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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
(la date de publication est une "private joke") citation de Chandra Wickramasinghe suivie de mon commentaire :
"Since this type of evidence, together with chemical data, which also exist for the Murchison meteorite, is used to establish the biologic origin of mircofossils in the Earth's sediments, a space origin of life would seem to be securely established. It would require an almost incredible perversity of logic to deny this data."Mais « an incredible perversity of logic » c'est très, très fréquent chez les scientifiques ! Le récent scandale de la chloroquine l’ a une fois de plus montré !
(en fait, bien sûr, le scandale de la chloroquine, dans ses motivations, ressort typiquement de la lutte des classes, la maximisation du profit !)https://www.reinfocovid.fr/
Ce sont toutes les instances du pays qui ont collaboré qui sont à changer, du haut en bas (ne pas oublier la flicaille !), avec interdiction pour ceux qui ont exercé de pouvoir se représenter quelque soit leur domaine, politique, justice, haute administration etc.. C’est une révolution qui est devenue nécessaire. On attend l’homme providentiel, (attentions pas un facho ! on en a plus qu'assez) le Dr Louis Fouché serait bien ! Fouché Président ! C’est la survie même du pays qui est en jeu: Tout le monde en a assez de ne plus en finir de descendre: tout est devenu un problème, et les problèmes s’accumulent : il faut crever l’abcès une bonne fois pour toutes. Ce n’est plus la France, c’est un camp de concentration nazi. Elle n’est plus une république, mais la chasse gardée du grand capital et ses garde-chiourme. La France en a vu d’autre, demain elle renaîtra, libre et civilisée, c’est çà la France.
(entre-autre grâce à ses immigrés, tels Pierre Degeyter, Idriss Aberkane, ou Mehdi Belhaj Kacem)
refuser le traitement aux patients uniquement en raison de leur âge ou de leur forme physique est une forme d'eugénisme. Il semble que le nettoyage social soit bien vivant en Grande-Bretagne aujourd'hui.
Par Dr. Vernon Coleman
Il y a plusieurs décennies, les médecins ont convenu qu'il était erroné de réanimer les patients qui souffraient de douleurs sévères et qui étaient en phase terminale. Avant l'introduction du protocole ‘Do Not Resuscitate’ (“DNR”), il était courant que les patients gravement malades soient ramenés à la vie à maintes reprises. Chaque fois qu'un tel patient cessait de respirer (et mourrait effectivement), une équipe “crash” serait mobilisée. Les médecins courraient à la salle avec des masses d'équipement et le patient serait injecté, intubé et (littéralement) choqué à la vie. En tant que jeune médecin de l'hôpital, j'avais l'habitude de voir des patients à plusieurs reprises ramenés à la vie au bord de la mort. Personne n'a vraiment pensé à laisser quelqu'un mourir. Si et quand un patient est mort, nous avons considéré que nous avions échoué – si vieux et malade qu'ils étaient.
C'était alors.
Aujourd'hui, le protocole DNR a été étendu et ma boîte aux lettres a, pendant des années, été remplie d'histoires de patients révélant avoir été invités à signer Do Not Resuscitate Forms ou d'avoir signé des formulaires Do Not Resuscitate en leur nom. (Ceux-ci sont connus sous le nom de formes DNR ou DNAR – pour Do Not Tentative Resuscitation.)
Les avis DNR ne sont qu'à quelques centimètres de l'euthanasie et pourraient peut-être être mieux décrits comme une euthanasie “passive.” Le médecin ne fait rien pour tuer le patient. Mais il ne fait pas ce qu'il pourrait faire pour les empêcher de mourir.
Au cours des dernières années, les médecins généralistes du monde entier ont contacté leurs patients âgés et ceux souffrant de troubles de santé chroniques et leur ont posé deux questions. Même les patients en parfaite santé ont été approchés s'ils ont atteint un certain âge. (L'âge auquel les médecins considèrent qu'un patient ne vaut pas la peine d'être sauvé varie, mais est généralement d'environ 70 ans)
“Êtes-vous heureux pour nous de mettre sur votre dossier une note que vous ne serez pas admis à l'hôpital si vous devenez malade?”
Notez la formulation intelligente, conçue pour susciter une réponse positive. It’s the sorte of trickery used by crooked pollsters and insurance salesmen – knowing what reponse they want and shading the question in such a well as to ensure that they get it.
Un cabinet médical a envoyé une lettre à une maison de restauration pour les adultes autistes en disant que les soignants devraient avoir des plans pour empêcher leurs patients d'être réanimés s'ils sont devenus gravement malades.
D'autres médecins généralistes ont envoyé des lettres similaires aux établissements qui s'occupent des personnes âgées et des personnes handicapées. Des décisions de couverture ont été prises pour les foyers de soins et les foyers de soins aux patients ayant des difficultés d'apprentissage.
Un homme de 51 ans atteint du syndrome de Down’s a reçu un DNR en raison de son handicap, et des instructions ont été laissées qu'il ne devait pas y avoir de tentative de le réanimer s'il avait un arrêt cardiaque ou un arrêt respiratoire. Aucun formulaire de consentement n'a été signé et il n'y a eu aucun accord avec le patient ou ses proches. Le directeur médical de la partie pertinente du National Health Service de Britain’s a déclaré que sa politique était pleinement conforme aux directives nationales des organismes professionnes.(ça fait penser au Dr Sanchez directeur de l’IHU de Reims chez qui était enfermé (avec un policier à la porte de sa chambre) Vincent Lambert … il a dit ça aussi)
Le patron d'un grand organisme de bienfaisance a déclaré qu'il croyait que les ordres DNR étaient souvent placés sur des patients ayant des troubles d'apprentissage – sans la connaissance et l'accord de leurs familles.
C'était bien sûr illégal.
En 2015, la Haute Cour du Royaume-Uni a statué que les soignants de patients atteints de maladies mentales devaient être consultés avant l'application des avis DNR.
Mais le non-sens du coronavirus a entraîné une inondation de tels cas.
Un homme de 50 ans, avec une perte de vue, a reçu un avis DNR donnant “blindness et de graves troubles d'apprentissage” comme raison.
Un homme épileptique a reçu un avis DNR, et une chirurgie GP’s au Pays de Galles a exhorté les patients à haut risque à remplir un formulaire DNR s'ils contractaient le coronavirus. La lettre dit, “Vous êtes peu susceptible de recevoir l'admission à l'hôpital.”
Une femme à Bristol a reçu un appel téléphonique de son médecin généraliste lui demandant si elle était OK pour que ses dossiers médicaux soient mis à jour pour dire que si elle contractait le coronavirus, il n'irait pas chez elle, ni ne l’hospitaliserai, et qu’elle ne recevrai aucun traitement médical.
Maintenant, vous pourriez, je suppose, faire valoir que si un patient est clairement en train de mourir alors il serait cruel et inutile de tenter continuellement la réanimation. C'est pourquoi les avis DNR ont été conçus. Ils étaient à l'origine pour les patients qui n'avaient que quelques minutes ou peut-être des heures à vivre, et il était considéré comme injuste pour ces patients de continuer à pour rester officiellement en vie.”
Mais cela n'est pas ce qui se passe maintenant.
Aujourd'hui, au Royaume-Uni, dans le National Health Service, un patient est officiellement considéré comme inadapté pour être sauvé ou traité s'il a besoin d'aide pour les travaux ménagers lourds ou s'il a de la difficulté à préparer des repas ou à aller aux magasins.
