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20/12/2024

les églises

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Les églises autrefois, il y a vingt ans et plus déjà ! …   quand elles étaient ouvertes, constituaient, au cœur des villes, grandes et petites, un « commun » comme disent et redécouvrent en ce moment plusieurs penseurs, venus de divers horizons, un espace qui était à tout le monde, un espace de beauté, où tout le monde pouvait entrer LIBREMENT, à peu près tout le temps, où on pouvait prier bien entendu, personne n’oubliait que c’étaient des lieux chrétiens et sacrés, et il était très important, vital pour un chrétien de disposer d’un tel lieu, partout, mais aussi pour tout un chacun croyant, athée ou autre pour visiter et contempler pour son esthétique, et aussi, last but not least ! (en Esperanto « krome kaj krone ») un lieu de silence, de paix, de recueillement, où, à tout moment de la journée, tout un chacun, pour des buts religieux ou pas du tout, pouvait entrer, sans aucun problème et à tout moment, et s’y reposer loin du bruit, réfléchir, pleurer, méditer son chagrin d’amour, sa peur, ses dilemmes, ou tout ce qu’on veut, se ressourcer, une pause dans la journée.
C’était un lieu sacré, pour tous, même les athées et les indifférents, un lieu précieux et indispensable. Et disponible. Un « commun ».

et

http://fr.novopress.info/154827/eglise-aux-portes-ouverte...

Aussi c’est un drame de première gravité, un scandale inadmissible de les voir maintenant (depuis 1990 environ) presque toutes et en permanence fermées !!!                  

    
une immense et très grave perte pour la société et les êtres. Une tendance absolument inadmissible et lamentable de notre époque.

18/12/2024

des files de voitures fuient la Syrie - et puis pour élargir le débat il faut bien comprendre que ...

mais, remarquez, les merdias n’en parlent pas ! ne nous le montrent pas ! LA AUSSI (……) il y a des souffrances, des détresses, des morts, dont on n’a pas le droit de parler ….

je rappelle que

La Syrie avant le début des bombardements de 2011, c’était :

  • Pas de dette publique
  • Les médicaments et l’école gratuits
  • 90% des habitants propriétaires de leur maison
  • Les emprunts SANS intérêt
  • 7% de chômage
  • 6 budgets de suite à l’équilibre
  •  
  • BREF La Question de Syrie ce n’étais pas que de la géostratégie, tout ça ressort surtout de la LUTTE DES CLASSES

15/12/2024

l'analyse du philosophe Michel Weber ou le fascisme 2.0 - depuis 2013 il savait que ça allait arriver

Il y a eu une criminalisation de la pensée, ça ne vous a pas échappé !

 

son récent livre : https://www.t-pas-net.com/libr-critique/chronique-michel-...

en 2013 il avait déjà annoncé ce qui se passe en ce moment :

Michel WEBER

Tocqueville (1835) a indiqué que la démocratie de marché pouvait facilement donner naissance à un totalitarisme mou. Depuis Mumford (1932), on sait que la technoscience donnera volontiers un peu de rigueur au tropisme fasciste. Où en sommes-nous ?

La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.

De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité.

Il est donc fort piquant de remarquer que le grand public est parfaitement ignorant de ce retour de l’extrême-droite. Il pressent certes l’imminence de l’effondrement sociétal mais il n’a absolument pas conscience de la nature exacte du danger. La réouverture de camps de concentration ou même la généralisation des conflits régionaux semble passer inaperçue. De même, le sens et la portée de l’existence d’apologies hollywoodiennes (au propre comme au figuré) de la torture demeurent entièrement mystérieux. Cette double tension est paralysante et anxiogène, ce qui fait le jeu de l’oligarchie : quoi de plus manipulable en effet que des individus dans un état de coma moral et politique ?

