Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

22/06/2022

quand on se sert de sa jugeotte

12/8/2020 la paranoïa raciste (racisme anti-hommes, cette race inférieure, etc) agressive et obsessionnelle des féministes sur le "viol" est finalement pas crédible, quand on se sert un peu de sa jugeotte !  car   comment un homme pourrait pénétrer une  femme sans que ses lèvres (celles d’en bas!) s'ouvrent et qu'elle « mouille » ?!  donc quelle ait au moins envie. Donc qu'il ait réussi à lui donner envie. C'est quasiment impossible. (et je ne parle pas de la mode vestimentaire actuelle ! avec les pantalons serrés actuels, déjà il faudrait au minimum DEUX hommes, et si elle se défend juste un petit peu ça doit devenir  impossible (je ne sais pas vraiment car je n'ai pas d'expérience de ça ! mais ça paraît évident !). C'est donc une imposture éhontée de détraquées haineuses qui visent le fric des gens riches qu'elles accusent, en sachant qu'elles bénéficieront de la complaisance aveugle des tribunaux !

03/05/2022

faut-t-il dénazifier aussi la France ??? c'est sur !!!

Ah !!! enfin !!! en Chine le PEUPLE est plus humaniste que ses totalitaires et capitalistes dirigeants !!  ils CASSENT les tours de reconnaissance faciale ! Et les français par contre depuis deux ans se sont montrés d'une VEULERIE de collabos pétainistes, absolument méprisable et immonde !

https://ns2017.wordpress.com/2022/05/04/mes-amis-alerte-en-chine-le-peuple-casse-tout-y-compris-les-antennes-bravo-reveillez-vous-ne-vous-laisser-pas-faire-hongkong-les-gens-detruisent-les-tours-de-reconnaissance-faciale/

faudra--t-il dénazifier aussi la france point d'interogation.jpg
Ils AVOUENT !! (il y a vingt-cinq ans MC Solaar disait déjà "ils ne se cachent même plus/ Crachent sur les tombes des personnes qu'ils tuent")

ALERTE LA PREUVE QUE LE COVID EST UNE FUMISTERIE NE VOUS LAISSEZ PLUS BERNER Yuval Noah Harari, conseiller de Klaus Schwab : « Le covid est essentiel, il convainc d’accepter la surveillance biométrique » ET DIRE QUE VOUS VOUS ETES TOUS FAIT VACCINER AVEC DES POISONS POUR ECOUTER CES CRIMINELS DE MONDIALISTES ….

Le psychopathe Yuval Noah Harari revient en très grande forme et n’a pas terminé d’alimenter notre site connoté « complotiste » par le camp du « bien ». Il suffit d’écouter le bras droit de Klaus Schwab pour se convaincre que les comploteurs vont beaucoup plus loin que les complotistes. « L’idée que les humains ont une âme ou un esprit et qu’ils ont le libre arbitre. Et que personne ne sait ce qu’il se passe à l’intérieur de moi, de mes choix, que ce soit aux élections, au supermarché. C’est fini. »

Ses livres se vendent par millions, des personnalités éminentes l’apprécient : le philanthrope Bill Gates, le maître de la censure de Facebook Mark Zuckerberg, le prix Nobel de la Paix Barack Obama, le repris de justice Carlos Ghosn, l’artiste Damien Hirst, le défenseur de la politique mitterandienne au Rwanda Hubert Védrine. Laurent Alexandre également partage sa vision de l’avenir l’humanité : il y aura ceux qui savent et qui maîtrisent l’Intelligence artificielle et les inutiles. Courons vite nous faire injecter une puce pour être libres et tellement intelligents.

