18/06/2016
secte ?
moi-même, quoique prenant vigoureusement leur défense, n’appartiens à aucune « secte », même pas à celle des adorateurs du Général de Gaulle, ni à celle des adeptes de Karl Marx. Tout juste, puisqu’aux yeux de certains c’est une « secte », à celle des espérantistes, (mais ni à celle des finvenkistoj, ni à la fameuse Civito), et aussi à celle des amis des chats, tout en refusant toute collaboration avec ces deux branches, que je considère hérétiques ! que sont la SPA et le mouvement Brigitte Bardot, dont j’abhorre le jésuitisme, les tendances totalitaires et flicardes, et aussi cette autre branche dissidente celle des vieilles dames nunuches. Moi ce serait plutôt la bonne vieille tendance : enfants et adultes au cœur d’enfants adorant leurs frères et sœurs les chats, une secte dangereuse et très mal vue, inutile de le dire. Je me méfie trop des dérives « bobos » possibles pour adhérer à la secte LCR et à son « gourou » Besancenot, je préfère la secte Laguillier, et ai en horreur les adeptes (selon les termes de Marianne2, branche française de la secte Carlyle !), non pas de Thierry Meyssan, mais de la plus dangereuse des sectes actuelles : celle des adorateurs de Sar-Koszy de Nagy Bosca.
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23/04/2016
das ist Propagand !
Habitant dans le Kent, Fabien a eu la surprise de recevoir dans sa boîte aux lettres une brochure assez luxueuse, émanant du gouvernement britannique et donc payée par tous les contribuables, expliquant aux électeurs pourquoi ils devaient voter en faveur du maintien du Royaume-Uni dans l’UE – et donc contre le « Brexit » -.
Comme il m’a autorisé à diffuser sa lettre sur nos sites Internet, je m’empresse de le faire car elle m’a semblé intéressante et révélatrice de la façon d’agir, populiste et mensongère, des européistes, au Royaume-Uni comme en France et comme partout en Europe. Je me suis simplement autorisé à ajouter quelques éléments sourcés qui illustrent son propos.
J’en profite pour le remercier publiquement pour son engagement à l’UPR et j’en profite pour transmettre à nos nombreux adhérents expatriés un chaleureux message de solidarité et de fraternité.
François Asselineau
LETTRE DE FABIEN MARIE DU 12 AVRIL 2016
« Bonjour M. Asselineau,
Cela ne vous étonnera probablement pas, mais le gouvernement britannique a décidé de passer à la vitesse supérieure en termes de propagande européiste, juste avant le référendum de mai.
Je viens de recevoir, comme toutes les personnes vivant en Grande-Bretagne, y compris ceux qui ne sont pas de nationalité britannique comme moi, un livret de 8 pages intitulé : « Why the governement believes that voting to remain in the European Union is the best decision for the UK » (ce qui signifie en français : « Pourquoi le gouvernement estime que voter pour le maintien dans l’Union européenne est la meilleure décision pour le Royaume-Uni »).
Sur le site du gouvernement, on retrouve les grands points développés dans ce livret, qui consistent à ressasser la même propagande habituelle : des promesses mirobolantes si l’on reste dans l’UE ; l’Apocalypse si l’on en sort.
Source : https://www.gov.uk/government/publications/why-the-govern...
Les promesses européistes : « Plus le mensonge est gros… »
Le livret gouvernemental promet ainsi que, si le Royaume-Uni reste dans l’UE, il en retirera notamment les bénéfices suivants (« benefits of EU membership ») :
– « a stronger economy » – « une économie plus forte » – : c’est du plus haut comique, ou du plus grand mensonge, lorsque l’on sait que l’UE est la zone du monde en plus faible croissance depuis 15 ans.
– « improving our lives » – « l’amélioration de nos vies » – : il fallait oser l’écrire, alors que l’UE est devenue le théâtre de la flambée des inégalités, de la montée continuelle de la pauvreté, de la démolition des services publics et de l’abrogation des droits sociaux exigés par la Commission européenne sur la base du TFUE.
