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31/08/2024

c'était une constante, on ne le comprend que maintenant - honte aux collabos qui se sont laissés transformer en meute de nazis !

Les dessous de la politique antitabac

L’immonde nazisme actuel qui réduit (pour le plus grand PROFIT du Grand Capital fabricant de « vaccins », qui en plus n’en sont pas vraiment, vous le savez j’espère ?) les non vaccinés, comme autrefois les non-aryens, au statut de sous-hommes (Untermensch) n’est pas nouveau, il avait été testé depuis trente ans, mais les veaux que sont nos concitoyens avaient refusé de le voir, et étaient entré dans le jeu de la « Kollaboration » et hurlé avec les loups. Vous comprenez maintenant que ce faisant vous avez construit votre propre cage ?

 

« Le fascisme n’est pas imposé par les fascistes, ils ne seraient pas assez nombreux, il est imposé par ceux qui acceptent d’obéir au fascisme » (D. Icke)

 

(un article de 2007)

Peut-être croyez-vous que l’interdiction de fumer sur les lieux de travail ou dans les restaurants a pour but de protéger les non-fumeurs ? Peut-être croyez-vous que la propagande antitabac a pour but de sauver la vie des fumeurs ? Peut-être répétez-vous que les fumeurs coûtent cher à la sécurité sociale ? Peut-être êtes-vous persuadé que le tabagisme passif est responsable de nombreux décès ? Si vous croyez tout cela et que vous le répétez à l’envi, vous êtes à votre insu un collabo de la nouvelle forme de pouvoir totalitaire nazi et sournois qui s’installe : la « démocrature ». Je ne vous demande pas de me croire. Ne croyez jamais personne mais réfléchissez et jugez par vous-même !

Protéger les non-fumeurs ?

S’il ne s’agissait que de protéger les non-fumeurs, aucune loi ne serait nécessaire. Notre système économique s’appuie sur la loi de l’offre et de la demande. Un restaurateur non-fumeur était déjà en droit d’interdire de fumer dans son établissement et d’y attirer un personnel et des clients non-fumeurs. Certains l’ont d’ailleurs fait bien avant la loi et c’était parfaitement leur droit.

Si l’Etat estimait qu’il n’y en avait pas assez, il lui suffisait d’inciter les restaurateurs à déclarer leur établissement non-fumeur par l’octroi d’une prime ou une réduction de la fiscalité. Ainsi chacun, restaurateur , client ou travailleur, fumeur ou non-fumeur, aurait pu effectuer un choix libre et, au lieu de se haïr, nos concitoyens auraient pu gérer leurs différences à l’amiable.

Trop simple, n’est-ce pas ? Trop logique pour des élus qui, en principe, devraient refléter les avis de toute la population !

C’est pourquoi toute personne intelligente comprendra que le but n’est pas de protéger les non-fumeurs mais de s’en servir à leur insu. Le véritable objectif est de restreindre les libertés individuelles et le droit à la propriété privée.

Car un restaurant, tout comme un lieu de travail, n’est pas un espace public. C’est une propriété privée, achetée à gros prix, dans laquelle l’entrepreneur a, de plus, investi beaucoup d’argent pour pouvoir y travailler et assurer son avenir. Il est donc normal qu’il soit seul responsable des décisions qui concernent son bien. S’il omettait de payer les cotisations sociales de ses employés, l’Etat serait d’ailleurs le premier à le sanctionner. Cette omission pourrait pourtant avoir pour cause la perte de clientèle orchestrée par les décisions irresponsables du gouvernement.

Nous verrons plus loin pourquoi nos dirigeants tiennent tant à restreindre la propriété privée et les libertés individuelles, mais poursuivons d’abord notre analyse.

Réduire le coût des soins de santé ?

Nombreux sont les citoyens qui croient dur comme fer qu’ils paient les soins de santé des fumeurs. C’est encore un des nombreux mensonges du gouvernement et un simple petit calcul peut vous permettre de vous en rendre compte.

Je l’ai fait pour la Belgique, puisque j’y vis, mais vous obtiendrez sans doute pour la France des résultats proportionnellement identiques. En 2004, le total des remboursements de frais médicaux pour l’ensemble du pays s’élevait à 3.790.030.000 € . Le ministre de la Santé insistait sur le fait que le tabac était la cause de 10% de ces coûts (ce qui n’est pas beaucoup quand on sait que les fumeurs constituent 30% de la population).

Sur un paquet de cigarettes à 5 €, le détaillant perçoit 0,40 €, le fabricant 0,581 € et l’Etat le reste, décomposé en "taxe de droit à la consommation" et en TVA. Le gouvernement touche donc plus de 4 € par paquet de cigarettes. Puisqu’il y a 3 millions de fumeurs en Belgique, pour une moyenne d’un paquet par jour, les recettes du tabac s’élèvent donc à 12 millions d’euros par jour, soit 4.380.000.000 par an, c’est à dire plus que le coût des soins de santé pour l’ensemble de la population. Et les fumeurs cotisent aussi à la mutuelle.

Si les recettes en provenance du tabac ne sont pas consacrées aux soins de santé, est-ce la faute des fumeurs ou bien celle des militants antitabac qui relaient sans aucun discernement les mensonges les plus grossiers ?

Les taxes sur les cigarettes et le tabac

Pratiquement chaque année, les gouvernements augmentent les accises sur le tabac. La dernière augmentation en Belgique date du premier janvier et elle est de 53 centimes.

"Bien fait pour eux" s’exclament les antitabac, s’imaginant avec une naîveté qui fait peine à voir qu’ils sont ainsi eux-mêmes épargnés.

Ce qui est faux car le tabac et les carburants ne sont pas repris dans l’indice des prix à la consommation et les taxes sur ces produits ne sont donc jamais compensées par des hausses de salaire qui pourraient bénéficier à tous les citoyens.

Pire, les 4 € par jour que chaque fumeur verse en taxes à l’Etat (et on a vu ce que ça faisait par an) échappent au chiffre d’affaires des commerçants qui ne cessent de souffrir de la baisse de pouvoir d’achat de la population. Si le commerce décline, les entreprises ferment et le chômage grossit. Et qui paie les allocations de chômage ? Seulement les fumeurs ?

