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20/12/2024

les églises

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Les églises autrefois, il y a vingt ans et plus déjà ! …   quand elles étaient ouvertes, constituaient, au cœur des villes, grandes et petites, un « commun » comme disent et redécouvrent en ce moment plusieurs penseurs, venus de divers horizons, un espace qui était à tout le monde, un espace de beauté, où tout le monde pouvait entrer LIBREMENT, à peu près tout le temps, où on pouvait prier bien entendu, personne n’oubliait que c’étaient des lieux chrétiens et sacrés, et il était très important, vital pour un chrétien de disposer d’un tel lieu, partout, mais aussi pour tout un chacun croyant, athée ou autre pour visiter et contempler pour son esthétique, et aussi, last but not least ! (en Esperanto « krome kaj krone ») un lieu de silence, de paix, de recueillement, où, à tout moment de la journée, tout un chacun, pour des buts religieux ou pas du tout, pouvait entrer, sans aucun problème et à tout moment, et s’y reposer loin du bruit, réfléchir, pleurer, méditer son chagrin d’amour, sa peur, ses dilemmes, ou tout ce qu’on veut, se ressourcer, une pause dans la journée.
C’était un lieu sacré, pour tous, même les athées et les indifférents, un lieu précieux et indispensable. Et disponible. Un « commun ».

et

http://fr.novopress.info/154827/eglise-aux-portes-ouverte...

Aussi c’est un drame de première gravité, un scandale inadmissible de les voir maintenant (depuis 1990 environ) presque toutes et en permanence fermées !!!                  

    
une immense et très grave perte pour la société et les êtres. Une tendance absolument inadmissible et lamentable de notre époque.

15/12/2024

l'analyse du philosophe Michel Weber ou le fascisme 2.0 - depuis 2013 il savait que ça allait arriver

Il y a eu une criminalisation de la pensée, ça ne vous a pas échappé !

 

son récent livre : https://www.t-pas-net.com/libr-critique/chronique-michel-...

en 2013 il avait déjà annoncé ce qui se passe en ce moment :

Michel WEBER

Tocqueville (1835) a indiqué que la démocratie de marché pouvait facilement donner naissance à un totalitarisme mou. Depuis Mumford (1932), on sait que la technoscience donnera volontiers un peu de rigueur au tropisme fasciste. Où en sommes-nous ?

La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.

De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité.

Il est donc fort piquant de remarquer que le grand public est parfaitement ignorant de ce retour de l’extrême-droite. Il pressent certes l’imminence de l’effondrement sociétal mais il n’a absolument pas conscience de la nature exacte du danger. La réouverture de camps de concentration ou même la généralisation des conflits régionaux semble passer inaperçue. De même, le sens et la portée de l’existence d’apologies hollywoodiennes (au propre comme au figuré) de la torture demeurent entièrement mystérieux. Cette double tension est paralysante et anxiogène, ce qui fait le jeu de l’oligarchie : quoi de plus manipulable en effet que des individus dans un état de coma moral et politique ?

Pire, les acteurs sociaux les plus remuants, les militants et les universitaires pensent l’effondrement de la civilisation globalisée à partir de leur expertise et sont dès lors conduits systématiquement à manipuler des statistiques, parfois très convaincantes, mais qui comprennent la transformation sociétale annoncée sur le mode de la lente désagrégation d’un pan de la société. Le long terme est ainsi mis en perspective à partir d’une facette supposée cruciale.

Or, ce qui s’annonce c’est un effondrement total et abrupt des « démocraties de marché » à la faveur de l’emballement d’une de ces crises qui constitue, en synergie, la crise globale systémique. Peu importe la nature de l’événement déclencheur — une pénurie de dix jours de l’approvisionnement de pétrole, des émeutes de la faim dans des quartiers (ou des pays) « défavorisés », des macro-mouvements de population forçant les portes de la citadelle Europe, un accident industriel majeur, une nouvelle bulle financière, une vraie-fausse pandémie, une guerre inter-régionale ou même mondiale, … — la conséquence politique sera inévitable et immédiate : l’état d’urgence, c’est-à-dire le totalitarisme, ou le chaos absolu, c’est-à-dire la guerre de tous contre tous. Une guerre civile serait comparativement plus structurante.

L’enseignant-chercheur qui n’a pas oublié la leçon de citoyenneté magistrale que nous a laissé Victor Klemperer (LTI, 1947) se doit en conséquence de mettre en évidence deux dynamiques : premièrement, il faut montrer que la réponse à la crise globale systémique est bien d’ores et déjà politique et que, si aucune force ne vient entraver l’inexorable progression du capitalisme du désastre, il ne nous restera bientôt plus qu’à émettre des regrets carcéraux ou post-mortem. Deuxièmement, il faut discerner les pistes théoriques et pratiques qui sont susceptibles d’infléchir cette trajectoire dès aujourd’hui.

Michel Weber

Une première version de ce billet a été publiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=53721
Dernier ouvrage paru : De quelle révolution avons-nous besoin ?, Paris, Éditions Sang de la Terre, 2013. (978-2-86985-297-6)

Et n'oublions pas MICHAEL PARAIRE, lisez son article Covid 19 et Fascisme 2.0 dans son blog " un quart d'heure avec le penseur " http://leblogdupenseur.canalblog.com/archives/2020/05/02/...

Dans un Etat fasciste et totalitaire on connait déjà à l'avance quels seront  les résultats  : (!)

https://ruclip.com/video/sV7MRHL_OzI/covid-l%E2%80%99incr...

Enfance et Libertés, l'association : https://enfance-libertes.fr/

La culture , le sport , les loisirs , la créativité, la joie et la confiance ont fait place au repli sur soi , à la méfiance , au rabougrissement, au mépris envers les autres .
La vie que le grand capital et son gouvernement nous laissait n’était pas terrible , mais mon Dieu nous parvenions à peu près à l’embellir .
Aujourd’hui c’est devenu de la merde et ils nous interdisent d’en sortir .
Cela va se finir en révolte armée et ils joueront les étonnés . Si on pouvait les pendre comme au tribunal de Nüremberg !

"Covid 19 le grand Reset" de Claus Schwab est leur Mein Kampf

autre philosophe : https://odysee.com/@Dieudonn%C3%A9officiel:f/episode-161:0



12/12/2024

Juan Branco tout comme Vaclav Havel

https://odysee.com/@LiBERTY_VOICE:b/L'info_2024-12-11_HD:3

s'il pouvait devenir président de la république !

08/12/2024

L’Occident n’a rien compris à la Syrie, berceau du christianisme, à son peuple et à son histoire.

C'est femme, bourgeoise, universitaire, anglophone, sans carré de chez Hermès ni fichu catholique sur la tête, elle a tout pour plaire à ceusses de la pensée unique !
(des femmes comme ça vous ne risquez pas d'en rencontrer parmi les islamistes opposés à la République Arabe syrienne   (rebaptisée par les merdias "régime de Bachar" !) ni en Arabie saoudite ! ni au Qatar, ni, en fait dans aucun des régimes alliés des USA  )

  Et elle défend Bachar el Assad, dont elle est d'ailleurs la principale conseillère politique et elle nous dit que "Les Occidentaux ont tendance à penser que les gens qui adoptent des comportements semblables aux leurs sont plus civilisés et (plus modernes que les autres." et toc !!!   "Pour moi, au contraire, les personnes civilisées sont celles qui restent fidèles à la terre qui les a vues naître. Qu’y a-t-il de rétrograde à aimer son pays ?" et schklak !!!

Madame Bouthaina Chaabane est la conseillère politique du président Assad et sans doute la femme la plus influente de Syrie. Docteur en littérature anglaise, elle a longtemps enseigné à l ’Université de Damas. Reconnue pour son ouverture, elle a incarné la modernité et la volonté de réforme de la Syrie des années 2000. En témoignent quelques récompenses comme, en 2005, le prix de « la femme politique la plus éminente du monde arabe » attribué par la Ligue arabe ou encore, la même année, sa nomination pour le prix Nobel de la paix.
Elle a commencé sa carrière dans l ’ombre du président Hafez el-Assad dont elle fut l ’interprète puis la conseillère lors des négociations de paix des années 1990 — une expérience qui lui a permis de rencontrer tous les grands dirigeants de la planète et dont elle a tiré la matière de son dernier ouvrage Damascus Diary : an inside account of Hafez al Assad peace diplomacy (New York, Lynne Rienner Publishers, 2012).
Sa très bonne connaissance du monde anglo-saxon lui a valu d’être sélectionnée, en 1990, comme boursière du programme Fulbright à l ’Université Duke de Durham puis, durant l ’automne 2000, d’être invitée comme Distinguished Professor à l ’Eastern Michigan University d’Ypsilanti.
Membre du Comité central du Baas en 2000, Bouthaina Chaabane a également été directrice du Département des médias étrangers au ministère des Affaires étrangères et porte-parole du gouvernement syrien (2000-2003), puis ministre des Expatriés (2003-2008).
En 2011, lorsque survient la crise, nombre d’observateurs s’attendent à ce qu’elle se désolidarise du président Assad et qu’elle fasse défection. Il n’en a rien été. Elle fut même choisie pour accompagner la délégation du gouvernement syrien aux deux conférences de Genève, en 2012 et 2013, afin de tenter de trouver une issue politique au conflit en cours. Depuis que les États-Unis l ’ont placée sur la « liste noire » des personnalités syriennes accusées de soutenir le régime, elle n’a accordé que de très rares interviews.
C’est la première fois qu’elle accepte de parler à un public francophone.
Cet entretien a été conduit au palais présidentiel d’al Rawdah, non loin du mont Qassioun à Damas. L’accueil a été chaleureux, la conversation franche et sans présence sécuritaire. Attachée pardessus tout à la souveraineté de son pays, Mme Chaabane veut croire en une solution politique. Elle appelle de ses voeux l ’ouverture d’un dialogue avec les acteurs extérieurs, à commencer par les grandes puissances qui doivent retrouver le chemin de la diplomatie et — explique-t-elle — se ranger aux côtés de la Syrie dans la lutte contre le terrorisme.

Entretien avec Bouthaina Chaabane*
civilisation et dignité dans l’ombre de bachar el-assad

frédéric PichonAvant le conflit, vous étiez souvent présentée comme le visage « sophistiqué » (terme anglais : "sophisticated", http://www.larousse.fr/dictionnaires/anglais-francais/sop... , aucun rapport avec le sens du mot français de même forme !) de la Syrie, la face moderne du régime : anglophone, titulaire d’un doctorat de littérature anglaise, rompue aux rencontres diplomatiques avec les grands de ce monde. Beaucoup ont espéré en 2011 que vous feriez défection pour vous désolidariser de la politique menée par Bachar el-Assad. Pourquoi ne pas l ’avoir fait et regrettez-vous votre choix ?