– « controlling immigration and securing our borders » – « contrôler l’immigration et sécuriser nos frontières » – : il y a là aussi de quoi éclater de rire (ou de colère…) devant une telle outrecuidance dans le mensonge et le déni de la réalité.
Le populisme européiste dans toute sa fausseté
Le même document annonce en revanche l’horreur si les Britanniques votaient en faveur de la sortie de l’UE :
– le chapitre « what happens if we leave » – « ce qui se passera si nous sortons » – est illustré de chiffres inquiétants, tels que :
-> « 44% of UK exports go to the EU » – 44% des exportations britanniques sont vendues dans le reste de l’UE –
-> « EU market make up almost 80% of the UK economy » – le marché de l’UE représente 80° de l’économie britannique –
Le document sous-entend ainsi que, si le Royaume-Uni sort de l’UE, il se condamne à perdre 44% de ses exportations, ou à affecter 80% de son économie….
C’est évidemment un mensonge grossier, car le tarif extérieur commun appliqué par l’UE aux produits fabriqués hors-UE est très faible dans la plupart des domaines.
Il faudrait d’ailleurs répliquer au gouvernement britannique que les pays de l’UE représentent – par exemple – une part essentielle dans l’économie suisse (45% des exportations suisses, 66% des importations), et que cela n’empêche nullement la Suisse de rester en dehors de l’UE.
(cf. http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/06/05/... )
La Chine ou tous les pays émergents du monde qui déversent leurs produits sur le marché européen sont également là pour témoigner du caractère odieusement mensonger de la propagande du gouvernement Cameron.
CONCLUSION
Cette propagande suscite en moi deux réactions mitigées :
1°)- d’une part, elle me fait sourire car elle prouve que le gouvernement pense que la sortie de l’UE est désormais possible, sinon probable.
C’est ainsi que les deux sondages les plus récents, parus à dix semaines du scrutin, indiquent tous deux une nette poussée du « Non », qui ressort même désormais vainqueur.
(Source :
– le dernier sondage ICM fait apparaître que 43% de Britanniques voteraient pour le maintien dans l’UE, 46% voteraient en faveur du Brexit, et 11% seraient encore indécis.
– le dernier sondage Ipsos Mori, indique que le nombre de partisans britanniques de l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE a diminué de 54% à 49%.
https://fr.sputniknews.com/international/2016041310241965...)
2°)- d’autre part, cette diffusion par courrier dans toutes les boîtes aux lettres du Royaume-Uni me paraît scandaleuse à plus d’un titre.
Bien que n’ayant pas la nationalité britannique, il me paraît quand même choquant que le gouvernement dilapide les deniers publics – c’est-à-dire l’argent de 100% des contribuables – afin de convaincre les sujets de Sa Gracieuse majesté du bien fondé du seul point de vue européiste.
Cette brochure a coûté la bagatelle de 10 millions de livres (soit 12 millions d’euros) à l’État (source : https://francais.rt.com/international/18699-brexit–gouver... ). Elle est donc financée par les contribuables, alors qu’environ la moitié d’entre eux sont favorables à la sortie de l’UE ! En vertu de quoi la moitié des contribuables britanniques doivent-ils financer une brochure destinée à soutenir ce qu’ils combattent ?!
En démocratie, et conformément à l’origine du financement, si brochure gouvernementale il devait y avoir, celle-ci aurait dû consacrer la moitié des pages aux partisans du maintien dans l’UE et l’autre moitié aux partisans de la sortie.
Cette affaire est d’autant plus blessante que cette démarche revient à considérer de facto les électeurs comme des enfants, des personnes incapables de prendre la bonne décision dans l’intérêt de la Couronne.
Un dernier mot : sachez que, comme beaucoup d’expatriés au Royaume-Uni qui vous connaissent et qui connaissent l’UPR, je vous remercie infiniment pour ce que vous faites.