Mais, me direz-vous, il faut bien que l’Etat prenne ses taxes quelque part. S’il ne les prenait pas aux fumeurs, il les prendrait ailleurs.

Sans doute, mais s’il les prenait sur des produits liés à l’indice des prix à la consommation, cette perte de pouvoir d’achat serait bientôt compensée par des augmentations de salaires, ce qui permettrait aux commerces de retrouver leur chiffre d’affaires et aux entreprises de continuer à produire de la richesse.

Pour le bien des fumeurs ?

Soyons sérieux ! S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé n’aurait-il pas d’abord commandé une étude sur les risques inhérents aux comportements et produits de substitution que les fumeurs sont susceptibles d’adopter pour rééquilibrer leur vie en cas de sevrage ?

Nous vivons tous dans des conditions de stress et de frustrations accumulés : exigences de rentabilité, administration pesante, pertes d’emploi, baisse du pouvoir d’achat, multiplication des interdits et des obligations légales...

Chacun essaie de se rééquilibrer comme il peut. Les uns ne peuvent maîtriser des accès de violence qui tournent au vandalisme ou à l’agression, d’autres s’adonnent aux drogues dures, d’autres encore à l’alcoolisme, certains se suicident, d’autres enfin fument et ce ne sont pas les plus dangereux ni pour les autres ni pour eux-mêmes.

S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé les désignerait-il à l’opprobre public ? Les contraindrait-il contre leur gré ?

Le tabagisme passif serait la cause de milliers de décès ?

Voilà encore une pseudovérité qui va bientôt apparaître au grand jour suite à une action en justice pour faire cesser les nuisances des campagnes antitabac. Je suis en train de contacter à cette fin un panel d’experts, professeurs d’université en médecine et en psychologie. Je les choisis de préférence parmi ceux qui sont déjà engagés dans la lutte contre le cancer ou pour le sevrage du tabac afin d’assurer la crédibilité de leur expertise.

Sans préjuger de celle-ci, nous sommes déjà cependant d’accord sur les points suivants :

1) Il existe effectivement un certain nombre de patients qui, sans avoir eux-mêmes fumé, présentent les mêmes symptômes que les fumeurs. Leur exposition à la fumée des autres est cependant difficilement quantifiable. Certains ont vécu dans l’entourage de gros fumeurs, d’autres n’y ont été exposés qu’épisodiquement. Par ailleurs, l’intervention d’autres facteurs que le tabac n’est pas à exclure. Ce sont les décès dans cette catégorie de patients que les militants antitabac annoncent comme victimes du tabagisme passif.

2) Tout médecin et tout psychologue connaît l’effet placebo et son correspondant négatif appelé "nocebo"... Je vous invite à taper "placebo" dans Google et à lire l’explication qu’en donne Wikipedia. Tous les experts sont d’accord sur le fait que les prédictions alarmistes en matière de santé ont tendance à produire le développement de la maladie. Tous les médecins et psychologues le savent mais peut-être pas le ministre de la Santé ?

3) Les études entreprises sur les méfaits supposés du tabagisme passif sont postérieures à la naissance de la propagande antitabac. Auparavant, il faut croire qu’on n’en ressentait pas le besoin.

4) Il existe une évolution dans le temps quant à la manière dont le public perçoit la fumée de pipe ou de cigarette. Dans les années 60, elle était rarement perçue comme dérangeante, de nombreux non-fumeurs la trouvaient même plutôt agréable. Aujourd’hui, elle provoque plus souvent la répulsion. Il s’agit là d’une manifestation psychosomatique qui tend à accréditer l’influence de la propagande sur le développement de maladies tant chez les fumeurs passifs que chez les fumeurs actifs.

5) Le nombre de fumeurs se tasse et le nombre de cancers augmente. Il faut donc incriminer un autre agent que la cigarette.

6) La nicotine et les additifs placés dans le tabac pour renforcer l’assuétude ne semblent pas provoquer la moindre dépendance chez le fumeur passif. Ceci démontre à tout le moins que les effets de la cigarette ne sont pas les mêmes pour les fumeurs passifs. Pourquoi alors développeraient-ils les mêmes symptômes ?

En conclusion, il est plus probable que les méfaits du tabagisme passif dénoncés par les propagandistes antitabac soient dus à la propagande elle-même plutôt qu’au tabac des fumeurs.
Relayer cette propagande est donc dangereux pour sa propre santé et pour celle d’autrui.

Pourquoi alors cette charge contre les fumeurs ?
Ils vont faire l’Europe. La Communauté européenne, c’est une population presque deux fois plus importante que celle des Etats-Unis et la plupart des nouveaux adhérents n’ont pas l’héritage culturel de la liberté que nous a apporté la Révolution française.

Pour gérer l’Europe, d’aucuns estiment qu’il faut un gouvernement fort et autoritaire.sans lequel les décisions supranationales ne seront jamais respectées dans les Etats membres.

Pour instaurer ce type de gouvernement, ils ont simplement pris exemple sur la dernière méthode efficace utilisée en Europe. Souvenez-vous qu’au cours des années 30, les nazis ont progressivement désignés les Juifs coupables de tous les maux, qu’ils les ont spolié de leurs biens , qu’ils ont petit à petit créé un climat d’intolérance à leur égard, les ont éloignés des lieux de travail, les ont rendus infréquentables aux yeux de la population qui, relayant le discours officiel, a collaboré à la mise en place d’un pouvoir dictatorial.

Aujourd’hui, les fumeurs sont présentés comme des pestiférés, comparés à des animaux, pris en photos assouvissant leur vice par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si l’interdiction sur les lieux de travail est absolue, même pour le fumeur qui occupe seul un bureau, c’est pour l’obliger à sortir et ternir son image, pour lui faire perdre plus rapidement son emploi aussi.

Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus

(tiens tiens ! Ça me fait penser à quelque chose, de très récent, même totalement actuel ...)

et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30.iVous croyez que leur sort est plus enviable parce qu’ils peuvent retrouver un statut normal en arrêtant de fumer ? Deux tiers ont essayé... sans succès.

Je ne veux pas d’une telle Europe, ni d’une telle Belgique, ni d’une telle France. L’Europe est une chance si elle reste démocratique et sait prendre ses distances avec le modèle anglo-saxon.

