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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0

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12/10/2025

rondeurs féminines - autrefois c'était un pléonasme

Un échange d'affection se réalise presque uniquement avec le corps. Les odeurs en constituent le déclencheur par leur effet paralysant, tandis que le corps provoque des émotions stimulantes dans l'affection. Le corps se subdivise en cinq caractéristiques; le poids, la forme, le volume, la consistance et la température.

C'est dans l'ensemble du corps que naissent nos émotions et qu'on capte celles des personnes qui nous entourent. Comme pour les odeurs, le corps de nos personnes chères nous procure des sensations qui modifient notre comportement et notre physiologie de manière prédéterminée génétiquement.

Un échange d'affection entraîne donc une série de réactions identiques d'une fois à l'autre. L'affection constitue alors un automatisme nous rendant démuni, et qui nous pousse à s'accrocher à l'autre pour se sécuriser. L'affectivité chevauche deux états émotifs, celui associé au sentiment d'être démuni et celui d'être sécurisé. L'abandon physique cause un sentiment d'insécurité au départ (d'où la pudeur) et nous procure par la suite des sensations qui produisent un sentiment de grande sécurité.

Tout constituant de notre corps a une réaction émotionnelle qui lui est propre et qui fait réagir notre "partenaire" (comme disent les sinistres modernes formés au cynisme commercial) différemment.  Comme pour la loi de la physique décrétant qu'avec la matière, "rien ne se perd, rien ne se crée", toutes les émotions vécues sont présentes en nous depuis de notre naissance. Une émotion réapparaît instantanément lorsque les sensations qui y sont associées surviennent. Par exemple, une série d'émotions surgissent, toujours les mêmes, à chaque fois que l'on touche la peau de notre "partenaire". La sensation de la douceur et de la chaleur de sa peau nous sécurise, abaisse notre pression artérielle et la contraction involontaire de nos muscles, induisant ainsi une détente physique. Au point de vue psychique, ces sensations nous amènent à nous comporter de manière douce et attentionnée parce qu'elles nous font sécréter une hormone dont l'effet est calmant.

Les trois constituants principaux du corps sont les os, les muscles et les tissus adipeux. Au toucher, comme ils ont une consistance différente, ils nous procurent aussi des sensations variées. Comme on touche inévitablement les trois parties du corps de son aimée à la fois, cela nous fait vivre plusieurs émotions simultanément. Chez la femme, les tissus adipeux sont la partie de son corps qui joue un rôle primordial dans l'échange d'affection. Ils sont d'ailleurs responsables de son identité féminine.

C'est grâce à ses tissus adipeux que la femme a une libido. En effet, une femme mince ressent moins le besoin d'avoir une relation sexuelle car la sensibilité féminine prend sa source dans ceux-ci. Les rondeurs féminines, à la base du comportement affectueux, sont aussi à l'origine du plaisir en émettant et recevant les émotions. Les rondeurs féminines, en dirigeant inconsciemment notre comportement affectueux envers la personne aimée, rendent possible une communication émotive. Elles nous attirent sexuellement, elles nous rendent amoureux et elles stabilisent la relation de couple sexuel en permettant à notre "partenaire" de s'assurer de notre fidélité.

Les rondeurs féminines stabilisent notre métabolisme et font diminuer notre niveau de stress. Parce qu'elles sont source de plaisir, de bien-être et de bonheur, on ressent de l'attachement envers son épouse. Les tissus adipeux des femmes jouent un rôle primordial chez l'être humain. De la même manière, ils exercent une fonction sociale. La relation mère enfant s'établit par l'affection qui se transmet à partir de ses rondeurs. Elles forment un nid psychologique lui procurant un confort émotif. Par le fait que les rondeurs sont émotionnellement sécurisantes, elles favorisent la cohésion dans la société. Ainsi, elles incitent les gens au dialogue et au compromis afin d'éviter les conflits. En étant source de bien-être, les rondeurs influencent les personnes à s'entraider et à entretenir des relations amicales.

Comme les tissus adipeux de la femme sont au centre de la vie humaine, la survie de la race en dépend. Essentielles à toute les étapes de la vie, les rondeurs féminines attirent l'homme sexuellement pour la copulation, assurent la survie du foetus et du bébé durant la période de l'allaitement et finalement, par le bien-être de l'affection qu'elles procurent, elles tissent les lien sociaux.

Dans une relation amoureuse, les rondeurs de la femme constituent une protection pour son intégrité physique et psychologique en portant un message de douceur qui influence notre comportement envers elle. Ainsi, à la vue et au toucher, elles nous rendent doux, tendre, affectueux et attentionné et elles humanisent les rapports homme femme; sans elles, on s'accouplerait sans sentiments. Elles sont donc à l'origine de l'amour.

Dans l'affection, l'abandon émotionnel implique une absence de matrise sur soi, sur la situation et sur la personne aimée. Les comportements, les gestes et les pensées qu'ont les deux "partenaires" (d'affaires ? quel drôle de terminologie !) dans un échange d'affection leurs procurent du bien-être parce qu'ils correspondent exactement à ce qui est voulu par la "mère nature". Le mot "échange", quand on parle d'un échange d'affection, signifie que notre corps va puiser dans le corps de l'autre les éléments qui l'amèneront à vivre un moment de bien-être ultime et pareillement pour celui de notre "partenaire". L'abandon physique n'est pas un comportement de soumission parce qu'il est voulu consciemment et inconsciemment par les deux personnes. Le corps a le pouvoir de décider. Ainsi, on se sent indisposé lorsqu'il n'accorde pas son consentement à un contact physique. Notre corps sait comment réagir aux effets émotionnels des tissus adipeux pour obtenir du bien-être.

L'affection est un lien fusionnel où les émotions de chaque corps s'imbriquent parfaitement les unes aux autres pour vivre un moment de grande euphorie. Comme les rondeurs sont un conduit émotionnel, elles sont la principale source de plaisir que la femme retire de son corps et que l'homme retire du corps de son épouse. Ainsi, on capte les émotions enivrantes par ses rondeurs et on transmet notre réponse émotive à travers celles-ci.

Les rondeurs sont comme un océan d'émotions, notre corps comme un voilier, le plaisir comme le vent qui nous fait voguer vers un état de bien-être. Comme les tissus adipeux sont à la base de la vie, ils sont à l'origine du plaisir. Le plaisir de l'affection constitue un carburant fournissant de l'énergie psychologique pour progresser dans la vie. L'affection permet à l'enfant de grandir en santé psychologique et physique, de développer son intelligence et de tisser des liens sociaux solides avec son entourage. À l'âge adulte, l'affection nous permet d'obtenir une excellente qualité de vie. Comme la vie est une drogue, nous sommes tous dépendant de la sécrétion d'hormones responsables du plaisir qu'on retire de l'affection.

La consistance molle des tissus adipeux est significative émotivement. Étant associées à une partie tendre du corps de notre amoureuse, les rondeurs sont à l'origine de la tendresse: elles nous amènent spontanément à être tendre envers notre "partenaire" (quel terme sinistre ! typique de notre époque cynique et déshumanisée !!!). La chaleur qui s'en dégage nous pousse inconsciemment à être très chaleureux envers elle. Être tendre et chaleureux sont deux états d'esprit induits par les émotions produites par la sensation tactile des tissus adipeux.

La tendresse se vit autant dans les gestes que dans les pensées. Une pensée tendre, c'est voir sa "partenaire" belle, douce, fine et merveilleuse. À travers celle-ci, notre épouse nous apparaît encore beaucoup plus belle que d'habitude: elle resplendit de beauté. On la perçoit comme la plus belle femme au monde. Cette pensée constitue un état d'extase et d'admiration associé à toute l'importance qu'a notre aimée pour nous. Au moment d'un échange d'affection, elle est tout particulièrement la plus belle, la plus intelligente. la plus fine, la plus douce, la plus gentille pour soi. En d'autres mots, les pensées qui nous habitent sont très valorisantes pour elle.

Au cours d'un échange d'affection, des images positives concernant notre "partenaire" surgissent spontanément dans notre esprit. Cette imagerie continue à solliciter la programmation pour nous faire poser des gestes automatisés de douceur et de tendresse. La valorisation se fait ainsi spontanément quand on s'abandonne émotionnellement à son amoureuse.

Un geste tendre ne se définit pas par la manière dont on déplace ou on appose ses mains sur le corps de sa "partenaire" (sic), mais plutôt par ce qu'il dégage comme émotions. Par la tendresse, on transmet des émotions de bien-être en touchant son corps. Notre corps peut alors se comparer à un contenant rempli de nos émotions et nos mains, à des becs verseur d'où s'écoulent celles-ci. Nos mains, en plus de transmettre les émotions, captent celles de nos êtres aimés. Elles agissent comme des antennes émettrices et réceptrices. Comme avec les cordes vocales pour la communication verbale, on s'exprime émotivement avec les mains; et parce qu'elles ont une sensibilité plus grande que le reste du corps, elles peuvent détecter une plus grande variété de sensations sur un plus grand écart d'intensité.

Comme un geste tendre constitue un déversement de nos émotions vers le corps de notre "partenaire", il lui procure une dose de bien-être. De ce bien-être, elle réagit aussi par des gestes tendres et émotifs à notre égard, ce qui nous rend euphorique. Un geste tendre dégage une chaleur humaine. Celle-ci est une expression se référant à deux aspects, soit à la chaleur que dégage le corps et à une qualité que la communication émotionnelle peut avoir: un geste rude est plutôt froid alors qu'un geste tendre est chaud. Un geste froid transmet un message émotif d'insécurité et de malaise, ce qui implique un blocage nous empêchant de se livrer émotivement à l'autre alors qu'un geste chaud provoque un état de confort et de sécurité pour la personne qui le reçoit. C'est par notre chaleur humaine que notre femme ressent que nous nous abandonnons émotivement et par la suite, se sentant ainsi sécurisée, elle peut s'abandonner à son tour. On peut donc dire que la chaleur humaine est responsable de l'enclenchement d'un comportement affectueux.

Les femmes nous procurent une sensation de bien-être qu'elles seules peuvent nous faire vivre.

Maintenant il  va falloir publier un texte à l'honneur du pelotage, si diabolisé par notre sinistre, névrosée, et insociable époque

il fut un temps où la communication entre les êtres on trouvait ça normal ; maintenant on trouve ça criminel !

Publié dans Bravi abbracciatevi come eravamo abituati a fare, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, la vraie vie, libertés, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

04/10/2025

on a tort d'idéaliser la Suisse

« Les Suisses ont une très grande confiance dans leurs autorités, beaucoup plus que les habitants d’autres pays ; ils suivent en général les instructions de leurs autorités. » Nos voisins sont devenus des paresseux politiques, c’est le constat que fait Slobodan Despot. Autrement dit, les Helvétiques se font, eux aussi, entourlouper par leurs élites et « la démocratie directe ne sert qu'à valider davantage et à légitimer encore plus des décisions iniques ». Les votations régulières donnent l’illusion d’un pouvoir populaire, alors que les citoyens, « désinformés ou mal informés, ne font que ratifier des projets préparés par des élites et leurs relais médiatiques ». C'est ce qu'il nomme la politique du kitsch, une société parallèle : « Un des éléments clés de cette pseudo-société, qui donc ne remplit pas ses obligations ni ses promesses, c'est le contrôle. Le contrôle est absolument indispensable. » L'exemple type est le vote sur l'identité numérique — passé à seulement 20 000 voix près (50,4 %) — dimanche dernier, aidé d'une belle promotion signée Swisscom (en anglais ! très représentatif et lourd de sens aussi ça !).

Telle une mise en garde lancé à tous ceux qui idéalisent la Suisse, derrière l’image soignée de sa démocratie, Slobodan Despot y voit un terrain d’essai où, sous couvert de consensus, se testent des dispositifs que l’on retrouvera demain ailleurs en Europe. « La Suisse est un pays très conservateur et, dans d'autres domaines, c'est un pays qui est toujours à l'avant-garde de l'innovation, notamment en matière de gestion humaine. » Pour lui donc, pas de quiproquo possible : « La Suisse est un laboratoire de tout ce que l'Occident intégré et globalisé veut faire passer. »

L’observation suisse de Slobodan Despot le conduit naturellement au modèle occidental dans sa généralité, et en particulier au cas français : « Quand les dirigeants n’ont plus de réponses sociales, ils brandissent la peur extérieure et la promesse de protection. » C’est ce que fait Emmanuel Macron, en brandissant notre dissuasion nucléaire — et son partage avec ses alliés européens — à tour de bras. Mais, comme le souligne Slobodan Despot, « Si la France commence à couvrir le jappement des Estoniens ou des Polonais avec sa force de dissuasion nucléaire, elle s’expose elle-même à être détruite. »

Il est donc plus que temps de se débarrasser de cette caste. Un seul remède existe pour cela : la connaissance, l’information, qui nous permettra de dire enfin et collectivement « plus jamais ça » en 2027 !

