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13/01/2018

Bernard Charbonneau

Bernard Charbonneau, né en 1910, fut un penseur étonnament en avance sur son temps, d'une remarquable perspicacité et d'une grande profondeur, il a analysé et pris conscience des problèmes et des menaces de la société moderne, desquelles même à présent peu de gens sont conscients (et pourtant ça nous pend au nez !). Il a mis en évidence des problèmes que n'ont exposés d'autres que dans les années 70 (problèmes écologiques) ou 90 (Zygmunt Bauman : lien entre les horreurs nazies et l'esprit du modernisme et le mode de fonctionnement des administrations) voire encore plus tard (Theodore Kaczynski : la société technologique comme entrainant per se la disparition des libertés) Déjà avant guerre il avait prédit la disparition de la paysannerie, de la vie rurale, les menaces pesant sur la nature, à une époque où cela paraissait quelque chose d'impensable . Déjà en 1939 il disait que, même si les états totalitaires, tels que l'Allemagne nazie ou l'URSS étaient actuellement moins libres que ceux d'Europe occidentale, les démocraties elles aussi dans l'avenir deviendraient à leur tour peu à peu totalitaires.

 

Aussi peu de gens l'ont à l'époque compris, et mis à part sa collaboration à la revue "Esprit", aucun éditeur ou presque n'a publié ses livres. Ce n'est que dans les années 70 avec la vague écologique qu'il a commencé à être reconnu (on l'appelle souvent le premier écologiste, mais lui-même est en même temps réservé envers l'Ecologie politique dans laquelle il voit des menaces totalitaires) et que des articles, puis quelques uns de ses livres furent publiés ou republiés.

Ce livre dont ce ficher pdf devenu inaccessible dans Ipernity, présente de larges citations fut écrit en 1950. Il nous parle à nous hommes de 2008 de façon particulièrement prophétique et nous parle des menaces qui pèsent sur la société actuelle.

pourtant :

"Un livre est une lettre envoyée à un ami" a dit Sloterdijk.

...

"Nur la homo, la simpla homo, devas respekti la leĝon, la ŝtato ne devas fari tion. Ĝi estas ĉiopotenca. La homo devas havi moralon, la ŝtato ne konas moralon. Ĝi murdas, se ĝi trovas konvena tion, ĝi ŝtelas, se ĝi trovas konvena tion; ĝi rabas la infanojn de la patrinoj, se ĝi trovas konvena tion; ĝi disrompas geedzecajn vivojn. Ĝi agas laŭ sia plaĉo. Por ĝi ne ekzistas tiu Dio en la ĉielo, kiun ĝi devigas la homojn kredi helpe de korpaj kaj vivaj punoj. Por ĝi ne ekzistas ordonoj de Dio, kiujn ĝi lasas draŝi helpe de bastono en la kapojn de la infanoj. Ĝi faras mem siajn leĝojn, ĉar ĝi estas la Ĉiopotenco, la Ĉioscianta kaj la Ĉieestanta" (TRAVEN "La mortula ŝipo")


La névrose de l'Etat ça même à ça : www.futurquantique.org/big-brother/659-chroniques-de-big-...
La chronique de Big Brother - La lutte pour la liberté... est-il trop tard ?

manifeste des anonymous : http://de.indymedia.org/2010/12/296637.shtml


La religion de ceux qui dirigent est le business de la guerre :
- Guerre contre les microbes (industrie pharmaceutique)
- Guerre contre les insectes (industrie chimique)
- Guerre contre la biodiversité et le gratuit (industrie génétique)
- Guerre contre les cultures (américanisation, uniformisation de la mode et par la télé)
- Guerre contre les humains (industrie de l'armement)
- Guerre contre les petits producteurs (industrie agro-alimentaire et distribution)
- Guerre psychologique (industrie des médias)
- Guerre pour la modernité et le renouvellement (société de consommation)

Leurs valeurs sont :

Sécurité en allemand Sicherheit (police)
Modernité (industrie)
Efficacité (guerre, "Action T4" ! etc)

Les moutons robots qui acceptent le fascisme progressif sont aussi dangereux que nos décideurs politiques.
Dans le livre de Ionesco "Rhinocéros", les gens deviennent progressivement tous fascistes, mais ils ne s'en rendent pas compte.

