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05/07/2019

Du temps où la voiture signifiait Liberté - maintenant c'est le contraire

LaLiberté-en2CV.jpg

28/06/2019

Marie Laforêt 1969 - Quand nous étions encore libres


26/06/2019

du temps où la France était un pays libre et civilisé

http://www.dailymotion.com/video/xvug3y_bonne-nuit-les-pe...


ci-dessus (si la vidéo consent à fonctionner, essayez) des enfants vivant dans une roulotte de gitans, un ours qui rêve de bon tabac, tout ce que la France Libéral-fasciste méprise et abhorre maintenant !

 

16/06/2019

Il faut beaucoup de temps pour établir les libertés. Il en faut très peu pour les supprimer.

méditez cette pensée d'un historien (donc li s'y connait).

https://www.nous-sommes-13-millions.com/2019/02/comme-pou...

 

10/04/2019

tendances des riches : danger pour non seulement les libertés sociabilité et Civilisation, mais pour l'environnement, la vie et la biodiversité

la maniaquerie des "bourges" merdeux hyper-hygiénistes, et maniaques du décoratif glacé, à la mode de l'époque actuelle, est en train de tuer la nature et la biodiversité, un exemple de plus:
sur la disparition des moineaux dans les villes :

"le lien avec le prix du mètre carré est un résultat déjà connu en Grande-Bretagne : il semble qu’on peut expliquer cela par l’obsession de la propreté et de la netteté des quartiers chics, pas de miettes par terre , pas d’herbes folles (et donc pas d’insectes) au pied des arbres ou entre les dalles du parking, pas de trous dans les façades…donc pas de nourriture pour les adultes ni pour les jeunes (qui sont insectivores) et pas de sites de nidification"
http://lesoiseauxenville.skynetblogs.be/archive/2008/05/25/le-moineau-a-paris-ca-baisse-ou-pas.html
http://www.europe1.fr/sciences/la-chute-du-nombre-de-moineaux-a-paris-saccelere-2831215
http://www.leparisien.fr/val-de-marne/les-moineaux-en-voie-de-disparition-29-03-2003-2003951429.php

(et les moineaux, autrefois omniprésents, ont disparus des villes et villages, fini ! il n'y en a plus - ils nichaient dans les trous des maisons sous les tuiles etc, moderniquement/sécuritairement/hygiéniquement/propreenordreiquement bouché tout ça ! - il faut aller en Egypte pour en revoir, même que ça fait un drôle d'effet là-bas : dans les temples on les entend partout, on se rend compte qu'on en avait perdu l'habitude)

la revue de la haute bourgeoisie parisienne "le nouvel obs" aussi le reconnait : Publié le 27/08/16 http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/27042-an...

 encore un autre témoignage : "Il y a encore 20 ans plus d'une dizaine de rossignols habitaient dans les taillis sous ma maison, il n'en reste qu'un ou deux...
C'est un fait que les insecticides systémiques ont détruit toutes les populations d'insectes, et de là par ricochets les oiseaux, petits mammifères et leurs prédateurs, amphibiens, etc.
Cela plus la disparition du milieu naturel et des lieus de nidification. L'immeuble où vivent mes parents a récemment était rénové; auparavant des dizaines de martinets pouvaient y nicher, à présent c'est mort.
Rappelons juste que nous avons réussi l'exploit de détruire plus de 40% de la faune sauvage mondiale ces 40 dernières années. Un grand bravo pour l'espèce humaine!"

 

 

(ennemis aussi de la bio-diversité et de la vie des humains !)

En fait tout ça n'est qu'une manifestation de plus des tendances perverses de la société actuelle. Mais voilà pour s'en rendre compte il faudrait des "Voltaires"  avec tout leur talent décapant.

autre manifestation le sort que les bourgeoises du quartier Beaubourg font à Giuseppe Belvedere

https://www.youtube.com/watch?v=4j8GJ3gWhnw

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28/03/2019

voiture à cheval

Il est fini maintenant le temps où quand on allait en voiture on savait qu’on allait prendre moins de temps !
Où ça voulait dire aller vite, les années 50, 60, 70, 80,  90 encore, c’est bien fini maintenant il faut changer complètement de façon de voir, et se réhabituer à penser ses déplacements comme du temps où on allait en cabriolet, en charrette, en voiture à cheval (ou en « carrette à quiens ») !

Mais il y a une différence : autrefois si on n’avait pas d’automobile, il y avait partout des transports en communs, qui allaient vite eux, maintenant il n’y en a plus !!! ils ne sont pas réapparus eux, on en reste privé, bref on revient à l’époque où on se déplaçaient en voiture à cheval, et où il n’y avait pas encore de transports en commun, pas même de diligence !

