05/10/2024
1948 : les premiers crimes des CRS
Il a fallu attendre 64 ans à leurs victimes pour être indemnisées.
Finalement Macron n'est pas pire que Moch !
Lisez comment on a traité le peuple travailleur à l'époque, à peine 3 ans après la fin de la guerre contre le fascisme !
7 octobre 1948 : Assassinat d’un mineur gréviste par les CRS. 65 ans plus tard, les mineurs réhabilités
3 textes :
1) 7 octobre 1948, mort du mineur Jansek (Brigitte Blang, PG)
2) 7 octobre 1948 à Merlebach. PREMIER BILAN SANGLANT DU TERRORISME D’ETAT CONTRE LES MINEURS EN GREVE
3) Norbert Gilmez réhabilité : "Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre" (1er mars 2013)
1) 7 octobre 1948, mort du mineur Jansek (Brigitte Blang, PG)
Cet automne-là, dans le pays, les grèves et les revendications se multiplient chez les mineurs de tous les bassins houillers ou ferrifères.
Depuis des années, les privations, le rationnement se sont installés. Les récoltes calamiteuses font flamber les prix. À cela, il faut ajouter un contexte politique et social décousu. La guerre froide a débuté. Les syndicats, surtout la CGT, contestent les différents gouvernements. Tensions exacerbées par un décret de Robert Lacoste, ministre de l’Industrie de Daladier, qui prévoit une baisse des salaires et annule les droits acquis par les mineurs après la Libération. Ce qu’on nomme « avantages », ils ne sont pas prêts à les abandonner. Des « avantages », une coopérative, une caisse d’aide aux familles, des garanties sociales, réparatrices de leurs si difficiles conditions de travail, et spécialement un salaire minimum ? Non ! Ils les ont durement arrachés, ces droits. Ils ont aussi contribué, par des actes de résistance, de grèves en manifestations, en refus de remonter la houille de la fosse, à précipiter la chute des nazis. « Pas de charbon pour l’ennemi ! » criaient les femmes dans les corons…
La grève est décidée par référendum, par quasiment 90% des voix exprimées. Elle gagne vite tous les bassins. Le référendum a posé comme préalable l’abrogation des décrets Lacoste, totalement illégaux en regard du Statut du Mineur, reconnu par l’Assemblée et la Constitution. Un statut que personne ne pouvait contester. Sauf le ministre de l’Intérieur, « socialiste », un certain Jules Moch.
Sans attendre la fin des négociations des grévistes avec le cabinet de Lacoste, Moch envoie des blindés et des CRS dans le Midi et en Lorraine. Plus de 50 000 hommes juchés sur des automitrailleuses sont déployés autour des fosses. La force des armes contre les mains des travailleurs… Le 7 octobre, à Merlebach, le mineur Jansek est abattu à coups de crosse par les CRS. D’autres tomberont à Alès, à Firminy. Partout sur les murs, on fait rimer CRS avec… SS. 20 ans après, d’autres s’en souviendront.
Très vite, le cinéaste Louis Daquin tourne un documentaire qu’il titre La Grande lutte des mineurs. Tout aussi vite, le film est censuré ! Ce qui n’empêche pas sa diffusion clandestine dans les ciné-clubs de la CGT, ou du PCF.
Après 56 jours de grève et des milliers d’arrestations arbitraires pour faits de « violence », 3 000 grévistes sont licenciés. Et 1 300 condamnés à de la prison ferme. Il va leur falloir attendre 2014 pour être réhabilités. Et indemnisés.
Brigitte Blang, PG
2) Il y a 65 ans, le 7 octobre 1948 à Merlebach. PREMIER BILAN SANGLANT DU TERRORISME D’ETAT CONTRE LES MINEURS EN GREVE
Oui, hélas ! C’était bien en France. Les mineurs étaient en grève depuis le 4 octobre 1948. C’était une grève des plus revendicatives, une grève légale décidée massivement et démocratiquement par un référendum. Qu’on en juge : sur un effectif de 259 204 mineurs, 243 702 exprimés, soit 94, 01 % des inscrits. Pour la grève : 218 616. Contre : 25 086.
Donc pour la grève : 89 ,79 % des exprimés. Avec les revendications sur les salaires, la sécurité, l’application de la loi sur les nationalisations, l’augmentation des retraites, il y avait en premier lieu posée par le référendum l’abrogation de la circulaire Lacoste du 13 septembre 1947, et des décrets du 18 septembre 1948 du même ministre Lacoste. Les circulaires et décrets étaient totalement illégaux, en violation flagrante du Statut du Mineur voté à l’unanimité par l’Assemblée nationale en juin 1946. La grève était un droit légal selon le Statut du Mineur et garantie par la Constitution. Nul ne pouvait s’y opposer.
C’est pourtant ce que fit Jules Moch, ministre de l’Intérieur. Alors que se déroulaient les discussions avec le ministre Lacoste (elles se sont poursuivies jusque dans la soirée du 5 octobre), Jules Moch dans la nuit du 3 au 4 octobre envoyait les C.R.S. occuper les bassins de Gardanne et de Lorraine. Jules Moch avait choisi la force préméditée, organisée et très vite, au 4e jour de la grève le 7 octobre 1948 à Merlebach, on déplorait la mort de Jansek. Tué par une balle perdue ? NON Tué par une balle tirée à distance sans sommation ? NON Tué par une balle tirée après sommation ? NON, NON, NON ! Mais sauvagement massacré à coups de crosses par des C.R.S déchaînés !
Alors pourquoi une telle sauvagerie ? On n’allait pas tarder à le savoir ; à Creutzwald, c’est un sous-lieutenant des C.R.S. de Clermont qui déclare qu’on les avait envoyés en Lorraine en leur disant que la population était hitlérienne. Il n’y a pas de mots pour qualifier à sa juste valeur ce mensonge ignoble, écœurant, meurtrier. Il faut se replacer dans le contexte de l’époque. On était en 1948, un peu plus de trois ans après la fin de cette terrible guerre. Elles étaient encore ouvertes dans les familles, les plaies causées par l’occupant hitlérien. Il était encore vivace le souvenir des atrocités subies, vivace le souvenir des souffrances, des emprisonnés, des torturés, massacrés ou fusillés, guillotinés, vivace le calvaire des déportés et toujours sous nos yeux les survivants des camps de la mort.
Je me demande parfois ce que j’aurais fait à l’époque si j’avais été parmi ces C.R.S. Aurais-je été entraîné par cette hystérie collective vengeresse en pensant à mon oncle Maurice battu à mort, à mon neveu Joseph fusillé à 22 ans ? Aurais-je frappé avec en tête ces strophes du Chant des Partisans : « Demain l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. » Je ne sais pas quelle aurait été ma conduite ? Ce que je sais, si j’avais participé à cela, c’est que lorsque j’aurais appris la vérité dévoilée à Creutzwald, j’aurais démissionné comme l’a d’ailleurs fait l’ex-commandant F.T.P.F. Rippert. Démissionner : facile à dire ? NON, je l’avais déjà fait en 1941, démissionnant de l’enseignement pour protester contre une injustice qu’on ne voulait pas réparer.
