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04/11/2021

en fait c'est encore pire

que ce que dit Farida, si on les laisse faire on va se retrouver dans une société où non seulement les personnes n'auront plus le droit de croire en Dieu, mais non c'est pire que ça ils n'auront même pas le droit de croire en l'HOMME, l'humanisme sera édicté être un CRIME, ILLEGAL, ni de croire en eux-mêmes, ni de s'aimer eux-même ni d'aimer leurs proches, ni leurs prochains (déjà il est interdit à Giuseppe Belvedere d'aimer les pigeons, c'est considéré comme un délit et une maladie mentale !)  ni d'exister purement et simplement (Au MAROC ils n'ont déjà plus le droit d'aller acheter de quoi se nourrir ni de mettre rle nez à la fenêtre si ils ne son pas soumis à l'esclavage totalitaire)  MAis comme je viens de le dire et redire plusieurs fois !!!! ils n n'auront même plus le droit de croire en l'HOMME, ni de CROIRE EN EUX MEMES même pas celui de croire en l'HOMME !! ni de CROIRE EN EUX-MEME, ni d'exister par eux-même purement et simplement ni d'aimer ni leur prochain ni leurs proches  (comme en sous le régime nazi ou sous Staline, où les gens n'avaient pas le moindre droit d'avoir le moindre sentiment particulier pour un autre être et qu'il fallait DENONCER obligatoirement toute personne pas dans les rails !!!) !!! NI DE PENSER !!! ni de chercher des INFORMATIONS, ni de RAISONNER, la RAISON sera considérée comme du complotisme POPULISTE homophobe et antisémite, bref anti-maîtres. ("l'éternel retour du concret" dit Lénine : à quoi on reconnaît ses maîtres ? à ce qu'on n'as pas le droit de mettre leurs paroles en doute, ni même de les nommer, )


29/10/2021

mithridatisation

 ( mithridatisation.

Et nous vivons, aujourd’hui, une forme de mithridatisation collective, sociale et sanitaire.On commence par de toutes petites doses, qu’on augmente à mesure que l’on y devient insensible.

La crise du Covid-19 a sonné le départ d’une perverse mithridatisation des esprits.

Le poison de cette mithridatisation, ce n’est pas le virus, c'est la fascisme ! ce sont les mesures qui s’accumulent pour, nous dit-on, nous en « protéger ». 

L’énormité de cette mithridatisation nous dépasse déjà.

Il y a deux ans, le principe du pass (en amerloque dans le texte !) sanitaire, hormis peut-être quelques technocrates fadas biberonnés aux GAFA[2], nous aurait semblé révoltant. Plus qu’inapplicable : inimaginable.

Mais la privation de liberté « pour le bien de tous » s’est faite à petites doses.

Il y a eu certes le choc du premier confinement, mais tout, ensuite, s’est déroulé par touches subtiles, comme sur un tableau impressionniste :

  • Les attestations de sorties ;
  • Le port du masque obligatoire ;
  • Le couvre-feu ;
  • La quarantaine ;
  • Les tests obligatoires, gratuits, puis payants ;
  • La vaccination « conseillée », puis « encouragée » et finalement de facto obligatoire…

Nous avons avalé toutes ces mesures empoisonnées. Une à une. Chacune allant un peu plus loin que la précédente, jusqu’à cet état de fait inquiétant : la discrimination pour raisons médicales.   l'ordonnance du 8 juillet 1942  vous connaissez ? sinon recherchez son contenu , vachement familier hein ! sauf qu'il suffit de remplacer "juifs" par "non-vaccinés")

 

27/10/2021

le nazisme 2.0 Valérie Bugault parvient aux mêmes conclusions que moi et de plus en plus d'auteurs, depuis mai 2020


et comme elle le dit à 7 minutes 40  c'est le fruit d'une évolution dans laquelle on était engagé depuis fort longtemps. Excusez-moi de revenir toujours à ça mais je crois que c'était le début, quand en 1978 on a (là aussi pour des raisons de lutte des classes, maximisation du profit, par la suppression des emplois, dans la perspective d'une vente au privé) remplacé les contrôleurs à la sortie des gares par des robots électroniques "contrôlez-vous vous-mêmes" (mais si jamais vous ne le faites pas on vous traitera comme des criminels !), et toutes les innovations qu'on nous a instillées petit à petit, depuis, et chaque fois sans révolte de la part des gens (sauf de moi ! mais j'étais bien seul et incompris) et sans prise de conscience des dangers que cela allait entraîner (pourtant déjà les antiques - et l'auteur du livre "ils pensaient qu'ils étaient libres, les allemands 1933-1945" -  le disaient "Principiis obsta" et "Finem respices")

"L’école à la maison va être interdite. Puis c’est la maison elle-même qui le sera, c’est-à-dire toute notion de foyer familial. Quant à vos déplacements, ce sera votre voiture dite "autonome" qui arrêtera leur quota. La loi sur l’euthanasie inscrira sur vos vies la date de péremption décidée par les sages hommes de Davos. Vu le programme, il faut se préparer au pire. Au fait, l’épidémie de Covid-19 est terminée depuis début mai et la surmortalité entre 2020 et 2019, corrigée de la tendance naturelle, n’a été que de vingt mille morts (calcul de Jean-Claude Barescut)… Moins que la grippe de Hong-Kong en 1969, qui s'en souvient ?  Bienvenue dans la société nazie 2.0 !"

(un commentateur sur Internet, qui analyse en profondeur)

 

Quand à l'histoire de la cloroquine elle relève du "business-plan" de Big Parma, c'est de la lutte des classes, le cynisme criminel du grand capital comme dit un commentaire sur Internet  "NOUS SOMMES VRAIMENT GOUVERNES PAR DES RATS IMMONDES, PETITS SOLDATS DES LOBBIES PHARMACEUTIQUES ET TRAITRES A LA PATRIE ET A L HUMANITÉ !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! UN JOURS ILS PAIERONT TOUS !!!!!!!!!!!!!! ET CES POURRIS DES MEDIAS AVEC !!!!!!!!"

Ce sont les concepts et et la vision du monde nazies qui meut tous les discours mmesures et projets du covidisme (et lisez les articles qui analysent le livre de Klaus Schwab ! fondateur du Forum de Davos et grand manitou de ce plan.

Lisez le livre de Jean-Marc Royer paru chez les éditions "Le Passager Clandestin"

et qui a pour titre "La monde comme projet Manhattan" il est très très important pour comprendre l'essance de tout ça, et àpporte de l'eau au moulin de mon article en Esperanto paru sur Sennaciulo "Longdaŭra historia tendenco"

Et LUTTE DES CLASSES !

décidément, "ils ne connaissent que le rapport de force !" À la surprise générale, hier, en commission les sénateurs ont rejeté l’obligation vaccinale Covid-19 : une excellente nouvelle ! Malgré tout, le Sénat doit se prononcer en assemblée plénière sur ce texte le 13 octobre : nous allons continuer de faire monter la pression, nous vous donnerons des informations sur ce sujet très bientôt !

