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24/07/2025

Anniversaire : 86 ans

1939 – 2025 : 86 ans après l’euthanasie des handicapés

Rebondissement inespéré dans l’affaire Vincent Lambert : la Cour d’appel de Paris a ordonné lundi soir l’arrêt de son euthanasie et la reprise de son alimentation et de son hydratation. Cette décision ravive à nouveau le débat entourant la légalisation de l’euthanasie en France. Pourtant cette affaire ne concerne pas l’euthanasie d’un patient en fin de vie, mais bien celle d’une personne en situation de handicap. Cette situation nous renvoie à des heures sombres de notre passé. 

Vincent Lambert se situe dans un état de conscience minimal depuis un accident en 2008. Il n’est ni mourant ni souffrant : sa santé ne se détériore pas et son état est stable. Les seuls soins dont il bénéficie sont ceux d’une hydratation et d’une alimentation par sonde. Nous sommes loin d’un acharnement thérapeutique exercé sur un mourant, entouré par des moniteurs, une assistance respiratoire et des tuyaux en tous sens.

Comment donc définir l’état d’une personne qui a perdu de manière durable plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales et cognitives ? C’est la définition du handicap donnée par la loi française de 2005 sur le handicap et la Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées. La situation objective, bien que dérangeante, est donc la suivante : Vincent Lambert est handicapé. Son état a d’ailleurs été reconnu par le Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

NOTEZ BIEN CECI (sur la vidéo suivante  à 1 H 43min lien : https://ru-clip.net/video/vZEOL0_Uld8/marche-blanche-pari... ) 7 CENTRES D'ACCEUIL DE SOINS ETAIENT PRÊTS à ACCEUILLIR VINCENT ! et ça a été refusé, il s'agit donc bien d'un assassinat délibéré.

Il fallait obtenir sa mort afin de faire avancer un projet global.

 

Son euthanasie ne renvoie donc pas aux débats entourant la fin de vie, mais bien à la question suivante : faut-il laisser vivre une personne handicapée, dont il nous semble que la vie ne vaut pas d’être vécue ?

Cette question a déjà été posée par le passé, et sa réponse fut radicale :

« Le Reichsleiter Bouhler et le docteur Brandt sont, sous leur responsabilité, chargés d’étendre les pouvoirs de médecins, qui seront nommément désignés, à accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé ».

 

Il suffirait de remplacer le nom des médecins pour croire lire le jugement rendu par les instances françaises dans l’affaire Lambert. Pourtant cette phrase est bien issue d’un décret de 1939, écrit de la main d’Adolf Hitler, qui met en place un programme secret d’extermination des handicapés allemands, connu depuis sous le nom de Aktion T4. De janvier 1940 à août 1941, ce sont 70 273 handicapés physiques et mentaux qui ont été gazés dans des centres de mise à mort installés sur le territoire du Reich. En moyenne, 50% des patients chroniques hospitalisés dans les asiles allemands furent éliminés. Le mois précédent, 5 000 enfants possédant des malformations avaient été assassinés par injection de morphine et de scopolamine ou l’ingestion de comprimés de Luminal ou de Véronal.

Pendant la guerre, l’extermination d’handicapés se poursuit dans toute l’Europe, par gazage, injection létale ou dénutrition. Au total, ce sont plus de 200.000 personnes handicapées qui ont été tuées entre 1939 et 1945.

 

Avant d’en arriver à une politique d’extermination, l’euthanasie avait été promue comme un moyen d’abréger les souffrances, notamment dans le livre Le Droit de mourir d’Alfred Jost (1895) :

« Quand nous voyons un malade incurable se tordre de douleurs indicibles sur sa couche, avec pour toute perspective celle, misérable, de longs mois de dépérissement, sans espoir de guérison, quand nous traversons les salles d’un asile et que la vision du fou furieux ou du paralytique nous emplit de toute la pitié dont l’homme est capable, cette idée ne peut que surgir en nous malgré tous les préjugés dont nous sommes pétris : « ces gens n’ont-ils pas droit à la mort, la société humaine n’a-t-elle pas le devoir de leur accorder cette mort avec le moins de souffrance possible ? » »

Cette compassion fut à double tranchant : en défendant le droit d’abréger les souffrances d’un mourant, on défendit également le droit de mettre fin à la « souffrance » que constituait la vie d’un handicapé. La rhétorique est progressive et subtile : en mettant sur le même plan les souffrances liées à la mort et les souffrances de la vie, elle ouvre la voie aux excès de l’euthanasie sur des autrui plus vulnérables.

L’euthanasie des handicapés sous le régime nazi fut ainsi opérée officiellement par « compassion ». Ce faisant, le choix d’apprécier la valeur d’une vie ne fut pas laissée à l’intéressé, au contraire. Ce furent des personnes tierces, en premier lieu les médecins, qui par « compassion » ont assassiné des dizaines de milliers d’handicapés physiques et mentaux.

Cette idée a été reprise en 1920 par le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche dans leur ouvrage La libéralisation de la destruction des vies qui ne valent pas d’être vécues, ouvrage qui servira de base au programme Aktion T4.

Les deux auteurs justifient d’ailleurs également l’euthanasie des handicapés physiques et mentaux par le coût qu’ils représentent pour la société :

« D’un point de vie économique, ces idiots totaux qui remplissent le plus les conditions d’une mort mentale complète seraient aussi ceux dont l’existence pèse le plus lourdement sur la collectivité »

Le spectre nazi paraît souvent comme exagéré lorsque l’on se réfère à l’euthanasie. Pourtant, force est de constater que les arguments en faveur de l’euthanasie des handicapés sont identiques à ceux utilisés 80 ans auparavant.

Cette confusion volontaire entre l’euthanasie de « fin de vie » et de « vie qui ne vaut pas d’être vécue » est porteuse de conséquences graves...

Suite de l'article https://lincorrect.org/1939-2019-80-ans-apres-leuthanasie...

Jean-Marie le Méné : Président de la fondation Jérôme-Lejeune : "Vincent Lambert n’est pas mort, il a été tué. La différence est importante. Nous nous attendions bien sûr à cette triste issue. C’est une date historique et symbolique. C’est la première fois, en France, sous l’empire d’une loi de la République, qu’on tue une personne handicapée qui n’est pas en fin de vie, qui n’est pas malade, qui n’a pas de maladie évolutive, qui ne souffre pas et qui n’a rien demandé.
Cette date est très importante parce que, derrière lui, se trouve une quantité de personnes dans cette situation. Elles sont isolées et sans famille. On ne sait pas très bien ce que ces personnes veulent et pensent.
Le danger est que la médecine s’empare de ce pouvoir pour mettre un terme à la vie de ceux qui coûtent trop cher à la société. C’est exactement le sens de l’évolution des sociétés occidentales de l’Europe de l’Ouest d’aujourd’hui.
L’association du Droit à mourir dans la dignité milite activement pour l’euthanasie.
Pensez-vous que l’affaire Vincent Lambert va faire jurisprudence ?

C’est une évidence! La Fondation Jérôme Lejeune dit depuis 15 ans qu’à partir du moment où on assimile la nourriture et l’hydratation à des traitements, on arrête les traitements. Cela veut dire qu’on tue la personne non pas avec sa maladie, mais avec l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition. Il est tout à fait évident que la sédation profonde et continue est un maniement très incommode.
L’agonie de Vincent Lambert a duré suffisamment et pas trop. On a mesuré la sédation, ce qui a entraîné chez lui des souffrances horribles.
Il est évident que l’ADMD va dire ‘’c’est tout à fait inhumain’’. Ils disent d’ailleurs depuis longtemps «acceptons, puisque la société française est mûre, acceptons l’euthanasie dans certain cas avec une loi très encadrée, etc».
Cette étape a été annoncée par le demi-neveu de Vincent qui fait l’objet de pression de la part l’ADMD.
La direction dans laquelle on se dirige nous dit «c’est pénible à supporter pour nous les bien-portants, alors faisons en sorte que cela aille plus rapidement».
Le docteur Ducrocq déclarait que la loi Léonetti avait été conçue sur mesure pour régler le cas de Vincent Lambert.

Comme Xavier Ducrocq, je pense que c’est une mauvaise loi. On ne peut pas faire une bonne application d’une mauvaise loi.
La droite parlementaire française pense le contraire. Elle a voté la loi à l’unanimité. La conférence des évêques de France pense aussi que c’est une bonne loi, https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/chouard-tous-les-pouvoirs-abusent-82222mais mal appliquée. Je pense exactement le contraire. C’est une mauvaise loi qui est bien appliquée.
Du reste, c’est ce que toute la jurisprudence a confirmé depuis cinq ans. Nous avons financé la défense de Vincent Lambert depuis cinq ans. Des dizaines et des dizaines de décisions de justice disent toutes que c’est une loi bien appliquée. Jean Léonetti lui-même dit que cette loi est bien appliquée.
Dans les motifs de cette loi Léonetti, il était clair qu’il ne devait plus y avoir de cas comme celui de Vincent Lambert et qu’elle permettait de régler les cas comme ceux de Vincent Lambert. Le problème c’est que le cas de Vincent Lambert est un cas très simple. Médicalement, ce cas est difficile et tragique pour la personne, puisque c’est un grand handicapé tétraplégique, mais médicalement ce type de cas est pris en charge par des établissements spécialisés qui s’occupent admirablement des patients.
Ce n’est pas du tout le cas d’un patient qui fait des arrêts cardio-respiratoires toutes les semaines et qu’il faut réanimer ou non.
La question ne se posait pas pour Vincent Lambert. Il n’avait pas de maladie évolutive, il ne souffrait pas et n’était pas en fin de vie.
C’est vraiment la mise à mort délibérée d’une personne handicapée qui n’a pas pu s’exprimer sur son sort. On ne l’a guère traitée puisque tel est le vent de l’Histoire aujourd’hui.
Ceux qui ne sont pas aptes à vivre dans la modernité sont passés par pertes et profit. C’est le cas des handicapés avant la naissance. Aujourd’hui en France, il ne naît plus d’handicapés sauf quand on ne les a pas vus. Si c’est le cas,ils sont tous éliminés par l’avortement. Il en sera de même à la fin de la vie.
Cette situation avait été largement prévue par Jérôme Lejeune il y a de cela 35 ans. Nous l’avions confirmée en étudiant la loi Léonetti de 2005. Elle se confirme évidemment. Beaucoup n’ont pas voulu voir et ne veulent pas voir. C’est trop difficile. Il faut être lucide et courageux pour le dire et essuyer les critiques pendant des années lorsqu’on soutient une famille qui dit qu’elle aime son enfant en dépit de son handicap.

