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06/05/2024

fils ainés de la nature

http://miiraslimake.unblog.fr/2018/10/12/site-de-merde-2/

01/05/2024

exploitation du rat par le rat - modèle de l'exploitation de l'homme par l'homme !

Une expérience scientifique connue sous le nom de Les rats plongeurs: Six rats affamés dans une cage à une extrémité; à l'autre extrémité de délicieuses croquettes spécialement conçues pour les rats; au milieu un bassin rempli d'eau pouvant aussi être appelé "piscine".

Au départ, surtout lorsqu'ils n'ont encore jamais nagé, les rats n'aiment pas trop aller dans l'eau, surtout s'il s'agit de nager en apnée (un "plafond" en plastique transparent est posé à la surface de l'eau pour empêcher les rats de nager à la surface). Vont-ils tous  aussitôt plonger dans la piscine pour aller chercher les graines de l'autre côté? Non, dans la Nature cela ne se passe pas forcément comme cela ! (ni dans la société ...)

Apparaissent alors, en effet, deux rats exploiteurs qui poussent à l'eau deux rats exploités qui vont chercher les croquettes pour, au retour, se les faire prendre par eux et ne peuvent eux-mêmes se rassasier que lorsque la voracité de leurs "maîtres" est assouvie...!

Et les deux autres? L'un d'entre eux est un rat couard; il ne va pas dans l'eau préfère rester de son côté, en essayant de récupérer quelques infimes miettes délaissées par les rats dominants, c'est la clochard , l' "outcast".

Et le sixième? C'est un rat autonome; il plonge, lui aussi, en apnée dans le bassin, va chercher les croquettes et s'en nourrit, sans se préoccuper des autres ni se laisser faire par eux.

Expérience des rats plongeurs

Cette étude universitaire, réalisée en 1994, a donc mis en évidence un facteur de différenciation sociale chez des rats de laboratoire: la peur. La création d'un stress aboutit à la création d'une hiérarchie sociale de type exploiteurs - exploités - opprimés - avec, quand même aussi des autonomes. En comparaison avec ce que font les rats l'être humain n'aura guère inventé que la persécution des autonomes...

Au départ il s'agissait seulement pour l'expérimentla peuateur, Didier Desor, chercheur au laboratoire de biologie comportementale de la faculté de Nancy, d'étudier leur aptitude à nager. Et comme souvent, l'on veut étudier une chose et l'on en découvre une autre! "La science est fille de l'étonnement" a dit Platon. Didier Desor a  donc réuni six rats dans une cage dont l'unique issue débouche sur un bassin qu'il leur faut traverser pour atteindre une mangeoire distribuant de la nourriture. Rapidement, il constate que les six rats ne vont pas chercher leur nourriture en nageant ensemble. En fait, sur les six seulement trois passent de l'autre côté du bassin pour aller chercher la nourriture.

Et sur les trois qui plongent un seulement, dans un premier temps, peut "travailler" pour lui-même. Les autres sont contraints de travailler pour deux non-plongeurs, dans l'espoir, plusieurs fois vain, de pouvoir profiter du fruit de leur "pêche".

Des rôles sont donc apparus ainsi répartis: deux rats nageurs exploités, deux rats non nageurs exploiteurs, un rat nageur autonome et un rat non nageur souffre-douleur.

Les deux rats exploités dominés vont chercher la nourriture en nageant sous l'eau. Lorsqu'ils reviennent à la cage, les deux rats exploiteurs dominants les frappent et leur enfoncent la tête sous l'eau jusqu'à ce qu'ils lâchent leur butin. Ce n'est qu'après avoir nourri les deux exploiteurs que les deux exploités soumis peuvent se permettre de consommer leurs propres croquettes. Les rats exploiteurs ne nagent jamais, ils se contentent de tabasser les nageurs pour être nourris par eux!
Le rat autonome est un nageur assez robuste pour ramener sa nourriture et passer le barrage des exploiteurs afin de se nourrir à partir de son propre labeur. Le souffre-douleur, enfin, est incapable de nager et incapable d'effrayer les exploités, alors il se contente de ramasser les miettes tombées lors des pugilats.

La même structure deux exploités, deux exploiteurs, un autonome et un souffre-douleur se retrouve dans les cent cages où l'expérience fut reconduite.

Expériences suivantes

Pour mieux comprendre ce mécanisme de hiérarchie, Didier Desor place ensuite six exploiteurs ensemble. Ils se battent toute la nuit. Au matin, Didier Desor voit qu'ils ont recréé les mêmes rôles: De nouveau, deux exploiteurs, deux exploités, un souffre douleur, un autonome. Et, chose encore plus extra-ordinaire, l'on a, à chaque fois, obtenu encore le même résultat en réunissant six exploités dans une même cage, puis six autonomes, puis six souffre-douleur.

Puis l'expérience a été reproduite avec une cage plus grande contenant deux cents individus. Les deux cents se battent toute la nuit.

Le lendemain il y avait trois rats crucifiés, écorchés vifs par les autres.

Bilan: Plus la société est nombreuse plus s'accroît la cruauté envers les souffre-douleur. Parallèlement, les exploiteurs de la cage des deux cents rats entretiennent une hiérarchie de "capos"afin de répercuter leur autorité sans même qu'ils aient besoin de se donner eux-mêmes le mal de terroriser les exploités.

C'est fou ce que tout ça ressemble à ce qui se passe dans les sociétés humaines !

En fait, dans 99% des expériences le même scénario se répète. L'on aurait donc pu croire que cela se passe toujours ainsi; ce n'est pourtant pas le cas: en effet, dans 1% des cas tous les rats du groupe expérimental sont plongeurs! Nous verrons plus loin quelle interprétation il est est éventuellement possible de tirer de cette observation.