Pire, les acteurs sociaux les plus remuants, les militants et les universitaires pensent l’effondrement de la civilisation globalisée à partir de leur expertise et sont dès lors conduits systématiquement à manipuler des statistiques, parfois très convaincantes, mais qui comprennent la transformation sociétale annoncée sur le mode de la lente désagrégation d’un pan de la société. Le long terme est ainsi mis en perspective à partir d’une facette supposée cruciale.

Or, ce qui s’annonce c’est un effondrement total et abrupt des « démocraties de marché » à la faveur de l’emballement d’une de ces crises qui constitue, en synergie, la crise globale systémique. Peu importe la nature de l’événement déclencheur — une pénurie de dix jours de l’approvisionnement de pétrole, des émeutes de la faim dans des quartiers (ou des pays) « défavorisés », des macro-mouvements de population forçant les portes de la citadelle Europe, un accident industriel majeur, une nouvelle bulle financière, une vraie-fausse pandémie, une guerre inter-régionale ou même mondiale, … — la conséquence politique sera inévitable et immédiate : l’état d’urgence, c’est-à-dire le totalitarisme, ou le chaos absolu, c’est-à-dire la guerre de tous contre tous. Une guerre civile serait comparativement plus structurante.

L’enseignant-chercheur qui n’a pas oublié la leçon de citoyenneté magistrale que nous a laissé Victor Klemperer (LTI, 1947) se doit en conséquence de mettre en évidence deux dynamiques : premièrement, il faut montrer que la réponse à la crise globale systémique est bien d’ores et déjà politique et que, si aucune force ne vient entraver l’inexorable progression du capitalisme du désastre, il ne nous restera bientôt plus qu’à émettre des regrets carcéraux ou post-mortem. Deuxièmement, il faut discerner les pistes théoriques et pratiques qui sont susceptibles d’infléchir cette trajectoire dès aujourd’hui.

Michel Weber

Une première version de ce billet a été publiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=53721
Dernier ouvrage paru : De quelle révolution avons-nous besoin ?, Paris, Éditions Sang de la Terre, 2013. (978-2-86985-297-6)

Et n'oublions pas MICHAEL PARAIRE, lisez son article Covid 19 et Fascisme 2.0 dans son blog " un quart d'heure avec le penseur " http://leblogdupenseur.canalblog.com/archives/2020/05/02/...

Dans un Etat fasciste et totalitaire on connait déjà à l'avance quels seront  les résultats  : (!)

https://ruclip.com/video/sV7MRHL_OzI/covid-l%E2%80%99incr...

Enfance et Libertés, l'association : https://enfance-libertes.fr/

La culture , le sport , les loisirs , la créativité, la joie et la confiance ont fait place au repli sur soi , à la méfiance , au rabougrissement, au mépris envers les autres .
La vie que le grand capital et son gouvernement nous laissait n’était pas terrible , mais mon Dieu nous parvenions à peu près à l’embellir .
Aujourd’hui c’est devenu de la merde et ils nous interdisent d’en sortir .
Cela va se finir en révolte armée et ils joueront les étonnés . Si on pouvait les pendre comme au tribunal de Nüremberg !

"Covid 19 le grand Reset" de Claus Schwab est leur Mein Kampf

autre philosophe : https://odysee.com/@Dieudonn%C3%A9officiel:f/episode-161:0



14/12/2024

Julian Modest

Julian Modest (pseudonyme d’un écrivain espérantiste Bulgare, qui vécu longtemps en Hongrie) est sans doute le meilleur écrivain de nouvelles de la littérature en Espéranto ! Il a un grand talent, fin, impalpable, il émane de ses nouvelle toujours un halo d’humanité et d’émotion, et un inexplicable mystère.

Et celle à laquelle je mettrais le premier prix c'est celle-ci.

Je ne saurais dire pourquoi mais cette nouvelle me poursuit et vous reste dans l’esprit, de même qu’elle reste dans l’esprit du narrateur.