Hélas, ce ne semble pas être le cas. Les Chirac, de Villepin, Schroëder, Verhofstadt qui avaient osé s’opposer à Bush lors de la question irakienne (et on sait à présent combien ils avaient raison) ont disparu ou sont en perte de vitesse tandis que se profilent pour leur succéder un Sarkozy qui n’a jamais caché sa sympathie pour Bush et une Ségolène qui avoue son admiration pour Blair.

La seule réaction que nous pouvons avoir est d’offrir aux fumeurs et à tous les non-fumeurs qui souhaitent défendre leur liberté, l’occasion d’exprimer leur poids démocratique.

C’est pourquoi s’est créé en Belgique un parti politique qui prendra ouvertement la défense des fumeurs pour les législatives du 10 juin. Et je peux vous assurer, pour être en contact avec les gens lorsque je distribue mes affiches, que le vent de la contestation est fort. Si les médias nous relaient dans l’ensemble du pays, nous pouvons faire passer aux partis de pouvoir, et pour longtemps, le goût des lois liberticides.

 

Commentaire de : pierrarnard 29 janvier 2007 

Excellent article qui va a l’encontre de la bien pensance actuelle.C’est vrai que les fumeurs sont un bouc émissaire parfait presque autant que l’automobiliste. On les stigmatise mais c’est pour mieux les protéger mon enfants ! c’est pour leur bien...Les automobilistes tuent des qu’ils touchent un volant, les fumeurs tuent des qu’ils approchent un non fumeur, le bon citoyen est terrorisé. Mais heureusement l’état veille pour protéger le bon citoyen de tous ces méchants éléments subversifs. Et pendant ce temps on à dérogé pour utiliser l’amiante jusqu’en 1997 dans l’industrie. Manipulés, nous ????

 

23/08/2024

la tactique du maillon faible toujours ! (et le totalitarisme capitaliste toujours !)

le super radar entre bientôt en service en France http://www.largus.fr/actualite-automobile/radar-mesta-fus...
ensuite  ils pourront  licencier les policiers  puisqu'il va les remplacer en détectant toute les infractions
la plus traitre étant  la distance de sécurité    entre les véhicules , il suffit que quelqu'un ralentisse devant vous et vous êtes pris !

Ben oui ! et puis comme c'est (théoriquement) pour la sécurité des automobilistes, ils vont faire jouer cette corde au max, et le terrorisme intellectuel ! ne pas oublier jamais le terrorisme intellectuel ! il y a toujours quelque chose qui se cache derrière tout terrorisme intellectuel ! pour imposer leur totalitarisme orwellien (comme ils se servent aussi de l'écologie pour par exemple le compteur linky, autre machin orwellien, la sacro-sainte écologie, enfin tout ce que la société actuelle, et les gens "vi kreis min per via silenta konsento", considère comme sacro-saint, bref on est toujours dans une société théocratique, seulement on a changé la religion ). Bref c'est ce que j'appelle la stratégie du maillon faible, là aussi ...

10/08/2024

influence d'Internet

 

Le développement d’internet, les emails et les réseaux sociaux numériques ont permis à l’humanité de se parler directement sans passer par l’intermédiaire des journalistes. Aujourd’hui on reçoit presque tous des images d’un événement important comme par exemple le tremblement de terre vers Marrakech l’an dernier, et ceci bien avant que les journalistes n’aient réussi à commencer leur boulot. Cela complique grandement leur travail de propagande.
L’évolution exponentiel de la numérisation de l’humanité via les smartphones permet presque à chacun de savoir si une information qui apparaît sur ton appareil est fiable ou non. Généralement si des images d’une catastrophe provient de divers sources indépendantes on peut estimer que l’info est à peu près fiable.
Ceci dit, cela signifie que les médias habitués dans l’exercice de la propagande ont dû s’adapter. Les agences de presse ont été achetées et sont désormais
aux mains par les élites. C’est en matraquant avec des informations fausses, véhiculant la peur qu’ils ont réussi à créer la panique puis le délire collectif du Covid.
Les armes qu’ils ont créés pour atteindre leurs objectifs se retournent contre eux, car nous aussi nous avons appris à les utiliser.
Nous arrivons à un point où de plus en plus de gens ne croient plus les médias et encore moins les annonces des grands de ce monde, parce qu’ils ont compris combien ils sont manipulés. Dorénavant, nous ne prêterons attention qu’aux informations qui seront corroborées par divers sources. Le monde enfin comprendra combien il a été manipulé et je l’espère cela permettra enfin à l’apocalypse de s’installer permettant à l’humanité de vivre en paix en partageant les richesses terrestres entre tous et non uniquement entre quelques élites auto-proclamées.

 

02/08/2024

NI OUBLI NI PARDON

 

22/07/2024

quelques détails très interessants sur le régime nazi

dans ses mémoires Victor Klemperer rapporte que des inspecteurs municipaux sont venu examiner son jardin, et lui ont mit une amende pour ce délit :
que le jardin n'était pas assez bien entretenu selon les normes.
Puis d'autres sont revenus et ont dit : il reste là et là des mauvaises herbes, si vous ne les faites pas enlever la municipalité vous enverra des jardiniers professionnels, et il vous en coûtera plusieurs centaines de marks.

parmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et  pourtant ils furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il shttps://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUe passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien pensant aimassent à s'identifier .....

Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats, étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux qui s'occupaient de ça ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur. Citations :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or

"En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents"

"Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ... https://odysee.com/@OhditC%C3%A9!:a/2012.04.14---Louis-Fo...  dans NOTRE idéologie actuelle qui a les mêmes principes que l'idéologie nazie)

 

et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc

 

Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.

et puis regardez cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUet réfléchissez bien....

tiens comparons avec cet article sur le comportement des pro-vaccins  là actuellement de nos jours chez nous 
" Leurs (les pro-obligation vaccinale, pourfendeurs des vaccinoseptiques) arguments reposent
sur la nécessité de la brutalité collective pour "empêcher des maladies  de  revenir", pour  assouvir  l'ego  des  "bons  parents"  respectueux  du  système  et  qui  sont  ravis  que  l'on  sanctionne  ceux  qui  ne  se  sont  pas   comme  eux."

tiens tiens ! ça rappelle les mentalités de l'époque des "bons allemands" vous trouvez pas  ?

