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22/10/2021

Contrairement aux bistrots français et aux cours d'Espéranto, l'IRAN sera à partir du 23 octobre librement accessible à tous sans restrictions fascistes ou autres....

ainsi en a décidé le nouveau président anti-corruption et pro-peuple, donc ultra-démocrate et de centre-gauche de la République d'Iran, Raissi.

 

ah ! au fait revenons en France, un message de Florian Philippot, un peu le Raissi français :

chers Patriotes,
J’ai l’immense honneur de vous inviter à l’événement de lancement de ma campagne présidentielle !
Cet événement aura lieu le dimanche 24 octobre, à 14h aux « Docks Pullman » à Paris, adresse : 87 avenue des magasins généraux, Aubervilliers (infos transports sur le visuel ci-dessous).
Des bus seront mis en place pour ceux qui viennent de loin et qui sont intéressés, et le lieu est facilement accessible par métro et RER.
L’entrée sera évidemment gratuite.
Vous le savez, je le dis souvent, je ne pense pas que le destin de la France changera par une seule élection. Notre devoir constant est de faire monter le niveau de conscience générale du peuple français. D’éveiller un maximum de monde. Nous le faisons chaque jour, par des vidéos, par des manifestations gigantesques, encore ce mardi 12 octobre devant le Sénat, par des rencontres, par l’action remarquable des dizaines de milliers d’adhérents Patriotes et des bénévoles qui font vivre toutes ces initiatives dans nos régions !
Cependant, comme je l’expliquais le 14 juillet dernier lorsque je me suis déclaré candidat à l’élection présidentielle, la situation est bien trop grave !
Cette gravité exige qu’un discours clair et rassembleur de rupture avec l’ordre oligarchique, un discours de rétablissement total de nos libertés et de notre souveraineté nationale et populaire, qu’un discours franc de respect et de dignité, un projet d’amour de la France, de projection dans l’avenir, soit bel et bien présent dans l’élection la plus importante de notre pays !
Avec toute une équipe, j’aurai l’honneur de porter ces belles valeurs, et le 24 octobre sera un moments-clé pour y rallier un maximum de monde !
Afin que nous puissions évaluer le nombre de personnes attendues le 24 octobre, merci de vous inscrire via le formulaire ci-dessous si vous avez l’intention de venir. L’inscription au formulaire n’est pas obligatoire pour venir, mais elle est importante afin que nous puissions au mieux nous organiser

être candidat à l’élection présidentielle nécessite de réunir 500 signatures de maires. Nos équipes sont sur le terrain pour les recueillir. Néanmoins, si vous-même vous pensez être en capacité d’obtenir une signature, parce que vous êtes maire, ou parce que vous connaissez bien un maire, alors écrivez-nous sans délai à : parrainage@les-patriotes.fr

Ma campagne présidentielle sera l’inverse d’un alignement de promesses sans lendemain. Elle sera synonyme de sincérité, de vérité, de courage, d’espoir, portée par un amour indéfectible pour la France éternelle et l’immense enrichissement personnel que les dizaines de manifestations populaires auxquelles je participe depuis tant de mois m’apportent

Merci de relayer l’information partout autour de vous pour ce lancement du 24 octobre !
Il faut que ce soit un énorme événement, à la hauteur du magnifique projet d’avenir que nous portons pour la Franceµ
(et pour l'humanité, car là on est dans un défi anthropologique pour tout humain face à l'offensive fasciste et capitaliste de Klaus Schwab, l'OMS, et sa clique de kapos totalitaires, tel Macron)

Le jour des ELECTIONS n'oubliez jamais ces actes de Barbaries, n'oubliez jamais tous ces cas d'homicides volontaires..... Il y aurait eu tellement moins de morts si d'autres médecins tels P. PERRONNE, TOUSSAIN, LUC MONTAGNIE,  Louis Fouché avaient géré cette pandémie... J'espère que la JUSTICE saura condamner le jour venu ces criminels..

https://odysee.com/@ArtemisiaCollege:7/appels_a_reagir:1

même les nazis ne sont pas allé jusque là. on n'arrête pas de descendre dans l'ignominie et le totalitarisme déshumanisant

« Nous sommes tous dans le caniveau mais certains d’entre-nous regardent les étoiles. » (Oscar Wilde)

15/10/2021

LA BONNE REFORME DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL !

Florian Philippot a trouvé la meilleure solution pour une réforme du Conseil Constitutionnel; écoutez ça, enfin LA SOLUTION !
.

Et après on s'attaque au Sénat ! (un sénat tiré au sort en suivant les idées d'Etienne Chouard et de David van Reybrouck ça serait la meilleure solution !)

 

Comme c'est triste de voir les gens qui se proclament candidats pour défendre la France. La grande majorité d'entre eux est corrompue, hypocrite, opportuniste. Comme il fait bon de voir Florian se battre pour son pays. Je pensais qu'il n'existait plus de politique honnête, conscient de ses responsabilités, intègre dans sa démarche. C'est lui que les gens "propres" doivent suivre et élire.

 

13/10/2021

qu'est-ce que la révolution a changé à

* On devrait sur le modèle de la célèbre blague soviétique « Qu’est-ce que la Révolution a changé aux boucheries ?(1)» faire une série de textes sur « Qu’est-ce que l’époque actuelle a changé à -- ? »

Par exemple : Qu’est-ce que l’époque moderne a changé à la manière dont les enfants achètent des bombons ?

- Eh bien, avant les enfants allaient avec leur pièce dans une épicerie, et l’épicière, en souriant puisait les bombons dans un grand bocal de verre et les leurs remettait comme ça, ou tout juste dans un cornet de papier si c’était des bonbons collants.

- Maintenant (1990...maintenant c'est encore pire) ils vont dans un Supermarché, là ils trouvent des paquets de plastique, enveloppés dans du plastique, et contenant des enveloppes en plastique, au fond desquels se trouvent quelques bombons. Et ils n’ont pas le temps d’arriver à la caisse qu’ils se fond agresser par des vigiles privés qui leurs disent que les enfants n’ont pas à faire des achats eux-mêmes ni à pénétrer dans un Supermarché tout seuls, qui les menacent de la police et de la prison et qui vont les rendre traumatisés à vie, sans risquer pour autant de prendre 20 ans de prison pour ça...

 

- Le monde, les mœurs changent.

Autrefois on s'adressait la parole, même entre inconnus, maintenant si jamais vous adressez la parole à quelqu'un on fait semblent de n'avoir rien entendu ou bien on appelle la police ! Autrefois la vie privée était respectée (sauf par les voisins et par les curés), maintenant tout le monde est sous surveillance de la DDASS et autres. Autrefois on se déplaçait en train ou en car, ( et il y en avait PARTOUT de disponibles, et des hotels !) maintenant en voiture. Autrefois on mangeait principalement des tartines de pain, maintenant on ne consomme presque plus de pain, et en Belgique plus du tout. Autrefois les enfants jouaient sur la chaussée, maintenant ce n'est plus possible, et si jamais ils le font sur les parkings ils sont catalogué "loubards". Autrefois les animaux menaient souvent une "vie de chien", maintenant on les euthanasie, les humains aussi. Autrefois il y avait le clair de lune et les étoiles, maintenant l'éclairage urbain. Autrefois les pannes d'électricité, les bougies, la radio, aujourd'hui la télé. Etc.

