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27/07/2021

lettre poignante à partager


 · FRANCE, PAYS DES LUMIÈRES ÉTEINTES 
Mon enfant, Je t’écris cette lettre que tu ne liras sans doute pas, car je ferai en sorte que tu ne naisses pas. Par amour et responsabilité. Et même si j’aime énormément ta maman et que j’aurais rêvé que tu découvres cette merveille qu’est la vie et ce monde qui est si beau, te faire vivre dans cette société si immonde qu’on te prépare, toi qui n’as rien demandé, aujourd’hui, non, je te le refuse. 
Et quand tu ne liras pas cette lettre, tu comprendras mon choix. Crois moi, mon enfant, j’aurais adoré que tu puisses connaître ce que j’ai connu dans les années 50 et encore dans les années 70. L’insouciance. Le partage. L’ouverture. La famille unie. La culture accessible au plus grand nombre, et j’en passe… Et voir tes yeux émerveillés. Mais non, cela sera impossible. Car depuis quelques mois, je vois notre beau Pays basculer dans l’angoisse. 
Le chacun pour sa gueule. Les déchirures familiales. La fermeture. La culture sanctuarisée (et depuis longtemps déjà réservée aux plus riches ! le TNP ,  Jean Vilar, les stages musicaux à Tillloy-les-Moflaines, Malraux, c'est loin !)… Et ainsi, vois-je, voit-on, depuis quelques mois, des dérives sociétales majeures. Dangereuses. Irréversibles ? Car oui, mon enfant, sous couvert de sanitaire, gentiment on glisse vers le totalitaire.
Sous couvert d’idées non partagées, on ne cherche plus à discuter. Et sous couvert d’économie, on n’a plus aucun mal à piétiner la déontologie.
Par exemple, que dis-tu de cela ? Hier, dans une bibliothèque, un lieu de culture, un homme d’une cinquantaine d’années a été expulsé par des policiers. 
Son crime était immense, il n’avait pas apporté la preuve, à l’entrée du lieu, que son corps était « sain ». Pareil que les juifs autrefois. Coupable, levez-vous ! En même temps, à la télévision, de jeunes gens de plus ou moins mon âge étaient interviewés. Ils étaient beaux, insouciants, avec les dents propres (comme les anti-chavistes !) Sans doute même qu’ils sentaient bon. Et entre deux rires bêtas, ils exprimaient leur joie immense d’être assis dans ce bar qui leur offrait une bière parce qu’ils avaient reçu leur première dose de vaccin. Après tout, si se faire injecter permettait d’avoir une bière gratos, pourquoi se priver ? 
Sans doute, même, avaient-ils partagé, et c’était bien normal, cette joie avec leurs followers et avaient-ils reçu des centaines de likes pour cela… C’était bien normal, oui, car ces jeunes gens étaient tout comme il fallait. Ils ne lisaient pas, s’étaient fait vacciner pour une vraie raison sanitaire, retourner au bar, et donc, ils étaient « sains ». Champagne du pauvre.
Bière. Aux insouciants la belle vie.Pendant ce temps de déliquescence, dans un temple de la démocratie qui s’appelle l’Assemblée Nationale, la vie parlementaire suivait son cours. Un projet de loi controversé était discuté, et à chaque tentative d’amélioration de celui-ci par différents amendements proposés par les différentes oppositions (certaines, nombreuses, pleines de bon sens), la majorité rejetait en bloc et sans écoute chaque proposition libertaire et adoptait en revanche chaque proposition liberticide. 
Ainsi, par exemple, était adopté un texte expliquant que désormais, il serait possible de licencier quelqu’un si la personne ne présentait pas de « pass sanitaire » à son employeur. Il y a six mois, pour une représentation et alors que j’allais, suite à celle-ci, me trouver en contact avec une personne fragile, je demandais, par prévenance, responsabilité et altruisme, s’il était possible que chacun des comédiens en présence au travail avec moi effectue un test PCR afin d’être certain de ne pas transmettre le virus à ladite personne fragile… 
Mon employeur m’avait alors rétorqué que cette demande était limite fasciste. « L’employeur n’a pas à connaître la santé de ses employés, Arnaud, car il y a une chose sacrée en France, c’est le secret médical. On n’a ni le droit de ne pas embaucher ni de licencier quelqu’un pour motif de santé. Ta demande est scandaleuse et irrecevable. »… 
Aujourd’hui, on aura désormais le droit de virer quelqu’un pour motif de santé. Autres temps, autres mœurs. Et c’est ainsi que le serveur qui travaille en bas de chez moi me disait la semaine dernière et alors qu’il refusait le vaccin, c’est ainsi, donc, que ce serveur me disait, les yeux pleins de larmes montantes, qu’il s’était fait vacciner à contre-coeur, qu’il en avait honte, mais qu’il avait trop peur de perdre son job, alors…