Après toutes ces pointures, voici quand même une douche froide dans Le Monde Diplomatique qui ne semble guère prendre au sérieux son best-seller Sapiens : « Il semble quand même, sans vouloir être désagréable, que cette lecture de l’histoire humaine ne soit pas très éloignée des clichés de comptoir. »

Un directeur de recherche au CNRS, dans un blog de Médiapart, y voit l’éloge des vertus du capitalisme : « Il réduit le capitalisme au crédit, à la fable du ruissellement, et jamais ne mentionne la propriété privée des moyens de production : le concept d’exploitation est pour l’essentiel absent, celui de lutte des classes n’est qu’une fiction du dogme marxiste. Son exposé sur la firme Peugeot est un conte de fée, où jamais n’est mentionnée la propriété privée du capital. »

Le Média en 4-4-2.https://lemediaen442.fr/yuval-noah-harari-conseiller-de-k...

 

Le livre qui fera date :
https://mediazone.zonefr.com/news/manifeste-conspirationniste-552

28/03/2022

on ne voit plus jamais

) On ne voit plus jamais d’amoureux s’embrasser dans la rue.

Je suis persuadé que si il arrivait encore à des gens de la faire, ils seraient aussitôt arrêtés par la police (qui leur passerait les menottes - « pour des raisons de sécurité » - et les mettrait en garde à vue, où ils leur regarderaient dans le trou du cul parce que c’est « la procédure »…) et l’homme serait envoyé en prison pour violence de porc machiste, et la femme en hôpital psychiatrique pour l’aider à se guérir de ses tendances perverses hétérosexuelles !

Autrefois les gens s’embrassaient en veux-tu en voilà, y compris entre hommes, en famille, et autre, les hommes se promenaient bras dessus bras dessous, les enfants se tenaient tous par la main, c’était des marques basiques de chaleur humaine.

Maintenant on considère s’embrasser exclusivement comme un préliminaire à l’acte de la copulation !

24/02/2022

le pourquoi de l'existence du Forum Economique Mondial (et de TOUTES les autres choses qu'on a initié ces trnte dernières années pour nous habituer au totalitarisme capitaliste)

11/02/2022

même Rioufol prend conscience

"Nous vivons une grave crise de l'intelligence": Ivan Rioufol publie son "Journal d'un paria"

Ivan Rioufol tient son bloc-notes dans les pages du Figaro depuis 20 ans. "Journal d'un paria", aux éditions l'Artilleur, rassemble les chroniques des années 2020-2021, années du coronavirus. Écrit au jour le jour, au fil des événements, ce récit retrace « les mesures excessives, liberticides et autoritaires » prises par nos dirigeants pour faire face à la pandémie. Il est augmenté d'une préface inédite qui revient sur ces deux années folles.

Le chroniqueur de CNews revient sur son évolution personnelle : si au début de l’épidémie, devant les annonces cataclysmiques, il soutient un temps le "président de la République", il est rapidement gagné par le doute et il s’interroge sur l’instrumentalisation de la peur. (beaucoup de gens ont suivi ce parcours entre 1940 et 1944)

Face à ces manipulateurs de peur, plus personne n’a été autorisé à "exprimer des doutes élémentaires", se souvient Ivan Rioufol, qui explique que les spécialistes qui dédramatisaient la situation ont été priés de se taire. Une situation qui n’est pas sans rappeler les ressorts de la pensée totalitaire. Il décrit une presse aux ordres qui accompagne le discours officiel et ne s’en cache même plus : "la presse n’est plus un contre-pouvoir", regrette l'éditorialiste, qui constate qu’à de rares exceptions près, journalistes, chroniqueurs, animés d’un esprit sectaire qui s’est installé au motif humaniste qu’il fallait sauver des vies, ne font même plus l’effort "d’exprimer des doutes élémentaires". Un mimétisme inquiétant tandis que dans une cascade informationnelle, les slogans des laboratoires, repris par les "médecins de plateaux", les gouvernements et les médias semblaient exacerbés dans un désir de convergence et de ressemblance.

"Ce qui est apparu, c’est l’effondrement de la démocratie à travers l’effondrement de tous les contre-pouvoirs : le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, le Parlement, le Sénat qui ont avalisé les mesures successives d’urgence sanitaire et sécuritaire", constate le journaliste.