 

 

-  Autrefois - plus loin ! - disons au XVII ème siècle, les grands drames d'amour venaient des amoureux qu'on empêchait de s'aimer et de s'épouser à cause des préjugés sociaux ou de l'autorité toute-puissante que les parents avaient sur leurs enfants (mêmes grands). C'était le principal sujet de la littérature.

De nos jours ce genre de drames n'existe plus (sauf dans les pays islamiques). de nos jours les drames d'amour viennent des enfants qu'on arrache à leurs parents ou au parent (généralement les hommes) auquel l'autre parent (flanqué là aussi de l'autorité des juges et de la police !) empêche de voir ses enfants; c'est l'équivalent XX ème siècle de la "plaie" et des drames de la société du XVI ème siècle, et c'est là que la littérature pourrait puiser des drames et de pitoyables tragédies ( et le cinéma commence en effet à l'aborder avec "Ladybird" de Ken Loach ou (en version comédie) "Mrs Doubtfire".

(par contre il y a des choses qui reviennent, français vous vous souvenez de l'ordonnance du 8 juillet 1942....
En Italie, citation du plus grand philosophe italien vivan :  "comment peut-on accepter que, pour la première fois dans l'histoire de l'Italie, après les lois fascistes de 1938 sur les non-aryens, on crée des citoyens de seconde zone soumis à des restrictions identiques à celles subies par les non-aryens")

 

12/10/2021

Enveloppez-vous dans mon manteau de voyage La grande neige d’automne fond sur votre visage Et vous avez sommeil

Quelques extraits de mon journal intime il y a bientôt 30 ans comme je l'ai déjà dit et redit plusieurs fois !!!


16/2/1985 sur certains souvenirs récents et sur l’ONIC :

Se rendent-ils compte de ce que ça représente de vivre ça, tout seul ?

Ils (elles) me font l’effet de petites figures en carton-pâte qui s’agitent en tous sens, de puériles et inconsistantes marionnettes, sans cœur, et qui ne communiquent rien avec personne, qui échangent des lieus communs et des faux-semblants, ils jouent, avec leurs esprits égoïstes et étroits, à un jeu codé, se masquent les réalités quand elles sont gênantes, et crêvent et puis on t’enterre et puis c’est fini» chantait vers 1960 ROBERT LAMOUREUX. Et les survivants continuent de s’agiter frénétiquement et de manipuler le jeu.

 

- Avec le temps vient le moment où on n’a même plus la force de se révolter, comme ces vieillards qu’on voit évoquer leur mort en
l’acceptant, voire en la souhaitant, état ultime d’aberration et de
déchéance humaine. Déjà avec l’age l’avachissement, le dessèchement du cœur on perd la conscience des choses, même si on l’a eu étant enfant, même si on en a plus que jamais le savoir intellectuel. Et puis  quand l’expérience de la vie, le désespoir et la fatigue ont fini par tout miner, user les facultés productrices d’illusions …n'y a-t-il rien d'autre que le vide et le gâchis ? Et pourtant j'aime tellement la vie. Même si on passe à côté de tout. Même si l'immense majorité des gens sont si bêtes qu'ils lui coupent les ailes et la ratatinent d'égoïsme, de conformisme, d'inconscience et de vulgarité. Et pourtant il y a tellement de si belles choses; du langage Prolog à
l'architecture du château de Hillerød, de la morale personnaliste aux beaux gros minets.
Pourquoi faut-il que tout cela, et la vie de tous ces enfants soient dénués de tout sens !


-
Le 3 avril au soir : Pourquoi faut-il n'avoir à penser que des trucs à vous fendre le coeur ?!  enfermé de toutes parts, hermétiquement, de murs entiers de choses à fendre le coeur. Sans pouvoir y échapper, sans même pouvoir se voiler la face
ou se boucher le nez.
J'ai un coeur qui ne demande qu'à déborder de tendresse, une âme qui ne demande qu'à être aussi vaste que le Cosmos, aussi passionnée que la musique, et je suis irrémédiablement sevré de tout amour, d'espoir, de sens, autour de moi, devant moi que le vide, l'impuissance, le désespoir, le gâchis, la souffrance, et l'horreur.

 

Les chiens écrasés, cette forme de beauté, cette masse de chaleur et d’amour, de vie et de sensations qui est, là, transformée en une informe galette de sang et de boue ; De temps en temps on en rencontre Nulle part, de quelque côté qu’on tourne son esprit, dans la sphère intelligible comme dans la sphère sensible, il n’y a aucun réconfort ni aucun espoir, aucun sens, rien qui soit désirable, ni même supportable. Il n’y a aucune chaleur nulle part dans la vie, ni dans les choses, ni dans les gens, rien qu’un froid mortel. Rien que la solitude et la conscience de devoir mourir.

 

- 8/5/1985 « Manhattan », le film de Woody Allen, est passé à la télévision. C’est un pur chef d’œuvre. Je suis allé le voir 2 fois au cinéma, ça fait donc 3 fois. Et s’il repassait à Arras j’irais encore le revoir une 4ème fois. Il y aurait tant de choses à en dire. La scène finale est une des rares œuvres qui me met les larmes aux yeux. Je me souviens ça ne m’est je crois arrivé qu ‘en lisant un extrait des « Mémoires d’outre-tombe » de Chateaubriand intitulé « Un orage en Suisse ». Et une fois en lisant « Brève rencontre » de Françoise Sagan. Et au cinema la dernière scène de « Paris, Texas »

 

- Je n’essaye même plus d’entreprendre ou d’acquérir quoi
que ce soit, à quoi bon ! puisque ce ne serait que encore des fatigues et des souffrances pour un résultat nul ou une dégradation supplémentaire. Si seulement avec toutes ces fatigues, efforts, souffrances, j’obtenais quelque chose ou si la stérilité n’était que le prix du repos et de la décontraction, même pas : Toujours souffrir pour rien,  fatigues pour le gâchis, dépenses de temps et d’argent pour un mal supplémentaire.

 

- 25/5/1985 Maman ! je voudrais mourir dans tes bras, et avoir enfin la paix.
Mon Dieu, je ne veux pas mourir ! Ayez pitié de nous. J’aime ce monde.

 

- Marie-José me réécrit, après 20 ans. Dans ses lettres je lui trouve un type flamand dans le caractère (et ce n’est pas un compliment)
Tant pis ! Puisqu’elle veut bien correspondre avec moi, je vais sauter dessus comme la pauvreté sur le monde !