Le canular post-coronavirus NHS ne veut pas sauver quiconque est handicapé, et tous les patients dans les foyers de soins sont, par définition, condamnés au meurtre par omission.
À l'origine, NICE (National Institute for Health and Care Excellence) a déclaré aux médecins qu'ils devraient évaluer les patients autistes comme ayant un score élevé pour la fragilité. Je suis, je l'avoue, encore assez confus quant à savoir quand ou si ce conseil a été supprimé.
J'ai vérifié autour et j'ai constaté que le Conseil médical général (“GMC”), qui fournit aux médecins leurs licences, a, avait obtenu sur l'acte en définissant “approchant la fin de vie” comme patients qui sont susceptibles de mourir dans les douze prochains mois.
Ceci, bien sûr, c'est le genre de déchets dangereux que l'on pourrait s'attendre à voir avec la forme bureaucratique surpayée des mélangeurs au Conseil Médical Général parce qu'il est toujours impossible de dire qu'un patient va mourir à l'intérieur douze mois. On peut dire qu'un patient peut mourir dans les douze heures mais pas douze mois. Seuls des médecins très arrogants et des bureaucrates ignorants prétendent savoir qu'un patient pourrait mourir dans les douze mois. Quand j'étais en pratique générale, je connaissais beaucoup de patients qui avaient des mois à vivre mais qui vivaient de très nombreuses années. Deux, je me souviens bien, avaient de jeunes enfants à s'occuper et bien qu'on leur ait donné seulement des mois à vivre, ils ont tous deux vécu pendant des années – refusant simplement d'abandonner et de survivre sur la volonté pure autant que toute autre chose. Si la règle GMC avait été appliquée, ils auraient été « autorisés à mourir »c’est à dire ; ils auraient été tranquillement euthanasiés au cas où ils seraient tombés malades et eu besoin de soins.
Refuser le traitement aux patients uniquement en raison de leur âge ou de leur forme physique est une forme d'eugénisme. Il semble que le nettoyage social soit bien vivant en Grande-Bretagne aujourd'hui. Si vous êtes en train de sauver des personnes (quand vous pouvez le faire), vous les tuez. Il ne me semble pas y avoir de différence entre la pensée derrière la politique du service de santé Britain’s et la politique d'Adolf Hitler.
Si vous établissez un formulaire DNR pour un patient, avec ou sans sa permission, vous le condamnez à mort.
Pendant les absurdités covid, les âmes obéissantes à travers le monde, de New York à Londres, et, applaudissaient sans réfléchir les infirmières et les médecins, mais tout le temps, ces mêmes infirmières et médecins délivraient délibérément des avis de décès, des formulaires DNR, aux personnes fragiles et âgées.
Lequel d'entre nous a donné aux médecins la permission de se comporter comme des nazis et de refuser un traitement à des personnes considérées comme sans importance, coûteuses ou inutiles?
À mon avis, chaque médecin, infirmière ou administrateur qui a mis un avis de DNR sur un patient en vertu de ces règlements devrait être congédié, arrêté et emprisonné.
Comment ces gens dorment-ils la nuit? ressentent-ils quelque chose pour les gens dont ils sont censés s'occuper? Les gens qui dispersaient ces avis DNR ont été payés pour s'occuper des gens. Et ils ont trahi ces gens. Les avis Do Not Resuscitate ont été conçus pour s'assurer que les vrais malades en phase terminale étaient autorisés à mourir avec dignité – sans être traînés maintes et maintes fois de l'endroit où ils se dirigeaient. Les avis DNR étaient à l'origine une partie nécessaire de la médecine – pour éviter les situations de type général Franco.
Mais maintenant, nous avons un millier de clones de Mengele travaillant dans le service de santé. Cela semble comme une exagération, mais la chose triste est que ce n’en est pas. Les Dr. Mengele aurait prospéré dans le NHS d'aujourd'hui. Ils araient aimé le applaudissements et l'adulation aussi.
Le NICE devrait être dissous immédiatement. Nous serions tous mieux sans.
L'essai ci-dessus est réimprimé avec la permission du livre Jack King’s book 'SwithIls veulent nous tuer: Here’s comment et pourquoi’.Ce livre décrit comment l'euthanasie –, également connue sous le nom de suicide assisté par un médecin –, est promue comme une solution rentable pour les systèmes de santé. Il met en évidence comment ce mouvement vers “mort par médecin” est motivé par des considérations financières, comme il est souvent moins coûteux de mettre fin à la vie d'une personne malade ou âgée que de fournir des soins de longue durée coûteux.
quelques questions : quelle sentiments avez-vous envers
les femmes ? - beaucoup de méfiance
les policiers ? - le mépris et le dégoût
les bourgeois ? - un peu d’aversion (de plus en plus d'aversion)
les musulmans ? - aucune opinion générale ! Il y en a de toutes sortes.
Les banquiers ? - ce sont les ennemis, c’est clair.
Les publicitaires ? - beurk !
Les journalistes ? - ce sont des "putes", et les agents de désinformation et de manipulation du régime comme autrefois en URSS
Quelle valeur mettez-vous le plus haut ? - la tendresse
Les choses que vous aimez ? - les caresses, la poésie, la philosophie, l’espéranto, l’histoire, les chats, les roses, les galaxies, les sciences, le rire, l’amitié
qu’aimez-vous entendre ? - au hasard : un plénum de cloches, le chant d'une grive musicienne, la musique de Scarlatti ou Geeta Chisti, France Gall, etc, etc
Comment vous définissez-vous politiquement ? - lutte des classes ! république, services publics, Bernard Friot, Asselineau bien entendu ! Et puis aussi le Pardem, et Etienne Chouard; humanisme et résistance.
Croyez-vous en Dieu ? - si on ne peut répondre que par OUI ou NON, je dirais NON. Mais en fait c’est plus compliqué. Je ne sais pas. Je suis très intéressé par Rupert Sheldrake, les EMI, les témoignages de réincarnation, les apparitions de Zeitoun, etc, et comme Jean Rostand je suis éffaré et ne comprend pas.
Vous intéressez-vous à votre monde intérieur ? Pas du tout ! Le « monde intérieur » est de toutes façons toujours beaucoup moins intéressant que le monde extérieur. Lui, oui, est intéressant.
Etes-vous pour ou contre l’avortement ? - Contre. Je suis athée, donc je suis contre la mort. Je suis contre la mort donc je suis contre l’avortement. CQFD
Que pensez-vous du bouddhisme ? - J’ai horreur de ça ! Une façon de s’euthanasier déjà de son vivant. L’amour du Néant ! Sinistre, beaucoup plus que le Théatre de l’Absurde, les philosophes de l’Absurde eux ils refusent la mort de toutes leurs forces.
Votre plus grand espoir ? - non; aucun espoir.
Les scènes de films que j'ai le plus aimées et qui me hantent le plus (et qui me donnent les larmes aux yeux): * la scène finale de "Manhattan" , de Woody Allenhttps://www.youtube.com/watch?v=ylZgG5kC6cI
* la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)
* "la voix du sang" de Magritte * (ce n'est pas un tableau au sens strict, c'est une tapisserie) : "Avant l'aube" de Manessier - 1967.
Mon sculpteur préféré: * Georges JEANCLOS * Sabine Cherki aussi, mais il n'est plus possible de voir ses œuvres sur internet, le féminisme est passé par là, de nos jours il n'est plus permis à aucun artiste, même si elle est elle-même une femme, de représenter une femme nue !