Examen des cerveaux

Autre prolongation de cette recherche, les scientifiques de l'Université de Nancy ont ensuite  ouvert les crânes et analysé les cerveaux des rats de l'expérience. Or, chose elle aussi étonnante, ils se sont alors aperçu que les plus stressés n'étaient ni les souffre-douleur, ni les exploités, mais les exploiteurs. Ils devaient affreusement avoir peur de perdre leur statut privilégié de dominants  (d’où les réactions de cruauté féroce des classes dominantes lors des répressions de révolutions que nous montre l’histoire, exemple en août 1919 en Hongrie à la chute de Bela Kun, le massacre de la classe ouvrière finlandaise en avril 1918, les massacres après la chute des Gracques, après la chute d’Allende, de la Commune de Paris, de la République des Conseils de Münich, etc, etc) et donc d'être ensuite contraints de devoir eux-mêmes lutter pour leur nourriture.

A préciser aussi: la différence de comportement observée ne provient absolument pas d'une incompétence de tel ou tel rat à la nage; les expériences conduites pour vérifier ce point montrent que 100% des rats savent nager et transporter de la nourriture en nageant.

Des rats exploiteurs traités aux anxyolitiques (tranquillisants) deviennent exploités. Inversement des rats dominés non traités aux anxyolitiques deviennent dominants en présence d'autres rats traités, eux, aux anxyolitiques. Il apparaît cliarement que ce sont les rats les plus anxieux qui ne plongent pas. Il s'agit donc clairement une interaction sociale.

Didier Desort déclare: "Il n'y a pas de fatalité". "Le rôle que va prendre un rat dépend des autres." "C'est manifestement un phénomène de nature sociale, puisque, selon le groupe dans lequel un rat est situé, son statut peut varier".

et rappelons-nous de la très belle chanson de Gilbert Becaud, dont le refrain est "les gens, c'est nous, et il n'y a qu'nous qui pouvons faire quelqu'chose pour nous", et bien sûr de Karl Marx : "l'émancipatoin des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" Alors recréons des partis de gauche (il n'y en a plus un seul actuellement, ils se sont tous été trustés par des clans de bourgeois "bobos" réactionnaires).

24/04/2024

toutes les institution en lesquelles on croyait pour avoir accès à la connaissance, accès à la vérité, accès à l'autre, sont devenues perverses et non fiable, même ennemies, mêmes fascistes

30/03/2024

les USA entourent de laboratoires secrets de guerre biologiques non seulement la Russie mais aussi la Chine - une tradition !"

trouvé dans Sven Lindqvist “Maintenant tu es mort ou Le Siècle des bombes » 1999, trad. franc. 2002 page 66

Il nous parle d'un des livres de science-fiction dont se régalaient les occidentaux (un autre de ces romans laisse également rêveur ) au début du siècle :

L’un des derniers récits de Jack London s’intitule The unparalleled invasion (1910) Vers 1970, le « monde » (la « communauté internationale » quoi !) découvre avec effroi que la Chine est peuplée de plus de cinq cent millions (sic!) de chinois « Cette monstrueuse marée » a déjà submergé l’Indochine et se presse maintenant vers la frontière nord de l’Inde. Rien ne semble pouvoir arrêter ce déferlement humain. (et le déferlement humain de l’Europe ? commencé au XVIè siècle par le Génocide de 80 millions d’amérindiens et qui du temps de London battait son plein ?)
Cependant un chercheur américain du nom de Jacobus Laningdale eu une idée novatrice. Un jour de septembre, alors que les rues de Pékin sont, comme d’habitude, pleines de « chinois qui jacassent », on aperçoit dans le ciel un minuscule point noir qui grandit et s’avère être un avion. Il lâche quelques fragiles tubes de verre qui s’écrasent simplement dans les rues et sur les toits, sans provoquer d’explosions. Mais six semaines plus tard, les onze millions de pékinois sont morts. Personne n’a échappé aux effets conjugés de la variole, de la fièvre jaune, du choléra et de la peste bubonique. Ce sont ces bactéries qui ont été déversées en pluie  sur Pékin. 

Les chinois essaient de sauver leur vie en quittant le pays, mais à la frontière, les millions de fugitifs se heurtent aux armées de l’Occident. Ce qui donne lieu à un massacre épouvantable. Et, régulièrement, les troupes sont obligées de reculer de quelques dizaines de kilomètres pour ne pas être contaminées par les immondes tas de cadavres.
Pour ces millions d’hommes qui ont perdu toute organisation et tout dynamisme, il n’y a plus aucun espoir. Ils n’ont plus d’autres issue que la mort. Et pendant que les engins de guerre gardent les masses encerclées, la peste achève son œuvre. La Chine est devenue l’enfer sur terre. Des centaines de millions de morts gisent sans sépulture. Le cannibalisme, le meurtre et la folie règnent en maître.
Les expéditions envoyées en février de l’année suivante ne trouvent que des meutes de chiens sauvages et des groupes isolés de bandits errants. Tous les survivants sont immédiatement liquidés. Le sol est désinfecté, et de nouveaux habitants s’installent  (sans état d’âme; au fait les colons allemands amenés par Hitler en Pologne en avait-ils ? en tout cas les habitants actuels de la « Prairie » U.S. ou ceux des quartiers bâtis sur les villages palestiniens rasés n’en ont pas) venus du monde entier (sic). Une ère nouvelle commence, faite de paix et de progrès, d’art et de science.

(NB le texte complet de cette nouvelle de Jack London peut se lire dans plusieurs sites sur internet, mais malheureusement le livre de Sven Lindqvist il faut l'acheter, ça vaut le coup il est capital)


Un article sur tous ces romans de l'époque http://www.depauw.edu/sfs/clarkeess.htm

 

maintenant ce n’est plus du roman, mais des réalités; pas mal non plus les réalités :

page 251 du même livre

Au Kenya, ce sont quarante mille Blancs qui règnent sur plus de cinq millions de Noirs. Le pouvoir suprème se trouve au ministère des colonies, à Londres.