 

 29/6/1985 Je vis dans  la solitude et l'incomprehension.
Et pourtant je suis sentimental comme un chévrefeuille  …



Le mardi 18 juin j'ai vu le film « Les baliseurs du désert ». Je me
disais C'est de circonstance, c'est comme mes vacances (en tous cas c'est comme ma vie) on cherche on n'arrive pas à savoir quoi, mais ce n'est pas gênant, puisque que de toutes manières on ne le trouve pas ! De toutes façons, c'est pas grave parce qu'il n'y a rien à trouver.

 

- 24/6/1985 Tous les gens que je fréquente sont tellement
médiocres, que même avec les très rares avec lesquels je peux me sentir en confiance, je ne peux rien partager.
J’aurais envie de faire venir l’accordeur de piano, rien que pour voir quelqu’un de sérieux : un professionnel « sérieux » c’est de nos jours quelque chose de si rare, et pour rencontrer quelqu’un, quelqu’un, et pas ces éternelles insignifiantes pécores.

 

- 30/6/1985 Tout va encore bien, mais un jour ça ne
fonctionnera plus ; un jour mon cerveau ne sera plus irrigué, alors toutes ces nunuteries, toutes ces cocottes en papier, toutes ces petites conneries disparaîtront et le monde avec, et la passé et l’amour.

 

Développer la comparaison entre le début d’un amour et le mouvement vers Dieu.

(sauf que je ne l’ai pas fait ! une fois de plus, décidément je ne suis pas assez doué, ou surtout trop feignant, note de 2003) Sauf que Dieu ne répond pas, n'appelle pas, n’a pas de qualités à lui, pas de défauts, pas de visage unique, sacré entre mille, on ne peut pas le serrer dans ses bras, manque plus rédhibitoire qu’on ne pense, pire : il n’existe pas.



Devochelle appelait Mme D.« la môme D. »,
car il l’avait connue toute petite. Bientôt on pourra l’appeler « Mémé D. » … Plus tard on dira « C’était là qu’était enterrée Mme D. » Moi je serai mort depuis longtemps, toutes mes affaires dispersées ou jetées à la décharge. Et plus personne ne se souviendra  seulement que j’ai existé. Pas même moi ; et c’est bien là le problème ……….


Souvenirs mis par écrit le 30/12/97…

Maman était tellement fatiguée qu’elle s’endormait en tricotant ou faisant du crochet, et toutes ses mailles se défaisaient, et quand sa tête penchait et tombait en avant ça la réveillait en sursaut, et ainsi de suite.

Tous ses travaux de broderies !

Elle avait un goût prononcé, et un don, pour la peinture, et n’ayant eu aucune formation, sans calculer ni y mettre d’application comme moi, dont les résultats étaient si maladroits malgré les efforts ! (ou à cause ?), elle parvenait à de bien meilleurs résultats, sans inhibitions elle improvisait des couleurs de son cru et c’était harmonieux ; elle aurait plu aux profs des écoles de maintenant. Mais de son temps ça n’existait pas. Si elle avait pu faire des études ? Mais dans son temps et milieu c’était exclu.

Tout ça a été jeté par papa après ; je n’ai presque plus rien.

Et les radio-crochets avec Zappy Max (Il est mort.. .). Les chansons de Dalida (elle est morte ...) à la radio.

Les cha-cha-cha burlesques. Mireille.
La Marseillaise tous les soirs à minuit à la fin des émissions.

Et les concours qu’on faisait, où il fallait classer les chansons dans le même ordre de préférence que le résultat global. (On n’a jamais gagné je crois)

« Quitte ou double », « Le rêve de votre vie », (et les publicités pour  Soir de Paris de Bourgeois et Kléber-Colombes) « Accusé levez-vous ! », « Je voudrais bien savoir », et l’après-midi du jeudi entièrement consacrée à des émissions enfantines. Michel Auriac, Marianne Oswald.

Stéphane Pizella, « Au-delà des mers » et Bachir Touré, le seul comédien noir à cette époque ! encore coloniale. Les émissions en langue kabyle qu’on écoutait tous les soirs. Et les émissions polonaises de Radio-Lille. « Mouvi Paris nafari gochni Lille » (je ne garanti pas l’orthographe !) Et Simons. Et les messages aux familles des militaires en Algérie. On ne savait pas ce qui se passait réellement à l’époque.

Tout ce que maman avait, des heures durant, raonté sur son enfance, sa jeunesse, sa famille, Malincourt, et les voisins, le curé Bodchon (il y a un opuscule de lui sur Internet ! http://pagesperso-orange.fr/pierre.decaudin/malincourt/in... j’ai vu) - qu’elle critiquait tant ! - et la vie à l’époque ; que j’ai oubliés. Ce n’est plus possible de le reconstituer… plus jamais.

L’éclairage dans les campagnes avant que l’électricité ne soit installée, les lampes à pétrole, les quinquets, les saucissons et les pains de sucre candi pendus au plafond, et dont on cassait de petits morceaux pour mettre dans le café, (ça c'était avant 14) les coups de casquette de son père (une fois passé la toute petite enfance, où ils avaient le droit de tout , les enfants étaient dressés à la dure). Le tennis sport de riches, le scandale devant les premières jupes « courtes » (au genou) etc. Les zizanies, rancunes, et autres démélés dans sa famille (ce n’était pas la joie !) Sa sœur Julie morte en couches, d’hémorragie (c’est pourquoi elle-même 15 ans plus tard est allé à la maternité, et avec raison, car elle aussi a eu une hémorragie), la phlébite et la mort de son père en 41, celle de sa mère en 46 (qu'elle appelait encore dans son sommeil à près de 70 ans) l’occupation par les soldats allemands en 14, et en 40. Les « pikinini chinois » en 18, et les prisonniers russes se nourrissant de trognons de betterave en 40. L’évacuation à Binche en 1918, et la grippe espagnole.

Le vieil Auguste Wargniez, si frèle, si vieux, et sa femme Reine. A Malincourt leur maison sur la place, et son beau « jardin de curé ». Maintenant la maison est mise à louer, en langue anglaise !…  pour des touristes !….

Les dernières batteuses, que je voyais passer dans la rue à Bailleul, et les derniers chevaux de trait, de race flamande, si gros et grands. Et la baladeuse à bras dont papa se servait pour aller monter des chapelles mortuaires chez les gens. La dernière pompe à eau publique dans la rue du Musée, supprimée après 1954, 55 ?
Les séances de jogging qu’on faisait avec Claude Roatta le midi (vers 1990, on change d’époque !), et avec la fameuse Noëlle (morte subitement longtemps après en 2007) en allant à la cantine, avec les aller-retour en voiture c’était la course (en 1987-89 ?), maintenant ce serait tout à fait impossible, les déplacements en voitures en ville deviennent de plus en plus lents et difficiles, quand ce n’est pas carrèment impossibles.