Pour nous tous Français, et pour notre pauvre France, ce pays si cher à notre cœur et qui vit des heures bien sombres, c’est un cadeau inouï que vous nous faites au quotidien ou presque : nous rendre l’espoir.
Fabien MARIE
Adhérent UPR expatrié au Royaume-Uni
(dans le Comté du Kent) »
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17/04/2016
pour que la paix arrive il faut que la vérité puisse enfin jaillir
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09/02/2016
les aberrations des calotins actuels !
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03/12/2015
quels projecteurs vont tomber à vos pieds ?
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C'est une régression phénoménale !
14/10/2015
Ce temps est si sévère
En 1855 Théodore de Banville (un homme beaucoup plus sensible que le prétendent les manuels de littérature) semblait avoir déjà prévu quelle serait l'ambiance de notre sinistre époque !
Ce temps est si sévère
Qu’on n’ose pas
Remplir deux fois son verre
Dans un repas,
Ni céder à l’ivresse
De son désir,
Ni chanter sa maîtresse
Et le plaisir !
On croit que, pour paraître
Rempli d’orgueil,
Il est distingué d’être
Toujours en deuil !
Les topazes, la soie,
La pourpre et tout,
Ne font pas une joie
D’assez bon goût,
Et les bourgeois que flatte
Un speech verbeux,
Ont peur de l’écarlate
Comme les bœufs !
O pauvres gens sans flamme,
Qui, par devoir,
Mettent, même à leur âme,
Un habit noir !
Qu’ils ne puissent plus boire
Sans déroger,
C’est bien fait pour leur gloire !
Mais, cher Roger,
Nous de qui le cœur aime
Un doux regard,
Admirons ce carême
Comme objet d’art,
Et restons à notre aise
Dans le soleil
Qu’a fait Paul Véronèse
Aux Dieux pareil !
Sa lèvre nous embrase !
Que ces marchands
Gardent pour eux l’emphase,
Et nous les chants !
Tant que des gens moroses
Le ciel épris
Ne mettra pas aux roses
Un habit gris,
Tant qu’au dôme où scintillent
Les firmaments,
Parmi les saphirs brillent
Des diamants,
Tant qu’au bois, où m’accueille
Un vert sentier,
Naîtront le chèvrefeuille
Et l’églantier,
Tant que sous les dentelles
Daignent encor
Nous sourire les belles
Aux cheveux d’or,
Tant que le vin de France
Et les raisins
Porteront l’espérance
A nos voisins,
Gardons la jeune Grâce
Pour échanson,
Que jamais rien ne lasse
Notre chanson
Et vous que j’accompagne
Jusqu’au mourir,
Versez-nous le champagne !
Laissons courir,
Avec l’or et la lie
De sa liqueur,
L’inconstante folie
Dans notre cœur.
Buvons ce flot suave
Et sans rival,
Et nous prendrons l’air grave
Au carnaval !
(confirmation de l'évolution de notre sinistre époque : les études ont montré que les gens de nos jours rien dte 10 à 20 fois moins souvent qu'en 1930 https://sharknews.fr/2012/09/19/internet-le-refuge-du-rire/3705/
05/10/2015
crimes
Une étasunienne responsable du dossier « crime informatique ». Seigneur ! C'est quand on assassine un ordinateur de ses propres mains ?
Voyons ! il ne faut pas oublier que dans les pays anglo-saxons est « crime » tout ce qui est illégal : vous donnez à manger aux pigeons dans une ville où le maire l'a interdit, c'est un crime, vous arrachez une affiche électorale, c'est un crime, vous tuez votre mère c'est un crime, vous tuez votre belle-mère c'est un crime, vous faites l'amour à votre femme un jour où elle a mal à la tête c'est un crime, vous fumez dans un café en France, ou sur un trottoir de San-Francisco, c'est un crime, vous escroquez et ruinez des millions d'épargnants, non là c'est pas un crime c'est un délit financier, et si vous les poussez au suicide en les licenciant là c'est votre droit le plus strict, même là on vous félicite : c'est une mesure d'assainissement financier de l'entreprise.
