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30/04/2016

Et si la majorité des Français découvrait tout à coup que la France n'a aucune dette ? Qu'au nom de celle-ci, une petite bande d'escrocs leur soutire de l'argent

la France n'a pas emprunté d'argent : la soi-disant dette ne provient que des intérêts sur l'argent qu'on fait fabriquer par la banque centrale. Et pourquoi ? Simplement parce que nos politiciens ont trouvé leur intérêt dans ce mode d’exploitation du peuple.

Dans son ouvrage « Les confessions d'un assassin financier », John Perkins explique comment il était employé à corrompre les dirigeants des pays pour les inciter à multiplier les dépenses de l'état et endetter artificiellement le pays pour faire payer les contribuables au titre d'une « dette » qui ne pourra jamais cesser d'augmenter. La France n'y a pas échappé !

La période de 1945 à 1973 est dénommée « les Trente Glorieuses » parce que la croissance du niveau de vie laissait augurer une amélioration constante, or elle s'est progressivement achevée à partir de 1973, date à laquelle Pompidou et Giscard d'Estaing mirent en place l'accord concernant les nouvelles conditions de création de la monnaie,

loi du 3 janvier 1973

Convention du 17 septembre 73 limite les avances à 20,5 milliards de F dont seulement sans interêt

1981-1983 : fin des avance de la BdF Renaud de la Genière, tour de passe-passe de la gauche, réaction

24/1/1984 : suppression de l'échelle mobile des salaires, désormais ce sont les travailleurs qui payeront l'inflation !

24/1/1984 : loi 84-46 sur la « Banque universelle » met fin à la séparation des banques d'affaire et de dépôt (qui avait été imposée depuis le CNR en 1945)

1986 « Acte unique » de Delors, libéralisant les capitaux de l'UE

 

1988 privatisation des banques (Balladur, Alphandéry)

1989 : fin du contrôle des changes (premier ministre Rocard; ministre des finances Beregovoy)

1er novembre 1993 : traité de Maastricht art. 104

Il suffirait que nous, citoyens de France, reprenions le contrôle de notre monnaie, pour que nos impôts et taxes diminuent vertigineusement et que nous reprenions la progression de notre qualité de vie interrompue en 1973.

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