Bouthaina Chaabane — Si vous le voulez bien, j’aimerais d’abord revenir sur l’expression que vous avez utilisée, celle de visage « sophistiqué » de la Syrie. Les Occidentaux ont tendance à penser que les gens qui adoptent des comportements semblables aux leurs sont plus civilisés et plus modernes que les autres. Pour moi, au contraire, les personnes civilisées sont celles qui restent fidèles à la terre qui les a vues naître. Qu’y a-t-il de rétrograde à aimer son pays, à le servir, surtout dans les circonstances dramatiques que nous connaissons ? L’Occident a commis une grosse erreur en encourageant les Syriens à fuir le régime. Du reste, ces défections ont été très peu nombreuses malgré la constitution par le Qatar d’un fonds spécial destiné à aider financièrement les candidats à l’exil (1). J’ai pu mesurer combien cette démarche participait d’une sorte d’aveuglement occidental.
L’Occident n’a rien compris à la Syrie, à son peuple et à son histoire. Notre pays a son propre programme d'action guidé par ses propres intérêts. Il refuse de voir sa politique dictée de l’extérieur. Je sais que mon départ aurait fait plaisir à tout le monde en Occident ; mais, que voulez-vous, ce n’est pas dans ma nature. Et soyez sûr que je n’ai pas choisi la facilité. J’aimerais être considérée comme « moderne », tout simplement parce que je reste déterminée à défendre mon pays et ma famille.

 

F. P. Pourtant, en tant que proche conseillère de Bachar el-Assad, vous faisiez partie de ceux qui soulignaient la nécessité d’entreprendre des réformes. Ces réformes auraient-elles pu éviter la crise qui a éclaté en 2011 ?

B. C. — Vous avez raison, mais les réformes ne peuvent venir que de l’intérieur. Nous l’avons vu en Libye et en Irak : chaque fois que les médias ou les gouvernements occidentaux ont tenté de promouvoir la démocratie, cela a tourné au fiasco. Les « printemps arabes » se sont mués en « catastrophe arabe ». Quand est venu le tour de la Syrie, les mêmes ont commencé à parler de démocratie, de liberté, de droits de l’homme. Malheureusement, les gens soutenus par l’Occident pour mener à bien cette mission étaient soit des individus qui vivaient hors de Syrie depuis longtemps et qui ignoraient tout du pays, soit des extrémistes auxquels l’idée de démocratie était totalement étrangère. Dans leur esprit, le problème n’était pas politique ; il ne s’agissait pas d’encourager un changement de gouvernement ou de président. En fait, dès le départ, les Occidentaux avaient décidé de briser la Syrie. (de toutes façons ce qu'ils visaient c'étaient pour les US les champs de gaz et de pétrole, et pour Israel d'abattre tous les pays qui seraient en état de s'opposer au projet du grand Erez IIsrael du nNil à l'Euphrate, ma note) C’est pourquoi la crise actuelle met en cause la sécurité de notre pays et son existence même. Les tentatives occidentales visant à mettre des pays à terre sous prétexte de se débarrasser de personnages comme Saddam Hussein, Kadhafi ou Bachar el-Assad constituent des ingérences inacceptables, illégales au regard du droit international et teintées de colonialisme. Je ne parle même pas du résultat…

 

F. P.En 2011, la Syrie fonctionnait selon un système de parti unique. Ne devait-elle pas sortir de cette situation archaïque ?

B. C. — Je sais bien que nous ne vivons pas dans un monde parfait. Il est clair que nous n’avons pas atteint tous les objectifs que nous nous étions fixés, y compris en matière de corruption comme l’a rappelé le président Assad lui-même lors de son discours d’investiture (2). Mais, en 2012, la Constitution syrienne a été modifiée : le système de parti unique a laissé place au multipartisme  ; l’état d’urgence a été aboli ; des élections municipales et législatives ont été organisées. Ces réformes étaient nécessaires et sont absolument capitales.
Comme à leur habitude, les Occidentaux ont accueilli ces avancées avec scepticisme. C’est à se demander s’ils sont vraiment intéressés par les réformes.
Savent-ils qu’avant la crise la Syrie ne comptait aucun sans-abri (ce qui n'est pas du tout le cas en France !! ma note), que les infrastructures sanitaires et éducatives fonctionnaient ? Chaque village comptait son école gratuite. Les étudiants allaient à l’université pour à peine 20 dollars par an (ce qui n'est pas du tout le cas aux USA ! ma note)! Et, surtout, la Syrie n’avait pas de dette extérieure. C’est un point essentiel qui nous a attiré des haines tenaces. (ah ah ! en voilà une qui a bien compris !   ma note)  La crise a été un désastre pour le développement du pays…

 

F. P. L’élection présidentielle du 3 juin 2014 a, elle aussi, suscité des réactions négatives de la part des médias occidentaux…

B. C. — Le contraire eût été étonnant. Pourtant, il fallait voir les milliers de personnes qui se sont précipitées dans les isoloirs, que ce soit en Syrie ou à l’étranger. À l’exception, bien entendu, de la France et de l’Allemagne qui ont interdit que cette consultation soit organisée dans nos consulats. N’est-ce pas un drôle de paradoxe ? Ces élections ont clairement montré que le peuple syrien soutenait le président. Pour une bonne raison : les Syriens veulent la sécurité et c’est lui, n’en déplaise à l’Occident, qui l’incarne. Le président Assad est perçu comme le seul qui soit capable d’assurer l’intégrité du pays et la paix. Les médias occidentaux et leurs gouvernements nous ont sous-estimés. Vous savez, nous sommes un peuple millénaire. Parlez avec les gens dans la rue, discutez avec les chauffeurs de taxi : s’il y a bien une chose qui ressort, c’est cette fierté. Nous appartenons, je le répète, à l’une des plus vieilles civilisations au monde. Damas fut l’une des premières villes habitées de l’histoire de l’humanité. Les Syriens ne sont pas naïfs, ils n’ont pas besoin des conseils de l’Occident. Ils n’acceptent pas qu’on leur dise pour qui voter, comme à l’époque des colonies…

 

F. P.Vous avez participé aux négociations de Genève avec l ’opposition. N’envisagez-vous pas de dialoguer un jour avec ces opposants ?

B. C. — Depuis trois ans, nous avons perdu tant d’hommes et de ressources que notre situation peut sembler désespérée. Mais un élément a été préservé : notre indépendance. Et c’est là l’essentiel.
J’ai passé le tiers de ma vie dans les coulisses du pouvoir, j’ai participé à des conférences internationales, à des négociations pour le processus de paix, à l’Assemblée générale de l’ON U… L’impression que j’en ai retirée, c’est que l’Occident n’a cessé de sous-estimer notre indépendance politique. Or nous avons toujours préservé notre souveraineté, sans dépendre de quiconque. J’ai vécu six ans en Grande-Bretagne, j’y ai passé mon doctorat, j’y ai enseigné. Jamais je n’ai eu la prétention de savoir mieux que les Anglais ce qui était bon pour eux. (et schklak !   ) Les gouvernements français et anglais sont allés chercher des émigrés de longue date installés à Paris ou à Londres et ont décrété qu’ils étaient les représentants du peuple syrien. Franchement, cela ferait rire si ce n’était pas tragique. Même les terroristes armés leur dénient toute représentativité  !
Quand je les ai rencontrés à Genève, je n’ai pu m’empêcher de penser : « Mais qui sont ces gens ? Qui représentent-ils sinon les fantasmes de leurs commanditaires occidentaux ? » Lors des pourparlers auxquels j’ai participé, ces opposants ont clairement montré qu’ils ne connaissaient rien à la Syrie et qu’ils étaient sous influence.  (des gens largement pires que Laval ! ma note) Un journaliste français a révélé qu’avant de partir à la conférence de Genève ils ont été briefés par Ahmet Davutoglu, le ministre turc des Affaires étrangères de l’époque. Les instructions étaient claires : ne surtout pas parler de la lutte contre le terrorisme (dont on sait aujourd’hui qu’il a été encouragé par les autorités turques) et demander le départ du président ainsi que la formation d’un gouvernement de transition. Le départ du président Assad, c’est décidément une véritable obsession ! Comment dialoguer avec des gens qui se font dicter leur programme d'action par des pays comme la France ou la Turquie ? Auriez-vous de l’estime pour un politicien français dont les positions seraient soufflées par John Kerry ? Robert Ford, l’ambassadeur américain, a joué ce rôle au début de la crise en manipulant l’opposition. La Turquie également, ainsi que le Qatar qui a torpillé le processus en achetant tout le monde. Ce sont les interférences extérieures qui ont aggravé la situation. Même le vice-président américain Joe Biden l’a admis récemment (3).

F. P. — Seriez-vous prête, néanmoins, à leur tendre la main ?

B. C. — Malgré tout ce qui s’est passé, je peux vous dire que le gouvernement syrien veut sincèrement mettre fin à cette crise.
Nous tendons la main à tous ceux qui aiment la Syrie et qui disposent d’une véritable capacité de décision. Même si le résultat n’est pas au rendez-vous, nous devons essayer : quiconque place l’intérêt de la Syrie en tête de ses priorités est le bienvenu, pour l’avenir de la Syrie. Sur le plan intérieur, nous avons grandement progressé sur le chemin de la réconciliation nationale : des groupes rebelles ont accepté de déposer les armes et de conclure des trêves, comme à Homs au printemps 2014. Discuter avec des gens qui veulent réellement le bien du pays et qui ne prennent pas leurs ordres auprès des chancelleries ou des banquiers du Golfe me semble, somme toute, assez normal.

 

F. P.Sous l ’effet de l ’afflux des réfugiés, la population de Damas a triplé. Mais, malgré le canon qui retentit au loin, la vie continue à suivre son cours, les gens sortent, les étals des marchés sont pleins. Cette situation peut-elle encore durer longtemps ?

B. C. — Cette guerre a affecté chaque citoyen syrien : il suffit de voir tous ces immeubles, ces usines, ces écoles et ces hôpitaux détruits. C’est un véritable désastre. La responsabilité en incombe d’abord et avant tout à ceux — Turquie et Qatar en tête — qui ont permis que déferlent en Syrie des terroristes se réclamant de l’islam. Ce ne sont pas des musulmans, je refuse de leur appliquer ce terme : ce sont des terroristes, des criminels qui sont venus ici pour tuer et ramener notre pays plusieurs siècles en arrière. Les gouvernements et les médias occidentaux ont fait, dès le début, une erreur d’analyse. Ils n’ont eu de cesse de réclamer le départ du président Bachar el-Assad. On a eu droit à toutes sortes de prophéties qui ne se sont pas réalisées : il va tomber dans deux semaines, dans un mois, dans un an… Rien, dans la couverture médiatique et dans la présentation des enjeux de la crise syrienne, n’était vrai. Les médias ont relayé les mensonges et les approximations que colportaient des télévisions arabes comme al Jazeera ou al Arabyia. Ils ont fait preuve d’une paresse intellectuelle qui n’est pas à leur honneur. Bien qu’ils soient habituellement très prompts à dénoncer l’arbitraire, la manipulation et la propagande, ils ont renoncé à toute déontologie dans le traitement de la crise syrienne.
Je vais vous dire une chose : la Syrie a beaucoup perdu dans ce conflit. Elle a perdu ses meilleurs hommes, elle a perdu ses enfants, ses infrastructures, mais l’Occident, aussi, a beaucoup perdu. L’Occident a perdu sa crédibilité. Franchement, comment prendre au sérieux des gens comme Obama, Cameron ou Hollande ? Tant de mensonges ont circulé : on a vendu à vos opinions publiques une opposition dite « modérée » qui s’est avérée collaborer avec l’État islamique ! On a fait taire certains journalistes occidentaux parce qu’ils disaient la vérité. Ces pratiques vont à l’encontre de tous les principes du journalisme. En disant cela, je ne me livre pas à une attaque en règle ; mais, puisque vous me donnez l’occasion de m’exprimer, j’essaie juste d’expliquer à vos lecteurs que la situation est bien plus complexe qu’il n’y paraît et qu’ils ont été floués par les médias.

