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11/04/2025

un article qui conclue carrèment que les sionistes aurait dû être jugés à Nuremberg avec toute la bande.

une précision : lorsqu’il est dit que l’accord de la Haavara (http://palestine1967.voila.net/discorde/D.discorde.haavar... ) a été signée par la « Fédération sioniste d’Allemagne » avec les autorités économiques de l’Allemagne nazie, celà peut prèter à confusion. En effet un lecteur non averti pourra penser que la « Fédération sioniste » représentait le judaïsme allemand à l’époque comme le CRIF représente le judaïsme français aujourd’hui. Or en 1933 la situation du judaïsme allemand était radicalement différente. L’immense majorité (plus de 90%) des quelques 580000 juifs allemands de l’époque étaient regroupés dans une organisation qui s’appelait le « Central-Verein der Deutschen Bürger jüdischen Glaubens » (Association centrale des citoyens allemands de confession juive). Or cet organisme était strictement anti-sioniste et défendait l’idée d’une assimilation des juifs dans la société allemande sur un pied d’égalité avec les autres citoyens allemands. Il se considérait comme allemand avant d’être juif. Ces idées contredisant l’idéologie nazie le « Central Verein » fut l’objet de la répression dès la venue d’Hitler au pouvoir.
Les sionistes allemands par contre ont vu d’emblée, sous la direction de leur tête pensante, le rabbin Joaquim PRINZ, tout le parti qu’ils pouvaient tirer de la situation. Ils prirent contact avec les autorités nazies en offrant leurs bons et loyaux services en tant qu’interlocuteurs privilégiés des juifs auprès des autorités nazies. Dans son livre « Wir Juden » (nous juifs) PRINZ voyait un aspect positif de l’antisémitisme nazi. En rejetant les juifs de la communauté allemande, le nazisme les obligeait à resserrer leurs liens communautaires et à se définir par rapport à leur identité ethnique et raciale. En fait PRINZ utilisait le suprémacisme racial nazi pour fonder un racialisme juif! Le sionisme chercha alors à proposer aux nazis une solution au problème de la présence juive en Allemagne. Faire émigrer les juifs, surtout jeunes et aptes au travail en Palestine, à une époque où moins d’un tiers de la population de Palestine était juive, la réflexion étant, puisque les juifs étaient exclus de la communauté allemande, de les établir en Palestine, où ils pourraient à leur tour jouer le rôle de « race des seigneurs » vis à vis des populations indigènes arabes.
Pour celà les sionistes allemands étaient près à toutes les compromissions. Lorsqu’un mouvement de boycott fut organisé contre l’Allemagne nazie par les organisations juives américaines en 1933, les nazis inquiets avaient d’abord envisagés d’envoyer des représentants du « Centralverein » à Londres pour obtenir la fin du boycott économique. Ceux ci s’y refusèrent en expliquant qu’ils étaient juifs allemands et ne pouvaient donc influer sur la position d’organisations juives étrangères. Ce furent donc les sionistes allemands ultra-minoritaires qui offrirent leurs bons offices et négocièrent à Londres la fin du boycott. Grâce à cette collusion avec les nazis les sionistes purent en toute impunité developper leur propagande auprès des communautés juives, en vue de l’émigration alors que le « Centralverein » qui tentait de s’opposer à la discrimination des juifs allemands fut étroitement reprimé. Au final, suite à l’activité d’émigration sioniste il ne restait des 580.000juifs allemands de 1933 plus qu’un nombre d’environ 100.000 en 1939.
Au final, en n’ayant pas peur des mots, le sionisme était un collaborateur de la toute première heure des nazis, collaborateur de la pire espèce d’ailleurs, puisqu’il est passé à travers toutes les mailles de l’épuration en 1945, et en se présentant comme le représentant des juifs victimes de la barbarie nazie (qu’il avait pourtant soutenue à ses débuts), a pu obtenir le soutien des puissances alliées victorieuses de la seconde guerre mondiale à la fondation d’un état Israël, fondé sur les principes racistes communs au sionisme et au nazisme. Il aura obtenu des puissances alliés en somme de renier, trois ans après la fin de la seconde guerre mondiale les principes moraux sous le prétexte desquels cette guerre avait été menée.

- En décembre 1942, David Ben Gourion (David Grün de son nom originel, émigra de Pologne en 1906), futur fondateur de l’Etat d’Israël, ayant été informé de la mise en œuvre de la “solution finale“ par les Nazis, se montra pour le moins indifférent.
Il est aussi l'auteur de cette affirmation cynique (1938) : "Si je savais qu'il était possible de sauver tous les enfants Juifs d'Allemagne par leur transfert en l'Angleterre et seulement la moitié d'entre eux en les transférant vers Eretz-Israël, je choisirais celui-ci, parce que nous sommes confrontés non seulement à la comptabilisation de ces enfants mais aussi avec la comptabilité historique du peuple juif."
Ce mépris pour les martyrs de l’Holocauste a été violemment stigmatisé par Simon Wiesenthal, le célèbre chasseur de criminels nazis, au Congrès sioniste de 1946 : “Cela ne nous aurait pas fait de mal d’organiser notre propre procès de Nuremberg contre tous ceux (les dirigeants sionistes) qui n’avaient pas accompli leur devoir envers nous, nos familles et le peuple juif" .
Ce procès réclamé par Wiesenthal n'a évidemment jamais eu lieu !

- Le "Groupe Stern" d’Itzhak Shamir proposa son alliance au le régime hitlérien.
Cette proposition de 1941 – Il y avait alors déjà huit ans que Dachau, le premier camp de concentration, était en "activité" – valu à Shamir d’être arrêté et emprisonné par les Britanniques pour "terrorisme et collaboration avec l’ennemi nazi".
Natif de Biélorussie (son nom d'origine : Yezernistky) Shamir est arrivé en Israël en 1935.
Mis à part les quelques mois qu'il passa dans une prison de l'occupant britannique, son palmarès d'exploits terroristes, de 1937 à 48, fut "remarquable" : attentats contre les civils palestiniens, assassinats divers dont celui de Folke Bernadotte, le médiateur de l'ONU, etc.
Il intégra ensuite le Mossad et en fut un des patrons pendant une dizaine d'années.
Plus tard, il devint premier ministre !
Ce sulfureux personnage qui disait en 1988 que "Les Palestiniens seront écrasés comme des sauterelles... Leurs têtes éclatées contre les rochers et les murs!" a été enterré cette année 2012, dans le "carré des héros de la nation" et a reçu les hommages obséquieux de nombreux chefs d'Etat occidentaux, dont François Hollande !

 

un article qui montre carrèment que la "clique sioniste" aurait dû être jugée à Nuremberg avec toute la bande.
voici pourquoi :

"s’il est des gens qui devraient faire profil bas quand on parle du nazisme, ce sont bel et bien les sionistes ainsi qu’on peut le constater en lisant le texte qui suit de Klaus Polkehn. Ce dernier présente de manière détaillée la somme des relations connues entre la clique sioniste et le régime nazi dès l’arrivée au pouvoir d’Hitler, une clique sioniste qui aurait dû être jugée à Nuremberg avec le reste de la bande.

Et contrairement aux apparences, la politique prosioniste des puissances européennes, de l’Allemagne tout particulièrement, loin de s’inscrire en rupture avec celle du fascisme hitlérien, se situe en fait dans une étonnante continuité. Une continuité dont la perception est cependant rendue très difficile par tout le brouillard émotionnel entretenu sur la première moitié du 20ème siècle et une guerre qu’on a voulue inanalysable par l’opinion publique.

l'article sur lequel est basé cette traduction est en anglais (l’article original de Klaus Polkehn est écrit en allemand). Je n’ai pas reproduit l’important appareil de notes de l’auteur qui renvoie aux documents sur lesquels il s’est appuyé. Vous trouverez toutes ces références dans l’article en anglais disponible en format pdf  (lien ci-dessous)

TheSecretContacts-ZionismAndNaziGermany1933-1941–journal-of-palestine-studies–polkehn-klaus-vol-5-no-3-4-1976-pp-54-82_text (1).

Les contacts secrets : le sionisme et l’Allemagne nazie, 1933 – 1941

Par Klaus Polkehn, Journal of Palestine Studies – 1976 traduit de l’anglais par Djazaïri

L’antisémitisme devint une politique officielle du gouvernement allemand quand Hitler fut nommé chancelier du Reich allemand le 30 janvier 1933.  Le printemps 1933 avait aussi vu  le commencement d’une période de discrète coopération entre le sionisme et le régime fasciste allemand afin d’accroître le flux de capitaux et d’émigrants Juifs vers la Palestine. Les autorités sionistes avaient longtemps réussi à maintenir  cette coopération secrète, et ce n’est que vers le début des années 1960 que des critiques se sont exprimées ici ou là. La réaction sioniste a généralement consisté en des déclarations selon lesquelles leurs brefs contacts avec l’Allemagne nazie avaient été entrepris à seule fin de sauver des vies juives. Mais ces contacts étaient d’autant plus remarquables qu’ils avaient eu lieu à une époque où de nombreux juifs et organisations juives exigeaient un boycott de l’Allemagne nazie.

A l’occasion de la 16ème convention du Parti Communiste Israélien, un document proposé au début de la conférence affirmait  que «après la prise de pouvoir par Hitler en Allemagne, alors que toutes les forces antifascistes dans le monde ainsi que la grande majorité des organisations juives avaient proclamé un boycott contre l’Allemagne nazie, des contacts et une collaboration existaient entre les dirigeants sionistes et le gouvernement hitlérien.»  Le document citait les propos tenus par le dirigeant sioniste Eliezer Livneh (qui était le rédacteur en chef de l’organe de la Haganah pendant la deuxième guerre mondiale) lors d’un symposium organisé par le journal israélien Maariv en 1966, qui expliquait «que pour les dirigeants sionistes, secourir les juifs n’était pas un but en soi, mais seulement un moyen» (c’est-à-dire pour établir un Etat juif en Palestine). S’interroger sur la réaction du mouvement sioniste face au fascisme allemand qui, pendant ses douze années au pouvoir, a assassiné des millions de juifs relève du tabou aux yeux des leaders sionistes. Ce n’est que rarement qu’on peut tomber sur des preuves authentiques ou des documents au sujet de ces questions. Cette enquête rassemble des informations recueillies jusqu’à tout récemment sur certains aspects importants de la coopération entre les fascistes et les sionistes. La nature des choses veut que cette enquête ne présente pas une image complète. Cela ne sera possible que quand les archives (surtout celles qui sont en Israël) dans lesquelles les documents concernant ces évènements sont enfermés à double tour seront accessibles aux chercheurs universitaires.

 

L’avènement d’Hitler 

Pour les dirigeants sionistes, l’arrivée d’Hitler au pouvoir était grosse de la possibilité d’un afflux d’immigrants en Palestine. Auparavant, la majorité des juifs allemands, qui se considéraient eux-mêmes comme allemands, n’avaient guère de sympathie pour l’entreprise sioniste. Les statistiques allemandes, compilées avant la prise du pouvoir par les fascistes, classait la minorité juive uniquement en tant que «confession religieuse» et ce sont les législateurs fascistes qui introduiront la notion de «race» en tant que caractéristique et incluront de la sorte même les descendants assimilés issus de la communauté juive dans la catégorie [raciale, NdT] juive.

Selon les statistiques, 503 000 juifs vivaient en Allemagne en 1933, constituant ainsi 0.76 % de la population totale. 31 % de tous les juifs allemands résidaient dans la capitale Berlin où ils représentaient 4,3 % de la population de la ville. Les statistiques allemandes indiquent aussi que la proportion de juifs dans la population de l’Allemagne avait diminué entre 1871 et 1933, passant de 1,05 % à 0.76 %.

Ces juifs allemands étaient dans leur écrasante majorité non sionistes ou antisionistes et, avant 1937, l’Union Sioniste pour l’Allemagne (Zionistische Vereinigung für Deutschland, ZVFD) avait beaucoup de mal à se faire entendre.

Parmi les juifs recensés en Allemagne en 1925, il n’y en avait par exemple que 8739 (pas même 2 %) susceptibles de voter dans les conventions sionistes (c’est-à-dire en qualité d’adhérents d’organisations sionistes). Aux élections régionales de la communauté juive tenues en Prusse en février 1925, seulement 26 des 124 personnes élues appartenaient à des organisations sionistes. Un rapport  de Keren Hayesod présenté à la 24ème session de la ZVFD en juillet 1932 constatait : «dans le processus d’évaluation du travail de Keren Hayesod en Allemagne, on ne doit pas oublier qu’n Allemagne, nous devons tenir compte non seulement de l’indifférence de larges cercles juifs mais aussi de leur hostilité.»

Par conséquent, à l’époque de l’avènement au pouvoir d’Hitler, les sionistes étaient pour l’essentiel une petite minorité insignifiante et peu influente et d’étaient les organisations non sionistes qui jouaient un rôle dominant parmi les juifs.  A leur tête se trouvait la Centralverein deutscher Staatsbürger jüdischen Glaubens (CVn ou Union Centrale des Citoyens Allemands de Confession Juive), fondée en 1893 qui, ainsi que son nom le laisse entendre, considérait les juifs allemands comme des allemands et considérait que son premier devoir était de combattre l’antisémitisme.

En accord avec cette position fondamentale, la CVn avait aussi nettement affirmé son rejet du sionisme. C’est ainsi qu’une résolution adoptée par la principale instance de la CVn le 10 avril 1921 se concluait par ces mots : « si le travail de colonisation en Palestine n’était qu’une affaire d’aide et d’assistance, alors, du point de vue de la Centralverein, il n’y aurait rien à redire à la promotion de ce travail. Cependant, la colonisation en Palestine est d’abord l’objet d’une politique nationale juive et sa promotion et son soutien doivent donc être rejetés.» En conséquence, c’était la CVn qui, pendant les années précédant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, se tenait à l’avant-garde des partis et organisations progressistes dans leur lutte contre l’antisémitisme. Au sujet de cette attitude, l’écrivain juif Werner E. Mosse remarquait : «Alors que les dirigeants de la CV considéraient comme de leur devoir de représenter les intérêts des juifs allemands dans l’action et le combat politiques, le sionisme prenait position pour … une non participation des juifs à la vie publique allemande. Il rejetait par principe toute participation à la lutte menée par la CVn.»

L’attitude des sionistes à l’égard de la menace d’une domination fasciste totale en Allemagne était déterminée par certains présupposés idéologiques communs : les fascistes tout comme les sionistes croyaient aux pseudo théories raciales, et les uns comme les autres partageaient la croyance dans des généralisations mystiques comme le caractère national» (volkstum) et la «race,» les uns et les autres étaient chauvins et penchaient pours «l’exclusivisme racial.» C’est ainsi que l’officiel sioniste Gerhart Holdheim écrivait en 1930 dans une livraison du Süddeutsche Monatshefte consacrée à la question juive (une publication dans laquelle, entre autres, des antisémites notoires faisaient connaître leurs opinions) : « Le programme sioniste conçoit la communauté juive comme étant homogène et indivisible, sur une base nationale. Le critère qui définit la communauté juive n’est pas al confession ou la religion, mais un sentiment global d’appartenance à une communauté raciale que réunissent des liens de sang et historiques et qui est déterminée à préserver son individualité nationale.» C’état le même langage, la même phraséologie que celle utilisée par les fascistes. Il va de soi que les fascistes allemands voyaient d’un bon œil les conceptions sionistes, tel Alfred Rosenberg, le principal idéologue du parti nazi qui écrivait :

«le sionisme doit être soutenu vigoureusement de sorte à ce qu’un certain nombre de juifs allemands partent chaque année en Palestine ou que, du moins, on leur fasse quitter le pays.» Considérant une déclaration de ce genre, Hans Lamm écrira plus tard : «…il est incontestable que dans les premières étapes de leur politique juive, les nationaux socialistes pensaient qu’il convenait d’adopter une attitude pro sioniste.»

De manière très perspicace, la CVn avait remarqué que la reconnaissance par les sionistes de «certains postulats des nationalistes allemands » avait donné des munitions aux antisémites et, dans une déclaration de politique générale émise par la CVn il était même question du sionisme comme ayant mis au mouvement [juif] un «coup de poignard dans le dos» dans la lutte contre le fascisme.

Mais les sionistes pensaient que seul Hitler pouvait pousser les juifs allemands antisionistes dans le bras du sionisme. Robert Welsch, qui était alors rédacteur en chef du journal sioniste allemand Jüdische Rundschau déclarait le 8 janvier 1933 (trois semaines après l’arrivée d’Hitler au pouvoir) lors d’ une réunion du comité local de la ZVFD : «Le caractère antilibéral du nationalisme allemand [i.e. les tendances réactionnaires de la bourgeoisie allemande – K.P.] s’accordaient avec la position antilibérale du sionisme et nous nous trouvons maintenant devant une chance de trouver, non une base pour une compréhension [mutuelle, NdT] mais pour la discussion.»

 

L’appel à Hitler le 30 janvier pour prendre la tête du gouvernement fut suivi par une mainmise sur toutes les positions d’autorité par le parti national Socialiste, ce qui signifiait que des antisémites déclarés étaient désormais au pouvoir. Les juifs allemands regardaient ces évènements avec appréhension parce que dans le programme du parti nazi figuraient le retrait de la citoyenneté aux juifs (Point 5) la révocation des Juifs exerçant dans la fonction publique (Point 6) ainsi que l’expulsion de tous les Juifs qui avaient immigré en Allemagne après le 2 août 1914 (Point 8).

 

Seuls les sionistes voyaient des avantages à cette tournure des évènements (L’historien britannique Christopher Sykes, qui n’était certes pas antisioniste, est de l’opinion «que les dirigeants sionistes étaient déterminés dès le tout début du désastre nazi à retirer un avantage politique de la tragédie.»

 

La première expression publique de cela fut l’œuvre du Dr Joachim Prinz, un rabbin berlinois qui était un sioniste convaincu et qui immédiatement après le 30 janvier 1933 décrivit la prise de pouvoir par Hitler comme étant le «début du retour des juifs à leur judaïsme.»

Evoquant le terrorisme fasciste contre les juifs allemands, Prinz écrivait : « Nous n’avons plus nulle part où nous cacher. Au lieu de l’assimilation, nous souhaitons la reconnaissance de la nation juive et de la race juive.» Ce point de vue n’était pas du tout celui d’un individu isolé. On pouvait lire le 13 juin 1933 dans l’organe officiel de la ZVFD, le Jüdische Rundschau:

 

Le sionisme reconnaît l’existence d’une question juive et veut la résoudre d’une manière généreuse et constructive. A cette fin, il veut s’attirer le soutien de tous les peuples ; ceux qui ont de la sympathie pour les juifs tout comme ceux qui leur sont hostiles, dans la mesure où, du point de vue sioniste, ce n’est pas une question sentimentale mais un véritable problème à traiter à la solution duquel tous les peuples sont intéressés.

 

En recourant à cette argumentation, le sionisme adoptait la même ligne politique que les fascistes.

Le 21 juin 1933, les sionistes firent une déclaration officielle sur leur politique à l’égard de la prise de pouvoir par les fascistes : «La déclaration de l’Union Sioniste pour l’Allemagne en Référence à la Position des Juifs dans la Nouvelle Allemagne.»  Dans une partie de ce long document, il était souligné que «Notre avis est qu’un des principes du nouvel état allemand d’exaltation nationale rendrait possible une solution satisfaisante.» Dans son document, la ZVFD, jetait un regard sur l’histoire de la situation des juifs en Allemagne, en se servant d’un vocabulaire fasciste comme les «liens du sang et de la race» et, exactement comme Hitler, postulait une «âme spécifique» pour les juifs. Les sionistes affirmaient ainsi : «Pour le juif aussi, l’origine, la religion, la destinée commune et la conscience de soi doivent avoir une signification décisive dans sa façon de vivre. Ce qui nécessite de surmonter l’individualisme égoïste qui s’est répandu à l’époque libérale, et devrait être réalisé à travers l’acquisition d’un sentiment commun d’unité et en assumant avec joie notre responsabilité.»

Après cette admission et cette reprise des thèses fascistes, suivait une reconnaissance ouverte de l’Etat fasciste : «Sur le sol du nouvel Etat [i.e. l’Allemagne fasciste], qui a établi le principe de la race, nous volons organiser l’ensemble de la structure de notre communauté de la même manière, de sorte que, pour nous aussi, l’aboutissement de la revendication de notre patrie puisse aboutir dans la sphère qui nous est allouée.» En conclusion, les sionistes condamnaient la lutte contre le régime hitlérien  menée par les forces antifascistes  qui avaient appelé au printemps 1933 au boycott économique de l’Allemagne nazie. « La propagande pour le boycott qu’ils sont en train de faire contre l’Allemagne est dans sa nature même contraire au sionisme dès lors que le sionisme ne veut pas combattre mais convaincre et construire.»