Les thèmes, ce qu’elle exprime on le devine un peu certes, mais ce n’est pas « dit » comme ça, c’est comme dit Beaudelaire « comme de longs échos qui de loin se confondent » des résonances, comme dans un tableau les « rappels », comme dans une symphonie,

Je ne rentrerai donc pas dans les détails. Seulement je ne peux m’empêcher de remarquer l’attitude de la mère qui rappelle ses enfants, si typique d’une certaine connerie, et d’une certaine mentalité, les fourriers d’une certaine barbarie, qui loin de disparaître fleuri de plus en plus plus belle de nos jours

Un conseil : après l’avoir lue une fois relisez-là à haute voix, elle devient encore plus magique.

Pour ceux qui ne savent pas l’Espéranto :Un jour j’essayerai de la traduire en français.

Julian Modest estas laŭ mi eble la plej bona novelverkisto en la originala E-a beletro. Li havas fajnan  nekapteblan talenton, kaj ties noveloj eligas nebulkronon da homeco kaj emocioj, kaj neklarigeblan misteron.
Kaj inter inter liaj noveloj la plej bona laŭ mi estas la jena.
Legintan tiun rakonton pri rakonto pri cigano ursino kaj rondĉapelo ne eblas forgesi.
Mi ne detalos la temojn, sentojn, ktp implicitajn, sed ili akordiĝas kiel eĥantaj rumoroj kaj komprenigas sin reciproke, kiel tuŝoj en bona pentraĵo
Mi konsilas, poste leginta ĝin vi relegu laŭtvoĉe, ĝi iĝos eĉ pli esprimplena.




NOVELO PRI CIGANO, URSINO KAJ RONDĈAPELO

Kiam mi veturas per vagonaro kaj kiam la kupeo estas plenŝtopita de homoj, ĉiam me rememoras la historion pri la cigano kaj ursino. Kial tiu ĉi historio renaskiĝas en mia konscio ĝuste en trajno ? Eble tial, ĉar iu kamparano rakontis gin dum mia longa veturado, aŭ eble tial, ĉar veturante per trajno mi ŝatas observi la homojn en la kupeo. Ili sidas unu apud la alia kaj silentas. Silente ili eniras la kupeon, silente eksidas, silentas dum tri aŭ kvar horoj kaj poste, same tiel silente, foriras. Sep aŭ ok homoj, dum horoj, kiel monumentoj sidas unu apud la alia. Martelas ritme la radoj, monotonas la pejzaĝoj, obskuras en la kupeo… La veturantoj gapas al la fenestro, klinas la kapojn, oscedas, kaj tiam en mia konscio aperas kaj aperas la historio pri la cigano kaj ursino.
La kamparano, kiu iam un iu vagonaro rakontis tiun ĉi historion, estis malalta, nek juna, nek maljuna, kun grizaj ruzaj okuletoj, vestita en malmoda, eluzita, sed urbana kostumo. Tiam li sidis en iu angulo de la kupeo kaj en la komenco de la veturado preskaŭ neniu rimarkis lin. Kiel ĉiuj, ankaŭ li horon aŭ du silentis, sed dubite li ekparolis. Eble tial, ĉar li ne povis kompreni, kial la homoj silentas, se ili kune sidas en tiel eta ejo kiel kupeo. Unue tiu ĉi kamparano familiare demandis sian najbaron, la homon, kiu sidis apud li, kiu stacidomo sekvas. Poste la kamparano ŝerce rimarkigis, ke la trajno, kiel kutime, denove malfruas, kaj mi ne scias kial, sed li, kvazaŭ al si mem, komencis rakonti la historion pri la cigano kaj ursino. Kelkaj kunveturantoj ironie ekridetis, aliaj moke alrigardis la senceremonan kamparanon, tamen li tute ne rimarkis tiujn ĉi rigardojn kaj trankvile daŭrigis sian rakontadon.