07/06/2015
si je comprends bien Colette Renard est une "femme soumise" ?
et une intégriste musulmane portant ce qu'on n'appelle plus de nos jours que "voile (sic) islamique" (pourtant de son temps on appelait ça différemment, et toutes les femmes en mettaient, sans qu'on s'avise de leur interdire l'entrée dans les écoles !!!)
Colette Renard, vous savez, cette islamiste soumise qui chantait "ça c'est d'la musique !" ou "tais-tois Marseille" ou encore :
"Un bonheur ça se construit, un bonheur ça se fabrique, coeur à coeur et brique à brique, comme on bâtit sa maison"
http://fr.lyrics.wikia.com/wiki/Colette_Renard/Le_bonheur
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29/05/2015
nos marquis et leur repli identitaire
http://tousensemble-90.blogspirit.com/archive/2005/06/20/les_ouistes_restent_en_tete.html#more
lundi, 20 juin 2005
Deux jours après la grosse baffe du 29 mai, Christine Ockrent tenait salon sur France 3. Tout l’ancien régime y était réuni, rose et poudré comme à Versailles, continuant à déguster du Oui comme Marie-Antoinette de la brioche : un maître-sondeur (Stéphane Rozès), un expert aux cheveux oxygénés (Pascal Perrineau), un directeur d’opinion (Serge July), un socialiste (Pierre Moscovici) et quelques autres qui leur ressemblaient comme deux gouttes de verveine. L’un parlait du « front de la conservation sociale » forgé par les électeurs du Non, un autre postillonnait sur leur « xénophobie », un troisième s’affligeait de l’ère glaciaire qu’allait connaître l’Union européenne. Leur baratin déjà mille fois ressassé, mille fois réfuté, et que les urnes venaient de disqualifier pour de bon quarante-huit heures plus tôt, ils nous le resservaient comme au premier jour, vivifié par leur appartenance toute neuve à une minorité rebelle quoique archi-dominante. L’esprit pionnier de Lafayette...
Cependant, nos marquis se targuant de causer au nom de la démocratie, au point de se confondre totalement avec elle, ils s’avisèrent que le « camp du Non » avait bien droit à un tabouret au bout de la table, près du rince-doigts en faïence et du crachoir Louis XV. Non bien sûr qu’il faille accorder le moindre crédit à ce que peuvent dire les vilains, les hétéroclites, les « extrêmes qui se touchent », les trop-Français, les pas assez-Français. Mais quand même, malgré les maladies vénériennes dont ils sont porteurs, malgré la bouse qui leur colle aux semelles, malgré leur rigidité fruste, leurs acquis sociaux fétides, leur peur irrationnelle du changement, ces gens-là existent. Rappelle-moi, ils ont même gagné une élection, non ? Alors il faut faire avec. Un peu, pas trop, presque pas. Juste assez pour égayer le banquet. C’est là où la décadence aristocratique toucha au sublime. Car qui reçut des mains de la douairière Ockrent le titre d’ambassadeur de la France des 55 % ? Sur quel bouffon l’amicale des seigneurs allait-elle se venger de la fronde référendaire ? Coupons court au suspens : Jean-Claude Mailly ! [1]Oui, le patron de Force Ouvrière. Petite chose toute molle, sauf le respect. Bonne tête à claque, piètre orateur. Chaque fois qu’il hasardait un mot sur la « dimension sociale » du vote, la dinde Ockrent lui volait dans les plumes en caquetant : « ah ça, mais !... » Le Mailly en était tout ébahi. Pas moyen de finir une phrase. Dès qu’il gonflait les joues, l’autre lui claquait le bec. On ne l’a même pas vu partir.
