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14/12/2019

pri Esperanto - 12

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quelques usages créatifs des mal-vortoj !

 

malatuto

handicap, désavantage, etc

(à utiliser au sens figuré)

 

malĉasti

« pêcher »

 

 

maldigno

Indignité, honte

 

 

maldiligenti

traînasser

 

 

fari maldolĉa

aigrir

 

 

maldormi

être réveillé

 

 

male!

si !

 

 

malebenaĵoj

aspérités,

reliefs

(geografiaj malebenaĵoj)

 

malema

peu porté à, etc, ang. averse

 

 

malfrosto

dégel

(Bulthuis –Jane Eyre)

 

malhomigi

deshumaniser

 

 

malkaresi

brutaliser, etc

 

 

malkonfirmi

démentir

Démenti officiel

Oficiala malkonfirmo/neado

malmaskanto

= ang : whistleblower fr : lanceur d'alerter

 

 

malmolvaro

hardware

molvaro

software

malnobeluloj

roturiers

malnobluloj = êtres vils, bas

 

malparoli pri tio

taire qq

Mi malparolos pri tiu afero

Je me tairai sur ce sujet

malpedanta

qui ne se pique de rien

En la 17a jarcento „honestulo“ devis havi lumojn pri ĉio sed esti malpedanta

Au XVIIè siècle un „honnête homme“ devait avoir des lumières sur tout mais ne se piquer de rien

malplezuro

déplaisir

 

 

malpreni

lâcher ; (all) loslassen

300 résultats ĉe google

 

malseketa

humide

(Bulthuis –Jane Eyre)

 

malŝategi

avoir horreur de ça

 

 

maltelefoni

raccrocher

 

 

malteni

lâcher

(2.800 résultats dans google)

 

malvastigi

réduire (un débat par ex.)

 

 

 

voyez la richesse de possibilité que ça permet !

 

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12/12/2019

le libéralisme qu'est-ce que c'est ?

 On se casse la tête avec les « paradoxes du libéralisme », ses « ambiguïtés », comment le définir ? et tatati et ta ta ta. Mais c'est très simple, très très simple, il suffit d'un peu de méthode marxiste ! Ou tout simplement de bon sens.

Il suffit de se demander : la pensée libérale, ça a été créé par qui ? par quels sortes de gens ? appartenant à quelle classe ? À quelle époque ? Des gens qui avaient quelle mentalité ? Quelles préoccupations ? Quels intérêts ? Quel mode de vie ? Et on a compris !