Les éboueurs, vers 1960, à l’époque pas de poubelles standard, ni de benne étudiée pour, simplement un camion où les éboueurs piétinaient dans les ordures en y vidant, à la force du poignet les récipients de fortune qui servaient de poubelle. (Maintenant c’est l’excès contraire ; je ne sais pas où ça va nous mener ce caporalisme et ce totalitarisme hygiéniste qui commence à étendre sa chappe de plomb sur la société (1998, et après ...)

un hygiénisme maladif, psychotique, qui provient du cerveau malade des eurocrates de Bruxelles

 

« Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
Et leurs baisers au loin les suivent

oui, c'est tout à fait ça. Très juste comme expression.

23/09/2021

25,3% de pétainistes en France !

72,7% des français refusent le passeport vaccinal

(une fois de plus : si nous avion le TIRAGE AU SORT, promus par Etienne Chouard, David Van reybrouck, Paul Le Fèvre et Dupuis-Déri, jamais une telle chose ne passerait, car à peu près 73% des députés tirés au sort voteraient contre)

 

On est comme en 40-44, entre les êtres humains et les âmes d'esclaves nazis il ne peut plus y avoir que le mépris et la haine.

 

la Résistance :

le vrai lien pour la vraie émisioncomplète 2 HEURES :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

pour une partie seulement de l'épission 40 minutes , sur cette saleté de totalitarisme capitaliste anglophone de Youtube

 

maintenant, cerise sur la gâteau, et c'est une sacré "cerise" je vous assure, regardez ce témoignage de quelqu'un de bien placé pour avoir une vue concrète et chiffrée (et pas trafiquable, elle !)des choses : un entrepreneur de pompes funèbres, préparez-vous, vous allez apprendre ce qu'il a constaté", et comme on dit "ça déménage" ! accrochez-vous bien :

https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/pompe-f...

20/09/2021

analyse du Dr Badel, psychiatre

Voici le texte entier du Dr Badel – source Ici.

COVID 19 : l’imposture

Malgré les nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique, malgré des recherches mondiales tendant à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, le gouvernement maintient une pression quotidienne à grands renforts de spots alarmistes, pénétrant un peu plus chaque jour dans notre vie privée et nous préparant à une vaccination.

La peur s’est installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions.

Elle se pérennise par d’autres mécanismes qui se superposent à ceux-ci.

L’absence de sens

Dans nos démocraties, nous sommes habitués à avoir des explications qui nous permettent de donner un sens, de comprendre ce qui nous arrive, ce qui arrive aux autres, d’orienter le monde pour nous y mouvoir et nous y adapter. Pour résumer, nous pensons que les personnes que nous avons élues œuvrent pour le bien commun. C’est un monde idéal, voire idéalisé.

Actuellement, le sens a disparu car tout et son contraire est dit sur le virus, et même les chiffres, éléments objectifs, ne sont plus pris en compte.

L’annonce de la catastrophe imminente nous maintient dans la plus grande incertitude et notre horizon se restreint. Les mesures de protection sont prises sans discussion, de façon arbitraire, le peuple étant totalement exclu et n’ayant aucune remarque à formuler.

Le gouvernement décide seul, avec le conseil scientifique covid19, de ce qui est bon pour nous, ce qui doit nous protéger, quitte à nous bâillonner, nous enfermer, nous sanctionner, nous tracer, nous exclure de nos emplois. Certaines villes sont frappées de privation de vie sociale, leur vie économique est réduite, laissant de nombreuses personnes sans emploi, dans l’angoisse du lendemain. Marseille hier en est le triste exemple. Quel sens donner à des décisions iniques ?

Privés d’éléments factuels et pertinents pour donner du sens, nous sommes de plus en plus sous emprise. Or, une personne sous emprise vit dans une terreur permanente qu’elle essaie de maîtriser en s’ajustant perpétuellement à la personne qui la dirige, pensant qu’elle est responsable de la situation et que, si elle opère les ajustements corrects dans son comportement, la situation s’améliorera. N’y parvenant pas, elle se pense mauvaise, justifie les mauvais traitements et sanctions qui peuvent lui être imposés, se culpabilise et augmente ainsi l’emprise, ou reporte la faute sur le voisin qu’elle sera prompte à dénoncer. Sa faculté de penser, son identité, s’amenuisent jusqu’à disparaître. Il devient alors très difficile de revenir à l’état initial, celui d’avant la peur et l’emprise. Celui du monde d’avant.

Les études rassurantes sur l’épidémie ou celles rapportant le caractère inutile, voire nocif du confinement, sont mises en quarantaine (ex : Full lockdown policies in Western Europe have no evident impacts on the covid-19 epidemic– Thomas Meunier, 24 avril 2020. ResearchGate).

Sous emprise (orchestrée par la propagande incessante couplée à la répression), nous sommes donc prêts à agir de façon irrationnelle, à nous faire tester pour ne pas risquer d’être dangereux, pour pouvoir travailler. Si nous sommes positifs, si nous détectons dans notre appendice nasal le signe d’un contact avec le virus, nous nous mettons spontanément en quarantaine pour ne pas nuire, empêchant ainsi l’apparition classique d’une immunité collective qu’on pourrait attendre.

Les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical.

Des files d’attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatiques ; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle (Swiss Policy Research).

Ces nouvelles habitudes rentent dans les mœurs. Nous sommes les grenouilles de l’expérience de Friedrich Gold : Gold testait la rapidité du système nerveux des grenouilles en leur infligeant un stress, à savoir faire monter la température de l’eau dans laquelle elles étaient trempées. Si la température montait brutalement, la grenouille s’échappait. En chauffant l’eau très graduellement, la grenouille se laissait cuire sans bouger et on la retrouvait morte. Même prise sous l’angle de la fable, nous pouvons craindre que le feu soit doucement allumé depuis mars par un gouvernement peu soucieux de notre santé.

De nombreux médecins étant contaminés par cette peur, certains malades ne sont même plus examinés. Ils sont atteints de la monomanie covid et la défiance des patients à leur égard commence à être perceptible.

Notre monde devient inhumain : les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, pour leur bien évidemment, et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus.

Nous développons la société du sans contact. Après que le sans-contact se généralise pour les paiements, il s’immisce dans les relations, y compris familiales.

Le maintien des comportements de sécurité inadaptés permet la propagation de la peur, de l’emprise, de l’idée de la présence menaçante du virus.

Nous sommes sous emprise, ne parvenons plus à réfléchir, nous nous laissons manipuler au point de nous transformer en grenouille.

Restreindre nos libertés, sur quel fondement ?

Si les décisions de restrictions de nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques.

Après les premières erreurs d’évaluation, le tort de nos dirigeants est d’avoir persisté sciemment dans l’erreur. Pourquoi maintenir des mesures liberticides, populicides (carence de soins, retard de prises en charge, suicides…) et nous pousser vers un avenir déshumanisé dans lequel tout est considéré comme dangereux ? Pour notre bien ?

