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04/08/2021

"vacciné" ça veut dire qu'on est immunisé contre la maladie, même si vous rencontrez le virus vous ne risquez plus rien - en particulier vous n'avez rien à craindre des non-vaccinés, eux sont manacé, pas vous

c'est clair ! c'est la définition d'un vaccin.....

encore faut-il que le virus en question existe encore sur terre, par exemple nous ne sommes pas vaccinés contre la grippe de Hong-Kong, est-ce que ça nous aurait servi à quelque chose de l'être ? non à rien du tout, car le virus, comme tous les virus de ce genre, n'est jamais revenu ! Evidemment si Big Pharma avait pensé à vacciner toute la terre en 1970 ça leur aurait fait un max de fric dans le tiroir-caisse ! C'est ce que Marx , et les écoles de commerce !  appellent la maximisation  du profit....

Bref, un bémol à mon admiration envers cette noble femme qu'est Farida Belghoul, elle a pas l'air de savoir que ce qu'elle dit un autre l'avait analysé soigneusement avant elle, un ATHEE !   un certain Karl Marx, que les conservateurs intégristes qu'elle chérit maudissent, alors que ce qu'il disait c'était le bon sens même, et qu'ils devraient le relire et en prendre de la graine !
(de toutes façons on s'en fout de ses billevesées anti-républicaines, ce qui compte c'est son combat indispensable pour la liberté et le respect des ÊTRES CONCRETS !)

(eh oui il y en France beaucoup de révoqués ou futur révoqués, comme le furent les juifs à une certaine époque, https://reseauinternational.net/lallocution-du-president-...  ) comme disait quelqu'un "l'histoire ne se répète jamais mais elle begaye tout le temps"  et c'est sûr que la nature humaine est toujours la même, il faudrait être con et irresponsable pour l'oublier, et les intérêts économiques ... et les intérêts politiques ... et la Lutte des Classes !

=====
Modèle de LETTRE à envoyer (adapter le texte aux circonstances précises) aux directeurs/autorités scolaires ou universitaires qui vous intimeraient l'ordre de faire vacciner votre enfant :

Madame,
Monsieur,

Nous sommes les parents et civilement responsables de notre fils/fille mineur(e) ………………………………
…………………………………..

Dans votre courrier/message du ………….… (date) vous nous informiez de votre souhait que notre enfant soit vacciné(e) d’ici la rentrée scolaire.

Votre demande suscite toutefois de notre côté de nombreuses interrogations, à propos desquelles nous aimerions nous entretenir avec vous, éventuellement lors d’une réunion qui rassemblerait l’ensemble des parents intéressés.

Nous serions en effet désireux de savoir :

  • Sur quelle base légale vous fondez votre demande, sachant que suite au discours du Président de la République en date du 12 juillet dernier, la procédure législative n’est pas – loin s’en faut – terminée ? Il n’existe donc, au jour où nous vous écrivons, aucune disposition légale susceptible de fonder une telle demande émanant d’un établissement d’enseignement.
  • Les produits injectés au titre de la protection contre le Covid19 sont des thérapies géniques en phase 3 d’essais cliniques, comme le confirme d’ailleurs le journal Le Monde dans son article du 8 juillet dernier contredisant ainsi formellement les propos du Ministre de la santé (https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/07/08/c...). Vous trouverez dans les liens suivants la description complète des essais cliniques de phase 3, ainsi que la date de leur échéance encore lointaine :

Ceci étant posé, comment comptez-vous concilier votre demande de vaccination obligatoire avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques :

  • Constitution :
  • Traités, conventions internationales, droit de l’Union européenne et Conseil de l’Europe
    • Le Code de Nuremberg concernant les expériences médicales acceptables, utilisé par le Comité consultatif national d’éthique à l’appui et en annexe de son avis n°2 du 9 octobre 1984 sur les essais de nouveaux traitements chez l’Homme (https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_... et https://www.ccne-ethique.fr/docs/fr/avis002.pdf).
    • Les articles 1er et 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne rappelant, notamment, la nécessité d’obtenir un consentement libre et éclairé dans le cadre de tout acte médical (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=C...). La même charte prévoit, dans son article 21, l’interdiction de toute discrimination, notamment fondée sur les opinions.
    • La Convention d’Oviedo pour la protection des droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine signée le 4 avril 1997 et son Protocole additionnel relatif à la recherche bio-médicale (STCE no 195), dans ses articles 5, 13 et 16 (https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968 et https://www.coe.int/fr/web/bioethics/oviedo-convention).
    • Article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’Homme adoptée le 19 octobre 2005 par les États membres de l’Unesco (https://www.cairn.info/revue-internationale-des-sciences-...) relatif au consentement requis pour toute intervention médicale à caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique.
    • Articles 25 à 31 de la Déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale signée en juin 1964, amendée depuis lors et énonçant les principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains et plus précisément sur le consentement éclairé (https://www.edimark.fr/Front/frontpost/getfiles/4389.pdf).
    • Un très récent règlement européen, adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021) qui prévoit notamment qu’il y a lieu « d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées », quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=C... – Considérant (36). Ce même règlement rappelle (Considérant (62)) que les droits fondamentaux découlant de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
    • Enfin, le Conseil de l’Europe dont émane la Déclaration des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales (https://www.echr.coe.int/documents/convention_fra.pdf) au sein des 47 États membres a adopté une importante résolution rappelant à nouveau l’interdiction de toute obligation vaccinale, de toute pression ou de toute discrimination (https://pace.coe.int/pdf/840ad2aa894c5aaa7dc1bcee5db8b64f... – Art. 7.3.).

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer.

  • Lois et réglementation françaises :
  • Si, après injection des produits, notre enfant présente des effets secondaires graves ou décède, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences ? En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’imposition par vos soins d’un produit en phrase d’essais cliniques pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques.

(Pour les enfants inscrits dans des filières professionnelles de service à la personne, et dont les enfants sont soudain assimilés à du personnel soignant pour justifier la pression exercée, il est conseillé d’ajouter le paragraphe suivant, pour l’instant en rouge) :

  • Enfin, sur base de quelle disposition procédez-vous à l’assimilation d’un élève au « personnel soignant », même dans l’hypothèse où des stages sont organisés de façon ponctuelle pendant l’année scolaire ? Nous ne voyons pas ce qui permet une telle assimilation.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer ce sujet ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politique annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées et préoccupées.

(Signatures)

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