Vers la fin du XIXè siècle, la première vague d’immigration britannique a « heureusement » coincidé avec une épidémie de variole qui a décimé la population noire au point de l’anéantir presque complètement dans certaines régions. Le pays paraissait « inhabité ». Les opposants ont  été tués, et leurs villages brulés. Comme tant d’autres colonisateurs contemporains, le gouverneur britannique Sir Charles Eliot considérait que les indigènes étaient en voie d’extinction. « il ne fait aucun doute que les Masaï et bien d’autres tribus vont disparaître. C’est une perspective que j’envisage avec sérénité et bonne conscience. »
Après la Première Guerre mondiale, une nouvelle vague d’immigration est arrivée – des milliers d’officiers britanniques démobilisés sont venus d’Europe, et, coup de chance, ont apporté avec eux une épidémie de grippe qui a tué plus de cent mille Kikuyu. Cinq millions d’arpents de terre ont pu être confisqués et mis à la disposition des Britanniques. Les noirs sont devenus les ouvriers agricoles sans terre, sur les terres qui avaient appartenu à leur ancêtres.

La suite :

La révolte des Mau-Mau (1952-1960)
Tout au long des années cinquante, les Britanniques sont arrivés à convaincre l’opinion mondiale qu’ils se battaient non contre des rebelles dépossédés de leurs terres et de tout droit à une justice quelconque, mais contre des « assasins bestiaux », des indigènes primitifs rendus fous par des drogues, des rituels et des orgies sexuelles, qui décapitaient les femmes et les enfants blancs.

En réalité, pendant toute la guerre, quatre-vingt-quinze blancs seulement ont été tués, dont trente-deux civils. Pendant la même période, dans la seule ville de nairobi, on compte plus de blancs tués dans des acciedents de circulation.
D’après leurs propres sources, les « forces de sécurité » britanniques ont tué onze mille cinq cent Mau-Mau. Le nombre de victimes civiles n’a jamais été rapporté.

21/01/2024

demain tous contre le fascisme et la censure Gafams

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Comment les services de renseignement américains ont-ils repéré le Covid-19 à Wuhan plusieurs semaines avant la Chine ?

 

Par Will Jones

Source : The Daily Sceptic, 21 décembre 2022

Traduction : lecridespeuples.fr

Voici une question qui me turlupine. Comment les analystes des services de renseignement américains ont-ils repéré ce qu’ils considéraient comme un nouveau virus dangereux en Chine, alors que rien ne prouve que la Chine l’ait repéré ou s’en soit inquiété ? Comment ont-ils repéré le signal dans tout le tohu-bohu d’une saison de grippe chinoise normale ?

Les responsables du renseignement américain ont admis dans divers médias avoir suivi l’épidémie de coronavirus en Chine depuis la mi-novembre 2019, et même informé l’OTAN et Israël à ce moment-là. Pourtant, à aucun moment des détails n’ont été fournis sur ce qui les a poussés à prendre cette mesure inhabituelle.

Ces inquiétudes « ont été détaillées dans un rapport de novembre du National Center for Medical Intelligence (NCMI) de l’armée », citant deux responsables connaissant bien le rapport. Ce rapport était « le résultat de l’analyse d’interceptions téléphoniques et informatiques, couplées à des images satellites ». L’une des sources a déclaré : « Les analystes ont conclu qu’il pourrait s’agir d’un événement cataclysmique » et qu’ « il a ensuite été communiqué à plusieurs reprises » à la Defense Intelligence Agency, à l’état-major interarmées du Pentagone et à la Maison Blanche.

Voir Attaque biologique ? Washington était informé d’une épidémie à Wuhan bien avant les autorités chinoises

Le reportage d’ABC ajoute que « les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle » et que le président américain a été informé en janvier :

À partir de cet avertissement en novembre, les sources décrivent des briefings répétés jusqu’en décembre à l’intention des responsables politiques et des décideurs de l’ensemble du gouvernement fédéral ainsi que du Conseil national de sécurité à la Maison-Blanche. Tout cela a culminé avec une explication détaillée du problème qui est apparue dans le Briefing quotidien du Président (APB) sur les questions de renseignement au début du mois de janvier, affirment les sources. Pour qu’un élément apparaisse dans l’APB, il faut qu’il passe par des semaines de vérification et d’analyse, selon des personnes qui ont travaillé sur les briefings présidentiels dans les administrations républicaines et démocrates. […]
« La chronologie du côté des services de renseignement peut remonter à plus loin que ce dont nous discutons », a déclaré la source au sujet des rapports préliminaires de Wuhan. « Mais il est certain que les militaires ont été informés dès la fin du mois de novembre de la nécessité de prendre position sur cette question. »
Le rapport du NCMI a été largement diffusé auprès des personnes autorisées à accéder aux alertes de la communauté du renseignement. Après la publication du rapport, d’autres bulletins de la communauté du renseignement ont commencé à circuler par des canaux confidentiels au sein du gouvernement aux alentours de Thanksgiving, ont indiqué les sources. Selon ces analyses, les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle alors même qu’ils cachaient des informations aussi cruciales aux gouvernements étrangers et aux agences de santé publique.

Cependant, les rapports des médias sont incohérents. Le même jour (9 avril), NBC News a publié le rapport suivant, affirmant que « rien n’indiquait qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là » :

Selon les responsables, les renseignements ont pris la forme d’interceptions de communications et d’images aériennes montrant une activité accrue dans les établissements de santé. Les renseignements ont été distribués à certains responsables fédéraux de la santé publique sous la forme d’un « rapport de situation » à la fin du mois de novembre, a déclaré un ancien fonctionnaire informé de la question. Mais il n’a pas été estimé qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là, a déclaré un responsable de la défense.

Voir Covid-19 : les Etats-Unis ont averti leurs alliés d’une épidémie en Chine dès novembre (médias US & israéliens)

Le général John Hyten, vice-président des chefs d’état-major interarmées, a déclaré qu’il n’avait pas vu de rapports de renseignement sur le coronavirus avant janvier :

Nous avons tout ré-examiné méticuleusement les données disponibles en novembre et décembre. La première indication dont nous disposons, ce sont les rapports de la Chine de fin décembre qui ont été publiés dans le forum public. Et les premiers rapports des services secrets que j’ai vus étaient en janvier.