Oui, ils ne connaissent que la mobilisation, la résistance et le rapport de force. De la même façon, le ministre du tourisme a renoncé à imposer le pass sanitaire cet hiver dans les stations de ski françaises.
Ce n’était pas gagné d’avance ! Il y a des victoires, il y a aussi malheureusement des points d’alerte : l’Agence européenne du médicament vient sans surprise d’approuver la 3è dose. La Haute autorité de santé veut l’imposer aux soignants, pour commencer… Et bien sûr, il y a cette menace qui plane de prolonger le pass sanitaire au-delà du 15 novembre ! N’oublions pas non plus nos compatriotes de Nouvelle-Calédonie et de Polynésie française, qui vivent une situation inacceptable. Et nous nous battons pour les centaines de milliers de travailleurs suspendus, soignants, médecins, pompiers, militaires, gendarmes, opticiens, dentistes, et tant d’autres dont nous exigeons la réintégration immédiate dans leur métier !

À ce sujet, je félicite les animateurs du Collectif de défense des travailleurs suspendus et vaccinés sous contrainte, qui s’est installé cette semaine, comme l’ADEE (Association de défense des élèves et étudiants), qui a mené ce mercredi une première opération devant le rectorat de Créteil !
Ces initiatives ont été permises grâce à des rencontres lors des immenses manifestations du samedi, et nous allons continuer à intensifier ce travail utile de mise en réseau de la résistance !

Toute action de résistance paie donc. Nous avons lancé il y a 10 jours une mobilisation générale pour bloquer la France. Les premiers blocages ont commencé en divers points du pays ce lundi, et même la presse a dû s’en faire l’écho. Ce n’est qu’un début !

Toute action de résistance compte. Ainsi, je vous attends pour cette 47è semaine de mobilisation plus nombreux que jamais pour le cortège national unitaire à Paris : rendez-vous à 14h place de l’Alma ce samedi 9 octobre.
Amenez du monde, soyons avec nos drapeaux français, et pourquoi pas des drapeaux australiens en soutien à un peuple opprimé, et nos pancartes « liberté ! », dans la paix et la force d’un peuple qui arrache des victoires mais veut gagner définitivement cette guerre qu’on lui mène ! Soyons une foule immense !
Les tentes de professionnels seront là : notre objectif est maintenant d’organiser les choses pour nos anciens, et les indépendants.

Sans votre soutien, rien n’est possible. Ainsi, un grand bravo à ceux d’entre vous qui dès maintenant vont rejoindre Les Patriotes, reprendre leur adhésion annuelle ou faire un don de soutien au mouvement, et donc à la résistance toute entière ! Tout cela donne droit à déduction fiscale. Et tout cela est vital pour un mouvement qui ne reçoit pas un centime de l’État, mais qui grâce à l’énergie de centaines de bénévoles sur le terrain porte quasiment seul tout le poids d’une résistance populaire face à la tyrannie ! (Pour aider, voir les liens en fin de mail).

Bravo aux référents et militants bénévoles qui organisent des rassemblements pour la liberté ce samedi 9 octobre :

75 PARIS  14h  Défilé national pour la liberté Départ : Place de l’Alma – métro Alma-Marceau. Avec Florian Philippot.

88 SAINT-DIÉ-DES-VOSGES  14h30  Défilé contre le pass sanitaire Départ : devant la cathédrale

La campagne présidentielle a commencé. J’aurai l’occasion d’y revenir. Mais déjà, j’entends des promesses fuser dans tous les sens. Soyons sérieux ! Que ce soit pour redonner de la dignité aux travailleurs, des salaires et des pensions décentes, remettre le service public au niveau, assurer sécurité et tranquillité, arrêter une immigration qui ne sert que les intérêts de l’oligarchie, permettre à la France l’indépendance énergétique et baisser les prix, avoir un outil de Défense puissant, un pays qui porte une voix indépendante dans le monde, qui rayonne culturellement, pour créer une démocratie directe réelle, il faut commencer par pouvoir le faire !

Aujourd’hui, sur tous ces sujets, aucune promesse n’est tenable dans un pays sous tutelle oligarchique. Sous tutelle de l’Union européenne, de l’euro, de la CEDH, de Schengen, de l’OTAN, sous tutelle de la grande finance : tutelles que nous devons défaire. Prisons dont nous devons sortir. Liberté et souveraineté que nous devons bâtir ensemble.

Si ce préalable n’est pas posé, toute promesse n’est qu’un slogan de campagne, qui a vocation à finir dans la corbeille à trahisons. Nous valons mieux que ça !


libération de la politique nationale de santé des "conflits d'interêts" et autres corruptions et soumissions aux puissances d'argent. SUPPRESSION DU CONSEIL DE L'ORDRE DES MEDECINS, qui a été créé à une sinistre époque (Pétain), et qui s'esrt gravement discrédité !

Je mène le combat avec vous, élections ou pas, car je crois en la force de nos convictions, en nos belles valeurs, en notre France éternelle, et je vous demande d’avoir chevillés au cœur la foi, l’espérance et le courage

Florian Philippot
(notre prochain Président ! la seule vrai opposition, qui sera le SEUL candidat de gauche dans les prochaines élections (Mélenchon , le rhéteur de centre-gauche est ambigu et pas crédible, Philippot sera notre De-Gaulle-France-Libre du XXIè siècle)

mais vu le tour que prend le comportement des mafieux mondiaux du covidisme, un de ces jours on apprendra (non, on ne l'apprendra même pas , les médias seront totalement censuré, ce sera "Nacht und Nebel") qu'il s'est suicidé subitement, ou qu'il a eu un accident de moto, a été tué par "un fou, tueur isolé", est mort d'une crise cardiaque dans une rue déserte, mort du Covid, tombé accidentellement du 42ème étage de l'immeuble du NHK, attrappé un cancer fulgurant, ou autre chose dans ce goût-là...

24/10/2021

depuis plusieurs décennies on nous a totalement décérébrés, il va falloir se refaire une culture politique, et une capacité à réfléchir CONCRETEMENT

Donc on commence par l'essentiel, la notion de "démocratie" - dans le dictionnaire de Richelet vous lisiez "démocratie ; régime où les places se donnent au sort", POINT ! fermez le ban ! - depuis plus de deux siècles on vit sur des mensonges ! et la crise actuelle nous montre à quel point ça peur être criminel et mortifère les mensonges ! alors, on commence ! regardez cette vidéo :



ça c'est élémentaire, un enfant comprend, pas un électeur !!! mais un enfant  - lui ! - comprend.

Il est donc interessant de revoir les argument d'Etienne Chouard pour le tirage au sort, opposé à l'élection des députés.

 

1. L'élection repose sur la volonté des gens et donc donne de nombreuses prises aux escrocs, menteurs séduisants, trompeurs professionnels de volonté.

1. Le tirage au sort ne repose pas sur la volonté des gens et donc ne donne aucune prise aux escrocs, menteurs séduisants,trompeurs professionnels de volonté.

 

3. L’élection pousse au mensonge les représentants : d’abord pour accéder au pouvoir, puis pour le conserver, car les candidats ne peuvent être élus, puis réélus, que si leur image est bonne : cela pousse mécaniquement à mentir, sur le futur et sur le passé.

