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07/04/2015

eh eh ! Varoufakis est conscient du vrai rôle de la dette !

Eh oui il l'a dit, le roi est tout nu, le but de la "dette", aussi bien celles qui étaient artificieusement mises sur les dos des peons du Mexique par leurs padrones (voir les romans de Traven (1), que celles qu'ont manigancées les banques et leurs bras armés, UE par exemple, est de rendre les hommes ou les pays esclaves et soumis à un pompage constant qui les plonge dans la misère, sans défense aucune :

"la dette elle-même, que notre dette est une « variable de contrôle », comme disent les mathématiciens, dans le contexte d'un exercice de « planification » dont l'objectif est de maximiser l'autorité politique sur les nations déficitaires."

http://fr.sputniknews.com/interviews/20150305/1015041455....

 

(1) en particulier Marŝo en la regnon de l' mahagono (PDF)   et http://www.ipernity.com/doc/cezar/3920913 

 

Ici Bernard CHALUMEAU montre qu'on ne peut être de gauche et pour l'Union "Européenne", car celle-ci soumet les Etats (c'est à dire la démocratie, car quelles sont les seules instances qui ont encore une constitution démocratique ? les gouvernements nationaux) aux BANQUES, au pouvoir des financiers et des spéculateurs, en d'autre termes le grand capital, le fameux New World Order,

04/04/2015

prêtres

Sur France-Parlotes (qu'ils s'entêtent à appeler « France-Musique ») on parle de Vivaldi :  Comme il était prêtre, donc il a forcément mis dans sa musique de la vraie foi, etc. Pardon ! C'est pas forcément évident, à l'époque il y avait beaucoup de prêtres qui n'avaient guère de foi.
C'est comme maintenant dans les années 50, 60 , et 70, pas pour les mêmes raison, par modernisme « horizontaliste »; après ça a encore changé : là maintenant il n'y a même plus personne carrément dans les séminaires ! Mais les prêtres qu'on voit encore de nos jours ils ont été forcément formés dans cette époque, où on conservait le vocabulaire chrétien mais en lui donnant un autre sens : "Dieu" c'est devenu le symbole (comme autre fois « Mars » c'était le symbole de la guerre, « Vénus » le symbole de l'amour », on disait «Neptune » au lieu de dire « l'océan ») des aspirations de l'homme à une transcendance, le tout réduit à une dimension psychologique bien entendu, « rencontrer Jésus-Christ » c'est sortir de son égoïsme pour vivre la « fraternité » (comme celle dans la lutte syndicale - mais ça c'est fini maintenant, les curés ne sont plus marxistes, maintenant que le pouvoir ne risque plus de l'être ! ….. - ou quand une grand-mêre reçoit ses petits-enfants pour manger un gâteau, voilà ce que c'est maintenant), l'eternité c'est « une dimension de l'instant » (si, si ! lisez les "La vie Catholique" de cette époque ou autres presse des maîtres à penser cathos), les miracles ça n'existe pas bien entendu, la vie éternelle c'est au moment de crever (pour disparaître dans un néant éternel bien évidemment) se dire que sa vie a eu un bilan globalement positif et en ressentir une fraction de seconde une satisfaction, c'est un truc à la Spinoza, ou si vous préférez c'est le souvenir que de temps en temps, (pendant un certain délai pas plus, bien sûr !) vos proches vont garder de vous après vous avoir crématorisé dans un four crématoire chic, avec en fond sonore une chanson de Michael Jackson, et avant de payer la facture (ça c'est sacré ! et ça c'est éternel ! comme la dette ! pas question de ne pas la payer) des Pompes funèbres Générales, « l'entreprise leader sur le marché » (dixit France-info en août 2003 ).

03/04/2015

entre lui et ses ennemis quel contraste !

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01/04/2015

ce n'est hélas que trop vraisemblable

http://rue89.nouvelobs.com/2015/04/01/tous-surveilles-mou...

je suis d'ailleurs persuadé que un de ces jours (en douce comme tout ce qu'ils font) ça sera réalité. C'est tout à fait dans l' "air du temps" et dans le logique du régime.