(ach !  Allemagne nazie et France de Macron - et même avant - même combat !)


résistance : résistance ! pour les INDIVIDUS, les PERSONNES, LES VALEURS HUMAINES, les LIBERTES PUBLIQUES, les LIBERTES, la LUTTE DES CLASSES, contre le fascisme étatique, envoyez des CHEQUES (pas de payement électronique ! POUR L'ENVOI DE CHEQUE écrire à contact@mouvement-jre.com) pour financer les actions de Farida en faveur de nos ENFANTS, et petits-enfants, et ceux de nos proches, SOLIDARITE ! IL FAUT LUTTER PIED à PIED contre le FASCISME !


j’ai trouvé des articles sur les pénates et les lares dans le monde romain. Une fois de plus on voit que le christianisme n’a fait que reprendre les pratiques religieuses des gens en leur donnant un vêtement chrétien. Par exemple il y avait dans la campagne (puis aussi dans les villes) de petits autels des lares,qui avaient la forme de petite guérites avec une statue dedans, et fermées par un grillage : vous avez compris !! ce sont exactement les chapelles de saints protecteur du village ou de diverses versions de la Vierge qu’on a construit à leur suite partout dans les champs ! Pareil pour les autels domestiques dans les maisons continués par les bénitiers avec du buis sous les crucifix, etc (ou les saintes icones en pays orthodoxes).

Quelque part dans l’article on lit : « Un décret du Sénat (senatus-consulte) rend obligatoire l’hommage à la divinité impériale et aux lares publics » donc les chrétiens, qui refusaient de pratiquer ces cultes étaient ipso facto des criminels qu’on punissait donc de mort.
C’est comme dans l’Allemagne nazie, là on ne les envoyait pas aux bêtes du cirque, quoique …. pas grande différence, par exemple on avait obligé tous les allemands au lieu de dire bonjour à se saluer en disant Heil Hitler ! Donc les enfants des Témoins de Jéhovah, qui refusaient de faire le salut nazi étaient « signalés » (comme on dit actuellement en France ! ……) aux services sociaux, lesquels, avec la même mentalité que les nôtres de nos jours, en concluaient que leurs parents n’étaient pas capables de les "intégrer à la société", donc ils leur retiraient leurs enfants (en Angleterre on appelle ça les mettre « on care », les services Sociaux sont toujours très portés sur les euphémismes doucereux et vipérins ! Comme l’était la Très Sainte Inquisition) et les mettaient dans des orphelinats, quand aux parents ils étaient envoyés en camps de concentration.

17/07/2024

de nombreux naïfs

"le gel des actifs russes, ce qui était également une étape sans précédent, " https://reseauinternational.net/les-avoirs-russes-geles-o...

Ce qui montre bien que la mondialisation n'est pas contrairement à ce que croient de nombreux naïfs quelque chose de bien, mais un mal  et, de même que selon les époques, la création de l'Etat ou celle du fascisme, un danger, toujours soumis à l'éternelle "loi du plus fort" et à la lutte des classes, principal moteur de l'histoire. Un mal à proscrire.

 

12/07/2024

cette "upper-class" qui crache sur le peuple

avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....

revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.

Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.

Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo  https://ruclip.com/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-e... et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :

"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autres domestiques (très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !)  (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"

Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!

regardez cette vidéo, au milieu du débat  (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]

 

"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise  intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."

(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )

 

mais il peut y avoir un retour de bâton  ("l'éternel retour du concret" disait Lénine), écoutez ici JJ Crèvecœur :
https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6

" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"

aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du bien, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !

un article de Nicolas Bonnal :

« cette haine pathologique envers le peuple »

Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.

La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.

C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :

« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».

La presse fut chargée d’encenser Davos :

« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».

Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :

« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».

La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :

« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».

Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :

« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».

Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »

Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.

Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.

08/07/2024

l'affiche

26/6/2006 en passant sur le trottoir : 

Cette publicité n’est pas encore au goût du jour, elle va se faire stigmatiser par le MLF et par les autorités gouvernementales : Le bonhomme est montré en train de tenir sa femme par la taille. Quelle horreur ! On va dire que c’est humiliant pour l’image de LA Femme de montrer un homme passant son bras autour de la taille de son épouse ; On va dire que c’est du «machisme», que c’est indécent, que c'est une "violence", que cet homme est un "porc", etc.

Pour que les MLF ne considèrent pas ça comme humiliant pour LA Femme il faudrait qu’il se tienne à 3 mètres d’elle et que ce soit un "Directeur des Ressources Humaines", qui la jauge pour voir si elle peut encore être rentable et s’il va l’employer encore quelques semaines, ou bien s’il va la jeter à la rue comme un papier gras.

 

04/07/2024

le temps passe mais la mort est éternelle, je vous le rappelle....

en France on revient à la "Gnadentod", destinée à réduire les dépenses de la sécu du Reich ! et ce n'est qu'un début ! une fois le tabou brisé vient l'emballement, la Belgique l'a bien montré !

Mais,au fait !

une question qui n'est pas posée c'est les infirmières qui FONT concrètement les ACTES (et absences d'actes) tueurs (car bien sûr le médecin, le "grand patron" d'hôpital, en général arrogant, oh combien ! dans ce milieu, se contente de donner les ordres à son personnel (et encaisser les gras honoraires) qu'en pensent-elles ? Ce sont pourtant elles qui donnent la mort. Mais bien sûr on ne leur demande pas leur avis, elles n'ont qu'à obéir "ac cadaver" sinon c'est la porte ! La ruine de leur vie, la maison achetée à crédit vendue par la banque, la clochardisation, etc ….

Et là, on ne peut s'empêcher de penser à ce cas : (paru sur  la Midi Libre http://expressions.ecoutespirite.org/aux-frontieres-de-la-mort-revenus-dun-coma-ils-racontent/) celui de M. Joseph Garcia de Lagamas dans l'Hérault, à l'âge de 21ans il s'est retrouvé suite à un accident plusieurs semaines dans le coma, il dit entre autre : "Je sais aussi que malgré la fait que  j'étais  dans  le coma  je  me  rappelle  très  bien  (en 2012, après 61 ans) du nom  et  du  visage  de  l'infirmière en chef  qui a désobéi  au médecin  pour continuer le bon traitement pour moi et qui m'a sauvé la vie. Comment j'ai pu connaître son nom ?"