Tiam eĉ mi ekridatis, sed la historio pri la cigano kaj ursino restis en mia subkonscio kaj ĉiam, kiam mi veturasper trajno, ĝi reaperas nove kaj denove. Mi jam komencas dubbi, ĉu vere mi aŭdis ĝin aŭ iam tre antaŭlonge mi mem travivis tiun ĉi historion, kaj strange, veturante per trajno mi sentas bezonon rakonti al iu pri la cigano kaj ursino.

La radoj martelas, la trajno kuregas, kaj antaŭ miaj okuloj aperas kaj aperas la cigano kaj ursino. La ursino estas malgrasa, nigra – la  cigano estas juna, eble tridekjara, vestita en ĉifonoj, kun truaj, deformitaj ŝuoj kaj malpura, makulita rondĉapelo. Lia vizaĝo flavas kiel seka aŭtuna folio, sed liaj okuloj eligas esperon. Cetere tiu espero ludas en ĉiuj ciganaj okuloj, kaj sole tiu espero akompanas la ciganojn dum iliaj longaj senfinaj vagadoj.

De kie venis la cigano kun ursino ? Mi ne scias. Tion eble neniu iam ekscios. Estis somera posttagmezo, kiam la cigano kaj ursino lacaj, polvokovritaj eniris montaran vilaĝeton. La suno subiris kaj malforta vento alblovis de la proksima arbaro. Post la longa labortago la vilaĝanoj ŝvitaj revenis hejmen. Kiel kutime, la virinoj, por eta ripozo, eksidis anaŭ la domoj – la viroj ekiris al la drinkejo.

En la pigra posttagmeza silento eksonis tirata cigana melodio. Skrapante la solan kordon de sia olda guzlo la cigano vigle kriis :

- Hej, vilaĝanoj, venu vidi kion povas fari la saĝa ursin’ Matia, fraŭlin’. Nu, Maria fraŭlin’, nun motru kiel dancas baletistin’ !

La malgrasa ursino starigsi peze, sendezire kaj, balancante sian longan, nigan korpon, ekpaŝis ronde. La cigana melodio jen tiriĝis, jen vigliĝis, sed eble laca kaj malsata estis la ursino kaj mallonge daŭris ŝia danco.

- Nu, Maria fraŭlin’, nun montru, kiel geamatoj kisas unu la alian ! – raŭke kriis la cigani, ritme skrapis lia arĉo, gaje fluis la cigana melodio, sed nek viro, nek virino venis al la placo, kie nur kvin kokinoj vagis tien-tien, bekfrapante ion.

Nur antaŭ la drinkejo silente staris kelkaj vilaĝanoj, kiuj senmove kaj suspekte observadis la dancadon de la vila « baletistin’ ».

- Hej oĉjoj bonaj, sen tim’ venu al proksim’ de Maria fraŭlin’ ! – ridetis voĉe la cigano, brilis liaj silikokoloraj dentoj, sed neniu el la vilaĝanoj akpasis pli antŭen. La cigano tamen, same kiel fama cirkartisto, deprenis per eleganta gesto kaj metis sian rondĉapelon sur la teron. Eble li esperis, ke post minuto la vilaĝanoj venos pli proksimen, kaj abunda pluvo da moneroj plenigos  lian makulitan, deformitan rondĉapelon.

- Nu, Maria fraŭlin’, nu montru kiel geamantoj kisas unu la alian ĉar delonge jam tiuj ocjoj forgesis forgesis doni kison al la edzin’ – kriis la cigano, ruzete rigardis la vilaĝanojn, sed ili staris kiel arboj, apogitaj al la muro de la drinkejo.

La ursino ekgrumblis malkontente, leviĝis peze, faris paŝon, malfermis larĝe manegojn kvazaŭ ŝi subite ĉirkaŭbrakos kaj sufokigos iun.