Le NCMI lui-même a nié à ABC l’existence du « produit/évaluation », c’est-à-dire du rapport auquel il est fait référence (bien que certains aient suggéré qu’un rapport qui n’était pas techniquement un « produit » de renseignement ait probablement existé).

Selon un article du Times of Israel du 16 avril 2020, les services de renseignement américains « ont pris conscience de l’émergence de la maladie à Wuhan au cours de la deuxième semaine de [novembre] et ont rédigé un document classifié ». Le rapport affirme également que la Chine était au courant à l’époque : « Les informations sur l’apparition de la maladie n’étaient pas dans le domaine public à ce stade, et n’étaient connues qu’apparemment du gouvernement chinois. » Un reportage de la chaîne israélienne Channel 12 datant du même jour affirme que les services de renseignement américains « suivaient la propagation » à la mi-novembre et qu’ils ont même informé l’OTAN et Israël à l’époque, mais, de manière quelque peu contradictoire, ils ont déclaré que l’information « ne provenait pas du régime chinois » :

Un rapport secret du renseignement américain, qui mettait en garde contre une « maladie inconnue » à Wuhan, en Chine, n’a été envoyé qu’à deux de ses alliés : l’OTAN et Israël. Au cours de la deuxième semaine de novembre, les services de renseignement américains ont constaté qu’une maladie aux caractéristiques nouvelles se développait à Wuhan, en Chine. Ils ont suivi sa propagation, alors qu’à ce stade, cette information classifiée n’était pas connue des médias et ne provenait pas non plus du régime chinois.

Ces rapports médiatiques émanant d’agents de renseignement anonymes se référant à des documents d’information non divulgués ne sont manifestement pas tous cohérents. L’affirmation du Times of Israel selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre est particulièrement étrange, car ce rapport dit tirer ses informations directement du rapport de Channel 12, qui affirme le contraire. L’affirmation d’ABC News selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre d’une épidémie « hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie », mais que cette information a été gardée secrète, est également étrange. Comment une épidémie « hors de contrôle » qui « change les modes de vie » pourrait-elle être gardée secrète ? Lorsque le virus a été révélé à la fin du mois de décembre, il s’est accompagné d’une activité intense sur les réseaux sociaux en Chine. Où est passée l’activité des réseaux sociaux de novembre, où les gens parlaient d’une épidémie  hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie et le monde des affaires » ? Où sont les images satellites montrant ces impacts sur les hôpitaux et la vie sociale ? Aucune n’a été produite, alors qu’il serait facile de le faire.

Voir Coronavirus : la Chine et l’Iran dénoncent la probabilité d’une attaque biologique

Cela nous amène à une question cruciale. La Chine était-elle au courant en novembre ? J’avais précédemment supposé que oui, mais en regardant plus objectivement, je n’ai pas vu de preuves tangibles qu’elle le savait. Le rapport 2021 des services de renseignement américains sur les origines du Covid indique que la Chine « n’avait probablement pas connaissance de l’existence du SRAS-CoV-2 avant que les chercheurs du WIV ne l’isolent après la reconnaissance publique du virus dans la population générale ». Mais avait-elle connaissance plus tôt d’une épidémie inhabituelle d’étiologie inconnue ? Rien ne le prouve.

Hormis les affirmations contenues dans les rapports médiatiques susmentionnés (qui, comme nous l’avons noté, sont largement démenties par les responsables de la défense), la seule preuve dont nous disposons provient du rapport du personnel de la minorité sénatoriale de 2022, qui a des liens avec les services de renseignement américains, en particulier avec le grand manitou de la biodéfense Robert Kadlec. Ce rapport suggère que la Chine a pris connaissance d’une fuite à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) en novembre 2019 et, à ce moment-là, a commencé à travailler sur un vaccin. Mais il ne donne aucune preuve réelle pour étayer cette affirmation, juste de vagues déclarations sur le moment où la formation à la sécurité a eu lieu et des insinuations sur le moment du développement du vaccin. En outre, l’accent est entièrement mis sur la recherche chinoise et le WIV, et pas du tout sur la recherche américaine, ce qui laisse supposer qu’il s’agit d’un « dérapage contrôlé » de la communauté du renseignement et d’un exercice de détournement d’attention.

Il convient de noter que le colonel Robert Kadlec, qui semble être à l’origine du rapport du Sénat, a été le premier directeur de la politique de biosécurité de la Sécurité intérieure sous la présidence de G. W. Bush et l’un des cerveaux des premières simulations de pandémie, y compris l’hiver noir de 2001. Lorsque le COVID-19 a frappé, M. Kadlec est devenu le principal responsable de la préparation aux situations d’urgence, coordonnant la réponse du ministère américain de la santé et des services sociaux et du gouvernement fédéral. Il est donc une figure centrale de l’établissement de biodéfense américain qui nous a apporté les confinements et ne peut être considéré comme une source d’information indépendante ou fiable.

Voir Covid-19 : le contrôle des populations par la peur était « totalitaire », admettent des responsables scientifiques

Les meilleures preuves indépendantes dont nous disposons actuellement pour affirmer que la Chine était au courant avant la fin décembre sont les rapports que Gilles Demaneuf transmet de deux scientifiques américains, Lawrence Gostin et Ian Lipkin, selon lesquels, à la mi-décembre, des contacts scientifiques chinois leur ont mentionné une épidémie inhabituelle de virus. Ce n’est pas du tout précoce, et c’est plusieurs semaines après la mi-novembre.

Il y a de nombreuses raisons de penser, comme l’indique le point presse de Channel 12, que la Chine n’était pas au courant avant décembre. Par exemple, le manque évident de préoccupation du gouvernement chinois à l’égard du virus jusqu’aux environs du 23 janvier. Le 14 janvier encore, les experts chinois déclaraient à l’Organisation mondiale de la santé qu’ils n’étaient même pas sûrs que le virus se transmette entre humains ! C’est difficile à croire, mais cela montre quand même à quel point ils n’étaient pas inquiets.