Le libéralisme c'est l'idéologie de la classe des propriétaires riches, point !
(attention ! Ça exclut les propriétaires pauvres ! par exemple les marchands de chandelles - ils ont un stock, donc propriétaires - de même que pour les coiffeurs : Burke estimait absolument ridicule et impensable qu'on puisse donner des droits politiques à des gens comme ça ! Quand à la propriété des petits paysans on l'écrase sous les pieds et sous les enclosures, la propriété des gros investisseurs elle seule mérite le respect « due à toute personne humaine » ! de nos jours encore les petits commerçants s'en sont aperçu ! Et bien sûr les droits de propriété des « races inférieures » il ne vient à l'idée de personne un seul instant qu'ils puissent avoir des droits de propriétés sur leurs territoires ! Surtout pas Tocqueville).
A partir de ce résumé tout découle de source.
Avec ça inutile de s'embêter avec touts les beaux principes théoriquement théoriques et philosophiques, les valeurs, la condamnation de la « tyrannie », le respect de la « liberté individuelle », de la « conscience errante », de la « personne individuelle », et éventuellement de s'étonner des contradictions flagrantes des théoriciens qui sont censés s'en réclamer ! Non. Plus besoin de distinguer entre libéralisme économique, libéralisme politique, libéralisme des mœurs.
Tous les combats, mais aussi tous les paradoxes de la pensée libérale deviennent des évidences. Et la défense de l'esclavage, et le déni de tous droits aux domestiques, et les cris d'orfraie devant la loi qui réduisait le temps de travail des enfants de moins de 8 ans à de 12 heures par jour (si ! …) disant que c'était une atteinte à la liberté, et un acte de tyrannie de la part du vilain gouvernement, etc, etc, etc.
Pour tout ça et disposer de centaines de citations de la plume même des penseurs libéraux, qui permet de voir quelles positions ils tenaient, il suffit de lire le livre de Domenico Losurdo : http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Contre...
Et cette approche historique permet de comprendre certains changements, par exemple. Traditionnellement, au début, la défense de la liberté religieuse, les droits sacrés de « la conscience errante », le respect des croyances individuelles, était un pilier fondamental du libéralisme. En effet parmi les riches propriétaires, il y avait des catholiques, des protestants (pas encore des juifs mais c'est venu au XIXè siècle, et maintenant c'en est même une composante maitresse), des protestants de diverses chapelles. Aussi devant les persécutions et le pouvoir des théocraties et des rois qui pratiquaient le cujus regio ejus religio, la défense de la liberté de croyance leur importait. Maintenant c'est quasiment disparu ! Au contraire les libéraux sont devenus des intolérants fanatiques. Eh oui ! Maintenant il n'y a plus que des pauvres pour croire en des religions : les musulmans (un temps tolérés eux aussi, quand c'étaient des ambassadeurs ottomans ou des cheiks saoudiens !) sont essentiellement des jeunes marginaux de banlieues pauvres, ou alors ce sont des membres de mouvement que les libéraux qualifient tout de suite de « sectes ». Les gens dont la liberté de croyance consiste à être choqués à l'idée qu'on inculque la théorie du « gender » à leurs enfants, ça …. le libéralisme tout à coup ne le tolère pas ! Leur "conscience errante" on s'en fout ! leur "personne humaine" n'existe plus ! Pas plus que la vision religieuse, non plus des catholiques (en fait maintenant des catholiques qui de nos jours diffuseraient la même vision religieuse que ceux du XIXè siècle seraient diabolisés, insultés et carrément interdits par la police ! Au nom du libéralisme bien sûr !), mais ceux qui cultivent des légumes bio en suivant le cycle de la lune, ou qui critiquent les vaccins sont des ennemis pour les profits de Big Pharma, donc on les assimile « sectes » et on trouve, au nom du libéralisme, normal d'envoyer les gendarmes les arrêter, leur enlever leurs enfants (non le droit sacré et libéral de la famille ne joue pas pour eux !) leur interdire de construire des statues sur le terrain dont ils sont propriétaires (eh oui ! Je vous dis c'est ça le libéralisme), leur interdire de tenir des réunions publiques en louant avec leur argent pourtant (!) le stade de Lens, etc. Donc de nos jours les libéraux, pour qui la liberté religieuse était autrefois si centrale, sont devenus des antireligieux impitoyables et fanatiques ! Logique ! Il suffit de se rapporter à la méthode d'analyse marxiste qui définit l'origine et le conditionnement des idéologies.

La classe dominante, sans vraiment le vouloir, présente sa liberté d'expression comme étant celle de toutes les autres classes sociales. Lorsqu'elle évoque la liberté d'expression, c'est à sa liberté qu'elle pense.

5/5/2014

 le créateur de la pensée libérale en France,Claude-Jacques Herbert : 1753 essai sur la police générale des grains http://socserv2.socsci.mcmaster.ca/econ/ugcm/3ll3/herbert/essai.htm

c'est ici aussi qu'on doit rappeler les fameux spartiates, qui furent admirés par des générations de théoriciens démocrates et laudateurs de la "vertu" et qui n'étaient qu'une bande de pirates qui se faisaient nourrir par le peuple qu'ils avaient conquis et réduit en esclavage, les ilotes, et s'organisaient entre eux en véritable couvent de légionnaires austères et fanatiques.