Vincent Lambert n'a pas eu cette chance là ....

il n'y a pas eu d'infirmière qui a désobéi pour lui sauver la vie ...

6 juillet 2019, réponses à dix arguments favorables à l’ « euthanasie » de Vincent Lambert :

1« Sa mère n’a qu’à prendre son fils chez elle et s’en occuper elle-même ! »

Ses parents le souhaiteraient justement !!! et plusieurs autorités médicales ont reconnu que Vincent Lambert pourrait tout à fait être hébergé chez ses parents.! Ils en ont fait la demande plusieurs fois auprès des juridictions françaises et cela leur a été expressément et systématiquement refusé ! C’est le premier problème fondamental et spécifique à cette affaire : Vincent Lambert n’est pas dans l’unité de soins adaptée à sa situation. Il ne devrait pas être dans un service de soins palliatifs mais dans une maison ou clinique adaptée et spécialisée pour son handicap. Certains hôpitaux et cliniques privés spécialisés pour ce genre de handicap ont proposé d’accueillir Vincent Lambert dans leurs structures. Cela fut également systématiquement refusé.

Dans une tribune collective du 18 avril 2018, 70 « médecins et professionnels spécialisés dans la prise en charge de personnes cérébro-lésées en état végétatif ou pauci-relationnel » affirment à propos de Vincent Lambert qu’« il est manifeste qu’il n’est pas en fin de vie. » La durée moyenne de séjour en unité de soins palliatifs en France est de 16 jours. Vincent vit dans une unité de soins palliatifs depuis 10 ans. Cela montre bien qu’il n’est pas en fin de vie.

 

  1. « Personne ne voudrait vivre comme ça, ce n’est pas une vie ! »

Oui, personne ne voudrait vivre dans une telle situation. Il y a cependant un sophisme à conclure que l’on devrait euthanasier une personne vivant dans une telle situation.

En effet, ce n’est pas parce que l’on souffre d’un mal ou de plusieurs maux que l’on voudrait nécessairement mourir. Personne ne souhaite perdre un bras dans un accident de travail et se retrouver au chômage. Cependant, si une telle chose arrive, une personne ne perd pas nécessairement la volonté de vivre. La réponse d’une société empathique ne doit pas être de maintenir une personne dans sa peine en l’invitant à mettre fin à ses jours pour ne plus souffrir, mais à la soigner, et à l’aider à comprendre que la vie vaut la peine d’être vécue.

De plus, juger de la valeur d’une vie d’une personne est dangereux. Quels critères permettent de dire qu’une vie vaut la peine d’être vécue ? Sont-ils universaux et acceptés par tous ?

 

 Il a dit qu’il ne voulait pas qu’on le maintienne dans un tel état, respectez sa volonté ! »

C’est un point discuté dans cette affaire. Dans les faits, il n’a pas rédigé de directives anticipées, bien qu’il fût infirmier et informé d’une telle possibilité.

De plus, seule son épouse prétend rapporter des propos qu’il aurait tenus, ainsi qu’un frère qui prétend faire état de ses « dernières volontés ». L’ensemble de ses autres frères, sœurs, et même le demi-neveu ont affirmé que Vincent ne leur avait jamais rien exprimé à ce sujet. Ils ont cependant tous déduit cette prétendue volonté de ne pas être maintenu en vie de sa personnalité. Est-ce fiable ?

La réalité, c’est que chacun d’entre nous a déjà dit à ses proches qu’il ne voudrait pas vivre handicapé ou diminué. Cela ne signifie pas que l’on veuille être euthanasié dans ce cas-là. Même en exprimant clairement une telle volonté lorsque l’on est en bonne santé, l’expérience unanime des soignants est qu’une fois l’accident survenu, la volonté évolue car la volonté de vivre est bien souvent la plus forte.

Vincent Lambert a eu son accident de voiture en 2008. Or, ce n’est qu’en 2013, après une longue conversation avec le Dr Kariger, favorable à « un chemin de fin de vie », que Rachel Lambert va dire que telle était la volonté exprimée par son mari. Elle n’avait pas fait part publiquement de ces propos.

Sur cette base, le Dr Kariger tenta cette année-là une première euthanasie de Vincent Lambert. Le docteur continuant de l’hydrater (250-300mL/jour), Vincent Lambert a survécu à la faim pendant 31 jours. Cette résilience, qui s’est maintenue jusqu’à présent, est un indice sérieux d’une volonté personnelle de vivre. C’est ce qu’affirment tous les soignants spécialistes de ces patients et selon leur expérience, les patients comme Vincent Lambert qui ne veulent plus vivre ou « qui lâchent psychologiquement » partent en quelques jours, voire en quelques heures, sans signes avant-coureurs.

 

Il n’a plus conscience de lui-même, c’est un légume ! »

La question est débattue mais les divers diagnostiques établis au cours de toute la procédure judiciaire indiquent que Vincent Lambert est dans un état chronique de conscience altérée qui regroupe les états allant de « végétatif » à « pauci-relationnel ». Il respire seul, dort et se réveille. Il est alimenté par une gastrostomie. Ses mouvements et expressions faciales sont difficiles à interpréter médicalement, mais il est certain qu’il y a une interaction possible avec des personnes, aussi minimes soient-elles. Par exemple, il tourne les yeux et la tête vers sa mère quand elle l’appelle. Plusieurs vidéos prises par sa mère attestent de réactions à des sollicitations et a minima d’un éveil clair de Vincent Lambert, démontrant qu’il n’est pas un « légume. »

Si l’on considère que Vincent Lambert est dans un état végétatif tel qu’il ne pourrait rien exprimer ni même avoir conscience de son environnement – ce que contestent ses parents, alors on ne peut pas prétendre connaître sa véritable volonté à ce jour et prétendre avec certitude qu’il voudrait mourir. Cela rend l’euthanasie de Vincent Lambert d’autant plus choquante : la sagesse traditionnelle veut que « dans le doute, on s’abstient ». Ici, dans le doute, on le tue. Et si d’ailleurs Vincent Lambert n’était plus qu’un légume qui ne ressent et n’a plus conscience de rien, pourquoi vouloir le sédater pour qu’il ne souffre pas ?

https://ru-clip.net/video/u9n5TA7s72o/les-larmes-de-vince...