*** Dans un récent courrier à Madame LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, j’ai rappelé que j’avais pris conscience de la véritable nature des interventions policières, brutales, meurtrières lorsque j’ai appris que le 15 décembre 2005, une personnalité du monde juridique, le Procureur général de la Cour d’Assises de Douai, au procès de Lionel Dumont avait déclaré s’adressant à l’accusé : « Monsieur, vouloir imposer ses idées par la force, cela s’appelle du terrorisme. »
*** C’est par la force que Jules Moch voulait briser la grève, par la peur, semant la terreur avec des brutalités amenant la mort atroce de Jansek. Par la force, par la mort pour imposer ces circulaires et décrets illégaux de Lacoste. Le Conseil des Prud’hommes de Carvin, le 3 juin 1948, avait déclaré illégale la circulaire Lacoste du 13 septembre 1947, supprimant le salaire garanti. Et Lacoste avait été condamné à rembourser les mineurs du puits 10 de Leforest qui s’étaient mis en grève. Et c’est pour faire appliquer par la force cette circulaire illégale condamnée par un tribunal de la République qu’on avait tué Jansek !
Oui, c’était bien du terrorisme, et l’utilisation de l’appareil d’Etat, fait que c’est bien un TERRORISME D’ETAT. Les mineurs ont résisté à ce TERRORISME comme on se doit de RESISTER A TOUS LES TERRORISMES. (le covidisme par exemple ! la censure et la diabolisation des penseurs, des humanistes et des prix Nobel!) Ils l’ont payé bien cher. Et pourtant la loi d’amnistie avec toutes ses possibilités y compris la réparation sur la base de la reconstitution de carrière ne leur est pas appliquée. Elle l’a été dans toutes les branches nationalisées, y compris au personnel civil du ministère de la Défense.
Les survivants licenciés restent exclus de la loi d’amnistie. L’article 13 de cette loi indique qu’en sont exclus : « les faits constituant des manquements à la probité, aux bonnes mœurs ou à l’honneur » C’était le cas des généraux factieux ayant porté les armes contre la France en Algérie ; un an après (la loi d’amnistie NDLR) le 23 novembre 1982, ces putschistes étaient réhabilités avec réintégration dans les cadres au titre de la deuxième section, une reconstitution de carrière. Et les mineurs licenciés des grèves de 1948 – 52, les rares survivants attendent toujours le décret d’application de la loi d’amnistie. Ils continuent de payer leur combat pour la légalité, leur résistance au terrorisme de l’époque. Il serait temps que cesse cette injustice ?
Norbert GILMEZ
2) Norbert Gilmez réhabilité : "Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre" (1er mars 2013)
Il est l’un des rares survivants parmi les milliers de mineurs condamnés en 1948 pour fait de grève. Grâce à la proposition de loi communiste adoptée mercredi au Sénat, il sera amnistié et devrait obtenir réparation. Résultat du combat de toute une vie.
« Les mineurs condamnés à l’occasion des grèves de 1948 et 1952 sont amnistiés. Un décret en Conseil d’État définit les conditions d’application du présent article. » C’est l’article 1er A de la proposition de loi sur l’amnistie sociale, déposée par les sénateurs communistes et votée, mercredi, par la majorité de la Haute Assemblée. Deux petites lignes qui valent leur pesant d’or pour Norbert Gilmez, puisqu’elles couronnent soixante-quatre ans de combat contre l’injustice. Norbert, quatre-vingt-onze ans, est l’un des derniers anciens mineurs encore en vie ayant pris part à l’un des épisodes les plus violents de l’histoire de la répression anti-ouvrière : les grandes grèves des mineurs de 1948 et 1952. Après avoir payé un lourd tribut à la résistance au nazisme et avoir répondu, après la Libération, à l’appel à « retrousser ses manches » pour relever le pays exsangue, les gueules noires affrontent le gouvernement, qui tente de remettre en cause des garanties sociales, compensatrices de leurs dures conditions de travail, en particulier un salaire minimum. La répression, organisée par le ministre de l’Intérieur socialiste Jules Moch, sera terrible : la troupe est envoyée, avec des blindés, les brutalités policières font six morts ; deux mille condamnations à des peines de prison sont prononcées. Et trois mille mineurs sont licenciés, sans indemnités, chassés de leur logement, privés du même coup de Sécurité sociale. De surcroît, les Houillères s’emploient à leur barrer la route de l’emploi dans les autres entreprises. Norbert Gilmez, qui sera licencié le 5 décembre 1948 avant d’écoper d’une peine de prison, le dit aujourd’hui et le répète : « Nous avons été victimes de terrorisme d’État. » En 1981, la gauche arrivée au pouvoir donne un espoir en promulguant une loi d’amnistie couvrant notamment les grévistes de 1948. Mais elle ne s’accompagne pas, pour eux, de réparation des préjudices subis. D’où « l’indignation » de Norbert et de ses camarades quand ils apprennent, en novembre 1982, que « les généraux factieux ayant pris les armes contre la France en Algérie étaient, eux, réhabilités et rétablis dans tous leurs droits, pension avec reconstitution de carrière ». Une discrimination d’autant plus révoltante que Norbert n’oublie pas ses camarades qui, « par dizaines », sanction supplémentaire à la suite des événements de 1948, ont été dégradés militairement, alors qu’« ils avaient un grade souvent issu des FTP ».
Norbert Gilmez ne lâche rien. Début 2011, il témoigne encore devant le tribunal de Versailles. La cour d’appel condamne alors les Charbonnages de France à verser à 17 mineurs ou à leur famille une somme de 30 000 euros en guise de réparation pour avoir été victimes de « licenciements discriminatoires ». « Le licenciement était triplement illicite, souligne Norbert Gilmez, le droit de grève était garanti par la Constitution, garanti par le statut du mineur, et le licenciement ne pouvait être prononcé que par une commission paritaire qui n’a jamais été réunie. » Mais la haine de classe a la vie dure. Les Charbonnages se pourvoient en cassation. Et ils obtiennent gain de cause, en octobre dernier : la condamnation est annulée. Depuis, le ministère de l’Économie a fait savoir, bon prince, qu’il a « donné instruction » pour ne pas réclamer l’argent versé aux 17 familles. Ces derniers temps, Norbert avait donc repris le flambeau du combat de sa vie. Il vient ainsi, dit-il, d’écrire à Mme Taubira (ministre de la Justice– NDLR) pour « lui donner tous les éléments de ce qui s’est passé en 1948 ».
Le vote, mercredi, d’une nouvelle loi d’amnistie, et l’annonce d’un décret d’application rouvrent, semble-t-il, la perspective d’une réparation complète. « Moi, sans ça, j’aurais eu une vie matérielle au moins trois fois supérieure à celle que j’ai eue », fait valoir Norbert. « Il faudrait qu’on se dépêche, avertit-il. On était encore 300 lors de la loi d’amnistie de 1981, on est 25, peut-être 30 maintenant. Ça ne coûtera pas cher à l’État… » D’après ses calculs, « ça ferait un petit 10 millions d’euros pour l’ensemble de ceux qui restent. À côté des 45 millions accordés à Bernard Tapie pour préjudice moral »… Aucune somme, pourtant, n’effacera l’indignité subie. « Il y a eu tellement de brutalités. Ma femme est restée complètement traumatisée, jusqu’à maintenant », confie l’ancienne gueule noire. « On a été classés “mauvais Français”, déshonorés. On a passé toute notre vie dans le déshonneur. »
Dans un courrier adressé récemment à l’Humanité, Norbert, « au PCF depuis 1944 », plaidait : « Il est grand temps pour le gouvernement de gauche de réhabiliter les grévistes de 1948, de leur rendre justice par l’application de la loi aux survivants de cette corporation qui a toujours fait passer l’intérêt national avant tout, au prix des plus grands sacrifices, au prix du sang. » Lui qui a « toujours été contre l’injustice, viscéralement », tire cette leçon du combat d’une vie : « Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre, être persévérant, obstiné. »
Yves Housson,
16/09/2024
Mehdi Belhaj Kacem
12/09/2024
le rappel du BON SENS face aux délires paranoïaques ! (ou projets pervers de conditionnement au totalitarisme et à la culpabilisation ...)