Pour saisir toute la portée de cette déclaration du ZVFD, il faut ici aussi se souvenir de ce qui l’a précédée. La persécution des juifs avait déjà commencé et avait déjà atteint un premier point culminant avec un grand pogrom qui avait touché toute l’Allemagne le 1er avril 1933.  Dans les premiers jours de mars 1933, les citoyens juifs allemands avaient été maltraités dans des viles allemandes (par exemple des boutiques juives avaient été pillées à Brunswick le 11 mars et, le 13 mars, des avocats juifs avaient été malmenés devant le palais de justice de Breslau [aujourd’hui Wroclaw en Pologne]. Les autorités fascistes avaient promulgué la loi sur la restauration de la fonction publique [le 7 avril 1933] qui aura pour conséquences, entre autres, la révocation de 2000 chercheurs et professeurs juifs des universités. Le 18ème congrès sioniste, qui s’était réuni à l’été 1933n’y voyait pas de problème : quand, pendant las session du congrès sioniste qui se tenait le 24 août 1933, la situation des juifs en Allemagne allait être débattue, le présidium du congrès a fait en sorte d’empêcher la discussion. Il avait aussi réussi à empêcher l’introduction d’une résolution appelant au boycott des marchandises allemandes, et avait à la place insisté fortement sur la nécessité d’organiser l’émigration des juifs allemands. Les protestations contre les évènements en cours en Allemagne avaient été réduites au plus strict minimum.

 

Les fascistes récompensèrent les sionistes pour leur «retenue » et permirent au ZVFD de poursuivre ses activités sans entraves. (C’était au moment où tous les partis et organisations démocratiques et antifascistes en Allemagne étaient soumis à une répression des plus  rigoureuses et où leurs cadres et  leurs membres étaient en prison ou en camp de concentration) Dans le même temps, les fascistes mettaient toutes sortes d’obstacles sur le chemin des organisations non sionistes. Ces entraves touchaient en tout premier lieu la CVn parce que, avant 1933 déjà, les fascistes voyaient dans la CVn « leurs principaux opposants juifs, » ainsi qu’il est indiqué dans de nombreux exemples tirés de la presse nazie.

La CVn avait toujours accusé les sionistes de monter peu d’intérêt pour la «lutte [contre le fascisme … et qu’ils [les sionistes] suivaient une politique d’indifférence [devant l’emprise du péril fasciste] parce qu’il ne se sentait pas concerné.»

Le 1er mars 1933, les SA, des paramilitaires fascistes, occupaient le siège central de la CVn pour le fermer. Le 5 mars 1933, la CVn était interdite en Thuringe pour cause de  «complot de haute trahison.» Dans le même temps, l’Etat nazi se tournait contre d’autres organisations juives non sionistes, comme la « Ligue du Reich des Anciens Combattants », par exemple, qui représentait une tendance juive nationaliste allemande. L’ «Union Nationale des Juifs Allemands» était également interdite.

 

Avec ce soutien fasciste, les dirigeants de l’Union Sioniste pour l’Allemagne purent obtenir pour la première fois une position dominante auprès des juifs allemands. A l’automne 1933, la « Association du Reich des Juifs en Allemagne»  fut fondée et de grandes organisations juives, dont le CV et le ZVFD y participèrent. Le chef de cette organisation était le rabbin Leo Baeck dont la personne reflétait l’attitude ambivalente de l’organisation à l’égard du sionisme ; Baeck était à la fois membre de la principale instance du CV, et président du fonds de colonisation juive «Keren Hayesod» en Allemagne.

L’organisation nouvellement créée offrait aux dirigeants sionistes une plateforme plus large pour leurs activités.

L’Association du Reich n’avait pas été, comme on l’a parfois prétendu, créée sur instruction des autorités fascistes.  Ball-Kaduri écrit :

«Il s’est avéré que la création de l’Association du Reich se fit sans aucune interférence de l’Etat ; une fois le processus de structuration achevé, l’organisation a simplement été déclarée au ministère de l’intérieur du Reich. – la Gestapo ne s’y était pas du tout intéressée.» C’est seulement le 4 juillet 1939 que l’ordonnance concernant la création obligatoire d’une Union des Juifs du Reich en Allemagne fut promulguée, amenant à changer le nom de l’organisation qui passa de celui de Députation à celui d’Union. Cette ordonnance rendait obligatoire l’adhésion de tous les Juifs à l’Union du Reich. Le paragraphe 2 de cette ordonnance satisfaisait également un des objectifs du sionisme en affirmant : «L’Union du Reich a pour objectif la promotion de l’émigration de tous les Juifs.»

Le parti nazi, à ses échelons les plus élevés, autorisait des activités politiques de divers types. A cet égard, par exemple, la police politique bavaroise notait le 9 juillet 1935 : ils rejetèrent des tentatives pour sauver les Juifs Allemands dès lors qu’elles n’avaient pas pour but l’installation des Juifs en Palestine. L’exemple qui suit est celui de la conférence d’Evian : quand après 1933 la majorité des pays capitalistes refusa d’accueillir les réfugiés Juifs d’Allemagne, le président Américain Roosevelt appela à la réunion à Evian d’une conférence sur les réfugiés. Cette conférence se tint du 6 au 15 juin 1938 avec la participation de 32 pays capitalistes. La conférence échoua étant donné que les participants refusèrent d’accueillir les réfugiés Juifs. On aurait pu supposer que le mouvement sioniste, qui était aussi représenté à Evian, aurait essayé de faire pression sur les gouvernements pour qu’ils lèvent leurs restrictions. Mais les sionistes déposèrent au contraire une motion dès le début de la conférence pour demander l’admission d’1,2 million de Juifs en Palestine.

Les organisations sionistes collectent depuis un certain temps de l’argent auprès de leurs adhérents et de leurs sympathisants avec l’intention de promouvoir l’émigration, en achetant de la terre en Palestine, et d’obtenir un soutien pour la colonisation en Palestine. Ces collectes n’ont pas besoin d’obtenir une autorisation administrative parce qu’elles se font dans des cercles juifs fermés. De plus, la police de l’Etat n’a pas d’objections contre l’organisation de ces réunions dès lors qu’elles portent sur ce genre de fonds qui ont pour but de promouvoir la résolution en pratique du problème juif.

Après 1933, les fascistes permirent aux sionistes de continuer avec leur propagande. Tandis que tous les journaux en Allemagne étaient placés directement sous supervision du Ministère de la Propagande (les journaux publiés par les communistes, le parti Social-démocrate ou les syndicats et d’autres organisations progressistes étaient interdits) le Jüdische Rundschau pouvait paraître sans entraves.

 

1936: réunion berlinoise de la Zionistische Vereinigung Deutschland (organisation sioniste en Allemagne - photo musée Yad Vashem)

1936: réunion berlinoise de la ZVFD, l’organisation sioniste en Allemagne (photo musée Yad Vashem)

 Winfried Martini, correspondant  à l’époque de la Deutsche Allgemeine Zeitung à Jérusalem et qui, selon son propre témoignage, avait des «liens personnels étroits avec le sionisme » observa plus tard ce « fait paradoxal » que «de toute la presse, c’était la presse juive i.e. sioniste] qui pendant des années conserva une certaine marge de liberté qui avait été complètement retirée à la presse non juive.»  Il ajoutait que dans le Jüdische Rundschau, on pouvait très souvent trouver des opinions critiques à l’égard des nazis sans pour autant que cela se traduise par l’interdiction du journal.

C’est seulement à partir de fin 1933 que cela conduisit à une interdiction de la vente de ce journal à des non juifs. Les Juifs devaient, c’est ce que souhaitaient les fascistes, être convertis au sionisme même si cela devait se faire avec une argumentation dirigée contre les fascistes. De la sorte, la diffusion de ce journal sioniste qui était auparavant assez faible connut une rapide augmentation.

Que le journal sioniste ait pu se féliciter d’être dans les bonnes grâces des dirigeants fascistes est compréhensible quand on examine la position de cet organe de presse vis-à-vis du boycott des commerces juifs du 1er avril 1933. Ce pogrom organisé contre des citoyens Juifs en Allemagne, qui avait soulevé l’indignation dans le monde entier et provoqué colère et répulsion chez tous les Allemands honnêtes n’avait pas été condamné franchement par le journal qui l’évaluait plutôt comme une confirmation de la justesse de la position sioniste : «l’erreur fatale de nombreux Juifs [de croire] que quelqu’un peut représenter les intérêts juifs  sous une autre casquette [autre que juive en tant que telle, NdT] est écartée, » écrivait le Jüdische Rundschau en parlant du pogrom : «Le 1er avril 1933 peut être un jour de réveil juif et de renaissance juive.»

La liberté d’action des sionistes incluait aussi l’édition de livres à côté de leur journal. Jusqu’en 1938, plusieurs maisons d’édition (dont entre autres,  Jüdische Verlag à Berlin-Charlottensburg et Schochen-Verlag à Berlin) pouvaient publier sans entraves de la littérature sioniste. C’est ainsi que purent être publiés en toute légalité dans l’Allemagne fasciste des textes de Chaim Weizmann, David Ben Gourion et Arthur Ruppin.

 

Les premiers jours de la domination nazie en Allemagne virent aussi le début d’une collaboration économique entre les fascistes et les sionistes. En mai 1933, la compagnie sioniste de plantation de citronniers en Palestine,  Hanotea», avait déjà sollicité du ministère de l’économie du Reich la permission de transférer du capital d’Allemagne, ouvrant ainsi la voie à l’accord de transfert (Haavara) qui interviendra plus tard.

La compagnie «Hanotea » achetait les marchandises allemandes dont elle avait besoin, les payant avec des comptes bancaires en Allemagne d’émigrants Juifs. Les émigrants quittaient alors l’Allemagne et recevaient l’équivalent en immobilier de ce qui avait été prélevé sur leurs comptes. Comme l’expérience avec Hanotea semblait avoir été une réussite aux yeux des dirigeants sionistes, des négociations furent entreprises à l’été 1933 entre la partie sioniste et le ministère allemand de l’économie, ce qui aboutit à la signature de ce qu’on a appelé l’accord Haavara.

Les négociations de 1933 sur la Haavara sont un des épisodes de l’histoire du sionisme sur lequel un voile a été jeté, vu qu’elles constituaient un exemple de coopération économique au moment où les forces antifascistes essayaient de prendre la tête d’un boycott de l’Allemagne nazie. En évoquant cette démarche de boycott, Nahum Goldmann qui occupait alors une position importante dans le mouvement sioniste, écrira plus tard :

Cependant, beaucoup d’organisations juives refusèrent d’y participer [au boycott], soit parce que beaucoup de firmes juives étaient en fait des représentantes commerciales d’entreprises allemandes, ou parce que certaines organisations juives, celles des Etats Unis plus précisément, avaient adopté la position selon laquelle in était antipatriotique d’organiser un boycott contre un pays avec lequel son propre pays entretient des relations commerciales normales.»

Cet exposé est sans doute valable pour les raisons évoquées prises une à une, mais il occulte néanmoins la vérité, parce que ceux qui ont rompu le boycott ont d’abord été les sionistes eux-mêmes.

Il y a des versions divergentes sur les circonstances qui ont amené à l’accord Haavara. Selon une version, l’initiative des négociations avec les autorités fascistes serait venue des l’Union Sioniste pour l’Allemagne qui avait intéressé au projet Hoofien, le directeur-général de l’Anglo-Palestine Bank en Palestine. Hoffien, est-il rapporté, s’était rendu à Berlin en 1933 et était entré sur place en négociations avec Oberregieunsgrat Hartenstein du ministère de l’économie du Reich. (raison pour laquelle l’accord Haavara est souvent appelé aussi l’accord Hoofien, une appellation qui réduit la responsabilité de l’ensemble de la chose au seul personnage de Hoofien). Dans la mesure où Hoofien était impliqué (une implication sans doute nécessaire du moment où il était question d’accords concrets sur des questions de transferts qui requéraient l’expertise d’un banquier professionnel), on doit considérer qu’une affaire d’une telle importance ne pouvait pas résulter d’une initiative privée et qu’elle n’aurait pu être mise en œuvre sans l’autorisation des institutions sionistes.  On peut de fait apprendre par d’autres publications que les négociations étaient chapeautées à Berlin par celui qui était alors le chef du département politique de l’Agence Juive : Chaim Arlosoroff.  Finalement, l’accord conclu en 1935 sera approuvé officiellement par le Congrès Sioniste Mondial !

Les mots mêmes de Ball-Kaduri sont que l’accord Haavara avait été conclu « sous la forme d’une lettre adressée à Herr Hoofien par le ministère de l’économie du Reich. Les négociations s’étaient déroulées sereinement car les Nazis avaient encore un «penchant sioniste» à l’époque.

En vertu de l’accord signé à Berlin, deux compagnies furent créées : la compagnie Haavara à Tel Aviv et une compagnie sœur baptisée Paltreu à Berlin. La procédure se déroulait de la manière suivante : l’émigrant Juif payait avec son argent (la somme minimale était d’un millier de livres sterling) sur le compte en Allemagne de la Haavara (à la banque Wassermann Bank de Berlin ou à la banque Warburg de Hambourg). Avec cet argent, les importateurs Juifs pouvaient acheter des marchandises allemandes pour les exporter en Palestine tout virant une somme équivalente en livres palestiniennes dans le compte de la Haavara à l’Anglo-Palestine Bank en Palestine. Quand l’émigrant arrivait, il trouvait dans son compte une somme équivalente à celle qu’il avait versée en Allemagne (c’est là que Ball-Kaduri observe : « après avoir déduit des frais assez élevés »).

En relation avec l’émigration vers la Palestine permis par l’accord Haavara, les sionistes fondèrent la Palestine Shipping Company qui acheta le bateau allemand de transport de passagers «Hohenstein » qu’ils rebaptisèrent «Tel Aviv.»  Le bateau fit son premier voyage vers Haïfa au départ du port allemand de Bremerhaven au début de l’année 1935. Pendant ce voyage, le bateau portait à la poupe son nouveau nom en caractères hébraïques tandis que le swastika flottait sur son mât ; « une combinaison d’absurdité métaphysique » écrira plus tard un des passagers. Le capitaine du navire, Leidig, était un adhérent du parti Nazi !

 

Le Hohenstein rebaptisé Tel Aviv sera revendu en 1937 au Japon

Le Hohenstein rebaptisé Tel Aviv sera revendu en 1937 au Japon

 

L’accord Haavara vouait à l’échec la démarche de boycott de l’Etat nazi et maintenait sans disruption pour l’économie fasciste l’accès à ’un large marché à l’export à une époque où le commerce mondial souffrait encore des traces de crise économique internationale de1929.  Ce point avait été souligné dans un mémorandum par Stuckart, le secrétaire d’Etat au ministère de l’intérieur du Reich. Dans ce mémorandum, daté du 17 décembre 1937, il était observé : «Les principaux avantages [de l’accord Haavara] sont les suivants : l’influence du groupe Haavara en Palestine a amené au résultat imprévu et inhabituel mais espéré que, de tous les endroits, la Palestine est le pays dans lequel les biens allemands ne sont pas boycottés par la partie juive…» En même temps, la procédure Haavara a rendu possible une accélération du mouvement d’émigration juive vers la Palestine, amenant au renforcement de la position des sionistes en Palestine. Les immigrants qui viennent d’Allemagne amènent avec eux un plus haut niveau de compétences économiques entre autres choses.

 Ce qui résultait aussi de la «sélectivité.» Comme l’accord requérait le versement  par l’émigrant d’un millier de livres sterling au minimum, seuls des membres de la bourgeoisie juive étaient en mesure de profiter de ce dispositif, tandis que les travailleurs d’origine juive étaient lassés à leur destin. Ainsi, l’évaluation suivante de l’accord de Haavara dans le cadre de l’examen de la politique raciale du fascisme peur être considérée comme parfaitement juste : le principe de solidarité qui nécessitait que les Juifs restent unis devant leurs persécuteurs  avait volé en éclats du fait d’intérêts capitalistes. Pecunia non olet. Dans le même temps, les dispositions prises par les entrepreneurs Juifs dans le seul objectif de transférer leurs capitaux de l’Allemagne fasciste vers la Palestine étaient accueillies avec grande considération. On a affirmé que le capital envoyé au Moyen Orient était placé au service des Juifs. En réalité cependant, cet argent servait en Palestine aux mêmes objectifs qu’en Allemagne : le profit de ses détenteurs.

Le même livre affirme que «l’Internationale Sioniste voulait que les émigrants Juifs d’Allemagne arrivent sur le sol de Palestine non comme des sans le sou mais en tant que propriétaires d’un capital qui contribuera à l’édification d’un Etat capitaliste. C’est à partir de ce désir qu’a grandi l’intérêt des sionistes pour s’associer avec des antisémites.»

De fait, avant même la création d’Israël, l’accord de transfert  donna une forte impulsion à l’économie sioniste en Palestine. Des sources sionistes parlent d’une somme de 139,6 millions de Reichsmarks – une somme énorme à l’époque – transférée d’Allemagne en Palestine. Une autre source situe le montant transféré à 8 millions de livres sterling. Ce n’est pas une simple coïncidence si les projets les plus importants en Israël ont été créés ou dirigés par des émigrants partis d’Allemagne. La plus grande fonderie de Palestine et l’industrie du ciment par celui qui fut à une époque directeur de la compagnie des eux et d’électricité de Berlin, le Dr Karl Landau. Le Dr Arnold Barth de Berlin, le Dr Siegfried Sahlheine de Hambourg et Herbert Förder de Breslau furent les premiers organisateurs de la banque Leumi. Fritz Naphtals de Berlin et George Josephthal de Nuremberg  transformèrent en entreprise géante l’insignifiante «Arbeiterbank.» Certains des plus importantes firmes israéliennes furent fondées par Yekutiel er Sam Federmann de Chemnitz ( Karl-Marx-Stadt à l’époque communiste) ; l’entré Yekutiel dans le Who’s Who en Israël (1962) le présente comme un «fondateur de ‘l’Israel Miami Group’ (Dan Hotel) ; le partenaire israélien du cimentier ‘Isasbest’ ; le fondateur et associé de ‘Israel Oil Prospectors Corp, Ltd ‘ qui procéda au premier forage pétrolier ‘Mazal 1’ et présida de nombreuses autres entreprises.

Les accords économiques entre les sionistes et le fascisme allemand avaient l’approbation de toutes les instances du Reich nazi. Le ministère des affaires étrangères avait déjà adopté une attitude pro-sioniste en maintes occasions avant 1933 (il y avait eu des rencontres entre Chaim Weizmann et les secrétaires d’Etat von Schubert et von Bullow).

C’est seulement après le déclenchement de la révolte arabe palestinienne de 1936 que les premières divergences d’opinion s’installèrent dans les diverses institutions fascistes sur l’utilité de poursuivre les transferts dans le cadre de la Haavara. Le ministère des affaires étrangères se rendait maintenant compte que la politique de facto pro-sioniste allait aliéner les Arabes à l’Allemagne hitlérienne – une perspective qui n’était pas dans l’intérêt du Reich Nazi. Döhle, consul général d’Allemagne à Jérusalem, était le porte-voix de ce point de vue et, dans un long mémorandum daté du 22 mars 1937, il observait que « par notre promotion de l’immigration juive… la position qu’avait pu réoccuper l’Allemagne… allait être mise à mal.» En adoptant cette position, Döhle était moins animé par un intérêt pour les Arabesque par une inquiétude pour les intérêts politiques du fascisme allemand. Il ajoutait que l’Allemagne ne devait «pas trop se préoccuper  des sympathies des Arabes à l’égard de l’Allemagne dès lors que ce dont nous avions besoin était moins d’avoir une politique arabe active que d’éviter la promotion voyante accordée à l’édification d’un foyer national juif.»

Döhle craignait   «un revirement de l’humeur des Arabes et que nous soyons accusés de participer activement à la lutte contre eux.»

Les inquiétudes de Döhle étaient partagées par d’autres autorités fascistes. Ainsi, l’Office du Commerce Extérieur de l’Auslandsorganisation du parti nazi (le bureau du parti chargé des affaires internationales) déclarait en toute franchise : «Politiquement, il [l’accord de la Haavara] revient à apporter un soutien efficace à l’établissement d’un foyer national juif avec l’aide du capital allemand.»

Le 17 décembre 1937, il était signalé dans le mémorandum déjà cité de Stuckart, Secrétaire d’Etat au ministère de l’Intérieur, que depuis le début de la révolte arabe en Palestine «les avantages procurés par la procédure [de Haavara] sont devenus plus faibles  tandis que ses inconvénients deviennent de plus en  plus importants.»

Stuckart était d’avis que si la création d’un Etat juif était inévitable, alors «tout ce qui permettrait le développement d’un tel Etat devrait être évité.» Puis Stuckart déclarait clairement : Il est hors de doute que la procédure de la Haavara a apporté la plus forte contribution au développement extrêmement rapide de la Palestine [i.e. des colonies sionistes – K.P.]. Cette procédure n’a pas seulement permis l’apport de très grosses sommes d’argent [d’Allemagne] ; elle a aussi apporté les hommes les plus intelligents parmi tous les immigrants, et a en fin de compte fourni les machines et les équipements industriels nécessaires – aussi d’Allemagne.»