F. P. — La révolte qui a éclaté en mars 2011 a été fermement combattue. Comprenez-vous que les opinions publiques en Occident puissent être choquées par la violence de la répression ? L’armée syrienne n’a-t-elle pas fait un usage exagéré de la force, comme disent les spécialistes du maintien de l ’ordre ?

B. C. — Vous savez, dès les premières semaines du conflit, le plus lourd tribut a été payé par les forces de sécurité. L’existence de manifestations pacifiques, sans être tout à fait fausse, doit être largement relativisée. Dès le début, certains groupes infiltrés dans les cortèges étaient bien décidés à provoquer une escalade en s’en prenant frontalement aux policiers et aux militaires. Vous parlez d’un usage exagéré de la force. Lorsqu’un kamikaze s’est fait exploser à Homs devant une école, tuant cinquante enfants de moins de 12 ans, il n’y a pas eu la moindre protestation ni condamnation de la part d’un gouvernement occidental. (ils ont pas été Charlie là ?) Quand les terroristes ont investi la ville d’Adra, égorgeant les femmes et les enfants dont le seul tort était d’être loyalistes, comment voulez- vous que l’armée, qui a en charge la sécurité du pays, réagisse autrement que par la force ?
C’est la responsabilité d’un gouvernement et de ses soldats de protéger les citoyens. Moi-même, je ne peux pas me rendre dans mon village d’origine car il est entouré de zones tenues par des terroristes. En France, en 2012, lorsqu’il s’est agi de neutraliser Mohammed Merah, la police française a fait quasiment sauter son appartement. Il a fini avec plusieurs dizaines de balles dans le corps. Quelqu’un a-t-il osé prétendre que les forces de l’ordre avaient fait un usage exagéré de la force ? Une opposition armée, cela n’existe pas. Je ne pense pas que la France tolérerait une opposition armée. C’est une expression qui n’a aucun sens, forgée par les médias occidentaux. Il serait plus juste de parler de criminels armés ou de terroristes armés. La seule opposition qui importe, c’est une opposition politique. Or, mis à part le départ du président Assad, on ne connaît à celle-ci aucun programme.
Comment voulez-vous que les Syriens fassent un autre choix que celui du gouvernement ? L’Occident veut nous enfermer dans un piège sémantique en faisant croire que la violence vient uniquement de notre côté. Oui, la violence existe, mais elle est légitime. Elle est celle que tout État souverain peut et doit exercer sur son sol si la sécurité et la stabilité du pays sont menacées. Qui peut nier que ce soit le cas en Syrie en ce moment ?

 

F. P.La soudaine émergence de l ’État islamique, en juin dernier, a redistribué les cartes. Les mises en scène macabres d’exécutions d’otages occidentaux ont bouleversé le monde. À présent, les États-Unis semblent avoir changé de stratégie et font désormais des groupes terroristes en Irak et en Syrie leur cible principale. Que pensez-vous de cette nouvelle configuration ?

B. C. — Nous avons condamné — et je condamne — les meurtres du journaliste américain James Foley et de son confrère Steven Sotloff. Nous condamnons tous les meurtres perpétrés par des terroristes, où qu’ils aient lieu et quelles que soient les personnes visées. Cette affaire montre, en tout cas, la persistance d’une vision ethnocentrée de l’Occident sur les affaires du monde. Tout à coup, les États-Unis se sont réveillés et ont enfin compris le problème du terrorisme en Syrie parce que l’un des leurs a été exécuté de façon barbare. Pourtant, depuis 2011, des dizaines de milliers de civils loyalistes et de soldats syriens ont été abattus et atrocement mutilés sans que cela n’émeuve personne (4). Aussi précieuse fût-elle, la vie de James Foley ne doit pas vous empêcher de vous intéresser à tous ces morts anonymes. Alors, et alors seulement, l’Occident sera reconnu à l’aune des valeurs qu’il proclame et prouvera qu’il ne s’agit pas seulement de slogans.
La montée en puissance de l’État islamique a fait bouger les lignes et obligé les pays occidentaux à reconsidérer la situation. Mais je ne crois pas que la lutte contre le terrorisme soit vraiment prise au sérieux. Prenez la résolution 2170 du Conseil de sécurité (5). Elle a été approuvée à l’unanimité. Pourquoi, dans ces conditions, les États-Unis n’ont-ils pas autorisé d’autres membres du Conseil de sécurité comme la Russie ou la Chine à se joindre à la coalition ? Au lieu de cela, on retrouve dans ses rangs des bailleurs de fonds de l’État islamique ! Sans compter que ladite coalition est loin d’avoir fait ses preuves : à Ayn el Arab (Kobané), par exemple, des habitants modestement armés ont infligé plus de pertes à l’EI que ce regroupement de 70 pays aux moyens bien supérieurs. À Genève, en février 2014, le gouvernement de Damas avait prévenu : l’urgence n’est pas une hypothétique transition politique en Syrie ; l’urgence est la lutte contre le terrorisme qui menace la région. Il a fallu attendre septembre 2014 pour que les États-Unis en fassent leur priorité. Pourquoi ne nous ont-ils pas écoutés ? Pourquoi ne pas nous avoir crus ? De toute façon, il y a tant d’intérêts financiers et pétroliers en jeu que je doute de la capacité de la Maison-Blanche à peser sur ses alliés traditionnels, à commencer par l’Arabie saoudite. Quant aux gouvernements européens, ils doivent prendre très au sérieux ces réseaux qui expédient des milliers de jeunes endoctrinés en Syrie, car ces terroristes reviendront chez eux un jour ou l’autre. Mais les plus dangereux sont sans doute ceux qui ne sont pas partis parce qu’ils passeront directement à l’action chez vous…

 

F. P.Diriez-vous que, entre la France et la Syrie, le dialogue est définitivement rompu ?

B. C. — Nous n’avons pas compris pourquoi la France a adopté une position si extrême. Ce faisant, elle a sciemment encouragé le terrorisme en Syrie. Pour être franche, je n’y vois qu’une seule explication : le Qatar a acheté une partie du patrimoine français et il exige un retour sur investissement. Cette attitude arrogante s’appuie sur des considérations, hélas, bien éloignées de la démocratie ou des droits de l’homme. Je ne pense pas qu’elle reflète l’opinion des Français et, d’ailleurs, nous nous gardons bien de tout amalgame.
Les Français sont toujours les bienvenus en Syrie. Personne ne vous dira : « Je vous hais parce que vous êtes français ! »
Nous faisons la différence entre le peuple français et le gouvernement français. Mais nous sommes déçus. Vous avez devant vous quelqu’un qui a un doctorat d’une université britannique, qui a enseigné et publié de nombreux livres aux États-Unis (6), qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2005 et que le gouvernement américain, à la demande de la France, voudrait sanctionner en inscrivant son nom sur une liste noire ! C’est aberrant… Pourquoi un tel acharnement ? Parce que je dis la vérité et que je ne suis pas achetable ? Parce que je n’ai pas fait défection ?

 

F. P.La France a été l ’un des premiers pays à fermer son ambassade à Damas en mars 2012…

B. C. — Cette décision a été une erreur colossale. Dans son intérêt, la France aurait dû conserver son ambassade en Syrie ne serait-ce que pour se tenir au courant des événements sur le terrain. Cela dit, quand l’ambassadeur de France Éric Chevallier a tenté de convaincre son ministre de tutelle que le rapport des forces était différent de celui qu’on décrivait dans les journaux et que le président Assad n’était pas près de tomber, il n’a pas été écouté (7) ! Tout simplement parce que ce n’était pas le discours qu’on attendait de lui. Ce qui montre bien qu’il y avait un plan et que, selon ce plan, il fallait renverser le président Assad par tous les moyens, sans tenir compte de la réalité. Vous mesurez sans doute le caractère inédit de la situation : un gouvernement qui désavoue son ambassadeur sous prétexte qu’il fait le métier pour lequel il est payé ! Je me souviens très bien qu’en 1996, à l’époque où je travaillais aux côtés du président Hafez el-Assad, celui-ci avait imposé aux États-Unis la présence de la France lors des pourparlers sur le Liban. Washington avait dû accepter à contrecoeur.
C’est vous dire combien l’attitude de la France depuis 2011 est totalement en décalage par rapport à ce que nous pouvions attendre d’un pays qui connaît aussi bien la région.
Je l’affirme en toute sincérité : nous sommes prêts à reprendre des relations normales avec tout le monde, y compris avec la France. Mais ces pays devront reconnaître la pleine souveraineté de la Syrie et son droit inaliénable à décider de façon autonome.
Il faut que ces relations soient fondées sur le respect mutuel et non sur des diktats.

 

F. P.Comment voyez-vous l ’avenir de la Syrie ?

B. C. — C’est une bonne question, la seule qui vaille. La crise actuelle n’est pas seulement syrienne. Elle est aussi régionale et internationale. Le monde se trouve à un moment charnière où le système unipolaire est en train d’agoniser tandis que le système multipolaire tarde à se mettre en place. Le centre de gravité se déplace vers l’Asie. L’émergence de la Russie, de l’Inde et de la Chine est le phénomène majeur de ces dernières années. Quant aux printemps arabes, aussi bien en Syrie qu’ailleurs, ils constituent aussi une nouvelle étape pour la région. C’est un processus lent mais qui aboutira à la marginalisation des idéologies extrémistes et à l’épuisement de l’islamisme politique. Regardez la Tunisie, d’où est parti le mouvement. Les élections de la fin octobre 2014 y ont marqué la défaite du Front islamique et la victoire des forces laïques. Voilà la vraie nature des Arabes ! Les Arabes ne sont pas des extrémistes. Il y a parmi eux des nationalistes qui croient dans le véritable islam — l’islam modéré — et qui, comme en Syrie, sont persuadés que chrétiens et musulmans forment une seule nation. Ce sont ces forces qui écriront l’avenir du monde arabe. Il faudra sans doute dix ans pour qu’un nouveau Moyen-Orient voie le jour mais, quel qu’il soit, ce ne sera pas celui que l’Occident avait imaginé. Le monde arabe est en train de bâtir un nouveau modèle politique séculier où la souveraineté tiendra une place centrale.