L'agriculture est un secteur non guerrier, lorsque elle n'est pas un champ de bataille pour les machines, le pétrole, la chimie et la pharmacie ! Le vin est une activité non-guerrière, comme le pain.

 

ET JE RAPPELLE QUE l'UNION "EUROPEENNE" a une constitution (qui nous a été imposée par un acte de forfaiture après que le peuple se soit prononcé contre!) qui est hypocritement totalitaire et antidémocratique, il suffit de voir comment par les annexes que les pauvres "mougeons" ne lisent pas on nie d'une  main ce qu'on fait semblant de donner par l'autre, et installe tout ce qu'il faut pour établir un régime policier et TOTALITAIRE, lisez : Les annexes inquiétantes de la Constitution européenne

et ici remarquez à la fin que le président prétendûment allemand de du parlement prétendûment européen parle en fait amerloque "OK!" https://www.youtube.com/watch?v=dS0NrHW1R4c

12/01/2018

l'article 1.111 du code de la santé publique


voilà voilà

maintenant vous savez quoi répondre à votre médecin et aux divers flics sociaux

11/01/2018

la prière de la Charlotte - Jacques chancel


10/01/2018

"Je suis désolée"

« Je suis désolée » Non ! Elle n’a pas bien l’air désolée ! D’ailleurs si elle était vraiment désolée, on n’aurait pas le droit de le dire, maintenant on appelle ça « faire une dépression nerveuse ». Et si elle l’était il y aurait aussitôt toute une brassée d’apparatchiks qui se jetteraient sur elle pour la sommer d’aller se faire soigner, comme si c’était une maladie

09/01/2018

les gens décents

30/8/2016 « je ne bois pas d’alcool » qu’elle dit la dame, eh oui elle est du côté du BIEN, elle est contre ce qui est MAL, elle ne boit que des boissons brevetées de marque ® à l’Aspartame ®, elle est Charlie, c’est sûr, je suis persuadé qu’elle a voté bien sagement pour Sarkhollande, et qu’elle éteint vertueusement les lampes derrière elle partout où elle passe, et qu’elle a fait mettre des fenêtres à double vitrage en plastoc à sa maison. Sa grand-mère durant l’Occupation devait dénoncer aux autorités les mauvaises gens qui écoutaient Radio-Londres, et elle-même doit faire partie des fameux « voisins vigilants » que le régime de maintenant a instauré dans chaque village !

ne croyez pas un mot de ce que vous disent les autorités


07/01/2018

le chômage c'est un outil mafieux


06/01/2018

moi en 2002

écrit sur mon journal intime en 2002 :

  1. Je n’ai pas la fécondité littéraire d’un Cioran pour être capable d’exprimer cette souffrance, ce regret vain de ne pouvoir embrasser toutes les vies des hommes du passé (de l’époque 1800 par exemple) dans mes bras vains, de ne pouvoir les assimiler à ma chair vaine, ni d’avoir les vains sentiments à la mesure de cette vaine tâche. Et puis d’être trop petit pour toute la quantité de vie possible. Que tous les autres laissent de côté sans la voir.

 

    1. Voici venir la belle saison, i. e. le temps des brouillards,  si beaux brouillards, la saison où je me retrouve seul au milieu des français-moyens à la con, larves sans vie annexées à leurs voitures. Le temps où il faut se taire. (4/11/92)

 

  1. Eliot, tu es une pauvre petite bébête. Et le pire c’est que c’est vrai. Pauvre petit rond de chair vivante ; mystère de l’être, du destin, de la conscience, du temps, de la création ; pauvres petits ronds de chairs vivantes de par l’espace.