3. Le tirage au sort dissuade du mensonge les représentants, aussi bien pour accéder au pouvoir que pour le conserver : d’abord le mensonge ne sert à rien (et on évite les intrigues)

4. L’élection pousse à la corruption : elle permet (à ceux qui le peuvent) d’aider des candidats, et les élus ainsi "sponsorisés" sont ainsi mécaniquement dépendants de ceux qui ont financé leur campagne électorale et acheté les médias pour les faire connaître davantage que les autres candidats. Les acteurs politiques serviront des intérêts particuliers au lieu de servir l’intérêt général.

4. Le tirage au sort ne permet pas d’aider quelqu’un à accéder au pouvoir. Ceci est absolument décisif. Il ne peut pas y avoir de tirés au sort sponsorisés-donc-débiteurs. L’indépendance des représentants est donc garantie (alors que l’élection l’interdit !).

Les acteurs politiques serviront le bien commun au lieu deservir des intérêts particuliers.

5. L’élection favorise certaines classes sociales et en défavorise d’autres : ceux qui parlent bien, ceux qui savent s’imposer, et ceux qui ont des facilités (avocats et fonctionnaires), ce qui contredit gravement l’égalité politique revendiquée par la démocratie. Une assemblée élue n’est jamais représentative, elle diffère toujours profondément de la population représentée.

5. La procédure du tirage au sort est impartiale et équitable : la loi des grands nombres garantit une justice distributive, la parité hommes-femmes par exemple mais aussi la parité sociale ! Une assemblée tirée au sort est toujours représentative, elle ressemble au peuple représenté.

 

6. L’élection incite au regroupement en partis et soumet l’action politique à des clans et surtout à leurs chefs, avec son cortège de turpitudes liées aux logiques d’appareil et à la quête ultra prioritaire (vitale) du pouvoir.

6. Le tirage au sort n’incite pas au regroupement en partis pour aider des candidats à conquérir le pouvoir, et ne soumet donc pas la société à leur logique hiérarchique (fin du combat des chefs et des logiques d’appareil).

Les partis imposent leurs candidats, ce qui rend nos choix factices. La concurrence déloyale des partis dans la compétition électorale prive la plupart des individus isolés de toute chance de participerau gouvernement et favorise donc le désintérêt politique (voire le rejet) des citoyens.

 

9. Élire c’est abdiquer, c’est renoncer à sa souveraineté, accorder une confiance exagérée, et renoncer à contrôler.

L’élection porte à négliger le contrôle permanent des élus : on est prié de se contenter du "risque" de non réélection (contrôle très illusoire).

L’élection nécessite par définition une bonne connaissance des candidats (puisqu’on est censé les choisir puis les surveiller) l’élection est donc mal adaptée pour les entités de grande taille. Alors qu’on entend dire généralement le contraire.

9. Tirer au sort, c’est tenir à sa souveraineté, se méfier, et imposer des contrôles réels de tous les représentants.

Le TAS s’accompagne toujours de contrôles drastiques et bien réels à tous les étages (avant, pendant et après les mandats). Le TAS ne nécessite donc pas de bien connaître les représentants (puisqu’ils sont beaucoup contrôlés par ailleurs) le tirage au sort est mieux adapté que l’élection pour les entités de grande taille. Alors qu’on entend dire généralement le contraire.

 

10. L’élection crée des rancunes de la part de tous ceux qui ont "perdu", et des fiertés chez ceux qui ont "gagné" qui deviennent vanitLes partis imposent leurs candidatseux et se sentent supérieurs et légitimes pour décider seuls.

10. Le tirage au sort ne crée jamais de rancunes : pas de vanité d’avoir été choisi ; pas de ressentiment à ne pas avoir été choisi : il a des vertus pacifiantes pour la Cité, de façon systémique. L’élection fabrique des maîtres, qui se sentent supérieurs.

 

12. L’élection délègue... favorise la formation de castes d’élus, professionnels à vie de la politique, toujours portés à tirer vanité de leur condition et cherchant toujours à jouir de privilèges, très loin de leurs électeurs pour finalement ne plus représenter qu’eux-mêmes.

12. Le tirage au sort peut mobiliser n’importe qui et responsabilise (rapproche) les citoyens de l’activité politique ; il empêche l’apparition de politiciens professionnels ,il impose l’amateurisme en politique ; les amateurs tirés au sort, forcément proches du peuple, partagent ses intérêts et objectifs, ils sont de bons porte-voix populaires.

 

14. L’élection donne le pouvoir à ceux qui le veulent (les candidats),c’est-à-dire aux pires d’entre nous, alors qu’on sait depuis au moins 2500 ans qu’il ne faut surtout pas donner le pouvoir à ceux qui le veulent (lire Platon et Alain).

14. Le tirage au sort donne le pouvoir à ceux qui ne le veulent pas et qui sont précisément les meilleurs d’entre nous, modestes et honnêtes. Les mandats courts et non renouvelables per-mettent de ne pas les surcharger.

 

15. L’élection est aristocratique par définition (elle désigne le meilleur, aristos), pas du tout démocratique. L’expression "élection démocratique" est un oxymore (un assemblage de mots contradictoires).

15. Le tirage au sort est démocratique par définition (il désigne un égal, un pair). L’expression "démocratie par tirage au sort" est un pléonasme (une répétition de mots identiques).

 

16. DE FAIT, depuis 200 ans (depuis le début du 19 ème ), l’élection a éonne le pouvoir politique aux plus riches et à eux seuls, jamais aux autres : l’élection de représentants politiques SYNCHRONISE durablement le pouvoir politique et le pouvoir économique, créant progressivement des monstres irresponsables écrivant le droit pour eux-mêmes et s’appropriant le monopole de la force publique à des fins privées, créant ainsi des fortune colossales (et une puissance de corruption supplémentaire en proportion).

On est donc tenté de penser que c’est l’élection des acteurs politiques qui a rendu possible le capitalisme : écrire la constitution a permis aux riches de choisir la procédure qui leur permet d’aider les candidats, de rendre débiteurs les élus, et d’imposer leurs lois.

16. DE FAIT, pendant 200 ans de tirage au sort quotidien (au V e et IV e siècle av. JC à Athènes), les citoyens riches n’ont JAMAIS gouverné, et les citoyens pauvres toujours. (Les riches vivaient confortablement, mais ils ne pouvaient pas tout rafler sans limite, faute d’emprise politique.) Ceci est essentiel : mécaniquement, infailliblement, irrésistiblement, le tirage au sort DÉSYNCHRONISE le pouvoir politique du pouvoir économique. C’est une façon astucieuse d’affaiblir les pouvoirs pour éviter d’être dominé par eux.

On suggère ici que le tirage au sort retirerait aux capitalistes leur principal moyen de domination.

(et avec ça j'ajoute cette excellente interview où il aborde plein de sujets https://www.youtube.com/watch?v=DROqR_7EKvs )

Quad on voit de quelle manière le système électoral a amené que les français se retrouvent gouverné par un "pion" des banques pour le programme duquel moins de 5% des français ont voté !

electeurs-macron.jpg

 

22/10/2021

Contrairement aux bistrots français et aux cours d'Espéranto, l'IRAN sera à partir du 23 octobre librement accessible à tous sans restrictions fascistes ou autres....

ainsi en a décidé le nouveau président anti-corruption et pro-peuple, donc ultra-démocrate et de centre-gauche de la République d'Iran, Raissi.