 Les craintes de ces responsables (qui, ainsi que nous le verrons étaient en contradiction avec l’opinion des SS et de la Gestapo) furent finalement communiquées à Hitler. Hitler, ainsi qu’on peut le lire dans un mémorandum du département de la Politique Commerciale du ministère des affaires étrangères en date du 27 janvier 1938, décida que la procédure de la Haavara devait continuer. Cette position d’approbation prise par Hitler vis-à-vis du renforcement de la colonisation sioniste de la Palestine resta inchangée malgré les doléances émanant du ministère des affaires étrangères er l’Auslandorganisation du parti nazi relativement à  la montée de l’hostilité des Palestiniens à l’égard de l’Allemagne.  C’est ainsi que l’Auslandorganisation au ministère des affaires étrangères exigea à nouveau dans un mémorandum daté du 12 novembre 1938 que «une initiative soit entreprise pour une annulation d’un accord de Haavara qui n’a que trop duré.» Jon et David Kimche confirment le fait qu’Hitler «avec une détermination sans ambigüité, avait ordonné la promotion d’une immigration de masse en Palestine,» et qu’Hitler avait en outre formulé la décision fondamentale que «l’émigration juive devait être encore plus encouragée par tous les moyens disponibles. Il est donc indiscutable que l’opinion du Führer était qu’une telle émigration devait être avant tout orientée vers la Palestine.»

Finalement, même Winfried Martini confirme la position pro-sioniste des cercles fascistes les plus importants pendant la révolte arabe de 1936-39. Il écrit que, en tant que correspondant de la Deutsche Allgemeine Zeitung en Palestine, ses articles sur la révolte «étaient assez clairement favorables à la partie juive,» et que cela n’avait soulevé aucune objection de la part des responsables nazis.

Hitler resta donc le garant des transferts Haavara qui ne furent stoppés qu’avec le déclenchement de la deuxième guerre mondiale.

 https://archive.org/details/zionistrelations0000glub

Coopération avec les services de renseignements nazis

Pendant les premiers jours de la domination fasciste sur l’Allemagne, les sionistes avaient un contact direct avec l’appareil de répression fasciste, ce qui se traduisit par une coopération informelle entre la direction sioniste et les organisations de terreur du Reich nazi (la Gestapo, la SS etc.). Dès avant 1933, le dirigeant sioniste Leo Plaut «avait une connexion» avec la police politique et avec un cadre de la police, l’Oberregierungsrat Rudolf Diels (supposé être un camarade de classe de Plaut). Quand Diels fut d’abord nommé chef de la police secrète en 1933, il maintint ses relations avec Plaut. «En fait, Plaut avait même le numéro de la ligne secrète de Diels et pouvait l’appeler à tout moment.» On peut seulement spéculer sur les détails de leurs contacts parce que les documents à ce sujet sont enfermés à double tour aux archives de Yad-Vashem à Jérusalem. On peut cependant supposer que c’est grâce à ces contacts qu’une rencontre avait pu être arrangée entre le premier ministre Prussien Herman Goering (plus tard condamné à mort par le tribunal de Nuremberg pour crimes de guerre) et les chefs des organisations juives allemandes. La réunion eut lieu le 26 mars 1933. Parmi les dirigeants  sionistes présents, se trouvait Kurt Blumenfeld, mais il a gardé le silence sur cet épisode sans ses mémoires.

De tels contacts se faisaient en secret, mais il existe des preuves concernant des préparatifs en vue d’une coopération entre les sionistes et la SS (l’organisation qui chapeautait tout l’appareil policier et du renseignement dans l’Etat fasciste). Peu de temps après la prise du pouvoir par les fascistes, le journal Der Angriff, contrôlé par les chefs propagandistes Nazi, publiait un article sur un voyage en Palestine qui présentait en termes positifs la colonisation sioniste en Palestine. Le reportage, intitulé «Un nazi voyage en Palestine,»  «ne comportait pratiquement aucune critique.»

 

Médaille commémorative du séjour de leopold von Mildenstein

Médaille commémorative du séjour de Leopold von Mildenstein en Palestine

Le pseudonyme de l’auteur «Lim» dissimulait l’identité du SS Untersturmführer (équivalent du grade de lieutenant dans l’armée) Leopold von Mildenstein. Mildenstein servait dans le SD (le service de sécurité de la SS) qui était à l’origine le service secret interne du parti nazi mais qui, à partir de 1934, cessa d’être simplement la police du parti et un instrument entre les mains du commandement de la police pour se transformer en service secret  intérieur principal de la dictature fasciste.

Le SD était aussi devenu  l’organisation de commandement politique et de formation des cadres pour la police fasciste. Le fait que Mildenstein ait pu être l’homme capable d’écrire des articles ouvertement pro-sionistes n’était pas une simple coïncidence puisque, en 1934, le Bureau II du SD s’était étoffé d’un bureau II-112 ou «Judenreferat» (bureau des affaires juives) dont il assurait la direction. Selon Martini, Mildenstein avait été «discrètement conseillé par des officiels sionistes » pendant son séjour en Palestine. Le département dirigé par Mildenstein a eu la charge de la politique juive du nazisme jusqu’en 1938 Cette politique avait été formulée par l’organe officiel de la SS, Das Schwarze Korps, dans les termes suivants : «Le temps n’est peut être pas bien loin qui verra la Palestine recevoir à nouveau les enfants qu’elle avait perdu il y a un millier d’année. Nos vœux ainsi que la bonne volonté de l’Etat les accompagnent ». Il y a eu des tentatives pour décrire la politique pro-sioniste de la SS comme reflétant l’attitude personnelle de Mildenstein  plutôt que l’entente officielle entre sionistes et fascistes. Mais il n’y a pas que la citation extraite du Schwarze Korps pour contredire cette thèse : Mildenstein lui-même, quelques années plus tard, republiera sous forme de livre ses notes de voyage parues dans l’Angriff. Mais cette fois-ci, il transformera sa tendance pro-sioniste initiale en antisémitisme sans fard.

Les dirigeants sionistes qui avaient «discrètement conseillé » le directeur du « Judenferat » au SD pendant son voyage en Palestine poursuivirent leurs contacts avec la SS et le SD. Naturellement, peu de détails sont connus sur ces contacts dont les traces sont des documents hautement classifiés. Un des rares documents  disponibles sur ces relations est un mémorandum du professeur Franz Six daté du 17 juin 1937 qui porte la mention «Affaire secrète pour le commandement. » ce mémorandum contient des informations sur une visite de l’émissaire sioniste Feivel Polkes à Berlin. Polkes était membre de l’état major de l’armée sioniste clandestine, la Haganah, avec le grade de commandant. L’Oberscharführer de la SS Herbert Hagen qui avait succédé à Mildenstein à la direction du Judenferat affirmait que Polkes avait le « commandement de l’ensemble de l’appareil d’auto-défense des Juifs de Palestine.»

En Palestine, Polkes avait été en relation étroite avec le correspondant de la « German News Agency ,» le Dr Reichert qui était actif dans le réseau d’espionnage du SD en Palestine. Ce réseau était dirigé pat Otto von Bodelschwingh, un agent du SD établi comme agent commercial à Haïfa. C’est le Dr Richert qui avait obtenu un visa d’entrée en Allemagne pour Polkes.

Polkes resta à Berlin du 26 février au 2 mars 1937, participant à plusieurs réunions avec des agents du SD représentant le régime nazi, dont deux avec le Hauptscharführer Adolf Eichmann (Eichmann avait alors commencé à travailler au «Judenferat»). Polkes avait alors offert de collaborer avec le gouvernement allemand, disant à Eichmann qu’il était par-dessus tout intéressé à «accélérer l’immigration juive en Palestine, de sorte à ce que les Juifs deviennent majoritaires par rapport aux Arabes dans son pays. A cette fin, il travaillait avec les services secrets anglais et français et ils voulait aussi coopérer avec l’Allemagne d’Hitler.»

Hagen avait noté un peu plus loin dans son rapport sur la visite de Polkes à Berlin : «Il avait aussi signalé sa disponibilité à rendre des services à l’Allemagne sous la forme d’informations, dans tant qu’elles n’entraient pas en conflit avec ses propres objectifs…»

Entre autres choses, il soutiendrait avec vigueur les intérêts allemands au Moyen Orient…» Höhne avait commenté l’offre de Polkes en ces termes : « … derrière ça, il y a clairement la politique d’immigration de la Haganah.»

La SS avait immédiatement récompensé les intentions coopératives de Polkes avec les instructions préconisées par Six. « Une pression est exercée sur l’association des Juifs du Reich en Allemagne afin d’obliger les Juifs qui émigrent d’Allemagne à se rendre seulement en Palestine et dans aucun autre pays. »

C’était exactement ce que voulaient les sionistes mais, ajoutait Six : «Une telle mesure va entièrement dans le sens des intérêts de l’Allemagne et elle est déjà mise en œuvre par la Gestapo.»

Feivel Polkes, le commandant de la Haganah, s’était mis en quatre pour faciliter le développement de la coopération entre sionistes et fascistes ; il avait même lancé une invitation à Eichmann pour une visite en Palestine comme invité de la Haganah.

Six observait :

«Dans le travail de mise en contact, le nom du SS Hauptscharführer Eichmann du Département II-II2  me vient à l’esprit avant tout autre. Il avait eu des discussions avec Polkes pendant le séjour de ce dernier à Berlin et il avait été invité à visiter les colonies juives en Palestine où il serait son guide.»

Le voyage en Palestine entrepris par Hagen et Eichmann n’est qu’un épisode dans l’histoire de la collaboration entre le sionisme et l’Allemagne nazie. Mais c’était un événement à la fois significatif et révélateur qui est devenu l’objet d’une falsification considérable. Au lieu d’admettre le fait que le tristement célèbre assassin de Juifs, Adolf Eichmann, avait à un moment donné été invité en Palestine par la Haganah, les auteurs sionistes ont renversé la faute et affirmé que le but de la visite d’Eichmann était d’entrer en contact avec les rebelles Palestiniens, voire de conspirer avec le mufti de Jérusalem, Hadj Amin Al-Husseini. L’inventeur de cette histoire semble être le sioniste bien connu Simon Wiesenthal qui, en 1947, avait déjà prétendu qu’Eichmann avait implanté un réseau d’agents dans la colonie [allemande] de Sarona en Palestine et avait pris contact avec le Grand Mufti. En 1951, Léon Poliakov avait publié quelque chose de semblable dans Die Welt et Gerald Reitlinger la lui emprunta deux ans plus tard pour son livre « La solution finale » dans lequel Eichmann était supposé avoir été envoyé en Palestine pour prendre contact avec les rebelles Arabes.»

A partir de là, la légende a fleuri, avec l’Américain Quentin Reynolds affirmant même qu’Eichmann avait rendu visite au Grand Mufti. Le biographe d’Eichmann, Commer Clarke, était allé jusqu’à soutenir qu’Eichmann avait emporté avec lui 50 000 dollars d’ «or nazi» pour les offrir aux rebelles Palestiniens.

Quand de tels mythes sont mis en regard avec la réalité des faits, une des raisons pour lesquelles le gouvernement israélien tenait tant à ce que le procès Eichmann ait lieu en Israël et pas ailleurs devient claire ; c’est seulement en Israël que les contacts des sionistes avec les nazis pouvaient être écartés du regard de l’opinion publique. C’est seulement là-bas que la pression sur un Eichmann qui jouait sa vie dans ce procès pouvait être suffisante pour qu’il fasse de fausses déclarations devant la cour. «Il est vrai,» déclara Eichmann pendant son procès, «qu’un des objectifs de mon voyage en Palestine en 1937 était de prendre contact avec le Mufti Al-Husseini.  Mais le rapport sur leur voyage rédigé par Hagen et Eichmann et découvert dans les archives secrètes d’Himmler, le chef de la SS, renvoie une image différente. On peut résumer ainsi la teneur du rapport sur ce voyage : Eichmann et Hagen quittèrent Berlin le 26 septembre, se faisant passer pour des rédacteurs du Berliner Tageblatt et arrivèrent à Haïfa le 2 octobre 1937 à bord du bateau Romania. Comme les autorités britanniques avaient refusé la permission de débarquer aux deus émissaires de la SS (à cause de la révolte arabe), Eichmann et Hagen allèrent en Egypte. Sur place, ils rencontrèrent non pas Hadj Amin Al-Husseini, mais leur vieille connaissance, Feivel Polkes, l’officier de la Haganah.

Le rapport de voyage d’Hagen et Eichmann contient une restitution exacte  des conversations avec Polkes qui eurent lieu les 10 et 11 octobre 1937 au café Groppi du Caire. Polkes avait débord exposé en toute franchise les projets sionistes devant les hommes de la SS (les déclarations de Polkes telles que consignées par Hagen et Eichmann ne sont pas seulement intéressantes quant à la coopération sionisme – fascisme, mais elles sont également importantes comme témoignage sur la politique expansionniste des sionistes) :

«L’Etat sioniste doit être établi par tous les moyens aussi vite que possible afin qu’il attire un flux d’émigrants Juifs vers la Palestine. Quand l’Etat juif sera établi dans le cadre propositions actuelles de la Commission Peel, et dans la ligne des promesses partielles de l’Angleterre, alors les frontières pourraient être repoussées plus loin conformément à sa volonté [de l’Etat juif].»

Polkes avait ensuite fait l’éloge de la terreur antisémite en Allemagne : «les cercles nationalistes juifs ont exprimé leur grande satisfaction devant la politique allemande radicale à l’égard des Juifs, ca cette politique devrait faire augmenter la population juive en Palestine de sorte qu’on puisse envisager une majorité juive devant les Arabes dans un futur prévisible.»

Une fois de plus, Polkes avait souligné la nécessité d’accélérer le départ des Juifs d’Allemagne et avait réitéré sa disponibilité à donner des informations secrètes au SD. Il avait offert immédiatement deux éléments « d’information  de ce genre» ainsi qu’Eichmann le notait dans son rapport de voyage. Le premier était conçu pour susciter l’hostilité du régime fasciste à l’égard du mouvement nationaliste arabe. Eichmann avait noté : «Selon les informations de Polkes, le Congrès Panislamique Mondial en convention à Berlin est en contact direct avec deux leaders Arabes prosoviétiques : l’émir Chakib Arslan et l’émir Adil Arslan. » Le deuxième élément d’information consigné par Eichmann dans son rapport de voyage concernant ce parti qui s’était engagé sans équivoque à l’avant-garde de la lutte contre la terreur fasciste et les indignités antisémites : le Parti Communiste Allemand. «La radio communiste illégale dont la diffusion est particulièrement importante en Allemagne est, selon Polkes, installée dans un camion qui circule le long de la frontière germano-luxembourgeoise pendant les retransmissions.» (Cette information donne un aperçu intéressant que où les dirigeants sionistes voyaient leurs alliés et où ils voyaient leurs opposants !)

Les rencontres entre Eichmann et Polkes ne sont pas des évènements isolés et fortuits. Elles s’inscrivent dans le contexte d’une coopération à long terme entre fascistes et sionistes. Après le voyage d’Hagen et Eichmann, la collaboration avait été cimentée par la «Mossad Aliyah Beth,» qui avait été créée par la Haganah comme organisation pour l’immigration illégale après le coup de frein à l’immigration en Palestine décidé par la Grande Bretagne suite à la Commission Peel. Fin 1937, i.e. quelques mois après le voyage d’Eichmann, des envoyés du Mossad prenaient leurs fonctions dans les locaux de ma Reichsvereinigung [Union des Juifs du Reich] au 10 Meineckestrasse à Berlin-Charlottenburg, avec la permission des autorités fascistes de Berlin. Ces deux envoyés, Pina Ginsburg et Moshe Auerbach avaient fait le voyage de Palestine en Allemagne à cet effet.

Dans leur livre Secret Roads ; Jon et David Kimche ont situé l’arrivée de Ginsburg à Berlin à l’été 1938. Ginsburg s’était présenté lui-même officiellement à la Gestapo en tant qu’émissaire de «L’Union des Colonies Communautaires », déclarant qu’il était en mission spéciale et que sa tâche convergeait avec les intentions du gouvernement nazi, son objectif étant l’organisation de l’émigration des Juifs Allemands en Palestine. C’était seulement avec le soutien des dirigeants nazis que ce projet pouvait se réaliser sur une grande échelle. La Gestapo avait alors discuté avec Ginsburg sur «la manière de promouvoir et d’accroître l’immigration juive en Palestine à l’encontre de la volonté des autorités mandataires britanniques.»

En attendant, les autorités fascistes avaient commencé à changer ses méthodes de pression sur les Juifs Allemands. Elles ne s’en remettaient plus aux seules organisations sionistes pour s’occuper de l’émigration en Palestine. A Vienne (l’Autriche avait été occupée par l’Allemagne hitlérienne en mars 1938), «l’Office Central pour l’Emigration Juive» était créé et placé sous la responsabilité d’Adolf Eichmann. Ai début de l’été 1938, Eichmann rencontrait à Vienne un autre émissaire du Mossad, Bar-Gilead. Ce dernier demanda la permission d’installer des centres (camps) de formation pour les émigrants afin qu’on puisse les préparer à leur travail en Palestine. Après avoir référé de cette requête à Berlin, Eichmann avait accordé l’autorisation et fourni tout ce qui était nécessaire pour l’installation des camps de formation. Vers la fi 1938, environ un millier de jeunes Juifs avaient été formés dans ces camps.

Dans le même temps, Ginsburg à Berlin avait pu, avec l’aide des autorités nazies, établir des camps semblables. Jon et David Kimche écrivent : «Le Palestinien [Ginsburg] qui était venu à Berlin prêt à tout, n’avait aucun état d’âme à dîner avec le diable et à s’assurer sa part du repas.»

Dans son livre Eichmann à Jérusalem, Hannah Arendt a commenté les informations fournies par les Kimches :

…ces Juifs de Palestine tenaient un langage pas complètement différent de celui d’Eichmann…ils avaient été envoyés en Europe par les colonies communautaires en Palestine, et ils n’étaient pas intéressés par des opérations de secours – ce n’était pas leur job. Ils voulaient sélectionner du «matériel adapté» et leurs principaux ennemis… n’étaient pas ceux qui rendaient la vie impossible dans les pays d’installation ancienne qu’étaient  l’Autriche et l’Allemagne, mais ceux qui empêchaient l’accès à la nouvelle patrie ; cet ennemi était clairement la Grande Bretagne, pas l’Allemagne… ils étaient probablement parmi les premiers Juifs à parler ouvertement d’intérêts mutuels…

La proposition d’une alliance militaire avec Hitler

Tandis que la tendance majoritaire du mouvement sioniste, la tendance du parti «travailliste» (Ben Gourion etc.) et les «sionistes généralistes » (Weizmann et les autres), camouflaient soigneusement leurs contacts avec les fascistes, et s’exprimaient publiquement contre eux, l’aile droite du sionisme, le parti Révisionniste (ancêtre de l’organisation terroriste Irgun Zvai Leumi et plus tard du parti Herut en Israël) avait ouvertement et en maintes occasions avant 1933 exprimé son admiration pour des gens comme Mussolini et Hitler. On peut en trouver un exemple dans un procès tenu à Jérusalem en 1932 quand l’avocat Cohen, un membre du parti Révisionniste, avait déclaré en défense d’auteurs de troubles de l’ordre à l’université : «Oui, nous éprouvons un grand respect pour Hitler. Hitler a sauvé l’Allemagne. Sans lui elle aurait péri il y a quatre ans. Et nous nous serions rangés aux côtés d’Hitler si seulement il avait renoncé à son antisémitisme.»

Vladimir Jabotinsky, chef à l’époque du mouvement révisionniste, qui entretenait de bonnes relations avec le mouvement fasciste en Europe avait aussi été accusé de vouloir des relations étroites avec l’Allemagne hitlérienne.

Il y avait alors une concurrence évidente entre les différentes factions sionistes pour aboutir à une collaboration privilégiée avec les fascistes tout en dénonçant dette même démarche les unes chez les autres (Il faut mentionner ici l’assassinat de Chaim Arlosoroff).

Le journal sioniste Davar de juillet 1933 avait publié un article de David Ben Gourion qui lançait une lourde accusation : «… Juste après l’accession d’Hitler au pouvoir en Allemagne, alors que les persécutions contre les Juifs et les marxistes étaient au plus haut, M. Vladimir Jabotinsky s’était rendu à Berlin et dans un discours public, avait attaqué les communistes présents dans le mouvement sioniste et en Palestine.» S’il en était bien ainsi, alors cela signifiait que Jabotinsky voulait torpiller les négociations sionisto-fascistes afin de pouvoir entrer dans la partie comme partenaire des négociations avec les Nazis.  Jabotinsky s’était néanmoins attaché à réfuter l’accusation de Ben Gourion en soulignant que ce dernier avait pris la parole sur Radio Varsovie le 28 avril 1933 et avait appelé à la mise en place d’un boycott mondial de l’Allemagne, avec l’établissement simultané d’un Etat juif en Palestine, «comme seule réponse adéquate à la menace hitlérienne.»  Il y avait là une allusion transparente aux négociations de Haavara menées par l’aile majoritaire du sionisme. Mais Jabotinsky ne pouvait pas contester le fait que le journal révisionniste Hazil Haam, publié en Palestine, « semblait considérer ce mouvement [le fascisme] avec une sympathie et une compréhension prononcées. Les rédacteurs de ce journal… lui avait-on dit, quoique conscients de l’antisémitisme forcené d’Hitler, voyaient dans le National Socialisme les éléments d’un authentique mouvement de libération nationale.