Au fait, savez-vous qu'en 1935, (tiens on n'en parle pas sur nos manuels d'histoire, bizarre ! vous avez dit bizarre ! ) il y a eu, comme ça se fait souvent, un référendum en Suisse sur la question de changer la Constitution suisse pour en faire un REGIME NAZI, eh oui ! la proposition a été refusée, mais il s'est quand-même trouvé 27% de suisses pour voter OUI. en 1935 Ceux qui ont voté pour ça savaient donc parfaitement pour quoi ils votaient, il avaient le modèle à côté de chez eux. Je rappelle que le plus haut score que les NAZIs ont reçu en Allemagne dans le cadre d'une élection libre ce fut 32% en octobre 1932, dans une Allemagne déboussolée, ravagée par le chômage la ruine économique, la violence, des gens qui ne savaient plus à quel saint se vouer.

Publié dans Bravo M. Philippot toute la France vous attend com, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, l'étude de l'histoire est une grande libératrice, les paranoïas ayatollesques, libertés | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

01/10/2025

sans une révolte générale des gens intelligents et humanistes contre le fascisme et les vendus

 
La liste des notables institutionnels qui commencent à refuser ce qui se prépare s'allonge, mais n'est-il pas trop tard ?  (je le crains ! vu la disparition du site alterinfo.net depuis la nuit du 5 au 6 août 2020 - Nacht und Nebel ! - dont personne, personne ! ne semble s'émouvoir !!! - même les gens qui s'occupaient de ce site semblent avoir disparus sans laisser de traces - ni faire des  recherches, ni de protestations, rien !!! les gens sont mûrs pour le fascisme, et aucune solidarité,souvenez-vous de la pensée du Pasteur Niemoller !)

Après les professeurs Raoult et Perronne, après la généticienne Alexandra Henrion-Caude, un autre pilier du système, le professeur de physiologie Jean-François Toussaint a décidé de rejoindre le camp du « parler vrai ».

Certes, on se sent moins seul à Libre Consentement Éclairé, mais tout cela est inquiétant en fait, car cela confirme que la situation est extrêmement grave et qu'à moins d'une réaction rapide et victorieuse, nous serons définitivement transformés en esclaves soumis au Nouvel Ordre Mondial.

Alexandra Henrion-Caude confirme nos dires

Généticienne reconnue, ancienne directrice de recherche à l'Inserm, Alexandra Henrion-Caude appartient au sérail et elle fait partie du système que nous combattons.
Elle rejoint les professeurs Perronne et Raoult dans un discours de vérité qui confirme ce que nous disons depuis à des mois à Libre Consentement Eclairé.

Elle confirme en particulier que les virus ne sont pas des organismes vivants, que la loi « bioéthique » qui vient d'être adoptée par le régime macronien néonazi ouvre la porte à la création de chimères, d'êtres mi-animaux, mi-humains et que les vaccins ARN vont changer totalement la physiologie des vaccinés.

Elle nous apprend également que des Sud-Africains sont utilisés comme cobayes par l'industrie pharmaceutique pour mettre au point les poisons qu'ils vont vouloir nous inoculer de force.

Dans son interview, elle nous offre une photographie de ce qui se passe, et c'est cauchemardesque.

Ses craintes confirment que les lois « bioéthiques » votées par les laquais de l'Eborgneur en chef des Gilets Jaunes, la Grande Faucheuse des Ehpad, Emmanuel Macron, permettent d'intervenir sur l'espèce humaine en trafiquant les génomes et en ouvrant la voie à toutes sortes d'expérimentations avec des objets et des animaux.

Ne doutez pas un seul instant que ces expérimentations, dignes de celles menées par les fonctionnaires et médecins nazis dans les camps de la mort, finiront par transformer une partie de l'espèce humaine en dociles esclaves du Nouvel Ordre Mondial.

À voir en cliquant sur « Alexandra Henrion-Caude nous prévient »

Un de plus

Jean-François Toussaint ne cède pas aux différents appels du pied, désespérés, des agents de propagande de la macronie néonazie dont les visages semblent se décomposer au fur et à mesure qu'il explique qu'aucune des mesures prises par les criminels à la tête de l'État, ne peut se justifier du point de vue de notre santé.

À voir en cliquant sur « Le professeur Jean-François Toussaint se rallie au camp de la vérité ».

Nos certitudes : c'est maintenant ou jamais

Face à la situation actuelle, qui par ailleurs nous apparaît assez hallucinante vu le nombre de Français qui se plient avec une telle docilité au port du masque, nous avons quelques certitudes.
Nous sommes convaincus par les faits et nos analyses qu'il se mène une vraie guerre contre les peuples occidentaux et les démocraties que le Nouvel Ordre Mondial veut détruire afin de pouvoir imposer sa domination sur l'Occident, y compris avec la complicité ou la bienveillance du gouvernement chinois.

Demain, ces certitudes se transformeront peut-être en doutes, ou alors le futur démontrera que nous avions tort, ce que nous souhaitons de toutes nos pensées, mais nous ne sommes guère optimistes sur ce point.

Première multi certitude : l'exemple islandais et se débarrasser d'eux

En France, nous devons nous débarrasser totalement de la classe politique et technocratique actuelle qui est responsable (et coupable) de tout ce qui se passe.
 
(et ne plus laisser s'installer une classe aussi pervere et nti-démocratqaue, donc relisez Etienne Chouard Paul Le Fèvre et David Van Reybrouck: tirage au sort ! tirage au sort !
https://ru-clip.net/video/SihXufPGm30/coronavirus-ils-votent-l%E2%80%99%C3%A9tat-d%E2%80%99urgence-sanitaire-permanent.html Chouard et David van Reybrouck : tirage au sort ! !
https://ru-clip.net/video/SihXufPGm30/coronavirus-ils-votent-l%E2%80%99%C3%A9tat-d%E2%80%99urgence-sanitaire-permanent.html
 
Du RN au centre-gauche réformiste de France insoumise, en passant par l'UDR et par l'ambigu Dupont Aignan, aucun responsable politique n'a remis en cause les criminelles décisions de l'Éborgneur en chef des Gilets Jaunes.
Dans bien des situations, ils y sont allés de surenchère en surenchère :
- le confinement général est dangereux, il fallait le faire plus tôt ;
- les masques ne protègent de rien et sont dangereux pour notre santé, il faut les imposer partout ;
- etc.

Il ne faut surtout pas croire que nous pourrons changer les choses et préserver nos libertés et droits fondamentaux d'être humain, en conservant les mêmes institutions et le même personnel politique et administratif.

Ce grand ménage doit s'accompagner d'une nouvelle Constitution qui sacralise le RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne), la liberté thérapeutique, l'interdiction de toute obligation médicale ou vaccinale et la suppression du statut de la fonction publique et des grandes écoles administratives (ENA, école nationale de la magistrature, école nationale de la Santé, etc.).

Deuxième certitude : une transition pacifiste semble impossible

Ils ne vont pas renoncer d'eux-mêmes, ils ne vont pas nous dire « Oh, nous avons causé la mort de 25 ou 35 000 personnes âgées afin de vous terroriser et de vous imposer les « vaccins ARN de notre ami Bill Gates et des cliques Obama et Clinton. On regrette, ce n'est vraiment pas bien ce qu'on a fait, d'ailleurs on s'en va et on vous laisse les clés. »

Ne croyez pas une seconde à une possible transition pacifique, la sanglante et meurtrière répression des Gilets Jaunes par les fonctionnaires éborgneurs et là pour nous rappeler qu'ils sont prêts à nous massacrer.

Sans une révolte générale à l'islandaise, sans juger et emprisonner les coupables et responsables de la situation actuelle, ils continueront et nous serons obligés très rapidement de nous faire injecter dans le corps, et sous la contrainte policière ou militaire, les produits qu'ils nomment vaccins, le puçage 5 G.
Si nous ne les jugeons pas, s'ils ne sont pas emprisonnés rapidement, si nous les laissons faire, cela en sera très vite fini de nos existences libres.

Troisième certitude : agir collectivement

L'heure n'est plus à la seule dénonciation, il nous faut trouver les moyens d'agir rapidement collectivement, en tant que peuple, en sachant que nous avons tout un système politique, pseudo-syndical (pourri et acheté par l'UE), administratif, judiciaire et policier contre nous.

Mais dans toute l'histoire de l'humanité, les peuples qui se sont libérés des tyrans ont été confrontés à des situations analogues.
 
"Il ne suffit pas de dire Stop à la mascarade, mais interpeler et juger tous ces criminels sur place. Eux n'hésitent pas à vous mentir pour vous maintenir dans la peur et régler votre compte par la suite. Ils estiment qu'on est trop nombreux sur terre, commençons par eux ! faisons les Olympiades de la chasse aux pourris. On leur prend tout ensuite. Ça va oxygéner notre planète."

Quatrième certitude

Le temps presse, leur programme d'action va s'accélérer et ils voudront nous « pucer » et nous « vacciner » si possible avant 2021.

Cinquième certitude

Il faut nous révolter et contrairement à ce que je disais dans ma dernière lettre, s'emparer de la rue en l'occupant sera peut-être de nouveau nécessaire même si nous devons avant tout constituer une armée numérique.

* * * * *
Reparlons de l'hydroxychloroquine « médicament essentiel à l'humanité » selon l'OMS, d'avant

Il y a plusieurs décennies que l'hydroxychloroquine a été classée par l'OMS, et avant que cette dernière ne devienne une organisation criminelle, « médicament essentiel à l'humanité ».

C'est un dérivé de la quinine (la quinine est extraite de l'écorce du quinquina, Cinchona officinalis, un arbuste originaire d'Amérique du Sud) qui est utilisé depuis plusieurs siècles et qui a été consommé par des milliards d'individus (homme, femmes, femmes enceintes, enfants, malades, bien-portants).
Par ailleurs, il est scientifiquement documenté que l'hydroxychloroquine est efficace pour soigner les maladies pulmonaires associées aux virus et coronavirus depuis 2002 (plusieurs études que nous avons déjà citées ont été alors publiées dans des revues médicales de renom).

C'est ce médicament qu'Agnès Buzyn et le gouvernement d'Emmanuel Macron ont classé « substance vénéneuse » par un arrêté du 13 janvier 2020 (décret préparé en octobre 2019) alors qu'ils savaient depuis 2004-2005 (voyez l'article très documenté del'UPR à ce sujet) qu'ils pouvaient soigner rapidement les malades atteints des pathologies pulmonaires hivernales.
un "Tribunal de Nüremberg" pour ces gens !!!
 
au fait, lisez cet article :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cheval_de_laboratoire
comment des gens capables de gérer des choses comme ça pour faire leur commerce ne seraient-ils pas capables de causer des milliers de morts dans le but de maximiser lers profits ? cette gestion impavide et amorale du profit c'est ce que Zygmunt Bauman appelait "l'esprit de la modernité" dans son livre "Modernité et Holaocauste" (à lire ! c'est un livre incontournable pour comprendre et notre histoire, et le monde présent)

Le marché des chevaux de laboratoire est très porteur, et présente une croissance d’environ 3% par an (chiffres 2011).

https://www.thedodo.com/turning-horse-blood-into-profits-1382177497.html

que celui qui a des oreilles entende
 
 
Comme un phare contre la nuit des corrompus. Il nous éclaire, merci Florian, nous sommes avec le Pr Raoult, symbole d'honnêteté et de courage.

8/8/2020 cette année-ci les médias ne nous diront pas le nombre de morts de la canicule : les médias sont maintenant trop étroitement censurés, et sous menace, les journaputes auront trop peur de perdre leur emploi et se retrouver sur une liste noire et n’avoir plus qu’à crever de faim et de froid comme Dieudonné et sa famille, ou de voir leurs organes d’information effacés en une seconde sans rien dire, et sans que personne puisse rien en savoir et sans que personne ne réagisse ! (comme Alterinfo.net, un site qui avait 18.000 visiteurs individuel par jour)

Alors on ne publiera que les morts que la psy-op gouvernementale voudra bien,en particulier ceux qu’on attribuera (faussement et arbitrairement) statistiquement au coronavirus, histoire de renforcer la manipulation et la soumission du troupeau. Les morts de la canicule ils pourront crever,, dans le silence et indifférence générale, comme les blogs et comme le lire-examen.