 

 Non à l’acharnement thérapeutique ! »

Nous sommes entièrement d’accord. Seulement, dans le cas de Vincent Lambert, il ne s’agit pas d’un traitement médical. Il ne prend pas de médicaments, ne subit pas de pontages réguliers, n’est pas branché à une machine d’assistance respiratoire. Il n’est pas en fin de vie. Le 21 novembre 2018, les experts médicaux mandatés par la justice affirment que les

« besoins fondamentaux primaires ne relèvent pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable » et que la situation médicale de Vincent Lambert « n’appelle aucune mesure d’urgence ».

Certes, son alimentation par gastrostomie se fait par une sonde. Le moyen d’administrer l’alimentation est bien infirmier. Mais ce qui est administré n’est pas un médicament, ni un traitement, ni un artifice : c’est de la nourriture, comme tous les êtres humains ont besoin. De plus, dans le cas précis de Vincent Lambert, il faut dire qu’il est capable de déglutir de petites quantités de nourriture. Cependant, ses médecins successifs n’ont jamais cherché à stimuler cette capacité en vue d’un recouvrement de ses facultés.

Ainsi, priver Vincent Lambert de son alimentation n’est pas le « laisser partir » ou le « laisser mourir », c’est le faire mourir. Il est erroné et gravissime de voir dans la simple alimentation assistée d’une personne handicapée « une obstination déraisonnable ». Il y a en France des milliers des personnes qui ne peuvent pas se nourrir seules, certaines sont même malades et âgées. Serait-il légitime de les laisser mourir en ne les nourrissant plus ?

 

  1. « Je suis contre l’euthanasie, mais là… »

… Mais là, c’est bien d’une euthanasie dont il s’agit : la décision par un tiers, le Dr Sanchez, de priver délibérément d’eau et de nourriture une personne avec pour objectif final de le faire mourir. Refuser de nourrir et d’hydrater un handicapé pour provoquer sa mort car on estime que son handicap est trop grave constitue, pour un médecin, un reniement du serment d’Hippocrate.

Si l’on n’est pas ferme sur un principe moral général, alors on se place directement sur une pente glissante. Certes, la situation médicale de Vincent Lambert est terrible et difficile ; mais s’il peut faire l’objet d’une euthanasie par la volonté de sa tutrice et de son médecin, pourquoi des personnes dans le coma depuis plus de 20 ans ne devraient-elles pas, elles aussi, être accompagnées vers une fin digne ? Et pourquoi attendre 20 ans d’ailleurs ? Et si l’alimentation par sonde est un traitement, pourquoi ne pas arrêter le traitement d’autres personnes qui ne peuvent se nourrir seules ?

La direction de cette pente, c’est la Belgique, qui permet légalement aujourd’hui l’euthanasie à la demande de mineurs dépressifs.

 

  1. « Sa mère est une catholique traditionaliste qui fait subir à son fils ses croyances, c’est ignoble ! »

Lorsque les gens disent qu’il vaut mieux l’euthanasier car « personne ne voudrait vivre dans une telle situation », ces gens prétendent eux-aussi imposer leurs convictions à Vincent. Dès lors que Vincent Lambert ne peut pas exprimer sa volonté, les actions entreprises sur lui sont nécessairement imposées, que ce soit la vie ou la mort. Pourquoi un païen qui ne croit pas en la vie après la mort serait-il plus légitime à imposer ses croyances à Vincent ? Il est tout à fait absurde que certains se moquent des croyances des parents de Vincent Lambert tout en assénant qu’une fois mort,

Vincent Lambert ne souffrira plus. Qu’en savent-ils ? À titre de rappel historique, seules les autorités catholiques s’opposèrent au programme hitlérien "Aktion T4" mis en place en 1939 dans le but d’éliminer les personnes handicapées. Selon le texte du décret du programme, le but était « d'accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé. »




 

  1. « Quels coûts pour la sécurité sociale ! » [du Reich?]

Oui. Mais fonder un jugement sur la vie ou la mort d’une personne sur des considérations financières est dangereux… pour tout le monde. Que dire de toutes les personnes plongées dans le coma ? Celles atteintes de cancers graves, foudroyants ou lents ? Doit-on fixer un âge au-delà duquel vivre reviendrait trop cher à la société et justifierait qu’on euthanasie une personne trop âgée ? Cela va à l'encontre du principe fondamental de notre système de sécurité sociale : contribuer à hauteur de ses moyens et être soigné en fonction de ses besoins.

Dans le cas particulier de Vincent Lambert, celui-ci ayant eu son accident de voiture sur le trajet entre son domicile et son lieu de travail, il est financièrement pris en charge par la compagnie d’assurance de son employeur, et non véritablement « par nos impôts ». De plus, les frais journaliers dans un établissement spécialisé qui lui serait adapté sont deux à trois fois moindres que dans un service de soins palliatifs. Le transfert demandé depuis des années par ses parents réduirait d'autant les coûts.

 

  1. « L’ONU n’a rien à voir dans cette affaire. Les exigences de ses comités n’ont aucune valeur en France »

Les Nations unies sont une organisation internationale que les États ont eux-mêmes créée et acceptée en ratifiant un traité constitutif. Or, selon notre Constitution et la jurisprudence du Conseil constitutionnel, les traités internationaux ratifiés par la France s’intègrent à notre ordre légal et ont une force juridique supérieure à la loi.

En l’espèce, dès lors que la France a signé la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocol facultatif, elle s’est engagée, selon notre propre droit national, à reconnaître « que les personnes handicapées ont le droit de jouir du meilleur état de santé possible sans discrimination fondée sur le handicap » et à « Empêche[r] tout refus discriminatoire de fournir des soins ou services médicaux ou des aliments ou des liquides en raison d’un handicap. »

dès lors que les parents de Vincent Lambert ne sont pas parvenus à faire reconnaître le droit à la vie et aux soins de leur fils handicapé en France, il était légitime pour eux de saisir le Comité des droits des personnes handicapées chargé de veiller à la bonne application de ladite convention par la France.