Pour l’Allemagne fasciste, la collaboration avec la tendance sioniste majoritaire était sans aucun doute plus importante que la coopération avec «l’opposition» révisionniste. Néanmoins, même les Révisionnistes furent autorisés à poursuivre leurs activités politiques en Allemagne. Les membres de l’organisation de jeunesse du mouvement révisionnistes, «Brit Trumpeldor» (à propose de laquelle Schechtman rapporte qu’elle «s’adaptait à certaines caractéristiques du régime nazi») était la seule organisation non fasciste en Allemagne à être autorisée par les nazis à porter un uniforme.

Miliciens du Betar à Berlin en 1936

Miliciens du Betar à Berlin en 1936

Ce furent finalement des membres de l’Irgoun qui, dans leur intention de collaborer avec le fascisme allemand un an et demi après le début de la deuxième guerre mondiale ((à un moment où le massacre des Juifs dans la Pologne occupée avait déjà commence) allèrent jusqu’à faire aux autorités fascistes une offre incroyable de coopération. (L’Irgoun qui s’était séparée de la Haganah avant de la rallier à nouveau en 1948, a fait partie intégrante de l’Etat d’Israël depuis  lors ; son vieux leader Menahem Begin a été premier ministre d’Israël de 1967 à 1970 et est actuellement à la tête du groupe parlementaire du Likoud au parlement israélien).

Quelques mois avant cette offre de coopération de janvier 1941, une scission était intervenue entre la faction de l’Irgoun minoritaire alors qui soutenait la Grande Bretagne en guerre contre l’Allemagne nazie et au groupe de ceux qui, à l’intérieur de l’Irgoun, étaient opposés à une telle politique pro-britannique. Abraham Stern, un membre du comité de l’Irgoun, joua un rôle déterminant dans ce dernier groupe qui avait le soutien, à l’époque, de la majorité des membres de l’Irgoun. C’est par des militants antibritanniques de ce groupe que fut faite  la proposition de collaboration de l’Irgoun [avec le nazisme, NdT].

La nature de cette proposition est consignée dans un document dont le texte intégral est encore secret.  Il est évoqué  dans un rapport de l’attaché naval de l’ambassade d’Allemagne en Turquie – un fonctionnaire qui était chargé de missions secrètes là-bas. Le rapport, qui est toujours enfermé dans des archives en Grande Bretagne parle de contacts que l’attaché avait eu avec des émissaires de «l’Irgoun Zvai Leumi (Organisation Militaire Nationale – OMN).» Un mémorandum daté du 11 janvier 1941 parle des «Lignes Fondamentales de la Proposition» de l’Irgoun «concernant la solution de la question juive en Europe et la participation active de l’OMN aux côtés de l’Allemagne.»

On lit ce qui suit dans cette note :

Il est souvent dit dans les discours et les déclarations des plus importants responsables politiques de l’Allemagne Nationale Socialiste qu’un Ordre Nouveau en Europe a pour condition préalable la solution radicale de la question juive par l’évacuation («Judenreines Europa»)

Evacuer les masses juives d’Europe est une pré condition pour résoudre la question juive ; mais elle ne peut être rendue possible et complète que par l’installation de ces masses dans la patrie du peuple juif, la Palestine, et par l’établissement d’un Etat juif dans ses frontières historiques.

Après avoir confirmé de la sorte la convergence fondamentale des vus du sionisme et du fascisme, les militants de l’Irgoun proposaient une alliance avec leur organisation ainsi que l’indique la suite du document :

Cette manière de résoudre le problème juif et donc d’en faire résulter la libération du peuple juif une fois pour toutes, est l’objectif de l’activité politique et des années de lutte du mouvement juif de libération : l’Organisation Militaire Nationale (Irgun Zvai Leumi) en Palestine.

L’OMN qui est bien au fait des bonnes dispositions du gouvernement  et des autorités du Reich allemand à l’égard de l’action sioniste en Allemagne et à l’égard des plans sionistes d’émigration [il faut signaler à ce sujet la coopération entre fascistes et sionistes entre 1933 et 1939 – K.P.] – est d’opinion que :

1     Une communauté d’intérêts pourrait exister entre l’instauration d’un ordre nouveau en Europe en conformité avec la conception allemande et les véritables aspirations nationales du peuple juif telles qu’elles sont incarnées par l’OMN.

 2. La coopération entre la nouvelle Allemagne et une nation hébraïque renaissante (völkisch –nationalen – Hebräertum) serait possible et

3 L’établissement de l’Etat juif historique sur une base nationale et totalitaire et lié par traité avec le Reich allemand serait dans l’intérêt du maintien et du renforcement de la future position de puissance de l’Allemagne au Proche Orient.

Ce qui était proposé était donc ni plus ni moins que l’établissement d’un Etat fasciste juif en Palestine qui serait l’allié du fascisme allemand !

«Sur la base de ces considérations, l’OMN en Palestine propose de prendre activement par à la guerre au côté de l’Allemagne, dès lors que les aspirations nationales susmentionnées du mouvement de libération sont reconnues par le gouvernement du Reich allemand.»  Après avoir ainsi proposé de participer activement avec le fascisme allemand au combat contre le bloc antihitlérien, les sionistes de l’Irgoun poursuivaient en précisant un peu plus leur proposition dans le document :

Cette offre de l’OMN dont la validité concerne les niveaux politique, militaires et du renseignement, à l’intérieur et aussi, selon certains documents préparatoires, à l’extérieur de la Palestine, était conditionnée par la formation militaire et l’organisation de la main d’œuvre juive en Europe sous la direction et le commandement de l’OMN. Ces unités militaires prendraient part aux combats pour conquérir la Palestine en cas de constitution d’un tel front.

La participation indirecte du mouvement israélien de libération à l’instauration d’un Ordre Nouveau en Europe, déjà dans sa phase préparatoire, serait associée à une solution radicale et positive du problème juif en Europe en conformité avec les aspirations nationales susmentionnées du peuple juif. Ce qui renforcerait  de manière exceptionnelle la base morale de l’Ordre Nouveau aux yeux du monde entier.

La coopération du mouvement israélien de libération serait aussi dans la ligne d’un des récents discours du Chancelier du Reich Allemand dans lequel Hitler soulignait que toutes les combinaisons et toutes les alliances pouvaient être envisagées dans le but d’isoler l’Angleterre et de la vaincre.

 

Il est inutile de commenter plus avant ce document étonnant. On doit seulement ajouter que ce sont l’antisémitisme et le travail de liquidation qui avait déjà commencé pour éliminer les Juifs Européens qui avaient empêché le fascisme allemand d’accepter cette proposition d’alliance. Mais deux ans plus tard, l’Irgoun se lançait dans des attaques terroristes contre des institutions britanniques au Proche Orient, travaillant ainsi à l’affaiblissement de l’alliance contre Hitler dans son combat contre le fascisme allemand, un combat qui permettra aussi de secourir les Juifs Européens.

 

Conclusion

Chaque fois que la coopération entre les sionistes et les fascistes est révélée, les auteurs sionistes recourent à l’excuse toute prête selon laquelle les contacts avec les nazis n’avaient été noués que dans le seul but de sauver des Juifs. Alors même que certains faits mentionnés précédemment contredisent cette thèse, on peut poser les deux questions suivantes aux tenants de cette thèse : N’y avait-il vraiment aucun autre moyen de sauver les Juifs Européens ? Etait-ce le véritable motif des sionistes pour pactiser avec le diable ?

 On ne peut douter du fait que la seule possibilité pour empêcher le massacre de millions de Juifs (ainsi que d’éviter la seconde guerre mondiale qui a causé des millions de morts) consistait à renverser la dictature fasciste quand elle en était au tout début de sa phase de domination. Mais les dirigeants sionistes n’étaient pas intéressés par cette perspective – leur seul objectif étant d’augmenter le nombre de Juifs dans la population de la Palestine. Comme ils partageaient la vision anti-assimilationniste du nazisme concernant la race juive, ils ne considéraient pas la dictature fasciste comme une tragédie. Comme l’avait expliqué David Ben Gourion : «Ce que des années de propagande sioniste n’avaient pas pu faire, ce désastre l’avait réalisé en l’espace d’une nuit.»

Non seulement les chefs sionistes ne firent rien contre le fascisme, mais ils entreprirent des actions qui sabotèrent le front antifasciste (en empêchant un boycott économique avec leur accord Haavara).  En pratique, ils rejetèrent des tentatives pour sauver les Juifs Allemands dès lors qu’elles n’avaient pas pour but l’installation des Juifs en Palestine. L’exemple qui suit est celui de la conférence d’Evian : quand après 1933 la majorité des pays capitalistes refusa d’accueillir les réfugiés Juifs d’Allemagne, le président Américain Roosevelt appela à la réunion à Evian d’une conférence sur les réfugiés. Cette conférence se tint du 6 au 15 juin 1938 avec la participation de 32 pays capitalistes. La conférence échoua étant donné que les participants refusèrent d’accueillir les réfugiés Juifs. On aurait pu supposer que le mouvement sioniste, qui était aussi représenté à Evian, aurait essayé de faire pression sur les gouvernements pour qu’ils lèvent leurs restrictions. Mais les sionistes déposèrent au contraire une motion dès le début de la conférence pour demander l’admission d’1,2 million de Juifs en Palestine. Ils n’étaient pas intéressés par d’autres solutions et, comme l’écrira plus tard Christopher Sykes : «Ils avaient manifesté une indifférence hostile à l’égard de l’ensemble du processus dès le tout début… la vérité à ce propos est que la démarche tentée à Evian ne correspondait absolument pas à l’idée sioniste.»

Les dirigeants sionistes partagent donc la responsabilité de l’échec à secourir un plus grand nombre de Juifs Européens. On doit en toute justice se souvenir que les Juifs qui ont survécu à la monstrueuse domination du fascisme ont été sauvés par les soldats du bloc antihitlérien, et particulièrement à ceux de l’armée soviétique qui a consenti un terrible sacrifice pour vaincre la dictature fasciste.

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Source: mounadil.wordpress.com

09/04/2025

Dieudonné, le courage tranquille (et avec le sourire, tout le monde ne peut pas en dire autant !) surtout pas le "Eric" !

Et pourtant quelle époque !  Même Béranger, qui était la bête noire de Charles X et de l'Eglise catholique d'alors (https://fr.wikisource.org/wiki/Proc%C3%A8s_faits_aux_chansons_de_P.-J._de_B%C3%A9ranger/Premier_proc%C3%A8s et https://fr.wikisource.org/wiki/Proc%C3%A8s_faits_aux_chan... ) , ne subissait pas une censure aussi systématique, obsessionnelle et  haineuse

https://www.findclip.net/video/5CnUF58ziRU/dieudonn.html

ci-dessus le lien, vidéo à télécharger et conserver précieusement, et à diffuser - faites tourner ! - un max.

résistance du peuple ! devant la haine des chiens de garde du grand capital et ses hôtels de luxe.

et qui qu'en dise Dieudo, et aussi les journaputes de la caste au pouvoir VIVE Etienne Chouard ! le plus grand penseur politique français et l'esprit le plus intègre (trop même !) et les plus pénétrant de notre époque.

 

vidéo (par lien libre)  https://ru-clip.net/video/cjyGiqrTK7A/dieudonn%C3%A9-le-p...

"le retour à la normale ne peut plus être envisagé" ah bon ?  ils ont l'intention de faire rester la France un Etat  totalitaire ? Pourtant la Chine est en train de revenir à la normale. Il est vrai que la Chine  est d'ores et déjà totalitaire, (le totalitarisme capitaliste, car la Chine Continentale n'est plus rien du tout de communiste ! ni de socialiste, et est devenue archi-capitaliste). Vous allez en profiter pour instaurer le projet Européiste "Indect" qu'avait dénoncé François Asselineau ?

14.000 lits ? Mais c'est ce que la France aurait du déjà avoir, en permanence,  si elle ne faisait pas partie de l'Union européenne, et n'avait pas tout démantelé de manière irresponsable et criminelle pour obéir aux directives de la Comission et de la BCE !! (c'est la proportion qui existe en Allemagne, qui, quoi que membre elle aussi de l'UE, a , elle, échappé en partie aux exigences de réductions budgétaires !)

En tous cas pendant ce temps Dieudonné (ce gars qui devrait plaire à Zemmour, puisqu'il porte un prénom d'origine française et non étrangère, pas Nicolas, qui est grec, pas Jean ou Marie, qui sont hébreux, pas Albert, qui est germanique, pas Marc qui est romain, et surtout pas Eric, qui est viking ! et évoque la violence ! puisque les premiers Eric qui se sont abattus sur la France sont venus avec leurs drakkars pour piller les monastères et égorger les moines

Tiens, au fait, un petit rappel historique : En 889, les Vikings remontent la Vire et assiègent Saint-Lô. Le chroniqueur Réginon raconte que les habitants de Saint-Lô ainsi l'évêque de Coutances Liste (Lista) se sont réfugiés dans le château de la ville15,Note 2. Protégée par des remparts solides construits un siècle auparavant par Charlemagne, la ville ne se rend pas. Les assaillants coupent alors l'approvisionnement en eau, ayant pour conséquence la reddition des habitants. Les Vikings massacrent les habitants, dont l'évêque de Coutances, puis rasent la ville."
Bon on t'attend Eric ! tu vas faire une déclaration pour te désolidariser de ces horreurs commises par tes homonymes ? Ben c'est pas ce que exiges de ceux qui s'appellent Mohammed ?

ah ! autre fait historique, Les Vikings ne firent pas de quartier lorsqu’ils prirent d’assaut la ville de Nantes en juin 843, pas même lorsqu’ils trouvèrent des moines barricadés dans la cathédrale de la ville. « Les païens ont décimé toute la multitude de prêtres, de clercs et de laïcs », selon le récit d’un témoin. Parmi les victimes, qui auraient été tuées alors qu’elles célébraient la messe, se trouvait notamment un évêque qui fut canonisé par la suite.

) devient de plus en plus humaniste :

https://iamdieudo4.ru-clip.net/sLc14cs8EVQ/dieudonn%C3%A9-clap-de-fin.html

"Le peuple a perdu la confiance du gouvernement; Le gouvernement a décidé de dissoudre le peuple et d'en nommer un autre" (Bertold Brecht)

Bigard serait-il le Dieudonné bis ?

 

04/04/2025

très bonne question non ?

pour remettre les choses à leurs places - et faire apparaître ce qui se cache ... 

Sur « Le Point », qui consacre un « dossier spécial » à l'Iran, on voit, sous le titre qui donne à penser, beaucoup …) de « printemps iranien  » une photo d'un trottoir de Téhéran sur lequel un groupe de jeunes qui, vêtus de vêtements occidentaux et grattant sur des instruments occidentaux jouent du …. rock and roll. Commentaire du journaliste du « Point » : Un groupe de rock se produit dans la rue, comme dans n'importe quelle ville occidentale . »
Question : combien de d'occidentaux pratiquant la musique iranienne on voit se produire en Occident ?
C'est pas une bonne question ça ? Moi je trouve que c'est une bonne question ! (comme dirait Jacques Pauwels dans ses conférences)

Je trouve aussi que question pensée colonialiste on n'a pas progressé depuis le XIXè siècle mais que même on a encore régressé.

28/03/2025

pourquoi museler un chien qui aboie ???

https://laveritesansmasque.blogspot.com/

Hold-up, Plandemic, Vaccination covid le crime parfait" le documentairele  d'Olivier Probst,  celui de Florent Piana "manigance", le Pr. Fourtillan et ses révélations sur les brevets, documents à l'appui: le bon sens est sans appel : pourquoi museler un chien qui aboie ??? à moins qu'il empêche de dormir, donc s'il dit une vérité très redoutée, qu'on ne veut pas que le peuple sache ça !!!

Les producteurs du film contre-attaquent ! ils ont survécu au déferlement de HAINE, que les grand capital pharmaceutique et les Séides du régime fasciste à son service.

C'est pas nouveau ! chaque fois que le GRAND CAPITAL, la bourgeoisie, les propriétaires, sent ses intérêts financiers menacés (là ce sont les profits de la vaccination de 8 milliards d'humains qui sont en jeu, imaginez le "business-plan" !) ildevient fou de rage, capable de TOUT, d'une cruauté folle !!! souvenez-vous (ou informez vous si vous ne le savez pas !!!) ce qui s'est passé en Hongrie à partir de juillet 1919, ) à Mûnich à la chute de la République des Conseils, à Paris à la chute de la Commune ! en Finlande lors de la guerre civile de 1918, en Argentine ! au Chili de Pinochet, les financiers et investisseurs et les journaputes à leur service sont des nazis pleins de HAINE

Connaître la géographie du mal nous permet de ne pas emprunter ses chemins. et d'en ouvrir d'autres
C'est le refus de voir le mal qui crée les "moutons".

donc il fallait s'attendre qu'un film dénonçant leurs mensonges allait déchaîner une haine absolument hystérique et une censure de fer !!

(et les participants interviewés, n'oublions pas que l'un d'eux a été carrément interné en hopital psychiatrique comme autrefois en URSS !!!....)

l'argument du "complotisme est non seulement pervers et spécieux, mais totalement absurde, être "complotiste est leBA ba de tou inspecteur de police quand-même !!! ils sont même payés pour ça c'est leur travail, c'est si ils ne seraient pas "complotiqstes" qu'il seraient coupables et jetés , à raison ! à la prote de leur services de police ! Et même en fait ce que font les "complotistes c'est l'essencemême de l'esprit scientifique, qui consiste je le rappelle à refuser de considérer l'apparent chaos du donné comme un simple hasard, mais à chercher des explications invisibles sous-jacente à tout ça !!! si on n'avait pas eu de  scientifiques "complotistes" pur faire ce travail on serait encore à l'age de pierre !! Thales de Milet fut le premier complotiste !

 

(et bien sûr il faut prendre TOUTES les précautions et tout entreposer bien à l'abris, avant que les Gafas ne les effacent) sur ru-clip.net ou bien findclip.net ou bien kzclip.com (qu'on a empêché de fonctionner !) ou bien sur odysee.com )

Et n'oubliez pas surtout de regarder aussi les films "manigance-19" et "Mal-traités", qu'on peut trouver sur les mêmes plateforme(j'en ai d'ailleurs donné de liens dans d'autres billets précédents, cherchez !)

Ils n'ont pas arrêté de vous mentir ! ils ont détruit  le système de santé par ordre des g.o.p.é  de l'UE, ils ont euthanasiés nos personne âgées (comme les nazis avaient tués les handicapés en 39, Aktion T4) Ils ont détruit les libertés pour un nouveau fascisme 2.0 ces Goebbels !
 

regardez cette vidéo : https://odysee.com/@BobTremblay:6/3858:6https://odysee.co...

si vous n'avez pas encore compris que ce que nous vivons en ce moment est un remake, un nouvel avatar du fascisme (la fascisme 1.0) des années 30 !


Connaître la géographie du mal nous permet de ne pas emprunter ses chemins. et d'en ouvrir d'autres
C'est le refus de voir le mal qui crée les "moutons".

Il faut se révolter, on ne peut pas accepter d'être malmené ainsi
Nous sommes gouvernés par des pitres immondes, des Séides mafieux qui plongent le pays dans un mal innommable !
Le Soulèvement populaire est plus que jamais nécessaire ! C'est une véritable insurrection qu'il faudrait organiser! Mais vu l'apathie du peuple!!!

Et ils y en a encore qui parlent d’attendre 2022 pour éjecter macron de son siège !
C’est aujourd’hui qu’il faut agir .
2022 il n’y aura plus d’élections où alors des élections comme aux USA faites à l’avance !

et, je le rapelle :

Les moments de crise ont ceci d’intéressant : ils dévoilent les individus et ce qui les anime au plus profond d’eux-mêmes. (qui se sent morveux il se mouche... Quand aux héros, bien malgrès eux, tels Giuseppe Belvedere, ou les parents auxquels les flics de la DDASS ont arraché leurs enfants, les gens qui ont été licenciés par leurs sales collabos nazis de patrons, ceux qui sont maintenant à la rue ou dans la misère. Relisez à ce sujet la réflexion de Mohamed Tahiri, que j'ai répercuté dans ce blog.

21/03/2025

De la nécessité de faire une analyse marxiste du petit monde des universitaires ! "an incredible perversity of logic"

citation de Chandra Wickramasinghe suivie de mon commentaire :

"Since this type of evidence, together with chemical data, which also exist for the Murchison meteorite, is used to establish the biologic origin of mircofossils in the Earth's sediments, a space origin of life would seem to be securely established. It would require an almost incredible perversity of logic to deny this data." Mais « an incredible perversity of logic » c'est très, très fréquent chez les scientifiques !
Le récent scandale de la chloroquine l’ a une fois de plus montré !

