauterait dessus, alors qu’ils sont eux-mêmes masqués … Si, en plus, le malotru dépourvu de muselière a le malheur d’éternuer ou simplement de se moucher, les imbéciles essaient aussitôt de s’éloigner de plusieurs mètres, une véritable retraite de Russie … Des images pathétiques, pour le moins …  
D Ainsi, il y a un abîme entre, d’une part, le monde tel que veulent le voir les dissidents, et, d’autre part, les scènes auxquelles nous assistons quotidiennement, scènes qui indiquent que la quasi-totalité de la population n’a en réalité rien compris : attirer son attention sur la dictature qui se met en place, sur les atteintes sans précédent aux libertés, sur le nouvel ordre mondial, sur le grand reset etc, c’est littéralement lui parler, non pas chinois, mais martien. 
Le mirage des réseaux sociaux
Pourtant, certains lanceurs d’alerte n’en démordent pas : la population se défierait des médias mainstream comme de la peste; elle chercherait de plus en plus à se renseigner ailleurs, en particulier sur les sites internet alternatifs. 
Plus haut, nous avons esquissé une réponse à ce gros bobard.
Mais, il nous faut considérer une véritable tarte à la crème qui constitue l’une des arguties les plus usitées pour légitimer ce bobard : la preuve que les citoyens auraient tout compris et rejetteraient le système, résiderait notamment dans le nombre d’abonnés des chaînes Youtube contestataires et dans le nombre de vues qu’affichent leurs vidéos. 
Il y aurait énormément à dire sur ce sujet (7). Pour l’instant, nous nous contenterons de remettre rapidement les pendules à l’heure en rappelant cette évidence, trop souvent oubliée : seule une toute petite minorité du pays s’informe sur des espaces alternatifs ayant leur propre site internet ou hébergés par Youtube, Odysee, Facebook, et autres réseaux sociaux. En vérité, ces espaces alternatifs, dissidents, ou complotistes pour reprendre l’expression de l’oligarchie, ne touchent qu’un microcosme. La quasi-totalité de la population ne les connaît même pas ou préfère les ignorer, et elle ne se fie qu’aux médias du système : télévision, radios et presse écrite des milliardaires. Là encore, il suffit d’écouter les gens parler, ou de regarder quels journaux ils dévorent dans les transports en commun, pour constater que le grand public passe son temps à se désinformer auprès du mainstream et ne daigne s’en remettre qu’à la voix de son maître. 
Seulement, il semble que l’un des problèmes de certains dissidents, est qu’à force de camper sur les réseaux sociaux, ils finissent par prendre ce microcosme pour le monde réel, avec lequel ils perdent le contact. 
Après le Covid, le déluge 
L’optimisme de certains lanceurs d’alerte touche carrément à l’inconscience quand il s’agit d’envisager l’avenir. Car, une idée semble ne pas leur avoir traversé l’esprit : que se passera-t-il quand, demain, [les organisateurs de l’ingénierie Covid-19 balanceront un virus qui, cette fois, sera beaucoup plus meurtrier ?]url:Vers le faux attentat bactériologique – Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr) 
Or, cela ne fait aucun doute pour toute personne un tant soit peu sérieuse : le Covid-19 n’est encore qu’une étape, un galop d’essai, une mise en bouche, une répétition générale, et le pire est à venir.
Pour faire accepter une société de plus en plus cauchemardesque, la pseudo-pandémie actuelle ne suffira pas, si bien que l’oligarchie est en quelque sorte obligée de frapper plus fort. 
Une logique exterministe
Du reste, la mise en scène du coronavirus relève d’un processus mortifère. 
Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. Et si on l’accuse de la rage, c’est qu’on veut le tuer. Ce raisonnement vaut pour la population, taxée de colporter le Covid-19 et d’être non essentielle, c’est-à-dire, dans l’esprit des gouvernants pervers, et du grand capital avide de parts de marché et de monopole pour leurs « groupes », inutile et même nuisible. Or, qui s’embarrasserait d’individus qu’il a catalogués comme tels ? Pourquoi les classes dominantes auraient-elles ruiné et réduit à l’inactivité des millions de commerçants avec leurs salariés ? Pour le seul plaisir d’en faire des titulaires d’un quelconque RSA, auxquels on versera une aumône de 500 euros par mois ? 
Beaucoup de commentateurs soulignent que la caste dirigeante veut tenir la population en esclavage. Certes, (et ce ne serait jamais que le retour à la première des trois phases historiques identifiée par Karl Marx ! Relisez-le !) mais il y a une chose que ces commentateurs n’ont pas comprise : ôter toute liberté à la population, la réduire au servage, c’est encore, quelque part, en être esclave soi-même, parce que c’est devoir s’embêter à la contrôler, à la mater, et donc à faire avec elle, malgré tout. Priver l’autre de liberté, c’est, dans une certaine mesure, s’en priver soi-même aussi. Aussi ne s’enquiquine-t-on pas à mettre un gêneur sous cloche pour se contraindre soi-même à devoir garder constamment un œil sur lui : on s’en débarrasse définitivement, radicalement. 
Il est certain qu’il y aura d’autres virus, beaucoup plus mortels que le Covid-19 (8). Déjà la « grippe porcine,donc la « psy-op » le « business-plan » avait échoué, car il n’était pas assez mortel. Quan on considère rétrospectivement on s’aperçoit que Jane Bürgermeister, qui apparaissait alors comme « un peu parano », eh bien avait raison ! 
Ce sont d’ailleurs les organisateurs de l’ingénierie Coronavirus qui le répètent eux-mêmes constamment : depuis le début de cette mise en scène mondiale, ils n’ont cessé de seriner qu’il y aurait des variants bien plus redoutables, et d’autres agents pathogènes encore plus terribles, et que l’âge des pandémies ne faisait que commencer … 
L’ère du chacun pour soi
Déjà, avec une pseudo-épidémie, les populations, dans leur immense majorité, ont accepté des atteintes sans précédent aux libertés (9). 
Il n’est pas difficile de deviner ce qui adviendra quand un véritable cataclysme sanitaire provoquera quantités de décès; quand les gens tomberont comme des mouches dans les rues; quand la mort sera réellement présente sous les yeux de tout un chacun, à chaque instant, en chaque lieu : la réaction des populations ne sera pas belle à voir. Une toute petite minorité, plus restreinte encore que celle d’aujourd’hui, tentera de résister. Mais, la grande masse sera prête à toutes les horreurs : elle applaudira aux camps de concentration, aux arrestations arbitraires, aux exécutions sommaires, aux charniers, aux feux de purification. Elle ira jusqu’à les réclamer. Le quidam ne reculera devant aucune atrocité qui lui paraîtra susceptible de l’aider à sauver sa peau. 
Quand tombera l’argument de la fausse pandémie …
Et une autre difficulté, énorme, surviendra, à laquelle certains lanceurs d’alerte paraissent ne pas avoir songé : comme il s’agira cette fois d’une vraie catastrophe, avec des quantités de morts, parmi lesquels des enfants, il ne sera plus possible d’argumenter sur le thème : C’est une fausse pandémie. Sera alors anéanti tout le travail consistant à démontrer que les tests sont faussés, que les chiffres de contaminations sont gonflés, que les statistiques sont bidonnées, que l’on compte comme tué par le Covid-19 tout individu décédé de tout et de n’importe quoi. Ces explications deviendront caduques et n’auront plus lieu d’être, puisque l’épidémie et les morts seront réels (10). 
C’est pourquoi il est irresponsable de croire que l’on peut contrer l’oligarchie et ses plans diaboliques en se contentant de rétablir la vérité sur les chiffres actuels, sur le caractère plus ou moins létal du Covid-19, sur les tests PCR etc. 
Car, quand il y aura une véritable pandémie, quand il y aura vraiment des milliers et des milliers de morts de tous âges, faudra-t-il pour autant accepter l’anéantissement de toutes les libertés, les camps d’internement, le puçage, la vaccination obligatoire, le confinement total ad vitam aeternam, et autres abominations que nous ne pouvons peut-être même pas imaginer ? Evidemment non ! Et c’est cela qu’il faudrait dire. C’est ce Non qu’il faut faire entendre. En 40-44quelque uns ont su le faire entendre, ais maintenant , y aura-t-il encore des héros ?
 