Les espèces d'oiseaux pour lesquels j'ai une attirance particulère: * le rougequeue noir (Phoenicurus ochruros)https://www.hautetfort.com/admin/posts/post.php * et, bien sûr, les grues * Le merle, le chant le plus beau, et le plus créatif, sans doute de la terre entière. * l'alouette, bien sûr * celui de la fauvette à tête noire! * le gazouilli des hirondelles (hirondelles de cheminée) entendu depuis chez soi perchées sur les fils électriques pour les rares qui ont encore cette chance (y en a-t-il encore seulement? ou est-ce totalement disparu? alors que pourtant ça devrait être le B-A ba dans toutes les villes !!! seuls les sales cons fascistes intolérants et ennemis de la vie qui grouillent dans la France profonde se réjouissent de leur disparition) * le chant des martinets : mais attention à condition que ce soit dans le ciel au-dessus de villes de France ! et que ce soient de vraies villes, de vraies villes avec des églises (ouvertes) des hôtels (au choix pour toutes les bourses), des rues (sans caméras de vidéo-surveillance), des magasins, des cafés, des bancs, des vraies villes quoi ! dans un vrai pays, qu'on peut sillonner toute la journée d'une ville à l'autre sans problème par de vrais trains, dont on peut ouvrir les fenêtres, des trains qu'on prend dans des gares qui sont de vraies gares: commodes, conviviales et à visage humain, tenus par une SNCF qui ne se foutrait pas du monde et ne serait pas stalinienne. Bref rien que des choses qui n'existent plus
Mes races de chiens préférés: * Les colleys !!! sans hésitation. Je ne peux pas un voir un sans me sentir fondre et m'écrier "oh ! un beau gros toutou tout velu !" les poètes français que j'aime le plus : * Apollinaire * Prévert * Francis Jammes * Norge * Saint-John Perse * Verlaine * Jules Laforgue * Jean Tardieu et plein d'autres les poètes étrangers: *Xu Zhimo *Tagore *Trakl *Yeats *Juan Ramon Jimenez *J Ringelnatz *et Morgenstern
en Espéranto: Marjorie Boulton et Angel Arquillos
les dramaturges :
* Jean Giraudoux
* Henry de Montherlant
les romans : (voir in "livres recommandés")
*Sed nur fragmento (Trevor Steele)
*La course au mouton sauvage (Haruki Murakami) *La femme des sables (Kobo Abe) *En gagnant mon pain (Maxim Gorki) *Le Château (Franz Kafka) *Le facteur humain (Graham Greene)
*les Chroniques martiennes (Ray Bradbury)
les autobiographies: *en n°1 ! : "Le bonheur d'être suisse" (Jean Ziegler) ensuite: *"Les mémoires d'outre-tombe" (Chateaubriand) *"Mémoires d'un enfant" (Jean Dutour)
tout le reste est maintenant censuré et interdit d'accès, partout il n'y a plus que le fascisme du grand capital et partout il n'y a plus moyen d'avoir aucune info sur ce qui se passe sur cette pauvre terre ravagée par leur projet d'esclavage 2.0
et il n'y a plus un seul site où règne la moindre liberté d'expression (qui était encore dans la années 70 la BA ba, la base même de l'enseignement dès le secondaire, le droit le plus sacré de toute civilisation hors des horreurs des régimes totalitaires, tel celui de la théocratie catholique ou du Mac-Carthysm
en France on revient à la "Gnadentod", destinée à réduire les dépenses de la sécu du Reich ! et ce n'est qu'un début ! une fois le tabou brisé vient l'emballement, la Belgique l'a bien montré !
Mais,au fait !
une question qui n'est pas posée c'est les infirmières qui FONT concrètement les ACTES (et absences d'actes) tueurs (car bien sûr le médecin, le "grand patron" d'hôpital, en général arrogant, oh combien ! dans ce milieu, se contente de donner les ordres à son personnel (et encaisser les gras honoraires) qu'en pensent-elles ? Ce sont pourtant elles qui donnent la mort. Mais bien sûr on ne leur demande pas leur avis, elles n'ont qu'à obéir "ac cadaver" sinon c'est la porte ! La ruine de leur vie, la maison achetée à crédit vendue par la banque, la clochardisation, etc ….
Et là, on ne peut s'empêcher de penser à ce cas : (paru sur la Midi Libre http://expressions.ecoutespirite.org/aux-frontieres-de-la-mort-revenus-dun-coma-ils-racontent/) celui de M. Joseph Garcia de Lagamas dans l'Hérault, à l'âge de 21ans il s'est retrouvé suite à un accident plusieurs semaines dans le coma, il dit entre autre : "Je sais aussi que malgré la fait que j'étais dans le coma je me rappelle très bien (en 2012, après 61 ans) du nom et du visage de l'infirmière en chef qui a désobéi au médecin pour continuer le bon traitement pour moi et qui m'a sauvé la vie. Comment j'ai pu connaître son nom ?"
Vincent Lambert n'a pas eu cette chance là ....
il n'y a pas eu d'infirmière qui a désobéi pour lui sauver la vie ...
6 juillet 2019, réponses à dix arguments favorables à l’ « euthanasie » de Vincent Lambert :
1« Sa mère n’a qu’à prendre son fils chez elle et s’en occuper elle-même ! »
Ses parents le souhaiteraient justement !!! et plusieurs autorités médicales ont reconnu que Vincent Lambert pourrait tout à fait être hébergé chez ses parents.! Ils en ont fait la demande plusieurs fois auprès des juridictions françaises et cela leur a été expressément et systématiquement refusé ! C’est le premier problème fondamental et spécifique à cette affaire : Vincent Lambert n’est pas dans l’unité de soins adaptée à sa situation. Il ne devrait pas être dans un service de soins palliatifs mais dans une maison ou clinique adaptée et spécialisée pour son handicap. Certains hôpitaux et cliniques privés spécialisés pour ce genre de handicap ont proposé d’accueillir Vincent Lambert dans leurs structures. Cela fut également systématiquement refusé.
Dans une tribune collective du 18 avril 2018, 70 « médecins et professionnels spécialisés dans la prise en charge de personnes cérébro-lésées en état végétatif ou pauci-relationnel » affirment à propos de Vincent Lambert qu’« il est manifeste qu’il n’est pas en fin de vie. » La durée moyenne de séjour en unité de soins palliatifs en France est de 16 jours. Vincent vit dans une unité de soins palliatifs depuis 10 ans. Cela montre bien qu’il n’est pas en fin de vie.
« Personne ne voudrait vivre comme ça, ce n’est pas une vie ! »
Oui, personne ne voudrait vivre dans une telle situation. Il y a cependant un sophisme à conclure que l’on devrait euthanasier une personne vivant dans une telle situation.
En effet, ce n’est pas parce que l’on souffre d’un mal ou de plusieurs maux que l’on voudrait nécessairement mourir. Personne ne souhaite perdre un bras dans un accident de travail et se retrouver au chômage. Cependant, si une telle chose arrive, une personne ne perd pas nécessairement la volonté de vivre. La réponse d’une société empathique ne doit pas être de maintenir une personne dans sa peine en l’invitant à mettre fin à ses jours pour ne plus souffrir, mais à la soigner, et à l’aider à comprendre que la vie vaut la peine d’être vécue.
De plus, juger de la valeur d’une vie d’une personne est dangereux. Quels critères permettent de dire qu’une vie vaut la peine d’être vécue ? Sont-ils universaux et acceptés par tous ?
Il a dit qu’il ne voulait pas qu’on le maintienne dans un tel état, respectez sa volonté ! »
C’est un point discuté dans cette affaire. Dans les faits, il n’a pas rédigé de directives anticipées, bien qu’il fût infirmier et informé d’une telle possibilité.