La France a l'obligation de respecter la demande de ce Comité de ne pas faire mourir Vincent Lambert car elle a reconnu à ce Comité le pouvoir de

prescrire les « mesures conservatoires nécessaires pour éviter qu'un dommage irréparable ne soit causé aux victimes de la violation présumée ». En outre, le respect de ces mesures est une condition à l'effectivité du droit de recours individuel auprès des cette instance.

 

  1. « Toutes ces années de procédures, c’est de l’acharnement judiciaire en plus de l’acharnement médical ! »

Personne ne s’engage dans des années de procédures judiciaires par plaisir et cela n’était ni ce qu’imaginaient, ni ce que voulaient les parents de Vincent Lambert.

Aux sources de cette volonté de protéger la vie de leur fils, il y a évidemment et en premier lieu l’amour parental ; mais il y a aussi la conviction de subir une injustice, d’œuvrer pour la protection de principes et de protéger la vie d’autres personnes qui sont dans des situations similaires à celle de Vincent Lambert.

C’est l’injustice et le scandale qui justifient moralement d’engager tous les recours possibles selon le droit français et international : voir leur fils handicapé être, pour ce motif, assoiffé et affamé jusqu’à la mort par décision d’un médecin et de la justice.

L’acharnement n’est ni thérapeutique, ni judiciaire, il est thanatologique

 

Maintenant un rappel historique : le 1er septembre on va fêter les 80 ans de lacréation officielle de l'AktionT4 Lisez bien bien des termes procédures et motivations de l'époque rappellent la notre ! (et n'oubliez pas le lien avec les valeurs du capitalisme ! de plus en plus preignant) :

 

Il y a 80 ans débutait l’opération Aktion T4

C’est à  l’été 1939, il y a quatre-vingt ans presque jour pour jour, qu’a été mis en place par le IIIe Reich le dispositif Aktion T4  destiné à éliminer les handicapés physiques et mentaux d’Allemagne.

Si le début officiel de l’opération est le 1er septembre,  au commencement de la guerre, la décision avait  été prise antérieurement  et il est vraisemblable que son exécution a été préparée tout au long  de l’été. L’opération,  pilotée par la Chancellerie,  a reçu le nom de code  T 4 parce que l’ administration dédiée  a été installée dans une villa confisquée à une famille juive au 4 de la Tiergartenstrasse  (rue du Jardin zoologique), une des avenues les plus huppées de Berlin.

C’est là que fut recrutée une équipe restreinte dirigée par Philip Bouhler, destinée à réaliser cette élimination, en liaison étroite avec le Dr Karl Brandt, médecin personnel du führer[1].

Dès avant son accession au pouvoir, Hitler avait ce projet en tête. Il découlait de son idéologie préconisant l’élimination des faibles et des tarés, à la fois pour améliorer la race et pour  débarrasser le pays de la charge des improductifs. Il ne fallait pas trembler pour le faire  car, selon lui, le monde appartenait  aux forts  aptes à surmonter les sentiments de  pitié. Cela n’a cependant pas empêché  Hitler de déclarer que l’opération  visait à infliger  « une mort miséricordieuse » à des gens dont la vie ne valait pas la peine d’être vécue. Entre les deux-guerres, l’idée d’une élimination des tarés,  portée par la philosophie de Nietzsche[2], était déjà dans l’air du temps, non  seulement en Allemagne mais aussi dans le monde anglo-saxon.

Dès 1933, les nazis avaient pris des  mesures d’« hygiène raciale » : stérilisation obligatoire des porteurs de  maladies héréditaires, légalisation de  l’avortement dans le cas où un de parents en serait affligé. Mais pour des raisons politiques, Hitler préféra attendre la guerre pour aller plus loin tout en préparant les esprits par une propagande insistant sur le coût social des handicapés. A partir de 1938, la même propagande prétendit que des parents de handicapés de plus  en plus  nombreux écrivaient pour demander leur élimination.

La difficulté à surmonter était la résistance prévisible des familles et des Eglises. Tout se fit donc dans le secret. Si l’opération débuta avec la guerre de  Pologne, c’est que le  régime espérait que le bruit médiatique lié à la déclaration de guerre la couvrirait.

On commença  par les enfants : dès le 18 août , une circulaire imposa  aux médecins et sages-femmes de déclarer (de nos jours on dit "signaler" !) ceux qui  naissaient handicapés. Les parents étaient informés de leur  transfert dans des unités  dispensant des soins spécialisés ; ils devaient signer une autorisation. L’opération fut  très vite étendue aux adultes : furent  particulièrement visés les psychopathes, les alcooliques, les infirmes, les faibles d’esprit, les incurables.  L’inaptitude au travail était le critère déterminant (l'absence de "d'efficience" quoi !).

L’opération  se fit hors des  hôpitaux psychiatriques,  dans six centres spécialisés, dont des châteaux isolés, répartis sur tout  le territoire. Les malades y  étaient amenés dans des autobus gris aux vitres opaques de la  société d’Etat Gekrat. Ignorant leur destination, les familles recevaient  plus tard un faire-part de  décès pour cause d’épidémie et quelquefois une urne funéraire.

 

La  majorité du corps médical  était au courant  comme l’a montré le procès des médecins qui s’est tenu à Nuremberg en 1948. Après avoir essayé les piqures de  morphine ou scopolamine, l’administration du T4  jugea plus expéditif le recours au monoxyde de carbone, suivi d’une crémation.

On estime que, pendant les deux années (août 1939-août 1941) où  elle se déroula, l’opération fit environ 75 000 victimes. Mais l’élimination des malades mentaux ou enfants  handicapés se poursuivit hors de l’opération T4,  dépassant au total les 100 000 victimes.

Le secret presque absolu dans lequel elle fut menée fit que les réactions furent lentes. D’autant qu’en régime totalitaire, les familles sont isolées les unes des autres et sous surveillance policière. Quand la chose filtra, des pasteurs protestants et de prêtres catholiques écrivirent à la Chancellerie. La protestation la plus spectaculaire fut celle de Mgr Clemens-August von Galen,  évêque de Munster qui, à l’été 1941, saisit la justice et interpella avec véhémence le gouvernement du haut de sa chaire.  Que l’opération ait cessé peu après est-il l’effet de cette interpellation ou cette phase de l’opération était-elle  terminée ? Toujours est-il que l’évêque fit mis au secret et plusieurs de ses prêtres déportés.