Les aveugles qui sont toujours incapables d’anticiper l’avenir, penseront que nous délirons. Ce sont les mêmes qui n’ont jamais rien vu venir, quand tout ce que nous avions annoncé est arrivé (11); les mêmes qui parlaient de méchants Chinois propageant le Covid-19 à cause de leur goût supposé pour les pangolins, qui colportaient les fadaises sur le virus accroché plusieurs jours aux objets; les mêmes, donc, qui étaient complètement à côté de la plaque quand nous écrivions, dès l’annonce du premier confinement, qu’il s’agissait d’un coup d’Etat, expression que certains n’ont toujours pas utilisée, ce qui ne les empêche pas de se faire passer pour LES lanceurs d’alerte ayant soi-disant tout deviné et tout compris avant tout le monde …  
Aujourd’hui encore, nous entendons certains naïfs (ou certains agents du système …) dire que l’on peut profiter d’une pause de la psychose, que l’on est un peu moins oppressé parce qu’il n’y a pas eu de nouveau confinement général (pour l’instant), que l’oligarchie a d’ores et déjà perdu et ne pourra pas mettre en œuvre son projet (!) etc etc. 
La vérité est que l’on est en train d’endormir encore un peu plus les populations afin de mieux les prendre par surprise à la prochaine attaque. Le pouvoir est en train de préparer un très sale coup, et, à notre avis, la bombe ne va plus tarder à éclater, peut-être en mars/avril, au plus tard pendant l’été. Quel que soit le moment, la tempête va venir, il n’en faut pas douter, et le calme relatif dont on jouit aujourd’hui, ne fait que l’annoncer. 
 