Toujours pendant que nos bons souriants buvaient leurs bières, à l’Assemblée, alors qu’elle avait d’abord était rejetée, était finalement rediscutée pour être adoptée en deuxième lecture l’interdiction d’aller en EHPAD ou en hôpital sans « pass sanitaire » valide, et tant pis pour les familles des proches en fin de vie. De toute façon, mourir seul ou accompagné, quel intérêt pour le mourant et la famille dès lors que ce n’est qu’une question de jours ? 
Crevez, il n’y a plus rien à voir.Enfin, (oui, mon enfant ce n’est pas fini !), était acceptée la proposition d’imposer un « pass sanitaire » aux citoyens pour pouvoir aller voter, là où le même « pass sanitaire » ne serait pas imposé aux Sénateurs se rendant au restaurant du Sénat, ni aux Députés se rendant à l’Assemblée Nationale, le Ministre ayant eu peur que cela soit anticonstitutionnel puisque cela en priverait certains, de Députés, peut-être, de pouvoir voter… 
Et par « pass sanitaire » pour les citoyens, dans le cas présent, pour les élections, c’est vaccin ou test PCR déremboursé à 50€ le test, soit 100€.Oui, mon enfant, tu lis bien ; désormais, dans cette démocratie qu’est la France, si tu veux voter, ton choix sera simple, soit tu seras vacciné, soit il te faudra payer 100€.Et je m’arrête là, mais il y a encore plein d’autres choses. Et comme je t’aime, je n’ai préféré te faire qu’un concentré du meilleur…
Alors je sais, mon enfant, si un jour tu naissais, lisais ces mots et vivais dans cette société que nous t’avons construite, tu me dirais : « mais Papa, la population, les gens, ils ont fait quoi pour éviter cela ? Et puis, ce n’est pas inconnu puisque tu as vu tout cela en direct à la télévision, c’est donc que l’information est accessible… Dis, Papa, vous avez fait quoi ? Vous ne pouvez pas dire que vous ne saviez pas… ». Alors, je te dirais, en baissant les yeux de honte :
« Mon enfant, rien. Nous n’avons rien fait. On a laissé faire. Et tout est passé, sans grand remous. Certains, dont je fais partie, ont bien tenté d’alerter, mais en vain. Car ils faisaient un truc horrible, ces gens qui tentaient d’alerter, ils pensaient. Et ça, ça faisait chier plus qu’autre chose. La France, Pays des Lumières ne voulait plus réfléchir. Et nous sommes ainsi devenus le Pays des Lumières éteintes. »Tu serais alors légitimement outré et tu me demanderais ce que firent les centaines, les milliers d’artistes… Ceux qui crient au moindre taulé, pour un oui, pour un non. 
Avec légitimité parfois. Parfois, non, mais ceux qu’on entend régulièrement. Qu’ont-ils fait, ces artistes ? Qu’ont-ils fait les directeurs de lieux face à ces directives ? Et là encore, je te dirais « Rien, mon enfant. Aucun ne prit réellement la parole
Ils appliquèrent les décrets ségrégationnistes et communautaristes sans mot dire. De peur de se faire griller sans doute. » (comme en 40...)  Coûte que coûte ils voulaient sauver l’économie et avalant des couleuvres, ils acceptaient tout, tranquillement sans bouger. Sur leurs théâtres, dans les textes défendus par leurs artistes, dans leurs notes d’intentions, on lisait des belles choses sur la Révolution, sur la nécessité d’aller contre les oppressions, l’ouverture et l’accessibilité aux publics empêchés et tout le blabla. C’était beau, ça faisait bien, c’était chic. 
Mais dans les faits, nombreux furent ceux qui jouèrent ce triste jeu de l’oppression, refusant en conscience à une partie de la population l’accès à leurs lieux, les privant de tout ce qu’ils disaient défendre. Pouvait-on leur en vouloir ? Oui. Et non.Voilà, mon enfant, ce que je voulais te dire, aujourd’hui.Tu ne naîtras pas car j’ai honte de te faire naître dans cette société. Et qu’avec tout l’amour que je te porte avant même que tu ne sois né, c’est un acte d’amour que de ne pas vouloir t’offrir « cela ».
Tu sais, il faut que tu aies conscience d’une chose, c’est que ton arrière grand-père a été, pendant la Seconde Guerre Mondiale, un très grand résistant. Et coule dans mes veines le flot de ses combats. Alors puisqu’il paraît que nous sommes en guerre, sois rassuré, mon enfant, je vais me battre pour toi. Pour un jour pouvoir te raconter tout cela si tu venais, malgré tout, à naître. 
Et surtout, pouvoir me regarder dans une glace.En attendant, comme le dialogue et l’échange des idées n’est plus possible dans ce pays sans que l’invective et le boycott menacent, mais qu’il m’est impossible de ne pas te témoigner ce que, de mon temps, j’ai vu et n’ai pu empêcher, j’ai donc décidé, mon enfant qui ne naitra pas, de t’écrire cette lettre.Cette lettre que tu ne liras pas