C’était déjà pervers en 2003, quand pour avoir le droit de rapporter les constatations des entreprises de pompes funèbre les jurnaputes devaient ajouter « entreprise leader sur le marché » plus puant et cynique y’a pas ! Mais la situation actuelle est dix fois plus perverse et surtout sans aucun espoir. On va vers la dictature fasciste totalitaire orwellienne, pire que tout ce qu’on a déjà connu, et personne ne réagira.

Au contraire ils se piqueront de devenir tous des Rhinocéros... comme dans la pièce de théatre.

 

« Libre à nous de ne pas acheter leurs saloperies, de ne pas lire, écouter, regarder leurs saloperies, de ne pas travailler pour leurs entreprises à l’idéologie fascisante, libre à nous d’aimer qui en a envie comme on a envie – en vie – et de ne tenir aucun compte de leurs désastres, des atavismes familiaux, leur business plan

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, pour une résilience à tous les étages. Ne pas vivre reclus en prédisant l’apocalypse dans un hédonisme de pacotille mais faire tonner le volcan qui grogne en nous… »

programme, trouvé sur

http://diktacratie.com/petit-eloge-de-lexces/

et manifeste de ce qui se passe actuellement (13/8/2020) mais programme déjà impossible : vous allez vous retrouver en prison, ou dans le meilleur des cas clochard accusé de complotisme antisémite homophobe pédophile d’extrème-droite, de criminelle et illégale mise-en-danger-de-la-vie-d’autrui et de violence contre les « force de l’ordre » qui vous auront tué et brisé votre famille et vous demanderont des dommages-et-intérêts ! avant de vous confisquer votre voiture et votre maison et vos enfants, et de crime contre la démocratie, et de terrorisme, si jamais vous semez l’inquiétude contre la fiabilité des ordinateurs de vote ou des produits « écolo-traditionnels de bonne-maman » de votre supermarché à vigiles badgés !

le temps de la Résistance et du maquis est venu, il nous  faut un De Gaulle et Il faut les dégager manu militari https://ru-clip.net/video/SihXufPGm30/coronavirus-ils-vot...

j'avais publié cet article le 10/10/2020 à l'époque où j'ai commencé à comprendre qu'on était face à une résurgence d'un nouvel avatar du fascisme, une tendance lourde de cette "hubris" de 'l'esprit de la modernité" qu'a lui seul analysé Zygmunt Bauman

il ne faut surtout pas baisser les bras de l'intelligence et de la Résistance, car nous sommes face à un choix de CIVILISATION primordial.

Publié dans journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, le mondialisme est le stade ultime du capitalisme, libertés, morale, Politique, Science, Société | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

20/09/2025

"malediction" vous avez dit "malédiction" ?

tous les gens, et parents de gens, qui sont morts mystérieusement, autour de l'inventaire des objets trouvés dans la tombe de Toutankhamon, les journalistes, bizarrement "expliquent ça par une "malédiction", vous croyez à ce genre d'explication ésotérique ? Je pense que non. Or une explication rationnelle il y en a une, et quand on étudie le dossier (au fait connaissez-vous les livres de Joseph Davidovits, ingénieur et égyptologue, sur le scribe du père d'Akhenaton qui a eu un temps funéraire ?) ça devient tout à fait convaincant, lisez :
 
mai 22, 2017
La découverte du tombeau de Toutankhamon a été un événement mondial, les morts mystérieuses qui ont suivi ont fait la une des journaux, mais le secret le plus important est resté caché car il mettait à mal le projet de création d’un état juif par le mouvement sioniste.


Cet article permet de comprendre pourquoi, malgré les nombreuses découvertes liés aux traductions de tablettes sumériennes ou hiéroglyphes égyptiens qui remettent en question l’origine de la Bible, rien n’est divulgué au public.

Ce texte a été publié par Marjy sur un forum qui n’existe plus, mes rajouts sont en marron :

Le secret derrière le secret de Toutankhamon

Depuis presque un siècle désormais un halo sinistre flotte autour du nom du pharaon-enfant Toutankhamon.

Depuis qu’Howard Carter en découvrit la tombe – officiellement le 27 novembre 1922 – les personnes les plus au courant par rapport aux détails des découvertes sont toutes mortes, inexplicablement, en l’espace de quelques années.

Environ 5 mois après la découverte de la tombe, celui qui a financé l’entreprise, Lord Carnarvon (en fait on sait aujourd’hui que ce n’était pas lui le financier mais la famille de sa femme, les Rothschild), est piqué par un moustique sur la joue.

Suite à ce banal incident, ses conditions de santé se dégrade jusqu’à le conduire à la mort par septicémie.

Ce fut ensuite au tour du demi-frère de Lord Carnarvon, Aubrey Herbert, qui mourut inexplicablement, en 1923, suis à une simple extraction dentaire.

L’archéologue canadien La Fleur, arrivé en Égypte en avril 1923 – en parfait été de santé – pour aider Carter dans ses travaux, mourrait juste quelques semaines après d’une mystérieuse maladie.

C’est toujours en 1923 que mourut Georges Jay Gould, ami intime du comte de Carnarvon, à cause d’une étrange inflammation pulmonaire.

Juste un an après, en 1924, le célèbre archéologue Evelyn White qui avait collaboré avec Carter pour rédiger l’inventaire du trousseau funéraire du pharaon expirait à son tour.

Il fut retrouvé pendu, et la police conclue qu’il s’agissait d’un suicide.

Quelques mois plus tard Douglas Archibald Reed, le scientifique anglais qui avait été chargé de faire les radiographie de la momie du pharaon, perdit la vie dans des circonstances pas très claires.

En 1926 la « malédiction » toucha Bernard Pyne Grenfell, l’éminent papyrologue consulté par Carnarvon pour les traductions des textes égyptiens.

Le secrétaire privé de Lord Carnarvon, le noble Richard Bethell, fut retrouvé mort dans son lit, en 1929, suite à un cas atypique d’arrêt cardiaque.

Bethell avait aidé H. Carter dans le travail de catalogage des trésors de Toutankhamon, et la cause de sa mort est toujours restée un mystère.

Lord Westbury, le père de R. Bethell, mourut à peine quelques mois après son fils, « sautant » par la fenêtre de son appartement de Londres. La police classa rapidement le cas comme suicide.

Dans sa chambre on retrouva un vase en albâtre appartenant à la tristement célèbre tombe de Toutankhamon, un objet précieux qui n’apparaissait pas sur la liste officielle des objets découverts.

Le vase avait donc du être pillé durant la première ouverture clandestine de la crypte… et cela révélait implicitement que l’ancien noble avait très certainement été mis au courant des dessous de la découverte directement par son fils.
D’un « mal étrange » mourut également l’égyptologue Arthur Cruttenden Mace, le scientifique qui en 1922 avait collaboré avec Howard Carter à la restauration de la tombe.

Avant de mourir Mace avait été très proche de Lord Carnarvon, et il avait contribué à la rédaction du volume « The Tomb of Tut.ankh.amon » avec H. Xarter.

Mais début 1923 déjà, Mace commençait à se plaindre d’un très mauvais état de santé qui le conduit lentement mais inexorablement à la mort, survenue le 6 avril 1928.

En 1929, le « mauvais sort » toucha Lady Almina, la femme de Lord Carnaron, et – comme c’était déjà arrivé auparavant pour son mari – la cause du décès fut officiellement attribuée à une infection.

Le très riche prince égyptien Alì Kemel Fahmy Bey, qui s’était beaucoup intéressé aux secrets de la tombes se positionnant comme acheteur potentiel des trésors pillés, fut retrouvé mort en 1929 dans des circonstances pour le moins obscures.

Le crime fut commis dans un hôtel de Londres, et la police anglaise classa rapidement l’affaire attribuant l’homicide à sa femme.
Le frère du prince musulman assassiné mourut comme par hasard de mort violente lui aussi.

Dans son cas également, le décès fut rapidement archivé par la police comme suicide.

L’honorable Mervyn Herbert, deuxième demi-frère de Lord Carnarvon, mourut en 1930 à Rome dans des circonstances étranges.

Même « mauvais sort » pour l’égyptologue Arthur Weigallm qui avait collaboré activement avec Carter, Carnarvon et le reste de l’équipe durant les travaux de fouilles.

En 1933 il fut touché par une « fièvre inconnue », qui le conduisit rapidement à la mort.

Personne toutefois ne retint nécessaire de solliciter une enquête judiciaire à ce propos, et les journaux de l’époque préféraient trouver une explication à ces mystérieux décès dans une fortuite série de coïncidences, ou même dans la rumeur selon laquelle une terrible « malédiction » du pharaon aurait massacré les scientifiques liés à la découverte.

Il est évident que des personnes très puissantes et ayant beaucoup d’influences sur le gouvernement, la police et les médias, ont brouillé les pistes !
Ce sont ces mêmes personnes « très influentes » qui seraient responsables  de la disparition de l’«hypothèse Khazars» dans les recherches de l’origine des juifs d’Europe.
Avant la création du sionisme en 1897, la théorie selon laquelle les juifs d’Europe venaient de population turco-khazars convertis au judaïsme était dominante, aujourd’hui, ceux qui osent en parler subissent d’énormes pressions alors que des preuves génétiques vont aussi dans ce sens (voir les travaux du Dr Eran Elhaik), et tout cela toujours pour la même raison : la vérité met en danger l’existence légale d’Israël !

Et plus la « malédiction » faisait de victime, plus la presse alimentait une atmosphère de superstition toujours plus dense et croissante, qui donna naissance à une des légendes modernes les plus connues au monde, qui a aussi été le point de départ de nombreux romans à succès.


Par la suite, l’événement fut rendu encore plus suggestif par l’adjonction d’anecdote impressionnantes sur certains présages néfastes qui se seraient passés le jour de l’ouverture de la crypte.

On fit par exemple circuler la rumeur selon laquelle, au moment de la sortie de la tombe du dernier ouvrier, se serait déchaînée une inquiétante tempête de sable, juste devant le tunnel qui conduisait à la tombe.

A cet événement surnaturel, aurait fait suite l’apparition à l’horizon d’un majestueux faucon (symbole de l’autorité royale dans l’ancienne Égypte) dirigé vers l’ouest, le lieu où les anciens égyptiens pensait que les âmes des morts se rendaient.

Au récit de cet épisode – dont on ne trouve par ailleurs aucune « preuves » historiques – s’en ajoutent d’autres toujours plus fantastique, qui finirent par affoler les pages des tabloïds du monde entier.

Un des épisodes les plus invraisemblables concernait justement la mort de Lord Cararvon, survenue à 1h55 du matin : on dit par exemple que à l’instant précis où expira le noble britannique toutes les lumières de la ville du Caire se seraient éteintes.

Un présage néfaste auquel aurait fait suite aussi la mort de son chien.
Certains improbables témoins racontèrent même que la pauvre bête, avant de mourir, était encore en train d’hurler de terreur, car elle percevait la présence d’une entité hostile qui était en train de la hanté.

Et au fur et à mesure que la liste des morts s’allongeait, les organes d’informations continuaient à alimenter la légende avec n’importe quelle circonstance « surnaturelle » capable de confirmer l’histoire de la malédiction, selon laquelle Toutankhamon aurait réussi à venger la profanation de la tombe royale, en tuant tous les auteurs du « sacrilège ».

Mais quelque chose, dans tous ces comptes, ne tournait pas rond : Howard Carter, c’est-à-dire le principal responsable de l’expédition, et le découvreur effectif de la tombe, restait étrangement immunisé par les conséquences de l' »épouvantable punition ».

Les circonstances réelles dans lesquelles Carnarvon perdit la vie restent toutefois assez obscures, puisque déjà quelques temps avant son décès le noble britannique manifesta de symptômes assez clairs d’empoisonnement.

Le comte, en effet, après avoir contracté la présumée infection létale, commença à souffrir inexplicablement de la chute de ses dents et de leur continuel effritement, qui sont des conséquences typique d’un empoisonnement à l’arsenic.

Mais, comme le démontre les enquêtes chimiques et bactériologiques conduite dans la tombe le matin suivant l’ouverture officielle, cette substance était totalement absente des chambres funéraires de Toutankhamon.

La mort de Mace, qui avait travaillé en étroite collaboration avec les découvreurs de la tombe, laissait également de forts doutes, qui sont par ailleurs confirmés par la biographie de Mace, publié en 1992 par l’écrivain Christopher C. Lee.
Dans cette œuvre, on retrouve le texte d’une lettre écrite par Mace, le 14 janvier 1927 à son vieil ami A. Lythgoe.