 

ah ! au fait revenons en France, un message de Florian Philippot, un peu le Raissi français :

chers Patriotes,
J’ai l’immense honneur de vous inviter à l’événement de lancement de ma campagne présidentielle !
Cet événement aura lieu le dimanche 24 octobre, à 14h aux « Docks Pullman » à Paris, adresse : 87 avenue des magasins généraux, Aubervilliers (infos transports sur le visuel ci-dessous).
Des bus seront mis en place pour ceux qui viennent de loin et qui sont intéressés, et le lieu est facilement accessible par métro et RER.
L’entrée sera évidemment gratuite.
Vous le savez, je le dis souvent, je ne pense pas que le destin de la France changera par une seule élection. Notre devoir constant est de faire monter le niveau de conscience générale du peuple français. D’éveiller un maximum de monde. Nous le faisons chaque jour, par des vidéos, par des manifestations gigantesques, encore ce mardi 12 octobre devant le Sénat, par des rencontres, par l’action remarquable des dizaines de milliers d’adhérents Patriotes et des bénévoles qui font vivre toutes ces initiatives dans nos régions !
Cependant, comme je l’expliquais le 14 juillet dernier lorsque je me suis déclaré candidat à l’élection présidentielle, la situation est bien trop grave !
Cette gravité exige qu’un discours clair et rassembleur de rupture avec l’ordre oligarchique, un discours de rétablissement total de nos libertés et de notre souveraineté nationale et populaire, qu’un discours franc de respect et de dignité, un projet d’amour de la France, de projection dans l’avenir, soit bel et bien présent dans l’élection la plus importante de notre pays !
Avec toute une équipe, j’aurai l’honneur de porter ces belles valeurs, et le 24 octobre sera un moments-clé pour y rallier un maximum de monde !
Afin que nous puissions évaluer le nombre de personnes attendues le 24 octobre, merci de vous inscrire via le formulaire ci-dessous si vous avez l’intention de venir. L’inscription au formulaire n’est pas obligatoire pour venir, mais elle est importante afin que nous puissions au mieux nous organiser

être candidat à l’élection présidentielle nécessite de réunir 500 signatures de maires. Nos équipes sont sur le terrain pour les recueillir. Néanmoins, si vous-même vous pensez être en capacité d’obtenir une signature, parce que vous êtes maire, ou parce que vous connaissez bien un maire, alors écrivez-nous sans délai à : parrainage@les-patriotes.fr

Ma campagne présidentielle sera l’inverse d’un alignement de promesses sans lendemain. Elle sera synonyme de sincérité, de vérité, de courage, d’espoir, portée par un amour indéfectible pour la France éternelle et l’immense enrichissement personnel que les dizaines de manifestations populaires auxquelles je participe depuis tant de mois m’apportent

Merci de relayer l’information partout autour de vous pour ce lancement du 24 octobre !
Il faut que ce soit un énorme événement, à la hauteur du magnifique projet d’avenir que nous portons pour la Franceµ
(et pour l'humanité, car là on est dans un défi anthropologique pour tout humain face à l'offensive fasciste et capitaliste de Klaus Schwab, l'OMS, et sa clique de kapos totalitaires, tel Macron)

Le jour des ELECTIONS n'oubliez jamais ces actes de Barbaries, n'oubliez jamais tous ces cas d'homicides volontaires..... Il y aurait eu tellement moins de morts si d'autres médecins tels P. PERRONNE, TOUSSAIN, LUC MONTAGNIE,  Louis Fouché avaient géré cette pandémie... J'espère que la JUSTICE saura condamner le jour venu ces criminels..

https://odysee.com/@ArtemisiaCollege:7/appels_a_reagir:1

même les nazis ne sont pas allé jusque là. on n'arrête pas de descendre dans l'ignominie et le totalitarisme déshumanisant

« Nous sommes tous dans le caniveau mais certains d’entre-nous regardent les étoiles. » (Oscar Wilde)

15/10/2021

LA BONNE REFORME DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL !

Florian Philippot a trouvé la meilleure solution pour une réforme du Conseil Constitutionnel; écoutez ça, enfin LA SOLUTION !
.

Et après on s'attaque au Sénat ! (un sénat tiré au sort en suivant les idées d'Etienne Chouard et de David van Reybrouck ça serait la meilleure solution !)

 

Comme c'est triste de voir les gens qui se proclament candidats pour défendre la France. La grande majorité d'entre eux est corrompue, hypocrite, opportuniste. Comme il fait bon de voir Florian se battre pour son pays. Je pensais qu'il n'existait plus de politique honnête, conscient de ses responsabilités, intègre dans sa démarche. C'est lui que les gens "propres" doivent suivre et élire.

 

13/10/2021

qu'est-ce que la révolution a changé à

* On devrait sur le modèle de la célèbre blague soviétique « Qu’est-ce que la Révolution a changé aux boucheries ?(1)» faire une série de textes sur « Qu’est-ce que l’époque actuelle a changé à -- ? »

Par exemple : Qu’est-ce que l’époque moderne a changé à la manière dont les enfants achètent des bombons ?

- Eh bien, avant les enfants allaient avec leur pièce dans une épicerie, et l’épicière, en souriant puisait les bombons dans un grand bocal de verre et les leurs remettait comme ça, ou tout juste dans un cornet de papier si c’était des bonbons collants.

- Maintenant (1990...maintenant c'est encore pire) ils vont dans un Supermarché, là ils trouvent des paquets de plastique, enveloppés dans du plastique, et contenant des enveloppes en plastique, au fond desquels se trouvent quelques bombons. Et ils n’ont pas le temps d’arriver à la caisse qu’ils se fond agresser par des vigiles privés qui leurs disent que les enfants n’ont pas à faire des achats eux-mêmes ni à pénétrer dans un Supermarché tout seuls, qui les menacent de la police et de la prison et qui vont les rendre traumatisés à vie, sans risquer pour autant de prendre 20 ans de prison pour ça...

 

- Le monde, les mœurs changent.

Autrefois on s'adressait la parole, même entre inconnus, maintenant si jamais vous adressez la parole à quelqu'un on fait semblent de n'avoir rien entendu ou bien on appelle la police ! Autrefois la vie privée était respectée (sauf par les voisins et par les curés), maintenant tout le monde est sous surveillance de la DDASS et autres. Autrefois on se déplaçait en train ou en car, ( et il y en avait PARTOUT de disponibles, et des hotels !) maintenant en voiture. Autrefois on mangeait principalement des tartines de pain, maintenant on ne consomme presque plus de pain, et en Belgique plus du tout. Autrefois les enfants jouaient sur la chaussée, maintenant ce n'est plus possible, et si jamais ils le font sur les parkings ils sont catalogué "loubards". Autrefois les animaux menaient souvent une "vie de chien", maintenant on les euthanasie, les humains aussi. Autrefois il y avait le clair de lune et les étoiles, maintenant l'éclairage urbain. Autrefois les pannes d'électricité, les bougies, la radio, aujourd'hui la télé. Etc.