(1) Si 3 % des gens sont lucides, puis, quinze ans plus tard, 5 %, on peut, certes, toujours se réjouir qu’il y ait de plus en plus de gens lucides … En vérité, les décennies qui viennent de s’écouler, démontrent que c’est l’inverse qui s’est produit : dans les années 1960, par exemple, les populations n’auraient pas accepté ce qu’elles acceptent et gobé ce qu’elles gobent aujourd’hui. En 1830 les parisiens se sont soulevés ont prit les armes, tiré sur l’armée du roi Charles X et l’ont chassé du trône, pour moins que ça ! Quant à ces deux événements fondateurs que l’on peut considérer comme des ancêtres de l’ingénierie Covid-19, la vague du sida et les attentats du 11 septembre 2001 (pour ne pas parler de la grande psy-op : la diabolisation et quasi-interdiction du tabac ! On soit maintenant qu’en fait c’était une opération-test), qui peut soutenir sérieusement que, tant d’années après, ils ont été correctement analysés par les citoyens ? 
(2) La crédulité des populations concerne tous les sujets : prétendue pandémie, terrorisme, guerres, économie etc. Quel que soit le thème, écouter ce que récite le plus grand nombre, c’est savoir ce que la télévision, les radios et les journaux de l’oligarchie lui ont hurlé à l’oreille. 
(3) Nous publierons peut-être un article dans lequel nous transcrirons certains des propos qui nous ont été tenus et qui montrent à quel point des gens peuvent être moutons.
(4) Cela fait des décennies que nous entendons les discours du genre : les gens ont compris; les Français commencent à comprendre etc. Depuis le temps qu’ils commencent, ils devraient peut-être avoir fini … Mais, au fait, puisqu’ils ont saisi ou commencé à saisir il y a déjà des dizaines d’années, comment se fait-il qu’ils votent comme des nigauds ? Il est certes possible que les élections soient truquées, mais, pour ne citer qu’un exemple, en 2007, c’étaient bien des individus du quotidien, et non des instituts de sondage, que nous entendions chanter les louanges de Sarkozy, l’homme miraculeux qui allait soi-disant redresser la France … 
(5) Il est triste aussi de voir des parents imposer le masque à leurs très jeunes enfants, dont certains semblent ne même pas avoir six ans. 
(6) Le masque est bien une espèce de geôle portative. Il est vrai aussi que la plupart des gens ont dû tomber dans ce piège : Si vous ne mettez pas le masque pour vous, mettez-le au moins pour les autres, vos enfants, vos parents, vos aïeux, que vous allez contaminer et peut-être même tuer. Une autre argutie qui doit terroriser certains, est cette fable selon laquelle le virus demeurerait en suspension dans l’air ou sur les objets pendant plusieurs jours. Mais, répétons-le, personne n’est obligé de sauter à pieds joints dans ces pièges, sauf à y être contraint par sa propre bêtise. 
(7) Si nous en avons le temps, nous rédigerons une réfutation en règle de cette illusion. 
(8) D’autant que, comme nous l’avons écrit dans un autre article, l’ingénierie Covid-19 est chargée aussi de préparer un vrai conflit armé. 
(9) Les gens ne sont pas devenus aussi soumis du jour au lendemain. Nous payons des décennies de propagande, d’ingénieries diverses et variées (en matière d’attentats particulièrement), de terrorisme intellectuel. Cela mériterait toute une étude. Aussi, on ne peut pas reprocher aux Français, aujourd’hui, de s’aplatir et de la fermer alors que, depuis des décennies, on leur a imposé le silence sur tout un tas de sujets, y compris les plus vitaux.
(10) On peut d’ailleurs se demander si l’un des principaux pièges tendus par la mise en scène du Covid-19, ne réside pas, justement, dans ce fait que, constituant une fausse pandémie, elle a conduit les esprits critiques à se focaliser sur cet aspect (véritables chiffres, statistiques réelles etc). Maintenant, il n’y a plus qu’à provoquer un vrai séisme sanitaire, et tout le discours contestataire relatif au coronavirus, tombera de lui-même. 
(11) Par exemple, nous avions écrit qu’il y aurait des confinements locaux, notamment par ville, et c’est chose faite. Nous y reviendrons, car, là encore, force est de constater que personne ne semble percevoir l’un des objectifs de ces reconfinements localisés. 
Sellami