un commentateur anonyme sur un forum sur une éventuelle .... interdiction de fumer sur les plages, a bien résumé le problème, face à l'hallucinante propagande à laquelle nous sommes soumis, et qui a pénétré et conditionné maintenant l'esprit de la majorité du troupeau :
"Je crois que vous n’avez aucun sens de la réalité, y compris les fumeurs qui viennent de témoigner, continuez à dire « amen » à toutes les « énormités » pour ne pas être vulgaire, mais il faut peut-être arrêter de tout mettre sur le dos de la cigarette, c’est hallucinant ! moi je suis non fumeuse mais franchement chacun est libre encore pour l’instant de fumer s’il le souhaite, faudrait peut-être commencer par interdire aux agriculteurs d’utiliser des herbicides, des pesticides qui sont croyez moi bien plus dangereux qu’une fumée de cigarette en plein air. Ce sont les retombées radioactives de tous les essais nucléaires sans compter les accidents comme Fukushima et autres qui sont la cause principale des cancers du poumons, on peut aussi rajouter les particules du gasoil lorsque vous faites votre footing sur le bord des routes ( c’est à mourir de rire , vous courrez pour oxygéner vos poumons ha! ha!) sans compter les enfants dans leur poussette en ville, à la hauteur des pots d’échappements. Quand à la pollution des plages, faudrait peut-être commencer par empêcher les bateaux de dégazer en mer, aux yachts de vider leur ordures par dessus bord et toute cette pollution sans compter le lisier des élevages industriels et la pollution pharmaceutique qu’on retrouve dans l’eau des rivières et qui finit dans l’océan, alors il y a bien plus grave que d’empêcher un fumeur de fumer sur la plage.
La propagande télévisuelle vous a tous formaté c’est incroyable !!!
(ben, c'est fait pour ! et qui sont les propriétaires des médias de masse ? hein ? leurs noms est interessant, mais leur classe sociale et leurs interêts financiers encore plus !)
sachez qu’au début du 20ème siècle lors de l’épidémie de grippe espagnole qui a fait des milliers de morts en Espagne et ailleurs, tous les ouvriers qui travaillaient dans les fabriques de tabac n’ont pas été malades, le tabac a protégé ces personnes de l’épidémie.
Mais au lieu de croire tous ce qui se dit , faites vos propres recherches
et vous verrez que le tabac n’est pas la source du problème, c’est la plus grosse arnaque gouvernementale."
maintenant lise l'article en lien ci-dessous : un article qui fera date, car ça ouvre enfin une reflexion sur la question, et par extension sur tous les mensonges dont on nous a conditionnés en haut lieu ... or dans ces milieux on ne fait rien sans que ça aie des bénéfices financiers .... (re-souvenez-vous de ré-étudier le marxisme, une compréhension du monde où vous vivez est impossible sans en faire une analyse marxiste !)
https://reseauinternational.net/la-revanche-du-tabac/
J’ajoute que la compagnie des autres fumeurs a toujours été bénéfique car leur humeur et leur plaisir à vivre rendant les rapports sociaux détendus et amènes.
Les luttes moralisatrices et acariâtres contre le tabac m’ont toujours paru indigentes ; au lieu d’arguments rationnels on a mis en place des discoureurs semi curés qui menacent et écrasent de taxes et de malédictions . Des tristes sires qui n’aiment rien d’agréable dans la vie.
(eh oui ! il y a une permanence dans les psychologie, autrefois les calotins de l'Eglise, maintenant, d'autres calotins, mais avec la même mentalité. à quand une révolte des anticléricaux contre ces "corbeaux" ?)
une petite info: vous pouvez parfaitement faire pousser votre tabac pour votre propre usage.
De même que vous pouvez acheter du tabac pur sous forme de feuilles et le couper vous même. Je l’ai fait 3 fois depuis l’automne dernier, dont une fois d’Allemagne.C’est même possible en bio. Le prix en kilos est très attractif, et laisse la possibilité de le hacher pour pipe, feuille à rouler ou tube.
Donc oueps, c’est possible du fumer comme le faisaient les anciens, je le fais sur 70% de ma conso, parce que ça prend un peu de temps de manutention, et que ça me fait un mélange que j’aime bien. Après le kilo, c’est du genre 25/30 euros… et y a 10% de nervures à jeter. Et 5/6 tabacs de dispo pour faire ses mélanges à 100% avec.
comme j'ai dis plusieurs fois en commentaire sur alterinfo.net toutes les plantes ont des effets médicinaux, donc il n'y aurait rien d'étonnant que le tabac en aie de bonnes relativement au Covid. De plus avec tous les mensonges qu'on découvre maintenant, on devrait se dire que parmi toutes les propagandes gouvernementales,surtout celles qui nous ont été matraquées obsessionnellement (pourquoi un tel acharnement ? à qui profite le crime ?) il doit y avoir beaucoup de mensonges et de "psy-ops" !
(soit dit en passant rappelez-vous un peu tous les mensonges, propagandes, conditionnements pas innocents du tout, qui se sont abattus sur vous récemment, dans d'autres domaines - replongez-vous dans l'actualité ! - face à nos maîtres il serait temps que le public apprenne l'esprit critique ! dans ce domaine-ci aussi)
voir aussi :
http://www.decitre.fr/livres/une-cigarette-defense-lucide-d-une-passion-9782742766857.html
05/09/2024
Définition
L’AFP, agence véreuse au service du mondialo-fascisme et de l’État profond US
Publié dans journalistes = propagande d'Etat, Goebbels | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
04/09/2024
le pape Célestin V - lui aussi ! - a été caricaturé et sa vraie figure soigneusement oblitérée ....
« L’histoire humaine n’est rien d’autre que l’histoire de la lutte des classes » avait dit Marx. Et il avait raison. Y compris dans l’Église, regardez la mort de Célestin V, de Adrien VI, de Marcel II, de Jean-Paul 1er, la démission forcée de Benoît XVI.
Benoît XVI (qui avait prétendu être trop fatigué pour être pape, il était en pleine forme, bien plus que Jean-Paul II, qui resta pape jusqu’à son dernier souffle, il vit toujours !) Benoit XVI, son premier geste fut d’aller prier devant la tombe de ….. Jean-Paul 1er ! et quand il a démissionné il a déposé son pallium sur la tombe de Célestin V !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape tiens tiens ! c’est clair ! ) Lisez mon compendium sur le dossier Célestin V, connaissant le contexte de l’époque, les "hérétiques" protestataires du luxe du clergé, diabolisés et brûlés par l’inquisition, Joachim de Fiore, etc, le conflit de Philippe le Bel avec les Templiers, préteurs de l’époque ….
Et documentez-vous sur l’élection accidentelle, les projets et les conditions de la mort d’Adrien VI, et de Marcel II (pas sur Wikipédia bien sûr!) vous découvrirez des choses !