De ie, kiel brua birdaro,alvenis kelkaj scivolemaj, kirloharaj knaboj, sed tuj post ili alkuris kolerega patrino kaj kiel kato disigas paserojn, tiel ŝi forpelis la infanojn.

- For hejmen, ja vi ne scias, ke la cigano prenos kaj forportos vin.

- Ehstimata virin’ !  Mi ehstas  bona hom’ . Dio gardu min. Mi manĝas panon, ne infanon.

Sed la knaboj malaperis kiel fumo, la silentemaj, suspektemaj vilaĝanoj eniris la drinkejon, kaj sur la placo solaj restis la ursino, cigano kaj lia malplena, makulita riondĉapelo.

De la proksima arbaro, kun la malvarmeta vento, nesenteble, kiel svelta junulino alŝteliĝis la vespero, stela kaj trankvila. Aŭdigis fora rido, kokokrio kaj soleca voĉo de radio :

« bonan vesperon karaj geaŭkultantoj. Estas la sesa horo. Ni diros la novaĵojn. La pafbataloj inter Irano kaj Irako daŭras. Hodiaŭ en Romo, membroj de la Ruĝaj Brigadoj pafmortigis la kolonelon Giovanni Ferrari. La internacia konferenco pri… » La voĉo de la parolanto silentiĝis, eksonis melodio, kaj iu malŝaltis la radion.

Subite klukoj, kriegoj, batoj de bastono fendis la silenton. La vilaĝanoj, kiel korkoŝtopiloj de ĉampana vino, elflugis el la drinkejo.

Sur la placo, ĉirkaŭ la ursino kaj cigano disflugis plumaro, plumoj kaj sub la peza ursina manego, en marĉeto de varma sango, konvulsiis kokino. Sango gutis de la ursina buŝego. La cigano blasfemis sakris, kriegis, batis par la kornusbasono la ursinon.

- Diablo prenu cin Maria fraŭlin’. Ni ehstas ne ŝtelistoj.

La vilaĝanoj tuj ĉirkaŭis la ciganon.

- Pagu la kokinon ! – minace ekkriegis la drinkeja mastro, dika, grasa vilaĝano kun porkaj okuletoj.

- Pagu la kokinon !  - kriis ankaŭ la aliaj.

- Eĉ moneron mi ne havas… - lispis la cigano.

- Ne mensogu, ci aĉulo. Nur ŝteli ci scias !

- Ne ŝtelist’. Dresist’ mi eĥstas, oĉjoj bonaj, ne ŝtelist’ ...

- ha, ha, ha ...

- For, aĉulo ! – ekkriis ebria, alta junulo.

- For ! – reeĥis la aliaj.

- Oĉjoj bonaj, hodiaŭ, hieraŭ, manĝis mi nehnion – balbutis la cigano.

- Manĝu la kokinon ! – ekkriis la ebria, juna viro, kaj li forte batis per piedo la ciganan ĉapelon, kiu ankoraŭ staris sur la tero.

Timeme la cigano gestis levi la ĉapelon, sed alia vilaĝano pli forte piedfrapis ĝin. La ĉapelo falis sur la piedon de la tria, kiu tuj direktis ĝin  al sia najbaro. Simile al simio, la cigano saltis de unu al alia vilaĝano, sed vane. La ĉapelo flugis en la aero, kaj tondraj ridegoj akompanis ĝin. Post minuto la cigano svingis mane, ekblasfemis cigane, ektiris la ĉenon de la ursino kaj foriris.

Ridegoj, ridoj, rikanoj longe eĥiĝis sur la placo.

 

Venontan tagon, ĉirkaŭ tagmeze, en la drinkejon venis la arbargardisto kaj diris, ke en la arbaro, proksime de la vilaĝo, li trovis la ciganon mortigitan de la ursino.

En la drinkejo estiĝis bruo kaj tumulto.