Il y a aussi l’absence de précédentes alertes de santé publique comme celle qui est apparue le 31 décembre 2019 de la Commission municipale de la santé de Wuhan, plus, comme nous l’avons noté, l’absence de toute activité sur les réseaux sociaux concernant une épidémie en novembre. En outre, il y a l’échec apparent du séquençage du virus avant la fin du mois de décembre, puis dans un laboratoire privé, ce qui fait également vaciller l’idée que la Chine développait un vaccin à partir de novembre. Il y a aussi le fait que les autorités chinoises ont semblé croire que le marché humide de Huanan était une origine plausible du virus en janvier, jusqu’à ce qu’elles examinent cette théorie et la réfutent.

Bien sûr, il peut y avoir des explications alternatives pour certains de ces éléments. Par exemple, l’histoire du marché humide peut avoir été un moyen d’étayer l’affirmation initiale bizarre selon laquelle il ne semblait pas y avoir de transmission interhumaine, ce qu’il est difficile de croire que les scientifiques chinois aient jamais vraiment cru, étant donné l’invraisemblance de cette hypothèse et le fait que les scientifiques chinois semblaient avoir conscience d’une épidémie plus large en décembre. D’un autre côté, la fuite du rapport du gouvernement chinois datant de février 2020 semble montrer que les responsables se sont empressés de regarder en arrière pour voir ce qui se passait dans les hôpitaux en octobre et novembre, sans que rien n’indique qu’ils étaient au courant à ce moment-là, et également sans indication d’une épidémie « hors de contrôle ». Peut-être s’agit-il là aussi d’un faux astucieux. Mais tout cela est-il faux ? Et dans tous les cas, où sont les preuves réelles et positives que la Chine était au courant ?

Voir Variole du singe : la Russie accuse les laboratoires biologiques militaires américains

L’apparente ignorance des Chinois contraste fortement avec ce que les responsables des services de renseignement américains ont déclaré savoir en novembre, comme le montrent les points de presse susmentionnés, qui indiquent que les analystes des services de renseignement américains « suivaient la propagation » depuis la mi-novembre et que l’armée, le gouvernement et les alliés des États-Unis étaient tenus informés. Il se peut qu’une partie de ces informations soit exagérée par les responsables des services de renseignement qui tentent de se défendre contre les accusations d’avoir manqué les premiers signes de la pandémie. Mais tout ne saurait s’expliquer ainsi.

En outre, il existe un rapport très révélateur du Dr Michael Callahan, que le Dr Robert Malone a décrit comme « le plus grand expert du gouvernement américain et de la CIA en matière de guerre biologique et de recherche sur les gains de fonction », et qui se trouvait déjà à Wuhan au début du mois de janvier « sous couvert de son poste de professeur à Harvard ». Il a déclaré à  National Geographic qu’il s’était rendu à Singapour pour traquer le virus en novembre et décembre. Il affirme avoir été mis au courant de l’existence du virus par des « collègues chinois », mais cette affirmation est très vague et pourrait être fausse :

Début janvier, lorsque les premières informations floues sur la nouvelle épidémie de coronavirus sont apparues à Wuhan, en Chine, un médecin américain avait déjà pris des notes. En novembre, Michael Callahan, expert en maladies infectieuses, travaillait avec des collègues chinois sur une collaboration de longue date en matière de grippe aviaire lorsqu’ils ont mentionné l’apparition d’un nouveau virus étrange. Rapidement, il s’est envolé pour Singapour afin d’y voir des patients présentant les symptômes du même germe mystérieux.

Il existe deux autres contrastes frappants entre les approches initiales des États-Unis et de la Chine qui méritent d’être soulignés. Premièrement, les services de renseignement et de biodéfense américains se sont montrés hautement alarmistes à propos du nouveau virus dès le mois de janvier, tandis que le gouvernement chinois est resté apparemment calme jusque vers le 23 janvier. La raison pour laquelle la Chine a changé de politique à ce moment-là n’est pas encore tout à fait claire ; apparemment, c’était lié à la reconnaissance de la transmission interhumaine, mais il est peu probable que ce soit la véritable raison.

Voir Naturel ou artificiel ? Après un an de Covid-19, un bilan sur les origines de la pandémie

Deuxièmement, les scientifiques et les agents des services de renseignement américains se sont accrochés à une théorie du marché humide qu’ils savaient fausse, étant donné que les services de renseignement américains suivaient l’épidémie depuis novembre et que les autorités chinoises elles-mêmes ont démystifié cette théorie très tôt. Malgré cela, certains scientifiques américains, y compris ceux impliqués dans la dissimulation de la fuite du laboratoire de Fauci, s’y sont obstinément tenus depuis.

Il est également important de noter que les responsables des services de renseignement et les scientifiques américains ont, dès le début, activement bloqué toute tentative d’enquêter sur la possibilité d’un virus fabriqué, d’une fuite de laboratoire ou d’une propagation précoce du virus (bien que quelques membres des services de renseignement américains semblent avoir été disposés à enquêter, mais apparemment avec l’intention d’accuser exclusivement la Chine). De hauts fonctionnaires du gouvernement auraient averti à plusieurs reprises leurs collègues « de ne pas poursuivre l’enquête sur l’origine du COVID-19 » car cela « ouvrirait la boîte de Pandore » si elle se poursuivait.

Malgré l’arrêt des enquêtes sur les origines du virus, les responsables des services de renseignement américains ont insisté à maintes reprises sur le fait qu’il n’avait certainement ou probablement pas été fabriqué et ont même soutenu la théorie du marché humide des mois après qu’elle ait été discréditée par les Chinois eux-mêmes. Le 30 avril 2020, le bureau du directeur du renseignement national américain (qui, à l’époque, était en vacance) a publié une déclaration selon laquelle : « La communauté du renseignement est également en accord avec le large consensus scientifique selon lequel le virus COVID-19 n’a pas été fabriqué par l’homme ou génétiquement modifié. » Le 5 mai 2020, CNN a rapporté un briefing d’une source de renseignement des Five Eyes [alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis] déclarant sans équivoque que l’épidémie de coronavirus « provenait d’un marché chinois ».