Une autre différence les voiture à cheval, tout comme plus tard les automobiles, on pouvaient se garer juste devant l’endroit où on allait : maintenant on est obligé systématiquement de se garer à plusieurs centaines de mètres de l’endroit où l’on va et de faire tout le reste du parcours à pieds.

26/03/2019

petit à petit

"Petit à petit on dissout tout (groupes politiques), on ferme (associations, sites internet), on clôt (salles de spectacle et conférence), on réprime ou diabolise (gilet jaunes, leaders dissidents), on empêche (de penser, réfléchir, livres), on oblige (vaccins), on prive (droit à la vie), on ruine (agriculture, paysans), on taxe, impose (retraités, petits patrons, familles), on paupérise (peuple), on détruit, enlève, ferme à double tour (croix, calvaires, églises), on transforme, révise (langue française, histoire du monde), on interdit (de rire, de fumer, de jouer dans les rues) on empoisonne (Monsanto, Syngenta, mal-bouffe), on assujettit (parents, enfants), etc...
Comment cela se nomme au juste ?"

17/03/2019

CONSTAT

- Appauvrissement généralisé
- Délocalisation facilitée (par les articles 63 et 32 du TFUE, voir les vidéos de François Asselineau)
- OGM
- Aspartame
- Agriculture industrielle
- Guerre neurologique par les vaccins
- Pollution nucléaire
- Guerres à « l'uranium appauvri »
- Déforestation
- Destruction des sols
- Guerres néo-coloniales
- Pollution électromagnétique
- Destruction de l'artisanat
- Disparition de l'argent liquide

- Destruction des solidarités
- Destruction des cultures
- Destruction des libertés
- Destruction des identités
- Destruction des autonomies
- Brevetage du vivant
- Nouvel eugénisme
- Pensée unique
- Vidéo surveillance
- Géolocalisation
- Radars automatiques
- Pipeau du tabagisme passif
- Infantilisation des automobilistes
- etc.

Le système est dans une voie sans issue, où les transnationales industrielles et financières maîtrisent (en anglais "to control") :

désormais, en grande partie, nos sociétés par le truchement des médias, des politiques et des instances internationales (OMS, OMC, FMI, FAO, Codex Alimentarius, Banque Mondiale, ONU, Otan, CFR, Trilatérale, Bilderberg, etc.). Mais le problème ne se limite pas à nos élites, puisque nous sommes, nous aussi, complices de ce système mortifère en refusant de faire de la politique, en mangeant notre propagande médiatique chaque soir, en acceptant de ne plus vivre notre culture.

(et prenez modèle sur Giuseppe Belvedere

et Béatrice Hervé-Berthelage)

http://www.noslibertes.org/

14/03/2019

« il y a un jour où la vérité vient à la surface tôt ou tard » - Giuseppe Belvedere

Giuseppe Belvedere, vous connaissez ?


Vidéo « Les anges ne meurent pas » (les pigeons puisque’ils ne les aiment pas ils les tuent, après si une catégorie de gens ils ne les aiment pas ils vont les tuer aussi ? Ça s’est fait !) :
https://ytube.tv/watch?v=4j8GJ3gWhnw&ok=1
et la vidéo : https://ytube.tv/watch?v=srcs_DCV9aY&ok=1
(où il parle du GAZAGE des pigeons ...)
Après le gazage des juifs le gazage des pigeons, c’est « l’esprit de la modernité » comme dit Zygmunt Bauman », on élimine ce qui ne plaît pas, sans état d’âme….
(et après ce sont les trisomiques, voir le livre de Jean-Marie Le Mené sur ce sujet)
éliminer radicalement ce qui est, ou que l’on trouve, gênant, c’est le principe de la modernité, techniquement, et amoralement, et l’histoire et le présent, ont montré et montrent ce que ça veut dire.
2013 : Cela fait deux ans que Giuseppe Belvedere vit dans sa voiture. Stationnée dans le quartier de Beaubourg, la vieille Mercedes est son seul toit. Auparavant, cet ancien chef comptable de 67 ans occupait un logement social. Mais en 2011, la mairie de Paris a estimé qu'il ne l'utilisait pas comme « un bon père de famille », et l'a expulsé. Un motif pour le moins surprenant...
 
Mais les raisons officieuses de cette expulsion auraient plus vraisemblablement un lien avec son amour des animaux. En effet, Giuseppe nourrissait et soignait depuis des années les oiseaux les plus détestés de la capitale : les pigeons. Un passe-temps à priori très mal accepté par les habitants de son quartier, qui n'ont pas hésité à manifester leur hostilité envers le vieil homme et ses pratiques.
 
Aujourd'hui, malgré le froid, malgré la précarité de sa situation, Giuseppe continue d'aider ses petits protégés. Alors cette fois, la police menace d'envoyer son véhicule en fourrière à tout moment. 
 