Hitler a gagné la guerre

 

et (eh oui ! il semble que finalement c 'est Hitler qui a gagné la guerre ! c'est son "esprit de la modernité" comme le dénonce Zygmunt Bauman,qui est en train de tout régir...) les idées qui sous-tendaient la tristement célèbre AKTION T4 onten train d'impreigner l'opinion, et d'être à nouveau instaurée dans les lois. Certains cas "médiatiques"servent à  faire avancer la cause de la mort (et du capitalisme, eh oui !la fameuse"rentabilité" ,rien n'est moins rentable qu'une pauvre vie humaine, un déprimé, un vieux, un "innocent" etc, des "déchets" quoi ! c'est ça que vous voulez ?

Victime de ce qui n’est rien de moins qu’une euthanasie par privation d’eau et de nourriture en raison de son lourd handicap, Vincent Lambert n’avait pas encore fermé les yeux que déjà les partisans de l’euthanasie se prenaient à rêver d’une légalisation de cette pratique en France, tout en vantant les mérites des lois belges relatives à la fin de vie. Pourtant ces dernières, et particulièrement la loi relative à l’euthanasie, laissent la porte largement ouverte à de graves dérives. C’est précisément sur de telles dérives que la CEDH est saisie pour la première fois dans une affaire : Mortier contre Belgique.

La Cour s’est jusqu’à présent prononcée à propos de personnes réclamant un droit au suicide assisté (Pretty c. Royaume-Uni en 2002, Haas c. Suisse en 2011, Koch c. Allemagne en 2012, Gross c. Suisse en 2014). Elle a aussi validé « l’euthanasie déguisée » par arrêt de soins de patients handicapés tels que Charlie Gard et Vincent Lambert (Lambert et. a. c. France en 2015, Gard et. a. c. Royaume-Uni en 2017). Avec l’affaire Mortier, c’est donc la première fois que la Cour doit se prononcer pour évaluer un cas d’euthanasie déjà réalisée. margin: 0.26cm;" align="justify">Rappelons-en les faits. Madame Godelieve De Troyer, atteinte de dépression chronique pendant plus de 20 ans, a été euthanasiée en 2012 sans que ses enfants ne soient avertis, ceux-ci ayant été informés le lendemain du décès. Son fils, Tom Mortier, se plaint devant la Cour du manquement de l’État belge à son obligation de protéger la vie de sa mère au motif que la législation belge n’aurait pas été respectée et qu’il n’y a pas eu d’enquête effective sur ces faits qu’il a pourtant dénoncés à la justice. Il dénonce notamment le manque d’indépendance de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie (CFCEE) chargée de contrôler a posteriori la légalité des euthanasies. Il reproche en particulier le fait que le médecin qui a euthanasié sa mère est lui-même le président de cette Commission de contrôle ainsi que de l’association LevensEinde InformatieForum (LEIF) qui milite en faveur de l’euthanasie. Or, sa mère a versé 2 500 € à cette association peu de temps avant son euthanasie.

Une loi sur l’euthanasie inadaptée à la souffrance psychique Cette affaire illustre parfaitement la difficulté d’encadrer cette pratique et les abus et dérives graves qui en découlent. Elle n’est d’ailleurs pas un cas d’école car les médias relatent régulièrement des euthanasies controversées en Belgique ou en Suisse. Et nombreux sont ceux qui dénoncent le laxisme avec lequel la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie a été mise en œuvre.

Selon les conditions posées initialement par cette loi belge, l’euthanasie doit faire l’objet d’une demande «volontaire, réfléchie et répétée» émanant d’un patient «capable et conscient» qui «fait état d’une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable». Or les termes employés s’avèrent flous et subjectifs: la souffrance est elle-même une notion subjective, tout comme son caractère insupportable comme en atteste d’ailleurs la CFCEE. En cas de souffrance psychique, son caractère inapaisable est également presque impossible à déterminer, comme l’illustre le cas médiatisé de Laura Emily, 24 ans, souffrant de dépression et qui, ayant demandé à être euthanasiée, s’est ravisée le jour-J en expliquant qu’elle avait mieux supporté les semaines précédentes. Ainsi la possibilité d’euthanasie pour souffrance psychique s’avère véritablement problématique. D’ailleurs, en 2002, la Commission Santé publique de la Chambre ne s’y était pas trompée en s’opposant à l’unanimité à l’inscrire dans la loi, estimant avec raison qu’une telle souffrance est pratiquement impossible à évaluer. Elle soulignait également l’ambivalence de la volonté des malades psychiques. Ainsi en cas de dépression, l’affection dont souffrait Mme De Troyer, la demande d’euthanasie est davantage un symptôme de la pathologie qu’une manifestation de volonté libre et réfléchie. margin: 0.26cm;" align="justify">Il y a en outre un paradoxe à prétendre offrir un droit au suicide assisté ou à l’euthanasie - au nom du respect de l’autonomie individuelle - à des personnes qui précisément ne disposent plus d’un équilibre mental. Le respect de l’autonomie devrait au contraire conduire à interdire l’euthanasie aux personnes dépressives ou atteintes de maladies psychiques. Atteintes d’un « handicap » au sens de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ces personnes vulnérables devraient être protégées, et non exposées au suicide. Mais protéger est malheureusement impossible en pratique puisque la loi belge n’interdit pas le « shopping médical » qui consiste, pour un patient se heurtant au refus du médecin qui le suit habituellement, à réitérer sa demande d’euthanasie auprès d’autres médecins jusqu’à trouver celui qui y soit favorable, c’est-à-dire le plus laxiste ou militant. Mme De Troyer a d’ailleurs usé de cette pratique. La CFCEE, une instance favorisant les dérives ?

On pourrait croire que la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, instance chargée de vérifier que les euthanasies pratiquées ont respecté les conditions et procédures légales et instituée par la loi du 28 mai 2002, compense les défauts de cette dernière. Il n’en est rien, comme le montre une fois encore la requête Mortier. La CFCEE manque en fait cruellement d’impartialité puisque sur les seize membres titulaires, au moins huit (et au moins six des seize suppléants) font partie d’associations militant en faveur de l’euthanasie (on compte par exemple les présidents du LEIF et de l’ADMD) et/ou sont des médecins pratiquant eux-mêmes des euthanasies. C’est le cas de son président néerlandophone, le Dr Wim Distelmans, qui n’est autre que le médecin qui a euthanasié Mme De Troyer ! À plusieurs reprises, la CFCEE a également avoué son incapacité à mener à bien sa mission car celle-ci repose sur un système déclaratif et donc tributaire de la conscience professionnelle des médecins. Et le Dr Distelmans d’ajouter : « Les cas douteux évidemment, les médecins ne les déclarent pas, alors on ne les contrôle pas ». Or des études révèlent par exemple que près de la moitié des euthanasies en Belgique n’ont pas été déclarées en 2007. En outre, si les termes de la loi relative à l’euthanasie sont effectivement flous et subjectifs, la Commission s’engouffre dans la brèche en les interprétant dans un sens excessivement extensif et libéral. Florilège : selon elle, la coexistence de plusieurs pathologies non graves et non incurables remplit l’exigence d’une affection grave et incurable ; elle a aussi approuvé des cas s’apparentant au suicide médicalement assisté alors qu’il n’entre pas dans le champ d’application de la loi ; il semble qu’elle ait validé l’euthanasie « en duo » obtenue par un couple dont l’un des membres ne se trouvait pas en phase terminale. " align="justify">Enfin, l’on peut s’interroger sur l’utilité d’un contrôle a posteriori, c’est-à-dire une fois que l’euthanasie a eu lieu, ce qui n’a visiblement pas pour objectif de protéger la vie des personnes et est particulièrement inadapté en cas d’euthanasie pour cause de souffrance psychique. Faut-il alors s’étonner qu’entre 2002 et 2016, la CFCEE n’a transmis au procureur du roi qu’un seul dossier sur 14 573 euthanasies ? Membres juges et parties, conflits d’intérêts, partialité, contrôle a posteriori et basé sur un système déclaratif, interprétation large des termes de la loi : la CFCEE s’avère totalement inefficace pour prévenir les dérives. C’est ainsi qu’un de ses membres, médecin, a récemment démissionné, lui reprochant de n’avoir pas renvoyé devant la justice un médecin ayant euthanasié une patiente à la demande de sa famille.

Une affaire mettant en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique L’État belge manque donc de manière évidente à ses obligations découlant de la Convention alors que la CEDH a jugé que le droit à la vie « impose aux autorités le devoir de protéger les personnes vulnérables même contre des agissements par lesquels elles menacent leur propre vie » (Haas c. Suisse, § 54). Ce que décidera la Cour dans cette affaire ne sera donc pas sans conséquence car la portée de la requête Mortier dépasse largement son seul cadre: elle met en effet en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique en montrant combien il s’avère défectueux et les garde-fous illusoires. Alors que la Cour a déclaré que « l’on ne saurait sous-estimer les risques d’abus inhérents à un système facilitant l’accès au suicide assisté » (Haas c. Suisse, § 58), cette affaire confirme que ce risque est bien réel, donne un aperçu concret de telles dérives et en laisse entrevoir les conséquences à grande échelle. En effet, loin de concerner uniquement la personne qui la demande, l’euthanasie et ses modalités ont des conséquences sociales profondes et funestes : suites psychologiques sur les membres de la famille du défunt en premier lieu, mais aussi perte de confiance dans la famille en général et méfiance à l’égard des soignants, fragilisation des personnes vulnérables dont certaines sont incitées au suicide. Il serait abusif et dangereux de faire prévaloir l’autonomie d’un patient en tant que valeur éthique suprême pour justifier une pratique dommageable à la société tout entière et remettant donc en cause le bien commun.