Quand à Athènes là, elle ne s’avère que trop symbolique que comme expérience historique ou du fait d’une juste admiration de l’art qu’elle a été capable de développer, parce que c’était une société esclavagiste; Quatre pelés et trois tondus se réunissaient sur une place et affirmaient : "Voilà la démocratie! » Le reste, les "métèques" n’avait pas de droits et l’immense majorité étaient des esclaves… Même les philosophes, qui étaient des sages et se croyaient justes, de même que les penseurs du "Libéralisme" susnommés, avaient un tas d’esclaves, de même que ces mêmes penseurs "Libéraux" étatsuniens, et les autres des ouvriers dans leurs usines, ou des domestiques pour les servir, et auxquels il n'auraient jamais seulement pensé d'étendre les fameux droits et libertés de l'individu qu'ils réclamaient pour eux-mêmes

Maintenant il convient de se rendre compte (relisez à ce sujet également le livre incontournable de Sven Lindqvist "Exterminez toutes ces brutes") que la racisme n'est pas une réalité intemporelle pesant sur l’humanité comme une tare originelle ou un défaut permanent qu’il faudrait sans-cesse combattre mais qu'il est au contraire un rapport social historiquement daté, dont l'émergence date de l’apparition d’un système social précis ayant besoin pour s’étendre de justifier une hiérarchisation des groupes humains. L’esclavage et la colonisation comme modalités de l’accumulation primitive du capitalisme européen sont les bases matérielles de l’émergence des théorisations racistes. Auparavant existait bien sûr des conflits, des guerres et des agressions mais elles n’étaient pas argumentés sur une logique de hiérarchisation de l’humain.

Le libéralisme, en clair c'est la dictature des ultra-riches, écoutez la parole claire et décapante de François Boulo :


 

10/12/2019

une voix de la liberté de l'humanisme

vive la cigarette, la liberté, l'esprit critique ! vive Chavez ! Chouard (intègre et courageux, lui !) ! et Bernard Friot (mais pas l'asso "Réseau Salariat" qui n'est composé que de bourgeois collabobos Elle témoigne jusqu’à la caricature de l’atmosphère de terreur médiatique dans laquelle évoluent les intellectuels français), et la dignité ne pas oublier !


 

et Vive le Nouveau Maquis Cevenol !


 

La france pinochettiste :


il est temps d'appeler les choses par leurs noms, trop de dérives illégales, immorales, et de natures dictatoriales et immondes


08/12/2019

FACE AUX LOUPS NE JAMAIS FAIRE L'AGNEAU !

Un peuple désarmé sera toujours vaincu

Un homme s'agenouille devant des membres des forces de sécurité, à La Paz (photo prise le 15 novembre 2019)

Chercheur en philosophie politique et analyste des relations internationales, Bruno Guigue revient sur les événements qui ont conduit à la démission du président bolivien Evo Morales.

La République espagnole croyait à la démocratie parlementaire, et Franco a instauré sa dictature. Salvador Allende croyait à la démocratie parlementaire, et on a eu Pinochet. Evo Morales croyait à la démocratie parlementaire, et un coup d’Etat l’a chassé du pouvoir. Illustrations parmi tant d’autres d’une loi de l’histoire : face à des loups, ne jamais faire l’agneau. Comme les expériences précédentes, celle de Morales n’était pas sans défauts, mais elle était prometteuse. Aucun gouvernement latino-américain, dans la période récente, n’avait obtenu de tels résultats : forte croissance, redistribution des richesses, recul spectaculaire de la pauvreté. La Bolivie est le pays d’Amérique latine qui a la plus faible proportion d’illettrés après Cuba et le Venezuela. Or ces avancées sociales, fondées sur la nationalisation des compagnies gazières, sont précisément ce qui a scellé le sort d’Evo Morales. Un président indigène qui travaille pour les humbles, voilà le scandale auquel il fallait mettre un terme. Assoiffée de vengeance, la bourgeoisie bolivienne a réussi à interrompre une expérience progressiste soutenue par les couches populaires.

Ce triomphe provisoire de la réaction suscite évidemment des questions redoutables. Comment le gouvernement légal de ce pays a-t-il pu subir, en toute impunité, l’incendie des maisons de ses propres ministres ? Comment le président élu de cet Etat souverain a-t-il dû quitter le pays, visiblement sous la menace ? Malheureusement, la réponse saute aux yeux : cette humiliation du pouvoir légitime par les bandes factieuses n’a été possible que parce qu’il était désarmé. Les chefs de la police et de l’armée boliviennes, dûment formés à « l’Ecole des Amériques », ont trahi le président socialiste. Ils ont cautionné le coup d’Etat perpétré par la sénatrice d’un petit parti d’extrême droite qui s’est autoproclamée présidente, brandissant une Bible de dix kilos, devant une assemblée sans quorum ! Le président légitime Evo Morales a préféré l’exil à l’effusion de sang, et ce choix est respectable. Mais il ne dispense pas d’une réflexion sur les conditions de l’exercice du pouvoir lorsqu’on entend changer la société.