Ces gendarmes ne sont plus humains (ils ne l'ont jamais été ! mais bien sûr, comme dans toute époque fasciste ça devient encore pire) Ils ne réfléchissent plus. Ils agissent comme des assassins. La milice est de retour Nos grands parents sont en train de se retourner dans leur tombe


Philippot, le plus proche du cœur  français
0039.gif  :Je le redis, j’ai ré-adhéré cette semaine,
Ma femme a adhéré, mes collègues…
Il faut soutenir financièrement si possible !!
Bravo à vous Florian et bravo à tous ceux qui soutiennent les Patriotes !!

Droite, gauche, peu importe, tous contre l'Etat bourgeois ! Mais... il faut une suite, pas simplement l'abolition du contrôle numérique, il faut que le peuple prenne le pouvoir, le peuple doit s'emparer de l'Etat pour mettre en place une vraie démocratie et organiser la production industrielle avec la mise en place de conseils ouvriers/salariés. Il faut lire les conseils ouvriers d'Anton Pannekoek.

14/01/2021

comme la crise fasciste des années 30 et 40 hélas, la crise actuelle va révèler des héros


29/12/2020

memoroj plurestantaj

24/12/2010 "en la kerno de memoroj plurestantaj restas indiko de sekvenda vojo" diras la kanzono.

au centre des souvenirs qui restent, traîne une indication sur la voie à suivre

est-ce qu'ils veulent dire que ce qu'il faut faire, que la voie à suivre c'est de se faire laver le visage par sa mère avec sa salive ? ce serait bien impossible, tout autant que de laver soi-même le visage de ses propres enfants avec sa salive, pour ça il faudrait en avoir, et pouvoir encore en avoir.

à quoi bon rechercher à parcourir les memoroj plurestantaj, puisqu'ils vont eux aussi disparaître à tout jamais avec le reste?

27/12/2020

si Jésus naissait à notre époque comment ça se passerait ?

SI JÉSUS NAISSAIT DE NOS JOURS… OU LA NOËL REVISITÉE
Un commentaire de Marc-Alain Von BW (vu sur Facedebouc le 25 décembre 2020)
« Si Jésus naissait de nos jours…
ou la Noël revisitée…
Cela donnerait la «Une» suivante dans tous les journaux télévisés :
Hier le 24 décembre, un «nouveau-né» a été trouvé dans une étable. La police s’est rendue immédiatement sur les lieux et a fait appel au SAMU.
Un charpentier et une mineure (vraisemblablement la mère) ont été placés en garde à vue.
Ce matin très tôt, les autorités ont été avisées par un citoyen de la
banlieue de Bethléem, qu’une famille de S.D.F s’était installée dans son étable.
À son arrivée sur les lieux, la police a découvert un nouveau-né
enveloppé dans des morceaux de tissu sans précaution d’hygiène et
dormant sur une litière de paille.
Le charpentier, identifié plus tard, Joseph (de Nazareth), s’est opposé à ce que les autorités emmènent l’enfant afin de le mettre en lieu sûr.
Il était aidé de plusieurs bergers, ainsi que de trois étrangers sans
papiers.
Ces trois étrangers, se présentant comme mages, ont été arrêtés. Ils
sont passibles de prison pour reconstitution de secte dissoute.
Le ministère de l’Intérieur s’interroge sur l’origine de ces trois
hommes probablement en route vers Calais.
Le préfet a confirmé qu’ils n’avaient pas de papiers d’identité mais
qu’ils détenaient de l’or ainsi que des produits suspects et illicites.
Ils prétendent que Dieu leur a dit de ne pas répondre aux questions…
Les produits suspects ont été envoyés en laboratoire pour analyse.
Le lieu où le nouveau-né se trouve actuellement n’a pas été communiqué.
D’après le service social en charge de l’affaire, le père avoisinerait
la cinquantaine tandis que la mère n’est certainement pas majeure.
On vérifie pour le moment la relation entre les deux. Mais à défaut de
soupçon de pédophilie, le détournement de mineure est très suspecté…
La mère se trouve pour l’instant à l’hôpital universitaire de Bethléem
pour des examens médicaux et psychiatriques.
Elle prétend être encore vierge et affirme que le bébé vient de Dieu. Si son état mental le permet, elle sera mise en examen pour non-assistance à personne en danger.
La consommation de stupéfiants, probablement amenés par les trois
étrangers, doit sans doute être prise en compte dans cette affaire.
Des prélèvements et des prises de sang ont d’ailleurs été faits en vue
de retrouver les empreintes d’ADN nécessaires à l’enquête.
Aux dernières nouvelles, on apprend que les bergers présents sur les
lieux affirment avoir vu un grand homme, tout de blanc vêtu, qui leur a ordonné de se rendre à l’étable, avant de s’envoler mystérieusement.
Aucune hypothèse n’est écartée,
Les Verts rappellent que faire un feu de bois dans une étable est source de pollution…
Le parti de la Marine dénonce l’absence de contrôles aux frontières, qui permettent aux étrangers de venir accoucher en France pour bénéficier des allocations familiales.
L’extrême gauche dénonce le capitalisme sauvage qui augmente les loyers et empêche les familles modestes d’avoir un logement décent.
Une cellule de crise a été installée sous la direction du préfet Hérode, l’autorité craignant un complot dont les rumeurs avaient persisté ces
derniers temps.
On pourra également suivre les images en direct sur BFM télé…
et à 17h30 « C dans l’air » organisera un débat sur le thème « peut-on encore accoucher dans une étable de nos jours ? » en présence de plusieurs invités : notre confrère de libération auteur d’une enquête sur « la rue pour toute vie « , d’un sociologue enseignant à l’Institut d’Etude Politique, spécialiste de la précarité sociale , de l’écrivain Hugo Victor qui a écrit « les Misérables » et de M. Pilate Ponce, représentant le gouvernement.
« Une » dernière :
Pour conclure, après examen médical, la fille mineure ayant
effectivement été reconnue vierge, le couple a été placé en garde à vue pour rapt d’enfant… »
D C