Ne pas condamner l’État dans cette affaire reviendrait donc à pratiquer la politique de l’autruche quant aux dérives de l’euthanasie, alors que la banalisation de la mentalité euthanasique en Belgique est réelle et fait des ravages. En témoignent par exemple les cas d’euthanasie sans obtention du consentement de la personne, l’ouverture de l’euthanasie aux mineurs « dotés de capacités de discernement » sans limite d’âge en 2014, ainsi que les chiffres officiels : de 235 euthanasies pratiquées en 2003, leur nombre a augmenté rapidement d’année en année pour atteindre 2537 en 2018, ce qui représente 2 % du total annuel des décès. Dans ce contexte, notons également que trois études ont révélé que « 40 % des Belges sont pour l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ». Si la Cour ne fait rien, elle accomplira le roman d’anticipation publié en 1907, Le Maître de la terre où l’auteur, Robert-Hugh Benson imagine des maisons d’euthanasie, où « d’un consentement unanime, les être inutiles, les mourants, étaient délivrés de l’angoisse de vivre ; les maisons spécialement réservées à l’euthanasie [prouvaient] combien un tel affranchissement était légitime.

  en ce moment en Grande-Bretagne :
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7457145/Tafida-Raqeebs-mother-cries-implores-daughter-dont-up.html

Canada :

À mesure que le régime canadien d’  "aide médicale à mourir" (nouvelle formulation chic pour TUER Bender et Hoche e 1921 disaient "libéralisation  du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue", et Hitler disait "Gnadentod" - "aide" "libéralisation" "Gnade" (grace) comme c'est mignon tout ça !) prend de l’expansion, il rencontre plus de résistance. L’une des critiques les plus fortes, qui a souvent fait surface dans les médias, est que certaines personnes atteintes de maladies chroniques, dont la mort n’est pas raisonnablement prévisible, choisissent de mourir parce qu’elles sont pauvres et que les services sociaux (capitalistes !) sont inadéquats. Ils ne veulent pas mourir, mais ils sentent qu’ils n’ont pas le choix.

Les critiques disent que ces cas montrent que les gens sont forcés de choisir l’euthanasie et sont incapables de faire un choix vraiment autonome. Cependant, les critiques peuvent remonter en amont. Selon un récent sondage de Research Co, qui surveille l’opinion publique au Canada, plus d’un Canadien sur quatre autoriserait l’euthanasie pour les sans-abri (28%) et la pauvreté (27%). Ce qui est encore plus choquant, c’est que le sondage a révélé que 50% des Canadiens autoriseraient l’euthanasie pour les personnes qui n’avaient pas accès à un traitement médical et 51% pour les personnes handicapées.

Les jeunes nés après l’année 2000 sont encore plus en faveur. Dans une lettre d’opinion publiée dans le Prince George Citizen, Mario Canseco, directeur de Research Co, souligne que « Les adultes les plus jeunes du Canada sont bien en avance sur leurs homologues plus âgés pour ce qui est de croire que ces deux raisons sont suffisamment convaincantes pour qu’une personne demande l’aide médicale à mourir (60% pour une invalidité et 57% pour un traitement médical non disponible) ».

Lorsqu’on leur demande quelle est la peine appropriée pour un parent reconnu coupable d’avoir aidé un fils ou une fille en phase terminale à mourir, un Canadien sur quatre (24%) ne choisit aucune peine. Une grande majorité (73%) appuie la législation sur l’euthanasie du pays, qui a été qualifiée comme étant la plus radicale au monde. Les Canadiens sont divisés lorsqu’ils se demandent si la maladie mentale devrait justifier qu’un adulte demande l’aide médicale à mourir : 43% appuient cette idée, tandis que 45% s’y opposent. Le gouvernement fédéral a reporté à mars 2024 la décision finale relative à l’admissibilité à la maladie mentale à l’euthanasie.

Commentaire de votre serviteur. Quelle est la signification de cet engouement pour l’euthanasie ? Les Canadiens ne doivent peut-être plus supporter les longs hivers d’une rudesse parfois déroutante alors qu’ils attendent le réchauffement du climat qui ne se concrétise toujours pas. Ou bien ils perdu toute forme d’humanité. Un précédent Premier ministre japonais avait déclaré qu’il serait préférable pour la société que les « vieux » malades soient euthanasiés pour réduire les dépenses sociales du pays. Cette dérive sociétale ressemble progressivement à ce que les régimes totalitaires ont mis en place durant les années 1930 et 1940. La société ne peut pas accepter que l’euthanasie soit banalisée à moins que tout sens moral disparaisse surtout quand il s’agit de motifs économiques. De nombreuses découvertes archéologiques ont montré que les sociétés anciennes, il y a vingt à trente mille ans, prenaient soin des malades et des anciens, ils étaient inhumés décemment. Accepter cette banalisation de l’euthanasie ne pourra qu’aboutir à des excès pour des raisons économiques ou financières. Qui pourra objectivement fixer une limite pour que des malades mentaux soient euthanasiés ? Il semble que les sociétés occidentales rejoignent l’idéologie de l’époque de l’URSS mise en place par le pouvoir central pour éliminer les citoyens récalcitrants en détruisant d’abord leurs aptitudes mentales puis en les éliminant sans aucun état d’âme. Ces abus semblent se reproduire dans les pays anglo-saxons avec l’uniformisation du style de vie, le « chacun pour soi et rien pour les autres » une sorte de disparition de tout sorte de respect et d’humanité.

source : Jacques Henry

Le nouveau projet de loi britannique “sur l’aide à mourir” a été adopté malgré les inquiétudes et les objections de diverses personnes et organisations.  C'est comparable au programme d'euthanasie nazi Aktion T4, qui normalisait et acceptait le meurtre de vies innocentes par des professionnels de la santé pour le « bien commun ».

Dans ce qui suit, Jonathan Engler établit des parallèles entre le nouveau projet de loi, le programme nazi et d’autres événements, tels que l’euthanasie de patients à la Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina, soulignant les dangers de diminuer la valeur de la vie et d’accepter le meurtre comme un élément légitime des soins de santé. Qu'est-ce qui relie la nouvelle loi britannique “sur la mort assistée” au programme d'euthanasie nazi “Aktion 4” ?

Par Jonathan Engler

'ai écrit pour la dernière fois sur le “projet de loi sur l'aide à mourir” du Royaume-Uni1 la veille du vote (ICI), quand j'ai gardé un certain espoir qu'il puisse être vaincu. Cela ne devait pas arriver. Elle a été adoptée la semaine dernière, malgré les problèmes manifestes liés au nouveau projet de loi.

Elle l’a fait après environ 150 heures de débat, y compris en commission. À titre de référence, le projet de loi interdisant la chasse au renard (The Hunting Act 2004) a été débattu pendant environ 700 heures sur plusieurs années.

CETTE est un excellent fil de discussion “de A à Z” de Dan Hitchens décrivant les nombreux problèmes de ce projet de loi.

CETTE bref article dans Hérisson décrit le vote comme “le jour le plus honteux du Parlement”, et je suis enclin à être d'accord.

Mes propres objections au projet de loi sont à plusieurs niveaux. L’une d’entre elles porte sur la capacité de ces lois (et systèmes) à diminuer la valeur de la vie, à la peser de manière utilitaire par rapport à ce à quoi elle contribue ou à ce qu’elle coûte à la société.

C’est alors la première étape sur un chemin par lequel il devient acceptable de faire des choses indescriptibles “pour le bien commun”

Lors de discussions avec des amis et des collègues, Jessica Hockett m'a fait prendre conscience de cette vidéo de 56 minutes, qui vaut vraiment la peine d'être regardée.2 Il décrit – avec des détails atroces – comment le programme d'euthanasie nazi a permis à la société de normaliser et d'accepter la prise de vies innocentes par des professionnels de la santé :

Apprendre à désapprendre : prendre soin des personnes corrompues | Les infirmières tueuses du Troisième Reich (2017) (56 min)

(Une brève description de ce programme – connu sous le nom d'Aktion T4– peut également être trouvée ICI.)

L’un des moments les plus effrayants pour moi dans la vidéo ci-dessus se situe vers 17h30, lorsqu’une personne interrogée dit :

J’ai été intrigué par la façon dont ils pouvaient en venir à croire que tuer était une partie légitime de leur rôle de soignant, ce qu’ils faisaient.
La propagande autour de l’idée même de tuer des gens pour le bien de l’État était profonde, même jusqu’à ce que les enfants fassent des exercices dans leurs manuels scolaires sur le coût de garder les personnes handicapées.

En y réfléchissant davantage, je me suis souvenu de l’article que j’avais écrit avec Jessica Hockett sur les événements survenus à la Nouvelle-Orléans au lendemain de l’ouragan Katrina (ci-dessous), au cours desquels il ne fait aucun doute que des patients ont été euthanasiés. Le fait est qu’en raison des circonstances, la société a pris la décision collective de modifier son cadre juridique pour garantir que les coupables échappent à toute condamnation pour ce qui équivalait sans aucun doute à un homicide.

Lire: Les limites éthiques dans la prise de décision médicale peuvent être floues par les circonstances12 Novembre 2024, Jonathan Engler et Jessica Hockett

 

80 ans après Hitler ????? Mais Hitler étant qu’une des innombrables facettes du libéral capitalisme qui dirige le monde est toujours vivant car hautement utile . DE guerres impérialistes en escadrons de la mort en passant par proxis islamo-terroristes créés par ses soins le libéral capitalisme se charge bien d’entretenir son héritage .

 

 

20/07/2025

garder les informations cruciales pour l'avenir

lorsque auront lieu les procés de ces criminels

et les propos littéralement criminels consistant à dire aux gens d'aller se faire vacciner

08/07/2025

Paraphrase d'André Malraux

Ne construisons pas une civilisation qui élimine les personnes dont nous considérons que la vie n'est plus digne d'être vécue. Voilà des principes qui rappellent quelque chose....

Et dans certains pays égoïstes et "propres en ordre" c'est déjà très avancé.