(en fait, bien   sûr, le  scandale de la chloroquine,  dans ses motivations, ressort typiquement de la lutte des classes, la maximisation du profit !) https://www.reinfocovid.fr/

Ce sont toutes les instances du pays qui ont collaboré qui sont à changer, du haut en bas (ne pas oublier la flicaille !), avec interdiction pour ceux qui ont exercé de pouvoir se représenter quelque soit leur domaine, politique, justice, haute administration etc..
C’est une révolution qui est devenue nécessaire.
On attend l’homme providentiel, (attentions pas un facho ! on en a plus qu'assez) le Dr Louis Fouché serait bien ! Fouché Président !
C’est la survie même du pays qui est en jeu: Tout le monde en a assez de ne plus en finir de descendre:  tout est devenu un problème, et les problèmes s’accumulent : il faut crever l’abcès une bonne fois pour toutes.
Ce n’est plus la France, c’est un camp de concentration nazi.
Elle n’est plus une république, mais la chasse gardée du grand capital et ses garde-chiourme.
La France en a vu d’autre, demain elle renaîtra, libre et civilisée, c’est çà la France.

(entre-autre grâce à ses immigrés, tels Pierre Degeyter, Idriss Aberkane, ou Mehdi Belhaj Kacem)

16/03/2025

"le premier qui dit la vérité/ il doit être exécuté" - Jane Bürgermeister, elle fut la première

qu'est devenue Jane Bürgermeister ? Depuis 2012 on n'a plus de nouvelles d'elle, ça m'inquiète, quelqu'un est-il au courant ?

interview du 15 février 2010, à l'époque on la trouvait encore "parano", excessive, ben ! les évènement depuis, en particulier ce qui se passe actuellement, n'ont fait que de nous montrer, eh bien, qu'elle avait VU JUSTE ! quelle avait raison, et bien vu ce qui se passait, et qui se passe ....

Les "complotistes" ont tout compris, et le troupeau de ceux qui n'ont rien compris sont les cons tout court

et la vidéo ci-dessous montre qu'elle avait tout compris :

https://odysee.com/@la-chaine-qui-pique:f/h1n1-la-grande-...

BR : Donc, ici Bill Ryan de Project Camelot et de Project Avalon, et nous sommes le 15 février 2010.
Je me trouve ici dans une ferme très rustique au milieu de la Suisse, et c’est l’endroit où loge Jane Bürgermeister, dans un bed-and-breakfast, après avoir donné une conférence au  personnel au sol de Zurich hier. Nous sommes entourés par la neige. Il y a une énorme cloche de vache juste derrière la tête de Jane, ici à droite de la caméra. C’est un endroit tout à fait idyllique et désuet.
Il s’agit d’une brève interview pour faire le point avec vous, Jane, pour vous demander, depuis que nous avons discuté avec vous… c’était en septembre de l'année dernière (çà donne l’impression que c’était il y a longtemps)... de votre point de vue, que s’est-il passé avec vous et qu'est-il arrivé à la grippe A/H1N1 ?
JB : Et bien, la grippe A/H1N1 a heureusement disparu. Elle n’est plus dans les journaux. Elle n’est plus dans les médias. On n’invite plus ou on n’encourage plus les gens à prendre le vaccin au même degré qu'il y a quelques mois quand c'était omniprésent dans nos vies.
Très peu de personnes se sont fait vacciner en Europe... je pense 30 millions sur 450 millions, ou quelque chose comme ça… Soit une proportion bien plus faible que ce que les gouvernements avaient espéré. 
En France, ils ont voulu vacciner 100 % de la population vers la fin de janvier et je pense que seulement 6 % l'ont fait. Six ou sept pour cent l'ont fait en Allemagne et au Royaume-Uni, etc. et aussi dans des pays comme la Suisse. Je pense que 60 millions de personnes l'ont fait aux U.S.A., selon les chiffres du CDC. De nouveau… probablement une petite proportion de la population totale de… de 400 millions, est-ce bien çà ?… aux U.S.A. ?
Donc nous avons vu un éveil incroyable parmi les populations.
Les gens ont pris conscience que le vaccin était plus dangereux que le virus… qu'il contient des ingrédients toxiques – le mercure et le squalène… et ils ont transmis et partagé ces informations autour d’eux avec leurs amis et leurs collègues, et les gens ne sont pas allés se faire vacciner. Ils n'ont pas cédé à la peur. Ils n’ont pas accepté d'être manipulés dans la prise de quelque chose qui est en réalité plus dangereux que le véritable virus.
Cela a été rendu possible grâce aux technologies de l'information et des communication, par le courrier électronique, par YouTube, par des interviews comme la vôtre. Donc j’estime que nous avons vécu un événement énorme où des gens ordinaires ont décidé de penser pour eux-mêmes, de penser d'une façon critique, d’examiner les faits et non de suivre simplement des « autorités », des gouvernements ou des journaux, et de prendre un certain vaccin pour une menace inexistante.
BR : Oui. C’est agréable d'avoir une véritable victoire pour un mouvement populaire mondial, n'est-ce pas ? C'est ce qu’il en est. 
JB : Absolument ! Même le directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé, la doctoresse Chan, a dit au comité de direction réuni le 18 janvier [2010], qu'ils n'avaient pas prévu que les gens ne prendraient pas le vaccin. Ils avaient investi des milliards dans la propagande et les médias contrôlés avaient gonfler (crêve le sale programme de merde à crever!!)  [l’importance de] ce virus. 
Donc cela a vraiment été une victoire inattendue. Et cela a été rendu possible par chaque personne individuellement qui a diffusé ces informations… qui s'est donné le temps et le mal de la lire, et peut-être d’en parler à ses amis, ses collègues et les membres de sa famille. 
Donc, ce qu’à mon avis cela a révélé, c’est l'intelligence extraordinaire et la solidarité des gens là-bas – qu'ils se soucient vraiment de leurs voisins, de leurs amis. Ils ont voulu transmettre ces informations. Et bien que c’était tout à fait difficile à comprendre et tout à fait désagréable à comprendre, ils ont été enclins à se donner la peine de regarder les faits et d’aboutir à la vérité dans un très grand nombre de cas.
BR : Donc vous ne parlez pas uniquement des gens qui peuvent pendant des années avoir fait un tas de recherches sur Internet sur des projets de gouvernement secret. Vous parlez de gens ordinaires qui s’éveillent, regardent les informations qui leur sont présentées, font le point, agissent intelligemment et réalisent ce qui était en train de se passer.
JB : Je pense que c'est ce que nous voyons. Nous voyons une toute nouvelle échelle de conscience parmi… vous savez, les gens ordinaires… que nous avons un grand problème avec nos gouvernements. 
Je parlais hier encore à quelqu'un qui a dit que sa mère, qui a environ 60 ans, prenait toujours chaque vaccin et croyait que les gouvernements représentaient les intérêts des gens. Mais quand est venu le vaccin de la grippe A/H1N1, elle a regardé les faits et elle a décidé de ne pas le prendre. 
Et lentement elle prend conscience que le gouvernement qui donne ce vaccin n'a pas les intérêts de la population à cœur et elle commence à poser des questions : Pourquoi le font-ils ? Qui est derrière cela ? Vous savez… Quelle est leur motivation ?
Ainsi, je pense que nous voyons en Europe un réveil énorme au fait que nous avons un grand problème. Nous avons un gouvernement fantôme. Nous avons un syndicat du crime international d'entreprise… comme je l'appelle… qui contrôle des gouvernements, des ministères de la santé et pousse ce poison sur des populations.
BR : Et d’un autre côté les gouvernements ont un problème intéressant parce qu'ils ont maintenant une population qui désormais ne va pas nécessairement être encline à prendre les choses pour argent comptant.
JB : c'est quelque chose que la doctoresse Margaret Chan de l'Organisation Mondiale de la Santé a dit elle-même. Elle a dit : Nous ne pouvons plus supposer que lorsque nous disons qu’un médicament doit être recommandé… les gens le prendront en réalité.
Il y a eu un écroulement énorme dans la demande de vaccins parmi les populations en Allemagne et la France et je suis sûre également en Amérique… même quand les gens viennent vacciner leurs petits enfants contre les oreillons… à la suite du scepticisme qui a entouré toute cette campagne de grippe A/H1N1. 
Nous avons vu le début d'une augmentation énorme de l'intérêt pour les remèdes homéopathiques et les vitamines et l'importance d’une bonne alimentation nourrissante; et une attitude beaucoup plus critique envers le gouvernement, comme vous l’avez mentionné. 
BR : Maintenant, beaucoup de personnes vont regarder cette vidéo en Amérique. Ils peuvent ne pas être… conscients, mais qu'est-ce qui est arrivé en Pologne avec la Ministre de la Santé là-bas ? C'est un développement fascinant, n'est-ce pas ? 
JB : C'était un développement clé, parce que la Ministre de la Santé en Pologne, Ewa Kopacz, (elle n’était pas dans l’avion de Smolensk en avril 2010) est en réalité médecin… une médecin de famille… et elle a analysé ce vaccin de la grippe A/H1N1. Elle a vu qu'il n'avait pas bien été évalué et elle a décidé de ne pas commander les vaccins de la grippe A/H1N1 pour les Polonais sur base du fait que cela pourrait être… dangereux… potentiellement dangereux pour eux.
Elle a été la seule ministre de la Santé de tous les ministres de la Santé en Europe à prendre la décision – bien que, si vous avez regardé les faits sobrement, objectivement, vous pourriez penser que chaque ministre de la Santé se serait décidé à ne pas… vous savez… acheter le vaccin de la grippe A/H1N1. 
Sa décision de ne pas acheter le vaccin a été, je pense, un tournant dans la https://ruclip.com/video/yacw6CrIUck/géopolitique-argent-et-hydroxychloroquine.htmlcampagne. Cela a été très largement rendu public et cela a fait prendre conscience aux gens qu'il y a des politiciens responsables et des médecins qui reconnaissent qu'il y a un problème avec ce vaccin. 
BR : Alors qu’arrive-t-il ensuite, du point de vue du gouvernement… s'il y a vraiment un plan machiavélique ici ? Qu’arrive-il ensuite du point de vue de tous les activistes dans le monde entier qui ont travaillé si durement pendant six à neuf mois pour s'assurer que quelque chose de méchant, vraiment méchant, ne survienne pas ? Et qu'arrive-il ensuite avec le virus ? Allons-nous le voir réapparaître ? 
JB : Bien... je ne pense pas personnellement que nous allons revoir le virus. 
Nous savons parfaitement qu'il y a des scientifiques qui travaillent à essayer de rendre la grippe A plus mortelle. Il semble que quiconque ait sorti ce virus ne l'a pas tout à fait compris… n'a pas compris qu'il n'allait pas s'incruster dans les poumons des gens et se faire beaucoup plus virulent… et que des scientifiques comme Bruno Lina à l’INSERM à Lyon, qui est affilié à l’OMS, essayent de le rendre plus mortel en le combinant avec la grippe aviaire.
Cependant, beaucoup de gens disent qu'il y a de nombreux documents gouvernementaux indiquant que la seule façon d’infecter beaucoup de monde avec ce virus est de faire vacciner. Et si les gens refusent les vaccins, alors ce virus ne va simplement pas arriver à se répandre, quel que soit le bruit que l’on fait autour. Si les gens refusent de se faire vacciner, alors cela ne va pas devenir un problème majeur.
Quant aux étapes suivantes, de savoir comment nous pouvons commencer à traiter ce qui est arrivé, il y a une enquête en cours au Conseil de l’Assemblée Parlementaire. Européenne. On a donné à Paul Flynn, un député de Newport Ouest au Pays de Galles, la tâche de préparer un rapport appelé La pandémie de grippe A/H1N1 : La déclaration de niveau pandémique six... La question étant de savoir si celle-ci était justifiée, ou si les laboratoires pharmaceutiques ont influencé l'Organisation Mondiale de la Santé à faire cette déclaration, dans le but de pouvoir vendre ces quantités gigantesques de vaccins avec un bénéfice énorme… 
BR : Donc nous avons une sorte de « Flu-gate » [NDT : en référence au Watergate, ici vis-à-vis de la grippe, « flu » en anglais]. 
JB : Nous avons un Flu-gate. Et ce rapport est prévu pour le mois de juin. Paul Flynn m'a indiqué qu’il pourrait même prendre en compte l'incident de Baxter dans son rapport.(et l’accident de Smolensk ?)
BR : Pouvez-vous rappeler ce qu’était cet incident de Baxter… pour ceux qui voient ceci pour la première fois ? 
JB : Bien, en février de l'année dernière, il y a environ un an, Baxter a contaminé 72 kilos de matériel vaccinal avec le virus de la grippe aviaire vivant, dans leurs installations d’Orth an der Donau en Autriche. Et cela a failli déclencher une pandémie mondiale de grippe aviaire. 
Il y a beaucoup de raisons de penser que c'était un acte délibéré. La raison principale est que des règlements de biosécurité de niveau 3 doivent être utilisés quand quelqu'un manipule le virus de la grippe aviaire. Et cela rend pratiquement impossible une contamination accidentelle. 
J'ai déposé plainte et la police a commencé une enquête. Mais ils ont levé les accusations à la fin de septembre… juste avant la campagne de vaccination massive et juste avant que Baxter ne demande l'approbation pour son vaccin de grippe A/H1N1 Celvapan.
J'ai demandé à voir les fichiers… pour voir sur quelles bases le Procureur d'état de Korneuburg avait levé les accusations. Mais on m'a refusé l'accès aux fichiers. J'ai donc contacté Paul Flynn par courrier électronique et je lui ai demandé s'il examinerait cette question. Il… en vertu de son pouvoir en tant que membre de cet organisme PACE… pourrait probablement forcer le Procureur d'état à transmettre ces fichiers, ou même interroger des cadres pour aller jusqu'au fond de cet incident. 
Je pense qu'une enquête appropriée montrerait très probablement qu’il s’agissait d’une tentative délibérée par un laboratoire pharmaceutique en vue de déclencher la fameuse pandémie dont ils tirent profit en se donnant l’opportunité l’occasion de vendre ces vaccins pandémiques en quantités gigantesques.  (ce qu’ils ont finalement réussi en 2020… un peu comme Louis-Philippe qi a réussi en 1830 ce que son père Philippe-Egalité n’avait pas réussi en 1789 !)
BR : Etes-vous optimistes que l'enquête fera vraiment des recherches et publiera honnêtement ses découvertes ? Ou y a-t-il une possibilité d'un blanchiment ici ?
JB : Bien, je pense que si Paul Flynn documente simplement les faits... les faits concernant le niveau de toxicité du vaccin... que ce vaccin n’a été donné aux gens que parce que des règlements spéciaux d’urgence ont été mis en place et ont permis à ces vaccins non évalués d'être administrés... 
S'il documente les faits que nous pourrions avoir été forcés d'avoir pris ce vaccin conformément aux règlements de santé internationaux… qu'une gestion de type militaire de la pandémie a été planifiée... et, en effet, la France n’a pas été loin de la loi martiale en décembre 2009… Des infirmières et des médecins ont été réquisitionnés et forcés de vacciner des gens dans des centres de vaccination.
S'il documente tout cela de même que l'incident de Baxter, alors ce sera suffisant pour créer un rapport explosif qui sera ensuite envoyé à 47 parlements en Europe… mais aussi en Suisse, en Ukraine, en Russie, des pays qui n'appartiennent pas à l'Union Européenne. Ils devront alors prendre ce rapport en considération. Et je pense que s’ils l’examinent et l'analysent, alors cela pourrait bien conduire à une série d'arrestations et de scandales dans chaque pays. 
Dans le même temps, les médias… comme nous le savons… sont totalement contrôlés, au pouvoir de bien sûr, par le groupe pharmaco-bancaire… le gouvernement fantôme. 
(ça paraissait encore exagéré, parano, en 2010, ça s’est confirmé depuis !!… )
Des gens comme James Murdock, le fils de Rupert Murdock, qui… je pense… contrôle le bras européen de la news corporation, siège au conseil de GlaxoSmithKline, qui produit le vaccin Pandemrix. Thomas Glocer, le PDG de Reuters, siège au conseil de Merck. Les médias ne nous parleront donc pas de tous ces événements dramatiques, de ces enquêtes ou de quoique ce soit de la sorte.
Mais derrière l'écran médiatique, nous pourrions voir un nombre énorme d'arrestations et le renouvellement et des changements de notre gouvernement à une échelle sans précédent, parce que les faits seuls sont si choquants. Beaucoup dépendra donc de ce que Paul Flynn inclura dans son rapport. 
BR : Etes-vous en dialogue suivi avec lui ? Ou l'avez-vous simplement informé d’un ensemble de faits et maintenant vous lui laissez la main ? 
JB : Oui. Tout ce que j'ai fait, cela a été de lui envoyer un courrier électronique indiquant cet aspect de toute l’affaire de la pandémie… qu’il y avait un laboratoire pharmaceutique couvant littéralement une mauvaise pandémie de grippe qui aurait été beaucoup plus mortelle qu'une pandémie de grippe A/H1N1. Et je le lui ai transmis. 
Je veux dire… Je suis sûre qu'il va faire son travail aussi impartialement que possible. Il va se trouver sous une pression énorme pour que soient maintenus à l’écart des faits sur la toxicité du squalène et du mercure. Nous devrons donc simplement essayer de continuer à conscientiser le grand public... à mobiliser du soutien et à nous assurer qu'il n'y a pas de blanchiment. Oui. 
BR : Et quels sont maintenant vos plans personnels ? Vous appelleriez-vous toujours une activiste ? Ou prenez-vous du recul en pensant : Bien, nous l'avons gagné celle-ci et maintenant je peux continuer avec le reste de ma vie.
JB : Malheureusement, je ne pense pas que nous ayons atteint cette étape. L’OMS a dit qu'elle veut garder le niveau 6 d’urgence pandémique pendant encore deux ans. Cela signifie que tant que ce niveau 6 d’urgence pandémique est en place, elle peut diffuser des médicaments qui ne sont pas évalués sur des personnes. Nous pouvons donc maintenant avoir un plus grand nombre de médicaments qui n'ont pas été évalués de manière adéquate. Elle peut prendre le contrôle (anglicisme!) de la Sécurité Sociale et de l'armée et de la police dans nos pays et créer cette sorte de... cimenter l'infrastructure du gouvernement fantôme.
Ainsi en dehors de tout cela, ce groupe fantôme est aussi impliqué dans le scandale de Climate-gate et la crise financière. Il essaye de susciter des guerres… des famines… l'envoi de ces vaccins aux pays en voie de développement. 
Donc nous ne pouvons pas simplement dire… vous savez…: Tout cela est terminé. Ce n'est pas le cas. 
Une victoire énorme a été remportée, mais nous devons aller un peu plus loin et nous assurer que le rapport que produira de Paul Flynn soit de qualité… que les pays mènent leurs enquêtes… et que ceux qui sont en réalité responsables de cela soient incarcérés. Les Français aussi mènent une enquête parlementaire dans le courant des prochaines semaines. C'est donc une autre opportunité occasion ! en France pour vraiment aller au fond des choses et incarcérer les gens qui sont responsables. [on ne l’a pas fait, et voilà!]
Et si nous arrivons à faire comparaître ces gens devant le tribunal, alors nous devrions pouvoir démanteler une grande partie de ce gouvernement du Nouvel Ordre Mondial… vous savez. 
Ainsi je compte personnellement écrire un livre au cours des prochains mois, qui récapitulera ce qui s’est passé… les principaux domaines qui doivent être analysés : la toxicité du vaccin; le manque de vigilance pharmacologique; le suivi de des personnes qui ont reçu ce vaccin; la militarisation de la gestion de l’urgence pandémique conformément aux règlements de santé internationaux. 
J'ai déjà achevé un chapitre. Vous pouvez le télécharger sur mon site Web : www.theflucase.com. 
[le site n’existe plus ! …] 
Donc c'est ce que je vais faire au cours des prochains mois. Et ensuite, juste après en fonction de ce qui arrive avec ce rapport… vous savez… la façon dont y est traité le fait d’essayer de s'assurer que nous en mettons vraiment en cause les personnes responsables de cela.
BR : Quel genre du retour d'information avez-vous eu du monde entier ? Parce que vous avez été considérée par beaucoup comme une icône dans ce mouvement populaire. Je sais que cela n'a jamais été votre intention, mais vous êtes devenue une icône. Qu’est ce que cela vous a fait de devenir tout à coup si connue dans le monde entier ? 
JB : Bien, je dois honnêtement dire que j'ai été tout à fait occupée, parce que je faisais le site Web et que je donnais des conférences etc. Donc je n'ai pas vraiment eu de temps de réfléchir à cet aspect des choses. 
Pour moi, la chose la plus étonnante a été le nombre de personnes qui ont voulu s’impliquer. Dans chaque pays, des groupes sont apparus. Les gens ont voulu transmettre ces informations, créer des sites Web, créer des blogues [www.menschenverstandschweiz.ch]
Donc c'est vraiment un mouvement populaire. Peut-être ai-je été une des premières personnes à… vous savez… présenter ce type d'informations dans son ensemble. Mais il y a eu tant de personnes impliquées… des médecins comme le docteur Rebecca Carley aux U.S.A., le docteur Joseph Mercola, le docteur Robin Falkov… que je pense que nous pouvons vraiment dire que c'était un véritable mouvement populaire. 
Cela a été une victoire et un succès, qui a été réalisé par des gens ordinaires dans le monde entier… agissant selon leur conscience, se donnant le temps et le mal pour s’informer et en informer d'autres. C'est la chose étonnante à voir… la bonne volonté et l'intelligence de tant de personnes au travail.
BR : C'est donc un message d'optimisme et d'encouragement parce que toute cette affaire n'est pas encore terminée en termes de désir des contrôleurs de nous clouer, de nous rabaisser, de nous contrôler, de limiter notre liberté, de limiter notre souveraineté. Ce n'est probablement pas fini, si vous me permettez de le dire... [des rires] Permettez-moi de vous dire qu’il s’agit un petit peu d’une litote !
Mais quel est le message d'encouragement et d'optimisme que vous voyez pour les autres personnes qui ont été réveillées par tout cela ? Et maintenant, il peut y avoir d'autres choses qui vont venir à eux au cours des prochaines années.
JB : Bien, je suis d'accord avec vous. Les contrôleurs ont toute une série de plans en réserve… y compris, bien sûr, une guerre. Ils ont planifié une guerre majeure… la guerre nucléaire… depuis bien longtemps. Mais en fin de compte ils sont dépendants de notre état de préparation à accepter cela.
Vous savez, ils remplissent les médias, les ondes hertziennes, les écrans de TV, de catastrophes. Ils nous terrorisent, nous rendent… craintifs et ils dépendent de nous pour que nous fassions certaines choses par peur… nous faire vacciner, partir se battre dans l'armée… et tout ce genre de choses. 
Si les gens ne sont plus d’accord de se laisser conduire par la peur… s'ils sont enclins à arrêter, à rester debout, à penser pour eux-mêmes, à être critiques, à communiquer avec leurs amis et à dire : Non, nous ne prenons pas ce vaccin. Nous n'entrons pas dans cette armée. Nous ne participons pas à cette guerre. Nous ne permettons pas à cette famine de se produire. Nous ne permettons pas à cette corruption de continuer… Et s'ils commencent ensuite à démonter toute l'infrastructure avec des enquêtes, des investigations, etc. alors je pense qu'ils ne peuvent pas continuer avec leurs plans. Ils dépendent vraiment de notre peur et de notre ignorance. 
BR : Et de notre conformité, pour mettre ces plans en œuvre...
JB : Oui. 
BR :... avec un nombre énorme de personnes dans… disons les classes moyennes « professionnelles » (professions libérales), comme les médecins, les infirmières. Dans l'armée, nous parlons des soldats et des aviateurs et des marins qui obéiraient en réalité aux ordres susceptibles de provoquer une quantité énorme de dommages sur le genre humain, s'ils suivent simplement ces ordres… d’accord ? 
JB : Absolument. Et une des choses les plus intéressantes à voir avec cette campagne de grippe A/H1N1 a été que l'armée allemande a été parmi les premières à le refuser. Leurs médecins ont dit : c'est trop dangereux pour nos soldats.
Oui ! Et les gendarmes en France qui devaient censément être vaccinés à 100% selon les plans du gouvernement… ou quelque chose comme ça… ont refusé de se faire vacciner. Et ils auraient du être ceux qui auraient été obligés de le donner à d'autres. Finalement ils auraient surveillé les centres de vaccination et ils auraient eu un rôle plus grand à jouer si le gouvernement avait été dans le sens de la vaccination obligatoire… comme cela aurait été nécessaire s'ils avaient voulu réaliser leur objectif d'arriver 100 % de taux de vaccination. 
Ainsi, nous voyons que dans les armées et les polices… et aussi, évidemment, parmi les médecins et les infirmières… la grande majorité d’entre eux n'ont pas, ou n’ont pas voulu se faire vacciner… un refus, vous savez, d'aller avec toute la campagne. Et c'était crucial, en réalité. Les infirmières et les médecins ont dit très tôt: Nous n’acceptons pas cette vaccination. Et c'est déjà là où cela a commencé à vaciller. 
Il y avait de nombreux rapports critiques dans des journaux en particulier en Allemagne, je crois. Vous savez… les principaux médecins sont sortis et ont dit en première page des journaux que c'était un vaccin non évalué… également dans les médias polonais. Cela a été beaucoup moins le cas, malheureusement, au Royaume-Uni et en l'Irlande où l’emprise sur les médias est beaucoup plus forte. Et aux U.S.A., il y a à peine eu un seul rapport vraiment d’importance à être critique sur le vaccin. 
Ainsi… oui. Il y a des indications très claires que… comme vous le dite… les classes professionnelles refusent d'aller dans cette direction. 
BR : Merci beaucoup, Jane. Y a-t-il autre chose ici que vous voudriez... juste un message… juste une brève mise à jour… juste environ 20 minutes pour les gens qui ont été intrigués par votre rôle dans cet activisme depuis que nous avons publié notre vidéo en septembre [2009] ? Elle a été visionnée je crois par 300.000 personnes. Et ce nombre continue chaque jour de croître.
JB : Oui. Je veux dire… je pense qu'Internet, les nouveaux moyens de communication et les technologies de l'information… fournissent aux gens une possibilité énorme de s’informer de ce qui se passe et d’agir et de le communiquer. 
Je pense que nous nous dirigeons vers une ère nouvelle… je le crois… de souveraineté personnelle où les gens prennent la responsabilité de leur vie, sont à nouveau impliqués dans des décisions politiques et des décisions économiques et ensemble travaillent à la formation d'un monde bien meilleur. 
Et ce sera possible dès le moment où nous retirons simplement le pouvoir à ce gouvernement fantôme… quel qu’il soit. Dans un ou deux ans, nous pourrions voir le commencement d'une toute nouvelle ère où les gens peuvent à nouveau vivre dans la dignité et la liberté, dans la paix et la prospérité. On n’a pas besoin d’avoir sur notre planète des gens qui ont faim, qui sont dans le besoin, qui sont opprimés. Cette vision d'une planète vraiment paisible, prospère, libre est à notre portée… je le crois. 
BR : C'est absolument merveilleux. Merci. C'est une belle déclaration finale. Bien! Donc, Jane Bürgermeister, revoyons-nous un peu plus tard dans le courant de cette année et nous verrons comment les choses ont évolué pour vous. 
Je partage votre avis que cet optimisme est bien placé. Je pense que nous devons rester vigilants. Et il y a une occasion massive d'apprendre sur base d’une expérience très fructueuse issue d'un mouvement populaire. Et vous avez joué un rôle énorme en donnant force, en motivant et en alimentant tout cela. Et donc, je souhaite vous remercier pour cela que parce que vous avez fait ici énormément pour le genrehttps://reseauinternational.net/covid-les-complotistes-avaient-donc-raison/ humain.
JB : Et je voudrais aussi vous remercier, Bill, pour tout ce que vous avez fait pour aider à faire passer ce message. Alors… merci. 