Selon l'histoire officielle (mais souvenons-nous que l'histoire est toujours racontée par les vainqueurs .... or par des évènements et des cas récents nous avons appris grâce à internet à voir comment, à quel point et par quels artifices on peut déformer, caricaturer, censurer cacher la réalité jusqu'à la rendre méconnaissable.) le pape Célestin V aurait démissionné (comme Benoît XVI mais Benoît XVI on s'est tout de suite douté que ça cachait quelque chose), il se serait retiré dans un couvent, puis ........ enfui dudit couvent, de ville en ville pour échapper à ses poursuivants ...... et c'est alors qu'il cherchait à filer en Grèce qu'on l'a rattrapé et le pape qui lui a succédé l'a enfermé sous bonne garde dans son château d'Agnani, officiellement pour le protéger contre des gens qui pourraient l'enlever ! Euh, un petit détail : il est mort peu après ....
Bizarre tout ça, d'autant plus quand on apprend des détails sur le personnage :
ça donne des pistes de réflexion, non ?
(eh oui ! au XIVè siècle il n'y avait pas internet ! il était plus facile de camoufler la vérité .... et après la routine des historiens fonctionne, voilà voilà)
Le dossier en plus détaillé :
D’ailleurs le pape Benoît XVI, qu’on a forcé à la démission en bloquant tous les contacts électronique bancaires du Vatican, qui furent aussitôt débloqués – sans explication ! - dès que fut annoncé sa démission ! Et qui visiblement avait le sens des gestes symboliques (quand il fut élu il alla prier sur la tombe de …. Jean-Paul 1er ! (…… ) et dans son premier discours il dit priez pour moi, que j’ai le courage de ne pas céder devant les loups ( …) visiblement il a cédé. Benoît XVI donc quand il a démissionné a déposé son pallium sur la tombe de CélestinV !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape : « Huit cents ans se sont écoulés depuis la naissance de saint Pietro Celestino V, mais il reste présent dans l’histoire en raison des célèbres événements de son époque et de son pontificat et, surtout, de sa sainteté. En effet, la sainteté ne perd jamais sa force d’attraction, elle ne tombe pas dans l’oubli, elle ne passe jamais de mode, au contraire, avec le passage du temps elle resplendit d’une luminosité toujours plus grande, exprimant la tension éternelle de l’homme vers Dieu. Je voudrais alors tirer plusieurs enseignements de la vie de saint Pietro Celestino, valables également à notre époque ».
http://benoit-et-moi.fr/2013-II/benoit/ce-lien-etrange-entre-celestin-v-et-benoit-xvi.php
La figure de ce pape doux est resté écrasée par un enchevêtrement d'intérêts politiques: ceux de Charles II d'Anjou (1254-1309), d'une part et de l'autre ceux du cardinal Benedetto Caetani, ce dernier devenu pape sous le nom de Boniface VIII. C'est ainsi que Célestin V renonça au bout de quelques mois, indisponible à toute forme de corruption, à la charge pontificale. Il est mort le 19 mai 1296 après dix mois de captivité à Castel Fumone près d'Anagni, prisonnier justement de Boniface VIII qui, redoutant que ses adversaires puissent convaincre Célestin V de revenir au trône pontifical, le destituant ainsi, empêcha le saint moine de retourner à son ermitage.
Curieusement, Boniface VIII porta le deuil à la mort de Célestin V, seul cas dans l'histoire des papes, et fit célébrer une messe publique pour le repos de son âme, et c'est lui qui initia le processus de canonisation mené à son terme le pape Clément V en 1313 à l'instigation du roi de France, Philippe le Bel (1268-1314). (rapport de forces ! faux-semblants, takallouf, déjà !)
Plus tard, en 1630, Lelio Marini, Abbé Général de la Congrégation de Célestin, dénonça l'assassinat de Pietro da Morrone par ordre de Boniface VIII.
il fut élu pape, sans avoir jamais posé sa sa candidature, après un peu plus de deux ans de vacance du Siège Apostolique.
http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/135084575af.html?fr=y "Les cardinaux avaient pour objectif d’élire, en sa personne, un candidat de compromis qui constituerait une solution de transition, un ermite dépourvu d’expérience, très avancé en âge (85 ans), qui promettait de devenir un pape pas trop sévère.
…
Ce n’est pas à Rome – ville dans laquelle Célestin V ne se rendit jamais – que Charles II organisa la cérémonie de couronnement du nouveau pape, mais à L'Aquila, ville qui faisait partie de ses domaines. Pierre y fit son entrée monté sur un âne, à l’exemple du Christ, ce qui fit naître dans le peuple l'idée que le pape angélique des prophéties était enfin arrivé. Puis il s’installa à Naples, la capitale du roi angevin Charles II, neveu du roi de France Louis IX et roi de Naples, où celui-ci l’entoura d’hommes à lui tout en comblant de privilèges royaux les monastères fondés par Pierre. Ce dernier ne refusa pas ces largesses, mais il continua personnellement à mener une vie austère, dans une cellule aménagée spécialement pour lui au Château Neuf de Naples.
Élu le 5 juillet 1294 avec l’appui du roi Charles II d’Anjou qui souhaitait un Pape apte à lui faire reconquérir la Sicile, Pietro Angelari da Murone était loin de se douter de ce qu’on allait faire de lui. Les cardinaux chargés de l’en informer eurent à escalader un sommet des Abruzzes par une sente à décourager un mulet ! Découvrir l’ermitage où Pietro vivait en solitaire depuis un demi-siècle ne signifiait pas encore forcer sa porte. Les messagers de Rome purent tout juste apercevoir, par un étroit grillage, une tête hirsute et entendre une voix affaiblie les prier de le laisser tranquille. Non, il n’ouvrirait pas ! Non, jamais on avait songé à élire Pape un bonhomme de quatre-vingts ans perdu depuis dix lustres dans des solitudes sauvages !
On lui rappela les services qu’il avait rendus à l’Eglise, la congrégation de solitaires bénédictins qu’il avait fondée ; on lui remit en mémoire une prophétie séculaire qui annonçait pour des temps apocalyptiques, un mystérieux Pape angélique… Or, ne s’appelait-il pas précisément « Angelari », et pouvait-on attendre époque encore plus apocalyptique ? C’était de toute évidence la volonté de Dieu qu’on était venu lui signifier. Pietro Angelari se laissa ébranler : il consentit enfin à ouvrir sa porte et descendit de sa montagne avec ces messagers de Dieu. Mais c’est monté sur un âne qu’il tint à se présenter à Aquila, le 29 août, pour son couronnement. Il prit ce jour-là le nom de Célestin V.
Charles II ne perdit pas de temps et convainquit le nouveau Pape de résider à Naples. Le Souverain Pontife ne devina pas qu’on le plaçait ainsi sous étroite surveillance. Il fut tout heureux de se trouver un autre ermitage et se mit à méditer sur ses nouveaux devoirs. Mais Charles II se chargea de lui dicter les réformes qu’il attendait de lui. Pour commencer, nommer douze cardinaux, tous clients du roi de Naples. Après cela, il fallait aussi de toute urgence nommer un nouvel évêque à Toulouse : Louis, le tout jeune fils de Charles II. Et ainsi de suite…
Célestin V était pieux, il était docile, mais il n’était pas encore complètement idiot. Il se rendit assez vite compte qu’il n’était pas taillé pour cette fonction. Le cardinal Caëtani d’ailleurs s’employa à dissiper ses derniers doutes : oui la « volonté de Dieu » demandait à Célestin de passer la main. Caëtani poussa le dévouement jusqu’à rédiger lui-même un texte que le bon Pape n’eut plus qu’à lire, le 13 décembre 1294, devant les cardinaux assemblés : un acte d’abdication, cinq mois seulement après son élection. Caëtani, sous le nom de Boniface VIII, succéda à celui qu’il avait si charitablement secondé.