« Une vingtaine de personnes se sont rassemblées, mardi 9 juillet 2019 devant le centre hospitalier de Reims où se trouve Vincent Lambert, pour protester contre l’arrêt de ses traitements. (en réalité sa mise à mort par inanition) (c'est à dire 20 personnes  ont réagit comme auraient DU réagir TOUS les athées ! .... réfléchissez, c'est logique !  mais ils ne l'ont même pas fait au nom de l'athéisme et du refus de la mort, mais au nom du catholicisme. Bizarre ! les catholiques sont censés croire en la vie après la mort, alors c'est tout de suite moins grave)

Elles se sont réunies vers 20 h, à l’appel des « Veilleurs de Reims ».

(il est vraiment bizarre que ce soient les cathos qui se mobilisent, et non les athées ! Alors que ce devrait être l’inverse. Quand-même ! les athées devraient être beaucoup plus que les croyants viscéralement et inconditionnellement allergiques à la mort !!! (qui ne leur laisse aucun espoir) enfin ! c’est évident !!! et donc ils devraient NORMALEMENT ressentir bien plus que les croyants un devoir fondamental de s’opposer jusqu’au bout à de telles pratiques ! C’est vraiment le monde à l’envers!)

« Ces personnes, accompagnées d’enfants, [normal!] étaient là « pour une veillée de réflexion et de solidarité avec le combat des parents de Vincent Lambert », fervents catholiques farouchement opposés à l’arrêt des traitements. « On ne pouvait pas être autre part qu’ici ce soir », a expliqué Remy Blondet qui affirme osciller entre « désespoir et colère ». « Il faut avoir le courage des mots : c’est une euthanasie », a-t-il dit. »

(Et ils ne priaient pas ?!!! ne fusse que pour l’âme de celui qui était en train de mourir, drôle de « chrétiens !!! Donc c’est un AVEU : ces « chrétiens » en fait n’ont pas un gramme de foi chrétienne !)

« Comment dire qu’une vie ne peut pas être vécue ? « 

(question fondamentale en effet, base de la morale, et contraire à la logique nazie, qui depuis le livre de Binder et Hoche – et avant ça le personnage du Dr Benassis dans « le médecin de campagne » de Balzac, roman paru en 1832 et pierre milliaire historique - à travers l’Aktion T4 et actuellement le génocide des trisomiques]

Nous ne pouvons pas nous satisfaire de la mort donnée par « charité » (et en réalité pour des considérations financières). Nous défendons la vie et la mort naturelle », [les cathos ? Les athées, eux défendent la vie et refusent la mort, in-con-di-tion-nelle-ment, qu’elle soit naturelle ou pas! ] a défendu Éric Lemaitre, membre des « Veilleurs de Reims ». Le groupe s’est séparé en entonnant le chant scout « L’Espérance ».

 

Quelques heures plus tôt, vers 16h, Alexandre, un jeune Rémois était venu chapelet en main se recueillir [ ah ! Un chrétien lui ? ] seul devant l’hôpital.
« J’ai décidé de venir sur un coup de cœur. Je trouve malheureux qu’il n’y ait pas plus de monde pour défendre la vie de Vincent Lambert et des milliers de personnes qui sont dans son état », avait-il affirmé.
Bref, il n’y a qu’un seul chrétien dans toute la ville de Reims visiblement ! ...

 

"Le médecin de Vincent Lambert, hospitalisé au CHU de Reims et dans un état pauci-relationnel après un accident de voiture en 2008, a engagé mardi 2 juillet un nouvel arrêt des traitements, effectif depuis mercredi soir. Cette décision a été rendue possible le 28 juin par la Cour de cassation. Ce protocole médical prévoit notamment l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition par sonde du patient, ainsi qu’une « sédation profonde et continue ».

[c’est à dire une mise à mort délibérée ; un jour ce traitement sera imposé à toute la population passé un certain âge, déterminé par des « contrôleurs de gestion »]

Mais,au fait !

une question qui n'est pas posée c'est les infirmières qui FONT concrètement les ACTES (et absences d'actes) tueurs (car bien sûr le médecin, le "grand patron" d'hôpital, en général arrogant - oh combien dans ce milieu !  - se contente de donner les ordres à son personnel (et encaisser les gras honoraires) qu'en pensent-elles ? Ce sont pourtant elles qui donnent la mort. Mais bien sûr on ne leur demande pas leur avis, elles n'ont qu'à obéir "ac cadaver" sinon c'est la porte ! La ruine de leur vie, la maison achetée à crédit vendue par la banque, la clochardisation, etc ….

Et là, on ne peut s'empêcher de penser à ce cas : (paru sur  la Midi Libre http://expressions.ecoutespirite.org/aux-frontieres-de-la...) celui de M. Joseph Garcia de Lagamas dans l'hérault, à l'âge de 21ans il s'est retrouvé suite à un accident plusieurs semaines dans le coma, il dit entre autre : "Je sais aussi que malgré la fait que  j'étais  dans  le coma  je  me  rappelle  très  bien  (après 61 ans) du nom  et  du  visage  de  l'infirmière en chef  qui a désobéi  au médecin  pour continuer le bon traitement pour moi et qui 'm'a sauvé la vie. Comment j'ai pu connaître son nom ?"

Un autre aspect des choses qu'on n'aborde guère : les parents avaient demandé à prendre Vincent Lambert CHEZ EUX - car c'était techniquement possible ! - mais ça leur a été refusé !

 

Eh oui ! les gens n'appartiennent plus à eux-mêmes ni à leurs famille, mais aux "instances" (comme on disait en URSS)  et concrètement aux « grands patrons ». Maintenant supposons que la famille décide d'entrer dans l'hopital (lieu public théoriquement, puisque appartenant à la République) et y prendre leur enfant pour l'emmener chez eux, que se serait-il passé croyez-vous ??? En tout bon sens normalement rien ! Mais dans la société actuelle, qui, ne nous le cachons pas, est une société coercitive et totalitaire ! ou aucune liberté n'existe dans la réalité des faits (seulement sur le papier," pour faire joli" !),  je pense que la DIRECTION de l'hôpital "public" aurait envoyé des gorilles privés (pardon, en NOVLANGUE on est obligé d'appeler ça des "agents de sécurité (sic)" ) pour les en empêcher physiquement (par la violence quoi). Quelles sont les implications au niveau de la réflexion politique ? hmm

 

En conclusion, on peut paraphraser le fameux discours que Malraux a prononcé un jour à l’Assemblée Nationale et dire : 

« Dââans dîîx miîîlle ââans, quand les historiens s’occuperont de notre époôôque, ils diront « quelle drôle d’époque ! Quand les athées n’étaient pas athées (puisqu’ils n’étaient pas contre la mort, comment être athée et avoir une telle inconscience !?? c’est inconcevable! c'est infiniment scandaleux ! infiniment, car il y a l'infini entre l'existence et le néant, surtout éternel ....) Quand les chrétiens n’étaient pas chrétiens (puisque pas croyants, UN seul habitant de Reims a réagit en chrétien à la mise à mort de Vincent Lambert !), et quand les médecins n’étaient pas des médecins ! (ni les infirmières, car pas une n'a eu le courage de désobéir) »

 

 

01/07/2025

dans la "société" qu'ils nous installent il sera interdit de baguenauder, interdit d'aimer la solitude ! etc etc

Extrait du site http://www.syti.net/Topics.html  qui nous détaille et analyse la société où nous vivons:

La vidéosurveillance
.......

Une fonction encore plus dangereuse est actuellement intégrée dans les logiciels d'analyse des images. Aux Etats-Unis et en Europe, des centres de recherche travaillent à la mise au point de logiciels qui permettent d'identifier des "comportement suspects" d'individus dans une foule, et de transmettre automatiquement une alerte avec localisation aux policiers. Le logiciel permet de distinguer des personnes qui convergent et se rassemblent en un lieu, une personne qui dépose un objet à terre (qui peut donc potentiellement être une bombe), un rôdeur qui s'arrête et change de trajet continuellement au lieu de marcher régulièrement dans une direction précise, ou encore une personne dans un hall qui semblerait attendre à l'écart.

On peut imaginer les conséquences des alertes déclenchées par ce type de logiciel. Tous ceux qui ont un comportement un tant soit peu différent du "troupeau" risqueront d'être abattus par des policiers ayant l'ordre de tirer directement à la tête pour éviter tout risque d'attentat, comme ce fut le cas à Londres en Juillet 2005 (lorsque des policiers anti-terroristes à Londres avaient exécuté de 6 balles dans la tête un  brésilien innocent identifié à tort comme terroriste potentiel).

On peut aussi imaginer les utilisations qui seront faites de ce logiciel dans les entreprises, pour épier et analyser les moindres faits et gestes des salariés.
http://globalpresse.wordpress.com/2012/12/19/2013-comment...



 et si peu de gens réagissent!! après il sera trop tard.

"Lorsque les scientifiques, les ingénieurs et les politiques font bloc, ça ne présage en général rien de bon... pour les humains. Voir les précédents historiques : nazisme, communisme, Inquisition (les docteurs sont des théologiens). " (Bernard Charbonneau)

et n'oublions pas surtout que :
Les moutons robots qui acceptent le fascisme progressif sont aussi dangereux que nos décideurs politiques.

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07/06/2025

Hitler a gagné la guerre

Hitler a gagné la guerre
Les idées nazies emplissent le capitalisme et l’esprit du capitalisme emplit les maîtres de la société actuelle.

Le gouvernement britannique a pour politique d'ignorer les besoins des personnes âgées, les médecins et les infirmières étant chargés de suspendre les traitements et de laisser les personnes âgées mourir pour économiser les lits d'hôpitaux et réduire les coûts.

l'âge limite pour la réanimation est souvent de 55 ou 50 ans, toute personne de plus de 60 ans étant considérée comme âgée et constituant un fardeau pour la société.

Les patients âgés sont souvent laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés, et privés de nourriture et d'eau, signalés dans les hôpitaux et les foyers de soins.

“Le seul -isme dant personne ne se soucie est l'âgisme,” Dr. Vernon Coleman écrit : Par Dr. Vernon Coleman

En Grande-Bretagne, c'est maintenant la politique officielle du gouvernement d'ignorer les besoins des personnes âgées. Cette politique est commune dans le monde entier. Les médecins et les infirmières sont invités à laisser les personnes âgées mourir – et à refuser un traitement qui pourrait leur sauver la vie. On dit au personnel hospitalier de priver les personnes âgées de nourriture et d'eau afin qu'elles meurent plutôt que de prendre des lits d'hôpital. Le personnel des maisons de soins infirmiers a même eu le droit de mettre sous sédation des patients âgés à leur insu. Le seul -isme dont personne ne se soucie est l'âgisme.