Dans la missive Mace révélait que ses conditions de santé exécrables provenait d’un mystérieux empoisonnement à l’arsenic.

Mais sur la façon dont Mace aurait pu subir un telle intoxication létale, le biographe n’a pas pu fournir d’explications plausibles.

Un secret à cacher

L’écrivain américain Arnold C. Brackman, dans son livre « The search for the gold of Toutankhamon » (1976), se disait convaincu qu’à l’époque de l’ouverture de la tombe la seule découverte archéologique qui aurait pu constituer un « grave scandale politique et religieux » étaient les documents historiques remontant à l’époque de Toutankhamon.

Brackman suggérait que grâce à eux il aurait été possible de démontrer de manière irréfutable l’étroite relation entre le premier pharaon monothéiste de l’histoire, « l’hérétique » Akhenaton (aujourd’hui attesté comme père de Toutankhamon) et Moïse, le législateur israélite qui selon la tradition de l’Ancien testament « conduisit le peuple d’Israël hors d’Égypte ».

Pour confirmer cette hypothèse nous trouvons un important témoignage de Lee Keedick, que l’écrivain Thomas Hoving a reporté textuellement dans son volume de 1978, « Tutankhamon – the untold story ».

keedick a raconté avoir assisté à une discussion animée entre H. Carter et un haut fonctionnaire anglais, survenue en 1924 à l’ambassade britannique du Caire.

Durant la lutte houleuse Carter menaça de révéler publiquement  » le bouillant contenu des documents qu’il avait trouver dans la tombe », documents qui – selon ce que Carter lui-même affirmait – « racontaient le véritable et scandaleux compte-rendu de l’exode des Hébreux de l’Egypte ».

Toutefois, il semblerait qu’au terme de la discussion Carter ait trouvé un accord avantageux pour se taire, et de fait, depuis lors, ces papyrus ont disparus comme par magie.

Les documents disparus

L’existence de ces objets est enregistrée et cataloguée durant la rédaction du premier inventaire officiel, mais elle fut bruyamment démentie par Howard Carter– quand on commençait déjà à en parler un peu partout – peu après la mort soudaine de Lord Carnarvon (celle « due à une piqûre de moustique »).

Carter expliqua qu’il avait erronément classé certains bandages du pharaon comme des papyrus, à cause de l’absence de lumière électrique dans la crypte.

Mais sont explication était décidément bien fragile : si en effet il s’agissait d’un simple méprise dans le catalogage, les membres de son équipe aurait du s’en apercevoir très vite, vu l’intérêt qu’entre-temps les précieux documents avaient suscité.

L’évident mensonge de Carter eut donc l’effet opposé à celui désiré : au lieu d’ensevelir pour toujours la nouvelle de la découverte, les « papyrus disparus » de Toutankhamon devinrent l’objet de moqueries et de spéculations, qui se transformèrent en véritables doutes, quand il fut confirmer que Carter et Carnarvon avaient plus d’une fois fait de fausses déclarations à la presse.

On su en outre que les deux protagonistes de la découvertes étaient furtivement entrés dans les locaux de la tombe avant son ouverture officielle, pillant à l’occasion de nombreux objets du mobilier funéraire ayant appartenu au pharaon.

Une confirmation de la découverte des papyrus se trouve dans une lettre que Cararvon envoya en novembre 1922 à son ami, l’égyptologue Alan H. Gardiner.

Dans la missive réservée Lord Carnarvon décrivait en détails les objets découverts dans la tombe, et parmi les autres chose il affirmait « il y a une boîte avec à l’intérieur quelques papyrus ».

Cette présence fut par la suite confirmée par une missives successive de Carnarvon à Sir Edgar A. Willis Budge, le gardien des antiquités égyptiennes du British Museum, datée du 1er décembre 1922.

Dans la lettre Carnarvon affirmait avoir trouvé dans la crypte du pharaon certain document de grande importance historique.

L’existence des papyrus était également confirmée par un des bulletins officiels qui partaient quotidiennement de Luxor, durant les fouilles.

Dans la dépêche télégraphique envoyée par Arthur Merton le 30 novembre 1922, on pouvait lire :

« …une des boîtes trouvées dans la tombe contenait des rouleaux de papyrus desquels on peut s’attendre à retrouver des masses d’informations historiques ».

Comme c’est bien connu, dans le cas d’une importante découverte archéologique, le découvreur évite de faire des déclarations officielle jusqu’à ce qu’il n’ait pu vérifier de fond en combles l’authenticité de sa propre découverte.

Il est donc peu probable que 4 jours après la découverte, aucun membre de l’équipe n’ait encore pris le soin d’effectuer les vérifications.

Nous savons en outre qu’Howard Carter ne démenti jamais les déclarations faites par Lord Carnarvon, et tant l’inventaire, que la première version des faits, furent modifiés seulement après la mort de ce dernier.

Selon certaines sources, le comte de Carnarvon aurait même confirmé la découverte des papyrus dans une interview donnée le 17 décembre 1922 – donc 21 jours après la découverte officielle – à un envoyé spécial du Times.

D’importants indices ultérieurs arrivent de l’égyptologue Alan Gardiner, qui à l’époque fut mis au courant de la découverte par Lord Carnarvon lui-même, et qui publia ses propre opinions sur la valeur effective des découvertes sur le « Times » le 4 décembre 1922.

Dans l’interview Gardiner déclarait :

« Mes préférences me portent à être particulièrement intéressé par la boîte des papyrus qui a été retrouvée… D’autre part, ces documents pourraient d’une quelconque façon faire la lumière sur le changement de la religion des hérétiques (c’est-à-dire les pharaon de El Amarna) vers la précédente religion traditionnelle, et ce serait extraordinairement intéressant… ».

La « scandaleuse » histoire d’Israël

Bien que ne pouvant pas disposer des précieux documents, la majeure partie des grands historiens sont désormais parvenus à un pas de la solution du mystère qui entoure la période historique de Toutankhamon (fils du pharaon hérétique) et de la naissance du peuple juif.

Ces conclusions confirment les rumeurs qui filtraient, à l’époque quand ce même Howard Carter admis devant certains témoins lors d’un discussion animée, que le véritable secret à caché concernait l’histoire d’Israël.

Les études les plus récentes conduites dans ce domaine démontrent en effet que selon toutes probabilités le peuple d’Israël tire ses origines du mélange racial entre les tribus sémites Hyksos et es autres minorités ethniques qui suivirent le pharaon hérétique Akhénaton avec sa caste sacerdotale Yahud.

Déjà, à l’époque de l’occupation napoléonienne de l’Égypte, l’érudit Jean-François Champollion suggéra l’existence d’un lien étroit entre l’Ancien testament et la période égyptienne de El amarna et son pharaon monothéiste.

Il s’agit donc d’une hypothèse déjà largement partagée dans le passé par d’illustre égyptologue, et même confirmée par Sigmund Freud. Le père de la psychanalyse, qui était juif, avait étudié à fond les textes sacrés à la recherche des véritables origines du peuple israélites, et au terme de ses recherches il avait écrit :

« Je voudrais me risquer à une conclusion : si Moïse était égyptien, et s’il transmis aux hébreux sa propre religion, c’était la religion d’Akhenaton, la religion d’Aton ».

D’autres illustres chercheurs d’origine juive, comme par exemple Messod et Roger Sabbah (« Les secrets de l’exode »), sont arrivés aux mêmes conclusions sur les origines du peuple juif.

Les nouvelles découvertes archéologiques ont donc contraint les chercheurs à revoir drastiquement leurs propres positions.

Pour Robert Feather, auteur du livre « Le dernier mystère de Qumran », les « rouleaux de la Mer Morte » (les « rouleaux » furent cachés dans les grottes de Qmran par la communauté juives des Esséniens) sont d’origine égyptienne, et il explique dans son livre qu’une bonne partie de la rédaction de l’Ancien testament est en réalité à attribuer à la caste sacerdotale du pharaon hérétique Akhenaton (Aménophis IV), les prêtres Yahùd.

Ces affirmations sont à mettre en relation avec les dernières théories, qui identifie les premières tribus d’Israël avec les Shasu – Hyksos (ethnie sémite originaire de la zone Mésopotamienne), qui adoptèrent la puissante caste sacerdotale égyptienne des Yahùd sous le guide du monarque monothéiste Amenophis IV/ Akhenaton, qui régna durant la période où aurait vécu le biblique Moïse.

Tandis que le patriarche des hébreux Abraham, si on s’en tient aux sources bibliques, provenait justement de la ville de Ur (devenue ensuite Babylone et aujourd’hui Baghdad), et avait donc des origines mésopotamiennes.

Akhenaton et l’histoire négligée de son peuple

Le nord de l’Égypte fut envahi par les Shasu – Hyksos aux alentours su XVIIe siècle a.C., et leurs rois s’établirent comme légitimes pharaons égyptiens pendant deux dynastie, la XVe et la XVIe.

Les Hyksos était un peuple sémite culturellement très avancé, qui disposait de technologie militaire d’avant-garde, comme les puissants chars de guerre mésopotamiens (chars, cavalerie lourde, casques et cuirasses), auxquels ils devaient très certainement leurs rapides succès militaires.

A la fin cependant les rois Hyksos furent vaincus et chassés définitivement au-delà du delta du Nil, tandis qu’une partie de leur peuple fut capturée et contrainte à l’esclavage.

Les réfugiés Hyksos passèrent ainsi du statut de dominateur à celui de prisonnier, et leur permanence en Égypte s’étendit pendant environ 400 ans : la même période de temps indiquée par la bible comme « captivité égyptienne des hébreux ».

Avec l’arrivée du pharaon hérétique Amenophis IV (qui s’est renommé Akhenaton), la minorité Hyksos se convertit au culte monothéiste d’Aton, suivant le sort de son bref règne.

Qu’advint-il après la chute de Akhenaton ?

Ce n’est aujourd’hui pas encore très clair, car les régents qui lui succédèrent en effacèrent toutes les traces dans l’histoire.

L’exode biblique apparaît donc comme indubitablement connecté aux vicissitudes du pharaon hérétique Akhenaton (les seules qui leur garantissent un fondement historique), qui instaura la nouvelle foi monothéiste dévouée au culte de ineffables Dieu Aton.

C’est à lui qu’Akhenaton dédia la construction d’une ville entière, Akhet.aton (ensuite El Amarna), le lieu où il rassembla son nouveau peuple autour du culte du soleil.

On a beaucoup débattu sur l’hérésie d’Aton, un monothéisme en réalité très atypique qui renfermait en lui, sans le renier, le complexe polythéisme égyptien.
De nombreux scientifiques préfèrent donc utiliser le terme de « hénothéisme », expliquant que Aton n’aurait pas été la seule divinité, mais bien le dieu suprême dont la vénération aurait pu remplacer toutes les autres puisqu’elles en dérivent.

Parmi les convertis a cette forme de monothéisme il y eut aussi les minorités ethniques alors présentent en Égypte, qui une fois réunie dans culte d’Aton donnèrent lieu à la naissance d’un peuple cosmopolite et multiracial, dont les membres d’origine sémite constituaient la majorité.

A l’intérieur de cette nouvelle nation il y avait aussi des races typiquement africaines, comme celle des Falashà éthiopien qui aujourd’hui encore revendiquent leurs origines juives.

Ces derniers toutefois, une fois le règne d’Akhenaton sur l’Égypte terminé, retournèrent dans la région africaine d’appartenance (l’Éthiopie), séparant ainsi leur destin de celui des autres rescapés hérétiques.

Les deux exodes donc – celui historique du pharaon monothéiste Akhenaton d’une part, et celui biblique de Moïse d’autre part – se vérifièrent exactement durant la même période historique, au point que les deux événements narratifs résultent tout à fait superposables l’une sur l’autre.

La Bible elle-même en outre nous informe que Moïse grandit comme un prince à la cour des pharaons, après avoir été retrouvé dans un panier qui flottait le long du Nil.

Un épisodes fabuleux qui a l’incomparable saveur d’une invention littéraire destinée à justifier la présence du patriarche dans la maison du pharaon.

Il semble donc évident que les scribes de l’Ancien Testament voulurent sceller la véritable origine de Moïse et de son peuple à leur propre ancêtre.

L’enquête de Messod et Roger Sabbah

Ce qui semble désormais certain, dans tous les cas, c’est la correspondance entre l’exode multi-ethnique survenu à El Amarna, au terme du règne d’Akhenaton en Égypte, et celui décrit dans la Bible avec la figure de Moïse.