09/03/2021

la vraie vie

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avez-vous remarqué qu'on ne voit dans notre pays pratiquement plus jamais de mères (ni de pères, ni de grands-parents) tenant leur enfant dans les bras ?

bizarre ! vous trouvez ça normal ? Moi pas.

ça nous prépare une drôle de génération.

 

14/02/2021

souvenez-vous de Henri GEORGE poète tournaisien !

Ce poème

origine  : souvenez-vous de Henri GEORGES poète tournaisien

trouvé dans une anthologie de la poésie wallonne  en fait n'est pas en wallon ( le dialecte wallon est beaucoup plus compliqué à comprendre et surtout à prononcer) mais en picard, comme dins ch' Nord ! Tournais est (était...) picard dans son patois. Ce poème est un chef-d'oeuvre de talent  et d'émotion, on devrait le mettre dans les classiques de la littérature, et le faire apprendre aux enfants des écoles on aurait peut-être introduit enfin ce genre de considération pour les cultures régionales!), il le mériterait, il mériterait même d'être choisi dans une anthologie mondiale de la poésie.

Et  ça ne parle que de valeurs aujourd'hui diabolisées, presque interdites ou en voie de disparition ou bien menacées..... (Le Carnaval, les masques, les bals publics, la fête, le bruit, la gaîté, l'occupation des voies "publiques" (autrefois publiques ... mais avec Sarko ça ne va plus durer !) par des foules de gens et non par les bagnoles et les vigiles privés!, et bien sûr l'amour (aujourd'hui on l'appelle comment? ...  "violence"? "harcèlement sexuel"?  "dépendance psychologique"? ) Et, last but not least, le chagrin ! autre chose psychomachinchoseiquement interdite, un jour peut-être on condamnera  à la prison pour "non prise en charge de leur santé" les gens qui souffrent de chagrin puis on les fichera à vie et on les obligera à suivre une cure  d'euphorisation "positive". On parie ?
Si vous pouvez apprenez-le par coeur, il le mérite, ou au moins la dernière strophe.

Tiu  ĉi poemo eble estas la plej bela de la pikardlingva literaturo, kiun oni tro ofte rigardas kiel reduktita al komikaĵoj lokaj;  ĝi indus fakte esti enigita en klasikaĵojn pro la talento kaj emocipovo kun kiu ĝi traktas  malĝojan kaj universalan temon. memoru parkere almenaŭ la lastan strofon kiel citaĵon: ĝi estas tiom bela kaj korprema!

 

Ch’éteot l’Mi-Carême, i-aveot dins chés rues

Ene masse dė musiques, dés tas d’gins masqués.

In face du Grand-Garde, ch’éteot ène cohue

Et l’cortêche aveot du mal dè passer.

Cha, ch’ ‘teot in cortêche! Lés prumiés in tiète,

I-éteotė pus d’chint, tous in calikeot :

Juste autant d’Pièrots qu’i n-aveot d’Pièrètes,

Juste autant d’Pièrètes qu’i n-aveot d’Pièrots.

Après cha, ch’éteot ène éote mascarate,

Pwis v’là deûs Pièreots qu’i s’eont ratardé

Et qui n’ trouv’tè pus l’binde dés camarates :

Pièrète par ichi, Pièreot d’l’éôte coté.

I n’seon po l’in d’l’eôte pus d’à chenk-sî metes,

Més lès-amoureûs, ch’èst come dés bièc-beos.

Pièreot, i s’inquiète dè n’pus vir Pièrete,

Pièrète, èlle èst triste dè n’pus vir Pièrot.

Pauve pétit' Pièrète ! èlle a l’invie d’brêre,

Elle ortoun’reot bin tout d’swite à s’majèon !