Mais à quel âge les patients sont-ils simplement « autorisés » à mourir? Et quel âge est trop vieux pour que les patients soient réanimés? À quel moment la société a-t-elle le droit de dire que You’ve a vécu assez longtemps, maintenant vous devez mourir et faire place à quelqu'un d'autre’? (quel cynisme « écologique »!) Et pourquoi la réanimation devrait-elle être décidée par âge? Il est possible de soutenir qu'il serait tout à fait logique de décider en fonction de la richesse ou de la beauté. Mais l'âgisme est maintenant officiellement accepté. Toute personne de plus de 60 ans est maintenant officiellement âgée, bien que dans un nombre croissant d'hôpitaux, l'âge limite pour la réanimation soit de 55 ou même 50 ans.

Les rapports après rapport montre que les patients âgés sont laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés. Les patients âgés à l'hôpital sont ignorés par le personnel et laissés mourir de faim, privés même d'eau s'ils ne peuvent pas sortir du lit et aller les chercher eux-mêmes.

Les personnes âgées sont un fardeau dont les gouvernements ne veulent pas s’embarasser, et les politiciens continueront donc à autoriser toutes les méthodes nécessaires pour assurer que le nombre de personnes âgées « couteuses » soit réduit au minimum. L'existence d'une branche absurde de la médecine appelée gériatrie est utilisée comme une excuse pour pousser les personnes âgées dans les salles de remous et de leur fournir un traitement médical de deuxième ordre. En février 2011, un rapport officiel a condamné le NHS (britannique) pour son traitement inhumain “des patients âgés” et a déclaré que les hôpitaux du NHS “ne répondant même pas aux normes de soins les plus élémentaires” pour les plus de 65 ans. Il n'est pas exagéré de dire que le NHS traite les personnes âgées avec mépris. (On disait que vous pouvez juger une civilisation par la façon dont elle traite ses personnes âgées.)

C'est en février 2005 qu'il a été révélé que le Gouvernement avait indiqué que les patients hospitalisés qui avaient peu d'espoir de guérison devaient être « autorisés » à mourir en raison du coût de leur maintien en vie. Le Gouvernement travailliste a suggéré que les personnes âgées se voient refuser le droit à la nourriture et à l'eau si elles tombaient dans le coma (cf l’acharnement judiciaire que les autorités ont mis pour faire mourir Vincent Lambert !). (qu’en penserait M. Joseph Garcia de Lagamas ? https://www.midilibre.fr/2012/09/30/aux-frontieres-de-la-... )

Voilà pour tout espoir pour les victimes d'accident vasculaire cérébral. Le Gouvernement a estimé que la nécessité de réduire les coûts était antérieure à la nécessité de préserver la vie des patients
[or dans une société athée la vie humaine doit nécessairement être tenue comme SACREE inconditionnellement, sinon elle cesse d’être une société civilisée! Et d’être une société] et a décidé qu'il avait le droit d'annuler une décision sur le droit à la vie qui avait été rendue lorsqu'un juge a ordonné que la nutrition artificielle et l'hydratation ne soient pas retirées à moins que la vie d'un patient ne puisse être qualifiée d' “intolérable.” (Le juge avait ajouté qu'en cas de doute, la préservation de la vie devrait prévaloir.) - (cf on comprend mieux l’acharnemet judiciaire que les autorités ont mis à faire mourir Vincent Lambert, ils voulaient en faire un exemple, le débur de leur Aktion T4 nazie!)

Bien sûr, priver les personnes âgées de nourriture et d'eau est parfois plus une conséquence de l'incompétence que de la politique officielle. Quand ma mère était à l'hôpital à Exeter, elle ne pouvait pas se nourrir, mais le personnel ne l'a pas nourrie. Si aucun parent ne pouvait se rendre à l'hôpital pour la nourrir, elle n'a pas mangé !!!! Des boissons ont été mises sur son plateau, puis emportées intactes. “Pas soif, aujourd'hui?” un crétin irresponsable demanderait joyeusement.

Pendant ce temps, le gouvernement verse de l'argent pour subventionner la vie des paresseux et des travailleurs timides. Des enfants en bonne santé de 30 ans s'assoient autour de dos de puces et de ventres de bière en croissance, affaissés devant leurs téléviseurs numériques haute définition en regardant leur choix de télévision par satellite subventionnée par l'État, ouvrant les fenêtres pour baisser la chaleur car il est plus facile que de baisser le chauffage central .

Les personnes âgées sont classées comme la “Unwanted Generation”: un embarras politique. Les personnes âgées confrontées à la cécité due à la maladie maculaire liée à l'âge se voient refuser des médicaments qui auraient pu prévenir leur cécité. Les personnes âgées sont considérées comme coûteuses, inutiles et inutiles. La théorie est qu'ils ne’t contribuent et votent rarement et peuvent donc être ignorés. Mais ceux qui croient cela seront vieux plus tôt qu'ils ne le pensent. Et la définition de “old” rajeunit d'ici l'année.

Les guerres nous ont appris que les gens semblent prêts à accepter comme normal toutes sortes de choses terribles. Mais comme il est incroyablement horrible que les médecins et les infirmières acceptent que les personnes âgées (officiellement les plus de 60 ans) doivent être autorisées à mourir parce que les garder en vie est rentable. L'attitude officielle semble être que les personnes âgées ont des droits simplement parce qu'elles sont âgées. À la mi-août 2007, un Select Committee on Human Rights, composé de députés et de pairs, a signalé que 21% des hôpitaux et des foyers de soins ne respectaient même pas les normes minimales de dignité et de vie privée des personnes âgées. Le Comité a déclaré avoir découvert des preuves de négligence, d'abus, de discrimination et de traitement injuste des personnes âgées fragiles. (Leur découverte n'a pas surpris ceux d'entre nous qui ont découvert de tels abus depuis des décennies.) Comment avons-nous réussi à oublier que dans les années 1930, les nazis ont délibérément affamé et déshydraté les patients âgés et vulnérables parce qu'ils étaient considérés comme un fardeau inutile pour la société? C'est exactement ce que nous faisons aujourd'hui.

Une enquête étonnante (et horrifiante) menée auprès des lecteurs des revues Nursing Standard and Nursing Personnes âgées a montré que moins d'une infirmière sur six a déclaré que rien ne les empêcherait de signaler l'abus de personnes âgées dans leurs soins.

En d'autres termes, cinq infirmières sur six ne signalaient pas, du moins parfois, les mauvais traitements infligés aux personnes âgées pour lesquelles elles étaient payées. Donc, à mon avis, cinq infirmières sur six sont aptes à être infirmières.

C'est tout à fait épouvantable et un acte d'accusation de la profession infirmière moderne.

La même enquête a montré que six infirmières sur dix fermaient les yeux sur les mauvais traitements infligés aux personnes âgées. Ils ne diraient rien s'ils savaient qu'un patient âgé ou un résident d'un foyer de soins était battu, intimidé ou volé.

Une des raisons est la lâcheté.

Incroyablement, il semble que les infirmières ont peur de signaler les abus au cas où elles seraient elles-mêmes maltraitées par la personne qui les maltraite.

Les patients hospitalisés et les résidents des maisons de retraite souffrent souvent de malnutrition et de déshydratation, d'abus et de mauvais traitements, de manque d'intimité, de négligence, de mauvaise hygiène et d'intimidation. Des milliers et des milliers de personnes âgées sont laissées pendant des heures dans des vêtements souillés.

Serait-ce parce que trop d'infirmières modernes sont paresseuses, stupides et incompétentes? Trop de gens sont trop importants pour faire autre chose que de regarder un écran d'ordinateur toute la journée.

À mon avis, les infirmières qui ne disent rien quand elles voient des abus sont aussi coupables que les agresseurs. Une profession autrefois grande est, aujourd'hui, dans un état pire qu'elle ne l'était à l'époque de Dickens. Est-ce si démodé de ma part de croire que chaque infirmière devrait toujours signaler chaque incident de maltraitance? Toujours. Sans exception.

L'âgisme est, semble-t-il, maintenant endémique dans les soins de santé. Un lecteur m'a écrit pour me dire que quand elle a visité son médecin se plaignant de genoux douloureux, son médecin lui a dit, très brusquement, que son problème était qu'elle vivait trop longtemps. Elle était dévastée. “Il a été dit comme une blague,” elle m'a dit. “Il le voulait dire.” Dans les mois qui ont précédé sa mort, mon père s'est plaint à plusieurs reprises: “Les gens me traitent comme un imbécile parce que je suis vieux Un lecteur de 79 ans m'a dit: “Si vous avez plus de 55 ans, ils veulent votre mort parce que vous êtes trop cher vivant.”

Nous vivons maintenant dans un monde où il est considéré comme acceptable pour les hommes et les femmes d'avoir à partager une salle; où les salles de bains de l'hôpital sont si sales que les patients n'osent pas les utiliser; où les dentistes sont si rares et coûteux que les gens doivent recourir à tirer leurs propres mauvaises dents à l'aide d'une longueur de ficelle attachée à une poignée de porte. Mais ce sont les personnes âgées qui, par-dessus tout, sont considérées comme jetables et non pertinentes. Ce sont les personnes âgées qui n'ont aucun droit. Le sexisme et le racisme sont interdits, mais pas l'âgisme. En effet, il semble clair que l'âgisme est maintenant un préjugé parrainé par l'État. Les jeunes violents et sauvages qui sont pris à agresser des citoyens âgés respectueux de la loi sont susceptibles d'être “punished” avec une poignée de bons leur donnant droit à une poignée de CD gratuits (dont les paroles peuvent bien encourager plus de violence) mais honnêteles citoyens âgés qui ne peuvent pas se permettre de payer leur facture fiscale du conseil finiront en prison.

Lorsque les médecins appartiennent au Gouvernement, les priorités de Government’s prennent le relais. Ainsi, les personnes âgées, qui sont considérées comme un fardeau coûteux, sont considérées comme consommables.