De plus, seule son épouse prétend rapporter des propos qu’il aurait tenus, ainsi qu’un frère qui prétend faire état de ses « dernières volontés ». L’ensemble de ses autres frères, sœurs, et même le demi-neveu ont affirmé que Vincent ne leur avait jamais rien exprimé à ce sujet. Ils ont cependant tous déduit cette prétendue volonté de ne pas être maintenu en vie de sa personnalité. Est-ce fiable ?
La réalité, c’est que chacun d’entre nous a déjà dit à ses proches qu’il ne voudrait pas vivre handicapé ou diminué. Cela ne signifie pas que l’on veuille être euthanasié dans ce cas-là. Même en exprimant clairement une telle volonté lorsque l’on est en bonne santé, l’expérience unanime des soignants est qu’une fois l’accident survenu, la volonté évolue car la volonté de vivre est bien souvent la plus forte.
Vincent Lambert a eu son accident de voiture en 2008. Or, ce n’est qu’en 2013, après une longue conversation avec le Dr Kariger, favorable à « un chemin de fin de vie », que Rachel Lambert va dire que telle était la volonté exprimée par son mari. Elle n’avait pas fait part publiquement de ces propos.
Sur cette base, le Dr Kariger tenta cette année-là une première euthanasie de Vincent Lambert. Le docteur continuant de l’hydrater (250-300mL/jour), Vincent Lambert a survécu à la faim pendant 31 jours. Cette résilience, qui s’est maintenue jusqu’à présent, est un indice sérieux d’une volonté personnelle de vivre. C’est ce qu’affirment tous les soignants spécialistes de ces patients et selon leur expérience, les patients comme Vincent Lambert qui ne veulent plus vivre ou « qui lâchent psychologiquement » partent en quelques jours, voire en quelques heures, sans signes avant-coureurs.
Il n’a plus conscience de lui-même, c’est un légume ! »
La question est débattue mais les divers diagnostiques établis au cours de toute la procédure judiciaire indiquent que Vincent Lambert est dans un état chronique de conscience altérée qui regroupe les états allant de « végétatif » à « pauci-relationnel ». Il respire seul, dort et se réveille. Il est alimenté par une gastrostomie. Ses mouvements et expressions faciales sont difficiles à interpréter médicalement, mais il est certain qu’il y a une interaction possible avec des personnes, aussi minimes soient-elles. Par exemple, il tourne les yeux et la tête vers sa mère quand elle l’appelle. Plusieurs vidéos prises par sa mère attestent de réactions à des sollicitations et a minima d’un éveil clair de Vincent Lambert, démontrant qu’il n’est pas un « légume. »
Si l’on considère que Vincent Lambert est dans un état végétatif tel qu’il ne pourrait rien exprimer ni même avoir conscience de son environnement – ce que contestent ses parents, alors on ne peut pas prétendre connaître sa véritable volonté à ce jour et prétendre avec certitude qu’il voudrait mourir. Cela rend l’euthanasie de Vincent Lambert d’autant plus choquante : la sagesse traditionnelle veut que « dans le doute, on s’abstient ». Ici, dans le doute, on le tue. Et si d’ailleurs Vincent Lambert n’était plus qu’un légume qui ne ressent et n’a plus conscience de rien, pourquoi vouloir le sédater pour qu’il ne souffre pas ?
Nous sommes entièrement d’accord. Seulement, dans le cas de Vincent Lambert, il ne s’agit pas d’un traitement médical. Il ne prend pas de médicaments, ne subit pas de pontages réguliers, n’est pas branché à une machine d’assistance respiratoire. Il n’est pas en fin de vie. Le 21 novembre 2018, les experts médicaux mandatés par la justice affirment que les
« besoins fondamentaux primaires ne relèvent pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable » et que la situation médicale de Vincent Lambert « n’appelle aucune mesure d’urgence ».
Certes, son alimentation par gastrostomie se fait par une sonde. Le moyen d’administrer l’alimentation est bien infirmier. Mais ce qui est administré n’est pas un médicament, ni un traitement, ni un artifice : c’est de la nourriture, comme tous les êtres humains ont besoin. De plus, dans le cas précis de Vincent Lambert, il faut dire qu’il est capable de déglutir de petites quantités de nourriture. Cependant, ses médecins successifs n’ont jamais cherché à stimuler cette capacité en vue d’un recouvrement de ses facultés.
Ainsi, priver Vincent Lambert de son alimentation n’est pas le « laisser partir » ou le « laisser mourir », c’est le faire mourir. Il est erroné et gravissime de voir dans la simple alimentation assistée d’une personne handicapée « une obstination déraisonnable ». Il y a en France des milliers des personnes qui ne peuvent pas se nourrir seules, certaines sont même malades et âgées. Serait-il légitime de les laisser mourir en ne les nourrissant plus ?
« Je suis contre l’euthanasie, mais là… »
… Mais là, c’est bien d’une euthanasie dont il s’agit : la décision par un tiers, le Dr Sanchez, de priver délibérément d’eau et de nourriture une personne avec pour objectif final de le faire mourir. Refuser de nourrir et d’hydrater un handicapé pour provoquer sa mort car on estime que son handicap est trop grave constitue, pour un médecin, un reniement du serment d’Hippocrate.
Si l’on n’est pas ferme sur un principe moral général, alors on se place directement sur une pente glissante. Certes, la situation médicale de Vincent Lambert est terrible et difficile ; mais s’il peut faire l’objet d’une euthanasie par la volonté de sa tutrice et de son médecin, pourquoi des personnes dans le coma depuis plus de 20 ans ne devraient-elles pas, elles aussi, être accompagnées vers une fin digne ? Et pourquoi attendre 20 ans d’ailleurs ? Et si l’alimentation par sonde est un traitement, pourquoi ne pas arrêter le traitement d’autres personnes qui ne peuvent se nourrir seules ?
La direction de cette pente, c’est la Belgique, qui permet légalement aujourd’hui l’euthanasie à la demande de mineurs dépressifs.
« Sa mère est une catholique traditionaliste qui fait subir à son fils ses croyances, c’est ignoble ! »
Lorsque les gens disent qu’il vaut mieux l’euthanasier car « personne ne voudrait vivre dans une telle situation », ces gens prétendent eux-aussi imposer leurs convictions à Vincent. Dès lors que Vincent Lambert ne peut pas exprimer sa volonté, les actions entreprises sur lui sont nécessairement imposées, que ce soit la vie ou la mort. Pourquoi un païen qui ne croit pas en la vie après la mort serait-il plus légitime à imposer ses croyances à Vincent ? Il est tout à fait absurde que certains se moquent des croyances des parents de Vincent Lambert tout en assénant qu’une fois mort,
Vincent Lambert ne souffrira plus. Qu’en savent-ils ? À titre de rappel historique, seules les autorités catholiques s’opposèrent au programme hitlérien "Aktion T4" mis en place en 1939 dans le but d’éliminer les personnes handicapées. Selon le texte du décret du programme, le but était « d'accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé. »
« Quels coûts pour la sécurité sociale ! »[du Reich?]
Oui. Mais fonder un jugement sur la vie ou la mort d’une personne sur des considérations financières est dangereux… pour tout le monde. Que dire de toutes les personnes plongées dans le coma ? Celles atteintes de cancers graves, foudroyants ou lents ? Doit-on fixer un âge au-delà duquel vivre reviendrait trop cher à la société et justifierait qu’on euthanasie une personne trop âgée ? Cela va à l'encontre du principe fondamental de notre système de sécurité sociale : contribuer à hauteur de ses moyens et être soigné en fonction de ses besoins.