bref, comme dit le film "crime parfait" https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...
la crise de 2009 avec la Bachelot et le H1N1 et toute la campagne de peur et de coercition toute prête était leur premier essai, qui a foiré, mais cette fois-ci ils ont hélas réussi (de même Hitler a raté son putch de Münich en 23 mais réussi celui de l'incendie du Reichtag en 33)

(par ailleurs dans ce film https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...  à partir de 1H 45m 45s vous avez l'origine et la véritable nature de ce terme de "complotisme" dont on nous rebats les oreilles ! écoutez-bien, il faut toujours connaître l'histoire ! on ne l'étudie pas assez.)

info de BELGIQUE : "Je confirme tout ce qui a été dit dans cette vidéo mais pour la Belgique... et j'en rajoute encore, tout ceci je le tiens directement du personnel des urgences de plusieurs hôpitaux (la problématique est la même partout) :
1) Tous les hôpitaux sont divisés en 2 sections, une COVID+ et une COVID-
2) Dès que vous êtes hospitalisés, pour n'importe quoi, vous passez un test COVID, s'il est positif vous filez en section COVID+, sinon c'est COVID-
3) TOUS LES DECES dans la section COVID+ rentrent dans les statistiques des décès COVID
4) Il appartient au médecin de déterminer si la personne est morte PAR le COVID ou AVEC le COVID (exemple : vous êtes asymptômatique COVID+ mais vous faites une crise cardiaque, vous êtes donc mort AVEC le COVID car ce n'est pas le COVID qui vous a tué, en gros les seuls morts PAR le COVID sont des gens qui décèdent en réanimation COVID).
5) Ces statistiques de la cause du décès ne remontent pas dans les médias, on a juste le total, les médecins m'ont dit qu'on était environ à 90% de décès AVEC le COVID et 10% de décès PAR le COVID... ce qui veut dire que lorsqu'on vous donne 80 décès ce jour, en réalité, c'est 8 décès réellement dû au COVID !
6) Les tests PCR utilisent beaucoup trop de cycles et la quantité de faux positifs est phénoménale
7) Certains hôpitaux font le test INFLUENZA en plus du COVID pour tenter d'y voir plus clair entre les symptômatiques grippaux et COVID... et beaucoup de COVID+ sont aussi INFLUENZA+, la question qui se pose c'est comment déterminer si la personne est symptômatique à la grippe ou au COVID quand elle a les deux virus... La réponse : y'a pas moyen ! Par contre on m'a confirmé que cette année il n'y a pour ainsi dire plus de morts de la grippe... en d'autres termes, une énorme quantité de décès dûs à la grippe sont attribués au COVID.
Pour résumer, toutes les statistiques COVID sont hautement discutables, pour ne pas dire complètement biaisées. Alors que la Belgique s'apprête à durcir les mesures déjà en place et alors que les chiffres (mêmes bidonnés) sont stables voire en baisses, un gros CHR de la périphérie  bruxelloise à royalement 4 (je dis bien 4) cas COVID hospitalisés.
On se fout vraiment de notre gueule.... et je pèse mes mots !

La liste des héros de la résistance (mis à part tous les médecins et professeurs, et les martyrs qui ont dit ce qu’ils ont vu au sein de Big pharma, avant dêtre tuées)
Pierre Barnérias
Richard Boutry
Olivier Probst
Florian Piana
Un jour il y aura des monuments érigés en leur souvenir sur le lieu où ils auront été  fusillés par les fascistes.

07/03/2025

Hitler a gagné la guerre

Hitler a gagné la guerre
Les idées nazies emplissent le capitalisme et l’esprit du capitalisme emplit les maîtres de la société actuelle.

Le gouvernement britannique a pour politique d'ignorer les besoins des personnes âgées, les médecins et les infirmières étant chargés de suspendre les traitements et de laisser les personnes âgées mourir pour économiser les lits d'hôpitaux et réduire les coûts.

l'âge limite pour la réanimation est souvent de 55 ou 50 ans, toute personne de plus de 60 ans étant considérée comme âgée et constituant un fardeau pour la société.

Les patients âgés sont souvent laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés, et privés de nourriture et d'eau, signalés dans les hôpitaux et les foyers de soins.

“Le seul -isme dant personne ne se soucie est l'âgisme,” Dr. Vernon Coleman écrit : Par Dr. Vernon Coleman

En Grande-Bretagne, c'est maintenant la politique officielle du gouvernement d'ignorer les besoins des personnes âgées. Cette politique est commune dans le monde entier. Les médecins et les infirmières sont invités à laisser les personnes âgées mourir – et à refuser un traitement qui pourrait leur sauver la vie. On dit au personnel hospitalier de priver les personnes âgées de nourriture et d'eau afin qu'elles meurent plutôt que de prendre des lits d'hôpital. Le personnel des maisons de soins infirmiers a même eu le droit de mettre sous sédation des patients âgés à leur insu. Le seul -isme dont personne ne se soucie est l'âgisme.

Mais à quel âge les patients sont-ils simplement « autorisés » à mourir? Et quel âge est trop vieux pour que les patients soient réanimés? À quel moment la société a-t-elle le droit de dire que You’ve a vécu assez longtemps, maintenant vous devez mourir et faire place à quelqu'un d'autre’? (quel cynisme « écologique »!) Et pourquoi la réanimation devrait-elle être décidée par âge? Il est possible de soutenir qu'il serait tout à fait logique de décider en fonction de la richesse ou de la beauté. Mais l'âgisme est maintenant officiellement accepté. Toute personne de plus de 60 ans est maintenant officiellement âgée, bien que dans un nombre croissant d'hôpitaux, l'âge limite pour la réanimation soit de 55 ou même 50 ans.

Les rapports après rapport montre que les patients âgés sont laissés dans la douleur, dans des vêtements de lit souillés. Les patients âgés à l'hôpital sont ignorés par le personnel et laissés mourir de faim, privés même d'eau s'ils ne peuvent pas sortir du lit et aller les chercher eux-mêmes.

Les personnes âgées sont un fardeau dont les gouvernements ne veulent pas s’embarasser, et les politiciens continueront donc à autoriser toutes les méthodes nécessaires pour assurer que le nombre de personnes âgées « couteuses » soit réduit au minimum. L'existence d'une branche absurde de la médecine appelée gériatrie est utilisée comme une excuse pour pousser les personnes âgées dans les salles de remous et de leur fournir un traitement médical de deuxième ordre. En février 2011, un rapport officiel a condamné le NHS (britannique) pour son traitement inhumain “des patients âgés” et a déclaré que les hôpitaux du NHS “ne répondant même pas aux normes de soins les plus élémentaires” pour les plus de 65 ans. Il n'est pas exagéré de dire que le NHS traite les personnes âgées avec mépris. (On disait que vous pouvez juger une civilisation par la façon dont elle traite ses personnes âgées.)

C'est en février 2005 qu'il a été révélé que le Gouvernement avait indiqué que les patients hospitalisés qui avaient peu d'espoir de guérison devaient être « autorisés » à mourir en raison du coût de leur maintien en vie. Le Gouvernement travailliste a suggéré que les personnes âgées se voient refuser le droit à la nourriture et à l'eau si elles tombaient dans le coma (cf l’acharnement judiciaire que les autorités ont mis pour faire mourir Vincent Lambert !). (qu’en penserait M. Joseph Garcia de Lagamas ? https://www.midilibre.fr/2012/09/30/aux-frontieres-de-la-... )

Voilà pour tout espoir pour les victimes d'accident vasculaire cérébral. Le Gouvernement a estimé que la nécessité de réduire les coûts était antérieure à la nécessité de préserver la vie des patients
[or dans une société athée la vie humaine doit nécessairement être tenue comme SACREE inconditionnellement, sinon elle cesse d’être une société civilisée! Et d’être une société] et a décidé qu'il avait le droit d'annuler une décision sur le droit à la vie qui avait été rendue lorsqu'un juge a ordonné que la nutrition artificielle et l'hydratation ne soient pas retirées à moins que la vie d'un patient ne puisse être qualifiée d' “intolérable.” (Le juge avait ajouté qu'en cas de doute, la préservation de la vie devrait prévaloir.) - (cf on comprend mieux l’acharnemet judiciaire que les autorités ont mis à faire mourir Vincent Lambert, ils voulaient en faire un exemple, le débur de leur Aktion T4 nazie!)

Bien sûr, priver les personnes âgées de nourriture et d'eau est parfois plus une conséquence de l'incompétence que de la politique officielle. Quand ma mère était à l'hôpital à Exeter, elle ne pouvait pas se nourrir, mais le personnel ne l'a pas nourrie. Si aucun parent ne pouvait se rendre à l'hôpital pour la nourrir, elle n'a pas mangé !!!! Des boissons ont été mises sur son plateau, puis emportées intactes. “Pas soif, aujourd'hui?” un crétin irresponsable demanderait joyeusement.

Pendant ce temps, le gouvernement verse de l'argent pour subventionner la vie des paresseux et des travailleurs timides. Des enfants en bonne santé de 30 ans s'assoient autour de dos de puces et de ventres de bière en croissance, affaissés devant leurs téléviseurs numériques haute définition en regardant leur choix de télévision par satellite subventionnée par l'État, ouvrant les fenêtres pour baisser la chaleur car il est plus facile que de baisser le chauffage central .

Les personnes âgées sont classées comme la “Unwanted Generation”: un embarras politique. Les personnes âgées confrontées à la cécité due à la maladie maculaire liée à l'âge se voient refuser des médicaments qui auraient pu prévenir leur cécité. Les personnes âgées sont considérées comme coûteuses, inutiles et inutiles. La théorie est qu'ils ne’t contribuent et votent rarement et peuvent donc être ignorés. Mais ceux qui croient cela seront vieux plus tôt qu'ils ne le pensent. Et la définition de “old” rajeunit d'ici l'année.

Les guerres nous ont appris que les gens semblent prêts à accepter comme normal toutes sortes de choses terribles. Mais comme il est incroyablement horrible que les médecins et les infirmières acceptent que les personnes âgées (officiellement les plus de 60 ans) doivent être autorisées à mourir parce que les garder en vie est rentable. L'attitude officielle semble être que les personnes âgées ont des droits simplement parce qu'elles sont âgées. À la mi-août 2007, un Select Committee on Human Rights, composé de députés et de pairs, a signalé que 21% des hôpitaux et des foyers de soins ne respectaient même pas les normes minimales de dignité et de vie privée des personnes âgées. Le Comité a déclaré avoir découvert des preuves de négligence, d'abus, de discrimination et de traitement injuste des personnes âgées fragiles. (Leur découverte n'a pas surpris ceux d'entre nous qui ont découvert de tels abus depuis des décennies.) Comment avons-nous réussi à oublier que dans les années 1930, les nazis ont délibérément affamé et déshydraté les patients âgés et vulnérables parce qu'ils étaient considérés comme un fardeau inutile pour la société? C'est exactement ce que nous faisons aujourd'hui.

Une enquête étonnante (et horrifiante) menée auprès des lecteurs des revues Nursing Standard and Nursing Personnes âgées a montré que moins d'une infirmière sur six a déclaré que rien ne les empêcherait de signaler l'abus de personnes âgées dans leurs soins.

En d'autres termes, cinq infirmières sur six ne signalaient pas, du moins parfois, les mauvais traitements infligés aux personnes âgées pour lesquelles elles étaient payées. Donc, à mon avis, cinq infirmières sur six sont aptes à être infirmières.

C'est tout à fait épouvantable et un acte d'accusation de la profession infirmière moderne.

La même enquête a montré que six infirmières sur dix fermaient les yeux sur les mauvais traitements infligés aux personnes âgées. Ils ne diraient rien s'ils savaient qu'un patient âgé ou un résident d'un foyer de soins était battu, intimidé ou volé.

Une des raisons est la lâcheté.

Incroyablement, il semble que les infirmières ont peur de signaler les abus au cas où elles seraient elles-mêmes maltraitées par la personne qui les maltraite.

Les patients hospitalisés et les résidents des maisons de retraite souffrent souvent de malnutrition et de déshydratation, d'abus et de mauvais traitements, de manque d'intimité, de négligence, de mauvaise hygiène et d'intimidation. Des milliers et des milliers de personnes âgées sont laissées pendant des heures dans des vêtements souillés.

Serait-ce parce que trop d'infirmières modernes sont paresseuses, stupides et incompétentes? Trop de gens sont trop importants pour faire autre chose que de regarder un écran d'ordinateur toute la journée.

À mon avis, les infirmières qui ne disent rien quand elles voient des abus sont aussi coupables que les agresseurs. Une profession autrefois grande est, aujourd'hui, dans un état pire qu'elle ne l'était à l'époque de Dickens. Est-ce si démodé de ma part de croire que chaque infirmière devrait toujours signaler chaque incident de maltraitance? Toujours. Sans exception.

L'âgisme est, semble-t-il, maintenant endémique dans les soins de santé. Un lecteur m'a écrit pour me dire que quand elle a visité son médecin se plaignant de genoux douloureux, son médecin lui a dit, très brusquement, que son problème était qu'elle vivait trop longtemps. Elle était dévastée. “Il a été dit comme une blague,” elle m'a dit. “Il le voulait dire.” Dans les mois qui ont précédé sa mort, mon père s'est plaint à plusieurs reprises: “Les gens me traitent comme un imbécile parce que je suis vieux Un lecteur de 79 ans m'a dit: “Si vous avez plus de 55 ans, ils veulent votre mort parce que vous êtes trop cher vivant.”