 

 

-  Autrefois - plus loin ! - disons au XVII ème siècle, les grands drames d'amour venaient des amoureux qu'on empêchait de s'aimer et de s'épouser à cause des préjugés sociaux ou de l'autorité toute-puissante que les parents avaient sur leurs enfants (mêmes grands). C'était le principal sujet de la littérature.

De nos jours ce genre de drames n'existe plus (sauf dans les pays islamiques). de nos jours les drames d'amour viennent des enfants qu'on arrache à leurs parents ou au parent (généralement les hommes) auquel l'autre parent (flanqué là aussi de l'autorité des juges et de la police !) empêche de voir ses enfants; c'est l'équivalent XX ème siècle de la "plaie" et des drames de la société du XVI ème siècle, et c'est là que la littérature pourrait puiser des drames et de pitoyables tragédies ( et le cinéma commence en effet à l'aborder avec "Ladybird" de Ken Loach ou (en version comédie) "Mrs Doubtfire".

(par contre il y a des choses qui reviennent, français vous vous souvenez de l'ordonnance du 8 juillet 1942....
En Italie, citation du plus grand philosophe italien vivan :  "comment peut-on accepter que, pour la première fois dans l'histoire de l'Italie, après les lois fascistes de 1938 sur les non-aryens, on crée des citoyens de seconde zone soumis à des restrictions identiques à celles subies par les non-aryens")

 

12/10/2021

Enveloppez-vous dans mon manteau de voyage La grande neige d’automne fond sur votre visage Et vous avez sommeil

Quelques extraits de mon journal intime il y a bientôt 30 ans comme je l'ai déjà dit et redit plusieurs fois !!!


16/2/1985 sur certains souvenirs récents et sur l’ONIC :

Se rendent-ils compte de ce que ça représente de vivre ça, tout seul ?

Ils (elles) me font l’effet de petites figures en carton-pâte qui s’agitent en tous sens, de puériles et inconsistantes marionnettes, sans cœur, et qui ne communiquent rien avec personne, qui échangent des lieus communs et des faux-semblants, ils jouent, avec leurs esprits égoïstes et étroits, à un jeu codé, se masquent les réalités quand elles sont gênantes, et crêvent et puis on t’enterre et puis c’est fini» chantait vers 1960 ROBERT LAMOUREUX. Et les survivants continuent de s’agiter frénétiquement et de manipuler le jeu.

 

- Avec le temps vient le moment où on n’a même plus la force de se révolter, comme ces vieillards qu’on voit évoquer leur mort en
l’acceptant, voire en la souhaitant, état ultime d’aberration et de
déchéance humaine. Déjà avec l’age l’avachissement, le dessèchement du cœur on perd la conscience des choses, même si on l’a eu étant enfant, même si on en a plus que jamais le savoir intellectuel. Et puis  quand l’expérience de la vie, le désespoir et la fatigue ont fini par tout miner, user les facultés productrices d’illusions …n'y a-t-il rien d'autre que le vide et le gâchis ? Et pourtant j'aime tellement la vie. Même si on passe à côté de tout. Même si l'immense majorité des gens sont si bêtes qu'ils lui coupent les ailes et la ratatinent d'égoïsme, de conformisme, d'inconscience et de vulgarité. Et pourtant il y a tellement de si belles choses; du langage Prolog à
l'architecture du château de Hillerød, de la morale personnaliste aux beaux gros minets.
Pourquoi faut-il que tout cela, et la vie de tous ces enfants soient dénués de tout sens !


-
Le 3 avril au soir : Pourquoi faut-il n'avoir à penser que des trucs à vous fendre le coeur ?!  enfermé de toutes parts, hermétiquement, de murs entiers de choses à fendre le coeur. Sans pouvoir y échapper, sans même pouvoir se voiler la face
ou se boucher le nez.
J'ai un coeur qui ne demande qu'à déborder de tendresse, une âme qui ne demande qu'à être aussi vaste que le Cosmos, aussi passionnée que la musique, et je suis irrémédiablement sevré de tout amour, d'espoir, de sens, autour de moi, devant moi que le vide, l'impuissance, le désespoir, le gâchis, la souffrance, et l'horreur.

 

Les chiens écrasés, cette forme de beauté, cette masse de chaleur et d’amour, de vie et de sensations qui est, là, transformée en une informe galette de sang et de boue ; De temps en temps on en rencontre Nulle part, de quelque côté qu’on tourne son esprit, dans la sphère intelligible comme dans la sphère sensible, il n’y a aucun réconfort ni aucun espoir, aucun sens, rien qui soit désirable, ni même supportable. Il n’y a aucune chaleur nulle part dans la vie, ni dans les choses, ni dans les gens, rien qu’un froid mortel. Rien que la solitude et la conscience de devoir mourir.

 

- 8/5/1985 « Manhattan », le film de Woody Allen, est passé à la télévision. C’est un pur chef d’œuvre. Je suis allé le voir 2 fois au cinéma, ça fait donc 3 fois. Et s’il repassait à Arras j’irais encore le revoir une 4ème fois. Il y aurait tant de choses à en dire. La scène finale est une des rares œuvres qui me met les larmes aux yeux. Je me souviens ça ne m’est je crois arrivé qu ‘en lisant un extrait des « Mémoires d’outre-tombe » de Chateaubriand intitulé « Un orage en Suisse ». Et une fois en lisant « Brève rencontre » de Françoise Sagan. Et au cinema la dernière scène de « Paris, Texas »

 

- Je n’essaye même plus d’entreprendre ou d’acquérir quoi
que ce soit, à quoi bon ! puisque ce ne serait que encore des fatigues et des souffrances pour un résultat nul ou une dégradation supplémentaire. Si seulement avec toutes ces fatigues, efforts, souffrances, j’obtenais quelque chose ou si la stérilité n’était que le prix du repos et de la décontraction, même pas : Toujours souffrir pour rien,  fatigues pour le gâchis, dépenses de temps et d’argent pour un mal supplémentaire.

 

- 25/5/1985 Maman ! je voudrais mourir dans tes bras, et avoir enfin la paix.
Mon Dieu, je ne veux pas mourir ! Ayez pitié de nous. J’aime ce monde.

 

- Marie-José me réécrit, après 20 ans. Dans ses lettres je lui trouve un type flamand dans le caractère (et ce n’est pas un compliment)
Tant pis ! Puisqu’elle veut bien correspondre avec moi, je vais sauter dessus comme la pauvreté sur le monde !

 

 29/6/1985 Je vis dans  la solitude et l'incomprehension.
Et pourtant je suis sentimental comme un chévrefeuille  …



Le mardi 18 juin j'ai vu le film « Les baliseurs du désert ». Je me
disais C'est de circonstance, c'est comme mes vacances (en tous cas c'est comme ma vie) on cherche on n'arrive pas à savoir quoi, mais ce n'est pas gênant, puisque que de toutes manières on ne le trouve pas ! De toutes façons, c'est pas grave parce qu'il n'y a rien à trouver.