Du point de vue ontologique, ce monde vers lequel nous allons est une aberration. Nous restons mortels et ne pouvons nous protéger de notre environnement bactérien et viral qui nous fonde. Les hominidés ont toujours vécu entourés de virus ; certaines pandémies ont décimé une partie de la population mais n’ont pas éteint l’espèce. Le virus actuel est loin de posséder le caractère agressif de la peste noire de 1348.

Vivre est dangereux, vivre est mortel, l’histoire d’une vie se termine toujours de la même façon. Une question plus intéressante à débattre est de savoir comment nous comptons vivre cette vie.

Le ministre de la santé a asséné que nous devions apprendre à vivre avec le virus. M. le ministre, cela fait plus de trois millions d’années que nous faisons ainsi et en tant que médecin, vous ne l’ignorez pas. Jusqu’à aujourd’hui, cela s’est plutôt bien passé. Depuis que vous avez l’orgueil de prétendre pouvoir contrôler la propagation d’un virus, toute une population souffre.

Le port du masque est une tentative de muselage des populations : pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, à regarder l’usage qui en est fait le plus souvent, (il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche de jean), il serait rendu rapidement inopérant. Le masque est inefficace, et il est dangereux : les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines. Il est vrai que réaliser une journée dans des conditions de privation d’oxygène est risqué.

On permet ainsi à des élèves masqués d’en fréquenter 35 autres également masqués chaque jour pendant 8 heures mais on interdit les regroupements privés de plus de 10 personnes. Dans les restaurants, on permet aux clients assis d’enlever leur masque mais on impose à ceux qui sont debout ou se déplacent de le mettre etc. Il n’y a plus aucune cohérence visible dans cette accumulation anarchique de règles dites sanitaires, il n’y a plus que l’arbitraire.

Le port du masque rassurerait la population entend-on parfois. En quoi les comportements de sécurité ont-ils jamais permis d’éteindre un signal de danger ? Au contraire, ils effraient.

Un proche me disait qu’il avait été arrêté dans la rue car son masque n’était pas positionné correctement. Quelle est cette police des mœurs qui émerge, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans?

A quand la lapidation publique pour avoir invité chez soi plus de dix personnes ?

Nous sommes poussés à la délation par des instances qui ont perdu toute boussole et refusent de regarder les données scientifiques.

La manipulation des chiffres : L’automne et l’hiver sont les saisons propices aux infections ORL et pulmonaires. Nous aurons donc des malades et des morts comme chaque année. Leur décompte, couplé à la détection systématique du covid, risque de gonfler les chiffres des « morts du covid » en ne les différenciant pas des « morts avec le covid », comme cela a été fait semble-t-il en début d’année 2020. Or, « Depuis le 1er mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019, et un excédent minime par rapport à 2018 (+1%). » (cf Nombre de décès quotidiens, France, régions et départements, www.insee.fr, 18/09/2020).

Ce risque d’amalgame est du reste déjà réalisé, favorisé par l’emploi systématique du mot « cas », source de confusion. Les chiffres présentés par le gouvernement sont ainsi ceux des seuls cas positifs. Or, comme l’explique de façon simple et pédagogique le Pr. Raoult, pour interpréter un phénomène, il faut croiser différentes données. On peut parler de 16000 cas positifs sans qu’il n’y ait aucun caractère inquiétant si la létalité n’est pas supérieure à ce qu’elle est habituellement à la même période, ce que les données de l’Insee semblent attester. Quant aux 41 morts décomptés récemment comme si une catastrophe était survenue et pouvait justifier encore les restrictions qui suivaient, ils n’ont rien d’alarmant.

Alors pourquoi une telle manipulation alors même que le virus aurait connu des mutations importantes et perdu de son agressivité ? Pourquoi ne pas relayer cette information et, plutôt que d’attiser les peurs, calmer les esprits ?

Nos dirigeants ont complètement perdu le sens des réalités car ce sont pourtant ces chiffres répétés chaque jour qui permettent à Marseille de renouer avec l’époque des grandes épidémies, lorsque la ville était bouclée. Nous agissons comme au temps d’avant les lumières, d’avant la science, en plein obscurantisme moyen-âgeux.

La dictature sanitaire

Le projet est déjà bien engagé, la vaccination des professionnels de santé contre la grippe étant d’ores et déjà annoncée. En sera-t-il de même pour le Covid quand, demain, il faudra écouler le vaccin contre un virus alors qu’il a déjà disparu ? Car il faudra bien que les laboratoires aient un retour sur investissement. Le corps des soignants appartient-il au gouvernement, aux laboratoires ?

Pour la première fois de l’histoire, un vaccin va voir le jour en un an. On peut espérer que nombreux seront ceux qui douteront des conditions de sécurité de son élaboration (raccourcissement des durée des phases 1, 2 et 3), de sa tolérance et de son efficacité. Les laboratoires eux-mêmes ont du reste déjà prévenu que les premières versions ne seraient ni les mieux tolérées, ni les plus efficaces !

Osons une petite prospection, le gouvernement en fait bien depuis le début de cette crise en annonçant tous les 15 jours l’arrivée de la deuxième vague depuis avril : la pente idéologique nous conduit prochainement au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile (je vous laisse le choix de la couleur). Les applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide de votre smartphone et de votre carte vitale, la surveillance sera totale.

Ces gens qui nous gouvernent n’étant pas stupides et disposant des mêmes chiffres que nous, nous pouvons craindre le pire pour nos droits fondamentaux.

Conséquences psychiatriques à ce jour des mesures iniques et arbitraires :

Aujourd’hui en pratique clinique, je vois des patients anxieux qui auparavant allaient bien, des patients déprimés, que la perte de sens ou de travail conduit au suicide. Certains également culpabilisent de rendre visite à leurs parents, qu’ils craignent pour eux-mêmes ou pour les autres ; je vois aussi des anciens qui pleurent de ne plus avoir de contact avec leur descendance. La possibilité de se rencontrer, d’échanger, de se toucher, disparaît, les lieux festifs ferment etc.

Et je vois, comme chacun de nous, des conducteurs masqués, seuls au volant de leur voiture, des joggeurs masqués…

Le peuple se porte mal car il est maltraité. Le monde qui se dessine est un monde qu’il ne souhaite pas et d’où la vie, ou tout ce qui rend la vie passionnante, s’échappe.

Un premier pas de raison serait de mettre fin immédiatement à l’état d’urgence, de rouvrir les lieux de convivialité qui ont été fermés, de rendre facultatif le port du masque à l’extérieur, d’arrêter de tester les personnes asymptomatiques.

Dr BADEL Frédéric
Psychiatre

(Maintenant souvenez-vous de comment ça s'est passé en  Allemagne nazie en 1933 .. . il y a des comparaisons intéressantes à faire .......)