 

F. P.Quelle place la Syrie occupe-t-elle dans cette recomposition régionale ?

B. C. — La Syrie est le laboratoire de ce nouveau monde arabe.
Aux yeux d’un Marocain ou d’un Irakien, notre pays est le Bilad el Cham, le coeur du monde arabe. En ce moment, des pays comme la Tunisie, l’Algérie ou l’Égypte sont en train de normaliser leurs relations avec Damas. Le problème demeure celui des monarchies du Golfe qui s’opposent à un tel rapprochement et qui tiennent dans leur dépendance de nombreux États de la Ligue arabe.

 

F. P.Vous êtes l ’une des plus proches collaboratrices du président Assad. En tant que conseiller politique, vous le côtoyez tous les jours. Avec le recul, comment expliquez-vous qu’il ait réussi à se maintenir au pouvoir depuis bientôt quatre ans ?

B. C. — La résilience du président Assad a étonné le monde entier, tout simplement parce que — je le répète — l’évaluation de départ était faussée. Les plus clairvoyants ont été soigneusement empêchés de décrire la réalité — votre ambassadeur en sait quelque chose. Mais ici nous savions très bien que le président Assad ne quitterait jamais la Syrie. Lorsqu’il est venu à Damas, l’émissaire de l’ON U Lakhdar Brahimi lui a proposé l’asile politique en Égypte ou en Algérie. Cette initiative ridicule trahit une profonde méconnaissance du pays et de la personnalité du président.
Je vais vous raconter une histoire que peu de gens connaissent.
Pendant la Première Guerre mondiale, le grand-père du président Bachar el-Assad, Ali, vivait à Qardaha, le berceau de la famille Assad. Des réfugiés chrétiens, qui fuyaient le génocide perpétré par les Turcs, se sont présentés aux portes du village. Eh bien, contre l’avis de tous, Ali a obligé les villageois à les accueillir. C’est la raison pour laquelle il y a encore de nos jours des chrétiens à Qardaha. Un Assad ne cède jamais aux pressions.
Le président n’abandonnera jamais sa charge, car sa responsabilité est celle que lui ont confiée les Syriens. Comme il l’a rappelé, il vivra et mourra dans son pays. C’est aussi simple que cela.
Sur le plan personnel, tous ceux qui l’ont approché, y compris des journalistes occidentaux, vous diront qu’il s’agit d’un homme modeste, très accessible, qui ne rechigne pas à aller au contact de la population. En un mot, un homme bien éloigné des caricatures dont on l’affuble à l’extérieur.

 

* Conseillère politique du président Bachar el-Assad.

** Chercheur associé à l’équipe « Monde arabe Méditerranée » de l’université François Rabelais (Tours). Auteur, entre autres publications, de : Syrie. Pourquoi l’Occident s’est trompé, Éditions du Rocher, 2014.

Notes
(1) Il existe un fonds spécial, abondé par le Qatar à hauteur de 300 millions de dollars,

(2) Le terme revient à quinze reprises dans le discours prononcé le 16 juillet 2014 par le président syrien. « Faisons donc en sorte que la lutte contre la corruption devienne notre priorité, non seulement pour les autorités concernées, mais pour chacun d’entre nous. Ne nous contentons pas d’en parler, attaquons-nous à ses racines, et cessons de nous accrocher à ses branches ! »

(3) Le 1er octobre 2014, le vice-président américain déclare devant des étudiants de Harvard : « Notre plus gros problème, ce sont nos alliés dans la région. Les Turcs sont de grands amis, ainsi que les Saoudiens et les résidents des Émirats arabes unis. Mais leur seul intérêt était de renverser le président syrien Bachar el-Assad et, pour cela, ils ont mené une guerre par procuration entre les sunnites et les chiites et ont fourni des centaines de millions de dollars et des dizaines de milliers de tonnes d’armes à tous ceux qui acceptent de lutter contre Bachar el-Assad. »

(4) Il est très difficile d’évaluer le nombre des victimes du conflit syrien, mais les estimations courantes tournent autour de 220 000 morts. Certains experts pensent qu’en l’absence de tout décompte officiel ces chiffres pourraient être sous-estimés.

(5) Adoptée à l’unanimité par le Conseil de sécurité de l’ONU le 15 août 2014, cette résolution est intitulée : « Menaces contre la paix et la sécurité internationales résultant d’actes de terrorisme. » Elle condamne les exactions de l’État islamique et appelle à une intervention contre l’organisation terroriste.

(6) Both right and left hand. Arab women talk about their lives, First Midland Book Edition, New York, 1988 ; Voices revealed, Arab women novelists 1898-2000, Lynne Rienner Publisher, New York, 2009.

(7) Voir : Frédéric Pichon, Syrie. Pourquoi l’Occident s’est trompé, Éditions du Rocher, 2014 ; Christian Chesnot et Georges Malbrunot, Les Chemins de Damas, Robert Laffont, 2014.* Conseillère politique du président Bachar el-Assad.

** Chercheur associé à l’équipe « Monde arabe Méditerranée » de l’université François Rabelais (Tours). Auteur, entre autres publications, de : Syrie. Pourquoi l’Occident s’est trompé, Éditions du Rocher, 2014.

Source :
https://groupegaullistesceaux.wordpress.com/2015/02/07/en...

Oui la France préfère se vendre au Qatar Delanoë, Plantu, Todd, Lang, Villepin… récompensés par le Qatar

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07/12/2024

la Syrie Baathiste était le seul Etat humaniste et LAIQUE, la SEULE DEMOCRATIE du Proche-Orient vous comprenez le pourquoi de ce que vous entendez à la télé et tous ces mensonges


LE MASQUE TOMBE, LE VOILE SE LèVE :

http://lesakerfrancophone.net/russie-usa-le-masque-tombe-le-voile-se-leve/

 

Réponses du président Assad aux questions biaisées de l’innommable David Pujadas

Extraits de quelques réponses d’Assad au communicant de France 2, Pujadas, sur le soutien des pays occidentaux, notamment de la France, aux terroristes djihadistes, qui méritent la plus grande attention.

Sur le début du conflit (0’30 »)

Assad : … Dès les premières semaines du conflit, les terroristes se sont infiltrés en Syrie avec l’appui d’Etats occidentaux et régionaux. Ils ont commencé à attaquer des civils et à détruire des propriétés publiques et privées…

A propos de l’Etat islamique (à 2’50 »)

Assad : Le groupe Etat islamique a été créé en Irak en 2006 sous la supervision des Américains. Je ne suis pas en Irak, je n’y ai jamais été. Je ne contrôlais pas l’Irak, c’était les Américains qui contrôlaient l’Irak. Le groupe Etat islamique est venu d’Irak en Syrie car le chaos est contagieux. Quand le chaos est à votre porte vous devez vous attendre à ce qu’il entre chez vous…

Au sujet des services de renseignement français (9’12 »)

Assad : …d’après vos hommes politiques et le gouvernement français, il faudrait les aider (les services de renseignement français) alors qu’ils soutiennent les terroristes et tuent nos citoyens. Cela ne marche pas comme ça…

Au sujet de la demande de la France que les services secrets français rencontrent les services syriens (à 09’28 »)

Assad : Oui nous les avons rencontrés (à la demande de la France).

Sur l’initiative des parlementaires français pour renouer le dialogue avec la Syrie (à 10’05):

Assad : Ils (Les hommes politiques et le gouvernement français) doivent d’abord me convaincre qu’ils ne soutiennent pas les terroristes et qu’ils ne sont pas impliqués dans l’effusion de sang en Syrie. Ce sont eux qui se sont trompés à l’égard de la Syrie. Nous n’avons tué aucun Français ni aucun Européen, nous n’avons pas aidé les terroristes dans votre pays, nous n’avons pas aidé ceux qui ont attaqué Charlie Hebdo. C’est vous (les Français) qui avez aidé les terroristes. Par conséquent votre pays, les Occidentaux, doivent nous convaincre qu’ils ne soutiennent pas les terroristes…

Sur le dialogue avec la France (à 10’45 ») :

Assad : … nous sommes toujours intéressés au dialogue avec quiconque mais comment peut-on établir un dialogue avec un régime qui soutient le terrorisme dans notre pays et pour quelle raison ? C’est la question. Lorsqu’ils changeront de politique nous serons prêts pour le dialogue. Sans cela le dialogue n’aura aucun but. Il n’y a pas de dialogue pour le dialogue. L’objectif est d’aboutir à un certain résultat. Pour moi le résultat serait que le gouvernement français cesse son appui aux terroristes dans mon pays...

 

 

*

Voici des propos d’Assad encore plus précis sur la responsabilité du « régime français » qui n’ont pas été diffusés sur France 2 mais que France TV a diffusé sur son site :

Assad : … et votre gouvernement si vous préférez qu’on le désigne par le terme de régime comme ils le font pour nous. Le régime français est responsable car il a soutenu ces djihadistes en les considérant comme une opposition modérée.

Assad : …Ceux qui à l’heure actuelle reçoivent le soutien et possèdent des armes occidentales appartiennent au groupe Etat islamique armés et équipés par votre Etat et d’autres pays occidentaux. Votre ministre de la Défense l’a déclaré publiquement au début de l’année en affirmant avoir envoyé des armes. Par conséquent ceux que vous qualifiez de modérés ont diffusé en 2012 – avant que le groupe Etat islamique n’apparaisse et que l’Occident ne reconnaisse l’existence même du front Al-Nosra, une branche d’Al-Quaïda – ils ont diffusé des vidéos dans lesquelles ils dévoraient le coeur d’un soldat syrien, mutilaient les corps d’autres victimes, en décapitaient d’autres. Ce sont eux qui ont diffusé ces images pas nous. Comment pouvez-vous ignorer cette réalité puisque ce sont eux qui la diffusent et disent que c’est la réalité ?

Au sujet des bombardements de la coalition en Syrie et de la France en Irak

Assad : …J’ai dit qu’ils ne sont pas sérieux de toute manière. On ne peut pas former une coalition contre les terroristes et soutenir en même temps les terroristes. Cela nous est donc égal qu’ils frappent en Syrie ou en Irak ou les deux à la fois tant qu’ils continuent à soutenir ces mêmes terroristes. Ils envoient des armes à ces mêmes terroristes sous prétexte de soutenir l’opposition modérée au moment même où Obama a qualifié cette opposition d’illusoire. A qui donc vont donc ces armes réellement ? Aux terroristes ! C’est contradictoire, c’est voué à l’échec…

Assad : …Les fers de lance contre la Syrie ont été 1. la France, 2. le Royaume-Uni, ce n’était pas les Etats-Unis cette fois qui soutenaient les terroristes en Syrie…

18’30 »

Assad : …La France et d’autres pays n’ont pas le droit de soutenir qui que ce soit dans notre pays. C’est une violation du droit international, de notre souveraineté et des valeurs dont ils se vantent et dont certains prétendent être fiers depuis des décennies voir peut-être depuis des siècles parmi lesquels la démocratie. Est-ce de la démocratie que d’envoyer des armes aux terroristes et de les appuyer. Ai-je le droit de soutenir les terroristes qui ont attaqué Charlie Hebdo par exemple ? Non !