 

- 24/6/1985 Tous les gens que je fréquente sont tellement
médiocres, que même avec les très rares avec lesquels je peux me sentir en confiance, je ne peux rien partager.
J’aurais envie de faire venir l’accordeur de piano, rien que pour voir quelqu’un de sérieux : un professionnel « sérieux » c’est de nos jours quelque chose de si rare, et pour rencontrer quelqu’un, quelqu’un, et pas ces éternelles insignifiantes pécores.

 

- 30/6/1985 Tout va encore bien, mais un jour ça ne
fonctionnera plus ; un jour mon cerveau ne sera plus irrigué, alors toutes ces nunuteries, toutes ces cocottes en papier, toutes ces petites conneries disparaîtront et le monde avec, et la passé et l’amour.

 

Développer la comparaison entre le début d’un amour et le mouvement vers Dieu.

(sauf que je ne l’ai pas fait ! une fois de plus, décidément je ne suis pas assez doué, ou surtout trop feignant, note de 2003) Sauf que Dieu ne répond pas, n'appelle pas, n’a pas de qualités à lui, pas de défauts, pas de visage unique, sacré entre mille, on ne peut pas le serrer dans ses bras, manque plus rédhibitoire qu’on ne pense, pire : il n’existe pas.



Devochelle appelait Mme D.« la môme D. »,
car il l’avait connue toute petite. Bientôt on pourra l’appeler « Mémé D. » … Plus tard on dira « C’était là qu’était enterrée Mme D. » Moi je serai mort depuis longtemps, toutes mes affaires dispersées ou jetées à la décharge. Et plus personne ne se souviendra  seulement que j’ai existé. Pas même moi ; et c’est bien là le problème ……….


Souvenirs mis par écrit le 30/12/97…

Maman était tellement fatiguée qu’elle s’endormait en tricotant ou faisant du crochet, et toutes ses mailles se défaisaient, et quand sa tête penchait et tombait en avant ça la réveillait en sursaut, et ainsi de suite.

Tous ses travaux de broderies !

Elle avait un goût prononcé, et un don, pour la peinture, et n’ayant eu aucune formation, sans calculer ni y mettre d’application comme moi, dont les résultats étaient si maladroits malgré les efforts ! (ou à cause ?), elle parvenait à de bien meilleurs résultats, sans inhibitions elle improvisait des couleurs de son cru et c’était harmonieux ; elle aurait plu aux profs des écoles de maintenant. Mais de son temps ça n’existait pas. Si elle avait pu faire des études ? Mais dans son temps et milieu c’était exclu.

Tout ça a été jeté par papa après ; je n’ai presque plus rien.

Et les radio-crochets avec Zappy Max (Il est mort.. .). Les chansons de Dalida (elle est morte ...) à la radio.

Les cha-cha-cha burlesques. Mireille.
La Marseillaise tous les soirs à minuit à la fin des émissions.

Et les concours qu’on faisait, où il fallait classer les chansons dans le même ordre de préférence que le résultat global. (On n’a jamais gagné je crois)

« Quitte ou double », « Le rêve de votre vie », (et les publicités pour  Soir de Paris de Bourgeois et Kléber-Colombes) « Accusé levez-vous ! », « Je voudrais bien savoir », et l’après-midi du jeudi entièrement consacrée à des émissions enfantines. Michel Auriac, Marianne Oswald.

Stéphane Pizella, « Au-delà des mers » et Bachir Touré, le seul comédien noir à cette époque ! encore coloniale. Les émissions en langue kabyle qu’on écoutait tous les soirs. Et les émissions polonaises de Radio-Lille. « Mouvi Paris nafari gochni Lille » (je ne garanti pas l’orthographe !) Et Simons. Et les messages aux familles des militaires en Algérie. On ne savait pas ce qui se passait réellement à l’époque.

Tout ce que maman avait, des heures durant, raonté sur son enfance, sa jeunesse, sa famille, Malincourt, et les voisins, le curé Bodchon (il y a un opuscule de lui sur Internet ! http://pagesperso-orange.fr/pierre.decaudin/malincourt/in... j’ai vu) - qu’elle critiquait tant ! - et la vie à l’époque ; que j’ai oubliés. Ce n’est plus possible de le reconstituer… plus jamais.

L’éclairage dans les campagnes avant que l’électricité ne soit installée, les lampes à pétrole, les quinquets, les saucissons et les pains de sucre candi pendus au plafond, et dont on cassait de petits morceaux pour mettre dans le café, (ça c'était avant 14) les coups de casquette de son père (une fois passé la toute petite enfance, où ils avaient le droit de tout , les enfants étaient dressés à la dure). Le tennis sport de riches, le scandale devant les premières jupes « courtes » (au genou) etc. Les zizanies, rancunes, et autres démélés dans sa famille (ce n’était pas la joie !) Sa sœur Julie morte en couches, d’hémorragie (c’est pourquoi elle-même 15 ans plus tard est allé à la maternité, et avec raison, car elle aussi a eu une hémorragie), la phlébite et la mort de son père en 41, celle de sa mère en 46 (qu'elle appelait encore dans son sommeil à près de 70 ans) l’occupation par les soldats allemands en 14, et en 40. Les « pikinini chinois » en 18, et les prisonniers russes se nourrissant de trognons de betterave en 40. L’évacuation à Binche en 1918, et la grippe espagnole.

Le vieil Auguste Wargniez, si frèle, si vieux, et sa femme Reine. A Malincourt leur maison sur la place, et son beau « jardin de curé ». Maintenant la maison est mise à louer, en langue anglaise !…  pour des touristes !….

Les dernières batteuses, que je voyais passer dans la rue à Bailleul, et les derniers chevaux de trait, de race flamande, si gros et grands. Et la baladeuse à bras dont papa se servait pour aller monter des chapelles mortuaires chez les gens. La dernière pompe à eau publique dans la rue du Musée, supprimée après 1954, 55 ?
Les séances de jogging qu’on faisait avec Claude Roatta le midi (vers 1990, on change d’époque !), et avec la fameuse Noëlle (morte subitement longtemps après en 2007) en allant à la cantine, avec les aller-retour en voiture c’était la course (en 1987-89 ?), maintenant ce serait tout à fait impossible, les déplacements en voitures en ville deviennent de plus en plus lents et difficiles, quand ce n’est pas carrèment impossibles.

Les éboueurs, vers 1960, à l’époque pas de poubelles standard, ni de benne étudiée pour, simplement un camion où les éboueurs piétinaient dans les ordures en y vidant, à la force du poignet les récipients de fortune qui servaient de poubelle. (Maintenant c’est l’excès contraire ; je ne sais pas où ça va nous mener ce caporalisme et ce totalitarisme hygiéniste qui commence à étendre sa chappe de plomb sur la société (1998, et après ...)

un hygiénisme maladif, psychotique, qui provient du cerveau malade des eurocrates de Bruxelles

 

« Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
Et leurs baisers au loin les suivent

oui, c'est tout à fait ça. Très juste comme expression.

23/09/2021

25,3% de pétainistes en France !