Note: L'essai ci-dessus est tiré du livre de Vernon Coleman’s intitulé ''thereadPourquoi et comment les médecins tuent plus de gens que le cancer’. Le livre est disponible via le librairie sur son site.

https://expose-news.com/2025/01/20/your-government-wants-...

Mémo Christine Lagarde: Les personnes âgées posent un risque important de fardeau financier pour l'économie mondiale et comment les cibler pour atténuer le risque

Christine Lagarde: Les personnes âgées posent un risque important de fardeau financier pour l’économie mondiale COMMENT s'en débarrasseer ?

Le “Christine Lagarde Mémo: POUR VOS YEUX SEULEMENT, à partir de ‘la Coalition’” est un mémo qui traite des préoccupations au sujet de la longévité “” et de son impact sur l'économie mondiale.

La note, prétendument divulguée par un haut responsable de la Commission européenne, a été adressée aux chefs d'État et aux ministres des Finances, dont Angela Merkel, Theresa May et Emmanuel Macron.

Il suggère que l'augmentation de la durée de vie de la population âgée pose un risque important pour l'économie mondiale et appelle à des mesures urgentes pour résoudre ce problème.

La note propose plusieurs stratégies pour atténuer le fardeau économique de la longévité “,”, y compris le relèvement de l'âge de la retraite et la réduction des droits. Il suggère également d'utiliser une terminologie non sexiste comme “personnes âgées” pour éviter les difficultés de relations publiques associées au ciblage spécifique des femmes âgées.

Il y a quelques jours, nous publié un article cela comprenait un extrait de la Christine Lagarde Mémo.  Nous avons encouragé nos lecteurs à lire le reste de la note pour comprendre les raisons possibles de l'agression sur nos personnes âgées.  Nous n'avons aucun moyen d'authentifier le mémo ou l'endroit où il a été trouvé. Cependant, le fait qu'un auteur primé de renom soit déclaré l'avoir publié, lui donne de la crédibilité.

Nous soulignons à nouveau cette note en la republiant ci-dessous. Malheureusement, ce n'est pas le mémo entier car il semblerait que le mémo ait été déchiré en plus d'une pièce et que seule la première partie ait été récupérée.
Le ‘Christine Lagarde Memo’: POUR VOS YEUX SEULEMENT, de ‘la Coalition’

Par Margaret Morganroth Gullette comme publié par Revue Mensuelle le 9 octobre 2018

en français :  
Les personnes âgées vivent trop longtemps et c'est un risque pour l'économie mondiale. Nous devons faire quelque chose, de toute urgence.”—Christine Lagarde, Directrice du Fonds Monétaire International (Traduit de l'Espagnol)

“Cette note secrète a été découverte dans le panier de déchets d'un membre du personnel de haut rang de la Commission européenne. Il nous a été envoyé par le Dr. Margaret Morganroth Gullette, auteur de ‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’ (2017).

“Le mémo de “la Coalition” commence “Chère Angela, Teresa, Emmanuel..” et a une autre liste de prénoms (chefs d'État et secrétaires ou ministres des finances, de la santé et des services humains), la plupart du temps griffonnés avec marqueur. Monthly Review est heureux de publier cet important document divulgué ici pour la première fois.”—Eds [Monthly Review]

Chère Angela, Teresa, Emmanuel …

POUR TES YEUX SEULEMENT

[S'il vous plaît noter: L'Exposé n'a pas modifié le mémo en aucune façon.  C'est exactement comme il a été publié par Revue Mensuelle, y compris les erreurs typographiques, anglais américain, etc.]

Ici, à la Coalition, nous avons été impressionnés par la bravoure de Christine’s, disant publiquement que les personnes âgées “vivent trop longtemps” et que les responsables de l'économie mondiale doivent faire quelque chose à ce sujet, de toute urgence. Récemment, une photo d'elle, avec un langage potentiellement incendiaire de ses discours, est devenue virale, sans soulever de résistance.

La Coalition se félicite de ce nouveau moment pour faire avancer notre programme sensé et coordonné vers les personnes surannées, de plus en plus justifiées, car tous nos budgets sont engloutis par les droits, nos rues et nos USI sont encombrées de personnes âgées, les frais médicaux pour le sénile augmentent et les enfants adultes sont accablés par les coûts et la culpabilité.

Tout en exploitant cette ouverture à une action positive, cependant nota bene, ce mémo crypté n'est pas pour la distribution. Sa discussion franche et ouverte sur le problème des nations grisonnantes signifie que ses suggestions sont placées dans un cercle restreint. Veuillez imprimer et supprimer.

Lagarde s'en tire avec la promotion de nos recommandations politiques en faisant les chiffres sur la longévité. Numbers don’t. Notre conseil est de faire connaître l'ampleur du problème en évoquant la situation désastreuse du Japon. Leurs données font peur à d'autres pays de se conformer à l'augmentation de l'âge de la retraite et à la réduction des droits. Utile pour nous aux États-Unis, les associations Alzheimer’s publient déjà les données dont nous avons besoin. Répéter les pourcentages de personnes âgées vivant maintenant dans votre pays, et projeter les chiffres terriblement plus importants à l'avenir (2040 ou 2050), ainsi que les pourcentages de cas de démence de temps en temps, est une tactique infaillible pour créer une anxiété fructueuse et soulignant la nécessité de réponses bipartisanes dramatiques à la crise.

Certains wimps et wets se plaindront de “ageism” mais la bonne nouvelle est que cette charge n'a pas d'importance. Peu de gens dans une société connaissent le terme. En Espagne, ils utilisent le mot de prêt anglais, “ageism.” Aux États-Unis, une étude récente montre que l'âgisme vient en dernier dans une liste des autres personnes “isms” sont préoccupés, après le sexisme—sexisme maintenant, avec le mouvement #MeToo et le cirque autour de la justice Kavanaugh, a atteint le sommet de la liste—and puis le racisme et l'homophobie. L'âgisme n'est tout simplement pas considéré comme une oppression.  Aux États-Unis, la Cour suprême n'a pas ajouté l'âge en tant que catégorie protégée, et a même refusé aux travailleurs de la quarantaine certaines des protections générales de l'Age Discrimination in Employment Act de 1967. Lorsqu'on leur a demandé, les personnes âgées disent souvent que l'âgisme fait référence aux jeunes qui leur offrent un siège dans le bus. Ou qu'il se réfère à mots“ridlies” (en Grande-Bretagne) ou “geezer” (aux États-Unis). Les lettres à l'éditeur ou les colonnes qui se disputent la façon de répondre aux questions de nomenclature triviales sont une distraction utile de notre agenda économique.

Des progrès ont été réalisés dans notre programme depuis les années 1980. Il semble maintenant tout à fait possible de réformer davantage les filets de sécurité sans attirer une attention indésirable. Bien que les personnes âgées votent, elles semblent incapables de se défendre. “Augmenter le déficit” est une stratégie non-pareil, permettant à de nombreux gouvernements de cibler les systèmes de santé nationaux qu'ils doivent vraiment réduire. La tactique des États-Unis consistant à répéter que la Sécurité sociale et Medicare seront bientôt insolvables, et que les jeunes ne bénéficieront pas de la vieillesse, s'avère fructueuse.

Pendant des années, nous avons clairement indiqué que la réduction des attentes fonctionnerait. Appeler la colère contre l'inégalité “guerre de classe conflictuelle” est une recommandation que nous soutenons, maintenant que la syndicalisation a été discréditée pour fournir des emplois sur-payés à des groupes subordonnés qui ne méritent clairement pas un examen spécial. Nous suggérons qu'à mesure que l'inégalité augmente, vous détournez l'attention de classe envie de Schadenfreude liée à l'âge, opposant génération contre génération. Dans les sections de commentaires et les éditoriaux, les jeunes Américains, sans être payés pour le dire, ridiculisent volontairement quiconque fait confiance aux États-Unis. Bons du Trésor. Ils se tournent avec colère contre les baby-boomers vieillissants, qui, selon eux, seront la dernière génération à recevoir des prestations. Cette croyance mène à l'inaction. Nous avons l'intention de faire de cette croyance une prophétie auto-réalisatrice.

Nous prévoyons des progrès sur d'autres fronts. Aux États-Unis, les républicains réduisent le ballonnement du ventre en coupant les bureaux ruraux de la Social Security Administration. Certaines âmes prudentes ont brièvement fait valoir que la réduction des services n'économise pas assez d'argent pour contrer la valeur gênante d'avoir des temps d'attente téléphoniques plus longs et des bureaux de moins en plus éloignés, ce qui rend les plaintes des médias judiciaires et irrite les lettres aux éditeurs. Pourtant, c'est un modèle utile d'insérer des coins minces invisibles en essayant de déstabiliser le troisième rail“” de la politique américaine, comme la Sécurité Sociale était appelée. N'étant plus aussi électrifiés, nous sommes heureux de constater. Le candidat Donald Trump, par exemple, a promis encore et encore pendant sa campagne de défendre les programmes hérités de la FDR. Les promesses semblent tout ce qui est nécessaire pour influencer l'électorat.

Medicaid est le prochain. Couper les personnes qui ne travaillent pas, le premier mouvement en Arkansas, a chuté de tous les rôles sauf 2%. Cela permet de réaliser des économies pour un État bien géré à utiliser pour les citoyens plus productifs (un groupe de plus en plus petit, à mesure que la robotisation et l'informatisation prennent le relais). Réduire les protections pour les personnes dans les maisons de soins infirmiers est une autre tactique des États-Unis.

Pendant au moins une décennie, cependant, notre Coalition prévoit que les réformateurs des droits devront prendre en considération les personnes âgées qui deviennent sans abri, car la presse devient étonnamment alerte à cet égard. Le temps exceptionnellement froid de l'hiver dernier a été en faute ici.

Les hommes âgés qui deviennent soudainement sans abri peuvent être décrits comme les victimes de leurs vices. Mais les vieilles femmes démentes au coin des rues qui mendient ou pleurent auront presque certainement besoin d'une campagne publicitaire différente pour que cela semble inévitable. Le trope de la fille Boomer peu accueillante, peut-être? Le problème est que les femmes âgées, bien qu'elles vivent plus longtemps, conservent un certain prestige en tant que mères et grands-mères et présentent donc la principale difficulté de relations publiques dans ce secteur. Nous avons suggéré d'utiliser une terminologie non-sexuée, comme “personnes âgées.” Puisque tout le monde sait que les personnes âgées sont sans sexe, cet usage ne risque pas d'être remarqué, et encore moins attaqué.