Parmi les nombreuses preuves recueillies en ce sens aux cours des années, il y en a certaines qui sont particulièrement significatives, comme par exemple le Psaume 104 de l’Ancien Testament : selon l’interprétation la plus diffuse parmi les scientifiques laïques, le Psaume 104 n’est autre que la ré-élaboration du « Grand hymne à Aton« , un texte que le pharaon hérétique en personne à fait rédiger (Le Grand hymne à Aton a été retrouvé dans la tombe du pharaon Ay à Akhet-Aton /el Amarna).

Selon l’interprétation digne de foi de Messod et Roger Sabbah, en outre, le terme hébreux « adonai« , utiliser pour dire « mon seigneur », traduit dans le langage des hiéroglyphes égyptiens correspond à la parole D’Aton, tandis qu’une partie des scientifiques la traduit par adon-ay, c’est-à-dire, seigneur « Ay », le nom du premier successeur d‘Akhenaton.

Même l’origine controversée de la prière chrétienne du Notre Père (« Notre père qui êtes aux cieux… »), nonobstant ce que l’Église Catholique laisse entendre, semble être, selon certains scientifiques, un hymne religieux qui remonte à l’Égypte ancienne, précisément à la période où était en vigueur le culte du Dieu-Soleil (d’où serait né des termes comme « le très haut » ou « le seigneur des cieux »).

Il y a un siècle Albert Churchward, scientifique expert de mythologie, affirmait :
« Les Évangiles canoniques peuvent être considérer comme un recueil de dires prélevés dans les mythe et dans l’eschatologie des égyptiens ».

Bien plus récemment les co-auteurs de « Les secrets de l’exode », Messod et Roger Sabbah, sont arrivés à soutenir la même thèse en partant de l’examen rigoureux des sources les plus anciennes que nous ayons à disposition, comme certains textes sacrés écrit en araméen.

De cette façon ils ont évité de consulter les textes déjà traduits ou déformé par les interprétations précédentes, récupérant la précieuse signification originale.
(Il est bon de savoir en effet que l’araméen n’utilisait pas les voyelles, et le traduire signifie toujours d’une façon ou d’une autre l’interpréter à sa propre discrétion).

Les auteurs ont exécuté un travail d’exégèse rigoureux et approfondi, qui a profité des études herméneutique digne de foi de Salomon Rashì, un traducteur d’hébreux médiéval très connu et respecté même dans le milieu juif orthodoxe, surtout parce qu’il est devenu le dépositaire exclusif de leur tradition orale perdue.

Extrait :
Roger Sabbah, égyptologue, archéologue et chercheur a fait des découvertes incroyables avec son frère : 

Dans le tombeau de Toutankhamon, ouvert en 1923, figuraient des inscriptions rédigées en hiéroglyphes insolites, certaines lettres ressemblant à s’y méprendre – forme, prononciation, valeur symbolique – à l’alphabet hébreu. 

La coïncidence, à l’époque, n’émut personne. Pas plus que celle-ci: sur un mur du tombeau, le double « cartouche (la signature gravée) d’un obscur pharaon, Aï, dont le nom, en hiéroglyphes, ressemble à celui, dans la Bible araméenne, de Dieu, prononcé Adonaï (Aton-Aï). 

Et, à l’entrée de la salle du trésor, gardant la tombe, couché sur un coffre, le chien Anubis (ou Anapi): en hébreu, « Nabi » signifie « gardien de la loi ».
Chien et coffre étaient recouverts d’un tissu sacré rappelant le châle de prière des Hébreux. 

Le coffre à brancards, lui, pourrait s’apparenter à l’ « Arche d’Alliance » telle qu’elle est décrite dans la Bible. Arguant de ces similitudes – il y en a bien d’autres -, les frères Sabbah ont relu de fond en comble les textes. 

Ils en ont déduit que la langue hébraïque était issue des hiéroglyphes, stylisés. Et, dès lors, tout s’est éclairé: les énigmes de la Bible, les noms aux consonances étranges parce qu’étrangères, les personnages, l’Histoire.

Le secret de la boîte n°101

Une fois éclaircie l’importance historique des papyrus éventuellement présents dans la tombe de Toutankhamon il est possible de retourner examiner les indices qui suggèrent que ces derniers aient été occultés, tandis que le motif pour lequel ces documents étaient, et sont encore aujourd’hui considéré, politiquement explosifs devrait devenir de plus en plus clair.

Laissons un moment à part l’événement de la découverte, et faisons un bref saut en arrière dans l’histoire.

La naissance du Sionisme

Les idées sionistes commencèrent à se diffuser au sein de la communauté juive à travers les publications et les discours de Binjamin Ze’ev, plus connu comme Theodor Herzl.

En fait on sait aujourd’hui que le vrai fondateur du sionisme contemporain n’était pas juif, mais chrétien dispensationaliste, c’est un américain, le révérend William E. Blackstone, au service des puissantes familles JP Morgan et Rockefeller, qui a convaincu Theodor Herzl de créer le mouvement sioniste en Europe, mouvement qui a ensuite été financé par la famille Rothschild.

L’autre curiosité quant au choix de Théodor Herzl comme dirigeant du mouvement sioniste par les banquier américains, c’est qu’il était antisémite comme le remarque ce documentaire israëlien avec sous titre en français :
Theodore HERZL « Le coté antisémite du Sionisme » 

Son volume « Der Judenstaat » (l’état juif) de 1896 devint ainsi une sorte de « texte sacré » chez les plus fervents militants sionistes.
Theodor Herzl est passé à l’histoire comme le fondateur officiel de la World Zionist Organization (la première organisation sioniste au niveau mondiale), un mouvement qui fonde sa propagande sur deux questions fondamentales :  

le concept de « race juive », et son lien essentiel avec le Terre Promise, Eretz Israel (qui ne signifie pas « Terre d’Isreal » dans le sens géographique, mais Terre des descendants de Jacob, c’est-à-dire « israelites »).

Le lobby sioniste ne fut jamais un mouvement politique quelconque, car il pu compter dés le début sur l’appui exclusif de pouvoirs fort de l’époque.


Le support financier des futurs colons juifs en effet fut assuré par le sommet historique des éminents banquiers et franc-maçons qui se tint à Bâle en 1897, durant les travaux du Premier Congrès Sioniste. Le congrès était présidé par le baron Edmond de Rothschild, lequel mis à l’ordre du jour la naissance d’un institut de crédit qui avait pour but principal de soutenir la cause sioniste.

Les sionistes, de leur côté, malgré le manque de fondement tant historique que biologique, cherchaient par tout les moyens à valider et diffuser le concept de « race juive » : une idéologie qui trouva sa propagande dans des œuvres comme celles de Vladimir Jabotinsky (un des plus grands activistes historiques du sionisme réviosonniste).

Ces derniers en effet, à cause justement du procès d’intégration qui était effectivement en cours à cette époque, considéraient que la pureté ethnique des juifs était en grave danger, en arrivant à soutenir que la seule solution possible pour y remédier était la construction d’un état juif.

A ce point il n’est pas difficile d’imaginer comme l’éventuelle diffusion du contenu des papyrus, qui réécrivaient la racine historique de l’origine du peuple juif, aurait desservi la cause sioniste de manière probablement létale. (Comme cela a déjà été dit, à cette époque la cause n’avait pas encore rencontré un grand succès.

Ce fut seulement dans les années 30, avec l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hilter, que la politique sioniste commença à obtenir un large consensus au sein même de la communauté juive.

Suite à la propagande anti-sémite du dictateur allemand, de nombreux juifs acceptèrent bien volontiers la proposition de déménager définitivement en Palestine, amorçant ce programme d’immigration consistant qui amena par la suite à la naissance de l’état juif.

Il faut savoir qu’Hitler était favorable au sionisme et a travaillé avec les sionistes à la création d’Israël comme lors du contrat de transfert ou accord Haavara (voir Wikipédia).


Hitler a aussi fait éliminer les historiens qui défendaient encore que les juifs d’Europe n’avaient rien à voir avec les hébreux mais venaient de tribu turco-khazares converti au judaïsme, en cela il a fini le travail commencé par les sionistes.

Et contrairement à la triste légende, ce n’est pas le mufti de Jérusalem qui lui a demandé de ne plus envoyer de juif en Palestine, mais c’est les anglais qui en 1939 ont mis fin à cette immigration massive de juif allemand envoyé par Hitler.

Paradoxalement donc la politique de ségrégation raciale mise en œuvre par le Fuhrer joua en faveur des Sionistes qui poussaient à une émigration juive de masse vers la Palestine.

L’histoire doit encore éclaircir de façon approfondie les différents points de contact qui de fait s’enregistrèrent entre les nazis et les sionistes, dans cette convergence d’intérêts paradoxale.

Conclusion

Nous somme donc face à une troisième hypothèse, pour chercher d’expliquer la série impressionnant de morts suspectes qui est à la base de cet événement :

hasard statistique, malédiction du pharaon, ou ‘intervention humain », visant à empêcher la diffusion des contenus des précieux papyrus ?

Cet article suggère clairement la troisième hypothèse, mais il n’existe aucune preuve concrète qui légitime cette accusation envers les sionistes de l’époque.
Il existe cependant une curieuse connexion, difficile à ignorer : la présence du baron Edmund de Rothschild dans le cercle des personnes qui connurent en premier la vérité sur le bouillant contenu des documents.

L’éminent banquier jouissait en effet d’un canal d’information privilégié, étant parent direct d’Alfred de Rothschild, le financier qui couvrit les dettes du désargenté comte de Carnarvon.

A. De Rothschild, à son tour, était le père naturel de la femme de Carnarvon, lady Almina, la fille de Marie Felice Wombwell, une femme légalement mariée à l’anglais George Wombwell.

Ce degré de parenté entre un des membres les plus puissants de la famille juive et Lady Almina – elle aussi parmi les victimes de la « malédiction » – est clairement témoigné dans les mémoires du VI comte de Carnarvon, et il apparaît donc évident que, si réellement on avait retrouvé un compte-rendu historique sur les véritables origines du peuple juif, un membre influent du lobby sioniste comme E. Rothschild l’aurait certainement su.


Source :
 
 http://www.alterinfo.net/Le-secret-de-Toutankhamon-qui-aurait-pu-detruire-le-sionisme_a129131.html

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30/08/2025

vive Abdel Zahiri !

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24/07/2025

Anniversaire : 86 ans

1939 – 2025 : 86 ans après l’euthanasie des handicapés

Rebondissement inespéré dans l’affaire Vincent Lambert : la Cour d’appel de Paris a ordonné lundi soir l’arrêt de son euthanasie et la reprise de son alimentation et de son hydratation. Cette décision ravive à nouveau le débat entourant la légalisation de l’euthanasie en France. Pourtant cette affaire ne concerne pas l’euthanasie d’un patient en fin de vie, mais bien celle d’une personne en situation de handicap. Cette situation nous renvoie à des heures sombres de notre passé. 

Vincent Lambert se situe dans un état de conscience minimal depuis un accident en 2008. Il n’est ni mourant ni souffrant : sa santé ne se détériore pas et son état est stable. Les seuls soins dont il bénéficie sont ceux d’une hydratation et d’une alimentation par sonde. Nous sommes loin d’un acharnement thérapeutique exercé sur un mourant, entouré par des moniteurs, une assistance respiratoire et des tuyaux en tous sens.

Comment donc définir l’état d’une personne qui a perdu de manière durable plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales et cognitives ? C’est la définition du handicap donnée par la loi française de 2005 sur le handicap et la Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées. La situation objective, bien que dérangeante, est donc la suivante : Vincent Lambert est handicapé. Son état a d’ailleurs été reconnu par le Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

NOTEZ BIEN CECI (sur la vidéo suivante  à 1 H 43min lien : https://ru-clip.net/video/vZEOL0_Uld8/marche-blanche-pari... ) 7 CENTRES D'ACCEUIL DE SOINS ETAIENT PRÊTS à ACCEUILLIR VINCENT ! et ça a été refusé, il s'agit donc bien d'un assassinat délibéré.

Il fallait obtenir sa mort afin de faire avancer un projet global.

 

Son euthanasie ne renvoie donc pas aux débats entourant la fin de vie, mais bien à la question suivante : faut-il laisser vivre une personne handicapée, dont il nous semble que la vie ne vaut pas d’être vécue ?

Cette question a déjà été posée par le passé, et sa réponse fut radicale :

« Le Reichsleiter Bouhler et le docteur Brandt sont, sous leur responsabilité, chargés d’étendre les pouvoirs de médecins, qui seront nommément désignés, à accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé ».