72,7% des français refusent le passeport vaccinal

(une fois de plus : si nous avion le TIRAGE AU SORT, promus par Etienne Chouard, David Van reybrouck, Paul Le Fèvre et Dupuis-Déri, jamais une telle chose ne passerait, car à peu près 73% des députés tirés au sort voteraient contre)

 

On est comme en 40-44, entre les êtres humains et les âmes d'esclaves nazis il ne peut plus y avoir que le mépris et la haine.

 

la Résistance :

le vrai lien pour la vraie émisioncomplète 2 HEURES :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

pour une partie seulement de l'épission 40 minutes , sur cette saleté de totalitarisme capitaliste anglophone de Youtube

 

maintenant, cerise sur la gâteau, et c'est une sacré "cerise" je vous assure, regardez ce témoignage de quelqu'un de bien placé pour avoir une vue concrète et chiffrée (et pas trafiquable, elle !)des choses : un entrepreneur de pompes funèbres, préparez-vous, vous allez apprendre ce qu'il a constaté", et comme on dit "ça déménage" ! accrochez-vous bien :

https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/pompe-f...

20/09/2021

analyse du Dr Badel, psychiatre

Voici le texte entier du Dr Badel – source Ici.

COVID 19 : l’imposture

Malgré les nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique, malgré des recherches mondiales tendant à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, le gouvernement maintient une pression quotidienne à grands renforts de spots alarmistes, pénétrant un peu plus chaque jour dans notre vie privée et nous préparant à une vaccination.

La peur s’est installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions.

Elle se pérennise par d’autres mécanismes qui se superposent à ceux-ci.

L’absence de sens

Dans nos démocraties, nous sommes habitués à avoir des explications qui nous permettent de donner un sens, de comprendre ce qui nous arrive, ce qui arrive aux autres, d’orienter le monde pour nous y mouvoir et nous y adapter. Pour résumer, nous pensons que les personnes que nous avons élues œuvrent pour le bien commun. C’est un monde idéal, voire idéalisé.

Actuellement, le sens a disparu car tout et son contraire est dit sur le virus, et même les chiffres, éléments objectifs, ne sont plus pris en compte.

L’annonce de la catastrophe imminente nous maintient dans la plus grande incertitude et notre horizon se restreint. Les mesures de protection sont prises sans discussion, de façon arbitraire, le peuple étant totalement exclu et n’ayant aucune remarque à formuler.

Le gouvernement décide seul, avec le conseil scientifique covid19, de ce qui est bon pour nous, ce qui doit nous protéger, quitte à nous bâillonner, nous enfermer, nous sanctionner, nous tracer, nous exclure de nos emplois. Certaines villes sont frappées de privation de vie sociale, leur vie économique est réduite, laissant de nombreuses personnes sans emploi, dans l’angoisse du lendemain. Marseille hier en est le triste exemple. Quel sens donner à des décisions iniques ?

Privés d’éléments factuels et pertinents pour donner du sens, nous sommes de plus en plus sous emprise. Or, une personne sous emprise vit dans une terreur permanente qu’elle essaie de maîtriser en s’ajustant perpétuellement à la personne qui la dirige, pensant qu’elle est responsable de la situation et que, si elle opère les ajustements corrects dans son comportement, la situation s’améliorera. N’y parvenant pas, elle se pense mauvaise, justifie les mauvais traitements et sanctions qui peuvent lui être imposés, se culpabilise et augmente ainsi l’emprise, ou reporte la faute sur le voisin qu’elle sera prompte à dénoncer. Sa faculté de penser, son identité, s’amenuisent jusqu’à disparaître. Il devient alors très difficile de revenir à l’état initial, celui d’avant la peur et l’emprise. Celui du monde d’avant.

Les études rassurantes sur l’épidémie ou celles rapportant le caractère inutile, voire nocif du confinement, sont mises en quarantaine (ex : Full lockdown policies in Western Europe have no evident impacts on the covid-19 epidemic– Thomas Meunier, 24 avril 2020. ResearchGate).

Sous emprise (orchestrée par la propagande incessante couplée à la répression), nous sommes donc prêts à agir de façon irrationnelle, à nous faire tester pour ne pas risquer d’être dangereux, pour pouvoir travailler. Si nous sommes positifs, si nous détectons dans notre appendice nasal le signe d’un contact avec le virus, nous nous mettons spontanément en quarantaine pour ne pas nuire, empêchant ainsi l’apparition classique d’une immunité collective qu’on pourrait attendre.

Les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical.

Des files d’attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatiques ; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle (Swiss Policy Research).

Ces nouvelles habitudes rentent dans les mœurs. Nous sommes les grenouilles de l’expérience de Friedrich Gold : Gold testait la rapidité du système nerveux des grenouilles en leur infligeant un stress, à savoir faire monter la température de l’eau dans laquelle elles étaient trempées. Si la température montait brutalement, la grenouille s’échappait. En chauffant l’eau très graduellement, la grenouille se laissait cuire sans bouger et on la retrouvait morte. Même prise sous l’angle de la fable, nous pouvons craindre que le feu soit doucement allumé depuis mars par un gouvernement peu soucieux de notre santé.

De nombreux médecins étant contaminés par cette peur, certains malades ne sont même plus examinés. Ils sont atteints de la monomanie covid et la défiance des patients à leur égard commence à être perceptible.

Notre monde devient inhumain : les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, pour leur bien évidemment, et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus.

Nous développons la société du sans contact. Après que le sans-contact se généralise pour les paiements, il s’immisce dans les relations, y compris familiales.

Le maintien des comportements de sécurité inadaptés permet la propagation de la peur, de l’emprise, de l’idée de la présence menaçante du virus.

Nous sommes sous emprise, ne parvenons plus à réfléchir, nous nous laissons manipuler au point de nous transformer en grenouille.

Restreindre nos libertés, sur quel fondement ?

Si les décisions de restrictions de nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques.

Après les premières erreurs d’évaluation, le tort de nos dirigeants est d’avoir persisté sciemment dans l’erreur. Pourquoi maintenir des mesures liberticides, populicides (carence de soins, retard de prises en charge, suicides…) et nous pousser vers un avenir déshumanisé dans lequel tout est considéré comme dangereux ? Pour notre bien ?

Du point de vue ontologique, ce monde vers lequel nous allons est une aberration. Nous restons mortels et ne pouvons nous protéger de notre environnement bactérien et viral qui nous fonde. Les hominidés ont toujours vécu entourés de virus ; certaines pandémies ont décimé une partie de la population mais n’ont pas éteint l’espèce. Le virus actuel est loin de posséder le caractère agressif de la peste noire de 1348.

Vivre est dangereux, vivre est mortel, l’histoire d’une vie se termine toujours de la même façon. Une question plus intéressante à débattre est de savoir comment nous comptons vivre cette vie.

Le ministre de la santé a asséné que nous devions apprendre à vivre avec le virus. M. le ministre, cela fait plus de trois millions d’années que nous faisons ainsi et en tant que médecin, vous ne l’ignorez pas. Jusqu’à aujourd’hui, cela s’est plutôt bien passé. Depuis que vous avez l’orgueil de prétendre pouvoir contrôler la propagation d’un virus, toute une population souffre.