Célestin crut pouvoir regagner son ermitage mais Boniface VIII en décida autrement : il mit son prédécesseur sous les verrous. Et c’est en prison que mourut l’infortuné Célestin V le 19 mai 1296.
Le 13 décembre 1294, Célestin V renonce au trône de Pierre devant le collège des cardinaux à Castel Nuovo. Le texte de son discours semble avoir été rédigé par Benedetto Caetani, l'un des canonistes qu'il avait consultés . Le 24 décembre, ce même Caetani est élu pape sous le nom de Boniface VIII (!...) et fait placer l'ancien pontife sous surveillance au motif qu'il pourrait être enlevé par ceux qui contestent la licité de la renonciation. Pietro s'enfuit à Sant'Onofrio, puis à San Giovanni in Piano, avant de tenter de partir pour la Grèce. Il est arrêté en chemin et transféré à Anagni puis au château de Fumone en Campanie sur l'ordre de Boniface VIII. Là il mourra.
Mort naturelle ou assassinat ?
http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2007101_vian Assurément, Pietro del Morrone ne fut pas la personne naïve et désarmée que beaucoup décrivent. Pour le démentir, il suffit de constater qu'à l'origine, il fut à la tête d'une congrégation d'ermites qui se diffusa et se ramifia, de son vivant, dans de multiples fondations, entre l'Italie centrale et du Sud, franchissant très vite les Alpes. Pour défendre sa création, Pietro eut la force et le courage de se rendre à Lyon vers la fin de 1274, à la Curie pontificale, où il obtint de Grégoire X un privilège solennel qui, incorporant sa congrégation dans la famille bénédictine, en confirmait les propriétés, alors déjà importantes. Il fut à la tête de plusieurs communautés, comme celle de Santa Maria di Faifoli à Montagano, dans le Molise, ou de San Giovanni in Piano, près de Lucera, dans les Pouilles, qu'il réforma et consolida, même économiquement. Frugoni a donc raison lorsqu'il voit en Célestin non pas "ce vieillard caché dans les silences de la montagne et dans la macération des pénitences", mais "l'âme ardente et volontaire qui avait pendant tant d'années guidé son groupe de moines, qui était devenu toujours plus grand grâce à lui. Vibrant d'une religiosité qui se nourrissait d'attentes eschatologiques et qui refusait certainement l'Eglise politique comme un péché. Et il aura considéré comme un péché cette expérience, riche de compromis et de calculs des hommes d'Eglise, si différente de son idéal passionné. D'où le sentiment d'être moins profondément menacé par l'appui des laïcs qui paraissaient lui offrir leur dévotion et leur aide, et en même temps le poussaient, complices des moines, ".
…..
A ce point, les insatisfaits du nouvel ordre bonifacien s'emparent de la figure de Célestin pour voiler et celle de son successeur, accusé d'être le responsable occulte d'une abdication illégitime extorquée par des moyens frauduleux, et même responsable d'une mort violente dans la forteresse de Fumone.
A l'Eglise entièrement politique et terrestre de Boniface est opposée la présumée Eglise spirituelle de Célestin. Et on applique à Célestin - ce que fait déjà le dominicain provençal Robert d'Uzès en 1295-1296 - les prophéties relatives à un Pape angélique. Celles-ci peuvent encore une fois être attribuées à des groupes de spirituels italiens protégés par Célestin, qui diffusèrent en Occident des prophéties grecques attribuées à l'empereur Léon le Sage qui, dans la traduction latine, appliquent à un Pape les caractéristiques d'un souverain des temps derniers, partisan du droit et de la justice. Le filon prophétique du Pape angélique trouve dans la figure de Célestin un point de départ qui se projette vers l'avenir, traverse le XIIIe siècle, influence Cola di Rienzo, qui en est venu à connaissance par les ermites de la Maiella, et en diffuse le contenu dans la Bohême de Charles IV, mais il apparaît encore chez Savonarole, arrive même à Nostradamus et, à la fin du XVI siècle, au pseudo Malachie. Si Dante, également pour des raisons personnelles, condamne la renonciation de Célestin comme un acte de lâcheté, Pétrarque, dans sa défense de la vie solitaire, l'exalte comme un geste de liberté évangélique suprême. Mais Célestin continue à être pendant tout le XIX siècle le symbole d'une Eglise différente, prophétique, non terrestre mais entièrement religieuse: des Lettere agli uomini di Papa Celestino VI (1946), où transparaît tout l'élan prophétique et apocalyptique du dernier Papini, à L'avventura di un povero cristiano (1968), le dernier livre d'Ignazio Silone, originaire des Abruzzes.
Dans sa vie d’ermite il avait acquis une grande renomée et plein de gens voulaient le voir, lui essayait de les fuir, sans succès :
http://books.openedition.org/pup/7041?lang=fr Pierre de Morrone jugeait cette situation peu compatible avec sa vie d’ermite. Il décide de se retirer à Saint-Barthélemy de Legio, dans un lieu plus isolé, avec quelques frères seulement19. Les visiteurs l’y poursuivent et Thomas de Sulmona note qu’ils sont encore plus nombreux20. Après y être resté quelques années, le saint ermite se rend dans une grotte de la vallée de l’Orfente encore plus inaccessible. Si grande était la foule qui venait à lui de toute part, au moment où il recevait, que la montagne semblait presque pleine de gens et c’est à peine si quelqu’un pouvait avoir la faculté de lui parler.
Il s’agit cette fois d’une multitude et c’est la première fois que Thomas de Sulmona emploie ce terme dans sa biographie. …..
Le retour de Pierre de Morrone dans un ermitage à proximité de la plaine, non loin du monastère du Saint-Esprit est une décision mûrie. Son installation est l’occasion d’une extraordinaire démonstration de ferveur populaire. Il y a une multitude d’hommes et de femmes qui encombrent tous les chemins, tous les sentiers et toutes les routes. C’est une véritable procession. Tous les habitants de la province sont là et certains sont venus de plus loin encore.
…
L’élection pontificale donne à la notoriété de l’ermite un caractère universel qu’elle ne perd plus par la suite. Pendant sa fuite il est partout reconnu. Dans les Pouilles, des enfants qui ne l’ont jamais vu l’identifient immédiatement. De son élévation au pontificat à sa mort, où qu’il aille, la rumeur publique le précède. Personnage vénéré, Pierre de Morrone est entouré, dès son vivant, par la dévotion populaire.
…
Que Pierre de Morrone ait effectivement donné un enseignement spirituel à ceux qui se pressaient auprès de lui est bien assuré par son biographe qui consacre quelques paragraphes à rapporter brièvement ses propos aux différentes catégories de visiteurs. Il exhortait les puissants à ne pas mettre leur espérance dans la gloire du monde et dans les biens périssables. Il les invitait à rendre à leurs vassaux et à leurs subordonnés l’honneur qu’ils méritaient. Aux riches, il rappelait le devoir d’aumône.