Ce qu’on a vu par contre, et avec fascination, c’est l’application avec laquelle les poudrés entreprirent de ne pas « se couper » totalement du peuple. Le peuple avait ses raisons, après tout. Dont une que l’on pouvait à la rigueur tenir pour légitime : l’impopularité de Raffarin. À ce propos, Moscovici relaya le message déjà martelé par Hollande : ce vote a été un vote de contestation contre Chirac et son gouvernement. Point final. Tu changes de président et de gouvernement, et tout baigne comme avant. Sous la conduite éclairée du PS, le peuple serait à nouveau sous contrôle. Pas une seconde l’idée ne les effleura que c’était aussi à leurs têtes de cons qu’on en avait, à leur bilan au pouvoir, à leur célébration du travail, à leur culte de la laideur, et puis à leurs pauvres mots tout creux, vidés de leur sens comme on éviscère un ortolan.
Mais la pire entourloupe était encore à venir. À peine assurée son repli (identitaire) dans ces maisons de maître que sont les plateaux de télévision, la Restauration sonna le tocsin de la guerre civile. Dans Le Nouvel Observateur (02/06/05), Jacques Julliard constata en avalant une bouchée de brioche : « La fièvre. La fureur. La rage. Un parfum de guerre civile. Une envie de lynchage sans que l’on sache encore qui en sera la victime. Paradoxe : des Français littéralement hors d’eux ont décidé de se replier sur eux-mêmes... » Dis, Jacquot, faut aller beaucoup au cinéma et avoir un joy-stick à la place du cervelet pour se mettre dans des états pareils. Le droit de vote, que beaucoup ont trouvé la ressource d’exercer à nouveau, un lynchage ? Et tu te demandes qui en sera « la victime » ? Mais c’est nous, ducon ! Le dindon de la farce, c’est évidemment tous ceux qui espéraient ou faisaient semblant d’espérer que voter non à une Constitution digne du règlement intérieur d’un centre commercial permettrait sinon de bloquer les caisses, du moins de les chahuter un peu. D’accord, on se doutait bien que ce chahut serait sans effet durable. Et même on était assez affranchi pour admettre les hypothèses les plus baroques, y compris Sarkozy remplaçant Villepin qui remplace Raffarin, oui, pourquoi pas ? Ils mettent des policiers partout en bas, normal qu’ils mettent des ministres de l’Intérieur partout en haut. On ne se faisait pas d’illusions. Mais de là à...
De là à métamorphoser le Non à l’Europe libérale en un Oui au libéralisme tricolore, c’était plus dur à faire passer. Politiques et médias s’y attelèrent dans les jours qui suivirent. On vit soudain une nuée de ballons étoilés se lever dans les airs : « lutte contre le chômage », « cent jours pour la confiance », « modèle danois », « flex-sécurité », « assouplissement du droit du travail », « période d’essai de deux ans » et même « quotas de l’immigration »... Sur les ondes, dans la seigneurie d’Arlette Chabot ou les boudoirs de France Inter, les consanguins se trouvèrent à nouveau réunis, non plus pour bavasser sur le Non, la fureur et la guerre civile, mais pour dénoncer le chômage, ce « mal français » qu’il urgeait de guérir à la racine, c’est-à-dire par la médéfisation du travail et des frontières. Les gens réclament moins de concurrence ? On les exauce en leur en donnant plus. Les chômeurs ont massivement rejeté le traité de Giscard ? On leur administre un concentré de giscardisme. Les pauvres réclament de la solidarité ? On leur répond « quotas » et « flexibilité ». Le pont-levis est fermé, les châtelains bien à l’abri. Tout autour, il n’y a plus qu’à chercher les fourches, les échelles, les catapultes et les feux grégeois.
Olivier Cyran CQFD
18:50 Publié dans MÉDIAS ET PENSÉE UNIQUE | Lien permanent
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03/04/2015
entre lui et ses ennemis quel contraste !
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