La Coalition a décidé de porter une attention particulière à l'avenir sur la longévité, l'ourson de l'État moderne rationnel. Les établissements médicaux et scientifiques se vantent de cela comme de leur succès, et ils ne peuvent pas et ne doivent pas être empêchés de le faire, ou toute la notion de progrès pharmaceutique et chirurgical est jetée par la fenêtre. Imaginez les cris du lobby de Big PhaRMA et les associations médicales étaient n'importe quel ministre de la santé à se plaindre les attentes de la vie augmentent. Pourtant, cette augmentation est le problème auquel nous sommes confrontés tant que les réponses collectives aux problèmes sociaux persistent. Souviens-toi de ce que Margaret nous a appris à dire. “Il n'y a pas de société, seulement des individus.”

Saisissant le moment, les leaders d'opinion du Consortium ont décidé de relever le défi de faire en sorte que la longévité “” elle-même semble un résultat négatif. La presse et les éditeurs n'ont eu besoin d'aucun élan de notre part—excepté l'incitation indirecte que certains de nos bailleurs de fonds possèdent eux—pour laisser les auteurs et les journalistes diaboliser les patients Alzheimer’s, et, malgré les démentis de quelques gérontologues qui sont en quelque sorte devenus des personnalités publiques, pour assimiler Alzheimer’s et la vieillesse. C'est la meilleure publicité pour notre position.

Financée par beaucoup d'entre vous avec des dons généreux, cette campagne de la Coalition continuera de concevoir des moyens humains et discrets pour réduire le grand nombre de personnes surannées dans les économies avancées. Certains retraités partent à la retraite dans des pays à faible revenu, vident nos rues et remettent le parc immobilier aux jeunes, mais dépensent leur revenu disponible en tant que consommateurs ailleurs. Ceux qui restent, vivent plus souvent avec leur propre espèce, hors de vue, et restent à l'intérieur, bien respectueux des besoins des jeunes de parler et de marcher rapidement sur les trottoirs publics sur leur chemin pour effectuer leurs tâches essentielles sans avoir à se soucier de courir dans les codgers confus lents.

Nous continuons d'insister pour que l'expansion du surtraitement “” meme—overtreatment soit une dépense nuisible et inutile. Dans de nombreux pays, la campagne contre le surtraitement dans les hôpitaux et les cabinets médicaux est solidement engagée. Les médecins mettent en garde contre les risques et la qualité de vie inférieure des interventions médicales ultérieures. La presse une fois de plus volontairement aider chaque fois qu'ils lient le terme émotionnel “burden” aux dépenses brutes de soins.

Note aux magnats des médias: n'hésitez pas à risquer plus. Temps publié une plainte de man’s sur le coût de sa mère’s $100 000 opération cardiaque, même si la mère a vécu encore dix ans. Le commentaire qui sert le mieux est de la “I would’t vouloir vivre au-delà de 75,” type—exemplifié par le Dr. Ezekiel Emanuel, qui a appelé son propre père à l'âge de 77 “lent” après son opération cardiaque et a dit il je ne voudrais pas qu'on se souvienne comme lent. Son autorité en tant que bioéthicien dans les National Institutes of Health lui a donné un laissez-passer gratuit. Barack Obama, parlant de sa propre grand-mère à la New York Times, déploré le coût des soins de fin de vie. Les rédacteurs peuvent être encouragés à publier des enfants adultes’s unhappiness with the national costs of careing, surtout si les auteurs ont des parents dits séniles ou proches de la mort. La prochaine crise économique—non pas que nous attendons un— facilitera plus de ces inquiétudes poignantes.

Au cours de cette campagne, nous avertissons les personnalités publiques de faire preuve de prudence et d'afficher des sentiments positifs, toujours en faisant allusion aux horreurs de la vie ultérieure et aux maladies des personnes âgées. Il est plus facile de laisser les jeunes faire le travail négatif. De nos jours, beaucoup d'autres sont désireux de dire ouvertement qu'ils refuseront “d'être relié à des machines.” “I’ll die before I get that way,” ils disent. Nous, de toutes les personnes, en proie à la pro-vie, comme j'aime à le dire, devrions donner un ton respectueux envers “mourir avec dignité.”

Les données ne seront peut-être jamais disponibles sur l'efficacité de l'accentuation du surtraitement chirurgical “” sur la réduction des coûts médicaux, mais je peux attester que cela distrait d'autres coûts que beaucoup de nos alliés dans Big Pharma préférez que la presse et le public n'y entrent pas. De plus, les gens sont de plus en plus convaincus qu'il y a un devoir de mourir— un devoir qu'ils ressentent envers leurs enfants bien sûr, plutôt que l'État.

Tant que le surtraitement (coûteux) reste la cible de choix dans le courant dominant, tant que la presse consentante compare les patients Alzheimer’s aux zombies, tant que les éditeurs publient les préoccupations très naturelles des enfants adultes sur les coûts croissants des choix médicaux parentaux, tant que chaque ralentissement économique ou réduction d'impôt volumineuse produit des soucis de déficit et un chômage de longue durée accru cette tendance à démoraliser génération après génération pour vieillir va croître.

En réduisant le nombre de personnes surannuées, les personnes dans leurs années intermédiaires qui sont devenues au chômage permanent se sont suicidées en nombre croissant, certaines de surdoses d'opioïdes, selon plusieurs rapports des États-Unis. Centers for Disease Control and Prevention. Les soi-disant décès par désespoir chez les hommes âgés sont devenus courants. Les vieilles femmes, bien que craignant de devenir des fardeaux pour leurs enfants, s'accrochent. En réponse, le Consortium suggère que la discrimination fondée sur l'âge, à laquelle les femmes âgées semblent plus facilement sujettes, peut être le moyen le plus simple d'atteindre...

[Ici le texte se termine, le reste du papier ayant apparemment été arraché.] 

À propos Margaret M. Gullette

‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’, Gullette’s le livre le plus récent a été présenté dans Le New Yorker en Novembre 2017 et a remporté le 2018 American Psychological Association’s Division 35 Florence L. Danemark Prix pour les contributions aux femmes et au vieillissement qui favorisent la justice sociale. A examen de Mettre fin à l'âgisme in Tikkun appelle anti-âge “le prochain grand mouvement social.” Elle a publié d'autres livres primés sur les contextes culturels de l'âge, et ses essais ont paru dans New Political Science, Nation, Dissent, Mme, American Prospect. Un essai a gagné le Prix du millénaire Daniel Singer. Ses essais sont souvent cités comme notables dans Meilleurs Essais Américains. Elle est une étudiante résidente au Women’s Studies Research Centre à Brandeis University.

Mise à jour: En 2024 Margaret Morganroth Gullette publié un autre livre ‘American Eldercide: How It Happened, How to Prevent It’ concernant le décès de 200 000 résidents de maisons de retraite pendant la pandémie de covid-19.  Le livre a été nominé pour un Prix Pulitzer et un National Book Award.  Katherine S. Newman, Provost et Vice-Président Exécutif des Affaires Académiques de l'Université de Californie écrit“Avec des détails sans faille Américain Eldercidedénigre l'indifférence du gouvernement et l'échec de la réglementation pendant la pandémie. Les portraits poignants de personnes réelles nous mettent face à face avec des individus qui sont sous notre responsabilité. Ce livre puissant devrait être lu par tous ceux qui se soucient de la santé publique, du vieillissement digne et de la responsabilité du gouvernement

https://expose-news.com/2025/01/20/christine-lagarde-memo/

Jean Fourastié dans son ouvrage, dans  la  célèbre collection  que sais-je : "La civilisation de 1960" (qui date de 1950) qui est un hymne à la Croissance, dans l'introduction mentionne cependant l'idée suivante, il dit que des pessimistes se rallient à "des slogans comme "Hitler a gagné la guerre" (en ce sens qu'il aurait imposé au monde sa conception de l'Etat et de la vie économique)

BEN ! VOYEZ ! ces "pessimistes" (Jean Fourastier, qui fut le créateur de la pensée  des "technocrates" était sans doute aussi celui des bobos "anti-complotistes") avaient bien raison. Ce qui se passe depuis 2020 (et EN FAIT DEPUIS BIEN AVANT ! POUR QUI SAIT OBSERVER !) l'a bien montré!!   il y a d'ailleurs une continuité entre sa pensée et Klaus Schwab


tiens ! c’est un peu ce que j’ai dit une fois dans ce journal, ça s’accorde aussi sans doute avec la pensée de Bernard Charbonneau.
et avec les dénonciations de Jean-Marie Le Mené

 

oui, ce texte je l'avais écrit un an avant la crise politique et idéologique  (car ce n'EST PAS UNE CRISE SANITAIRE !) actuelle, et même si j'étais largement plus pessimiste de le commun des naïfs, je ne savais pas à quel point j'avais raison !!!

Quant à la "crise climatique" (écoutez dans la vidéo ci-dessous comme elle est de nouveau instrumentalisée par la mafia de Davos !) c'était de même que le Covidisme (et que l'hystérique campagne anti-tabac qu'on nous martèle depuis trente ans, qui était un test pour voir si on pouvait culpabiliser soumettre et décérébrer toute une population par la Peûeûeûrrrr !) un plan pour soumettre la totalité de l'humanité en un nouvel "esclavage antique" l'esclavage deux point zéro où les téléphones portables et les QRcodes remplacent les colliers de fer

(bon, le gars est un peu "approximatif" Poutine et Trump "sauveurs de l'humanité" ! ils Poutine, objectivement, comme dirait un marxiste, je veux bien comme le fut l'URSS en 44, mais Trump plus typiquement américain tu meurs ! demandez à Maduro et aux vénezueliens pour voir si il est un "sauveur" ! )

par contre ce n'est pas pour rien que NOS MAÎTRES du grand capital, et donc une de leurs bras armés l'UE, veulent INTERDIRE tout ce qui ne leur rapporte pas des PROFITS (et tout ce qui pourrait ressortir de la libre vie des personnes)  - élémentaire mon cher Watson !  - tout se tient ! on revient vous le voyez TOUJOURS aux principes d'analyse marxiste !  le marxisme c'est le bon sens même, (pour ceux à qui le seul nom de MARX donne "des cloques sur la poitrine" lisez La Fontaine, ça peut suffire !)