Le contraste avec le Venezuela est frappant. Tenté à Caracas, le même scénario a échoué lamentablement. Malgré la crise économique qui frappe le pays, l’armée vénézuélienne a résisté aux menaces et aux tentatives de corruption inouïes en provenance de Washington. Cette fidélité de l’appareil militaire à la République bolivarienne est le mur qu’elle dresse contre les menées impérialistes. Mais elle n’est pas le fruit du hasard : militaire chevronné, Chavez a tout fait pour rallier l’armée, et Maduro a retenu la leçon. Le patriotisme anti-impérialiste est le ciment idéologique de la révolution bolivarienne. Appuyée par une milice populaire d’un million de membres, cette force armée éduquée aux valeurs progressistes protège la République. C’est pourquoi la bourgeoisie inféodée à Washington a tenté d’assassiner Maduro, après avoir voulu le renverser lors d’une tentative de putsch grand-guignolesque.

Le pacifisme dissuade rarement la bête féroce, et il n’y a pas de bête plus féroce que cette bête humaine qu’est la classe dominante ébranlée dans son assise matérielle, minée par la trouille de perdre ses avantages, et prête à tout ensevelir pour échapper au tribunal de l’histoire.

Pour parvenir à ses fins en politique, disait Machiavel, il faut être à la fois « lion et renard », faire usage de la force et de la ruse en fonction des circonstances. Mais pour faire usage de la force, encore faut-il en avoir. Aussi positive soit-elle pour la majorité de la population, une politique progressiste suscite toujours la haine recuite des possédants. Cette haine de classe, véritable passion triste des privilégiés cramponnés à leur prébendes, ne tarira jamais. Il faut le savoir, et se donner les moyens de l’empêcher de nuire. Dans les conditions effectives du combat politique, ce qui détermine l’issue finale n’est pas la pureté des intentions, mais le rapport de forces. Face à la coalition de la bourgeoisie locale et de l’impérialisme, les progressistes n’ont pas le choix des armes : il faut qu’ils les prennent, l’idéal étant évidemment de ne pas avoir à s’en servir, en comptant sur la faible propension de l’adversaire au suicide héroïque. Pour exercer cet effet dissuasif, il faut avoir des milliers de volontaires lourdement armés et prêts à défendre la révolution au péril de leur vie.  

C’est sans doute un effet collatéral de la passion de la gauche contemporaine pour les élections, mais il semble qu’on ait oublié la formule de Mao : «Le pouvoir est au bout du fusil.» La naïveté devant la cruauté du monde mène rarement au succès, et le désarmement unilatéral est une forme d’immolation volontaire. On a sa conscience pour soi puisqu’on rejette la violence, mais cette noble attitude a pour inconvénient de réduire considérablement son espérance de vie. Si l’on veut inscrire son action dans les faits, et rester en vie pour y parvenir, il vaut mieux renoncer à la « vision morale du monde », comme disait Hegel, et regarder la réalité en face. Le pacifisme dissuade rarement la bête féroce, et il n’y a pas de bête plus féroce que cette bête humaine qu’est la classe dominante ébranlée dans son assise matérielle, minée par la trouille de perdre ses avantages, et prête à tout ensevelir pour échapper au tribunal de l’histoire.