Nous vivons maintenant dans un monde où il est considéré comme acceptable pour les hommes et les femmes d'avoir à partager une salle; où les salles de bains de l'hôpital sont si sales que les patients n'osent pas les utiliser; où les dentistes sont si rares et coûteux que les gens doivent recourir à tirer leurs propres mauvaises dents à l'aide d'une longueur de ficelle attachée à une poignée de porte. Mais ce sont les personnes âgées qui, par-dessus tout, sont considérées comme jetables et non pertinentes. Ce sont les personnes âgées qui n'ont aucun droit. Le sexisme et le racisme sont interdits, mais pas l'âgisme. En effet, il semble clair que l'âgisme est maintenant un préjugé parrainé par l'État. Les jeunes violents et sauvages qui sont pris à agresser des citoyens âgés respectueux de la loi sont susceptibles d'être “punished” avec une poignée de bons leur donnant droit à une poignée de CD gratuits (dont les paroles peuvent bien encourager plus de violence) mais honnêteles citoyens âgés qui ne peuvent pas se permettre de payer leur facture fiscale du conseil finiront en prison.

Lorsque les médecins appartiennent au Gouvernement, les priorités de Government’s prennent le relais. Ainsi, les personnes âgées, qui sont considérées comme un fardeau coûteux, sont considérées comme consommables.

Note: L'essai ci-dessus est tiré du livre de Vernon Coleman’s intitulé ''thereadPourquoi et comment les médecins tuent plus de gens que le cancer’. Le livre est disponible via le librairie sur son site.

https://expose-news.com/2025/01/20/your-government-wants-...

Mémo Christine Lagarde: Les personnes âgées posent un risque important de fardeau financier pour l'économie mondiale et comment les cibler pour atténuer le risque

Christine Lagarde: Les personnes âgées posent un risque important de fardeau financier pour l’économie mondiale COMMENT s'en débarrasseer ?

Le “Christine Lagarde Mémo: POUR VOS YEUX SEULEMENT, à partir de ‘la Coalition’” est un mémo qui traite des préoccupations au sujet de la longévité “” et de son impact sur l'économie mondiale.

La note, prétendument divulguée par un haut responsable de la Commission européenne, a été adressée aux chefs d'État et aux ministres des Finances, dont Angela Merkel, Theresa May et Emmanuel Macron.

Il suggère que l'augmentation de la durée de vie de la population âgée pose un risque important pour l'économie mondiale et appelle à des mesures urgentes pour résoudre ce problème.

La note propose plusieurs stratégies pour atténuer le fardeau économique de la longévité “,”, y compris le relèvement de l'âge de la retraite et la réduction des droits. Il suggère également d'utiliser une terminologie non sexiste comme “personnes âgées” pour éviter les difficultés de relations publiques associées au ciblage spécifique des femmes âgées.

Il y a quelques jours, nous publié un article cela comprenait un extrait de la Christine Lagarde Mémo.  Nous avons encouragé nos lecteurs à lire le reste de la note pour comprendre les raisons possibles de l'agression sur nos personnes âgées.  Nous n'avons aucun moyen d'authentifier le mémo ou l'endroit où il a été trouvé. Cependant, le fait qu'un auteur primé de renom soit déclaré l'avoir publié, lui donne de la crédibilité.

Nous soulignons à nouveau cette note en la republiant ci-dessous. Malheureusement, ce n'est pas le mémo entier car il semblerait que le mémo ait été déchiré en plus d'une pièce et que seule la première partie ait été récupérée.
Le ‘Christine Lagarde Memo’: POUR VOS YEUX SEULEMENT, de ‘la Coalition’

Par Margaret Morganroth Gullette comme publié par Revue Mensuelle le 9 octobre 2018

en français :  
Les personnes âgées vivent trop longtemps et c'est un risque pour l'économie mondiale. Nous devons faire quelque chose, de toute urgence.”—Christine Lagarde, Directrice du Fonds Monétaire International (Traduit de l'Espagnol)

“Cette note secrète a été découverte dans le panier de déchets d'un membre du personnel de haut rang de la Commission européenne. Il nous a été envoyé par le Dr. Margaret Morganroth Gullette, auteur de ‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’ (2017).

“Le mémo de “la Coalition” commence “Chère Angela, Teresa, Emmanuel..” et a une autre liste de prénoms (chefs d'État et secrétaires ou ministres des finances, de la santé et des services humains), la plupart du temps griffonnés avec marqueur. Monthly Review est heureux de publier cet important document divulgué ici pour la première fois.”—Eds [Monthly Review]

Chère Angela, Teresa, Emmanuel …

POUR TES YEUX SEULEMENT

[S'il vous plaît noter: L'Exposé n'a pas modifié le mémo en aucune façon.  C'est exactement comme il a été publié par Revue Mensuelle, y compris les erreurs typographiques, anglais américain, etc.]

Ici, à la Coalition, nous avons été impressionnés par la bravoure de Christine’s, disant publiquement que les personnes âgées “vivent trop longtemps” et que les responsables de l'économie mondiale doivent faire quelque chose à ce sujet, de toute urgence. Récemment, une photo d'elle, avec un langage potentiellement incendiaire de ses discours, est devenue virale, sans soulever de résistance.

La Coalition se félicite de ce nouveau moment pour faire avancer notre programme sensé et coordonné vers les personnes surannées, de plus en plus justifiées, car tous nos budgets sont engloutis par les droits, nos rues et nos USI sont encombrées de personnes âgées, les frais médicaux pour le sénile augmentent et les enfants adultes sont accablés par les coûts et la culpabilité.

Tout en exploitant cette ouverture à une action positive, cependant nota bene, ce mémo crypté n'est pas pour la distribution. Sa discussion franche et ouverte sur le problème des nations grisonnantes signifie que ses suggestions sont placées dans un cercle restreint. Veuillez imprimer et supprimer.

Lagarde s'en tire avec la promotion de nos recommandations politiques en faisant les chiffres sur la longévité. Numbers don’t. Notre conseil est de faire connaître l'ampleur du problème en évoquant la situation désastreuse du Japon. Leurs données font peur à d'autres pays de se conformer à l'augmentation de l'âge de la retraite et à la réduction des droits. Utile pour nous aux États-Unis, les associations Alzheimer’s publient déjà les données dont nous avons besoin. Répéter les pourcentages de personnes âgées vivant maintenant dans votre pays, et projeter les chiffres terriblement plus importants à l'avenir (2040 ou 2050), ainsi que les pourcentages de cas de démence de temps en temps, est une tactique infaillible pour créer une anxiété fructueuse et soulignant la nécessité de réponses bipartisanes dramatiques à la crise.

Certains wimps et wets se plaindront de “ageism” mais la bonne nouvelle est que cette charge n'a pas d'importance. Peu de gens dans une société connaissent le terme. En Espagne, ils utilisent le mot de prêt anglais, “ageism.” Aux États-Unis, une étude récente montre que l'âgisme vient en dernier dans une liste des autres personnes “isms” sont préoccupés, après le sexisme—sexisme maintenant, avec le mouvement #MeToo et le cirque autour de la justice Kavanaugh, a atteint le sommet de la liste—and puis le racisme et l'homophobie. L'âgisme n'est tout simplement pas considéré comme une oppression.  Aux États-Unis, la Cour suprême n'a pas ajouté l'âge en tant que catégorie protégée, et a même refusé aux travailleurs de la quarantaine certaines des protections générales de l'Age Discrimination in Employment Act de 1967. Lorsqu'on leur a demandé, les personnes âgées disent souvent que l'âgisme fait référence aux jeunes qui leur offrent un siège dans le bus. Ou qu'il se réfère à mots“ridlies” (en Grande-Bretagne) ou “geezer” (aux États-Unis). Les lettres à l'éditeur ou les colonnes qui se disputent la façon de répondre aux questions de nomenclature triviales sont une distraction utile de notre agenda économique.

Des progrès ont été réalisés dans notre programme depuis les années 1980. Il semble maintenant tout à fait possible de réformer davantage les filets de sécurité sans attirer une attention indésirable. Bien que les personnes âgées votent, elles semblent incapables de se défendre. “Augmenter le déficit” est une stratégie non-pareil, permettant à de nombreux gouvernements de cibler les systèmes de santé nationaux qu'ils doivent vraiment réduire. La tactique des États-Unis consistant à répéter que la Sécurité sociale et Medicare seront bientôt insolvables, et que les jeunes ne bénéficieront pas de la vieillesse, s'avère fructueuse.

Pendant des années, nous avons clairement indiqué que la réduction des attentes fonctionnerait. Appeler la colère contre l'inégalité “guerre de classe conflictuelle” est une recommandation que nous soutenons, maintenant que la syndicalisation a été discréditée pour fournir des emplois sur-payés à des groupes subordonnés qui ne méritent clairement pas un examen spécial. Nous suggérons qu'à mesure que l'inégalité augmente, vous détournez l'attention de classe envie de Schadenfreude liée à l'âge, opposant génération contre génération. Dans les sections de commentaires et les éditoriaux, les jeunes Américains, sans être payés pour le dire, ridiculisent volontairement quiconque fait confiance aux États-Unis. Bons du Trésor. Ils se tournent avec colère contre les baby-boomers vieillissants, qui, selon eux, seront la dernière génération à recevoir des prestations. Cette croyance mène à l'inaction. Nous avons l'intention de faire de cette croyance une prophétie auto-réalisatrice.

Nous prévoyons des progrès sur d'autres fronts. Aux États-Unis, les républicains réduisent le ballonnement du ventre en coupant les bureaux ruraux de la Social Security Administration. Certaines âmes prudentes ont brièvement fait valoir que la réduction des services n'économise pas assez d'argent pour contrer la valeur gênante d'avoir des temps d'attente téléphoniques plus longs et des bureaux de moins en plus éloignés, ce qui rend les plaintes des médias judiciaires et irrite les lettres aux éditeurs. Pourtant, c'est un modèle utile d'insérer des coins minces invisibles en essayant de déstabiliser le troisième rail“” de la politique américaine, comme la Sécurité Sociale était appelée. N'étant plus aussi électrifiés, nous sommes heureux de constater. Le candidat Donald Trump, par exemple, a promis encore et encore pendant sa campagne de défendre les programmes hérités de la FDR. Les promesses semblent tout ce qui est nécessaire pour influencer l'électorat.

Medicaid est le prochain. Couper les personnes qui ne travaillent pas, le premier mouvement en Arkansas, a chuté de tous les rôles sauf 2%. Cela permet de réaliser des économies pour un État bien géré à utiliser pour les citoyens plus productifs (un groupe de plus en plus petit, à mesure que la robotisation et l'informatisation prennent le relais). Réduire les protections pour les personnes dans les maisons de soins infirmiers est une autre tactique des États-Unis.

Pendant au moins une décennie, cependant, notre Coalition prévoit que les réformateurs des droits devront prendre en considération les personnes âgées qui deviennent sans abri, car la presse devient étonnamment alerte à cet égard. Le temps exceptionnellement froid de l'hiver dernier a été en faute ici.

Les hommes âgés qui deviennent soudainement sans abri peuvent être décrits comme les victimes de leurs vices. Mais les vieilles femmes démentes au coin des rues qui mendient ou pleurent auront presque certainement besoin d'une campagne publicitaire différente pour que cela semble inévitable. Le trope de la fille Boomer peu accueillante, peut-être? Le problème est que les femmes âgées, bien qu'elles vivent plus longtemps, conservent un certain prestige en tant que mères et grands-mères et présentent donc la principale difficulté de relations publiques dans ce secteur. Nous avons suggéré d'utiliser une terminologie non-sexuée, comme “personnes âgées.” Puisque tout le monde sait que les personnes âgées sont sans sexe, cet usage ne risque pas d'être remarqué, et encore moins attaqué.

La Coalition a décidé de porter une attention particulière à l'avenir sur la longévité, l'ourson de l'État moderne rationnel. Les établissements médicaux et scientifiques se vantent de cela comme de leur succès, et ils ne peuvent pas et ne doivent pas être empêchés de le faire, ou toute la notion de progrès pharmaceutique et chirurgical est jetée par la fenêtre. Imaginez les cris du lobby de Big PhaRMA et les associations médicales étaient n'importe quel ministre de la santé à se plaindre les attentes de la vie augmentent. Pourtant, cette augmentation est le problème auquel nous sommes confrontés tant que les réponses collectives aux problèmes sociaux persistent. Souviens-toi de ce que Margaret nous a appris à dire. “Il n'y a pas de société, seulement des individus.”

Saisissant le moment, les leaders d'opinion du Consortium ont décidé de relever le défi de faire en sorte que la longévité “” elle-même semble un résultat négatif. La presse et les éditeurs n'ont eu besoin d'aucun élan de notre part—excepté l'incitation indirecte que certains de nos bailleurs de fonds possèdent eux—pour laisser les auteurs et les journalistes diaboliser les patients Alzheimer’s, et, malgré les démentis de quelques gérontologues qui sont en quelque sorte devenus des personnalités publiques, pour assimiler Alzheimer’s et la vieillesse. C'est la meilleure publicité pour notre position.

Financée par beaucoup d'entre vous avec des dons généreux, cette campagne de la Coalition continuera de concevoir des moyens humains et discrets pour réduire le grand nombre de personnes surannées dans les économies avancées. Certains retraités partent à la retraite dans des pays à faible revenu, vident nos rues et remettent le parc immobilier aux jeunes, mais dépensent leur revenu disponible en tant que consommateurs ailleurs. Ceux qui restent, vivent plus souvent avec leur propre espèce, hors de vue, et restent à l'intérieur, bien respectueux des besoins des jeunes de parler et de marcher rapidement sur les trottoirs publics sur leur chemin pour effectuer leurs tâches essentielles sans avoir à se soucier de courir dans les codgers confus lents.

Nous continuons d'insister pour que l'expansion du surtraitement “” meme—overtreatment soit une dépense nuisible et inutile. Dans de nombreux pays, la campagne contre le surtraitement dans les hôpitaux et les cabinets médicaux est solidement engagée. Les médecins mettent en garde contre les risques et la qualité de vie inférieure des interventions médicales ultérieures. La presse une fois de plus volontairement aider chaque fois qu'ils lient le terme émotionnel “burden” aux dépenses brutes de soins.

Note aux magnats des médias: n'hésitez pas à risquer plus. Temps publié une plainte de man’s sur le coût de sa mère’s $100 000 opération cardiaque, même si la mère a vécu encore dix ans. Le commentaire qui sert le mieux est de la “I would’t vouloir vivre au-delà de 75,” type—exemplifié par le Dr. Ezekiel Emanuel, qui a appelé son propre père à l'âge de 77 “lent” après son opération cardiaque et a dit il je ne voudrais pas qu'on se souvienne comme lent. Son autorité en tant que bioéthicien dans les National Institutes of Health lui a donné un laissez-passer gratuit. Barack Obama, parlant de sa propre grand-mère à la New York Times, déploré le coût des soins de fin de vie. Les rédacteurs peuvent être encouragés à publier des enfants adultes’s unhappiness with the national costs of careing, surtout si les auteurs ont des parents dits séniles ou proches de la mort. La prochaine crise économique—non pas que nous attendons un— facilitera plus de ces inquiétudes poignantes.

Au cours de cette campagne, nous avertissons les personnalités publiques de faire preuve de prudence et d'afficher des sentiments positifs, toujours en faisant allusion aux horreurs de la vie ultérieure et aux maladies des personnes âgées. Il est plus facile de laisser les jeunes faire le travail négatif. De nos jours, beaucoup d'autres sont désireux de dire ouvertement qu'ils refuseront “d'être relié à des machines.” “I’ll die before I get that way,” ils disent. Nous, de toutes les personnes, en proie à la pro-vie, comme j'aime à le dire, devrions donner un ton respectueux envers “mourir avec dignité.”

Les données ne seront peut-être jamais disponibles sur l'efficacité de l'accentuation du surtraitement chirurgical “” sur la réduction des coûts médicaux, mais je peux attester que cela distrait d'autres coûts que beaucoup de nos alliés dans Big Pharma préférez que la presse et le public n'y entrent pas. De plus, les gens sont de plus en plus convaincus qu'il y a un devoir de mourir— un devoir qu'ils ressentent envers leurs enfants bien sûr, plutôt que l'État.

Tant que le surtraitement (coûteux) reste la cible de choix dans le courant dominant, tant que la presse consentante compare les patients Alzheimer’s aux zombies, tant que les éditeurs publient les préoccupations très naturelles des enfants adultes sur les coûts croissants des choix médicaux parentaux, tant que chaque ralentissement économique ou réduction d'impôt volumineuse produit des soucis de déficit et un chômage de longue durée accru cette tendance à démoraliser génération après génération pour vieillir va croître.

En réduisant le nombre de personnes surannuées, les personnes dans leurs années intermédiaires qui sont devenues au chômage permanent se sont suicidées en nombre croissant, certaines de surdoses d'opioïdes, selon plusieurs rapports des États-Unis. Centers for Disease Control and Prevention. Les soi-disant décès par désespoir chez les hommes âgés sont devenus courants. Les vieilles femmes, bien que craignant de devenir des fardeaux pour leurs enfants, s'accrochent. En réponse, le Consortium suggère que la discrimination fondée sur l'âge, à laquelle les femmes âgées semblent plus facilement sujettes, peut être le moyen le plus simple d'atteindre...

[Ici le texte se termine, le reste du papier ayant apparemment été arraché.] 

À propos Margaret M. Gullette

‘Mettre fin à l'Âgisme, ou Comment Ne Pas Tirer sur les Vieilles Personnes’, Gullette’s le livre le plus récent a été présenté dans Le New Yorker en Novembre 2017 et a remporté le 2018 American Psychological Association’s Division 35 Florence L. Danemark Prix pour les contributions aux femmes et au vieillissement qui favorisent la justice sociale. A examen de Mettre fin à l'âgisme in Tikkun appelle anti-âge “le prochain grand mouvement social.” Elle a publié d'autres livres primés sur les contextes culturels de l'âge, et ses essais ont paru dans New Political Science, Nation, Dissent, Mme, American Prospect. Un essai a gagné le Prix du millénaire Daniel Singer. Ses essais sont souvent cités comme notables dans Meilleurs Essais Américains. Elle est une étudiante résidente au Women’s Studies Research Centre à Brandeis University.

Mise à jour: En 2024 Margaret Morganroth Gullette publié un autre livre ‘American Eldercide: How It Happened, How to Prevent It’ concernant le décès de 200 000 résidents de maisons de retraite pendant la pandémie de covid-19.  Le livre a été nominé pour un Prix Pulitzer et un National Book Award.  Katherine S. Newman, Provost et Vice-Président Exécutif des Affaires Académiques de l'Université de Californie écrit“Avec des détails sans faille Américain Eldercidedénigre l'indifférence du gouvernement et l'échec de la réglementation pendant la pandémie. Les portraits poignants de personnes réelles nous mettent face à face avec des individus qui sont sous notre responsabilité. Ce livre puissant devrait être lu par tous ceux qui se soucient de la santé publique, du vieillissement digne et de la responsabilité du gouvernement

https://expose-news.com/2025/01/20/christine-lagarde-memo/

Jean Fourastié dans son ouvrage, dans  la  célèbre collection  que sais-je : "La civilisation de 1960" (qui date de 1950) qui est un hymne à la Croissance, dans l'introduction mentionne cependant l'idée suivante, il dit que des pessimistes se rallient à "des slogans comme "Hitler a gagné la guerre" (en ce sens qu'il aurait imposé au monde sa conception de l'Etat et de la vie économique)

BEN ! VOYEZ ! ces "pessimistes" (Jean Fourastier, qui fut le créateur de la pensée  des "technocrates" était sans doute aussi celui des bobos "anti-complotistes") avaient bien raison. Ce qui se passe depuis 2020 (et EN FAIT DEPUIS BIEN AVANT ! POUR QUI SAIT OBSERVER !) l'a bien montré!!   il y a d'ailleurs une continuité entre sa pensée et Klaus Schwab


tiens ! c’est un peu ce que j’ai dit une fois dans ce journal, ça s’accorde aussi sans doute avec la pensée de Bernard Charbonneau.
et avec les dénonciations de Jean-Marie Le Mené

 

oui, ce texte je l'avais écrit un an avant la crise politique et idéologique  (car ce n'EST PAS UNE CRISE SANITAIRE !) actuelle, et même si j'étais largement plus pessimiste de le commun des naïfs, je ne savais pas à quel point j'avais raison !!!

Quant à la "crise climatique" (écoutez dans la vidéo ci-dessous comme elle est de nouveau instrumentalisée par la mafia de Davos !) c'était de même que le Covidisme (et que l'hystérique campagne anti-tabac qu'on nous martèle depuis trente ans, qui était un test pour voir si on pouvait culpabiliser soumettre et décérébrer toute une population par la Peûeûeûrrrr !) un plan pour soumettre la totalité de l'humanité en un nouvel "esclavage antique" l'esclavage deux point zéro où les téléphones portables et les QRcodes remplacent les colliers de fer

(bon, le gars est un peu "approximatif" Poutine et Trump "sauveurs de l'humanité" ! ils Poutine, objectivement, comme dirait un marxiste, je veux bien comme le fut l'URSS en 44, mais Trump plus typiquement américain tu meurs ! demandez à Maduro et aux vénezueliens pour voir si il est un "sauveur" ! )

par contre ce n'est pas pour rien que NOS MAÎTRES du grand capital, et donc une de leurs bras armés l'UE, veulent INTERDIRE tout ce qui ne leur rapporte pas des PROFITS (et tout ce qui pourrait ressortir de la libre vie des personnes)  - élémentaire mon cher Watson !  - tout se tient ! on revient vous le voyez TOUJOURS aux principes d'analyse marxiste !  le marxisme c'est le bon sens même, (pour ceux à qui le seul nom de MARX donne "des cloques sur la poitrine" lisez La Fontaine, ça peut suffire !)