 

excellent c'est tout à fait ça la société actuelle, bien observé, et jusque dans les moindres détails terminologiques !....

07/12/2020

Brigitte Bardot - lisez son dernier livre "mes larmes de combat" - "vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Brigitte Bardot : les vraies valeurs :

https://ru-clip.net/video/5w7XvRVEbeY/brigitte-bardot-le-...

le début est à réécouter en boucle !

 

QUAND retrouverons-nous l'amour de ces valeurs !

 

ce qu'elle dit sur les animaux est le bon sens même, elle est comme Elian-J Finbert le bon sens même, elle seule récemment a eu le courage et la dignité de soutenir les gilets jaunes, après avoir dans les années 50 soutenu le droit au plaisir et à la liberté (de nos jours de nouveau diabolisé !), elle a tout du long été une bête traquée, et d'un courage désarmant.

par ailleurs : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1963_num_2_1_967    (Evelyne Sullerot, encore une qui toute sa vie s'est montrée d'un grand courage et d'une vraie humanité contrairement aux féministes de maintenant !)

 

"vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple de dignité"

Evelyne Sullerot Brigitte Bardot et l'O.A.S.(c'était l'époque où la France était encore un pays civilisé et  à VISAGE HUMAIN ! ... époque lointaine maintenant).

« Que Brigitte Bardot ait résisté à l'O.A.S., voilà un événement que les historiens compareront à l'appel du 18 juin. Le vénérable Times de Londres ne s'y est pas trompé... D'un côté les généraux rebelles ou complices, les régiments pourris, leurs chars et leurs avions, de l'autre B.B., sa secrétaire, son producteur, son coiffeur et son chien. » C'est en ces termes que Jeune Afrique (n° 62) rendait compte de 1' « analyse spectrale des forces politiques en France au début de 1962 ».

Une analyse spectrale de Brigitte Bardot, du mythe Bardot, à la même époque, à l'inverse, donne un tableau très net des lignes politiques de la grande presse.

Après la fracassante publication par VExpress du fac-similé de la lettre de menaces de l'O.A.S. à B.B. et de la réponse que celle-ci envoyait à l'hebdomadaire de gauche, le mythe Bardot subit en effet un choc si rude que l'image B.B. se multiplia à l'infini sur la longue bande de l'actualité. Mais ces Brigittes se regroupent très vite, dès les 1er et 2 décembre 1961, selon quelques lignes de force.

Car un phénomène, privilégié et rare, vient de se produire : il y a conjonction soudain entre le mythologique (la supervedette aphrodisiaque Bardot), le fait divers tragique (le chantage à la bombe, le racket, les 5 000 000, « payez secrètement », etc.), et le politique (« les inspirateurs de ce genre de lettres seront rapidement mis hors d’état de nuire s'ils se heurtent partout à un refus net et public de la part des gens qu'ils cherchent à terroriser par leurs menaces et leurs attentats », écrit Brigitte. Jusqu'ici on peut imaginer un racket bassement crapuleux. « En tous cas, moi, je ne marche pas, parce que je n'ai pas envie de vivre dans un pays nazi »,

(c’est ce qu’elle a refusé toute sa vie ! suivez ses combats, c'est ça)

écrit ensuite la déesse menacée. Cette fois nul doute n'est permis : c'est de politique qu'il s'agit.)

Une analyse des réactions de la presse, radio, télévision, dans le mois qui a suivi permet de conclure que, de ces trois aspects, le politique a prévalu, et de très loin. Dans presque chaque cas, la répercussion de la nouvelle et sa présentation ont été une utilisation à des fins politiques du geste de Brigitte Bardot. Du moins à court terme.