Les renseignements partagés entre les nations des Five Eyes indiquent qu’il est « hautement improbable » que l’épidémie de coronavirus se soit propagée à la suite d’un accident dans un laboratoire, mais qu’elle provient plutôt d’un marché chinois, selon deux responsables occidentaux qui ont cité une évaluation des renseignements qui semble contredire les affirmations du président Donald Trump et du secrétaire d’État Mike Pompeo.

Il est bien sûr impossible d’exclure la modification génétique, que ce soit à l’époque ou depuis, étant donné l’absence de virus naturels et de réservoirs animaux similaires et le fait que le savoir-faire pour effectuer les modifications existe certainement. Malgré tous ses défauts, le rapport sénatorial de 2022 a été le premier document associé aux services de renseignement à traiter d’un agent modifié comme une possibilité sérieuse, tout en essayant notamment de rejeter entièrement la faute sur la Chine. Les scientifiques américains n’en parlent tout simplement pas, une évasion qui a conduit Jeffrey Sachs à dissoudre le groupe de travail sur les origines du Covid qui faisait partie de la commission Covid du Lancet qu’il présidait, percevant de graves conflits d’intérêts et un manque fondamental de coopération de la part des scientifiques américains, qui semblaient cacher quelque chose.

Voir Le Covid-19 provient d’un laboratoire américain, selon le président de la commission du Lancet

Ma crainte est qu’il n’y ait pas beaucoup de façons crédibles d’expliquer tout cela. Pourquoi les services de renseignement américains ont-ils suivi l’apparition d’un virus potentiellement dangereux en Chine en novembre, plusieurs semaines avant qu’il ne soit prouvé que la Chine était au courant de la situation ou s’en préoccupait ? Comment ont-ils repéré un tel signal dans le bourdonnement d’une saison de grippe précoce ? Comme le souligne Gilles Demaneuf,

L’imagerie satellitaire ne permettrait pas de faire la distinction entre une sévère épidémie de pneumonie saisonnière et le début d’une épidémie de coronavirus survenant au même moment. Il est donc probable que seule une partie des données observées par le NCMI, comme les communications dans certains hôpitaux, était effectivement liée de manière évidente à quelque chose de pire qu’une mauvaise pneumonie, mais toujours standard.

Mais bien sûr, et c’est un point crucial, le COVID-19 ne se distingue pas clairement et cliniquement d’une pneumonie sévère mais toujours standard. Demaneuf laisse entendre que les analystes ont intercepté des communications de l’hôpital révélant quelque chose de distinctif qui leur a causé une inquiétude considérable. Mais de quoi s’agit-il ? Ils ne le disent pas, mais ils devraient le faire. Il est évident que ces rapports devraient être déclassifiés et mis dans le domaine public. La difficulté, cependant, est qu’il est même difficile de concevoir ce que cela pourrait être. Que se disaient les médecins pour attirer l’attention des analystes du renseignement et les inciter à informer l’OTAN et à s’envoler pour Singapour ? Quoi qu’il en soit, cela ne semble pas avoir alarmé les médecins de l’hôpital eux-mêmes, car rien ne prouve que des médecins ou des responsables gouvernementaux chinois aient remarqué ou se soient inquiétés avant la mi-décembre. Nous n’avons pas non plus vu de preuve d’une épidémie « hors de contrôle » qui « modifiait les modes de vie et d’activité », comme le prétendait ABC News. Le problème est qu’en l’absence de détails, nous nous demandons ce que cela pourrait bien être, en particulier lorsque le COVID-19 ne se distingue pas cliniquement des autres causes de pneumonie grave.

 Voir La Russie accuse les Etats-Unis d’avoir créé le Covid-19

Il existe, il faut le noter, une façon simple d’expliquer tout cela, mais ses implications sont pour le moins troublantes. Il s’agit du fait que le virus a été délibérément diffusé en Chine par un ou plusieurs groupes au sein des services de renseignement et de sécurité américains. Le but d’une telle diffusion serait en partie de perturber la Chine et en partie de servir d’exercice réel pour la préparation à une pandémie, ce qui est, comme nous le savons, la façon dont la pandémie a été traitée en pratique par les membres du réseau de biodéfense américain. Bien que choquant, cela n’est pas hors des limites du possible. Considérez ce que Robert Kadlec a écrit dans un document stratégique du Pentagone en 1998 :

L’utilisation d’armes biologiques sous le couvert de l’apparition d’une maladie endémique ou naturelle offre à un attaquant la possibilité d’un déni plausible. Le potentiel de la guerre biologique à créer des pertes économiques importantes et une instabilité politique subséquente, associé à un déni plausible, dépasse les possibilités de toute autre arme humaine.

Voir American Pravda : Covid-19 et guerre biologique

Si tel était le cas, il se pourrait que l’ajout de l’enzyme protéase furine au virus ait pour but d’accroître son caractère infectieux afin d’augmenter les chances d’apparition d’une pandémie (ils avaient peut-être déjà essayé avec un virus moins infectieux et cela n’avait pas très bien fonctionné). Le virus serait délibérément relativement bénin pour ne pas faire trop de dégâts, mais suffisamment grave pour avoir l’impact souhaité, du moins lorsqu’il est accompagné d’opérations psychologiques et de propagande. Très peu de personnes en connaîtraient l’origine, car la plupart participeraient à l’exercice en direct.