 

4)S Les bonnes-femmes comme C. ça n’est pas étonnant qu’elles n’aiment pas les études et que la culture elles n’en aient rien à fiche. Les études c’est ce que font les enfants, donc c’est indigne d’un adulte ; la culture c’est ce à quoi sont initiés les enfants donc un adulte laisse ça de côté ( y compris la poésie, que notre époque a ravalé au rang de gadget pédagogique, et à part ça on s’en détourne complètement ; idem la philosophie, ce qui est sinistrement révélateur). Les ragots de couloirs et les papotages vides et oiseux : voilà qui est bien plus intéressant ! et les mesquineries irrationnelles, voilà la seule chose digne des adultes !

La joie, la curiosité, l’intérêt sérieux, la fantaisie imaginative, ce sont des trucs d’enfants ; aux adultes seuls siéent le rire gras ou raciste, les plaisanteries niaises de rigueur et la langue de bois et la négociation des magouilles.

05/01/2018

évolution de ma situation financière

Toute une vie de travail, toute une vie de travail de mon oncle (pas la mienne) comme installateur-réparateur d'électronique médicale, qu'il a à peine dépensé et entassé sur des plans d'épargne, voilà ce dont je me nourris maintenant, via les compléments de pension que je me fais payer (avec la retraite de 1300 machins ça ne suffirait pas) et toute une vie de travail, dans la pauvreté, de mon père, qui lui a donné droit à toutes les pensions qu'il recevait, plus tout l'argent patiemment économisé, a permis qu'il me paye la première maison (qui ne me rapporte plus rien à cause de locataires escrocs et scélérats, et que je finirai pas vendre, pour en faire quoi ? Une quatrième « assurance-vie ?).

sept 2012 :