N’hésitant pas à user du mot de dictature pour qualifier une situation où seule la parole gouvernementale est admise, et où chaque citoyen est sommet de la croire, il dénonce un sanitairement correct, prolongation du politiquement correct qu’il définit comme "un acquiescement à une parole officielle, à une parole d’État, par paresse et par conformisme", comme ce fut en 1940-44.

Enfin, si cette période a révélé une "grave crise de l’intelligence", Ivan Rioufol fait confiance à l’intelligence collective, saluant les Français manifestent tous les samedis depuis plusieurs mois un peu partout en France pour rappeler "qu’une partie de la société ne veut pas obéir à un ordre sanitaire, à un ordre politique ou à un ordre moral". Avec lucidité, talent et ironie, Ivan Rioufol jette sur ces deux années un regard sans concession, et nous fait prendre de la hauteur en posant un diagnostic sincère et parfois désabusé sur cette période folle où, hypnotisés par ce virus, nous avons peut-être oublié la désindustrialisation, l'ubérisation, l'aggravation de l'exploitation de l'homme par l'homme, l’affaiblissement du niveau scolaire...
Et puis la dérive fasciste et totalitaire qui est le vrai "virus" qui nous menace

07/02/2022

le monde de Mafalda

Mafalda, cette merveilleuse série du dessinateur Quino, n'est pas seulement un enchantement  de  psychologie et de fantaisie, c'est un lieu où, ces sketches ont été dessinés en Argentine entre 1964 et 1972, où quand on observe bien de dessin en dessin on retrouve la VIE NORMALE,

du temps où les trottoirs étaient recouverts de carrés de ciment blancs, et non d'une couche de macadam noir.

un monde où on envoyait les enfants faire les courses, (et où on allait acheter le lait en emportant sous le bras une bouteille vide pour la faire remplir),

un monde avec les immeubles d'habitation dont la porte d'entrée est toujours ouverte et sans digicode,

des épiceries (et qui livrent chez les gens !) et non pas des supermarchés loin de tout (même si en rêve Manolito, dont l'esprit mercantile et borné contient le germe du libéral-fascisme actuel)

les femmes maitresses de maison qui s'occupent de chez elles tranquillement.

des enfants qui peuvent passer des heures à se promener et jouer librement dans les rues, https://www.legrandsoir.info/un-regard-sur-le-modele-cuba... les parcs publics, où ils voient se dérouler la vie, les gens, les choses,
et qui peuvent s'asseoir sur le trottoir, les pieds dans le caniveau sans qu'une meute de flics et d'assistantes sociales se jettent sur eux et les menottent en les accusant d'«incivilités» !
et regarder les flaques, les feuilles qui tombent sans qu'une caméra de vidéo-surveillance ne les fiche comme comportement suspect et anormal !
un monde où les enfants peuvent rester assis sur la bordure du trottoir à rêvasser et regarder le monde
où les hommes avaient le droit de fumer
et les enfants de se rendre visite les uns chez les autres librement (et à pied et tout seuls)
une vie quoi ! un monde civilisé et normal ….

 

Heureusement qu'on peut encore lire ces bandes dessinées des décennies passées (Boule et Bill aussi), sinon certains ne sauraient même pas ce que c'est qu'une société libre humaine détendue et conviviale ! Mais si ! ça peut exister, ça a existé ! Parce que maintenant il n'y a plus que les "vieux", ceux qui ont connu les années 50 et 60 qui se souviennent du temps où la France était encore un pays libre. Et d’à quel point en chauffant petit à petit la marmite on peut cuire les grenouilles.  En tous cas je rappelle que c’est François Asselineau et lui seul qui a débusqué le programme INDECT, personne d’autre ne le dénonce ! Et les caméras de vidéo-surveillance, il n’y a que lui qui parle de les interdire. et les rfid. Et l’omniprésence des plans vigipirate depuis des années, histoire d’habituer les gens à une surveillance exacerbée et constante ; fabriquer des zombies bien soumis, qui trouvent ça normal ! et ne se scandalisent même plus.
(et tu vois maintenant que j'avais raison de dénoncer ces comportements !!!! maintenant il y a bien pire, mais c'est l'acceptation passive par les collabos indignes depuis trois décennies qui a rendu tout ça possible !! souvenez-vous de l'adage latin "principiis obsta" et "finem respices" !!! ce sont eux les responsables honte à eux !! comprendront-ils maintenant ???)