Un tel scénario expliquerait parfaitement pourquoi les services de renseignement américains ont suivi de près la propagation de la maladie en novembre, alors que la Chine n’était pas au courant. Il expliquerait également pourquoi les spécialistes américains de la biodéfense se sont montrés dès le départ beaucoup plus alarmistes que les autorités chinoises, pourquoi ils ont nié que le virus puisse être fabriqué et ont annulé tous les efforts déployés pour en rechercher les origines (et se sont accrochés à des théories discréditées), et pourquoi ils ont appliqué l’ensemble du plan de biodéfense « confinons-et-attendons-un-vaccin » alors que le virus ne le justifiait manifestement pas (et que les mesures ne fonctionnaient pas), et ont généralement traité l’ensemble de la situation comme un exercice réel. Il n’est pas contestable de souligner que la pandémie a été une occasion en or de mettre en pratique leurs plans préparés de longue date. Mais qu’en est-il si cette occasion n’a pas été laissée au hasard ?

Voir La stupéfiante censure occidentale sur les origines du Covid

Aucun d’entre nous ne souhaite tirer cette conclusion, bien sûr. Pour la réfuter, du moins en ce qui concerne cet argument, nous aurions besoin d’avoir beaucoup plus de détails sur ce que les analystes du renseignement américain voyaient et disaient en novembre 2019, ce qui expliquerait comment ils savaient ce que la Chine ne savait pas et pourquoi ils étaient si inquiets lorsque la Chine ne l’était pas.

À défaut, il est difficile de ne pas se demander si la diffusion du virus en Chine pour perturber le pays et voir comment le monde réagit n’aurait pas été une idée farfelue élaborée dans les recoins les plus profonds de l’État profond américain de la biosécurité.

Voir notre dossier sur le Covid-19.  

 

07/01/2024

de quoi est mort Istvan Marko ?

Mort subite d’István Markó (UCL)


István Markó est décédé inopinément à l’âge de 61 ans. Ce professeur enseignait la chimie à l’UCL et y dirigeait un labo de chimie organique et médicinale. Il avait fait sensation en écrivant Climat : 15 vérités qui dérangent, ouvrage mettant en doute le réchauffement climatique causé par l’action de l’homme. Il avait également été auditionné à la Chambre pour

Quand quelqu'un révèle des choses nuisant aux intérêts du grand capital meurt sans explication, on se pose des questions !

réponses ?

 

31/12/2023

pensée de Jean Rostand - vérité des choses

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MalincourtJardin.jpg

 

(le petit garçon de trois ans vous avez deviné, c'etait moi)

 

 

 

 

"L'espèce humaine passera, comme ont passé les Dinosaures et les Stégocéphales. Peu à peu, la petite étoile qui nous sert de soleil abandonnera sa force éclairante et chauffante... Toute vie alors aura cessé sur la Terre, qui, astre périmé, continuera de tourner sans fin dans les espaces sans bornes... Alors, de toute la civilisation humaine ou surhumaine - découvertes, philosophies, idéaux, religions -, rien ne subsistera. En ce minuscule coin d'univers sera annulée pour jamais l'aventure falote du protoplasma... Aventure qui déjà, peut-être, s'est achevée sur d'autres mondes... Aventure qui, en d'autres mondes peut-être, se renouvellera... Et partout soutenue par les mêmes illusions, créatrice des mêmes tourments, partout aussi absurde, aussi vaine, aussi nécessairement promise dès le principe à l'échec final et à la ténèbre infinie..."

(Jean Rostand)

25/12/2023

ces "écolos" qui veulent tuer la vie et cette guerre des sites capitalistes totalitaires qui veulent empêcher le libre téléchargement !!! crachez leur à la gueule ! soyez frondeurs !

l'écologie subit au XXI è siècle le même phénomène qu'avait subit le christianisme au XIXè sècle (disons de Voltaire "je veux que mes laquais mes paysans mon tailleur croient en Dieu car j'espérerai en être moins volé" au Franquisme) être instrumentalisé - et au passage totalement déformé et perverti -  en un outil de décérebrage et de soumission du bon peuple aux interêts de la classe possédante !) on en a fait un idéologie délirante au service de plans fascistes de Davos et du grand capital !!

20/12/2023

T.J. Dunning et l'actualité (hydroxychloroquine et remdesivir par exemple ...)

"Quand le profit est adéquat, le capital devient audacieux. Garantissez-lui 10 pour cent, et on pourra l’employer partout ; à 20 pour cent, il s’anime, à 50 pour cent, il devient carrément téméraire ; à 100 pour cent, il foulera aux pieds toutes les lois humaines ; à 300 pour cent, il n’est pas de crime qu’il n’osera commettre"

T.J. DUNNING - in "Trade-Unions and Strikes" 1860)

autre traduction : "Que le profit soit convenable, et le capital devient courageux : 10 % d'assurés, et on peut l'employer partout ; 20 %, il s'échauffe !, 50 %, il est d*une témérité folle ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; 300 %, et il n'est pas de crime qu'il n'ose commettre. » (T.J. Dunning, Trade Unions and Strikes, p. 436.)

 

voilà l'explication ! relisez Marx, ça serait bien ! on en a besoin. Et des Résistants, des vrais, des qui sont armés, car on en est là.

regardez ce film (et téléchargez-le) :
https://odysee.com/$/search?q=mal%20trait%C3%A9s
"dans l'interêt de qui ?" ben dans le concept de "business-plan" comme on dit chez les guignols de l'info, de "lutte des classes" comme on dit chez Marx, ou simplement relisez comme je viens de le dire !!!! et de le redire !!!!! la citation ci-dessus !!!

(et ça permet de mieux comprendre ce que nous révèle ce film : https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/Sous-titres-fran%... quand vous l'aurez vu vous comprendrez POURQUOI le grand capital et en particulier Big Pharma a tellement la rage d'empêcher le public de le voir !  ii.gif  )

 

Et relisez mes analyses sur la "tendance longue" au nazisme, qui revient toujours.