… Il fait un signe de croix sur une fillette et elle est guérie. C’est donc un miracle. Après son élection au pontificat, la bénédiction donnée à la fin de la messe a le même résultat.
Et puis, la question qui fait mal ! la question de l'inspecteur Colombo !!
POURQUOI PHILIPPE LE BEL A-T-IL DEMANDE QUE CELESTIN V SOIT RECONNU COMME MARTYR ? hein ? martyr de quelle cause, martyrisé par qui ?
En 1305-1306, Philippe le Bel demande au pape Clément V l'ouverture d'une enquête sur la vie et les miracles de Célestin V. Clément V, qui a refusé au roi l'ouverture d'un procès contre Boniface VIII, finit par accepter. L'enquête débute en 1306, mais n'aboutit qu'en 1313. Le 5 mai, Pietro de Morrone (et non sous le nom de Célestin V) est déclaré saint comme confesseur et non comme martyr comme le demandait Philippe le Bel.
31/08/2024
c'était une constante, on ne le comprend que maintenant - honte aux collabos qui se sont laissés transformer en meute de nazis !
Les dessous de la politique antitabac
L’immonde nazisme actuel qui réduit (pour le plus grand PROFIT du Grand Capital fabricant de « vaccins », qui en plus n’en sont pas vraiment, vous le savez j’espère ?) les non vaccinés, comme autrefois les non-aryens, au statut de sous-hommes (Untermensch) n’est pas nouveau, il avait été testé depuis trente ans, mais les veaux que sont nos concitoyens avaient refusé de le voir, et étaient entré dans le jeu de la « Kollaboration » et hurlé avec les loups. Vous comprenez maintenant que ce faisant vous avez construit votre propre cage ?
« Le fascisme n’est pas imposé par les fascistes, ils ne seraient pas assez nombreux, il est imposé par ceux qui acceptent d’obéir au fascisme » (D. Icke)
(un article de 2007)
Peut-être croyez-vous que l’interdiction de fumer sur les lieux de travail ou dans les restaurants a pour but de protéger les non-fumeurs ? Peut-être croyez-vous que la propagande antitabac a pour but de sauver la vie des fumeurs ? Peut-être répétez-vous que les fumeurs coûtent cher à la sécurité sociale ? Peut-être êtes-vous persuadé que le tabagisme passif est responsable de nombreux décès ? Si vous croyez tout cela et que vous le répétez à l’envi, vous êtes à votre insu un collabo de la nouvelle forme de pouvoir totalitaire nazi et sournois qui s’installe : la « démocrature ». Je ne vous demande pas de me croire. Ne croyez jamais personne mais réfléchissez et jugez par vous-même !
Protéger les non-fumeurs ?
S’il ne s’agissait que de protéger les non-fumeurs, aucune loi ne serait nécessaire. Notre système économique s’appuie sur la loi de l’offre et de la demande. Un restaurateur non-fumeur était déjà en droit d’interdire de fumer dans son établissement et d’y attirer un personnel et des clients non-fumeurs. Certains l’ont d’ailleurs fait bien avant la loi et c’était parfaitement leur droit.
Si l’Etat estimait qu’il n’y en avait pas assez, il lui suffisait d’inciter les restaurateurs à déclarer leur établissement non-fumeur par l’octroi d’une prime ou une réduction de la fiscalité. Ainsi chacun, restaurateur , client ou travailleur, fumeur ou non-fumeur, aurait pu effectuer un choix libre et, au lieu de se haïr, nos concitoyens auraient pu gérer leurs différences à l’amiable.
Trop simple, n’est-ce pas ? Trop logique pour des élus qui, en principe, devraient refléter les avis de toute la population !
C’est pourquoi toute personne intelligente comprendra que le but n’est pas de protéger les non-fumeurs mais de s’en servir à leur insu. Le véritable objectif est de restreindre les libertés individuelles et le droit à la propriété privée.
Car un restaurant, tout comme un lieu de travail, n’est pas un espace public. C’est une propriété privée, achetée à gros prix, dans laquelle l’entrepreneur a, de plus, investi beaucoup d’argent pour pouvoir y travailler et assurer son avenir. Il est donc normal qu’il soit seul responsable des décisions qui concernent son bien. S’il omettait de payer les cotisations sociales de ses employés, l’Etat serait d’ailleurs le premier à le sanctionner. Cette omission pourrait pourtant avoir pour cause la perte de clientèle orchestrée par les décisions irresponsables du gouvernement.
Nous verrons plus loin pourquoi nos dirigeants tiennent tant à restreindre la propriété privée et les libertés individuelles, mais poursuivons d’abord notre analyse.
Réduire le coût des soins de santé ?
Nombreux sont les citoyens qui croient dur comme fer qu’ils paient les soins de santé des fumeurs. C’est encore un des nombreux mensonges du gouvernement et un simple petit calcul peut vous permettre de vous en rendre compte.
Je l’ai fait pour la Belgique, puisque j’y vis, mais vous obtiendrez sans doute pour la France des résultats proportionnellement identiques. En 2004, le total des remboursements de frais médicaux pour l’ensemble du pays s’élevait à 3.790.030.000 € . Le ministre de la Santé insistait sur le fait que le tabac était la cause de 10% de ces coûts (ce qui n’est pas beaucoup quand on sait que les fumeurs constituent 30% de la population).
Sur un paquet de cigarettes à 5 €, le détaillant perçoit 0,40 €, le fabricant 0,581 € et l’Etat le reste, décomposé en "taxe de droit à la consommation" et en TVA. Le gouvernement touche donc plus de 4 € par paquet de cigarettes. Puisqu’il y a 3 millions de fumeurs en Belgique, pour une moyenne d’un paquet par jour, les recettes du tabac s’élèvent donc à 12 millions d’euros par jour, soit 4.380.000.000 par an, c’est à dire plus que le coût des soins de santé pour l’ensemble de la population. Et les fumeurs cotisent aussi à la mutuelle.
Si les recettes en provenance du tabac ne sont pas consacrées aux soins de santé, est-ce la faute des fumeurs ou bien celle des militants antitabac qui relaient sans aucun discernement les mensonges les plus grossiers ?
Les taxes sur les cigarettes et le tabac
Pratiquement chaque année, les gouvernements augmentent les accises sur le tabac. La dernière augmentation en Belgique date du premier janvier et elle est de 53 centimes.
"Bien fait pour eux" s’exclament les antitabac, s’imaginant avec une naîveté qui fait peine à voir qu’ils sont ainsi eux-mêmes épargnés.
Ce qui est faux car le tabac et les carburants ne sont pas repris dans l’indice des prix à la consommation et les taxes sur ces produits ne sont donc jamais compensées par des hausses de salaire qui pourraient bénéficier à tous les citoyens.
Pire, les 4 € par jour que chaque fumeur verse en taxes à l’Etat (et on a vu ce que ça faisait par an) échappent au chiffre d’affaires des commerçants qui ne cessent de souffrir de la baisse de pouvoir d’achat de la population. Si le commerce décline, les entreprises ferment et le chômage grossit. Et qui paie les allocations de chômage ? Seulement les fumeurs ?
Mais, me direz-vous, il faut bien que l’Etat prenne ses taxes quelque part. S’il ne les prenait pas aux fumeurs, il les prendrait ailleurs.