même les USA étaient un pays libre et convivial autrefois, du temps évoqué, déjà avec nostalgie, par Ray Bradbury

Enfant-Fille-et-la-corde-a-sauter-par-Lester-Talkington-en-1950.jpg

04/02/2022

la mentalité suisse

La Suisse, la pays du "propre en ordre", a-t-elle été un élève modèle en matière d'eugénisme?

Il semble bien que oui. Selon Thomas Huonker, la Suisse a été en 1928 le premier pays d'Europe à imiter la pratique américaine. Laquelle s'étend ensuite à des pays comme la Suède, la Norvège, puis l'Allemagne.

Si les études manquent encore à ce sujet, on remarque une tendance plus marquée à l'eugénisme dans les pays, ou dans les cantons protestants.

l''article complet :

http://www.swissinfo.ch/fre/quand-la-suisse-d%C3%A9cidait...

C'est pas tout ! Savez-vous que en 1935 on a proposé en réferendum de changer la Constitution de la Suisse et d'en faire un régime nazi ? Nazi ! en 1935, donc ceux qui l'ont proposé et ceux qui ont voté pour savaient très bien ce que ça voulait dire, ils avaient le modèle sous leurs yeux à quelques kilomètre de chez eux

Comment ça se fait que les manuels d'histoire n'en parlent pas ?? très bonne question non ?

Bien sûr, cette initiative a été repoussée, mais il s'est quand-même trouvé 27 % des suisses qui ont voté pour ! Je rappelle que le maximum de soutien que le parti nazi aie reçu en Allemagne-même dans des élections libres fut, au printemps 1932, de 32%. (Certains souhaitaient même l'intégration de la Suisse dans le Grand Reich !)

Ca laisse rêveur sur la mentalité suisse non ?

J'ai été frappé de voir à plusieurs reprises à Dinan (Bretagne en 2014) des automobilistes, alors que j'étais immobile sur le trottoir, donc même pas « engagé sur la chaussée », et même quand c'était en dehors d'un passage clouté ! s'arrêter pour me laisser traverser ! J'avais déjà remarqué qu'en Bretagne les gens me paraissaient plus aimables que dans les autres régions de France (les pires bien sûr étant ceux du midi ! Et encore pire les suisses !! surtout les suisses alémaniques ! En Suisse si jamais je me serais ainsi trouvé prêt à traverser non seulement ils ne se seraient pas arrêtés mais m'aurait lancé d’un air méchant que c'est rigoureusement interdit de traverser en-dehors des clous !)
Je n'ai pas mémoire d'avoir vu ça dans le Nord, ou alors très exceptionnellement.

 

et les sites internet etc partout la mentalité suisse frappe par son côté merdeux, coincé et insociable

ça se confirme ! lisez ces impressions d'une suissesse (d'une suissesse) :

"Je ne sais pas si ça vous fait ça à vous aussi, mais ça fait 2 semaines que je suis rentrée de vacances et franchement, je me sens de moins en moins à l'aise ici  ...

Je me sens constamment stressée, même quand je marche je me rends compte que je le fait vite à tel point de me retrouver essoufflée.. J'ai l'impression que les gens sont méchants et sans cesse stressés... ce n'est pas de leur faute mais ne trouvez-vous pas que c'est pesant de vivre ici ?

Impossible de parler avec des gens qui ne vous connaissent pas souvent ils vous prennent pour une tarée et sourires et gentillesses sont inexistants et je ne parle pas de l'entre-aide.