19′
Au sujet des déclarations de Manuel Valls qualifiant Assad de « Boucher »

Assad : …Tout d’abord laissez moi être franc avec vous. Personne ne prend plus au sérieux les déclarations des responsables français. Pour une simple raison, c’est que la France est devenue un satellite de la politique américaine dans la région. Elle n’est pas indépendante, elle n’a aucun poids, elle n’a plus aucune crédibilité…

20 Avril 2015

Source: sam-la-touch.over-blog.

06/12/2024

Contrairement à ce que veulent nous faire croire les propagandistes du grand capital et de l'impérialisme US Diana Sosoaca est belle humaniste et bien informée et intelligente

(je rappelle que la possibilité de créer des seisme a été envosagée et fait l'objet de recherches dès les années 70 en URSS, c'était dans le but de prévenir de gros tramblements de terre en en déclanchant de petits qui feraient se défaire les tensions qui s'accumulent dans la croûte terrestre. Et ils ont obtenus des résultats et mis au point des techniques. On sait donc que ça existe ! Puis les militaires se sont dit que on pourrait bien s'en servir dans un but cette fois non humanitaire, mais inverse à creer des trmblements de terre chez l'ennemi ! et alors les recherches on cessé d'être publiques ! et devenues militaires et SECRETES. Puis l'URSS s'est effondré. Beaucoup de chercheurs de haut niveau se sont retrouvé sans crédits, sans argent, sans revenus.C'est là que les américaisn qui avaient entendu parler de ça ont déémarché plusieurs scientifiques soviétiques, pour continuer à chercher chez eux ! Mais toutjours dnas des buts militaires et ultra-secret ! Danc on sait que ça se fait, mais bien sûr comme c'est secret on ne sait pas jusqu'à quel degré d'expertise ils sot arrivés, ni ce dont ils sont capables, le doute reste permis.

un souvenir sur la Roumanie (moi j'en ai aussi, mais concernant les hongrois de Roumanie, donc c'est hors-sujet)

"Rappelez vous Flavia Groshan médecin à l’hopital de Bucarest qui dans l’unité de soins intensifs dont elle avait la charge avait obtenu zéro décès lors de la COvidie et ce en supprimant 2 médocs à partir des observations faîtes par des infirmières, divisé par 5 l’oxygène administré aux malades et administré de la clarythromicine (médoc de la même famille que l’azytrhomicine qui a eu aussi en France de très bons résultats ) .
En fin de compte les années Ceaucescu n’ont pas tant que ça endormi le peuple roumain . C’est vrai que cette candidate fait honneur à la Roumanie .
J’ai fait la connaissance d’une roumaine il y a 25 ans environ . En moins de 15 jours elle avait compris comment fonctionnait la France et toutes les turpitudes qu’elle présentait . Elle parlait 5 langues dont le Français qu’elle estimait être sa 4 ème langue après le roumain , le russe , l’allemand (à propos de cette langue elle avouait avoir des difficultés avec les concepts philosophiques ) et avant l’italien . Et pourtant son français était remarquable "

bref seuls les covidosceptiques et les "antivaxx" sont intelligents et sont le fruit de l'expérience, pas comme les "kollabos" vaccinolâtres et covidiste piqouzés intolérants haineux et flicards, plein d'enseignants aussi arrogants que crédules, je l'ai constaté !!

24/11/2024

Enfin peut-être un espoir de paix en Ukraine - car Trump a nommé TULSI GABBARD

 Dès 2016, T. Gabbard et D. Trump partageaient certaines vues critiques vis-à-vis des interventions US à l’étranger.  (mais ça n'a pas changé la politique US !) T. Gabbard s’est opposée à l’implication militaire des États-Unis en Syrie et a également condamné les actions américaines en Irak et en Afghanistan. Mais ça n'a pas empêché *trump de chercher à ruiner le Venezuela populaire ! Elle prône une réduction de la présence militaire à l’international et a régulièrement dénoncé les « guerres de changement de régime » comme coûteuses et inefficaces. Elle a même comparé l’aide militaire américaine en Ukraine aux interventions passées, estimant que « les élites de Washington tentent de faire de l’Ukraine un nouvel Afghanistan ». En 2022, elle a dénoncé qu’il existait des  faits irréfutables  prouvant l’existence de laboratoires secrets de guerre biologique en Ukraine financés par les États-Unis. Malgré les réactions, elle a maintenu sa position, affirmant que des éléments tangibles soutenaient ses propos.  

La nomination de T. Gabbard risque de diviser les faucons du Sénat, où elle devra être confirmée. D.Trump justifie son choix en saluant l’« esprit intrépide » de la candidate et sa volonté de « garantir la paix par la force ». En tant que directrice du renseignement national, elle sera responsable de la supervision des 18 agences de renseignement américaines et de la préparation des rapports de sécurité quotidiens pour le président. 

espérons

16/11/2024

l’anti-conspirationnisme est une psychopathologie et un avilissement de l’âme

LE COMPLOTISME EST UN HUMANISME

et la base d'une pensée scientifique et rationnelle, l'anti-complotisme est une maladie mentale, et surtout un outil de manipulation, une "psy-op" des comploteurs !

(et d'abord il faut, comme pour toute chose, connaître les origines historiques de l'usage qui est fait de ce terme ! dans ce film https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...  à partir de 1H 45m 45s vous avez l'origine et la véritable nature de ce terme de "complotisme" dont on nous rebat les oreilles ! écoutez-bien, il faut toujours connaître l'histoire ! on ne l'étudie pas assez.)

Et bien sûr encore ce TRUC de manipulation de la masse par nos maîtres : Avant, tout ce qui menaçait leurs intérêts pervers et cyniques était qualifié de "communiste" et on faisait la CHASSE AUX COMMUNISTES "grande cause nationale" , maintenant les mêmes choses on les qualifie de "complotisme" !

En fait c'est exactement le même phénomène. Donc VIVE LE COMMUNISME !  VIVE LE COMPLOTISME ! VIVE LE RATIONALISME (C'est d'ailleurs  la même chose !)

 


Le Génie du Complotisme
 Guillaume de Rouville.
Le complotisme présente cinq caractéristiques majeures qui le distinguent de l’anti-complotisme et qui résument tout son génie. Ses caractéristiques, que nous passerons rapidement en revue (partie 1), sont autant d’avantages sur l’anti-complotisme qui nous feront comprendre, par contraste, les limites épistémologiques de ce dernier, ses motivations profondes et ses soubassements idéologiques (partie 2).
Notre conclusion sera double :
1. Seul le complotisme permet d’appréhender la nature du pouvoir. L’anti-complotisme est une émanation du pouvoir dont la vocation est de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce. 
2. On ne dialogue pas avec le pouvoir : on s’y soumet ou on le combat. Il s’ensuit, naturellement, que les complotistes n’ont plus à chercher les faveurs des anti-complotistes ou de leurs maîtres, ni à s’excuser de penser hors des sentiers battus ou d’émettre des hypothèses de travail audacieuses. Il est temps pour les complotistes de se montrer offensifs et face à l’idéologie du chaos que le pouvoir incarne et projette sur le monde à travers ses relais médiatiques et institutionnels, de présenter le complotisme comme un remède aux pulsions mortifères de l’hydre mondialiste. Le complotisme est un humanisme. 
Partie 1
Les 5 avantages du complotisme
1.    Avantage Méthodologique
Tandis que l’anti-complotiste se contente la plupart du temps d’énoncer la thèse (officielle s’entend), le complotiste est contraint de travailler, d’approfondir à la fois la thèse et l’antithèse. Ainsi, le complotiste a une connaissance fine de la version officielle et des arguments de la version opposée. Cela le contraint à chercher et à ausculter plus profondément les faits, à les présenter dans un ordre cohérent et à les soumettre à un examen critique poussé.

Tandis que l’anti-complotiste n’a qu’à répéter la thèse officielle sans avoir besoin de la justifier, le complotiste est obligé de chercher des preuves solides à l’appui de ses propos et finit par acquérir une connaissance bien plus large que celle de l’anti-complotiste qui a borné son champ d’investigation parce qu’il lui suffit de citer une source « prestigieuse » pour gagner la bataille du pouvoir médiatique et la considération de ses pairs.
Que ce soit, par exemple, pour le 11 Septembre ou le réchauffement climatique anthropique, seuls les complotistes appliquent le principe du contradictoire, principe fondamental à la fois pour les journalistes, les historiens et les juges qui devraient examiner méthodiquement et en profondeur les thèses en présence avant de se prononcer sur le fond de l’affaire dont ils s’occupent. L’anti-complotiste ne voit pas l’absurdité de sa position qui consiste à penser que la version officielle est toujours la bonne (comme la raison du plus fort). Ce qui revient à interdire toute alternative, toute contradiction, toute possibilité de remettre en cause la version des faits une fois qu’elle a été estampillée par le sceau officiel et crachée sur les ondes des médias dominants.
L’anti-complotiste confine ainsi le réel dans une forme figée pour les siècles des siècles. Il se comporte comme le gardien d’une prison où les faits récalcitrants sont tenus en joug et passés à tabac, loin du regard des foules, tant que leur volonté d’indépendance et de franchise n’a pas été brisée. Il rééduque et torture les faits qui ne suivent pas ses mots d’ordre ou son catéchisme et ne les relâche dans l’arène publique qu’une fois qu’ils ont perdu leur prétention à dire leur part de vérité. Le complotiste libère les faits cadenassés qui retrouvent tout leur sens caché et leur autonomie, il les rend à l’air libre où se meuvent à leur aise la vérité et le réel.
Le complotiste n’ayant pas droit aux arguments d’autorité (par exemple, l’invocation d’un prétendu « consensus scientifique » des experts sur le réchauffement climatique anthropique) et étant soumis au feu permanent des critiques, il lui faut devenir un orfèvre dans son domaine pour pouvoir contrer un adversaire qui se contente de répéter un message univoque et balaie d’un revers de mains dédaigneux les arguments qu’on lui adresse.
Enfin, le complotiste cherche à donner du sens à ce qui, apparemment, n’en a pas toujours. Il ne se contente pas de laisser l’inexplicable inexpliqué. Si trois immeubles s’effondrent sur eux-mêmes alors que seulement deux ont été percutés par des avions, le complotiste essaie de comprendre ce phénomène étrange en convoquant des causes humaines et physiques qui sont dans l’ordre naturel des choses. Là où l’anti-complotiste, à court d’idée et d’arguments, finira pas se contenter de hausser les épaules, le complotiste, ira chercher des causes humaines (des volontés) si les causes physiques (mécanique des corps et mécanique des fluides) ne sont pas suffisantes.
De son côté, l’anti-complotiste, n’hésitera pas à réinventer les lois de la physique, juste pour l’occasion, afin de s’interdire de penser au-delà de la thèse officielle. Car, s’il devait s’aventurer sur le terrain glissant d’une hypothèse alternative, cela pourrait le conduire à devoir désigner un coupable inattendu, à découvrir un acte humain, voire une entente entre plusieurs personnes conscientes de leurs actes. Ainsi, pour expliquer l’absence de débris d’avion sur le Pentagone ou sur le site de Pennsylvanie en septembre 2001, l’anti-complotiste invoquera la possibilité que les avions se soient gazéifiés (thèse défendue par le très « prestigieux » journal Le Monde), ajoutant de la sorte quelques règles nouvelles aux lois de la thermodynamique. Il ne lui viendrait jamais à l’esprit qu’un mensonge volontaire se cache peut-être derrière l’inexplicable. Dans le même ordre d’idée il en vient à voir, dans les guerres menées par les démocraties occidentales, des événements naturels que ne guident aucune pensée maléfique ni volonté humaine.
Pour résumer les avantages méthodologiques de son approche, on peut dire que le complotiste travaille plus que l’anti-complotiste, connaît mieux son sujet et les arguments des parties en présence, ne se repose pas sur des arguments d’autorité pour avancer ses idées et accumule les éléments de preuve pour justifier ses propos et donner du sens aux événements et aux faits qui se déroulent devant lui.