Une autre raison de mettre  fin à l’ opération, était qu’à  l’automne 1941, après l’invasion de la Russie, commençait  l’élimination  des juifs, d’abord par balle dans les terres  occupées de l’ Union soviétique puis, de manière plus « scientifique », dans des camps. L’Aktion T4 aura  servi en quelque sorte de  terrain d’expérimentation à  cette autre opération, prévue elle aussi  depuis longtemps. Le personnel qui avait été recruté pour éliminer les malades  mentaux  fut  en partie  transféré dans les camps d’extermination.

(source : Roland HUREAUX - agrégé d’histoire)

[1] Condamné à mort à Nüremberg ; Bouhler s’est suicidé  en prison.
[2] Le philosophe a à plusieurs  reprises  recommandé l’élimination des  tarés.


à 1H 1min :
"mais dans quelle société de barbares vivons-nous ? Jusqu'à quand on va accepter ça ? Jusqu'à quand on va accepter de vivre dans une société de barbares dans laquelle la fumée des crématoires ne gêne plus personne ! Tout le monde habite à côté des crématoires, on sent la fumée, et tout le monde dort paisiblement la nuit."
"on sera responsables   devant   nos   enfants,   nos   petits-enfants,  

et c'etait pout pouvoir déclencher un projet général, la preuve, regardez maintenant après vincent Lambert ils passent à Tafida Raqeeb:

https://www.thesun.co.uk/news/9668768/tafida-not-ready-to-die/

pétition : https://citizengo.org/fr/lf/172246-laissez-tafida-raqeeb-...

 

Et maintenant quand on pense aux ordres qui ont été donnés dans les EHPAD, on se dit que d'habituer l'opinion publique à l'euthanasie c'était vraiment un axe de leur plan d'action (en anglais ça se dit "agenda", mais pas en français !)

https://ru-clip.net/video/IKsEVmTq1jI/%F0%9F%9A%A8%E2%9A%A0%EF%B8%8F%F0%9F%9A%A8-dieudonn%C3%A9-%C3%A9pisode-104-vers-la-loi-martiale.html

https://odysee.com/@GEPETO:9/Rencontre-avec-le-Professeur-Christian-Perronne-%F0%9F%92%A5par-Jean-Jacques-Cr%C3%A8vecoeur-%F0%9F%92%A5%28ENTREVUE--5%2925062021:4?

oui c'est une mise à mort, et les gens qui ont donné ces ordres devraient être pendus, comme les nazis à Nüremberg

eh oui ! dans un monde normal il y aurait un grand proès de Nüremberg pour ces politiques, et aussi pour les médias (propriétés de 9 milliardaires, on a compris leurs interêts de classe !). Mais Bertholt Brecht le sait : le fascisme est là pour empêcher ce qui se serait passé dans un monde normal ! c'en était le but dans les années 20 et 30, ça l'est encore à notre époque.

Et là aussi "on ne veut pas savoir" :

21/06/2024

Attention l'HORREUR commence toujours par les animaux !

et l'ignominie et l'esclavage et la mort (et l'euthanasie ça a commencé par eux aussi, maintenant en Flandre ont tue même les enfants)

défendez-les ! défendez vos pauvres bêtes (c'est vous défendre vous-mêmes)

Le monde du crédit social se rapproche

En Angleterre, il a été annoncé qu'à l'avenir les propriétaires de chats seront condamnés à une amende s'ils n'ont pas leur animal de compagnie micropucé.  cette mesure esclavagiste et totalitaire est "vendue" au public comme un moyen d'aider à trouver des chats perdus. (souvenez-vous on vous a fait le même tour en France dans les années 80, et on l'a bien vu c'était des inventions et de purs mensonges)

“Si vous croyez cela, alors vous devez avoir votre cerveau retiré et blanchi,” Dr. Vernon Coleman écrit. “Cat micropuce est fait pour nous préparer à être tous pucés.”

Par Dr. Vernon Coleman

Personne ne l'a remarqué, mais le monde du "crédit social" s'est beaucoup rapproché de l'annonce qu'en Angleterre, à l'avenir, les propriétaires de chats qui n'ont pas leur visage micropucé animal une amende de £500.

Le puca des chats est vendu comme un moyen d'aider à trouver des chats perdus parce que le gouvernement se soucie tellement, terriblement beaucoup des chats perdus.

Si vous croyez cela, alors vous devez avoir votre cerveau retiré et blanchi.

En réalité, il sera facile pour le gouvernement de recueillir les détails des propriétaires’ et de savoir où ils se trouvent. Et il sera facile pour le gouvernement de forcer les propriétaires de chats à faire vacciner leurs animaux.

Mais il y a beaucoup, beaucoup plus que cela.

La micro-puce de chat est en cours pour nous préparer tous à être nous-mêmes pucés.

(Oh, et je n'ai aucun doute que les vétérinaires, qui ont soutenu la proposition, ont gagné l'esprit de faire des masses de bénef de cette activité)

Ils vont bientôt nous forcer tous à nous faire implanter une micropuce.

Ils disent que l'implant leur permettra de retracer les bébés qui ont été enlevés ou les personnes démentes qui se sont égarés et se sont perdus.

Il y aura bientôt des nouvelles sur la disparition des enfants.

“Nous aurions pu les trouver s'ils’d been chipped.”

Et il y aura des histoires de personnes âgées errant loin de chez elles. “Nous aurions pu le trouver dans un instant si he’d be chipped.”

Et ils diront que les vacanciers ou les randonneurs qui se perdent auraient pu être trouvés.

Ainsi, par exemple, nous pourrions entendre: “We’d ont trouvé Michael Mosley en quelques minutes si he’d a été chipped.”

Si vous voulez savoir où cela nous mène, veuillez lire mon livre: 5Crédit Social: Nightmare on Your Street’. Il est plus effrayant que tout film d'horreur que vous avez jamais vu.