Sans doute, mais s’il les prenait sur des produits liés à l’indice des prix à la consommation, cette perte de pouvoir d’achat serait bientôt compensée par des augmentations de salaires, ce qui permettrait aux commerces de retrouver leur chiffre d’affaires et aux entreprises de continuer à produire de la richesse.
Pour le bien des fumeurs ?
Soyons sérieux ! S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé n’aurait-il pas d’abord commandé une étude sur les risques inhérents aux comportements et produits de substitution que les fumeurs sont susceptibles d’adopter pour rééquilibrer leur vie en cas de sevrage ?
Nous vivons tous dans des conditions de stress et de frustrations accumulés : exigences de rentabilité, administration pesante, pertes d’emploi, baisse du pouvoir d’achat, multiplication des interdits et des obligations légales...
Chacun essaie de se rééquilibrer comme il peut. Les uns ne peuvent maîtriser des accès de violence qui tournent au vandalisme ou à l’agression, d’autres s’adonnent aux drogues dures, d’autres encore à l’alcoolisme, certains se suicident, d’autres enfin fument et ce ne sont pas les plus dangereux ni pour les autres ni pour eux-mêmes.
S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé les désignerait-il à l’opprobre public ? Les contraindrait-il contre leur gré ?
Le tabagisme passif serait la cause de milliers de décès ?
Voilà encore une pseudovérité qui va bientôt apparaître au grand jour suite à une action en justice pour faire cesser les nuisances des campagnes antitabac. Je suis en train de contacter à cette fin un panel d’experts, professeurs d’université en médecine et en psychologie. Je les choisis de préférence parmi ceux qui sont déjà engagés dans la lutte contre le cancer ou pour le sevrage du tabac afin d’assurer la crédibilité de leur expertise.
Sans préjuger de celle-ci, nous sommes déjà cependant d’accord sur les points suivants :
1) Il existe effectivement un certain nombre de patients qui, sans avoir eux-mêmes fumé, présentent les mêmes symptômes que les fumeurs. Leur exposition à la fumée des autres est cependant difficilement quantifiable. Certains ont vécu dans l’entourage de gros fumeurs, d’autres n’y ont été exposés qu’épisodiquement. Par ailleurs, l’intervention d’autres facteurs que le tabac n’est pas à exclure. Ce sont les décès dans cette catégorie de patients que les militants antitabac annoncent comme victimes du tabagisme passif.
2) Tout médecin et tout psychologue connaît l’effet placebo et son correspondant négatif appelé "nocebo"... Je vous invite à taper "placebo" dans Google et à lire l’explication qu’en donne Wikipedia. Tous les experts sont d’accord sur le fait que les prédictions alarmistes en matière de santé ont tendance à produire le développement de la maladie. Tous les médecins et psychologues le savent mais peut-être pas le ministre de la Santé ?
3) Les études entreprises sur les méfaits supposés du tabagisme passif sont postérieures à la naissance de la propagande antitabac. Auparavant, il faut croire qu’on n’en ressentait pas le besoin.
4) Il existe une évolution dans le temps quant à la manière dont le public perçoit la fumée de pipe ou de cigarette. Dans les années 60, elle était rarement perçue comme dérangeante, de nombreux non-fumeurs la trouvaient même plutôt agréable. Aujourd’hui, elle provoque plus souvent la répulsion. Il s’agit là d’une manifestation psychosomatique qui tend à accréditer l’influence de la propagande sur le développement de maladies tant chez les fumeurs passifs que chez les fumeurs actifs.
5) Le nombre de fumeurs se tasse et le nombre de cancers augmente. Il faut donc incriminer un autre agent que la cigarette.
6) La nicotine et les additifs placés dans le tabac pour renforcer l’assuétude ne semblent pas provoquer la moindre dépendance chez le fumeur passif. Ceci démontre à tout le moins que les effets de la cigarette ne sont pas les mêmes pour les fumeurs passifs. Pourquoi alors développeraient-ils les mêmes symptômes ?
En conclusion, il est plus probable que les méfaits du tabagisme passif dénoncés par les propagandistes antitabac soient dus à la propagande elle-même plutôt qu’au tabac des fumeurs.
Relayer cette propagande est donc dangereux pour sa propre santé et pour celle d’autrui.
Pourquoi alors cette charge contre les fumeurs ?
Ils vont faire l’Europe. La Communauté européenne, c’est une population presque deux fois plus importante que celle des Etats-Unis et la plupart des nouveaux adhérents n’ont pas l’héritage culturel de la liberté que nous a apporté la Révolution française.
Pour gérer l’Europe, d’aucuns estiment qu’il faut un gouvernement fort et autoritaire.sans lequel les décisions supranationales ne seront jamais respectées dans les Etats membres.
Pour instaurer ce type de gouvernement, ils ont simplement pris exemple sur la dernière méthode efficace utilisée en Europe. Souvenez-vous qu’au cours des années 30, les nazis ont progressivement désignés les Juifs coupables de tous les maux, qu’ils les ont spolié de leurs biens , qu’ils ont petit à petit créé un climat d’intolérance à leur égard, les ont éloignés des lieux de travail, les ont rendus infréquentables aux yeux de la population qui, relayant le discours officiel, a collaboré à la mise en place d’un pouvoir dictatorial.
Aujourd’hui, les fumeurs sont présentés comme des pestiférés, comparés à des animaux, pris en photos assouvissant leur vice par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si l’interdiction sur les lieux de travail est absolue, même pour le fumeur qui occupe seul un bureau, c’est pour l’obliger à sortir et ternir son image, pour lui faire perdre plus rapidement son emploi aussi.
Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus
(tiens tiens ! Ça me fait penser à quelque chose, de très récent, même totalement actuel ...)
et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30.iVous croyez que leur sort est plus enviable parce qu’ils peuvent retrouver un statut normal en arrêtant de fumer ? Deux tiers ont essayé... sans succès.
Je ne veux pas d’une telle Europe, ni d’une telle Belgique, ni d’une telle France. L’Europe est une chance si elle reste démocratique et sait prendre ses distances avec le modèle anglo-saxon.
Hélas, ce ne semble pas être le cas. Les Chirac, de Villepin, Schroëder, Verhofstadt qui avaient osé s’opposer à Bush lors de la question irakienne (et on sait à présent combien ils avaient raison) ont disparu ou sont en perte de vitesse tandis que se profilent pour leur succéder un Sarkozy qui n’a jamais caché sa sympathie pour Bush et une Ségolène qui avoue son admiration pour Blair.
La seule réaction que nous pouvons avoir est d’offrir aux fumeurs et à tous les non-fumeurs qui souhaitent défendre leur liberté, l’occasion d’exprimer leur poids démocratique.
C’est pourquoi s’est créé en Belgique un parti politique qui prendra ouvertement la défense des fumeurs pour les législatives du 10 juin. Et je peux vous assurer, pour être en contact avec les gens lorsque je distribue mes affiches, que le vent de la contestation est fort. Si les médias nous relaient dans l’ensemble du pays, nous pouvons faire passer aux partis de pouvoir, et pour longtemps, le goût des lois liberticides.