 

Il suffirait de remplacer le nom des médecins pour croire lire le jugement rendu par les instances françaises dans l’affaire Lambert. Pourtant cette phrase est bien issue d’un décret de 1939, écrit de la main d’Adolf Hitler, qui met en place un programme secret d’extermination des handicapés allemands, connu depuis sous le nom de Aktion T4. De janvier 1940 à août 1941, ce sont 70 273 handicapés physiques et mentaux qui ont été gazés dans des centres de mise à mort installés sur le territoire du Reich. En moyenne, 50% des patients chroniques hospitalisés dans les asiles allemands furent éliminés. Le mois précédent, 5 000 enfants possédant des malformations avaient été assassinés par injection de morphine et de scopolamine ou l’ingestion de comprimés de Luminal ou de Véronal.

Pendant la guerre, l’extermination d’handicapés se poursuit dans toute l’Europe, par gazage, injection létale ou dénutrition. Au total, ce sont plus de 200.000 personnes handicapées qui ont été tuées entre 1939 et 1945.

 

Avant d’en arriver à une politique d’extermination, l’euthanasie avait été promue comme un moyen d’abréger les souffrances, notamment dans le livre Le Droit de mourir d’Alfred Jost (1895) :

« Quand nous voyons un malade incurable se tordre de douleurs indicibles sur sa couche, avec pour toute perspective celle, misérable, de longs mois de dépérissement, sans espoir de guérison, quand nous traversons les salles d’un asile et que la vision du fou furieux ou du paralytique nous emplit de toute la pitié dont l’homme est capable, cette idée ne peut que surgir en nous malgré tous les préjugés dont nous sommes pétris : « ces gens n’ont-ils pas droit à la mort, la société humaine n’a-t-elle pas le devoir de leur accorder cette mort avec le moins de souffrance possible ? » »

Cette compassion fut à double tranchant : en défendant le droit d’abréger les souffrances d’un mourant, on défendit également le droit de mettre fin à la « souffrance » que constituait la vie d’un handicapé. La rhétorique est progressive et subtile : en mettant sur le même plan les souffrances liées à la mort et les souffrances de la vie, elle ouvre la voie aux excès de l’euthanasie sur des autrui plus vulnérables.

L’euthanasie des handicapés sous le régime nazi fut ainsi opérée officiellement par « compassion ». Ce faisant, le choix d’apprécier la valeur d’une vie ne fut pas laissée à l’intéressé, au contraire. Ce furent des personnes tierces, en premier lieu les médecins, qui par « compassion » ont assassiné des dizaines de milliers d’handicapés physiques et mentaux.

Cette idée a été reprise en 1920 par le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche dans leur ouvrage La libéralisation de la destruction des vies qui ne valent pas d’être vécues, ouvrage qui servira de base au programme Aktion T4.

Les deux auteurs justifient d’ailleurs également l’euthanasie des handicapés physiques et mentaux par le coût qu’ils représentent pour la société :

« D’un point de vie économique, ces idiots totaux qui remplissent le plus les conditions d’une mort mentale complète seraient aussi ceux dont l’existence pèse le plus lourdement sur la collectivité »

Le spectre nazi paraît souvent comme exagéré lorsque l’on se réfère à l’euthanasie. Pourtant, force est de constater que les arguments en faveur de l’euthanasie des handicapés sont identiques à ceux utilisés 80 ans auparavant.

Cette confusion volontaire entre l’euthanasie de « fin de vie » et de « vie qui ne vaut pas d’être vécue » est porteuse de conséquences graves...

Suite de l'article https://lincorrect.org/1939-2019-80-ans-apres-leuthanasie...

Jean-Marie le Méné : Président de la fondation Jérôme-Lejeune : "Vincent Lambert n’est pas mort, il a été tué. La différence est importante. Nous nous attendions bien sûr à cette triste issue. C’est une date historique et symbolique. C’est la première fois, en France, sous l’empire d’une loi de la République, qu’on tue une personne handicapée qui n’est pas en fin de vie, qui n’est pas malade, qui n’a pas de maladie évolutive, qui ne souffre pas et qui n’a rien demandé.
Cette date est très importante parce que, derrière lui, se trouve une quantité de personnes dans cette situation. Elles sont isolées et sans famille. On ne sait pas très bien ce que ces personnes veulent et pensent.
Le danger est que la médecine s’empare de ce pouvoir pour mettre un terme à la vie de ceux qui coûtent trop cher à la société. C’est exactement le sens de l’évolution des sociétés occidentales de l’Europe de l’Ouest d’aujourd’hui.
L’association du Droit à mourir dans la dignité milite activement pour l’euthanasie.
Pensez-vous que l’affaire Vincent Lambert va faire jurisprudence ?

C’est une évidence! La Fondation Jérôme Lejeune dit depuis 15 ans qu’à partir du moment où on assimile la nourriture et l’hydratation à des traitements, on arrête les traitements. Cela veut dire qu’on tue la personne non pas avec sa maladie, mais avec l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition. Il est tout à fait évident que la sédation profonde et continue est un maniement très incommode.
L’agonie de Vincent Lambert a duré suffisamment et pas trop. On a mesuré la sédation, ce qui a entraîné chez lui des souffrances horribles.
Il est évident que l’ADMD va dire ‘’c’est tout à fait inhumain’’. Ils disent d’ailleurs depuis longtemps «acceptons, puisque la société française est mûre, acceptons l’euthanasie dans certain cas avec une loi très encadrée, etc».
Cette étape a été annoncée par le demi-neveu de Vincent qui fait l’objet de pression de la part l’ADMD.
La direction dans laquelle on se dirige nous dit «c’est pénible à supporter pour nous les bien-portants, alors faisons en sorte que cela aille plus rapidement».
Le docteur Ducrocq déclarait que la loi Léonetti avait été conçue sur mesure pour régler le cas de Vincent Lambert.

Comme Xavier Ducrocq, je pense que c’est une mauvaise loi. On ne peut pas faire une bonne application d’une mauvaise loi.
La droite parlementaire française pense le contraire. Elle a voté la loi à l’unanimité. La conférence des évêques de France pense aussi que c’est une bonne loi, https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/chouard-tous-les-pouvoirs-abusent-82222mais mal appliquée. Je pense exactement le contraire. C’est une mauvaise loi qui est bien appliquée.
Du reste, c’est ce que toute la jurisprudence a confirmé depuis cinq ans. Nous avons financé la défense de Vincent Lambert depuis cinq ans. Des dizaines et des dizaines de décisions de justice disent toutes que c’est une loi bien appliquée. Jean Léonetti lui-même dit que cette loi est bien appliquée.
Dans les motifs de cette loi Léonetti, il était clair qu’il ne devait plus y avoir de cas comme celui de Vincent Lambert et qu’elle permettait de régler les cas comme ceux de Vincent Lambert. Le problème c’est que le cas de Vincent Lambert est un cas très simple. Médicalement, ce cas est difficile et tragique pour la personne, puisque c’est un grand handicapé tétraplégique, mais médicalement ce type de cas est pris en charge par des établissements spécialisés qui s’occupent admirablement des patients.
Ce n’est pas du tout le cas d’un patient qui fait des arrêts cardio-respiratoires toutes les semaines et qu’il faut réanimer ou non.
La question ne se posait pas pour Vincent Lambert. Il n’avait pas de maladie évolutive, il ne souffrait pas et n’était pas en fin de vie.
C’est vraiment la mise à mort délibérée d’une personne handicapée qui n’a pas pu s’exprimer sur son sort. On ne l’a guère traitée puisque tel est le vent de l’Histoire aujourd’hui.
Ceux qui ne sont pas aptes à vivre dans la modernité sont passés par pertes et profit. C’est le cas des handicapés avant la naissance. Aujourd’hui en France, il ne naît plus d’handicapés sauf quand on ne les a pas vus. Si c’est le cas,ils sont tous éliminés par l’avortement. Il en sera de même à la fin de la vie.
Cette situation avait été largement prévue par Jérôme Lejeune il y a de cela 35 ans. Nous l’avions confirmée en étudiant la loi Léonetti de 2005. Elle se confirme évidemment. Beaucoup n’ont pas voulu voir et ne veulent pas voir. C’est trop difficile. Il faut être lucide et courageux pour le dire et essuyer les critiques pendant des années lorsqu’on soutient une famille qui dit qu’elle aime son enfant en dépit de son handicap.

Hitler a gagné la guerre

 

et (eh oui ! il semble que finalement c 'est Hitler qui a gagné la guerre ! c'est son "esprit de la modernité" comme le dénonce Zygmunt Bauman,qui est en train de tout régir...) les idées qui sous-tendaient la tristement célèbre AKTION T4 onten train d'impreigner l'opinion, et d'être à nouveau instaurée dans les lois. Certains cas "médiatiques"servent à  faire avancer la cause de la mort (et du capitalisme, eh oui !la fameuse"rentabilité" ,rien n'est moins rentable qu'une pauvre vie humaine, un déprimé, un vieux, un "innocent" etc, des "déchets" quoi ! c'est ça que vous voulez ?

Victime de ce qui n’est rien de moins qu’une euthanasie par privation d’eau et de nourriture en raison de son lourd handicap, Vincent Lambert n’avait pas encore fermé les yeux que déjà les partisans de l’euthanasie se prenaient à rêver d’une légalisation de cette pratique en France, tout en vantant les mérites des lois belges relatives à la fin de vie. Pourtant ces dernières, et particulièrement la loi relative à l’euthanasie, laissent la porte largement ouverte à de graves dérives. C’est précisément sur de telles dérives que la CEDH est saisie pour la première fois dans une affaire : Mortier contre Belgique.

La Cour s’est jusqu’à présent prononcée à propos de personnes réclamant un droit au suicide assisté (Pretty c. Royaume-Uni en 2002, Haas c. Suisse en 2011, Koch c. Allemagne en 2012, Gross c. Suisse en 2014). Elle a aussi validé « l’euthanasie déguisée » par arrêt de soins de patients handicapés tels que Charlie Gard et Vincent Lambert (Lambert et. a. c. France en 2015, Gard et. a. c. Royaume-Uni en 2017). Avec l’affaire Mortier, c’est donc la première fois que la Cour doit se prononcer pour évaluer un cas d’euthanasie déjà réalisée. margin: 0.26cm;" align="justify">Rappelons-en les faits. Madame Godelieve De Troyer, atteinte de dépression chronique pendant plus de 20 ans, a été euthanasiée en 2012 sans que ses enfants ne soient avertis, ceux-ci ayant été informés le lendemain du décès. Son fils, Tom Mortier, se plaint devant la Cour du manquement de l’État belge à son obligation de protéger la vie de sa mère au motif que la législation belge n’aurait pas été respectée et qu’il n’y a pas eu d’enquête effective sur ces faits qu’il a pourtant dénoncés à la justice. Il dénonce notamment le manque d’indépendance de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie (CFCEE) chargée de contrôler a posteriori la légalité des euthanasies. Il reproche en particulier le fait que le médecin qui a euthanasié sa mère est lui-même le président de cette Commission de contrôle ainsi que de l’association LevensEinde InformatieForum (LEIF) qui milite en faveur de l’euthanasie. Or, sa mère a versé 2 500 € à cette association peu de temps avant son euthanasie.

Une loi sur l’euthanasie inadaptée à la souffrance psychique Cette affaire illustre parfaitement la difficulté d’encadrer cette pratique et les abus et dérives graves qui en découlent. Elle n’est d’ailleurs pas un cas d’école car les médias relatent régulièrement des euthanasies controversées en Belgique ou en Suisse. Et nombreux sont ceux qui dénoncent le laxisme avec lequel la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie a été mise en œuvre.