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Ce sont là des raisons qui expliquent que les anti-complotistes ne répondent presque jamais positivement aux offres de dialogue que leur font les complotistes : ils savent, en effet, qu’ils finiront généralement déboités par les arguments de leurs contradicteurs ! Pour justifier un tel refus, ils rangent volontiers leurs adversaires sous l’appellation générique et bien commode du « camp de la haine », mettant ainsi entre eux et les complotistes une sorte de cordon sanitaire émotionnel qu’il serait difficile et dangereux pour tout un chacun de rompre impunément. Cette technique de la rhétorique de disqualification utilisée à l’encontre du complotiste, à la quelle vient généralement s’ajouter des menaces et des injures, est le signe que, sur le terrain de la méthode, le complotiste vient bousculer son adversaire dans ses derniers retranchements, lorsque celui-ci est au bord de son propre gouffre intellectuel.

Bref on retrouve chez eux l'attitude de Henri Wallon, qui au milieu du XIXè siècle disait : "un "ROUGE" n'est pas un homme, c'est un "rouge ! ce n'est pas un être doué de raison comme vous et moi, mais un être dégénéré et déchu" ....

Oui ! oui ! anticomplotisme et anticommunisme même combat !


2.    Avantage Psychologique
Le complotiste n’a ni d’apriori ni de tabou. L’impensable est pour lui toujours pensable. Si le complotiste navigue ainsi volontiers, par méthode et par prudence, dans l’air du soupçon et ne prête sa confiance à quiconque, il traite tout le monde à la même enseigne, les puissants comme les faibles ; il les écoute avec le même degré d’attention, sans chercher à plaire ou à déplaire à leurs susceptibilités respectives. Il veut comprendre et non pas justifier.
De son côté, l’anti-complotiste est enfermé dans le dogme de l’infaillibilité démocratique, ce qui lui interdit automatiquement tout un champ des possibles. Il est psychologiquement incapable d’imaginer que nos dirigeants démocrates puissent faire le mal intentionnellement. C’est bien cet apriori qui, aux yeux des complotistes, rend les anti-complotistes aveugles à la compréhension d’une part importante de notre monde. Et pour le dire plus clairement, les anti-complotistes sont dans l’incapacité de comprendre la nature et les ressorts du pouvoir (nous y reviendrons). Ils ne voient pas que le pouvoir, ontologiquement, est une physique de la contrainte et une métaphysique de la domination.
L’anti-complotiste est tellement engoncé dans cette opinion, qui est pour lui une sorte d’article de foi, qu’il ne pourra jamais concevoir que nos dirigeants puissent, par exemple, en toute connaissance de cause : (1) empêcher l’utilisation d’un remède peu couteux et efficace contre un virus, cousin de celui de la grippe, afin de favoriser une solution imaginaire et hypothétique (le vaccin) lors d’une pandémie annoncée et voulue, pandémie qui n’est pas tant le résultat d’une incompétence généralisée de nos commis en charge des affaires de l’État, que d’un chaos organisé par ces derniers comme un jeu de rôle mondialiste planétaire ; (2) s’allier avec des mouvances terroristes islamistes pour faire tomber des régimes laïques en Libye et en Syrie en ayant recours à des actes de terrorisme à grande échelle et en organisant le massacre et le gazage de populations entières tout en accusant le camp adverse d’en être responsable. De telles conclusions, iraient au-delà de ses forces psychologiques et l’amèneraient, sans doute, au bord de la crise de nerf et de l’hystérie.
Ainsi, pour l’anti-complotiste, la démocratie occidentale ne peut commettre de crime puisqu’elle ne peut avoir de mauvaises intentions : elle ne tue que par dommages collatéraux, jamais volontairement. Par conséquent, on ne peut lui imputer des crimes de masse, seulement des erreurs circonstancielles et contextuelles qui ont eu de tragiques conséquences humaines inattendues. La culpabilité de la démocratie occidentale ne dépasse jamais celle de l’élève qui aurait pu mieux faire.
Les anti-complotistes ne voient et n’admettent de complots que chez les autres ! terroristes musulmans ou les Russes, les Iraniens ou les Chinois, quand cela arrange leurs affaires et conforte leurs représentations du monde binaire (« eux » contre « nous »). Là, en général, aucune preuve tangible n’est exigée ! il suffit à l’accusation de désigner les coupables pour emporter la conviction de la foule conformiste des bourgeois cultivés qui ne craignent rien tant que d’émettre des hypothèses et, encore plus, d’avancer des théories qui sortiraient de la vulgate publiée régulièrement dans les gazettes officielles (Le Monde, The Guardian ou le New York Times).
3.    Avantage Conceptuel
Le complotiste offre des outils intellectuels pour appréhender le monde. Il propose des termes (qu’il a ou non construits lui-même) pour désigner des événements, des phénomènes difficiles à cerner ou à concevoir : Mondialisme, Atlantisme, Empire, Opposition Contrôlée, État Profond, Satanisme, Nouvel Ordre Mondial, Injonctions Paradoxales, Dogme de l’Infaillibilité Démocratique, Crimes Médiatiques, Rhétorique de Disqualification, sont autant de concepts outils permettant de sortir de l’hébétude dans laquelle le complexe médiatico-industriel progressiste nous maintient, afin de mieux cerner et comprendre le monde dans lequel nous évoluons.
Le complotiste apprécie la clarté d’un concept là où l’anti-complotiste préfère la confusion, l’absence de sens et de signification, ou le sens inversé de l’absurde : non pas le mystère qui pourrait nous ouvrir la porte d’une transcendance porteuse d’espoir, mais le vide comme explication universelle. L’anti-complotiste ne nous laisse qu’un champ de bataille sémantique chaotique où le néant et l’ambiguïté sont maîtres du réel et de nos neurones.
Empêcher la compréhension du réel et l’émergence des concepts explicatifs est sans doute l’un des objectifs du pouvoir pour demeurer « le pouvoir » et persévérer dans son être. Son crédo est de rester insaisissable, « im-pensable » et impensé, pour n’être point combattu. Un totalitarisme dont on ignorerait l’oppression ne susciterait sans doute pas d’opposition autre que contrôlée. C’est tout le génie de la démocratie représentative, instrument privilégié de l’oligarchie occidentale, que de nous empêcher d’établir clairement des liens de causalité entre des décisions humaines de quelques-uns et la longue chaîne des malheurs des peuples.
4.    Avantage Moral
Le complotiste a un avantage moral immense par rapport à l’anti-complotiste parce qu’il doit montrer plus de courage et affronter les difficiles conséquences sociales de ses propos. Tandis que l’anti-complotiste, en bon conformiste adorateur de la normalité sociale, ne fait que relayer et répéter les paroles de l’évangile médiatico-politique qui lui est servi quotidiennement, le complotiste sait qu’il aura contre lui les puissants et la masse des bourgeois cultivés qui peuplent les cercles mondains des multiples socialités auxquelles la vie nous invite tous à participer.
Le complotiste prend constamment des risques dans sa vie professionnelle et privée pour simplement émettre des doutes et proposer des explications alternatives : on ne compte plus le nombre de complotistes débarqués de leur poste pour avoir avancé quelques hypothèses dérangeantes sur le 11 Septembre, l’implication des démocraties occidentales dans le terrorisme islamique ou la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique anthropique. Si le courage ne donne pas raison, il a une valeur intrinsèque qui distingue nettement le complotiste du bourgeois cultivé conformiste (ou acheté ....)  qui fait office d’adversaire.
Le complotiste ose nommer le mal, il ose désigner les puissants et les puissances qui sont derrière ces manifestations humaines : il ne se contente pas, comme les professionnels de la révolte, d’attaquer des abstractions (par exemple, le capitalisme), il confronte des pouvoirs concrets (dont la somme des liens et des alliances fait et révèle le pouvoir dans toute sa puissance et ses nuisances) et nomme les responsables. Pour le 11 Septembre, il désignera volontiers le petit groupe de néoconservateurs comme responsables ou au moins complices des attentats ; il en fera le portrait détaillé en égrenant leur CV et leurs méfaits avérés. Concernant l’hystérie sanitaire mondialiste déclenchée au printemps 2020, il n’hésitera pas à pointer du doigt le rôle de Bill Gates et des dirigeants de l’OMS, de certaines firmes pharmaceutiques (comme Gilead)

(Maximisation du profit, lutte des classes, bref le B. A. ba du marxisme, c'est à dire du bon sens) ou de certains médias (comme BFMTV en France) dans le déclenchement de cette expérience orwellienne à l’échelle mondiale.
L’anti-complotiste, lorsqu’il dénonce, est plutôt dans la délation puisqu’il désigne à la vindicte médiatique et judiciaire, à la censure et aux poursuites pénales, les lanceurs d’alertes qui n’ont en général que leur plume pour se défendre. L’anti-complotiste utilise volontiers la menace et l’intimidation pour faire taire ceux qui s’aventurent hors des sentiers battus et rebattus : la rhétorique de disqualification et l’hystérie émotionnelle sont ses outils préférés.
Ainsi, tandis que le complotiste dénonce les puissants et se met volontairement dans leur ligne de mire, l’anti-complotiste établi des listes d’opposants isolés à exécuter en place publique sans leur donner la parole. Il y a du Cyrano de Bergerac chez le complotiste : s’il n’a, bien évidemment, pas toujours raison, il avance empanaché d’indépendance et de franchise et revendique le droit de se tromper.
Les complotistes sont à la fois une dissidence et une résistance. Peut-être même les seuls à s’opposer aux expériences orwelliennes que nos démocraties oligarchiques nous imposent de temps à autres pour éprouver leur puissance : hystérie sanitaire, hystérie réchauffiste, hystérie anti-Trump (qui n’est que le syndrome d’une hystérie contre les souverainistes et les partisans de la diversité des nations), etc. Comme nous le verrons en :

partie 2, l’anti-complotisme est une hystérie.