Sans armes, le peuple sera toujours vaincu, et ce n’est pas un hasard si les seules expériences révolutionnaires ayant abouti à une transformation effective de la société ont doublé l’outil politique d’un outil militaire. On peut toujours discuter de la nature et des limites de cette transformation. Mais si la Révolution française a mobilisé les soldats de l’An II, Si Toussaint Louverture, qui a conduit la première insurrection victorieuse d’esclaves noirs aux colonies, était d’abord un général de la Révolution, si la Révolution russe a créé l’Armée rouge, qui a vaincu les Blancs soutenus par quatorze nations impérialistes, puis les hordes hitlériennes à l’issue d’un combat titanesque, si la Révolution chinoise doit son succès en 1949 aux victoires militaires de Zhu De autant qu’aux idées  de Mao, si la République socialiste du Vietnam a fini par vaincre l’appareil militaire des Etats-Unis, si le socialisme cubain doit sa survie à la victoire inaugurale contre l’impérialisme remportée en 1961 à la Baie des Cochons, c’est qu’il y a une constante vérifiée par l’expérience historique : des armes, oui, ou la défaite.

et n'oubliez pas (Brecht l'avait déjà dit) :

 « En temps de crise, derrière chaque "libéral modéré" se trouve un fasciste » (Álvaro García Linera)

 

06/12/2019

Il n’y a aucune raison pour que le désir d’enfant d’un adulte l’emporte sur le besoin d’un père d’un enfant.

C’est une injustice et une violence infligée aux enfants !

 

" Bonjour à tous !
Merci à vous tous d’être venus aujourd’hui.

Si nous sommes là, c’est au nom de l’amour que nous portent nos enfants.
Ce sont mes deux filles qui m’ont conduit à venir vous parler aujourd’hui.

Le désir de transmettre la vie est en chacun de nous, et il faut le respecter. Ce désir est bon et naturel ; et c’est une souffrance de ne pouvoir le réaliser.

Mais il est incohérent et injuste d’invoquer ce désir naturel pour accorder aux femmes un « droit à l’enfant sans père », et en même temps d’ignorer, que dis-je, de violer délibérément, le besoin lui-aussi naturel des enfants d’être élevés et aimés par leur père.

Il n’y a aucune raison pour que le désir d’enfant d’un adulte l’emporte sur le besoin d’un père d’un enfant.

C’est une injustice et une violence infligée aux enfants !

L’expérience des enfants nés par PMA-anonyme depuis les années 80 prouve que tout enfant a besoin de connaître ses parents. Aujourd’hui, ces enfants demandent justice et cherchent à connaître leur père. Nous en avons invité plusieurs aux Nations unies, et nous soutenons leur cause à la Cour européenne des droits de l’homme.

Demain, si la loi est votée, ce sont les enfants nés par PMA pour toutes qui demanderont justice, mais le Gouvernement ne sera plus là pour répondre de ses actes.

La PMA sans père et la GPA ne sont pas des progrès, ce sont des déchéances, des pertes d’humanité.

Qui peut croire que ce soit un progrès que d’encourager des femmes célibataires à congeler leurs ovocytes pour « faire un enfant toute seule » après 45 ans ou 50 ans ? C’est sinistre, pour la femme comme pour l’enfant, qui est privé de son père et aura une mère solitaire et déjà âgée à sa naissance.

Qui peut croire que ce soit un progrès de priver un enfant de son père et de le faire grandir entre deux femmes lesbiennes ?
Il faut dire les choses telles qu’elles sont : Personne ne peut souhaiter être issu d’un inconnu qui pratique l’onanisme devant un film porno dans une banque de sperme.
Comment voulez-vous que l’enfant se construise ensuite ? Il grandira avec cette image sinistre, et sans connaître le miracle de l’amour charnel qui donne la vie.

Personne ne peut souhaiter cela à un enfant. On ne peut pas prétendre vouloir le bien d’un enfant et le traiter ainsi.

Il n’y a aucun progrès à faire naitre des enfants aisni.
Les seules « progrès » causés par la PMA sans père, ce sont ceux de la solitude, de l’industrie de la procréation, de l’eugénisme et du pouvoir de l’Etat sur nos vies.

Ce soi-disant « progrès » prétend remplacer la beauté de l’union féconde de l’amour par la laideur de la froide technique et du contrat.
Il remplace l’intimité du lit conjugal par le cabinet notarial !

Face à tant de laideur et de tristesse, la meilleure façon de manifester, c’est de témoigner de la beauté de l’amour qui donne la vie, de témoigner de la joie de la famille naturelle, de la « famille bio et faite maison » !