Les gens sont très individualistes.... la preuve, il y a qql mois, je rentrais chez moi après un week end a la montagne et j'entendais depuis mon appartement un homme crier, je suis immédiatement descendue, ce pauvre homme âgé n'arrivait pas à se lever des toilettes et cela faisait 2 heures (?!) qu'il crait... quand je suis sortie de son appart après que les ambulances soient arrivées, la voisine d'en face (EN FACE) m'a juste dit : ... c’est enfin terminé ce boucan, y en avait marre de l'entendre crier comme un cheval...!" mais mince quoi, depuis 2 heures tu l'écoutes et t'appelle pas la police ?!

Attention, je ne parle pas des suisses, mais de l'ensemble des gens qui y résident.. j'ai l'impression que les gens sont tellement sous pression qu'ils en oublient de vivre...

La vie en Suisse est trop chère, surtout pour la classe moyenne... moi j'ai beaucoup de peine à m'en sortir et je n'ai pas papa ou maman pour m'aider. Ici c'est un pays soit pour les riches soit pour les pauvres car j'ai pu le voir dans ma profession, si on est riche, y a jamais de problème normal, et si on est pauvre, on a les aides de partout, (mais on les espionne, par des détectives privés !!! et l'immense majorité des suisses viennent de voter un référendum en faveur de cette pratique !!!!) mais les gens de la classe moyenne sont tjs à la limite par rapport au barême de l'état et paye tout plus cher que les autres et sont ceux qui ne s'en sortent pas ! on a pu le constater avec mes collègues...

Impôts, assurances et loyers sans cesses en augmentation sauf les salaires qui sont tjs au minimum et encore c'est au bon vouloir de notre fameux patron...cette personne qui a notre "porte monnaie" entre ses mains..

J'ai travaillé une année avec des avocats et me suis apercue qu'ils sont de loin les gens les plus malhonnêtes que j'ai pu connaître. Ca été la pire année de ma vie, ces gens m'ont fait bcp de mal, ils m ont bcp rabaissé car je n'avais qu'un CFC... oui désolé je n'ai pu faire que ça dans ma situation !

Il y a aucune reconnaissance nulle part... pourtant je pense être une bonne citoyenne... je n'aime pas la méchanceté gratuite mais j'ai l'impression qu'ici les gens passent leur temps à se manger et se cracher dessus...

Il y a pas de fêtes, rien pour réunir les gens... En Espagne par exemple malgré la crise... les gens sont fort gentils, serviable et surtout... accueillant... et font la fête pour seul motif de se réunir et rencontrer des gens... je regrette de ne pas être aussi à l'aise dans mon pays que je ne l'étais là bas... c'est bien dommage de se méfier autant les uns des autres... j'y vais assez souvent la bas et c'est toujours la meme chose... le dernier jour est un supplice... on a juste envie de se perdre pour rater l'avion et perdre son chemin...j'ai bcp voyagé et je reviens souvent avec ce sentiment.. peut être est-ce un signe pour un départ définitif ?

car je trouve qu'en suisse on vit pour travailler (oui, c’est la conséquence du protestantisme, lisez Jean Ziegler il explique bien ça) et non le contraire...

pire, savez-vous que le dernier pays qui ait encore brûlé vif les plus longtemps des "sorcières" fut, vous avez deviné ! la Suisse (et plus précisément la Suisse alémanique ....) jusqu'au milieu du XVIIIè sièclle, et c'est également en Suisse que ça a le plus tourné à la psychose de masse, "dans certains villages il ne restait presque plus une femme en vie" nous apprend Carl Jung https://ruclip.com/video/4BWY7gbw-Tk/vid%C3%A9o.html

 

 

18/12/2021

le capitalisme totalitaire


quelque choses à bien comprendre soit avant de visionner cette vidéo, soit suite à ce visionnage :

La "dette" est (depuis l'antiquité! documentez-vous, et lisez les romans de B. Traven aussi,) une invention perverse utilisés insidieusement pour devenir un truc d'asservissement des travailleurs par leurs exploiteurs !

C'est donc comme le dit Bernard Friot (si vous ne connaissez pas sa pensée il faut absolument regarder ses conférences ! renseignez-vous ! réfléchissez !) une chose à faire disparaître, carrément !