Ce qui frappe, quand on fait le bilan du complotisme sur les deux dernières décennies, c’est l’incroyable capacité de celui-ci à avoir raison, à prédire ce qui va advenir. En analysant avec sérieux et pertinence le présent et le passé récent, le complotisme est capable de mieux appréhender les grandes orientations qui se dessinent devant nous que tous les experts réunis en conclaves officiels.
Sur le 11 septembre, sur la guerre en Irak et en Syrie, sur le réchauffement climatique anthropique, sur le Russiagate et l’affaire ukrainienne aux États-Unis, sur le Covid-19 et sur tant d’autres sujets scientifiques ou géopolitiques, le complotisme engrange les victoires les unes après les autres. Plus le temps passe plus les faits s'accumulent plus on s'aperçoit que c'étaient les "complotistes"qui avaient raison !
La démonstration de la force prédictive de la pensée complotiste a été particulièrement spectaculaire lors de l’épisode de totalitarisme sanitaire et sécuritaire que nous avons tous vécus au printemps 2020. Aux modèles prédictifs délirants (souvent informatiques) invoqués par les comités « scientifiques » mis en place un peu partout en Occident lors de cette drôle de crise sanitaire qui prévoyaient l’apocalypse tous les matins du monde, les complotistes ont opposé le bon sens, l’analyse cartésienne, le raisonnement et le sang-froid, et ont ainsi pu identifier rapidement des solutions efficaces pourtant décriées par tous les médias dominants tombés volontairement dans une hystérie destinée à faire perdre l’entendement collectif. Le complotiste est parvenu à s’extraire du bruit et de la fureur de l’actualité brouillonne et a eu raison sur toute la ligne : de l’analyse du problème à la proposition d’un remède. N’ayant d’apriori à l’égard de personne, le complotiste a écouté toutes les parties en présence et à pu saisir au vol le réel avant qu’il ne soit confisqué et défiguré par les tortionnaires de l’information qui lui ont substitué la peur comme seul vecteur de la représentation du monde. Nous y reviendrons en détail dans la deuxième partie ou dans un article séparé.
Depuis le début du conflit en Syrie, seuls les complotistes savaient que le président Bachar el-Assad était soutenu par la grande majorité de son peuple et n’était pas au bord de la déroute, bien que tous les journaux ayant pignon sur rue en Occident annonçaient à longueur de colonnes la fin imminente du « régime sanguinaire ».  Concernant le réchauffement climatique, regardez les conférences de Istvan Marko ! scientifique de l'ULB, il a tous les faits et les graphiques c'est lumineux !
____________
Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux humains, loin des promesses trans-humaniste et technicistes qu’on veut nous imposer sans débat, il est temps d’affirmer ce que nous sommes : un humanisme.

Marie-José MONEGER 
30 décembre 2020 9 h 50 min 
Le complotiste est un être cartésien dont la curiosité est insatiable, qui lit et observe beaucoup, qui réfléchit également beaucoup, qui n’hésite pas à se remettre en question et à avouer qu’il s’est trompé …!
Le complotiste a oublié d’être bête,
Le complotiste est un HUMANISTE … !!!
 
Martha 
30 décembre 2020 13 h 09 min 
Répondre à  Marie-José MONEGER 
C’est exactement cela. Quand il connait toute la réalité du Monde dans lequel il vit, tous ses rouages, toute l’horreur semée par les plus puissants, le complotiste devient beaucoup plus fort intérieurement et devient, par conséquence, plus humain.
C’est bien la raison pour laquelle, tout est fait pour le faire taire et cacher ses messages.

C’est aussi le B à BA de la philosophie; le doute , la réflexion , le refus du principe d’autorité , de la croyance irréfléchie et naïve. Bref de l’opinion non examinée ;
 
Duc1950 
30 décembre 2020 10 h 47 min 
Complotisme est un mot « inventé » par les comploteurs pour « discréditer » les gens qui dénoncent leurs magouilles !
 
Thierry Theller 
30 décembre 2020 12 h 41 min 
Tout à fait. À l’instar du régime soviétique qui, pour faire tenir à carreau ses détracteurs, leur a collé sur le dos le terme infamant de fasciste.
Les mondialistes, eux, notamment la CIA, en ont fait tout autant avec la qualification de :  » Complotiste « . Cette qualification, aujourd’hui cuite et recuite, se retrouve servie à la moindre contestation de l’illégitimité du régime totalitaire, imposé aux populations du monde.

daruma 
30 décembre 2020 17 h 03 min 
Excellent article. Je me permets d’apporter ma petite contribution.
Les anti-complotistes semblent ignorer tout de l’ingénierie sociale et de la fabrication du consentement, ces instruments de contrôle et de manipulation des masses. De manière générale, ils ont un problème avec la causalité : pour eux, une intention malveillante et concertée ne saurait expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivons. C’est qu’ils s’imaginent que les comploteurs maîtrisent tous les effets qui résultent de leurs actions.  [ce qui évidemment est faux ! Innombrables sont les conspirations qui ont échouées o ot été détournées, exemple la Révolution de 1830, c’était un comlotd’étudiants des grandes écoles, qui voulaient remplacer Charles X par un régime républicain, et ont tout savamment préparé, mais unechse à l’aqeleles ils n’avaient pas pensé, c’est la grande peur des possédants devant la perspective d’une république, et les ambitions de Louis-Philippe d’Orléans fils de son père (comploteur lui aussi, mais qui n’avait pas réussi, puisqu’il finit guillotiné) qui à ramassé le mise, ce qui fait que la République des comploteurs leur est passé sous le nez!] 
Si vous discutez avec un anti-complotiste (ouvert à la discussion et sans animosité [ça existe?!] ), il finira par aboutir à cet argument qui consiste à dire que c’est trop incroyable pour être vrai. Tout brillant et intelligent qu’il puisse être, il part avec deux handicaps majeurs : il ignore sa propre idéologie et ses propres biais cognitifs, voyant la paille dans l’œil du complotiste mais ne sachant pas qu’il a une poutre dans le sien. Et surtout, il bute sur l’obstacle affectif qui lui fait considérer comme invraisemblable et inconcevable ce qu’il ne veut surtout pas voir ni concevoir.
Il y a aussi le fait d’essentialiser le complotisme : cela consiste à dire que puisqu’il y a eu par le passé des théories du complot qui se sont révélées fausses, cela veut dire que toutes les théories du complot sont fausses. Elles sont fausses par définition, par la magie d’une définition, la fausseté étant contenue dans la définition même du complotisme. Le complotiste est un suspect jugé d’emblée coupable d’avoir tort, il ne bénéficie d’aucune présomption d’innocence.
Il suffit ensuite d’étendre l’anathème « complotiste » à tous ceux qui cherchent la vérité qui se cache derrière les mensonges et les manipulations des entités détentrices de pouvoir. C’est bien pratique quand on veut faire taire ceux qui dérangent. C’est l’arnaque suprême des anti-complotistes,  laquelle consiste à ranger dans la rubrique « complotisme » toute tentative de remise en question des versions officielles, et donc à combattre toute pensée dissidente.

 Le complotiste est celui qui révèle la vérité des faits, qui met à jour le complot par l’analyse rationnelle des faits. Les complotistes sont ainsi qualifiés par les comploteurs pour faire croire qu’il n’y aucun complot. On pourrait même penser qu’il n’y a pas de complot, puisqu’ils ne se cachent même plus : ils dévoilent leur projet. Sans doute ne disent-ils pas tout, et qu’il y a bien d’autres surprises à découvrir.
https://charlesandrelegrand.over-blog.com/

 

11/11/2024

Devoir de mémoire ; Helric Fredou - le seul député heroïque, le seul policier héroïque ("suicidé"), et le seul journaliste héroïque

RElisez bien dans le détail les circonstances de ce qui s'est passé ce soir là au commissariat de Limoges avant la mort de Helric Frédou.

Un suicide est très invraisemblable, par contre une "élimination" par des agents très spéciaux est plus que probable. Surtout dans le contexte de l'enquête qu'il menait et sur laquelle il a eu visiblement un gros différent avec sa hiérarchie.

Et pour ceux qui croient que ça n'existe pas voici : Des policiers à qui on demande de "flinguer" un collègue au boulot et avec l'arme de service de celui-ci, ça existe ! Regardez cette vidéo, de quelqu'un qui a travaillé pour,  ce monde et dont des proches et des amis appartiennent à ce monde, donc il sait ce dont il parle :

https://hdclips.top/hd-videos/N-Lk8RHkDsc/le-faux-suicide...m

 

 

Le 9 septembre, Jeannette Bougrab, nouvelle directrice de l'Institut français de Finlande, nommée discrètement au cours de l'été, sans compétences particulières pour ce poste,  a du recevoir - en raison d'un évènement culturel- un personnage particulier : Christophe Premat, député PS en charge des Français d'Europe du nord

Le 5 février, Panamza avait contacté son assistante parlementaire. Le motif : Premat avait été le seul député à interpeller, une semaine auparavant et par écrit, le ministre de l'Intérieur à propos des "circonstances exactes du décès du policier Helric Fredou" » Affaire Charlie : le mépris de Bernard Cazeneuve pour la famille du policier « suicidé

question écrite, restée au mépris de toute légalité sans réponse, cette queqstion fut renouvellé à deux reprises, et toujours sans aucune réponse. ...

Retrouvé "suicidé" dans son bureau le 8 janvier, ce commissaire adjoint de police de Limoges était chargé, le soir de l'attentat contre Charlie Hebdo, de rédiger un rapport d'enquête relatif à la protection des parents de Jeannette Bougrab, prétendue compagne du directeur assassiné du journal. http://www.panamza.com/230715-bougrab-tombe-charb

Selon la collaboratrice de Premat, la réponse officielle devait être, "a priori", attendue "dans les trois mois, au maximum" (soit le 27 avril, au plus tard).
Aujourd'hui, vendredi 4 septembre, comme l'illustre une case restée blanche sur le site de l'Assemblée nationale, Bernard Cazeneuve n'a toujours pas apporté la moindre réponse (ça peut se faire en démocratie ??? c'est pas un peu anticonstitutionnel ça ?? à quoi ça sert qu'il y ait des lois ? à quoi ça sert qu'il y ait des élections ? à quoi ça a servi un siècle de lutte républicaine et de révolutions ?)

http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-73052QE.htm
Pour en savoir plus sur l'affaire Charlie, consultez le dossier de Panamza L’affaire Charlie Hebdo, revisitée et décryptée par Panamza ***SOUTENEZ L'INFO-PANAMZA Comment soutenir Panamza et puis pensez à

* les tentatives d’intimidation judiciaire intentées par Pierre Bergé et Caroline Fourest.

* les tentatives récurrentes de piratage informatique du site Panamza en provenance de la mouvance ultra-sioniste (Ulcan) et de hackers anonymes.

* l’hospitalisation -au printemps 2015, en service de réanimation médicale- de son rédacteur Hicham Hamza, suite à une brutale et inexpliquée dégradation de santé.

Il n'y a qu'en Espagne et aux USA qu'on se pose des questions et qu'on essaye de mettre les pièces du puzzle ensemble et voilà le résultat : http://www.hispantv.com/newsdetail/Terrorismo/36788/¿Aman...