Mais ne croyez pas que le but de ce projet de loi est seulement de satisfaire les revendications d’une minorité. Sa portée est bien plus grande : elle consiste à permettre la prise de contrôle de l’engendrement des prochaines générations en séparant la procréation de la sexualité.

La véritable portée de cette loi, c’est l’eugénisme et le transhumanisme. C’est cela l’idéologie de Jean-Louis Touraine, le député rapporteur de cette loi, c’est la même idéologie que celle, avant lui, du sénateur Caillavet, du Dr Pierre Simon, ou encore de Julian Huxley l’inventeur du mot « transhumanisme ». Ils furent tous des scientistes, militants de l’eugénisme, de l’avortement, de l’euthanasie et de la GPA. Leur but est de faire un « homme nouveau » en prenant le contrôle de la vie, de la vie comme matériau.

Cette idéologie est mortifère ; elle n’engendre que souffrance :
La souffrance des enfants privés de leur père ou de leur mère ;
La souffrance des mères porteuses et des donneurs de sperme qui, tôt ou tard, réalisent qu’ils ont des enfants inconnus.

C’est cette souffrance causée par le bricolage procréatif et affectif qui nous rappelle que la famille est naturelle, et pas artificielle !

Si notre société n’est pas capable de voir aujourd’hui l’injustice de la PMA sans père, alors demain nous serons confrontés aux souffrances et aux violences qu’elle engendre.

Les enfants demanderont justice !
C’est pourquoi nous pouvons être fiers d’être présents aujourd’hui pour défendre les générations futures.

Quelle que soit l’issue du vote, l’avenir nous donnera raison !

Vive la famille, et vive la Vie !"

Grégor Puppinck

Vidéo TOTALEMENT CENSUREE !!!!! aucun lien à youtube  (qui pourtant existe !!!!! https://www.youtube.com/watch?v=vP9n_iGidCg&feature=y... ) sur leur site !!!!!!! Absente de leur chaine officielle !!!!!!!!! introuvable sur ru-clip.net !!! introuvable sur findclip.net !!!!!!

impossible à télécharger par aucun moyen (sauf un fichier image sans son !ou un fichier son sans imaes !!!!) Censure  totale !!!!!

On n'est plus en France !!!! blackout obsessionnel !!!!


03/12/2019

La VRAIE VIE

       On ne voit presque plus jamais (sauf dans le Tiers-Monde) de mère portant son enfant à bras ! C’est lamentable et un symptôme inquiétant.
On ne voit plus non plus d’enfant se tenant par la main, alors qu’avant c’était presque la règle, là aussi c’est un mauvais symptôme.

« Ĉiutage lernu, pensu, desegnu, pentru, kantu, dancu ludu kaj laboru iomete » dit un texte
sur Bazaro, très juste : chaque jour apprenez, chaque jour pensez, chantez, dancez, jouez et travaillez (un peu !). « kion oni meritas scii » qu’elle dit oui, mais cet art de bien vivre et humanistement, on en est loin ! maintenant qui danse encore tous les jours ? peu de gens apprennent (c’est bon pour les enfants n’est-ce pas ? Glandouiller dans la cage à écureuil et à se regarder le nombril, les zizanies et les magouilles
c’est tellement plus interessant ! pensez ... passons, jouez chanter, pareil qui oserait encore vivre ? Et pourtant voilà bel et bien un programme qu’il faudrait suivre.
- « ekprenu la manon de via kunulo kaj ne disiĝu unu de la alia ! » qu’elle dit aussi ; Combien vrai ! Kiel prave !
(veege)
prenez la main de votre compagnon (agne) et ne vous séparez pas l’un de l’autre.
Il faudrait le dire à beaucoup de nos jours ! et même ils ne comprendraient même pas ! le plaisir ni la valeur que ça peut avoir ! à une époque où même les amis ne se tiennent plus par la main !
« ekprenu la manon de via kunulo kaj ne disiĝu unu de la alia » « Kaj manon en mano la vojon
daŭrigis » si je pouvais hélas
                                                    
ne disiĝu de la alia

 

Quand on ne pleure plus on n’existe plus, plus rien n’existe.