- Tuj fusilon ni prenu kaj iru persekuti  la ursinon, ĉar ĝi minacas la vilaĝon ! – spirege diris la arbargardisto, sed eĉ unu vilaĝano ne ekiris por sia ĉasfusilo.

En la drinkejo komenciĝis arda diskuto pri ursoj kaj ursinoj.

- La ursino nepre estis karnomanĝa – kompetente diris iu.

Aliaj tuj aldonis, ke ili bone faris, ke ili forpelis la ciganon.

- Ja la ursino povus mortigi eĉ homon.

La tria voĉe miris, ke besto ĉiam restas besto.

- Ja la ursino dancis, eĉ komprenis la vortojn de la cigano, sed besto restas besto.

Iu detale klarigis, ke la ursoj estas tre venĝemaj, kaj se iu iam batas urson, la urso ne forgesos tion. Alia vilaĝano komencis longan historion, kiel iamlia avo nur per tranĉilon ĉasis ursojn. Neniu kredis, ke iu nur per tranĉilo ĉasis ursojn tamen ĉiuj aŭskultis atente. La vilaĝanoj longe parolis, rakontis pri ursoj, ursinoj, kaj neniu eĉ vorton diris pri la cigano, kies makulita rondĉapelo ankoraŭ estis antaŭ la drinkejo.

- Homoj, la ursino atendas nin en la arbaro. Kiu venos kun mi ? – ekkriis la arbargardisto., sed neniu aŭdis lin.

Mi ne memoras, ĉu oni pafmortigis la ursinon. Eble tiam en la vagonaro mi ne aŭdis la finon de la historio, aŭ eble ankaŭ en la kupeo oni komencis paroli, rakonti, diskuti pri ursoj, ursinoj, vulpoj, lupoj…

Delonge mi ne vidis ciganon kun ursino. Eble tial, ĉar en niaj montaroj la ursoj iom post iom malaperas. Tamen mi ofte renkontas ciganojn. Multaj el ili estas bone vestitaj, sed strange preskaŭ  ĉiu cigano havas makulitan  deformitan rondĉapelon.

 

Julian Modest

Budapeŝto, la 16-an de majo 198*

 

13/12/2024

message de la race inférieure

Bonnes-femmes, il va vous falloir apprendre à vous passer de la race inférieure, de ces Untermensch que sont les hommes, si vils et si porteurs par essence de tous les vices du monde ! Oui elles ont raison les bonnes-femmes, c’est exact : les hommes sont paresseux, irresponsables et de grands enfants, et j’en suis fier, et je ne respecte que les êtres irresponsables et qui restent de grands enfants, comme Karl Marx, Albert Einstein et Jules Laforgue. Je vous laisse avec votre noble peuple sacré de « gens raisonnables » ! Allez vous faire foutre comme on dit (et comme ça vous pourrez encore stigmatiser le « machisme » avec tous vos slogans-tout-faits de maîtres racistes que vous êtes - et le racisme de classe pour commencer, d’ailleurs tout racisme se révèle être quand on gratte un peu un racisme de classe), et je resterai comme Elian Finbert avec mon chat et mon chien, qui eux méritent d’être respectés et aimés.

 

 

http://reseauinternational.net/pourquoi-il-convient-de-se...

"faut bien lire la loi ! à 1,50 mètre on ne peut pas t’accuser de quoi que ce soit ! donc équipe-toi d’un mètre-étalon, fais signer un état des lieux à 3 témoins avant toute formule de politesse !"

(le mieux est de ne même pas leur adresser la parole, il faut faire semblant de ne pas les avoir aperçues, comme pour les flics. Et elles vivront et crèveront seules, comme nous, c'est le seul avenir qui reste maintenant dans notre société "libéral-fasciste")

12/12/2024

Juan Branco tout comme Vaclav Havel

https://odysee.com/@LiBERTY_VOICE:b/L'info_2024-12-11_HD:3

s'il pouvait devenir président de la république !

le journal "Le Monde" change de format

un format plus en accord avec ses valeurs

https://www.youtube.com/shorts/Z-tb39KtG54

 

par contre dieudo c'est le courage l'intelligence la propreté et la dignité, comme les antillais !