Relisez mon analyse (ou celle d'auteurs plus "côté" !  tels l'éditeur anarchiste Michael Paraire, ou le philosophe Michel Weber !) qui identifie une tendance historique "lourde" au fascisme, qui a connu sa génèse durant le XIXè sicle, et dont on a connu un premier accès virulent dans les années 30, "surfant" sur la grande peur des possédants, bourgeoisie, rentiers, konzerns, banques, devant une révolution bolchévique comme en Russie, mais dont l'essence est dans ce que Zygmunt Bauman a appelé "l'esprit de la modernité". et regardez cette discussion entre trois gars du show-biz qui ont bien compris (et le disent, et donc sont censurés ! forcément ! logique ! un enfant comprendrait !) :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

diffusez cette vidéo au maximum, (comme on faisait pour les samizdats en URSS, ou pour les numéros clandestins des journaux de la Résistance en 1942, tels France-Soir !), il faut que les gens sachent !

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Cobaye-gratuit-:8
Si certaines catégories n'ont pas leur carte du NSDAP à jour de cotisation ils perdent leur boulôt, oui, comme les juifs sous Hitler (et Pétain)

les confinement la "distanciation", les couches-culottes sur le visage, tout ça n'avait pour but que de mettre la population dans un état de psychose, pour obtenir leur acceptation de l'inacceptable :
https://odysee.com/@BobTremblay:6/8037.1:d

16/09/2021

le moteur de recherche de la lutte de classe, ça doit forcèment être un qui prohibe le tracage capitaliste

(et tout autre)

le moteur de recherche de la lutte de classe.jpg

 

*

15/09/2021

Vive l'instruction en famille ! encore une date à retenir : la loi du Reich du 6 juillet 1938...

On n'est nul besoin d'être chrétien intégriste ni musulman, ni antirépublicain (!) pour trouver que le combat de Farida Belghoul pour la défense des ENFANTS, des INDIVIDUS CONCRETS? des ETRES HUMAINS VIVANTS AVEC UN CŒUR, UN DESTIN, UN FOYER, et LA PEUR CHEVILLEE AU VENTRE est absolument primordial !  à partir de 1 heure 45 elle explique le TRES TRES GRAVE problème maintenant qu'affrontent ceux qui veulent échapper à la jungle totalitaire de l'école et pratiquer l'école à la maison, ET C'EST CETTE ANNEE OU JAMAIS !!!! elle vous explique pourquoi :

et pour ceux qui veulent par solidarité avec les malheureux parents crevant de PEUR faire un don par chèque il y a sous la vidéo une adresse et elle vous donnera une adresse pour envoyer les chèques

 

(ET n'oubliez pas : un enfant qui n'a pas appris à lire par la méthode syllabique ne SAIT PAS LIRE ! d'où des problèmes sans fin (et tous ces adultes et ETUDIANTS qu'on voit partout maintenant sur Internet faire des fôtes enaurmes ! pas du Bernard Pivot !! des fautes d'enfants de classes primaires ! Farida se bat aussi sur ce terrain)

o
https://laveritesansmasque.blogspot.com/

https://ru-clip.net/video/2kldCihC5-A/le-masque-pour-les-...

Vendredi 2 octobre Macron a prononcé un discours aux Mureaux (1) dans lequel il appelait au « réveil républicain » face au « séparatisme islamiste ». Fustigeant les « comportements de certains » et leur opposant les « valeurs de la République », il a entre autres rappelé l’importance de l’école comme « creuset républicain », « cœur de l’espace de la laïcité », et lieu où former « les consciences pour que les enfants deviennent des citoyens libres, rationnels, pouvant choisir leur vie ».

À ce titre, outre le renforcement de l’encadrement des écoles hors contrat et la suppression des “ELCO”, ces “Enseignements en langues et culture d’origine” faits par des ressortissants contractuels des pays concernés dépendant des ambassades (mais remplacés par des contrats de même type, simplement plus encadrés), l’instruction en famille se retrouve dans le collimateur du gouvernement qui souhaite l’interdire, sauf raisons médicales.

Cette mesure ne passe évidemment pas auprès des associations et des parents des quelque 50 000 enfants qui bénéficient de cette possibilité d’instruction en famille.

Cette annonce, faite du jour au lendemain et devant prendre effet, après le vote de la loi, dès la rentrée de 2021, est vécue extrêmement mal par des familles qui pour beaucoup n’ont pas d’autre choix. (2)

Cette possibilité est pourtant très encadrée par les inspecteurs de l’Éducation Nationale et par les mairies. Les contrôles sont réguliers, et les sanctions, avec retour des enfants dans le cadre scolaire, tombent si une suspicion de conditions de vie et d’apprentissage non conformes est soulevée. (3)

Quant à la menace de "radicalisation" (sous entendu radicalisation islamiste)  des enfants scolarisés à la maison, nombreux sont ceux qui font remarquer que les terroristes qui ont agi ces derniers temps, soient avaient usé leurs culottes sur les bancs de l’école publique, soit n’avaient pas fait leur scolarité en France !

Le premier rapport annuel publié en 2003 par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) a fait le constat que la « suspicion de dérive "sectaire" n’est apparue que très rarement lors [des] contrôles [pédagogiques] » menés par les inspecteurs d’académie. En 2006, l’agence gouvernementale rappelait à nouveau qu’« il faut se garder de considérer que les parents qui éduquent leurs enfants à domicile ou les établissements privés hors contrat relèvent de la sphère des activités de nature sectaire ». (4)

La mesure annoncée par Macron semble donc être soit un effet d’annonce, soit une utilisation d’un problème réel pour faire – enfin – passer une suppression que la majorité des politiques essaie d’imposer depuis longtemps déjà. On peut ressortir par exemple un projet de loi de 2013, « visant à limiter la possibilité d’instruction obligatoire donnée par la famille à domicile aux seuls cas d’incapacité » (5).

Qui sont donc les parents d’élèves non scolarisés à l’école ?
Pour quelle raison font-ils ce choix ?
Et pourquoi devrions-nous tous nous sentir concernés par cette perte de liberté, même si nous n’envisageons pas ce mode d’apprentissage pour nos propres enfants ?

 

L’instruction en famille ?

« L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix. » (6)

Traduite en ces termes dans le Code de l’Éducation, l’obligation d’instruction décidée par Jules Ferry en 1882 a toujours respecté, en France, la liberté de choix des parents. Si l’instruction est obligatoire, l’école ne l’est pas.

On retrouve la même liberté dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 : « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. » (7) (article 26-3)

Si de nombreux pays interdisent l’instruction en famille, comme par exemple l’Allemagne depuis une loi du IIIe Reich du 6 juillet 1938 sur laquelle les Allemands ne sont pas revenus, cette liberté de choix n’avait pas été remise en cause en France jusqu’en 1998.

Depuis la loi du 18 Décembre 1998, sous le gouvernement Jospin avec le ministre Claude Allègre, le fameux « dégraisseur de mammouth », comme ministre de l’Éducation Nationale, les attaques contre cette liberté de choix se sont intensifiées.