Une jeune femme charmante, simplement vêtue, cheveux libres et non pas échaffaudés sur le sommet de la tête, sourire enthousiaste et sain, apparaît en photographie au milieu de la page politique de VHumanité. « Je ne veux pas vivre dans un pays nazi » déclare en titre cette fraîche maquisarde. Elle gardera sa place en page politique pendant plusieurs jours. Sur les thèmes « elle n'a pas cédé », « elle est antinazie », V Humanité fait de B.B. un symbole. On va interviewer « les milieux artistiques », et les artistes, les uns après les autres, se solidarisent avec la courageuse (Paul Frankeur), s'élèvent contre « la propagande simpliste de ces gens-là qui s'imaginent intimider les vedettes riches en leur faisant craindre ' le collectivisme qui doit suivre le régime actuel ' — texte de la lettre de l'O.A.S. à Brigitte Bardot — qui les dépouillera » (Daniel Gélin) ; « Elle a raison » dit Roger Pierre ; « Elle a du courage » renchérit Sophie Desmarets, etc. « Le syndicat français des acteurs exprime sa solidarité à Brigitte Bardot ». Douze jours après « l'événement » Brigitte est encore en première page de V Humanité dans un billet d'André Wurmser, car à Alger, dans un cinéma, on a sifflé B.B., « la B.B. qui n'a pas voulu que Salan la soutienne, la garce ! » L'O.A.S. devient « L'Organisation Algérienne des Souteneurs » et la blonde vedette une femme de tête (politique) « qui ne veut pas être Casque d'Or ». Mais l'imitation du langage vert des faits divers crapuleux ne trompe pas : c'est la politique, — grandes causes, grands effets, pas de hasards, — qui sert de cadre à ce sourire fameux.

C'est aussi dans l'éditorial politique que B.B. prend place dans Libération. B.B.B. = Bravo Brigitte Bardot ! On lui parle gentiment et franchement : vous êtes agaçante, vous étalez trop votre vie privée, mais au fond vous, la femme-enfant, vous résistez quand les autres cèdent et vous donnez un exemple « de dignité ». Enfin, à la dimension de l'utilisation politique s'en ajoute une autre qui va être reprise ou contestée ici et là : Vous n'avez pas, vous, besoin de publicité ; vous avez accompli là un « geste pur ».

Qu'elle « s'en aille » en guerre ou à Moscou, dans les journaux d'extrême droite B.B. s'en va. Cette publicité de mauvais aloi en fait une fille dangereuse ou bien idiote : « L'opération B.B. ne doit rien à Brigitte » suggère Aux Écoutes. B.B. n'a pas d'opinion bien définie. Les aventures militaires de ses jeunes amants appelés successivement au service militaire (Trintignant, Charrier, Frey) seules l'ont rendue antimilitariste. Le nom d' « armée » la met du coup en rage. Qu'une « armée » lui demande encore de l'argent, la coupe est pleine ! La lettre, elle, a été rédigée par des « conseillers en relations publiques ». Brigitte, la pauvre oie, a seulement signé. D'ailleurs elle est pingre. « Même à Alger nul n'ignore que B.B. n'est pas de celles qui cotisent », soufïle-t-on aussi à droite où on se réjouit de la mauvaise humeur du Président de la République à tout ce bruit, qui fait un peu de la belle « le médecin de l'honneur » de la République, comme le suggère le Monde. De toutes façons, ajoute-t-on, cette prétendue lettre O.A.S. doit être un faux. Enfin le résultat le plus immédiat est la disparition soudaine du nom de Brigitte Bardot de la rubrique de l’Aurore « Choisissez la vedette que vous voulez voir » (6 décembre) où elle avait toujours figuré en 2e place alphabétique.

Bien sûr on tremble pour elle, et il semble miraculeusement brave qu'elle ose sortir le lendemain « avec son petit chien » et « un foulard violet » de chez elle où s'étale justement une menaçante inscription O.A.S. La concierge, elle, a très peur. Mais ce que l'on souligne, c'est que B.B. s'arrête « pour remercier le gardien de la paix chargé de la surveillance de son domicile », et surtout les titres insistent : « Rackettée par l'O.A.S. » elle n'a pas voulu céder au chantage. On ne cache pas qu'elle ait écrit à « l'hebdomadaire l’Express » ni qu'elle ait donné les raisons politiques de son attitude. B.B. devient un symbole républicain et un exemple de civisme. Paris-Match rappelle avec photos à l'appui qu'à Saint-Tropez elle va voter dès huit heures du matin aux référendums, tentant de « faire son devoir de citoyenne » sans attirer l'attention. Cependant la photographie vedette est celle d'une énorme affiche de film sur un mur, la représentant, et sur laquelle un plaisantin gaulliste avait collé, devant les célèbres lèvres, un papillon OUI. La légende est honnête : « Sur ses affiches on la faisait déjà parler politique » — mais minuscule ; tandis que le titre qui couvre toute la page affirme, au-dessus de ce OUI : « Elle n'avait pas attendu l'O.A.S. pour avoir une opinion. »

« Vive Brigitte ! » vibre partout et vibre longtemps, jusqu'à Noël en tous cas : à ce moment-là les vœux et les prévisions vont leur train. On salue au Canard enchaîné à l'occasion de la nouvelle année « notre B.B. nationale », « la fille la plus déshabillée de l'écran mais aussi la plus culottée », « Bravo Brigitte, on préfère votre plastique au leur ! »