J'ai commencé par être très pauvre – même qu'une fois un inspecteur des impôts est venu voir mon père, il ne voulait pas croire qu'on puisse vivre avec si peu, mais mon père lui a répondu que comme on n'avait pas de voiture, on ne partait jamais en vacances (le premier voyage lointain que j'aie fait, et aussi maman, fut en 1971 pour aller voir René Wargniez en traversant toute la France, à partir de là on en a fait d'autres), maman faisait ses robes et mes vêtements, on se nourrissait principalement de pommes de terre à l'eau (et des beefsteaks aussi il faut le dire), comme on avait un logement de fonction on ne payait pas de loyer; en fait nos ressources étaient faites de plein de petites sources additionnés : le mini-salaire de mon père comme chantre-organiste-sacristain, celui qu'il touchait à monter des chapelles mortuaires chez les gens pour le compte de l'entrepreneur de pompes funèbres, la pension d'invalidité qu'il touchait depuis l'age de 16 ans pour ses trois doigts coupés, le loyer de la maison de maman (eh oui ! Pauvres mais propriétaires), plus tard il y eu des lois de passées et maman s'est mise à toucher une retraite d'« aide familial agricole » et papa aussi, et puis bien sûr il y avait les commissions qu'on touchait en tant que correspondants de la vente par catalogue des Galeries Lafayette; une chose que papa n'a pas dit à l'inspecteur bien sûr c'était qu'il piquait aussi dans la quête de la messe, qu'il était chargé de compter – la maison n'avait bien sûr aucun « confort moderne », que seuls les bourgeois, avaient à l'époque; WC au bout de la cour ou petit pot de chambre, un robinet pour se laver (c'est de là que j'ai pris goût au fait de se laver à l'eau de Cologne, plus efficace et plus agréable) pas de machine à laver bien entendu, ni rien de tout ça. Même qu'au tout début il n'y avait pas non plus l'eau courante, mais une pompe qui puisait dans une citerne les eaux de pluie, mais dans la rue la municipalité mettait des bornes-fontaines (gratuites) à disposition des riverains (eh oui ! Maintenant réfléchissez un peu : l'eau courant ça a signifié l'entrée dans le rapport marchand …. tout bénef pour eux en fait … c'est comme l'abolition de l'esclavage, tant vantée en 1861, beaucoup de propriétaires étaient pour, car plus besoin de nourrir, vêtir, loger, soigner ses esclaves, ils passaient de l'état d'esclave à celui de salariés, à condition de trouver un travail ! … , et à eux de se démerder avec le peu qu'on leur donnait, sujet à creuser, et actualiser sur les choses qui se passent maintenant). On était (maman était ! Et selon elle papa en était jaloux, je ne le crois pas, mais il a toujours souffert de n'avoir jamais eu de maison à lui) propriétaires, mais on vivait dans une maison de fonction louée à titre gracieux par la paroisse, pour moi c'était « notre maison », « chez nous », et lorsque un incident vint me rappeler que en fait la maison n'était pas à nous, et qu'on pouvait en être foutus dehors à volonté par le curé, ça m'a très déstabilisé.
Donc on était très pauvres, mais moi je ne le ressentais pas du tout comme ça, malgré les patates à l'eau et les meubles bricolés avec des grandes caisses en carton. Je savais bien que faire des voyages, par exemple à Moscou, c'était des choses que je ne ferai jamais (je ne me doutais pas qu'un jour je ferai un voyage en Inde et un en Ouzbékistan ! et que j'aurais pu même en faire beaucoup plus …), que « c'était pour les riches », de même que d'avoir le téléphone ! Même si je me plaisais à rêver devant les cartes géographiques de si j'étais roi et pouvais recevoir un de ces pays en royaume lequel je choisirais ? Ou d'avoir les moyens de se faire créer dans mon jardin un labyrinthe comme je les aimais, bien grand et bien compliqué. On était même moins riches que des ouvriers, sans doute, mais dans un sens on était plus riches que les ouvriers, culturellement, on jouait aux cartes, maman quoi qu'inculte (et refusant de croire que l'homme était allé sur la lune, se demandant plutôt si les étoiles n'étaient pas les lumières des gens qui habitent là-haut) faisait des tableaux à l'huile (et bien sûr des tas de broderies, tricots et autres travaux d'aiguilles en tous genres), papa faisait des championnats de mots-croisés, harmonisait des pièces musicales pour l'église, et s'achetait le cours de composition musicale en quatre volumes professé par Vincent D'indy à la Schola Cantorum, et moi je feuilletais des heures durant les six volumes du dictionnaire encyclopédique Larousse en 6 volumes.

Plus tard, après avoir à une certaine époque du à plusieurs reprises coucher dans des asiles de nuits pour SDF (et même une fois passé la nuit assis à côté du feu que les clochards allumaient auprès des halles de Reims), je me suis retrouvé enfin salarié, fonctionnaire, dans un monde moderne. Et alors, j'ai, comme j'ai dit, joui d'un niveau de vie, que je ne pourrais tout juste que ….. retrouver !! maintenant que grâce à l'héritage de mon oncle, je suis, théoriquement, deux fois plus riche ! il y a eu entre temps tant de dégradation dans le pouvoir d'achat général des salariés français ! ….. depuis le début du « Grand Bon en Arrière » par lequel le grand capital, avec l'aide tant des ses copains « socialistes » que de la droite classique d'en face, a entrepris de nous enlever tout ce qu'on avait acquis en 1945 ! Bref je me suis mis, à aller au théâtre, au cinéma, en vacances, voyages ou stages, acheter des livres, des bibelots, rêver même de lithographies, à manger régulièrement au restaurant, et passer toutes mes soirées au café. Et puis aussi, suite aux résolutions que je m'étais faites dans ma période chrétien (ou presque), et intellectuel de gauche, je me suis mis à faire chaque mois un don de cent francs pour diverses « bonnes causes ». Depuis j'ai augmenté les cent à deux cent, et maintenant que « me voilà riche », je n'ai pas pu faire moins que de passer à 300 (soit 45,73 de ces sales machins états-uniesques qu'ils apellent « euros »). Comme j'ai dit, depuis 1981, paradoxalement (?), les augmentations d'échelons des fonctionnaires, bien loin de constituer un avancement, n'ont plus servi qu'à compenser, pour ceux qui vieillissent, (mais ça veut dire que les jeunes qui entrent dans la carrière sont de moins en moins payés, maintenant on est à – 30%), la perte de pouvoir d'achat qu'ils nous imposent à chaque revalorisation annuelle, toujours un peu inférieure à l'inflation (officielle ! ….).