Commentaire de : pierrarnard 29 janvier 2007
Excellent article qui va a l’encontre de la bien pensance actuelle.C’est vrai que les fumeurs sont un bouc émissaire parfait presque autant que l’automobiliste. On les stigmatise mais c’est pour mieux les protéger mon enfants ! c’est pour leur bien...Les automobilistes tuent des qu’ils touchent un volant, les fumeurs tuent des qu’ils approchent un non fumeur, le bon citoyen est terrorisé. Mais heureusement l’état veille pour protéger le bon citoyen de tous ces méchants éléments subversifs. Et pendant ce temps on à dérogé pour utiliser l’amiante jusqu’en 1997 dans l’industrie. Manipulés, nous ????
23/08/2024
la tactique du maillon faible toujours ! (et le totalitarisme capitaliste toujours !)
le super radar entre bientôt en service en France http://www.largus.fr/actualite-automobile/radar-mesta-fus...ensuite ils pourront licencier les policiers puisqu'il va les remplacer en détectant toute les infractionsla plus traitre étant la distance de sécurité entre les véhicules , il suffit que quelqu'un ralentisse devant vous et vous êtes pris !
Ben oui ! et puis comme c'est (théoriquement) pour la sécurité des automobilistes, ils vont faire jouer cette corde au max, et le terrorisme intellectuel ! ne pas oublier jamais le terrorisme intellectuel ! il y a toujours quelque chose qui se cache derrière tout terrorisme intellectuel ! pour imposer leur totalitarisme orwellien (comme ils se servent aussi de l'écologie pour par exemple le compteur linky, autre machin orwellien, la sacro-sainte écologie, enfin tout ce que la société actuelle, et les gens "vi kreis min per via silenta konsento", considère comme sacro-saint, bref on est toujours dans une société théocratique, seulement on a changé la religion ). Bref c'est ce que j'appelle la stratégie du maillon faible, là aussi ...
10/08/2024
influence d'Internet
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02/08/2024
NI OUBLI NI PARDON
22/07/2024
quelques détails très interessants sur le régime nazi
1° dans ses mémoires Victor Klemperer rapporte que des inspecteurs municipaux sont venu examiner son jardin, et lui ont mit une amende pour ce délit :
que le jardin n'était pas assez bien entretenu selon les normes.
Puis d'autres sont revenus et ont dit : il reste là et là des mauvaises herbes, si vous ne les faites pas enlever la municipalité vous enverra des jardiniers professionnels, et il vous en coûtera plusieurs centaines de marks.
2° parmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et pourtant ils furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il shttps://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUe passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien pensant aimassent à s'identifier .....
Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats, étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux qui s'occupaient de ça ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur. Citations :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or
"En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents"
"Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ... https://odysee.com/@OhditC%C3%A9!:a/2012.04.14---Louis-Fo... dans NOTRE idéologie actuelle qui a les mêmes principes que l'idéologie nazie)
et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc
Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.
et puis regardez cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUet réfléchissez bien....
tiens comparons avec cet article sur le comportement des pro-vaccins là actuellement de nos jours chez nous
" Leurs (les pro-obligation vaccinale, pourfendeurs des vaccinoseptiques) arguments reposent sur la nécessité de la brutalité collective pour "empêcher des maladies de revenir", pour assouvir l'ego des "bons parents" respectueux du système et qui sont ravis que l'on sanctionne ceux qui ne se sont pas comme eux."
tiens tiens ! ça rappelle les mentalités de l'époque des "bons allemands" vous trouvez pas ?
(ach ! Allemagne nazie et France de Macron - et même avant - même combat !)
résistance : résistance ! pour les INDIVIDUS, les PERSONNES, LES VALEURS HUMAINES, les LIBERTES PUBLIQUES, les LIBERTES, la LUTTE DES CLASSES, contre le fascisme étatique, envoyez des CHEQUES (pas de payement électronique ! POUR L'ENVOI DE CHEQUE écrire à contact@mouvement-jre.com) pour financer les actions de Farida en faveur de nos ENFANTS, et petits-enfants, et ceux de nos proches, SOLIDARITE ! IL FAUT LUTTER PIED à PIED contre le FASCISME !
j’ai trouvé des articles sur les pénates et les lares dans le monde romain. Une fois de plus on voit que le christianisme n’a fait que reprendre les pratiques religieuses des gens en leur donnant un vêtement chrétien. Par exemple il y avait dans la campagne (puis aussi dans les villes) de petits autels des lares,qui avaient la forme de petite guérites avec une statue dedans, et fermées par un grillage : vous avez compris !! ce sont exactement les chapelles de saints protecteur du village ou de diverses versions de la Vierge qu’on a construit à leur suite partout dans les champs ! Pareil pour les autels domestiques dans les maisons continués par les bénitiers avec du buis sous les crucifix, etc (ou les saintes icones en pays orthodoxes).
Quelque part dans l’article on lit : « Un décret du Sénat (senatus-consulte) rend obligatoire l’hommage à la divinité impériale et aux lares publics » donc les chrétiens, qui refusaient de pratiquer ces cultes étaient ipso facto des criminels qu’on punissait donc de mort.
C’est comme dans l’Allemagne nazie, là on ne les envoyait pas aux bêtes du cirque, quoique …. pas grande différence, par exemple on avait obligé tous les allemands au lieu de dire bonjour à se saluer en disant Heil Hitler ! Donc les enfants des Témoins de Jéhovah, qui refusaient de faire le salut nazi étaient « signalés » (comme on dit actuellement en France ! ……) aux services sociaux, lesquels, avec la même mentalité que les nôtres de nos jours, en concluaient que leurs parents n’étaient pas capables de les "intégrer à la société", donc ils leur retiraient leurs enfants (en Angleterre on appelle ça les mettre « on care », les services Sociaux sont toujours très portés sur les euphémismes doucereux et vipérins ! Comme l’était la Très Sainte Inquisition) et les mettaient dans des orphelinats, quand aux parents ils étaient envoyés en camps de concentration.
Le développement d’internet, les emails et les réseaux sociaux numériques ont permis à l’humanité de se parler directement sans passer par l’intermédiaire des journalistes. Aujourd’hui on reçoit presque tous des images d’un événement important comme par exemple le tremblement de terre vers Marrakech l’an dernier, et ceci bien avant que les journalistes n’aient réussi à commencer leur boulot. Cela complique grandement leur travail de propagande.
L’évolution exponentiel de la numérisation de l’humanité via les smartphones permet presque à chacun de savoir si une information qui apparaît sur ton appareil est fiable ou non. Généralement si des images d’une catastrophe provient de divers sources indépendantes on peut estimer que l’info est à peu près fiable.
Ceci dit, cela signifie que les médias habitués dans l’exercice de la propagande ont dû s’adapter. Les agences de presse ont été achetées et sont désormais aux mains par les élites. C’est en matraquant avec des informations fausses, véhiculant la peur qu’ils ont réussi à créer la panique puis le délire collectif du Covid.
Les armes qu’ils ont créés pour atteindre leurs objectifs se retournent contre eux, car nous aussi nous avons appris à les utiliser.
Nous arrivons à un point où de plus en plus de gens ne croient plus les médias et encore moins les annonces des grands de ce monde, parce qu’ils ont compris combien ils sont manipulés. Dorénavant, nous ne prêterons attention qu’aux informations qui seront corroborées par divers sources. Le monde enfin comprendra combien il a été manipulé et je l’espère cela permettra enfin à l’apocalypse de s’installer permettant à l’humanité de vivre en paix en partageant les richesses terrestres entre tous et non uniquement entre quelques élites auto-proclamées.