Dans le cas particulier de Vincent Lambert, celui-ci ayant eu son accident de voiture sur le trajet entre son domicile et son lieu de travail, il est financièrement pris en charge par la compagnie d’assurance de son employeur, et non véritablement « par nos impôts ». De plus, les frais journaliers dans un établissement spécialisé qui lui serait adapté sont deux à trois fois moindres que dans un service de soins palliatifs. Le transfert demandé depuis des années par ses parents réduirait d'autant les coûts.
« L’ONU n’a rien à voir dans cette affaire. Les exigences de ses comités n’ont aucune valeur en France »
Les Nations unies sont une organisation internationale que les États ont eux-mêmes créée et acceptée en ratifiant un traité constitutif. Or, selon notre Constitution et la jurisprudence du Conseil constitutionnel, les traités internationaux ratifiés par la France s’intègrent à notre ordre légal et ont une force juridique supérieure à la loi.
En l’espèce, dès lors que la France a signé la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocol facultatif, elle s’est engagée, selon notre propre droit national, à reconnaître « que les personnes handicapées ont le droit de jouir du meilleur état de santé possible sans discrimination fondée sur le handicap » et à « Empêche[r] tout refus discriminatoire de fournir des soins ou services médicaux ou des aliments ou des liquides en raison d’un handicap. »
dès lors que les parents de Vincent Lambert ne sont pas parvenus à faire reconnaître le droit à la vie et aux soins de leur fils handicapé en France, il était légitime pour eux de saisir le Comité des droits des personnes handicapées chargé de veiller à la bonne application de ladite convention par la France.
La France a l'obligation de respecter la demande de ce Comité de ne pas faire mourir Vincent Lambert car elle a reconnu à ce Comité le pouvoir de
prescrire les « mesures conservatoires nécessaires pour éviter qu'un dommage irréparable ne soit causé aux victimes de la violation présumée ». En outre, le respect de ces mesures est une condition à l'effectivité du droit de recours individuel auprès des cette instance.
« Toutes ces années de procédures, c’est de l’acharnement judiciaire en plus de l’acharnement médical ! »
Personne ne s’engage dans des années de procédures judiciaires par plaisir et cela n’était ni ce qu’imaginaient, ni ce que voulaient les parents de Vincent Lambert.
Aux sources de cette volonté de protéger la vie de leur fils, il y a évidemment et en premier lieu l’amour parental ; mais il y a aussi la conviction de subir une injustice, d’œuvrer pour la protection de principes et de protéger la vie d’autres personnes qui sont dans des situations similaires à celle de Vincent Lambert.
C’est l’injustice et le scandale qui justifient moralement d’engager tous les recours possibles selon le droit français et international : voir leur fils handicapé être, pour ce motif, assoiffé et affamé jusqu’à la mort par décision d’un médecin et de la justice.
L’acharnement n’est ni thérapeutique, ni judiciaire, il est thanatologique
Maintenant un rappel historique : le 1er septembre on va fêter les 80 ans de lacréation officielle de l'AktionT4 Lisez bien bien des termes procédures et motivations de l'époque rappellent la notre ! (et n'oubliez pas le lien avec les valeurs du capitalisme ! de plus en plus preignant) :
Il y a 80 ans débutait l’opération Aktion T4
C’est à l’été 1939, il y a quatre-vingt ans presque jour pour jour, qu’a été mis en place par le IIIe Reich le dispositif Aktion T4 destiné à éliminer les handicapés physiques et mentaux d’Allemagne.
Si le début officiel de l’opération est le 1er septembre, au commencement de la guerre, la décision avait été prise antérieurement et il est vraisemblable que son exécution a été préparée tout au long de l’été. L’opération, pilotée par la Chancellerie, a reçu le nom de code T 4 parce que l’ administration dédiée a été installée dans une villa confisquée à une famille juive au 4 de la Tiergartenstrasse (rue du Jardin zoologique), une des avenues les plus huppées de Berlin.
C’est là que fut recrutée une équipe restreinte dirigée par Philip Bouhler, destinée à réaliser cette élimination, en liaison étroite avec le Dr Karl Brandt, médecin personnel du führer[1].
Dès avant son accession au pouvoir, Hitler avait ce projet en tête. Il découlait de son idéologie préconisant l’élimination des faibles et des tarés, à la fois pour améliorer la race et pour débarrasser le pays de la charge des improductifs. Il ne fallait pas trembler pour le faire car, selon lui, le monde appartenait aux forts aptes à surmonter les sentiments de pitié. Cela n’a cependant pas empêché Hitler de déclarer que l’opération visait à infliger « une mort miséricordieuse » à des gens dont la vie ne valait pas la peine d’être vécue. Entre les deux-guerres, l’idée d’une élimination des tarés, portée par la philosophie de Nietzsche[2], était déjà dans l’air du temps, non seulement en Allemagne mais aussi dans le monde anglo-saxon.
Dès 1933, les nazis avaient pris des mesures d’« hygiène raciale » : stérilisation obligatoire des porteurs de maladies héréditaires, légalisation de l’avortement dans le cas où un de parents en serait affligé. Mais pour des raisons politiques, Hitler préféra attendre la guerre pour aller plus loin tout en préparant les esprits par une propagande insistant sur le coût social des handicapés. A partir de 1938, la même propagande prétendit que des parents de handicapés de plus en plus nombreux écrivaient pour demander leur élimination.
La difficulté à surmonter était la résistance prévisible des familles et des Eglises. Tout se fit donc dans le secret. Si l’opération débuta avec la guerre de Pologne, c’est que le régime espérait que le bruit médiatique lié à la déclaration de guerre la couvrirait.
On commença par les enfants : dès le 18 août , une circulaire imposa aux médecins et sages-femmes de déclarer (de nos jours on dit "signaler" !) ceux qui naissaient handicapés. Les parents étaient informés de leur transfert dans des unités dispensant des soins spécialisés ; ils devaient signer une autorisation. L’opération fut très vite étendue aux adultes : furent particulièrement visés les psychopathes, les alcooliques, les infirmes, les faibles d’esprit, les incurables. L’inaptitude au travail était le critère déterminant (l'absence de "d'efficience" quoi !).
L’opération se fit hors des hôpitaux psychiatriques, dans six centres spécialisés, dont des châteaux isolés, répartis sur tout le territoire. Les malades y étaient amenés dans des autobus gris aux vitres opaques de la société d’Etat Gekrat. Ignorant leur destination, les familles recevaient plus tard un faire-part de décès pour cause d’épidémie et quelquefois une urne funéraire.
La majorité du corps médical était au courant comme l’a montré le procès des médecins qui s’est tenu à Nuremberg en 1948. Après avoir essayé les piqures de morphine ou scopolamine, l’administration du T4 jugea plus expéditif le recours au monoxyde de carbone, suivi d’une crémation.
On estime que, pendant les deux années (août 1939-août 1941) où elle se déroula, l’opération fit environ 75 000 victimes. Mais l’élimination des malades mentaux ou enfants handicapés se poursuivit hors de l’opération T4, dépassant au total les 100 000 victimes.