 

et ici un lien à une vidéo censurée qu'on n'a pas le droit ni de télécharger ! ni d'intégrer dans un blog !!

https://rumble.com/v1azc8b-pre-michel-viot-le-prtre-catho...

03/03/2025

la révolte de l'Allemagne de Detlev Rohwedder

https://datawrapper.dwcdn.net/JgdqB/6/

regardez la carte c'est net ! on dirait une carte d'un manuel d'histoire !

les citoyens de RDA, ex travailleurs licenciés de leurs usines mises en faillite pour assurer les profits de investisseurs qui les ont accaparées, qui ont été annexés, traités comme des des traitres et des parias par les arrogants capitalos aux dents longues de la RFA, ne savent comment exprimer leur rancœur. Et après on dira que l'AfD est de droite, vraiment ?
En Allemagne de l'Est, conquise et annexée sans un coup de fusil par les capitalos de la RFA en 1990 le premier responsable de la privatisation, après la chute du mur et la "réunification" (en fait une annexion pure et simple de l'Est par l'Ouest) essayait au moins de faire que les usines ne ferment pas, et encourageait les ouvriers à se mettre en coopératives et reprendre leur usine - eh oui ! comme Fralib, qui va lancer la marque "1336" - ça n'a pas plu, il a été assassiné, par paraît-il un tireur d'extrème-gauche, on ne saura jamais bien, car celui-ci a depuis été abattu par la police, hmm pratique ! (...), surtout que on voit bien mieux les motifs que pouvaient avoir le grand capital international plutôt que l'extréme gauche à le tuer (toujours se poser la question basique de tout inspecteur de police : "à qui profite le crime ?") ... (Sa remplaçante, elle, a vendu à tout va le capital industriel du peuple est-allemand à des investisseurs US, c'est ce qu'ils voulaient)

il s'appelait Detlev Rohwedder, peu de blogeurs en parlent. C'est un grand tort ! quand les dossiers secrets de son assassinat seront-ils déclassifiés ???

 

Lukatchenko, un qui a carrément   décidé d'arrêter les fameuses privatisations imposées après la chute de l'URSS, président on n'a pas pu le tuer, mais à partir de ce moment l'Occident s'est mis à le diaboliser à qui mieux mieux ! https://ru-clip.com/video/9jKVOaXYkJc/loukachenko-l%E2%80...

tiens ! "on" a supprimé ru-clip, pourquoi ?


vendre, vendre, vendre, pour toujours plus enrichir les investisseurs, et appauvrir les nations !


C'est quand la révolution ?

*De toutes façons toutes les ventes (=privatisations) d'entreprises (ou de parts) et de biens nationaux (à quand Versailles ? comme dit Jovanovic) sont une aberration (et c'est bien pourquoi la classe des vautours capitalistes mondialistes nous y pousse ! ) , et , outre les autres raisons de critiquer ces pratiques, appauvrissent l'Etat, ne l'enrichissent pas (un peu d'argent liquide passager pour pouvoir "rembourser" ces "dettes", donc fourguer cet argent aux banques, et plus rien par après !!! c'est le traitement qu'on fait aux pauvres citoyens aussi maintenant    : regardez toutes les affiches où on les presse de vendre tout ce qu'ils ont à des prix de misère, pour avoir un peu de liquide tout de suite pour rembourser les crédits ! Quel cynisme !!), mais l'appauvrissent sans cesse en le privant des bénéfices de ces entreprises, c'est une arnaque totale, et les politiciens qui font ça, si ce sont des naïfs incompétents ils sont bien manipulés, ou ce sont plutôt des traîtres. Le crime de haute-trahison on voit pourquoi ils l'ont enlevé de la Constitution  !
Article sur l'appauvrissement de l'Etat pas ces fameuse privatisations : http://o-pied-humide.over-blog.com/article-l-appauvrissem...

23 milliards d'euros de moins dans les caisses de l'Etat (NOS caisses ! normalement .... ) rien que pour 2009.




24/02/2025

Belgique pays de la mort les dérives épouvantables de l'euthanasie en Belgique (surtout en Flandre)

Belgique : étude sur la pratique de l’euthanasie en Flandre

Les néerlandophones sont beaucoup plus enclins à exclure les personnes âgées de plus de 85 ans des soins plus onéreux.”

19/03/2015 - « Fin de vie » comme ils disent

Ce 15 mars, le New England Journal of Medicine a rendu publics les résultats d’une étude menée par deux universités belges sur les pratiques médicales en fin de vie, basée sur un questionnaire transmis à quelques 6188 médecins exerçant dans la partie néerlandophone de la Belgique et auquel plus de 3700 ont répondu.
Il en ressort une très nette augmentation des euthanasies pratiquées en Flandre entre 2007 et 2013, puisque le pourcentage des morts par euthanasie sur le total des décès en Flandre est passé de 2% à 4,6 %.
Les résultats montrent également une différence flagrante entre le nombre d’euthanasies rapportées à la commission de contrôle (1454 cas rapportés en Flandre en 2013) et le nombre d’euthanasies réellement pratiquées, qui tourne autour de 2800. Ce qui signifie que, dans la pratique, près d’une euthanasie sur deux échappe à tout contrôle.
Quant au pourcentage des décès ayant été volontairement hâtés sans consultation du patient, il reste stable à 1,7% en 2013.
Les responsables de l’étude identifient deux raisons à la hausse de la pratique de l’euthanasie. D’une part, de plus en plus de personnes demandent à être euthanasiées. D’autre part, il y a de plus en plus de médecins qui acceptent d’accéder à ces demandes, puisqu’en 2007, ils y accédaient dans 56% des cas, et qu’en 2013, c’est près de 77% des demandes d’euthanasies qui sont acceptées par les médecins, qui se sentiraient plus « aptes » à la pratiquer, révèle une étude parallèle.
Dans près de
74% des cas, les soignants d’un service de soins palliatifs ont été partie prenante, ce qui, selon les responsables de l’étude, prouve qu’« après 11 ans, l’euthanasie est de plus en plus considérée comme une réelle option de choix de mort ». L’euthanasie fait donc désormais partie des soins palliatifs, selon ce que certains appellent le modèle belge des soins palliatifs intégraux.
Si l’on compare l’évolution des chiffres avec ceux des Pays-Bas, certaines différences sont frappantes. Le professeur Deliens affirme que la Flandre est sans doute plus permissive, et que le fait d’intégrer l’euthanasie dans les services de soins palliatifs comme cela se passe en Belgique, a certainement un impact non négligeable sur l’évolution du nombre d’euthanasies, car aux Pays-Bas, euthanasie et soins palliatifs sont deux circuits complètement séparés.

Source : The New England Journal of Medicine 

 Belgique : euthanasie toujours plus loin

A peine un an après la promulgation de la loi dépénalisant l’euthanasie des mineurs, s’exprime maintenant la volonté d’aller plus loin. Conférences, symposiums et articles de presse traduisent la volonté de certains médecins d’étendre le champ d’application de l’euthanasie aux personnes démentes (CF Allemagne nazie AKTION T4), (lien vers VUB-Gent) mais aussi aux nouveau-nés prématurés et/ou porteurs d’un handicap (CF Allemagne nazie AKTION T4), et pour lesquels l’équipe médicale jugerait que la « qualité de vie » (CF Allemagne nazie AKTION T4) pose question (cf le livre de Binder et Hoche en Allemagne 1922). (Symposium International d'éthique clinique chez le nouveau-né et l'enfant)

or 80% des euthnasies belges ont lieu en Flandre

Soit dit en passant la Flandre (le pays des bigots ! ceux qui en ont connu dans leur famille ou ont vécu les années 50 ou 60 au milieux d'eux en savent quelque chose ! et je rappelle que après la mort de la religion chrétienne la mentalité bigote ça continue, sous d'autres formes, car la nature de la bigoterie c'est : formalisme, niaiserie, flicarderie, conformisme, absence d'âme), c'est aussi le pays où on instaure ça :

Belgique : la Flandre envisage de surveiller les chômeurs sur Internet

La Cour européenne des droits de l’homme a accepté de se prononcer sur la requête introduite par un homme dont la mère a été euthanasiée sans que lui, ni sa sœur, n’en soient informés.

La Cour européenne a communiqué au Gouvernement belge la requête introduite par un Belge dont la mère a été euthanasiée à son insu. Cet homme estime que l’euthanasie de sa mère a violé sa vie familiale et son intégrité psychique, protégées par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme.

Le succin résumé des faits établi par la Cour permet d’ores et déjà de pointer des problèmes graves dans la procédure d’euthanasie telle qu’elle est pratiquée actuellement en Belgique :

  • Une « Commission fédérale de contrôle et d’évaluation » a bien effectué un contrôle du « respect de la procédure et des conditions prévues par la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie » s’agissant de la mère du requérant, et « ne décela aucun manquement à la loi ». Cependant, cette procédure est confidentielle, si bien que le fils de la personne euthanasiée, qui a porté plainte contre le médecin responsable de l’euthanasie de sa mère, n’a pas été informé des suites de sa plainte.
  • Le requérant déposa également une plainte pénale contre X, mais n’ayant pu apporter d’éléments de preuve en raison de la confidentialité de la procédure d’euthanasie, sa plainte fut clôturée par le Procureur.
  • Le requérant met en cause l’indépendance de ladite Commission de contrôle, car le médecin qui a euthanasié sa mère est aussi co-président de cette même commission.
  • Enfin, ce médecin a reçu 2.500 € pour une association dont il est le président, de la part de cette mère qu’il s’apprêtait à euthanasier…

Ces quelques éléments donnent un triste aperçu de la réalité de l’euthanasie : combien celle-ci affecte les proches de la personne euthanasiée ; et comment des procédures censées être claires et rigoureuses se révèlent en fait opaques, voire inefficaces. L’ECLJ a demandé à déposer des observations écrites dans cette affaire.

La Cour européenne a déjà pu se prononcer plusieurs fois sur des plaintes liées à l’euthanasie, mais le plus souvent celles-ci étaient déposées par les personnes souhaitant être euthanasiées et voulant être reconnues dans « ce droit » (Gross c. Suisse, Koch c. Allemagne, Haas c. Suisse, Pretty c. Royaume-Uni).

À l’inverse, la Cour a été saisie dans deux affaires ayant eu une large publicité, Lambert et autres c. France et Charles Gard c. Royaume-Uni, et dans lesquelles les parents demandaient à ce que la procédure d’euthanasie de leur enfant fût annulée. Dans les deux affaires, et de manière très décevante, la Cour avait rejeté les demandes des parents et validé l’euthanasie de leurs enfants, estimant la procédure satisfaisante et respectée.

Dans ses observations écrites, l’ECLJ soutiendra que la vie familiale comporte non seulement des droits mais également des devoirs envers ses proches et démontrera qu’un État comme la Belgique, qui euthanasie ses citoyens y compris mineurs, ne respecte pas le droit à la vie garanti par la Convention européenne. C’est au contraire une atteinte flagrante à un droit érigé juste après-guerre, où les hommes avaient encore à l’esprit les programmes d’euthanasie des nazis.

 

17/02/2025

pour l'horreur qu'on connue les vieux ni oubli ni pardon !

03 déc. 2024 Pardonner et oublier ? NON !!! surtout pas !!!

Sommes-nous prêts à pardonner les crimes contre l’humanité perpétrés au cours des quatre dernières années et demie ?

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Sommes-nous prêts à oublier le mal qui nous a été imposé et utilisé pour nous rendre esclaves ?

La journaliste et cinéaste Jacqui Deevoy dit « absolument pas ».

Au cours des quatre dernières années et demie, j’ai été plongé dans le monde sombre des maisons de soins et des crimes perpétrés par notre gouvernement (britannique) et les médias contre les résidents des maisons de soins et leurs familles.

La politique d’interdiction des visiteurs n’a jamais été une loi et le fait que le site Web du gouvernement ait toujours déclaré discrètement que les visites devraient être facilitées dans la mesure du possible, les gestionnaires de maisons de retraite ont suivi ce que la télévision leur a dit et ont verrouillé, certains dès février 2020. Ensuite, c’était tout - des résidents âgés enfermés et leurs amis et familles enfermés dehors. Des histoires d’horreur dans les maisons de retraite ont commencé à émerger : j’ai enquêté et j’en ai écrit plusieurs. Vous vous souvenez de ça ? https://dailymail.co.uk/femail/article-9023539/Shocking-moment-dementia-stricken-removed-window-visit-daughter-begs-carers.html...

Et ça ? https://dailymail.co.uk/femail/article-9304591/Woman-reveals-told-waving-father-80-care-home-window-illegal.ht... (L’homme dans cet article - Attilio Criscuo - est malheureusement décédé en septembre, à peine 18 mois après sa publication. RIP, Attilio.)

Nous n’oublierons jamais l’ampleur des souffrances que le gouvernement - et ceux qui ont fait ce qu’il a voulu - ont infligées à nos personnes âgées dans les maisons de retraite et les hôpitaux. Négligés, emprisonnés, privés de voir leurs proches, pensant qu’ils avaient été abandonnés, beaucoup ne recevant pas le traitement dont ils avaient besoin, inutilement et dangereusement piqués avec une injection expérimentale toxique, beaucoup euthanasiés, avec du RIVOTRIL en France, de la morphine et du Midazolam (comme utilisé aux États-Unis pour exécuter les criminels du couloir de la mort) tout cela sous le couvert d’un traitement pour une maladie dont l’existence n’a jamais été prouvée.

Le Covid Death Pathway, je l’ai appelé. Car c’était bien de cela qu’il s’agissait. Des milliers de personnes ont été tuées sans pitié dans le cadre de programmes de « fin de vie » et leur décès a été considéré comme un décès dû au « Covid ». (J’ai proposé à quelques journaux des articles sur cette fausse attribution évidente et délibérée de la mort au Covid - ainsi que des histoires de décès et de blessures dues aux vaccins et la preuve que la soi-disant pandémie était un canular - mais tous ces arguments ont été rejetés.)

Ils veulent que nous oubliions des histoires comme celle-ci : https://dailymail.co.uk/femail/article-9027457/Officer-refused-visit-dying-mum-care-home-able-recognise-him.html... Ils veulent nous faire oublier qu’ils ont jamais publié des histoires comme celle-ci : https://dailymail.co.uk/femail/article-8785349/Care-home-nurse-sacked-claiming-pandemic-hoax-insists-shes-seen-no-evidence-cornavirus.html... J’ai dû pousser fort pour que des histoires comme celle-ci soient publiées dans la presse grand public : https://telegraph.co.uk/family/life/incensed-dads-care-home-shutting/... - des histoires sur mon père, coincé dans une maison de retraite fermée pendant 10 mois, mais libéré dès que j’ai menacé de les traduire en justice pour séquestration et violation des droits humains. https://telegraph.co.uk/family/life/sprung-dad-care-home/... Et maintenant, on nous suggère d’oublier tout cela et de passer à autre chose. Oui, ils ont menti - sur à peu près tout - mais, bon, tout cela appartient au passé et il est important de laisser le passé être révolu. Vraiment?

My dad was never the same after being deprived of visits, hugs, kisses and cuddles. He could not understand why we were only permitted to speak through a closed window and he was permanently perplexed as to why he was being punished. When I got him home, he was an echo of his former self: he had become fearful, depressed, anxious and paranoid. He started self-harming, he had suicidal thoughts and was suffering from a clear case of survivor’s guilt, his joy at being free overshadowed by worry about the people he’d left behind. That miserable stint in the home had caused him to lose the will to live and, exactly a year after his homecoming, he died when a paramedic injected him with a too-high dose of a drug he’d never had before. https://telegraph.co.uk/christmas/2020/11/23/caring-dad-home-hard-know-done-right-thing/…

I told The Telegraph what had happened to my dad. The editor I deal with there didn’t even offer any condolences - she just said that sort of story wasn’t really her department and gave me the email address of an editor who she thought might be interested. I emailed this other editor three times but got no reply. (typique de notre époque !!

And what about Captain Tom? He was allowed visitors and he even popped off on holiday with Cliff Richard, while our elderly relatives died alone and had ‘rule of six’ funerals held for them. Just unbelievable. https://davidicke.com/2021/02/03/rip-to-sir-tom-moore-who-died-surrounded-by-his-family-but-tough-luck-to-the-rest-of-the-elderly-who-died-alone/…

It’s been a tough time for pretty much everyone but tougher still for anyone going against the narrative. I ignored all the stupid and unlawful rules but others felt they weren’t able to. As a result of the masking, social distancing, being under house arrest and getting jabbed, people lost their jobs, had their businesses shut down and suffered a deterioration in health. Many died because they couldn’t get hospital or doctor appointments. Those that died passed alone with no one to advocate for them, no one to protect them and no one to hold their hand. Behind the closed doors of care homes and hospitals, sinister and deathly protocols were being implemented. And there were no witnesses apart from the killer medics who, of course, were just doing their job. Just following orders. (Let’s see that excuse stand up in court. Bring on Nuremberg 2 ASAP!) The numbers of suicides seemed to be on the rise (going by social media) but these weren’t being reported by the national papers. And, to this day, many of those damaged or killed by the still-being-trialled Covid jabs are being ignored.

Our tyrannical government and the lapdog press would probably like me to forget that, in May 2021, I approached 28 editors with the story of the century - proof of a mass culling of the elderly in NHS facilities all over the UK. I had meetings with editors from two national newspapers and both agreed that the story was most definitely front page news. Then they went quiet. One hasn’t spoken me since.

The following month, I pitched a story about the use of blanket DNRs (Do Not Resuscitate orders) in care homes and hospitals to an editor at the Telegraph. It was commissioned. I told the story of how I’d discovered that my dad had a DNR on his notes and that it had been placed without his or my consent. I also included shocking quotes from a whistleblower doctor who revealed that, due to the hoax pandemic, DNRs were being put on anyone over 60, the disabled, people with mental health issues and children with autism. I met the deadline and filed the article. Weeks later, I was told it was not being published. No reason was given. I later offered it to an alternative news website and they published it. https://newspunch.com/new-dnr-protocol-doctor-daughter-speak-out/… I haven’t forgotten the fact that this story was rejected but I bet they wish I had. I’m sure they’d like me to forget that I ever made this film (co-produced with Ickonic Media): Link here….in the hope that if I forget, I’ll stop sharing it at every opportunity and then everyone else will forget too. And this one too - directed by Naeem Mahmood and Ash Mahmood and produced by Phil Graham and myself. https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events/playing-god/playing-god-premier/… They’d probably prefer me - and everyone who watched and listened to me - to forget every word I’ve said (about the fake virus, the scamdemic, the toxic clot shots, the way the police and government were breaking the law on a daily basis, the ridiculousness of the never ending rules) in the 100 or so no-holds-barred interviews I’ve done for various radio and TV internet news shows. Here’s one with David Icke from December 2020: https://davidicke.com/2020/12/09/the-premeditated-mass-murder-of-old-people-worldwide-david-icke-talks-with-real-journalist-jacqui-deevoy/… and another I did in January 2022 with Alex Jones. https://davidicke.com/2021/12/08/journalist-jacqui-deevoy-talks-to-alex-jones-about-ickonics-groundbreaking-documentary-about-midazolam-mass-murder-of-the-elderly-2/… And they’d probably be pretty chuffed if this little film could be forgotten too: https://davidicke.com/2022/06/17/i-believe-midazolam-killed-my/… I’ve emailed those 28 editors many times over the last few years.

All told, I’ve contacted over 100 editors and staff writers on U.K. newspapers and magazines since 2021.

In one email, I informed them all that their refusal to publish my story made them complicit in the ongoing Midazolam murders and that they all had blood on their hands.

Je n’ai pas reçu une seule réponse à ce joyeux petit « round robin ». Pas de surprise là-bas. Déjà tant de mauvaises choses ont été balayées sous le tapis, mais nos tortionnaires et nos bourreaux veulent que nous oubliions tout cela - et plus encore. Des millions de personnes ne veulent pas et ne peuvent pas le faire. Les personnes qui ont le plus souffert, dont la vie a été irrémédiablement endommagée, n’oublieront jamais. Et ils sont encore moins susceptibles de pardonner. Nous devons nous assurer qu’ils savent que nous n’allons pas les laisser effacer tous leurs actes répréhensibles ; que nous ne permettrons pas que l’histoire soit réécrite ; et que nous garderons la vérité vivante. Jusqu’à ce que les destructeurs psychopathes soient tenus responsables, nous devons jurer de ne jamais cesser de leur rappeler les crimes qu’ils ont commis et la dévastation qu’ils ont causée. La bataille ne fait que commencer.

Jacqui Deevoy