La hargne de la droite ne s'apaisera que très progressivement. L'émission de télévision du 5 janvier 1962 où B.B. apparut sérieuse et désireuse de con- vaincre pour demander qu'on modifie la façon de tuer les bêtes dans les abattoirs, si elle fait pleurer d'attendrissement et de respect la plupart des journaux de l'extrême -gauche au centre, n'est encore annoncée dans le Parisien libéré et dans V Aurore que par des titres semi-humoristiques : « Veaux, vaches, cochons, couvées crient pitié par la voix de Brigitte Bardot » qui « plaidera la cause des animaux nutritifs ». Mais cette mauvaise humeur de la droite ne pourra pas résister très longtemps devant les succès des nouveaux films de la vedette anti-O.A.S. : Vie privée, et le Repos du guerrier qui sortiront dans l'année.

Cependant à la radio, à la télévision que tout à coup, en janvier, elle a envahi coup sur coup après des années d'abstention, ainsi que dans l'immense majorité des journaux (France-Soir, Paris-Presse, Paris-Jour etc., et les journaux de province) le ton pour parler de Brigitte Bardot demeurera différent de ce qu'il était « avant » la réponse à l'O.A.S. C'est un ton empreint d'amitié et de considération qui succède aux débordements erotiques ou puritains, au scandale et à l'ironie comme à l'hyperbole. Une sorte de réflexe, de fraternité civique et nationale a joué. On s'est aperçu que malgré les ennuis, le percepteur agréé de l'État auquel se surajoutait le percepteur gangster de l'O.A.S., malgré la police à sa porte, les menaces de bombes, etc. « notre Brigitte nationale » n'avait pas quitté le sol français, n'était allée ni à Hollywood ni à Moscou et qu'elle continuait comme tout le monde à voter et à se débattre dans ce pays déchiré parce qu'elle l'aimait, parce qu'elle était bien française. Ce n'est pas elle qui irait, comme Gina Lollobrigida, se réfugier au Canada pour éviter sa feuille d'impôts nationale.

Il est réconfortant que sur le sol de France vive la plus belle fille du monde, et qu'elle prouve de surcroît qu'elle a de la tête, et une tête républicaine, contre des menaces de mort, et qu'elle a du cœur puisqu'elle plaide pour « ces amis muets que sont les bêtes ».

(les trisomiques, et Vincent Lambert aussi sont "nos amis muets" - ma note)

Evelyne Sullerot. (militante féministe, qui fut à la fin de sa vie la protectrice de "SOS-papa")

 

01/12/2020

l'Abbé Francis Michel LE COURAGE - un VRAI chrétien une vraie figure de RESISTANCE POPULAIRE

l'Abbé Michel dans son église toujours pleine (contrairement à bien d'autres !.....) du Planquay continuait à dire la messe selon le rite de saint Pie V et aussi il manifestait régulièrement avec les gilets jaunes, proche des pauvres, comme le Christ l'a toujours été, et comme le pape François le réclame !


les autorités catholiques viennent de renvoyer l'abbé Francis Michel "à l'état laique", lui faisant perdre tous ses droits.

Mais, suivant une antique tradition chrétienne il rappelle que : « Je suis prêtre, quoi qu'on en dise. Car on est prêtre pour l'éternité. »

et ajoute : « En temps de persécutions on disait la messe dans des granges, cachés, dans les bois. Une église ce n'est que des murs. J'ai une grande propriété privée, je peux très bien y monter un chapiteau et y dire la messe. »

http://www.leparisien.fr/societe/pour-l-eglise-l-abbe-des...

Le pape a lui-meme dit : sortez de vos églises, allez à la rencontre des autres. Et il y a dans les Evangiles: "allez sur les carrefours"

une pétition pour le soutenir :https://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/soutie...

L'abbé Francis Michel un homme admirable : lisez, vous comprendrez : https://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/soutien...

Dans l'Eure, il est prêtre et Gilet jaune : « J'ai retrouvé une communauté de frères »

 

Revenez aux valeurs fondamentales de l'humanisme de l'anarchie et du Sermon sur la Montagne.

Les Autorités n'ont AUCUN pouvoir, en tous cas aucun pouvoir qui soit légitime, écoutez un vrai humaniste anarchiste à Trafalgar Square le 29 août dernier : https://odysee.com/@EspritQritique:2/david-icke-discours-...
:(vidéo sous-titrée en français)

à la lanterne les fascistes !

et les nazis, à l'ancienne mode et à la nouvelle !

 

Les français ont besoin de respirer :


inversement voyez : LES ECOLOGISTES DEMASQUES !!! https://www.upr.fr/actualite/eelv-exigeons-ensemble-les-v...

Maintenant, il (Jadot) vient de réclamer que le vaccin potentiel contre la Covid-19 soit rendu OBLIGATOIRE pour tous les Français ! Peu importe ce qu’il y aura dans ce vaccin ! C’est cohérent : il est lui aussi probablement inféodé au puissant lobby des laboratoires pharmaceutiques. Sinon sur quel fondement se déclarerait-il en faveur d’une telle obligation ? Est-il spécialiste des maladies infectieuses ?