Selon les conditions posées initialement par cette loi belge, l’euthanasie doit faire l’objet d’une demande «volontaire, réfléchie et répétée» émanant d’un patient «capable et conscient» qui «fait état d’une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable». Or les termes employés s’avèrent flous et subjectifs: la souffrance est elle-même une notion subjective, tout comme son caractère insupportable comme en atteste d’ailleurs la CFCEE. En cas de souffrance psychique, son caractère inapaisable est également presque impossible à déterminer, comme l’illustre le cas médiatisé de Laura Emily, 24 ans, souffrant de dépression et qui, ayant demandé à être euthanasiée, s’est ravisée le jour-J en expliquant qu’elle avait mieux supporté les semaines précédentes. Ainsi la possibilité d’euthanasie pour souffrance psychique s’avère véritablement problématique. D’ailleurs, en 2002, la Commission Santé publique de la Chambre ne s’y était pas trompée en s’opposant à l’unanimité à l’inscrire dans la loi, estimant avec raison qu’une telle souffrance est pratiquement impossible à évaluer. Elle soulignait également l’ambivalence de la volonté des malades psychiques. Ainsi en cas de dépression, l’affection dont souffrait Mme De Troyer, la demande d’euthanasie est davantage un symptôme de la pathologie qu’une manifestation de volonté libre et réfléchie. margin: 0.26cm;" align="justify">Il y a en outre un paradoxe à prétendre offrir un droit au suicide assisté ou à l’euthanasie - au nom du respect de l’autonomie individuelle - à des personnes qui précisément ne disposent plus d’un équilibre mental. Le respect de l’autonomie devrait au contraire conduire à interdire l’euthanasie aux personnes dépressives ou atteintes de maladies psychiques. Atteintes d’un « handicap » au sens de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ces personnes vulnérables devraient être protégées, et non exposées au suicide. Mais protéger est malheureusement impossible en pratique puisque la loi belge n’interdit pas le « shopping médical » qui consiste, pour un patient se heurtant au refus du médecin qui le suit habituellement, à réitérer sa demande d’euthanasie auprès d’autres médecins jusqu’à trouver celui qui y soit favorable, c’est-à-dire le plus laxiste ou militant. Mme De Troyer a d’ailleurs usé de cette pratique. La CFCEE, une instance favorisant les dérives ?

On pourrait croire que la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, instance chargée de vérifier que les euthanasies pratiquées ont respecté les conditions et procédures légales et instituée par la loi du 28 mai 2002, compense les défauts de cette dernière. Il n’en est rien, comme le montre une fois encore la requête Mortier. La CFCEE manque en fait cruellement d’impartialité puisque sur les seize membres titulaires, au moins huit (et au moins six des seize suppléants) font partie d’associations militant en faveur de l’euthanasie (on compte par exemple les présidents du LEIF et de l’ADMD) et/ou sont des médecins pratiquant eux-mêmes des euthanasies. C’est le cas de son président néerlandophone, le Dr Wim Distelmans, qui n’est autre que le médecin qui a euthanasié Mme De Troyer ! À plusieurs reprises, la CFCEE a également avoué son incapacité à mener à bien sa mission car celle-ci repose sur un système déclaratif et donc tributaire de la conscience professionnelle des médecins. Et le Dr Distelmans d’ajouter : « Les cas douteux évidemment, les médecins ne les déclarent pas, alors on ne les contrôle pas ». Or des études révèlent par exemple que près de la moitié des euthanasies en Belgique n’ont pas été déclarées en 2007. En outre, si les termes de la loi relative à l’euthanasie sont effectivement flous et subjectifs, la Commission s’engouffre dans la brèche en les interprétant dans un sens excessivement extensif et libéral. Florilège : selon elle, la coexistence de plusieurs pathologies non graves et non incurables remplit l’exigence d’une affection grave et incurable ; elle a aussi approuvé des cas s’apparentant au suicide médicalement assisté alors qu’il n’entre pas dans le champ d’application de la loi ; il semble qu’elle ait validé l’euthanasie « en duo » obtenue par un couple dont l’un des membres ne se trouvait pas en phase terminale. " align="justify">Enfin, l’on peut s’interroger sur l’utilité d’un contrôle a posteriori, c’est-à-dire une fois que l’euthanasie a eu lieu, ce qui n’a visiblement pas pour objectif de protéger la vie des personnes et est particulièrement inadapté en cas d’euthanasie pour cause de souffrance psychique. Faut-il alors s’étonner qu’entre 2002 et 2016, la CFCEE n’a transmis au procureur du roi qu’un seul dossier sur 14 573 euthanasies ? Membres juges et parties, conflits d’intérêts, partialité, contrôle a posteriori et basé sur un système déclaratif, interprétation large des termes de la loi : la CFCEE s’avère totalement inefficace pour prévenir les dérives. C’est ainsi qu’un de ses membres, médecin, a récemment démissionné, lui reprochant de n’avoir pas renvoyé devant la justice un médecin ayant euthanasié une patiente à la demande de sa famille.

Une affaire mettant en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique L’État belge manque donc de manière évidente à ses obligations découlant de la Convention alors que la CEDH a jugé que le droit à la vie « impose aux autorités le devoir de protéger les personnes vulnérables même contre des agissements par lesquels elles menacent leur propre vie » (Haas c. Suisse, § 54). Ce que décidera la Cour dans cette affaire ne sera donc pas sans conséquence car la portée de la requête Mortier dépasse largement son seul cadre: elle met en effet en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique en montrant combien il s’avère défectueux et les garde-fous illusoires. Alors que la Cour a déclaré que « l’on ne saurait sous-estimer les risques d’abus inhérents à un système facilitant l’accès au suicide assisté » (Haas c. Suisse, § 58), cette affaire confirme que ce risque est bien réel, donne un aperçu concret de telles dérives et en laisse entrevoir les conséquences à grande échelle. En effet, loin de concerner uniquement la personne qui la demande, l’euthanasie et ses modalités ont des conséquences sociales profondes et funestes : suites psychologiques sur les membres de la famille du défunt en premier lieu, mais aussi perte de confiance dans la famille en général et méfiance à l’égard des soignants, fragilisation des personnes vulnérables dont certaines sont incitées au suicide. Il serait abusif et dangereux de faire prévaloir l’autonomie d’un patient en tant que valeur éthique suprême pour justifier une pratique dommageable à la société tout entière et remettant donc en cause le bien commun.

Ne pas condamner l’État dans cette affaire reviendrait donc à pratiquer la politique de l’autruche quant aux dérives de l’euthanasie, alors que la banalisation de la mentalité euthanasique en Belgique est réelle et fait des ravages. En témoignent par exemple les cas d’euthanasie sans obtention du consentement de la personne, l’ouverture de l’euthanasie aux mineurs « dotés de capacités de discernement » sans limite d’âge en 2014, ainsi que les chiffres officiels : de 235 euthanasies pratiquées en 2003, leur nombre a augmenté rapidement d’année en année pour atteindre 2537 en 2018, ce qui représente 2 % du total annuel des décès. Dans ce contexte, notons également que trois études ont révélé que « 40 % des Belges sont pour l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ». Si la Cour ne fait rien, elle accomplira le roman d’anticipation publié en 1907, Le Maître de la terre où l’auteur, Robert-Hugh Benson imagine des maisons d’euthanasie, où « d’un consentement unanime, les être inutiles, les mourants, étaient délivrés de l’angoisse de vivre ; les maisons spécialement réservées à l’euthanasie [prouvaient] combien un tel affranchissement était légitime.

  en ce moment en Grande-Bretagne :
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7457145/Tafida-Raqeebs-mother-cries-implores-daughter-dont-up.html

Canada :

À mesure que le régime canadien d’  "aide médicale à mourir" (nouvelle formulation chic pour TUER Bender et Hoche e 1921 disaient "libéralisation  du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue", et Hitler disait "Gnadentod" - "aide" "libéralisation" "Gnade" (grace) comme c'est mignon tout ça !) prend de l’expansion, il rencontre plus de résistance. L’une des critiques les plus fortes, qui a souvent fait surface dans les médias, est que certaines personnes atteintes de maladies chroniques, dont la mort n’est pas raisonnablement prévisible, choisissent de mourir parce qu’elles sont pauvres et que les services sociaux (capitalistes !) sont inadéquats. Ils ne veulent pas mourir, mais ils sentent qu’ils n’ont pas le choix.

Les critiques disent que ces cas montrent que les gens sont forcés de choisir l’euthanasie et sont incapables de faire un choix vraiment autonome. Cependant, les critiques peuvent remonter en amont. Selon un récent sondage de Research Co, qui surveille l’opinion publique au Canada, plus d’un Canadien sur quatre autoriserait l’euthanasie pour les sans-abri (28%) et la pauvreté (27%). Ce qui est encore plus choquant, c’est que le sondage a révélé que 50% des Canadiens autoriseraient l’euthanasie pour les personnes qui n’avaient pas accès à un traitement médical et 51% pour les personnes handicapées.

Les jeunes nés après l’année 2000 sont encore plus en faveur. Dans une lettre d’opinion publiée dans le Prince George Citizen, Mario Canseco, directeur de Research Co, souligne que « Les adultes les plus jeunes du Canada sont bien en avance sur leurs homologues plus âgés pour ce qui est de croire que ces deux raisons sont suffisamment convaincantes pour qu’une personne demande l’aide médicale à mourir (60% pour une invalidité et 57% pour un traitement médical non disponible) ».

Lorsqu’on leur demande quelle est la peine appropriée pour un parent reconnu coupable d’avoir aidé un fils ou une fille en phase terminale à mourir, un Canadien sur quatre (24%) ne choisit aucune peine. Une grande majorité (73%) appuie la législation sur l’euthanasie du pays, qui a été qualifiée comme étant la plus radicale au monde. Les Canadiens sont divisés lorsqu’ils se demandent si la maladie mentale devrait justifier qu’un adulte demande l’aide médicale à mourir : 43% appuient cette idée, tandis que 45% s’y opposent. Le gouvernement fédéral a reporté à mars 2024 la décision finale relative à l’admissibilité à la maladie mentale à l’euthanasie.

Commentaire de votre serviteur. Quelle est la signification de cet engouement pour l’euthanasie ? Les Canadiens ne doivent peut-être plus supporter les longs hivers d’une rudesse parfois déroutante alors qu’ils attendent le réchauffement du climat qui ne se concrétise toujours pas. Ou bien ils perdu toute forme d’humanité. Un précédent Premier ministre japonais avait déclaré qu’il serait préférable pour la société que les « vieux » malades soient euthanasiés pour réduire les dépenses sociales du pays. Cette dérive sociétale ressemble progressivement à ce que les régimes totalitaires ont mis en place durant les années 1930 et 1940. La société ne peut pas accepter que l’euthanasie soit banalisée à moins que tout sens moral disparaisse surtout quand il s’agit de motifs économiques. De nombreuses découvertes archéologiques ont montré que les sociétés anciennes, il y a vingt à trente mille ans, prenaient soin des malades et des anciens, ils étaient inhumés décemment. Accepter cette banalisation de l’euthanasie ne pourra qu’aboutir à des excès pour des raisons économiques ou financières. Qui pourra objectivement fixer une limite pour que des malades mentaux soient euthanasiés ? Il semble que les sociétés occidentales rejoignent l’idéologie de l’époque de l’URSS mise en place par le pouvoir central pour éliminer les citoyens récalcitrants en détruisant d’abord leurs aptitudes mentales puis en les éliminant sans aucun état d’âme. Ces abus semblent se reproduire dans les pays anglo-saxons avec l’uniformisation du style de vie, le « chacun pour soi et rien pour les autres » une sorte de disparition de tout sorte de respect et d’humanité.

source : Jacques Henry

Le nouveau projet de loi britannique “sur l’aide à mourir” a été adopté malgré les inquiétudes et les objections de diverses personnes et organisations.  C'est comparable au programme d'euthanasie nazi Aktion T4, qui normalisait et acceptait le meurtre de vies innocentes par des professionnels de la santé pour le « bien commun ».

Dans ce qui suit, Jonathan Engler établit des parallèles entre le nouveau projet de loi, le programme nazi et d’autres événements, tels que l’euthanasie de patients à la Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina, soulignant les dangers de diminuer la valeur de la vie et d’accepter le meurtre comme un élément légitime des soins de santé. Qu'est-ce qui relie la nouvelle loi britannique “sur la mort assistée” au programme d'euthanasie nazi “Aktion 4” ?

Par Jonathan Engler

'ai écrit pour la dernière fois sur le “projet de loi sur l'aide à mourir” du Royaume-Uni1 la veille du vote (ICI), quand j'ai gardé un certain espoir qu'il puisse être vaincu. Cela ne devait pas arriver. Elle a été adoptée la semaine dernière, malgré les problèmes manifestes liés au nouveau projet de loi.

Elle l’a fait après environ 150 heures de débat, y compris en commission. À titre de référence, le projet de loi interdisant la chasse au renard (The Hunting Act 2004) a été débattu pendant environ 700 heures sur plusieurs années.

CETTE est un excellent fil de discussion “de A à Z” de Dan Hitchens décrivant les nombreux problèmes de ce projet de loi.

CETTE bref article dans Hérisson décrit le vote comme “le jour le plus honteux du Parlement”, et je suis enclin à être d'accord.