En 1998 fut imposée la priorité à l’instruction à l’école et les contrôles des familles devinrent systématiques.

Puis, des mesures ont été introduites régulièrement pour renforcer les contrôles et imposer aux familles de suivre strictement le programme de l’Éducation nationale, ou dernièrement le « socle commun de connaissance et de culture ». La liberté pédagogique est diminuée au maximum, les enfants lors des contrôles sont soumis à des exercices écrits et oraux, dans un climat souvent très mal vécu par les familles.

La loi « pour une école de la confiance » votée l’année dernière, en plus d’étendre l’obligation d’instruction de 3 à 16 ans et d’imposer une obligation de formation de 16 à 18 ans, a achevé de donner un carcan à l’instruction en famille.

 

Pourquoi des familles choisissent-elles l’instruction en famille ?

Même s’il est en augmentation, ce choix reste peu utilisé en France. Il est en revanche en plein essor dans les pays anglo-saxons, où il a fait l’objet de bien plus d’études qu’en France. On peut les utiliser pour comprendre ce qui peut motiver les familles, même si le cadre sociologique français n’est pas le même.

Les motivations des familles, qui ressortent lors du recensement, en Amérique, et qui sont le plus avancées, sont :

  • la supériorité de l’éducation des parents à la maison (50,8 %)  ;
  • les motivations religieuses (33,0 %) ;
  • la mauvaise qualité de l’environnement scolaire (29,8 %) ;
  • l’objection au contenu des programmes scolaires (14,4 %) ;
  • le niveau insuffisant de l’enseignement scolaire (11,5 %).

On peut y ajouter les motivations liées à la santé et au handicap, au mode de vie familial (itinérance, éloignement géographique des établissements…), ou liées au vécu des parents de leur propre scolarité.

Dans « Instruction(s) en famille, Explorations sociologiques d’un phénomène émergent »(8)  Philippe Bongrand et Dominique Glasman expliquent que malheureusement en France ces motivations sont passées sous silence, et que les médias mettent surtout en avant soit des profils particuliers prônant l’épanouissement de l’enfant avant tout, soit des discours inquiets de la « radicalisation » à l’œuvre au sein de ménages non scolarisants.

            Ils regrettent que si ces profils, certes, existent, ils détournent l’attention du reste des familles qui ont fait ce choix, alors même que souvent de grandes souffrances se cachent derrière cette décision, vécue comme le recours de la dernière chance.

            Et pour détourner encore un peu l’opinion publique de cette liberté d’instruction chez soi, sont également mis en avant les problèmes de sociabilisation, qui ne pourrait se faire que dans le cadre scolaire, ce que réfutent les partisans de l’école à la maison. Des études anglo saxones montrent au contraire que les résultats de la scolarisation à la maison en terme de socialisation sont très positifs. (9)

Et le niveau scolaire ?

            Toutes les catégories socio-professionnelles utilisent l’instruction en famille, de nombreuses aides existant, depuis la scolarisation par le CNED (ex-CNTE) en France, ou les réseaux d’entraide entre parents. Cette possibilité n’est pas réservée, dans les faits, même si c’est une contrainte, aux classes les plus aisées. Il semblerait de plus que l’implication des parents dans l’instruction des enfants gomme les inégalités sociales et qu’elles n’aient pas d’impact négatif sur les résultats des enfants.

            Des études faites aux Etats Unis montrent que les enfants non scolarisés ayant passé des tests standardisés donnés habituellement aux enfants scolarisés ont des scores en général plus élevés. Et si globalement, le sentiment des parents pratiquant l’IEF est que leurs enfants s’en sortent mieux, également lors de leurs études supérieures ou une fois de retour dans un cadre scolaire, en tout cas les injonctions à retourner dans le système scolaire faites lors des contrôles sont rares, et rarement à cause du niveau.

            Une chose est sûre, si pour l’instant seulement 0,3% des enfants n’est pas sur les bancs de l’école, ce nombre augment de plus en plus en France ces dernières années (10) et le niveau de l’école publique est de plus en plus montré du doigt, inquiétant de plus en plus les familles.

            On peut se rendre compte de ce problème de niveau de notre système scolaire public simplement en étudiant le rapport de 2018 sur la journée défense et citoyenneté : près de 20% des jeunes ne maîtrisent pas des fondamentaux de la langue française et pour près de 10%, la lecture est non maîtrisée, au point de s’apparenter à un handicap pour 5% des jeunes ayant passé la journée d’appel. (11)

            Et si le classement PISA nous met toujours dans la moyenne des pays de l’OCDE, le niveau des élèves restant sable ces dernières années (mais peut-on s’en féliciter, quand notre système scolaire était envié, dans les décennies après guerre?), il est relevé que nous sommes champions… en inégalités, ainsi que sur un point très inquiétant pour l’avenir de notre pays : seuls 9% des élèves testés par PISA sont encore capables de faire la différence entre un fait et une opinion ! (12)

            Comment Macron peut il vanter l’école de la République, formant «  les consciences pour que les enfants deviennent des citoyens libres, rationnels, pouvant choisir leur vie », quand le résultat que l’on obtient c’est qu’une écrasante majorité ne peut distinguer fait et opinion, n’étant par là même plus capables de garder une pensée libre ?

            Comment ne peut on voir que ce n’est pas la « radicalisation » supposée des familles qui pousse à l’augmentation du nombre d’enfants instruits en famille, mais cette inquiétude pour nos enfants, liée au niveau de l’école, et aux difficultés rencontrées par certains, harcèlement, difficultés de scolarisation, désert scolaire dans certains lieux ?

            La première des solutions si l’on veut maintenir le maximum d’enfants à l’école, c’est de faire en sorte que ce ne soit pas un lieu qui renforce les inégalités, que ce ne soit pas un lieu qui nivelle le niveau des élèves par le bas et rogne leur capacité à penser, que ce ne soit pas un lieu qui maintienne les élèves dans un carcan où ils n’auront d’autre choix que de suivre la voie imposée même si leurs aspirations sont autres. Que ce ne soit pas un lieu situé trop loin de la maison, parce que l’on a décidé de faire des regroupements d’écoles trop petites et jugées non rentables. Ou que les choix de matières ne soient pas imposés par les restrictions budgétaires. (13)

            Il faut que l’école soit un réel lieu d’instruction, qui respecte l’envie d’apprendre des enfants, qui croit en leurs capacités et leur donne envie de réussir, qui leur donne des bases solides sur lesquelles ils pourront bâtir leur libre arbitre, et leur vie.

            Actuellement malgré les efforts et l’implication admirables des enseignants qui pour beaucoup se battent contre des moulins à vent, le « creuset républicain » ne forge plus l’élite de demain, mais la main d’oeuvre soumise qui créera la richesse des actionnaires de leurs futures entreprises.

            Dans ces conditions, l’instruction en famille devient une nécessité, un droit absolu pour tous ceux qui veulent une alternative autre qu’une école privée.