Le capitalisme, en tout cas l'actuel, est par essence TOTALITAIRE. il faut donc le faire disparaître ! absolument

en guerre contre qui ? ben ! quelle question ! contre le peuple, contre les travailleurs, pour recréer l'esclavage, c'est le principe du fascisme https://odysee.com/@R%C3%A9veillez-vous!:0/Hold-On-%28tea...

D'ailleurs l'enjeu des libertés individuelles et publiques est devenu LE problème crucial, et majeur de l'humanité. Qui menace rien moins que la survie des notions de personne et de Civilisation, et la dignité la plus élémentaire. Le covidisme, psy-op fasciste 2.0 (lisez "deux point zéro"). Et celui-ci (le covidisme Klaus-Schwabien, Big Pharma et tout ce qui fait le projet pervers de la mafia qui a organisé tout ça (car bien sûr c'est organisé ! ça se voit comme le nez au milieu de la figure, seuls les collabos décérébrés, ou le troupeau complexé par le propagande perverse des journaputes, peuvent encore en douter !) fait partie de tous les plans TOTALITAIRES et de mise en ESCLAVAGE (relisez MARX à ce sujet, c'est indispensable ou un bon livre d'histoire depuis l'antiquité et une bonne dose de réflexion personnelle) qui sont la conséquence en droite ligne du CAPITALISME, TOTALITAIRE et pervers par essence. C'est ce que Zygmunt Bauman appelle "l'esprit de la modernité"

11/12/2021

le basculement de la france

autrefois à Arras il y avait plein de magasins, tous les magasins qu’on pouvait attendre dans une ville. Il y avait des drogueries (Ragons, où êtes vous ?) des marchands de meubles, des marchands de plantes et articles pour jardins, des épiceries, des cafés, des cafés où on pouvait trouver des croissants ! des croissants en forme de croissants, et où il était possible de se rendre et de prendre un petit déjeuner (et où les gens avaient le droit de fumer, maintenant auront-ils seulement le droit de respirer ? après tout ils exhalent du gaz carbonique, gaz à effet de serre !) et lire son journal, il y avait des marchands de matelas, de rideaux, de vêtements, des quincailliers, des églises (ouvertes), des administrations, parfois ouvertes le samedi matin (l’ONIC), et un bureau de poste ouvert jusqu’à 7 heures du soir, DES librairies, des vraies, et non des filiales d’empires financiers, où de toute façons il est impossible de se rendre sous leurs caméras de vidéo-surveillance, puisqu’il est maintenant impossible de se rendre en voiture dans Arras, et d’y stationner, et même d’y circuler, et des marchands de journaux, des hôtels, à tous les prix, et en particulier des hôtels abordables aux français moyens et modestes et pas seulement aux cadres sup’. Maintenant les magasins ont tous disparus, fermés, les commerces restants vont disparaître les uns après les autres, à part les cafés de luxe et les boutiques de souvenirs pour touristes, puisque ce qui était la ville d’Arras n’est plus qu’un ghetto, un ghetto interdit, à part aux rares bourgeois qui trouvent bien de louer à prix d’or les Fleury-Mérogis d’habitation, blindés et digicodés, qui leur sont vendus à prix d’or, une fois qu’on a éjecté la population normale des citoyens français qui y habitaient avant, un décor pour touristes en car (les touristes en voiture n’ayant aucune possibilité d’y passer, il leur est pour toujours interdit) qui y défilent rituellement sous les regards des caméras de surveillance comme dans l’URSS du temps de Staline.

Il y avait même parfois (quoique c’était déjà en voie de disparition) des enfants, et en tous cas des écoles, des gens, des chiens, une gare (sans caméras de surveillance, mais avec des trains, des bancs, une consigne à bagage ! des agents derrière leurs guichets, des renseignements, des contrôleurs (mais aucun flic), des trains !).