"NOUS SOMMES DES RESISTANTS ANTI-DICTATURE"

06/11/2020

la voie inverse de celle de la dénazification

ce titre m'a été inspiré par une expression du pauvre Lévy-Strauss :
"la voie inverse de celle de notre esclavage", j'ai trouvé cette expression
et belle littérairement et fort juste et profonde dans sa significaton.

Un américain un jour à la radio, je ne sais plus qui c’était, racontait qu’il avait été employé après la guerre pour organiser un plan de dénazification des allemands - c’était autrefois - et il racontait que une fois il avait vu dans un parc public des enfants qui marchaient sur la pelouse, et un gardien est venu les engueuler et leur interdire de marcher sur les pelouses. Alors lui est intervenu auprès du gardien, lui a reproché (investi de son autorité d’américain vainqueur occupant et devenu tuteur de l’Allemagne) qu’il avait tort d’interdire à ces enfants de marcher sur la pelouse, qu’il ne devait pas faire ça, car c’est dans ces choses-là que commence le nazisme, dans cette obéissance (souvenez-vous de la pertinente et profonde remarque de Catherine Baker *), dans cet esprit de réglementation et d’interdiction. Et il a dit aux enfants de marcher sur la pelouse comme ils voulaient. Pour lui ce genre d’action ça faisait partie de son plan de dénazification, c’était même au centre. Je ne sais pas si son influence sur le plan de dénazification et sur l’Allemagne a été durable.

En tous cas les américains ont changé depuis (litote).

 

 

De nos jours si des enfants s’avisaient de marcher sur la pelouse, ce qui risque plus de leur arriver dans l’esprit en vigueur actuel (comment l’appellera-t-on ? « dénazifié » ? …. ) c’est de se voir plaqués à terre par au moins une vingtaine de « doryphores », menottés, fouillés, tabassés, et envoyés en prison, sous l’accusation d’« incivilité » et de « crime » écologique contre la protection de la nature. (Et, bien sûr on en retirera la garde aux parents, coupables de ne pas leur avoir enseigné la soumission, non, pardon ! la « citoyenneté », et on leur interdira d’avoir à l’avenir des enfants), et bien sûr en France et en Europe, car de nos jours on s’est mis à la remorque des USA (ça, c’est resté !).

http://miiraslimake.over-blog.com/article-l-europe-d-aujo...


PS : deux "anecdotes" interessantes justement sur le régime nazi : http://miiraslimake.over-blog.com/article-quelques-detail...

* "La seule lutte profondément utile à mener, ce n'est pas contre l'autorité, mais contre la soumission. Là seulement, le pouvoir, quel qu'il soit, est perdant"



04/07/2020

1944 du temps des gerbes de blé

*1944mamanetsansdoutesonamieGhislaine.jpg

Maman (la brune) avec sans doute son amie Ghislaine. Des gens du signe du cancer, son signe, il est dit :
"Vous appréciez les belles choses de la vie et vous faites presque tout pour vous les procurer, souvent d'heureuse façon. Vous possédez beaucoup d'entregent : vous faire des amis est chose facile"
C'est ressemblant.

elle est née un 14 luillet

trouvés sur le site : http://lusile17.centerblog.net/rub-signe-astrologique-du-...

Les enfants auront une grande importance dans sa vie, car il a besoin de chouchouter et d’aimer.
Il est très doué pour la création, la recherche, la décoration.
Tout ce qui a trait à l'image, à l'imagination, à l'imaginaire le concerne. C'est pourquoi il est doué pour la photographie , la poésie et l'écriture romanesque et la peinture.

Symbolisme astrologique du signe du Cancer
Le signe du Cancer symbolise la sensibilité, l'émotivité, le rêve, le changement, les caprices, la ténacité, la fécondité.
Le Cancer attache une grande importance à sa famille, il aime son foyer, ses enfants, dont il sera le protecteur durant toute sa vie.
De nature assez possessive, quelque peu lunatique, son caractère peut être souvent explosif. Le Cancer est quelquefois un sujet cyclothymique.
Assez renfermé, souvent replié sur lui-même, parfois inquiet il aime vivre dans ses souvenirs. Le Cancer doit apprendre à se détacher des autres et de son passé pour mieux vivre son présent.
Le Cancer est doté d'une forte intuition, d'une grande imagination, mais il est très souvent inquiet pour un rien.
Sentimentalement, le Cancer sera attiré par des partenaires qui assureront leur rôle de parent. De nature très affectueuse, il peut se révéler être un grand sentimental, mais souvent fort jaloux. En amour, tout comme pour sa sexualité, rien n'est simple pour lui.