            C’est une liberté qui permet à de nombreux enfants de trouver un moyen de continuer à s’instruire.

            C’est un droit que chacun peut être amené à utiliser un jour, même pour une courte durée, pour passer un cap difficile.

            A l’UPR nous nous battrons toujours dans ce but, car comme l’écrivait Condorcet il y a plus de 200 ans,

L’inégalité d’instruction est une des principales sources de tyrannie (14)

 

(1) : https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/10/02/la-repub...

https://www.lefigaro.fr/politique/lutte-contre-les-separa...

(2) : https://www.liberation.fr/france/2020/10/04/ecole-obligat...

(3) : https://cache.media.eduscol.education.fr/file/Actualites/...

(4) : https://www.derives-sectes.gouv.fr/publications-de-la-miv...

https://www.derives-sectes.gouv.fr/publications-de-la-miv...

(5) : https://www.senat.fr/leg/ppl13-245.html

(6) : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI0...

(7) : https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/...

(8) : https://journals.openedition.org/rfp/8566

(9) : http://www.rama.1901.org/vens/jen/res-search.htm

(10) : https://laia-asso.fr/chiffres-etudes/

(11) : https://www.education.gouv.fr/journee-defense-et-citoyenn...

(12) : http://www.slate.fr/story/184872/classement-pisa-jeunes-1...

(13) : https://www.upr.fr/france/suppression-doptions-de-postes-...

 

Le "masque", parlons-en... Contre des virus, cela revient, en substance, à prétendre se protéger des piqûres de moustiques en s'enrobant d'un filet de pêche ! C'est donc uniquement un symbole : Le fait de le porter en public signe l'ignoble marque de notre SOUMISSION volontaire... (Comme le salut "Heil Hitler !" en d'autres temps) Nous sommes loin d'en sortir, du supermarché aux morts-vivants (zombies)... (au fait boycottez les Supermarchés et toutes les grandes surfaces !!!! achetez uniquement sur le marché ou dans le petit commerce !
En aparté: "domestication" est le terme et le concept adéquat, "vérifiables à chaque instant" !

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13/09/2021

Herr Wilhelm Frick ministre de l'intérieur du Reich vous connaissez ? - et son arrêté du 13 juillet 1933 ??

les gens qui ont accepté, bien "citoyens" , bien décents, bien "responsables et "solidaires" devant le danger du virus communiste de faire tous ce geste ridicule "Heil Hitler !", ceux qui acceptent de mettre une couche-culotte sur leur visage en entrant dans un magasin, sont de la même nature, pensez-y !!

Et aussi ceux qui depuis des années acceptent passivement que des entreprises capitalistes totalitaires (c'est un pléonasme !) INJECTENT des cookies à demeure DANS LEURS ORDINATEURS ! sont de la même nature et sont tous ceux qui comme disait Graham Greene dans Le Facteur Humain "sont ceux pavent l'Enfer"

Si vous avez un minimum de dignité et d'intelligence, pensez à tout ça !!!!

 

Les conséquences psychologiques vont être absolument dramatiques voir ineffaçables, déjà des milliers d’enfants doivent craindre de reprendre les cours avec la couche faciale (encore) … même Adolf Hitler n’aurait pas fait subir ça.

12/09/2021

leur gentille petite âme d'esclave .....

quand on pense à la spectaculaire transformation

 

qui s'est opéré en moins d'une décennie on reste pantoi, et effrayé, épouvanté, devant le degré de soumission, l'âme d'esclave, des français (ça a été beaucoup plus vite que pour les habituer à accepter le service militaire obligatoire : il y avait bien fallu une génération entière et des tonnes de gendarmes et de répression, plus des milliers de sermons des curés aux ordres - comme toujours ! - il y a eu énormément de refus et de révolte, pendant longtemps, j'ai lu un livre là-dessus) : quand je suis arrivé à l'IA par exemple on fumait partout, dans les cafés un non-fumeur n'aurait pas eu intérêt à rouspéter il se serait fait regarder de travers, le premier bureau où j'ai travaillé était un vrai fumoir, empesté comme on ne peut pas imaginer, et j'ai du choisir quand on a réorganisé les bureaux en 4 celui où personne ne fumait. Plus tard on a interdit de fumer dans les bureaux, alors tout le monde allait à la cafétéria. Ensuite, même les couloirs et la cafétéria ont été interdits, c'est à dire c'est là que le balancier est tombé du côté de la persécution et du refus de toute liberté et de toute vertu sociable ..... Puis même les cafés et les bureaux de tabac (mais par contre les trottoirs sont toujours aussi empestés par les émanations des voitures et les micro-particules diesel bien plus dangereuses que le tabac, et contrairement aux cafés, aller sur un trottoir ce n'est pas un choix, mais une obligation. Pareil pour la campagne qui est devenue un nid à cancers et à leucémies, avec tous les traitements de toxiques agricoles, j'ai connu trois personnes qui en sont mortes.) Maintenant, inutile de vous faire un dessin, les fumeurs sont réduit à l'état de parias comme les juifs sous les lois de Vichy, ils n'ont plus le droit de seulement entrer nulle part. Et les gens obéissent, tous, sans broncher !!!! (quand on se souvient de leurs comportement vingt ans avant c'est positivement incroyable, tout ça par la simple soumission devant le règlement ! ou le sentiment de culpabilisation entonné dans le crâne ?) sans rechigner spontanément, ils vont,comme les juifs avaient tous bien gentiment accepté de coudre de leurs propres petites mains une étoile jaune sur leurs vêtements, pour ne pas être en infraction avec la loi, parce qu'un citoyen bien discipliné doit faire comme ça, les fumeurs comme du bétail à la bétaillière vont fumer dans le froid sous la pluie (je ne vois pas le plaisir que ça peut encore avoir dans ces conditions) sous les regard méprisant des aryens, pardon, des non-fumeurs, haineux et bien-pensants.

Et ça degré par degré mais en pas plus de dix ans - en 1990 et quelques années encore après, malgré les tonnes de propagande déjà, c'était encore la pleine liberté, et de facto le règne (arrogant même !) des fumeurs partout – c'est fou !
Et affolant !
Très inquiétant. …..

Quelle va être la prochaine ????

Dont on sait déjà que les gens vont s'y plier, biens soumis, avec leur gentille petite âme d'esclave .....

 

ainsi maintenant les juifs à qui on demande de contrôler la validité de leur carte du NSDAP, non pardon ! des passeport vaccinaux des gens dont ils ont la charge disent "dura lex sed lex", c'est à dire exactement la même chose que leurs parents disaient quand on leur a obligé de porter l'étoile jaune et quand l'ordonnance du 8 juillet 1942 les a de la même manière que nos nouveaux "pas-aryens" interdit de tout lieu public et de toute vie sociale.....

incorrigibles !
Comme a dit Churchill dans un discours de 1948 "ceux qui refusent de tirer les leçons de l'histoire seront condamnés à la revivre"