Maintenant il n’y a plus rien.



comme dit qq sur le net :

ce qu’à été la France de cette époque, je l’ai connue, j’y ai grandi, jusqu’à son basculement terrible, et j’y vis encore hélas aujourd’hui.
Le pire n’est pas même qu’elle ait disparu à jamais et que ce soit une perte immense que l’on ne peut que pleurer, mais que tous les jours il faille encaisser, à coups de marteau continu, le flot d’ignominie, de mensonges, vous connaissez.

Dans ce pays où les clefs étaient sous les paillassons, où les gosses traînaient dans les rues, où les classes sociales, contrairement à aujourd’hui, n’étaient pas cloisonnées à un point tel que Paris est devenu une zone quasi interdite à qui n’a pas réussi sa vie selon Séguéla, j’ai grandi sans fortune, mais dans la probité, la décence et l’honnêteté, et surtout dans la simplicité, le bonheur et la joie : aujourd’hui, c’est la misère, l’envie, la tristesse et la jalousie qui président à l’individualisme fou qu’on y a fait germer, au milieu d’une inculture crasse.

La France, et particulièrement Paris, étaient une fête, même pour ceux qui n’avaient pas de moyens, tout était à portée de main

très juste ce qu'il dit là ! et émouvant. Il a vachement raison, et peu de gens encore maintenant le savent, s'en souviennent, et en sont conscients.

ça c'était la situation il y a dix ans, les gens n'ont pas voulu s'en alarmer, ils voient maintenant, quand on ne s'oppose pas aux commencement et qu'on ne fait pas attention à la fin !!! (principiis obsta, et finem respices !)

08/12/2021

vous avez dit "dépression nerveuse" ?

vous savez que la vulgate psycho-machin-chose refuse aux êtres humains le droit au chagrin, et le droit au malheur !

Et que en conséquence si quelqu'un est au désespoir, pour des causes on ne peut plus concrètes et justifiées les "curés" de nos maîtres actuels  refusent d'en reconnaître la réalité en disant "il fait de la dépression nerveuse" !

Un homme aussi intelligent que Henry de Montherlant lui aussi proteste contre cette imposture dogmatique, il a dit en 1961 :

.

« Le monde d’hier, on le voit, et bien plus encore le monde contemporain, qualifient de morbides des états qui sont tout naturels et logiques, et qui sont la santé même. On m’a parlé d’un homme de quatre-vingt ans, qui fut une figure brillante de la société parisienne, à présent paralysé, célibataire sans famille proche qui s’occupe de lui, impécunieux au point de devoir quitter son appartement et se priver d’une servante qu’il ne peut plus payer, Et la personne qui me parlait de lui ajoutait : « il fait de la dépression nerveuse » Moi j’aurais dit : C’est un homme qui est au désespoir.

(Henry de Montherlant : notes de 1961-1962 – en annexe à « Le Cardinald’Espagne » ed.Folio)

 

(la vulgate des psycho-machin-chose en tous genre, donc de la bourgeoisie intello, donc de la bourgeoisie (comme le montre Orwell dans son roman, et comme je l'ai constaté à la lecture assidue 20 ans durant du Monde, les classes bourgeoises sont plus que le peuple soumis au panurgisme, au conformisme, au "penser-correct", dans les clous, aux modes intellectuelles) est non seulement athée, mais imprégnée de l'idéologie de ce que j'appelle "La Secte des Adorateurs de la Mort") : sérénité, néant, vide,euthanasie, avortement, "mort sereine", "think positive", bouddhisme rive gauche, psychanalyse, et tout ça. (Et ce que Zygmunt Bauman appelle "le monde liquide", "buvez ! éliminez !")
Aussi la croyance aux miracles, l'espoir d'une vie après la mort plutôt que du néant éternel, les valeurs d'amour de la vie et d'amour tout court, leur font horreur ! et : "les premiers seront les derniers" "celui qui n'acceuillera pas le Royaume de Dieu comme l'acceuillerait un petit enfant, celui-là n'y entrera pas, "heureux les humbles", etc, ils sont totalement allergique à ça et le méprisent souverainement. D'abords parce que ce sont des "gagneurs" ! l'"elite" comme Macron. Et puis leurs principes psychanalytiques y sont tout à fait opposés.)