 

autre description :
Le Cancer a la réputation d’être nostalgique, le regard porté sur son passé, plus précisément sur son enfance. Très lié à sa famille, il passe le plus clair de son temps à chérir cette dernière et met tout en œuvre pour la sécuriser. Il en ira de même avec ses parents qui, à ses yeux, sont très importants. Son partenaire devra donc prendre en considération cet élément, s’il souhaite une entente dans son couple.
Le Cancer est un grand enfant, qui aime autant se faire choyer, chouchouter que bouder. Il sera au comble du bonheur dès lors que la tendresse embaumera ses jours. Son partenaire se devra d’être aussi mystérieux que romantique, un peu comme lui d’ailleurs.
La nostalgie étant un de ses traits de caractère des plus marquants, il aime s’étendre sur ses souvenirs ce qui implique aussi qu’il n’oublie rien par conséquent la rancune ou les regrets peuvent l’assaillir facilement.
Grand rêveur, son imagination l’emmène loin jusqu’à parfois le confondre dans des histoires ou des mensonges. A force de trop rêver, sa nonchalance peut le placer dans la paresse. Ceci dit, il ne lui en faudra que peu pour se secouer. Car, qui dit paresse, ne dit pas fainéantise. Sous ses airs de « je ne fais rien », il est capable d’en faire beaucoup.
Sa sexualité est emprunte de tendresse et de jeux. Tel un enfant, il aimera se faire réconforter auprès de son/sa partenaire. Signe d’eau et très féminin, le Cancer materne autant qu’il aime. La sensualité baigne dans les démonstrations de tout genre, ce qui lui vaut aussi une réputation d’endurant dans ses relations intimes. En ce qui concerne sa fidélité, elle sera à son apogée dès lors qu’il sera chéri dans son foyer. Mais si d’aventure, la routine et le désintérêt s’installaient, il pourrait fantasmer sur d’autres horizons voire passer à l’acte de l’extraconjugal pour apaiser sa soif de tendresse.
Son imagination développée, il aime s’entourer de personnes intuitives. Il possède d’ailleurs des dons artistiques voire médiumniques. Son partenaire saura le satisfaire s’il sait nourrir cette part de son être.


Elle aimait aller sous la pluie battante, cueillir et manger du cassis  avec une tartine beurrée à même le jardin, la neige blanche, peindre, les calins, les baisers, les chats,  les ours en peluche, les dragons. Et bien sûr jouer aux carte, faire du crochet.

 

le site "Nonsco"

 

Martha Argerich jouant Bach en 2008, cette vidéo me touche beaucoup, car maman aussi était resté très juvénile et avait les mêmes cheveux :  https://ru-clip.net/video/7mFDXNODNyc/martha-argerich-bac...

 

09/04/2020

mieux vaut être vivant que mort - telle devrait être normalement la devise des athées



A tout juste 7 mois, Charlie McMillan a été élu maire honorifique de Whitehall, petit village du Texas. Protestants évangéliques, ses parents l’ont adopté à la naissance auprès d’une femme qui voulait au départ interrompre sa grossesse, et en font le nouveau visage de la lutte anti-avortement. 

Le plus jeune maire des États-Unis se nourrit encore au biberon. Charlie McMillan, 7 mois, a été élu maire honorifique à 7 mois de Whitehall, son village du Texas. Il a été investi le 15 décembre lors d’une grande célébration. Le village étant rattaché à la commune voisine, il n'a aucune organisation politique propre. Mais le nourrisson est surtout devenu le nouveau visage de la lutte du mouvement anti-avortement, mascotte américaine. 

Ses parents entendent peser dans le débat sur l'avortement 

Les parents du petit Charlie, des protestants évangéliques,
(ah bon ? je pensais que c'étaient des athées, ce serait plus logique. Qui d'autres qu'un athée peut se rendre compte de l'horreur absolue qu'est la mort et la refuser inconditionnellement pour eux et pour les autres ?)
l’ont adopté à la naissance auprès d’une femme qui voulait au départ interrompre sa grossesse. Ils ont acquis le nouveau titre de Charlie aux enchères, lors de la levée de fonds annuelle des pompiers. "L’année dernière j’avais perdu face à la femme du plombier pour être la maire de Whitehall. Quand nous avons adopté Charlie, nous avons pensé que ce serait génial de l’avoir en maire", se souvient Nancy, sa mère. 

Le programme de "Mayor Charlie", comme on l’appelle aux Etats-Unis, inclut notamment le "droit à la vie". Ses parents comptent bien peser dans le débat sur l’avortement qui déchire le pays. Aux dernières présidentielles, ils ont voté pour Donald Trump qui s’est positionné contre le droit à l’IVG (hmm... Trump par contre il vaut faire avorter la révolution Venezuelienne ! et faire mourir plein de venezueliens, question respect du droit à la vie, il y a mieux !) . Le plus jeune maire des Etats-Unis a été élu avec le slogan "Rendre l’Amérique plus gentille" (c'est sûr qu'il y en a besoin !!!), clin d’œil à celui du président, "Rendre à l'Amérique sa grandeur". Mais les McMillan assurent toutefois que leur fils n’est ni républicain, ni démocrate.

 

19/02/2020

"je suis là"