Puis je me suis retrouvé propriétaire de deux (même un certain temps trois) maisons, toutes payées en fait n'est-ce pas, essentiellement avec l'argent de mon père, la première c'est quasiment lui qui me l'a payée, et de maman, dont j'ai finalement vendu la maison, bref, et jusqu'à maintenant (voir la suite) je n'ai jamais été qu'un vautour, c'est comme ça en fait que je suis devenu riche, avec les cadavres des autres.

Et pendant un moment j'ai été avec une femme qui était dans un sens plus riche que moi, et dans un autre moins, car avec son gros salaire de sage-femme elle devait payer les études, en boites privées, de ses deux enfants, et les réparations de sa grosse voiture, et question mentalité et relations aussi, dans un sens plus bourgeoise, et « notable », et elle aimait ça ! et en même temps plus ouvrière, et en dépit de ses grands discours, et ses grands diplomes, nettement plus inculte que moi, niveau « les feux de l'amour » en fait.

Et voilà, maintenant « grâce » (grâce à la mort ! Faut-il s'en féliciter ?) à l'héritage de mon oncle, me voilà riche - enfin tout est relatif ! - me voilà deux fois plus riche, en capital du moins, je pourrait m'acheter « tout » ce dont je pourrais avoir envie, l'ennui c'est que je n'ai plus envie de rien !

Voilà

Je pourrais m'acheter carrément encore deux maisons supplémentaires et les louer, mais j'ai déjà assez de problèmes et assez de dépenses avec une ! Et je me rends compte maintenant (mais ça ne suffit pas à me faire comprendre par exemple comment vivait mon oncle justement, deux fois plus riche que moi : car il ne faut pas perdre de vue que plus de la moitié de ses possessions est allé à l'Etat, donc ça faisait une sacré somme ! mais vivant de ses légumes et de son mouton dans sa baraque qui avait l'allure d'un squat de chiffonnier), que quand on a été habitué à vivre chichement on ne saurait plus prendre l'habitude de dépenser. Résultat, je n'ai presque pas changé mon mode de vie.

Je n'ai donc même pas retrouvé en fait mon niveau de vie des années 80, car dans la société actuelle il n'est plus possible d'aller au théatre, et même aux concerts d'orgue, sans avoir réservé plusieurs mois à l'avance; les centre-ville devenus avec ces immondes caméras de vidéo-surveillance, des morceaux d'Union Soviétique sous Staline, sont à fuir; des voyages lointains, il n'y faut plus compter, je n'en ferai plus jamais - tout perdu ! - pour des raisons de plusieurs ordres... L'une d'elles étant que pour voyager loin (sauf si on va à Hanoï en passant par le Transsibérien comme j'aurais pu le faire cet été …) il faut prendre l'avion, et que dans la société actuelle on a PEUR de passer ce genre de frontières, ça crée trop d'angoisse, et il faut se faire traiter comme des acteurs de film pornos ou des juives du ghetto devant les soldats nazis. A vomir !

Il ne me reste plus qu'à mourir entre mon ordinateur branché sur Internet et mes deux chats, et mon jardin qui dans les camp de concentration totalitaire qu'est devenue la France actuelle, ne m'appartient même plus. En 1960 j'étais plus riche. Et d'abord riche d'amour et de câlins.

04/01/2018

mon père - en 1983

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