Christophe Premat seul député héroïque http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-73052QE.htm

Question N° 73052
de M. Christophe Premat (Socialiste, républicain et citoyen - Français établis hors de France )
Question écrite
Ministère interrogé > Intérieur
Ministère attributaire > Intérieur

Rubrique > police

Tête d'analyse > commissaires

Analyse > suicide. enquête.

Question publiée au JO le : 27/01/2015 page : 512
Date de renouvellement: 02/06/2015
Date de renouvellement: 08/09/2015

Texte de la question

M. Christophe Premat attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les circonstances du décès du policier Helric Fredou dans la nuit du 7 au 8 janvier à Limoges. Helric Fredou était directeur adjoint du service régional de la police judiciaire de Limoges et était chargé de rédiger un rapport sur l'entourage familial de Charlie Hebdo. Ses funérailles se sont tenues dans la plus grande intimité. Les interrogations sur les conditions de son décès se multiplient dans la presse et notamment la presse internationale. Il aimerait savoir si un rapport plus détaillé sur les circonstances de son décès est envisagé.

 

REGARDEZ BIEN !!! cette question n'ayant, au mépris de toute légalité, reçu aucune réponse du ministre, a été renouvelé à deux reprises le 2 juin et le 8 septembre de la même année, et TOUJOURS SANS REPONSE .....
en tous cas remarquez une chose aussi :

1 seul député sur 500, Plus tard l'histoire retiendra ce nom. Peut-être un jour un monument lui sera élevé.

ne l'oubliez pas

 

le 4 juin, le magazine Closer révélait que Pelloux avait accusé – lors d’une déposition policière effectuée le 4 février – Bougrab d’avoir cambriolé son ami Charb dans les heures qui ont suivi l’attentat. Elle aurait obtenu la clé de l’appartement auprès des parents de Charb en se présentant comme sa compagne [http://panamza.com/11596]].
- le 8 juin, Panamza révélait que Bougrab avait affirmé – dans son livre paru en mai – n’avoir « jamais » eu cette clé en sa possession [2].

Reste désormais à décrypter le rôle exact – dans toute cette sombre histoire – de Bougrab, une amie de Manuel Valls et Gilles-William Goldnadel (intime de Mileikovsky, nom d'origine de Natanyahou) qui fut présentée comme la compagne de Charb – pour la première fois – par Caroline Fourest.

Sans oublier le sujet le plus tabou car totalement passé sous silence par la presse traditionnelle d’investigation : éclaircir les dernières heures du commissaire de police Helric Fredou, retrouvé « suicidé » – au soir de l’attentat – alors qu’il s’apprêtait à passer un coup de fil « urgent » et relatif au débriefing des parents de Bougrab [3].

en attendant, la suite de l'affaire FREDOU sur panamza : http://www.panamza.com/130315-charlie-fredou-cazeneuve

et sur Alterinfo : http://www.alterinfo.net/Affaire-Charlie-Hebdo-Bougrab-ac...

23/10/2024

Robert Fico is a martyr Kotlar that who said the truth - they will be assassinated by the fascists of big capitalprobably !!

 

Slovak Government Report Calls for Ban of ‘Dangerous’ mRNA Vaccines, and so does a city in Western Australia

Slovak Government Report Calls for Ban of ‘Dangerous’ mRNA Vaccines

Just days after the Slovakian commission made its recommendation, the town council of Port Hedland, in Western Australia voted to support a ban on mRNA products.

An official report by a Slovak government commission investigating the COVID-19 pandemic recommended mRNA vaccines be banned after determining they are “dangerous.”

The commission also called on Slovakia to oppose the World Health Organization’s (WHO) pandemic treaty and recent amendments to the International Health Regulations (IHR).

Unless the vaccination with mRNA products is stopped or at least their efficiency and safety is proven, which today I already know it won’t, and unless we save the Slovak Republic from the centralisation of power under the WHO, my task is senseless,” Kotlár said.

According to Slovak news agency TASR, Kotlár said the report will be released to the public once the country’s government convenes. The report was included on the agenda of today’s cabinet meeting.

Kotlár, an orthopedic surgeon, was named to his position in January. Since then, the commission has been accused of questioning the COVID-19 pandemic and vaccines and of being “tainted by anti-vaxxer leadership.”

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Mary Holland, CEO of Children’s Health Defense, welcomed the outcome of the Slovak government’s report and the efforts of the country’s government to investigate the pandemic. She told The Defender:

I commend Slovak Prime Minister Robert Fico for doing what every government leader worldwide should do today: call for a serious investigation of everything COVID — the inadequate clinical trials, the medical coercion of experimental products, the lockdowns and the severe injuries and deaths.
Asking these questions should not be political or politicized — these are questions about how governments fulfilled or failed to fulfill their core obligations to protect citizens’ lives, health and freedom.”

Swiss attorney Philipp Kruse, who has been active in opposing the WHO’s pandemic treaty and IHR amendments, called the report and the commission’s recommendation “good news and an exceptional situation.”

To my knowledge, Slovakia is the first country in Europe where a government — not the opposition — has dared to investigate the true effects of the ‘countermeasures’ taken during the corona crisis. I am very happy to hear this news and hope it inspires other countries to push forward into the same direction.”

Immunologist and biochemist Jessica Rose, Ph.D., told The Defender she supports a full ban of mRNA products worldwide and called the Slovak government’s report “a good precedent.”

Dr. Sucharit Bhakdi said such a ban on mRNA vaccines “is overdue.”

Just days after the Slovakian commission made its recommendation, the town council of Port Hedland, the second largest city in Western Australia, voted to support a ban on mRNA products and called on the Australian government to implement a ban.

It seems an overdue process considering all the data in over 3,000 studies that demonstrate the harm caused by these experimental gene therapy injections,” said Christof Plothe, D.O., a member of the World Council for Health’s steering committee, who welcomed the developments in Slovakia and Australia.

Mod-RNA technology, what it should be called, has exposed three-quarters of humanity to an unacceptable risk,” Plothe said. “Unfortunately, this risk has now materialized into around 20 million deaths and uncounted numbers of cardiological, immunological, neurological and oncogenic ‘side effects.’”

Report calls COVID pandemic ‘an act of bioterrorism’

During his Oct. 2 press conference, Kotlár questioned the COVID-19 pandemic itself, calling it “an act of bioterrorism” with the intent to “jeopardise human health” and “test the naivete of the global population to follow orders subliminally,” TASR reported.

The most serious consequence of the whole fabricated operation called the COVID-19 pandemic is the endangerment of human health and the confirmation of the naivety of the world population to be subconsciously obedient,” Kotlár said.

Let us at least make the right gesture together by stopping the administration of mRNA preparations until their effectiveness and safety have been proven,” he said.

Kotlár said there are “simply no relevant data” from Slovakia, suggesting the previous government, in power until 2023, concealed the data, leaving the commission to “illegitimately” obtain it.

According to Deutsche Welle, Kotlár has long been an outspoken opponent of the COVID-19 vaccines and countermeasures, posting videos on social media that “earned him considerable popularity that helped him get into parliament.”

Kotlár’s findings appear to enjoy the full support of Fico. In an address to the nation published Oct. 5 on his Facebook account, Fico said, “You all know that I personally have always been against vaccination with experimental vaccines against COVID.

Fico, who said he had “many acquaintances” who sustained adverse reactions after getting the COVID-19 shots, also called on Kotlár to find out which Slovaks had benefitted from the “unnecessary purchase of medical supplies and vaccines.”

Fico — the target of an assassination attempt in May, when an assailant shot him in the stomach — is known for his opposition to COVID-19 vaccines and countermeasures.

In an address in January, he said, “The Slovak public simply needs an answer about the vaccination … why people were vaccinated with various experimental vaccines without any tests, why all sorts of drugs were pushed into people … and what actually happened during COVID.”

In a November 2023 speech soon after his government was elected, Fico said Slovakia “will not support strengthening the powers of the WHO at the expense of sovereign states in managing the fight against pandemics.”

In December 2023, Slovakia rejected a set of IHR amendments proposed in 2022.

Kotlár’s report recommends Slovakia refuse to sign the 2023 IHR amendments and the pandemic treaty. According to Deutsche Welle, following the release of the report, Slovakia announced the government would stop cooperating with the WHO on COVID-19.

No other EU member state has launched a COVID inquiry

Some members of Fico’s government, opposition politicians, and some scientists and doctors sharply criticized the commission’s report, which also risks drawing the ire of the European Union (EU), of which Slovakia is a member state.

TVP World reported that Zuzana Dolinková, Slovakia’s health minister, resigned on Oct. 4 — two days after Kotlár’s report was released.

Dolinková officially cited an “insufficient prioritization of health care” as a reason for resigning, but he was also critical of the report, highlighting its “unscientific facts” and questioning why the health ministry “must deal with questions about whether or not there is a pandemic, whether vaccines alter our DNA, or if we are being microchipped.”

Prior to her resignation, Dolinková also questioned the government’s support of Kotlár, claiming his ideas “find no scientific support,” Politico reported.

According to Deutsche Welle, Kotlár’s report generated “outrage among scientists” while doctors are “horrified.” Slovak national broadcaster RTVS cited demands from opposition political parties for Kotlár’s ouster. Pourritures !!

Of course, mainstream narratives in the press and international public health are attempting to spin this proposed inquiry into a political diatribe against the so-called Right,” Holland said. “People are getting sick of this nonsensical brush-off.”

Holland added:

People want to know why death rates, especially in healthy young people, have risen astronomically. They want to know why children are having heart attacks. They want to know where the turbo cancers came from. A serious COVID inquiry will illuminate these questions. The Slovak people and everyone else deserve these answers.”

Slovakia may nevertheless encounter obstacles from the EU itself if it decides to ban mRNA injections.

According to The Slovak Spectator, “banning mRNA vaccines outright is not feasible, as they are registered with the European Medicines Agency.” The government may, however, choose not to cover the costs of the vaccines.

Dutch attorney Meike Terhorst, who has been active in opposing the pandemic treaty and IHR amendments, told The Defender that, at this time, it’s “hard to tell if the EU could start legal action against Slovakia.” However, Kruse said, “They will certainly try.”

Those behind the implementation of mRNA on a global scale are extremely powerful and perfectly organized,” Kruse said. “Of course, they will use all means to stop anybody who wants to spoil their big mRNA business.”

According to Plothe, “Slovakia has been criticized for this move from all sides in Europe,” noting that no other EU member state has launched a COVID inquiry.

Τhe likelihood of governments in the EU following Slovakia is not yet very plausible. But it will depend on the public’s reactions when learning more and more about what has been done to them,” Plothe said.

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Australian council calls for ban on Pfizer and Moderna mRNA vaccines

While the Slovakian government is mulling whether to proceed with banning mRNA products, the Port Hedland Council in Western Australia on Oct. 11 passed a motion in a 5-2 vote, calling for the immediate suspension of the Pfizer and Moderna mRNA vaccines and for the Australian government to ban the products.

The Daily Mail reported that the council of Port Hedland, a mining town approximately 1,000 miles north of Perth, will now “send letters demanding the Covid vaccines be withdrawn to the Prime Minister, federal and state health ministers.”