11/12/2024

vie

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10/12/2024

Orban a passé la journée chez Trump

"un autre monde a commencé!" Ouais !  j'en suis pas si sûr.  Orban est incontestablement un homme de droite, et est beaucoup moins courageux et surtout moins humaniste que Georgescu. Savez-vous que c'est lui qui vaut imposer au niveau Européen un permis de conduire qui finit par ne plus valoir que pour un an avec à chaque fois l'obligation de passer une "visite médicale" vous voyez les dérives ! et le totalitarisme ! le fascisme ! comme pour l'injection Covid.  Le planning de Davos ! l'horreur ! Le monde que ces gens (et Trump qui a certainement supervisé la mort de la Syrie - et des syriens - qui ne rêve que de bombarder l'Iran et de dégommer Maduro et les chavistes !  contrairement à ce qu'il prétend ce n'a rien d'un libérateur !)

BUDAPEST (Spoutnik) - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré qu'il avait passé la journée avec le président élu des États-Unis, Donald Trump, dans son domaine de Mar-a-Lago, avec le futur Conseiller à la Sécurité Nationale des États-Unis, Mike Waltz, et l'entrepreneur Elon Musk, également présents."USA aujourd'hui. Le futur a commencé! Un après-midi à Mar-a-Lago avec @realDonaldTrump, @elonmusk et @michaelgwaltz", a déclaré Orban sur X, postant des photos informelles de la réunion, où Musk était avec son fils.Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a également déclaré qu'il était présent à la réunion, affirmant que "la conversation était longue."Début juillet, M. Orban a rencontré le Président russe Vladimir Poutine, le Président chinois Xi Jinping, le Président turc Recep Tayyip Erdogan, M. Trump, ainsi que Volodymyr Zelenskyy. Par la suite, le Premier ministre hongrois a remis à tous les dirigeants de l'UE son plan de résolution du conflit en Ukraine, qui, selon lui, repose sur une évaluation réaliste de la situation, des objectifs réels et des délais.À l'automne, Orban a également annoncé qu'il avait l'intention de poursuivre sa "mission de paix."Plus tôt, Orban a déclaré que la Hongrie aimerait Trump de retour au pouvoir aux États-Unis et établir la paix en Europe de l'Est. Le Premier ministre hongrois a exprimé à plusieurs reprises l'opinion que si Trump était président des États-Unis, le conflit en Ukraine se terminerait dans les 24 heures. Orban a également souligné à plusieurs reprises que la paix en Ukraine ne pouvait être établie qu'après des négociations entre la Russie et les États-Unis, et que l'Europe avait manqué sa chance de médiation parce qu'elle n'était pas en mesure d'assurer la mise en œuvre des accords de Minsk.
Plus tôt, Trump a promis qu'il serait en mesure de parvenir à un règlement du conflit ukrainien par le biais de négociations. Il a déclaré plus d'une fois qu'il pourrait résoudre le conflit en Ukraine en un jour. La Russie estime qu'il s'agit d'un problème trop complexe pour une solution aussi simple
https://sputnikglobe.com/20241210/orban-says-spent-day-at...

09/12/2024

"par le mensonge tu vaincras" est la devise du Mossad, elle pourrait être celle du Grand capital et de l'OTAN, on l'a bien vu récemment !

un discours limpide de Bachar à son peuple : http://lesakerfrancophone.net/adresse-du-president-bachar...

De Gaulle en 43 n'aurait pas mieux parlé

voilà comment c'est en Syrie (évidemment pas du côté des copains à Fabius ! ) : http://reseauinternational.net/chaabane-le-pire-sest-pass...

Sylvain Baron n'est pas dupe :

Et pour une perspective historique un article :