Le secret presque absolu dans lequel elle fut menée fit que les réactions furent lentes. D’autant qu’en régime totalitaire, les familles sont isolées les unes des autres et sous surveillance policière. Quand la chose filtra, des pasteurs protestants et de prêtres catholiques écrivirent à la Chancellerie. La protestation la plus spectaculaire fut celle de Mgr Clemens-August von Galen, évêque de Munster qui, à l’été 1941, saisit la justice et interpella avec véhémence le gouvernement du haut de sa chaire. Que l’opération ait cessé peu après est-il l’effet de cette interpellation ou cette phase de l’opération était-elle terminée ? Toujours est-il que l’évêque fit mis au secret et plusieurs de ses prêtres déportés.
Une autre raison de mettre fin à l’ opération, était qu’à l’automne 1941, après l’invasion de la Russie, commençait l’élimination des juifs, d’abord par balle dans les terres occupées de l’ Union soviétique puis, de manière plus « scientifique », dans des camps. L’Aktion T4 aura servi en quelque sorte de terrain d’expérimentation à cette autre opération, prévue elle aussi depuis longtemps. Le personnel qui avait été recruté pour éliminer les malades mentaux fut en partie transféré dans les camps d’extermination.
(source : Roland HUREAUX - agrégé d’histoire)
[1] Condamné à mort à Nüremberg ; Bouhler s’est suicidé en prison. [2] Le philosophe a à plusieurs reprises recommandé l’élimination des tarés.
à 1H 1min : "mais dans quelle société de barbares vivons-nous ? Jusqu'à quand on va accepter ça ? Jusqu'à quand on va accepter de vivre dans une société de barbares dans laquelle la fumée des crématoires ne gêne plus personne ! Tout le monde habite à côté des crématoires, on sent la fumée, et tout le monde dort paisiblement la nuit." "on sera responsables devant nos enfants, nos petits-enfants,
et c'etait pout pouvoir déclencher un projet général, la preuve, regardez maintenant après vincent Lambert ils passent à Tafida Raqeeb:
Et maintenant quand on pense aux ordres qui ont été donnés dans les EHPAD, on se dit que d'habituer l'opinion publique à l'euthanasie c'était vraiment un axe de leur plan d'action (en anglais ça se dit "agenda", mais pas en français !)
oui c'est une mise à mort, et les gens qui ont donné ces ordres devraient être pendus, comme les nazis à Nüremberg
eh oui ! dans un monde normal il y aurait un grand proès de Nüremberg pour ces politiques, et aussi pour les médias (propriétés de 9 milliardaires, on a compris leurs interêts de classe !). Mais Bertholt Brecht le sait : le fascisme est là pour empêcher ce qui se serait passé dans un monde normal ! c'en était le but dans les années 20 et 30, ça l'est encore à notre époque.
(le petit garçon de trois ans vous avez deviné, c'etait moi)
"L'espèce humaine passera, comme ont passé les Dinosaures et les Stégocéphales. Peu à peu, la petite étoile qui nous sert de soleil abandonnera sa force éclairante et chauffante... Toute vie alors aura cessé sur la Terre, qui, astre périmé, continuera de tourner sans fin dans les espaces sans bornes... Alors, de toute la civilisation humaine ou surhumaine - découvertes, philosophies, idéaux, religions -, rien ne subsistera. En ce minuscule coin d'univers sera annulée pour jamais l'aventure falote du protoplasma... Aventure qui déjà, peut-être, s'est achevée sur d'autres mondes... Aventure qui, en d'autres mondes peut-être, se renouvellera... Et partout soutenue par les mêmes illusions, créatrice des mêmes tourments, partout aussi absurde, aussi vaine, aussi nécessairement promise dès le principe à l'échec final et à la ténèbre infinie..."
Жарияланды 2020 ж. 16 Жел. ⚠️Si vous travaillez dans les forces de l'ordre, vous êtes prié de regarder la version intégrale du film ALERT-21 avant que l'humanité ne soit détruite et à en tirer vos conclusions personnelles. Présente sur : ➡️ odysee.com/@florianpiana/alert-21-film (vidéo sous-titrée en anglais).
(mais sur d'autres adresses encore par exemple : http://tout1savoir.eklablog.com/alert-21-le-dernier-messa... Vous, qui vous êtes engagés pour que nous puissions tous vivre en paix. Vous, qui vous êtes engagés pour que nous puissions tous vivre en sécurité. Vous, qui vous êtes engagés pour que les assassins et les criminels soient mis derrière les barreaux. Nous sommes tous en danger. Vos amis et votre famille le sont également. ALERT-21 est une vidéo au format documentaire qui questionne et met sur le devant de la scène ce que 99% des journalistes et des médias traditionnels ne vous diront et montreront JAMAIS sur la réalité de la pandémie de la C0V.10.9 (mot changé pour cause censure), et sur le futur de ce monde et de nos droits et libertés d'être humain, le tout de manière claire et concise, à l'aide de différents intervenants, scientifiques, experts en santé, médecins et autres, ainsi que l'apparition de quelques policiers et gendarmes conscients des choses. ⚠️
comme j'ai déjà dit mille fois comme en 40-44 les français sont divisés en deux camps https://www.youtube.com/watch?v=y8mU4QyUGHk
Après rassemblement, il faut durcir la résistance! Bloquer l’économie par exemple Et surtout ne pas respecter les mesures telles que les masques, confinement et couvre-feu
mais n'oubliez surtout pas de regarder ALERT-21 (n'oubliez pas le trait d'union!) !!! la plus importante !!!!!!
Les gens qui croient les gouvernements ne peuvent pas croire qu ils mentent au profit de big pharma là est le probleme, et pourtant on sait depuis toujours que :
« Que le profit soit convenable, et le capital devient courageux : 10% d’assurés, et on peut l’employer partout ; 20%, il s’échauffe ; 50%, il est d’une témérité folle, à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n’est pas de crime qu’il n’ose commettre » (T.J.Dunning, in Trade-Uions and strike, Londres 1860)
Lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs
Lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs Publié le 24/12/2020 -
Gerd Altmann - Frédéric Vidal pour FranceSoir
Je m’adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d’ailleurs, mais surtout à celles et ceux d’entre vous qui se sentent très mal à l’aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.
Vous êtes aujourd’hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l’on appelle aujourd’hui les « forces de l’ordre » et qu’on appelait il n’y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l’information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.
Cette année 2020, la pente s’est accrue et tout s’est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d’alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s’il en reste. Vous voilà aujourd’hui acteurs d’un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l’inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.
Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l’INSEE) montrent qu’il n’y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.
Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l’élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n’est qu’un mauvais perdant. C’est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j’écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?
Vous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c’est la base religieuse de l’organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.
La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d’essentiel parce que vous n’avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l’occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l’inique et ce n’est pas davantage excusable.
Derrière le paravent de cette mascarade politico-sanitaire, vous avez choisi de servir la soupe que tendent au bas peuple les 1 % des 1 % les plus riches de ce monde organisé par et pour la corruption. Une guerre mondiale contre tous les peuples est en cours (la lutte des classes, dont Marx a dit qu’elle est le moteur central de l’histoire, prend actuellement un visage particulièrement hideux et fasciste - ma note) pendant que vous les divertissez en agitant les ombres de la caverne de Platon, dans l’intérêt d’une poignée malveillante et despotique que par lâcheté vous continuez à servir à travers vos médias.
Je suis désolé si les mots sont durs, mais l’heure n’est plus aux litotes.
Pour celles et ceux d’entre vous qui ont abordé ce métier par vocation, votre position est intenable. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sous prétexte de factures à payer en fin de mois. Vos enfants, s’ils ne sont pas eux aussi sous hypnose, s’en foutent de vos factures, mais pas de leur avenir.