Le port du masque est une tentative de muselage des populations : pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, à regarder l’usage qui en est fait le plus souvent, (il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche de jean), il serait rendu rapidement inopérant. Le masque est inefficace, et il est dangereux : les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines. Il est vrai que réaliser une journée dans des conditions de privation d’oxygène est risqué.

On permet ainsi à des élèves masqués d’en fréquenter 35 autres également masqués chaque jour pendant 8 heures mais on interdit les regroupements privés de plus de 10 personnes. Dans les restaurants, on permet aux clients assis d’enlever leur masque mais on impose à ceux qui sont debout ou se déplacent de le mettre etc. Il n’y a plus aucune cohérence visible dans cette accumulation anarchique de règles dites sanitaires, il n’y a plus que l’arbitraire.

Le port du masque rassurerait la population entend-on parfois. En quoi les comportements de sécurité ont-ils jamais permis d’éteindre un signal de danger ? Au contraire, ils effraient.

Un proche me disait qu’il avait été arrêté dans la rue car son masque n’était pas positionné correctement. Quelle est cette police des mœurs qui émerge, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans?

A quand la lapidation publique pour avoir invité chez soi plus de dix personnes ?

Nous sommes poussés à la délation par des instances qui ont perdu toute boussole et refusent de regarder les données scientifiques.

La manipulation des chiffres : L’automne et l’hiver sont les saisons propices aux infections ORL et pulmonaires. Nous aurons donc des malades et des morts comme chaque année. Leur décompte, couplé à la détection systématique du covid, risque de gonfler les chiffres des « morts du covid » en ne les différenciant pas des « morts avec le covid », comme cela a été fait semble-t-il en début d’année 2020. Or, « Depuis le 1er mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019, et un excédent minime par rapport à 2018 (+1%). » (cf Nombre de décès quotidiens, France, régions et départements, www.insee.fr, 18/09/2020).

Ce risque d’amalgame est du reste déjà réalisé, favorisé par l’emploi systématique du mot « cas », source de confusion. Les chiffres présentés par le gouvernement sont ainsi ceux des seuls cas positifs. Or, comme l’explique de façon simple et pédagogique le Pr. Raoult, pour interpréter un phénomène, il faut croiser différentes données. On peut parler de 16000 cas positifs sans qu’il n’y ait aucun caractère inquiétant si la létalité n’est pas supérieure à ce qu’elle est habituellement à la même période, ce que les données de l’Insee semblent attester. Quant aux 41 morts décomptés récemment comme si une catastrophe était survenue et pouvait justifier encore les restrictions qui suivaient, ils n’ont rien d’alarmant.

Alors pourquoi une telle manipulation alors même que le virus aurait connu des mutations importantes et perdu de son agressivité ? Pourquoi ne pas relayer cette information et, plutôt que d’attiser les peurs, calmer les esprits ?

Nos dirigeants ont complètement perdu le sens des réalités car ce sont pourtant ces chiffres répétés chaque jour qui permettent à Marseille de renouer avec l’époque des grandes épidémies, lorsque la ville était bouclée. Nous agissons comme au temps d’avant les lumières, d’avant la science, en plein obscurantisme moyen-âgeux.

La dictature sanitaire

Le projet est déjà bien engagé, la vaccination des professionnels de santé contre la grippe étant d’ores et déjà annoncée. En sera-t-il de même pour le Covid quand, demain, il faudra écouler le vaccin contre un virus alors qu’il a déjà disparu ? Car il faudra bien que les laboratoires aient un retour sur investissement. Le corps des soignants appartient-il au gouvernement, aux laboratoires ?

Pour la première fois de l’histoire, un vaccin va voir le jour en un an. On peut espérer que nombreux seront ceux qui douteront des conditions de sécurité de son élaboration (raccourcissement des durée des phases 1, 2 et 3), de sa tolérance et de son efficacité. Les laboratoires eux-mêmes ont du reste déjà prévenu que les premières versions ne seraient ni les mieux tolérées, ni les plus efficaces !

Osons une petite prospection, le gouvernement en fait bien depuis le début de cette crise en annonçant tous les 15 jours l’arrivée de la deuxième vague depuis avril : la pente idéologique nous conduit prochainement au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile (je vous laisse le choix de la couleur). Les applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide de votre smartphone et de votre carte vitale, la surveillance sera totale.

Ces gens qui nous gouvernent n’étant pas stupides et disposant des mêmes chiffres que nous, nous pouvons craindre le pire pour nos droits fondamentaux.

Conséquences psychiatriques à ce jour des mesures iniques et arbitraires :

Aujourd’hui en pratique clinique, je vois des patients anxieux qui auparavant allaient bien, des patients déprimés, que la perte de sens ou de travail conduit au suicide. Certains également culpabilisent de rendre visite à leurs parents, qu’ils craignent pour eux-mêmes ou pour les autres ; je vois aussi des anciens qui pleurent de ne plus avoir de contact avec leur descendance. La possibilité de se rencontrer, d’échanger, de se toucher, disparaît, les lieux festifs ferment etc.

Et je vois, comme chacun de nous, des conducteurs masqués, seuls au volant de leur voiture, des joggeurs masqués…

Le peuple se porte mal car il est maltraité. Le monde qui se dessine est un monde qu’il ne souhaite pas et d’où la vie, ou tout ce qui rend la vie passionnante, s’échappe.

Un premier pas de raison serait de mettre fin immédiatement à l’état d’urgence, de rouvrir les lieux de convivialité qui ont été fermés, de rendre facultatif le port du masque à l’extérieur, d’arrêter de tester les personnes asymptomatiques.

Dr BADEL Frédéric
Psychiatre

(Maintenant souvenez-vous de comment ça s'est passé en  Allemagne nazie en 1933 .. . il y a des comparaisons intéressantes à faire .......)

Relisez mon analyse (ou celle d'auteurs plus "côté" !  tels l'éditeur anarchiste Michael Paraire, ou le philosophe Michel Weber !) qui identifie une tendance historique "lourde" au fascisme, qui a connu sa génèse durant le XIXè sicle, et dont on a connu un premier accès virulent dans les années 30, "surfant" sur la grande peur des possédants, bourgeoisie, rentiers, konzerns, banques, devant une révolution bolchévique comme en Russie, mais dont l'essence est dans ce que Zygmunt Bauman a appelé "l'esprit de la modernité". et regardez cette discussion entre trois gars du show-biz qui ont bien compris (et le disent, et donc sont censurés ! forcément ! logique ! un enfant comprendrait !) :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

diffusez cette vidéo au maximum, (comme on faisait pour les samizdats en URSS, ou pour les numéros clandestins des journaux de la Résistance en 1942, tels France-Soir !), il faut que les gens sachent !

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Cobaye-gratuit-:8
Si certaines catégories n'ont pas leur carte du NSDAP à jour de cotisation ils perdent leur boulôt, oui, comme les juifs sous Hitler (et Pétain)

les confinement la "distanciation", les couches-culottes sur le visage, tout ça n'avait pour but que de mettre la population dans un état de psychose, pour obtenir leur acceptation de l'inacceptable :
https://odysee.com/@BobTremblay:6/8037.1:d