Mes propres objections au projet de loi sont à plusieurs niveaux. L’une d’entre elles porte sur la capacité de ces lois (et systèmes) à diminuer la valeur de la vie, à la peser de manière utilitaire par rapport à ce à quoi elle contribue ou à ce qu’elle coûte à la société.

C’est alors la première étape sur un chemin par lequel il devient acceptable de faire des choses indescriptibles “pour le bien commun”

Lors de discussions avec des amis et des collègues, Jessica Hockett m'a fait prendre conscience de cette vidéo de 56 minutes, qui vaut vraiment la peine d'être regardée.2 Il décrit – avec des détails atroces – comment le programme d'euthanasie nazi a permis à la société de normaliser et d'accepter la prise de vies innocentes par des professionnels de la santé :

Apprendre à désapprendre : prendre soin des personnes corrompues | Les infirmières tueuses du Troisième Reich (2017) (56 min)

(Une brève description de ce programme – connu sous le nom d'Aktion T4– peut également être trouvée ICI.)

L’un des moments les plus effrayants pour moi dans la vidéo ci-dessus se situe vers 17h30, lorsqu’une personne interrogée dit :

J’ai été intrigué par la façon dont ils pouvaient en venir à croire que tuer était une partie légitime de leur rôle de soignant, ce qu’ils faisaient.
La propagande autour de l’idée même de tuer des gens pour le bien de l’État était profonde, même jusqu’à ce que les enfants fassent des exercices dans leurs manuels scolaires sur le coût de garder les personnes handicapées.

En y réfléchissant davantage, je me suis souvenu de l’article que j’avais écrit avec Jessica Hockett sur les événements survenus à la Nouvelle-Orléans au lendemain de l’ouragan Katrina (ci-dessous), au cours desquels il ne fait aucun doute que des patients ont été euthanasiés. Le fait est qu’en raison des circonstances, la société a pris la décision collective de modifier son cadre juridique pour garantir que les coupables échappent à toute condamnation pour ce qui équivalait sans aucun doute à un homicide.

Lire: Les limites éthiques dans la prise de décision médicale peuvent être floues par les circonstances12 Novembre 2024, Jonathan Engler et Jessica Hockett

 

80 ans après Hitler ????? Mais Hitler étant qu’une des innombrables facettes du libéral capitalisme qui dirige le monde est toujours vivant car hautement utile . DE guerres impérialistes en escadrons de la mort en passant par proxis islamo-terroristes créés par ses soins le libéral capitalisme se charge bien d’entretenir son héritage .

 

 

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22/07/2025

quelques détails très interessants sur le régime nazi

1° dans ses mémoires Victor Klemperer rapporte que des inspecteurs municipaux sont venu examiner son jardin, et lui ont mit une amende pour ce délit :
que le jardin n'était pas assez bien entretenu selon les normes.
Puis d'autres sont revenus et ont dit : il reste là et là des mauvaises herbes, si vous ne les faites pas enlever la municipalité vous enverra des jardiniers professionnels, et il vous en coûtera plusieurs centaines de marks.

2° parmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et  pourtant ils furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUe se passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien-pensants aimassent à s'identifier .....

Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats, étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux (n'oubliez pas ...) qui s'occupaient de ça ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur. Citations :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or

"En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents"

"Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ... https://odysee.com/@OhditC%C3%A9!:a/2012.04.14---Louis-Fo...  dans NOTRE idéologie actuelle qui a les mêmes principes que l'idéologie nazie)

 

et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc

 

Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.

et puis regardez cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUet réfléchissez bien....

tiens comparons avec cet article sur le comportement des pro-vaccins  là actuellement de nos jours chez nous 
" Leurs (les pro-obligation vaccinale, pourfendeurs des vaccinoseptiques) arguments reposent
sur la nécessité de la brutalité collective pour "empêcher des maladies  de  revenir", pour  assouvir  l'ego  des  "bons  parents"  respectueux  du  système  et  qui  sont  ravis  que  l'on  sanctionne  ceux  qui  ne  se  sont  pas   comme  eux."

tiens tiens ! ça rappelle les mentalités de l'époque des "bons allemands" vous trouvez pas  ?

(ach !  Allemagne nazie et France de Macron - et même avant - même combat !)


résistance : résistance ! pour les INDIVIDUS, les PERSONNES, LES VALEURS HUMAINES, les LIBERTES PUBLIQUES, les LIBERTES, la LUTTE DES CLASSES, contre le fascisme étatique, envoyez des CHEQUES (pas de payement électronique ! POUR L'ENVOI DE CHEQUE écrire à contact@mouvement-jre.com) pour financer les actions de Farida en faveur de nos ENFANTS, et petits-enfants, et ceux de nos proches, SOLIDARITE ! IL FAUT LUTTER PIED à PIED contre le FASCISME !


j’ai trouvé des articles sur les pénates et les lares dans le monde romain. Une fois de plus on voit que le christianisme n’a fait que reprendre les pratiques religieuses des gens en leur donnant un vêtement chrétien. Par exemple il y avait dans la campagne (puis aussi dans les villes) de petits autels des lares,qui avaient la forme de petite guérites avec une statue dedans, et fermées par un grillage : vous avez compris !! ce sont exactement les chapelles de saints protecteur du village ou de diverses versions de la Vierge qu’on a construit à leur suite partout dans les champs ! Pareil pour les autels domestiques dans les maisons continués par les bénitiers avec du buis sous les crucifix, etc (ou les saintes icones en pays orthodoxes).

Quelque part dans l’article on lit : « Un décret du Sénat (senatus-consulte) rend obligatoire l’hommage à la divinité impériale et aux lares publics » donc les chrétiens, qui refusaient de pratiquer ces cultes étaient ipso facto des criminels qu’on punissait donc de mort.
C’est comme dans l’Allemagne nazie, là on ne les envoyait pas aux bêtes du cirque, quoique …. pas grande différence, par exemple on avait obligé tous les allemands au lieu de dire bonjour à se saluer en disant Heil Hitler ! Donc les enfants des Témoins de Jéhovah, qui refusaient de faire le salut nazi étaient « signalés » (comme on dit actuellement en France ! ……) aux services sociaux, lesquels, avec la même mentalité que les nôtres de nos jours, en concluaient que leurs parents n’étaient pas capables de les "intégrer à la société", donc ils leur retiraient leurs enfants (en Angleterre on appelle ça les mettre « on care », les services Sociaux sont toujours très portés sur les euphémismes doucereux et vipérins ! Comme l’était la Très Sainte Inquisition) et les mettaient dans des orphelinats, quand aux parents ils étaient envoyés en camps de concentration.

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20/07/2025

garder les informations cruciales pour l'avenir

lorsque auront lieu les procés de ces criminels

et les propos littéralement criminels consistant à dire aux gens d'aller se faire vacciner

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11/07/2025

covidisme, Great Reset, argent électronique, réchauffisme, tout ça c'est le nazisme 2.0

(et la propagande obsessionnelle contre le tabac dans les années 90 c'était déjà ça, le premier test de soumission)

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05/07/2025

le rappel du BON SENS face aux délires paranoïaques ! (ou projets pervers de conditionnement au totalitarisme et à la culpabilisation ...)

un commentateur anonyme sur un forum sur une éventuelle .... interdiction de fumer sur les plages, a bien résumé le problème, face à l'hallucinante propagande à laquelle nous sommes soumis, et qui a pénétré et conditionné maintenant l'esprit de la majorité du troupeau :

"Je crois que vous n’avez aucun sens de la réalité, y compris les fumeurs qui viennent de témoigner, continuez à dire « amen » à toutes les « énormités » pour ne pas être vulgaire, mais il faut peut-être arrêter de tout mettre sur le dos de la cigarette, c’est hallucinant ! moi je suis non fumeuse mais franchement chacun est libre encore pour l’instant de fumer s’il le souhaite, faudrait peut-être commencer par interdire aux agriculteurs d’utiliser des herbicides, des pesticides qui sont croyez moi bien plus dangereux qu’une fumée de cigarette en plein air. Ce sont les retombées radioactives de tous les essais nucléaires sans compter les accidents comme Fukushima et autres qui sont la cause principale des cancers du poumons, on peut aussi rajouter les particules du gasoil lorsque vous faites votre footing sur le bord des routes ( c’est à mourir de rire , vous courrez pour oxygéner vos poumons ha! ha!) sans compter les enfants dans leur poussette en ville, à la hauteur des pots d’échappements. Quand à la pollution des plages, faudrait peut-être commencer par empêcher les bateaux de dégazer en mer, aux yachts de vider leur ordures par dessus bord et toute cette pollution sans compter le  lisier des élevages industriels et la pollution pharmaceutique qu’on retrouve dans l’eau des rivières et qui finit dans l’océan, alors il y a bien plus grave que d’empêcher un fumeur de fumer sur la plage.

La propagande télévisuelle vous a tous formaté c’est incroyable !!!

(ben, c'est fait pour ! et qui sont les propriétaires des médias de masse ? hein ? leurs noms est interessant, mais leur classe sociale et leurs interêts financiers encore plus !)

sachez qu’au début du 20ème siècle lors de l’épidémie de grippe espagnole qui a fait des milliers de morts en Espagne et ailleurs, tous les ouvriers qui travaillaient dans les fabriques de tabac n’ont pas été malades, le tabac a protégé ces personnes de l’épidémie.

Mais au lieu de croire tous ce qui se dit , faites vos propres recherches
et vous verrez que le tabac n’est pas la source du problème, c’est la plus grosse arnaque gouvernementale."

 

maintenant lise l'article en lien ci-dessous : un article qui fera date, car ça ouvre enfin une reflexion sur la question, et par extension sur tous les mensonges dont on nous a conditionnés en haut lieu ... or dans ces milieux on ne fait rien sans que ça aie des bénéfices financiers .... (re-souvenez-vous de ré-étudier le marxisme, une compréhension du monde où vous vivez est impossible sans en faire une analyse marxiste !)

https://reseauinternational.net/la-revanche-du-tabac/


J’ajoute que la compagnie des autres fumeurs a toujours été bénéfique car leur humeur et leur plaisir à vivre rendant les rapports sociaux détendus et amènes.
Les luttes moralisatrices et acariâtres contre le tabac m’ont toujours paru indigentes ; au lieu d’arguments rationnels on a mis en place des discoureurs semi curés qui menacent et écrasent de taxes et de malédictions . Des tristes sires qui n’aiment rien d’agréable dans la vie.
(eh oui ! il y a une permanence dans les psychologie, autrefois les calotins de l'Eglise, maintenant, d'autres calotins, mais avec la même mentalité. à quand une révolte des anticléricaux contre ces "corbeaux" ?)
une petite info: vous pouvez parfaitement faire pousser votre tabac pour votre propre usage.
De même que vous pouvez acheter du tabac pur sous forme de feuilles et le couper vous même. Je l’ai fait 3 fois depuis l’automne dernier, dont une fois d’Allemagne.C’est même possible en bio. Le prix en kilos est très attractif, et laisse la possibilité de le hacher pour pipe, feuille à rouler ou tube.
Donc oueps, c’est possible du fumer comme le faisaient les anciens, je le fais sur 70% de ma conso, parce que ça prend un peu de temps de manutention, et que ça me fait un mélange que j’aime bien. Après le kilo, c’est du genre 25/30 euros… et y a 10% de nervures à jeter. Et 5/6 tabacs de dispo pour faire ses mélanges à 100% avec.

comme j'ai dis plusieurs fois en commentaire  sur alterinfo.net toutes les plantes ont des effets médicinaux, donc il n'y aurait rien d'étonnant que le tabac en aie de bonnes relativement au Covid. De plus avec tous les mensonges qu'on découvre maintenant, on devrait se dire que parmi toutes les propagandes gouvernementales,surtout celles qui nous ont été matraquées obsessionnellement (pourquoi un tel acharnement ? à qui profite le crime ?) il doit y avoir beaucoup de mensonges et de "psy-ops" !


(soit dit en passant rappelez-vous un peu tous les mensonges, propagandes, conditionnements pas innocents du tout, qui se sont abattus sur vous récemment, dans d'autres domaines - replongez-vous dans l'actualité ! - face à nos maîtres il serait temps que le public apprenne l'esprit critique ! dans ce domaine-ci aussi)
voir aussi :
http://www.decitre.fr/livres/une-cigarette-defense-lucide-d-une-passion-9782742766857.html

https://covidinfos.net/covid19/lordre-des-medecins-doit-e%CC%82tre-juge-pour-manquements-graves-a-lethique-medicale-selon-le-dr-crabbe/1893/

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