La situation demande du courage à toutes et tous. Chaque jour, de plus en plus n’ont pas de quoi répondre à leurs besoins essentiels. Ils sont conduits là pour devenir pleinement dépendants de ceux-là même qui ont allumé l’incendie. Ils seront alors précipités à épouser une société dont personne en conscience ne voudrait, en-dehors des psychopathes qui en sont les instigateurs, mais qu’ils risquent en inconscience d’accepter pour retrouver l’illusion d’un bol d’air. Une société mondialiste, liberticide et génocidaire, que vous-mêmes ne voulez pas pour vos enfants et leurs descendants. Qu’allez-vous faire pour eux et pour vous ?
Cette dictature sans précédent par son ampleur, calquée sur le modèle du parti communiste chinois, est en marche forcée, vous l’avez vu, vous le voyez parce que s’il vous reste la curiosité, le flair et la quête de la vérité qui sont l’essence du journalisme, vous en avez l’information, comme tous ceux qui vous ont remplacé au pied-levé, l’ont. Je parle des lanceurs d’alerte et de tous ceux qui les relaient, ceux que l’on nomme les soldats numériques. Car oui ce sont des soldats puisque nous sommes en guerre. Beaucoup de ceux-là sont tombés au fil des années, mis à l’écart, internés, assassinés, « suicidés ». Certains même étaient journalistes, comme Julian Assange pour ne nommer que lui dont l’actualité est encore brûlante. Il est une honte pour vous tous qui l’avez abandonné et parfois renié.
Lorsque la maison brûle et qu’on est à l’intérieur, on ne se demande plus s’il est risqué ou non d’essayer d’éteindre les flammes, pas plus qu’on fait la moue sur qui vient nous aider à les maîtriser.
Encore faut-il accepter de voir l’incendie. Je concède qu’à ce jour, bien des aveugles sont aussi devenus sourds, c’est ainsi que leur psyché se protège de regarder en face les illusions qui les ont jusque-là bercés. Je ne m’adresse pas à eux, je sais qu’ils s’effondreront lorsque trop de révélations auront brisé leurs dénis.
Aujourd’hui, avec cette fausse pandémie sans mortalité supérieure à une grippe, l’un des plus grands mensonges de l’humanité, car il y en a d’autres encore plus grands qui seront mis en lumière, orchestre le déroulement d’un plan préparé depuis très longtemps pour la mise en place d’un pouvoir sans partage, qui ne se cache plus et dont les aspects occultes sont plus terribles encore que la plupart ne l’imaginent.
L’arme absolue qui garantira la réussite de cette offensive est l’information.
Vous êtes cette arme, que vous le vouliez ou non. Vous servez directement la cause des agresseurs, c’est ce pour quoi vous êtes aujourd’hui payés. Pensez-vous vous supporter longtemps dans ce rôle ? Il n’y a pourtant rien de mauvais en vous, au contraire, écoutez ce qui crie tout au fond de vous et libérez-vous de ce poids que votre conscience ne pourra jamais digérer.
Les peuples du monde entier ont besoin de vous, ils ont besoin que vous leur donniez la juste information, celle qui leur permettra de ne pas succomber, de se libérer de l’illusion qui les conduira sinon vers un esclavage absolu. Leur conditionnement fait qu’ils n’ont pas la capacité pour la plupart d’aller eux-mêmes chercher cette information à la source, ni même auprès des journalistes citoyens qui présentent la seule alternative, ils sont trop formatés, tétanisés par les techniques de manipulation des masses pratiquées au quotidien, ils sont sous hypnose.
Seule une minorité n’est pas captive de cette camisole mentale. Si cette minorité grandit chaque jour, elle ne suffit pas encore. Les lanceurs d’alerte n’ont pas cessé d’informer, d’apporter les preuves de ce qu’ils avançaient, mais ils ne peuvent atteindre ceux qui restent rivés devant leurs téléviseurs et croient encore en vos mensonges.
Alors que faire dans votre mal-être ? Avoir le courage, comme le fera bientôt j’espère le peuple de France, de renverser les pouvoirs iniques. C’est un devoir, qui même s’il n’a jamais été appliqué reste inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793.
Reprenez vos salles de rédaction et vos studios TV, ne vous préoccupez pas de ceux qui les possèdent et vous ont achetés, écartez les corrompus et commencez à diffuser la vérité. Si vous le faites, il y aura des risques bien sûr mais mesurés, et vous ne serez pas seuls, appelez le peuple à venir protéger vos bâtiments des tentatives du pouvoir de les reprendre. Appelez les policiers et les militaires courageux à faire de même. Il y en a autant chez eux à vivre le même malaise que vous.
N’attendez pas de n’avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard.Les choses peuvent encore se faire sans violence, mais quand vous n’aurez plus rien, quand les peuples n’auront plus rien, la violence sera très difficile à endiguer. C’est ce qu’il nous faut tous conjurer, tant qu’on le peut encore.
Une partie de la jeunesse n’a plus d’espoir, sa colère grandit, parfois sa révolte. Une autre partie est amorphe. Elle se sent acculée contre un mur devant un gouffre sans avenir. Les artisans et les PME qui sont le tissu social et l’économie réelle de nos pays sont aux abois, les classes les plus pauvres s’appauvrissent encore, la classe moyenne est en voie de destruction. Tout cela va très vite désormais car c’est planifié en ce sens par ceux qui se désignent comme « l’élite » avec votre complicité et parfois vos collusions, vos conflits d’intérêts, votre corruption.
D’ici cinq ans, soit le monde sera en paix et se réorganisera sur les bases de nouveaux systèmes de gouvernance, soit il sera l’enfer mondialiste et ultra-matérialiste que promeuvent les classes dominantes.
Cela dépend de tous, mais de vous particulièrement, parce que vous détenez l’arme de l’information qu’ils utilisent pour maintenir les peuples dans la peur et la soumission, par le mensonge et la répression. Si la répression concerne les militaires et les policiers, qui se retrouvent aujourd’hui devant les mêmes choix, le mensonge est votre affaire, vous avez le pouvoir de le faire cesser.
L’Histoire se fera et pour qui sait voir entre les lignes, malgré les sombres apparences du moment, elle s’écrira le moment venu dans le sens d’une grande libération et pas d’un enfermement. Je vous le dis, ceux que vous servez perdront et devront faire face à leurs crimes et leurs responsabilités, du plus petit au plus grand. Vous avez le pouvoir de vous inscrire dans le bon sens de l’Histoire ou dans le mauvais.
L’important n’est pas ce que vous avez fait jusqu’à maintenant, mais ce que vous allez faire à présent. C’est cela qui sera retenu. Respectez-vous, respectez-nous.
Une des scènes les plus connues, et les plus profondes du théatre français, CALIGULA et HELICON :
HÉLICON, d’un bout de la scène à l’autre. — Bonjour, Caïus.
CALIGULA, avec naturel. — Bonjour, Hélicon. Silence.
HÉLICON. — Tu sembles fatigué ?
CALIGULA. — J’ai beaucoup marché.
HÉLICON. — Oui, ton absence a duré longtemps.
Silence.
CALIGULA. — C’était difficile à trouver.
HÉLICON. — Quoi donc ?
CALIGULA. — Ce que je voulais.
HÉLICON. — Et que voulais-tu ?
CALIGULA, toujours naturel. — La lune.
HÉLICON. — Quoi ?
CALIGULA. — Oui, je voulais la lune.
HÉLICON. — Ah ! (Silence.Hélicon se rapproche.) Et pour quoi faire ?
CALIGULA. — Eh bien !… C’est une des choses que je n’ai pas.
HÉLICON. — Bien sûr. Et maintenant, tout est arrangé ?