 

et ici un lien à une vidéo censurée qu'on n'a pas le droit ni de télécharger ! ni d'intégrer dans un blog !!

https://rumble.com/v1azc8b-pre-michel-viot-le-prtre-catho...

28/05/2025

NI OUBLI NI PARDON

 

27/05/2025

Pourquoi ne laissez-vous pas Israel génocider en paix ? et tuer gentiment les enfants les parents etc

"Je suis absolument scandalisé par ces Européens qui ne veulent pas laisser le peuple le plus moral du monde exterminer un autre peuple. Absolument outré par ces Goyim qui persécutent Israël qui ne fait qu’exterminer tranquillement un peuple. Quand cesseront enfin les persécutions contre le noble Israël. Quand ? Israël ne demande qu’à aimer les Goyim, et qui aime bien châtie bien. Israël aime les Palestiniens et il les châtie bien, et il les aime tellement qu’il les extermine. C’est quand même pas compliqué. Qu’est-ce que vous ne comprenez pas ? Au fond, vous ne voulez pas comprendre, parce que vous haïssez le peuple le plus moral du monde, le peuple de Sion. Vous êtes jaloux du noble Israël qui extermine avec justice. Car si Israël extermine un autre peuple c’est pour des raisons morales, hautement morales. Israël n’a-t-il donc pas le droit de vivre… n’a-t-il pas le droit d’être heureux en exterminant noblement les Palestiniens ? N’a-t-il pas droit au bonheur le peuple de Sion, comme les autres peuples ?… N’est-il pas humain comme vous et moi ? Non ? Combien de siècles allez-vous encore le persécuter ? Si vous ne voulez pas de la lumière d’Israël, cette lumière si morale, si humaine, alors vous sombrerez dans les ténèbres. Et vous le savez très bien. Le peuple de Sion n’aura pas encore longtemps la patience d’enseigner aux Goyim les lois morales. Que vous le niiez ou non, Israël a apporté les lois morales à l’humanité, ingrate humanité. En particulier cette sublime morale : « tu dois vouer à l’extermination, les Héthéens et les Amorréens, les Cananéens et les Phérézéens, les Hévéens et les Jébuséens, comme te l’a commandé l’Éternel, ton Dieu » (Deutéronome 20, 17). Et le noble Josué procéda à leur extermination complète, hommes, femmes et enfants, ainsi que le bétail. Tout comme aujourd’hui, le noble Netanyahu et sa clique procèdent à l’extermination des Palestiniens. Et en procédant ainsi, ils ne font que respecter leur religion. N’ont-ils pas droit eux-aussi à leur part de sacré ? Allez-vous leur dénier même leur droit au sacré ? Votre haine est décidément insupportable. Mais je vais vous dire, quand bien même il serait haï par tous les Goyim, Israël n’en continuerait pas moins de leur apporter la lumière et l’amour. Car Israël est patient et généreux, comme vous ne pouvez l’imaginer. N’écoutez pas ce philosophe de malheur, Spinoza, qui quoique juif écrivait dans le chapitre III de son Traité théologico-politique que : « Tout ce qui a pu être promis aux Hébreux […] comme punition de leur endurcissement au mal, c’est la ruine de leur empire et les maux qui en sont les suites, sans parler des fléaux particuliers dont ils devaient être accablés par suite de leur dispersion ». Non, n’écoutez pas ce fumier de philosophe. Je vais vous dire, Israël a plus souci du bonheur des Goyim que de son propre bonheur, si vous saviez… non mais si vous saviez à quelle hauteur culmine la grandeur d’âme d’Israël… si seulement vous saviez… Vous voulez que je vous dise, vous ne méritez pas toutes les sollicitudes de Sion à votre égard. Des sollicitudes si désintéressées… Alors faites ce que vous voulez. Je vous aurais assez averti. Votre rébellion à Sion vous fera perdre votre salut, car seul Sion sauve. Hommes de peu de foi."

Lofti Hadjat

 

Non, le problème ce n’est pas Netanyahu.
Et non, Israël n’a pas « basculé » dans l’extrême droite.
Ce que beaucoup qualifient de dérive est en réalité une continuité. Netanyahu n’a pas trahi l’esprit d’Israël. N celui de la Thorah (l'Ancien Testament)
Il l’a accompli. Depuis 1948, un système a été mis en place; exproprier, enfermer, fragmenter, effacer.
Un régime d’apartheid pensé, structuré, enseigné.
Pas un accident de parcours. Une doctrine.
Comme l’a montré Nurit Peled-Elhanan, les manuels scolaires israéliens n’accordent aux Palestiniens ni noms, ni visages, ni douleurs. Aucune histoire, aucun droit. Juste des ombres menaçantes. Des cibles.
On prépare les massacres à l’école. Et le mythe du « glissement » est une stratégie d’aveuglement.
Il rassure les consciences, détourne les regards, préserve le mythe d’un « bon sionisme » trahi par ses extrêmes. Mais on ne tombe pas dans l’inhumanité.
On y va. Pas à pas. Et souvent, sous applaudissements de l’occident. Il est temps d’appeler les choses par leur nom. 

05/05/2025

Coluche

  • @mrngadji2955 Il y a 4 ans +355

"C'est l'endroit où vous parlez vite pour qu'on ait pas le temps de parler " waouuuuuuuuuuuuuuuuu! !!

@KeyserSoze95 Il y a 4 ans +9

Est aujourd’hui c’est vraiment le cas sur les plateaux

@sharksghosts6787 Il y a 3 ans +1

Trop bon j en pleure de rire encore mdr !!!

@paulaymericrodrigues3237 Il y a 3 ans +214

Quand on écoute Coluche on se rend compte derrière le comique génial.
Il y avait un homme d 'une grande intelligence et un humaniste .
Tu nous manques tellement

@samsamdurand7754 Il y a 4 ans +142

Ce grand homme manque terriblement. J’aurais voté pour lui sans hésiter.

@estellewelker3604 Il y a 3 ans +48

Un homme brillant, philosophe, intemporel. Merci

@ademkin Il y a 3 ans +160

Un saint homme qui s'est battu toute sa vie pour les pauvres et les classes moyennes. Il a crée les restos du coeur pour nourrir les gens, parce que ces immenses incapables de politiciens ne l'avaient jamais fait. Qu'il repose en paix, on pense à lui.

@SadRavenFr Il y a 2 ans +8

Le rôle des hommes politiques, c'est de maintenir en laisse le peuple pour qu'il travail et apporte des richesses aux puissants qui les ont mis en place. Donc, la première chose que fait le gouvernement, c'est de rendre le peuple le plus pauvre possible, pour l'affamé et qu'il travail dur et longtemps sous le seuil de pauvreté pour qu'il soit docile.
Sinon, comment expliquer qu'une personne (ou même le couple) travaille et n'arrive pas a payer simplement son loyer/prêt, ses factures d'énergie et manger 3 fois par jour ?

  •  

    @HACKER22837 Il y a 2 ans

    @@SadRavenFr des gens arrivent à payer leur loyers/prêts sauf qu’ils n’ont pas la possibilité de vivre de leur(s) passion(s) avec ce qui reste, c’est ça le problème et c’est clair que bcp ont un certain héritage donc pas d’efforts à fournir.

 

@ArimaaRouge Il y a an +52

"C'est l'endroit ou vous parlez vite pour qu'on est pas le temps de parler"
C'est toujours d'actualité et Coluche l'avait compris avant tous le monde.

 

@OtelliSandrina Il y a an

L'endroit où et qu'on ait pas le temps du verbe avoir le temps et tout le monde pas tous Bref nous sommes nombreux à avoir remarqué qu'ils parlaient vite pour qu'on ait pas le temps de répondre Il ne faut pas voir du génie là où il n'y en a pas malgré l'admiration que l'on porte à Coluche

  •  

@Anita-yy2dd Il y a 6 ans +71

C'est tout de même incroyable que depuis Coluche , l'expression de ses Vérités sont toujours vrais , et n'ont pas pris une ride , mais surtout que les problèmes sont toujours les mêmes !!! Donc à résoudre !!!

  •  

@theguy6046 Il y a 4 ans +152

"T'étais un clown mais t'étais pas un pantin" - Renaud en 1988
Merci Coluche pour tout !

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    @merlinoner Il y a 3 ans +3

    Contrairement à Renaud qui en est devenu un.

 

@doddygroot3724 Il y a 4 ans +16

40 ans plus tard on est toujours au même point et tellement vrai !!! Merci Michel d'avoir pu parler en notre nom !!♥️♥️♥️

29/04/2025

si le grand capital continue à) régner en France il nous tuera tous

les intérêts de la classe qui règne actuellement en France sont incompatibles ceux des français, (et avec ceux de la démocratie et de la Civilisation)

27/04/2025

Comme disait Aimé Michel il ne faut jamais s'bstenir de penser

Au bord des routes s'étalent des affiches sur un truc "Terres en fêtes" (en réalité ça veut dire que c'est censé être une fête de l'agriculture, qui en réalité est composée essentiellement de ..... spectacles de rock and roll et chanteurs dans ce goût-là, je ne vois pas le rapport avec l'agriculture , bref retenons bien l'agriculture, les élevages), qui représentent des cochons, des des poulets, et des vaches qui jouent gaiement du rock and roll avec des guitares électriques.
Bon, réfléchissons : vous imaginez Hitler organiser une "Auschwitz en fête" avec sur les affiches des juifs hilares et des déportés travaillant à IG Farben Monowitz qui jouent du Yodel, vous auriez apprécié ?
comme disait Parménide :

« C’est avec le raisonnement qu’il faut trancher les problèmes. Il n’y a qu’une seule voie pour le courage. »

 

PS : et le Colisée ?… Imaginez, dans 2000 ans, des touristes qui, visitant des camps d’extermination d’Auschwitz, prendraient des photos en s’exclamant : «Oh ! super !…