Et Piéreo s’désole, i n’sét pus qwa faire,

I va come quéqu’in qui-a pèrdu s’résèon.

Pour l’in comme pour lééôte, ch’èst ène tristė fiète ;

Au lieu d’s’amuser, i-eont leûs cœurs bin greos :

Par ichi Pièreot cache après Pièrete

Et par là Pièrète cache après Pièreot !

Pindant tout-in tans, j’é suivi l’cortêche.

J’areos bin voulu lés vir s’ortrouver,

Més d’lés vir à deûs, i n’aveot po mèche :

J’véyeos l’in, pwis l’éôte, més lés deûs, jamés !

J’é rintré dins l’bal in m’disant qu’pétète,

In dansant t’t-à l’eure on s’rincontrėreot.

Més Piéreot d’ssus l’banc atindeo Pièrète

Et Pièrète bin sache atindeot Pièreot.
Et pindant dès-eures, au son dė l’musique

- vous savez qu’cha dure tout jusqu’au matin -,

i seont rès là come deûs vrés-antiques,

pwis i seont partis, chakin pa s’kémin.

J’lés-é vu partir : piéreot baisseot s’tiète

Et j’é intindu Pièrète qu’èle brèyeot…

Et pindant ç’tans-là, toutes lès-éôtes Pièrètes

Danseot’tė gaimint avèc leûs Pièreots.

Hélas ! dins chelle vie, ch’èst bin souvin l’même :

on rèstė vièle file ou bin vieûs garchèon ;

èt ch’t-acor pus triste qu’à l’Demi-Carême :

l’carnaval, ch’èst court, mé la vie, ch’èst lèong …

On èst treop timite, treop fier ou treop …. Biète,

On vient d’ène famile bin treop come i fèot

Èt Pièreot viélit in r’grètant Pièrete,

Et Pièrète ès’fane in r’grètant Pièreot.
Et cha dure insin pindant dés-innées,

Et quand on s’rinconte, on s’fét dès saluts.

Qwa çé quė vous voulez, ch’èst ène dèstinée !

I-arife même alfeos qu’on s’orconeot pus.

On s’résine, ch’èst vré, més toudi on r’grète,

Et alfeos on s’dit, quand on soufre ėd’ treop :

« Come ėj’ s’reos ureûs si j’aveos Pièrète!

- Come ėj’ s’reos continte si j’aveos Piéreot ! »

Et par in byèo jour in cortêche i passe,

On seone àl’églisse pou in n-intièr’mint,

Et l’vieûs, ou bé l’vièle, i dit’ à vwas basse :

« Acor in qui passe pou m’montrer ch’kémin.

- Qui ç’quė ch’èst cèle-là qu’on mène à Mulète ?

- Qui ç’quė ch’èst c’ti-là qu’on porte à Navyèo ? »

On dit : « Ch’èst ène tèle ». Piéreot : « Ch’est t’ Pièrète ! »

Ou bin : « Ch’èst in tèl ». Pièrète : Ch’èst t’Pièreot ! »

Awi, mé bones gins, ch’est ène triste istware,

Dès-istwares parèles, on in sét tèrtous

Pace qu’i n-a bôkeop – cha, vous pouvez m’cwrâre -,

Et ch’èste pétète même vo-n-isware à vous.

Et p’tète qu’avèc mi, tout bas, in cachète,

Wê, vous l’dites tout bas, mi jė l’dis tout hèot :

« Ah ! chès pauves Pièrèots qui n’eont po d’Pièretes !

Ah chès pauves Pièrètes qui n’eont po d’Pièrèos ! »

 

Henri GEORGE (1879-1952)

 

Eh oui au fait ! et cette année va-t-on avoir le droit de fêter le Carnaval ????? avec l'ambiance fasciste anti-humaniste actuelle ! Va-t-on encore avoir le droit de danser, de s'embrasser sous les yeux de la flicaille ? Que va devenir notre Civilisation ? Que vont devenir les traditions humaines?

Tiens Farida Belghoul va essayer d'organiser un "carnaval" qui sera en même temps une forme de meeeting, nos maître lui laisseront-ils le droit ?

apparemment non ....

Quelqu'un a proposé une idée, celle d'une sorte de "carnaval des démasqués" au prochain mardi gras du 16 février 2021 (avant l'éventuel "Carême" imposé d'un 3ème confinement) où chacun se "déguiserait en lui-même", c'est-à-dire enlèverait librement son masque pour pouvoir enfin récupérer sa respiration naturelle...