CALIGULA. — Non, je n’ai pas pu l’avoir.
HÉLICON. — C’est ennuyeux.
CALIGULA. — Oui, c’est pour cela que je suis fatigué. (Un temps.) Hélicon !
HÉLICON. — Oui, Caïus.
CALIGULA. — Tu penses que je suis fou.
HÉLICON. — Tu sais bien que je ne pense jamais. Je suis bien trop intelligent pour ça.
CALIGULA. — Oui. Enfin ! Mais je ne suis pas fou et même je n’ai jamais été aussi raisonnable. Simplement, je me suis senti tout d’un coup un besoin d’impossible. (Un temps.) Les choses, telles qu’elles sont, ne me semblent pas satisfaisantes.
HÉLICON. — C’est une opinion assez répandue.
CALIGULA. — Il est vrai. Mais je ne le savais pas auparavant. Maintenant, je sais. (Toujours naturel.) Ce monde, tel qu’il est fait, n’est pas supportable. J’ai donc besoin de la lune, ou du bonheur, ou de l’immortalité, de quelque chose qui soit dément peut-être, mais qui ne soit pas de ce monde.
HÉLICON. — C’est un raisonnement qui se tient. Mais, en général, on ne peut pas le tenir jusqu’au bout.
CALIGULA, se levant, mais avec la même simplicité. — Tu n’en sais rien. C’est parce qu’on ne le tient jamais jusqu’au bout que rien n’est obtenu. Mais il suffit peut-être de rester logique jusqu’à la fin. (Il regarde Hélicon.) Je sais aussi ce que tu penses. Que d’histoires pour la mort d’une femme ! Non, ce n’est pas cela. Je crois me souvenir, il est vrai, qu’il y a quelques jours, une femme que j’aimais est morte. Mais qu’est-ce que l’amour ? Peu de chose. Cette mort n’est rien, je te le jure ; elle est seulement le signe d’une vérité qui me rend la lune nécessaire. C’est une vérité toute simple et toute claire, un peu bête, mais difficile à découvrir et lourde à porter.
HÉLICON. — Et qu’est-ce donc que cette vérité, Caïus ?
CALIGULA, détourné, sur un ton neutre. — Les hommes meurent et ils ne sont pas heureux.
HÉLICON, après un temps. — Allons, Caïus, c’est une vérité dont on s’arrange très bien. Regarde autour de toi. Ce n’est pas cela qui les empêche de déjeuner.
CALIGULA, avec un éclat soudain. — Alors, c’est que tout, autour de moi, est mensonge, et moi, je veux qu’on vive dans la vérité ! Et justement, j’ai les moyens de les faire vivre dans la vérité. Car je sais ce qui leur manque, Hélicon. Ils sont privés de la connaissance et il leur manque un professeur qui sache ce dont il parle.
HÉLICON. — Ne t’offense pas, Caïus, de ce que je vais te dire. Mais tu devrais d’abord te reposer.
CALIGULA, s’asseyant et avec douceur. — Cela n’est pas possible, Hélicon, cela ne sera plus jamais possible.
HÉLICON. — Et pourquoi donc ?
CALIGULA. — Si je dors, qui me donnera la lune ?
HÉLICON, après un silence. — Cela est vrai.
Caligula se lève avec un effort visible.
CALIGULA. — Ecoute, Hélicon. J’entends des pas et des bruits de voix. Garde le silence et oublie que tu viens de me voir.
HÉLICON. — J’ai compris.
Caligula se dirige vers la sortie. Il se retourne.
CALIGULA. — Et s’il te plaît, aide-moi désormais.
HÉLICON. — Je n’ai pas de raison de ne pas le faire, Caïus, mais je sais peu de choses, et peu de choses m’intéressent. En quoi donc puis-je t’aider ?
j'avais prévu ce billet pour le 15/12/2022 - la "saint Zamenhof" ! - mais comme des espérantistes il n'y en a plus, ou ils sont comme les cathos : ils ne savent même plus lire l'Eo c'est juste un attachement "identitaire" !! de bourgeois crédules et arrogants, je le publie maintenant !
Aŭtoro, maljuste forgesita (kaj tiu fakto pensigas, pensigas pensigas multe ....) de la meza 19a jarcento.
Li parenteze verkis poemojn, interalie tiujn versojn, kiujn mi esperantigas ĉisube :
Dio, dankas vin mi, revula pigrulo Ke min vi irigis el la senekzisto ! Tiuj ne naskitaj ne vidis la stelojn,
mi aldonus, tiuj kiuj vidis la stelojn, kaj poste mortis, estas ekzakte kiel tiuj, kiuj ne naskiĝis, neniun memoron ili havas de la steloj, kiujn ili vidis, eĉ de ili mem.
en français pour les non-espérantistes et les "espérantistes" qui ne savent pas lire l'Eo !!! (...)
Alphonse Esquiros, un auteur injustement oublié (et voilà un phénomène qui donne à penser, et vachement beaucoup penser .... SI on a une cervelle, et un cœur.) du milieu du XIXè siècle
Il a, soit dit en passant, écrit des poèmes, entre autres ces vers dont je donne ci-dessous une version en Espéranto
faute de retrouver le texte français je retraduit : Moi rêveur paresseux te remercie Dieu/ Toi qui m'a tiré de l'inexistence/ Car ceux qui ne sont pas nés n'ont pas vu les étoiles !
Depuis bientôt vingt ans, je passe sur la route ; Mes yeux regardent tout et mon oreille écoute ; Deux rois ont laissé choir leur couronne à grand bruit. J'ai vu tout pouvoir vain, toute gloire éphémère, Et la fleur qui bourgeonne à cette plante amère Ne fait jamais de fruit.
L'Europe a donc quinze ans sué sans prendre haleine Pour qu'un homme, à la fin, mourût à Sainte-Hélène ! C'est là le dénouement de ce drame profond. Le peuple maintenant, riant de ce qui tombe, Nous dit : « Il faut marcher ! » Où va-t-il ? À la tombe. De tout c'est là le fond.
Soulevez donc le monde avec votre génie ; Moissonnez, en courant, une gloire infinie ; Jetez les rois à bas pour monter à leur rang ; Et vous aurez un jour, si le sort vous seconde, Pour reposer à l'aise au vaste sein du monde Un sépulcre plus grand.
Etreinte en son linceul au fond des pyramides, L'Egypte n'arme plus ses cavaliers numides ; Que nous reste-t-il donc de ces peuples si hauts Qui firent tant de bruit en passant sur la terre ? De vides monuments, dans un lieu solitaire, Et qui sont des tombeaux !
Le néant est partout ; et la mort elle-même Sur la bouche des rois est un souffle suprême ; On s'accoutume à voir ces trépas si soudains ; C'est le rideau baissé quand la scène est finie, C'est un de plus tombé dans la mer infinie Où tombent les humains.
Du sommeil à la mort quel est donc l’intervalle ? Est-ce un nom différent quand la chose est égale ? En visitant des morts la paisible cité, Je dis : Quand Paris dort, au soir de la journée, Tous se réveilleront, lui dans la matinée,
(eux non...)
(oui autrefois on se réveillait le matin au chant des hirondelles, partout, les hirondelles ont disparues, comme si elles n'avaient jamais existé, qui se souvient d'elles ? pas mêmes elles-mêmes bien sûr, et les enfants qui les entendaient n'auront même pas venus au "monde" (qui n'existe pas non plus, puisque qu'il n'existe que par la conscience qu'en on eu des "êtres" promis au néant éternel.)