LE PIRE ARRIVE CAR LE MONDE DES FINANCES S'EST APERÇU QUE LA PEUR POUVAIT ETRE RENTABLE

et de la même manière psychologique que Chouard démonte les méfaits de l'élection, ou Sven Lindqvist, les retombées des habitudes génocidaires prises dans les colonies, un commentateur nous rappelle : "Ils ont pillé l'Afrique et installé la corruption et la dictature. N'oubliez pas que si les politiciens prennent le gout au vol quelque part au monde alors ils se détruiront moralement et voleront ensuite leurs propres pays ! Même si vous avez la démocratie, ils chercheront d'autres moyens pour la contourner parce qu'ils ont soif d'argent et de pouvoir totalitaire, et c'est ce qu'ils sont : voleurs!
Donc ce système doit être arrêté partout dans le monde."

on est bien revenu aux temps où les allemands ont tous accepté sans broncher, et même avec bonne conscience "citoyenne" (comme on n'arrête pas de dire maintenant .....) de faire le salut "Heil Hitler !" , ou au temps où les français inondaient les Kommandantur de lettres où ils dénonçaient avec ferveur ceux qui écoutaient radio-Londres :

"Nous sommes gouvernés par des malades mentaux pervers apprentis dictateurs qui donnent libre cours à tous leurs instincts malsains et vont jusqu'à s'attaquer aux enfants(masques obligatoires du jamais vu sans parler de l'avortement à terme) c'est écoeurant) mais le plus triste c'est l'absence de réaction de la majorité des gens qui ne veulent rien voir et qui continueront à voter pour les mêmes; finalement ils sont contents de porter leur masque même dans leur bagnole et un bon nombre se découvrent une vocation de petit flic pour moraliser ou même dénoncer ceux qui mettent en cause cette avalanche de normes stupides voire d'atteintes graves aux libertés; le Français est finalement très conformiste et avant tout soucieux de ne pas mettre en cause l'ordre établi quel qu'il soit, garant d'habitudes consenties et surtout imposées par un pouvoir sournoisement totalitaire."

 

(et ça permet de mieux comprendre ce que nous révèle ce film : https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/Sous-titres-fran%... quand vous l'aurez vu vous comprendrez POURQUOI le grand capital et en particulier Big Pharma a tellement la rage d'empêcher le public de le voir ! )

LA VERITE éclate : 

Monsieur Philippot je, nous, sommes du même avis que vous et c'est la raison pour j'ai adhéré peu importe ce qui peut nous séparer, nous nous battrons à vos côtés pour notre liberté, pour nos droits, et pour la sortie de l'UE, le Frexit, car c'est la condition préalable à l'arrêt des politiques anti-sociales actuelles, et à toute transformation socialiste de l'économie, renationalisation de nos Services Publics, défense des retraites et de la sécu d'Ambroise Croizat, etc, je partage un maximum et Merci à vous d'être en ces temps sur Terre à nos côtés. Il faut que tous les partis pro-Frexit vous rejoignent pour constituer un front électoral commun, un nouveau CNR.

15/12/2023

5G il n'y a rien de tel que les FAITS et que les CHIFFRES ! même pas besoin de commentaires

L'épidémie  a-t-elle frappé   plus  fort    là   où   il   y   a   la 5G ?    VRAI

regardez ces cartes et ces chiffres, ils mettent en relation la présence (plus ou moins intense, voir le cas de San-Marin est le plus équipé en 5G, un pays pionnier en la matière ....) de la 5G et le nombre de cas de Covid19 par millier d'habitants. C'est patent !!!! pas besoin de commentaires ! (si ce n'est que la légende de la carte étant en anglais, le point équivaut à une virgule, entre la partie entière et la partie décimale des chiffres)

5G compar. Italie San-Marin (plein de 5G) Croatie pas.png

 

maintenant l'Espagne, on compare les diverses provinces, certaines ont une forte présence de 5G d'autres pas, que constate-t-on ?....
(NB, au Portugal pas de 5G et un taux d'infection très bas)

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5G comparatif de diverses provinces avec un sans 5G.png

une petite remarque : si vous cherche sur internet par google, Google ne vous montre QUE, EXCLUSIVEMENT, des articles disant que ces rapprochement, documentés ici de manière simple et patente, ne sont que des "théories du complot" (par exemple la théorie de la police de Chicago selon laquelle Al Capone était à la tête d'un vaste réseau mafieux .... ou celle selon laquelle l'attaque des la station radio de Gleiwitz ne fut pas le fait de soldats polonais, mais de soldats allemands à qui Hitler avait fait revêtire  des uniformes polonais ! Ou encore la Conspiration de Galba qui visait à détrôner Néron). Visiblement il y a des intérêts puissants qui "ont l'oreille" de google, et qui tiennent beaucoup à ce que le public ne perde pas confiance dans une technologie qui représente un marché juteux !.....

Bref c'est comme pour la chloroquine ! un enfant comprendrait ! pas besoin d'avoir lu Karl Marx (quoi que ça aide !)

Pourtant la neutralité du Net voudrait que toutes les diverses opinions sur le sujet soient répertoriées, calmement et avec impartialité ! tien tiens ? qui a TELLEMENT intérêt à ce que certaines opinions ne soient même pas exprimées, enfin, opinions, il suffit d'exposer des FAITS, des CONSTATATIONS, des CHIFRES, sans opinions, ça donne déjà à réfléchir non ??

maintenant dans cette vidéo lisez bien ce qui est dit de la minute 51 à la minute 57 :

https://ru-clip.com/video/RmVSyZxyibo/la-guerre-est-d%C3%A9clar%C3%A9e-contre-l-humanit%C3%A9.html

ET REGARDEZ CET ARTICLE : https://www.medicatrix.be/effets-des-champs-electromagnet... *

et celui-ci :

https://blogs.mediapart.fr/lenous/blog/250220/la-5g-est-une-guerre-contre-l-humanite-claire-edwards-membre-de-l-onu

 

Au fait, puisqu'on parle de chiffres :

Aucun presstituées ni journalopes n’ont parlé ou diffuseé les chiffres de morts de l’insee, que voici :

Février 2019 : 55 848 décès ( sans corona )
Février 2021:. 55 786 décès
( avec Corona )

Une pandémie qui fait moins de morts que lorsqu’il n’y en a pas !  Quelle est donc la vraie nature du truc ? .....

 

 

 

 

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