Fragile et malade, il refuse pourtant tout aide d'urgence, repas ou foyer. L'association de quartier « les Amis de Giuseppe » se mobilise par Facebook pour lui venir en aide. Ses amis ont créé aussi une cagnotte pour lui permettre d'acheter une camionnette.

Diane Richard, membre du collectif et journaliste reporter d'images à France 2, a été très touchée par l'histoire singulière de son voisin. Elle témoigne en images de son quotidien.

2015 :
Giuseppe Belvedere, l'infatigable ami des pigeons de Beaubourg
29 mars 2015
Paris-Beaubourg, Giuseppe Belvedere et ses amis pigeons. Photo Réveil FM InternationalIl est 16h hier samedi 28 mars 2015, lorsque Guiseppe Belvedere apparaît avec ses deux caddies place Beaubourg; tout de suite, il est envahi par ses amis: les pigeons !
Il est 16h hier samedi 28 mars 2015, lorsque Guiseppe Belvedere apparaît avec ses deux caddies place Beaubourg; tout de suite, il est envahi par ses amis: les pigeons ! Le parvis s'est métamorphosé en un tapis d'oiseaux survoltés. Ce monsieur est devenu une institution du quartier et surtout, Paris sans pigeons n'est plus Paris!» Depuis dix ans, Guiseppe Belvedere fait trois tournées par jour pour que les pigeons, eux aussi, aient une chance de manger. A Beaubourg, il est appliqué à insérer à même le bec une boulette de brioche «meilleure que le pain blanc».
Depuis des années, ce marginal déguenillé soigne et nourrit des dizaines et des dizaines d'oiseaux sur le parvis du Centre Pompidou. Une attention qui amuse les touristes mais exaspère riverains et élus.
Petition pour laisser sa voiture-abri à Giuseppe Belvedere © Entraides Citoyenne
Giuseppe Belvedere vit dans sa voiture. Stationnée dans le quartier de Beaubourg, la vieille Mercedes est son seul toit. Auparavant, cet ancien chef comptable de 70 ans occupait un logement social. Mais en 2011, la mairie de Paris a estimé qu'il ne l'utilisait pas comme « un bon père de famille », et l'a expulsé. Un motif pour le moins surprenant...
Mais les raisons officieuses de cette expulsion auraient plus vraisemblablement un lien avec son amour des animaux. En effet, Giuseppe nourrissait et soignait depuis des années les oiseaux les plus détestés de la capitale : les pigeons. Un passe-temps à priori très mal accepté par les habitants de son quartier, qui n'ont pas hésité à manifester leur hostilité envers le vieil homme et ses pratiques.
Aujourd'hui encore, malgré le froid, malgré la précarité de sa situation, Giuseppe continue d'aider ses petits protégés.

2018 :
Vidéo « Les anges ne meurent pas » :
https://ytube.tv/watch?v=4j8GJ3gWhnw&ok=1

Giuseppe Belvedere vu par Diane Richard, par Menil.Info
Ce film de Diane Richard, son amie et voisine, vous présente Giuseppe Belvedere, cet homme qui sans relâche nourrit et soigne les pigeons dans le 4e arrondissement de Paris, aux alentours de Beaubourg et ce depuis de nombreuses années.
Il y exprime les raisons de son combat, ce combat qui vise à ce que les oiseaux puissent vivre, même à Paris, même si un certain nombre d’habitants et d’élus souhaite les éradiquer.
Vous y entendrez également les opposants à Giuseppe, ceux qui ne veulent, ne peuvent comprendre cette mission qu’il s’est assignée depuis tant d’années.
« Les anges ne meurent pas » , ni Giuseppe, à la rue depuis 3 ans , ni les oiseaux qui ont trouvé en Giuseppe le gardien de leur vie. Espérons qu’au delà de la survie de ces pigeons, des moineaux, (et les hirondelles ???? maintenant disparues, dont le chant le matin perchées sur les fils télégraphiques était un tel boheur à écouter !!!!) de la survie de Giuseppe qui évolue au milieu d’une agressivité ambiante que le film tente de transmettre, un jour, pourront cohabiter homme et animal, être vivants différents, dans le respect les uns des autres.
« Hier (8/11/2018), la mairie de paris, a enlevé la camionnette de Giuseppe Belvedere avec tous ses médicaments, ses papiers et les 23 pigeons dedans,... Il a dormi à la rue cette nuit.
Après 24h de recherche, il a obtenu l’info que son véhicule se trouve à la préfourrière de Pantin... »

 

2011 : Ils doivent se cacher pour nourrir les pigeons 

Les «nourrisseurs» de volatiles étaient la semaine dernière au centre d'un colloque auquel participaient des « chercheurs » (encore les fameux diplomés de l’université payés très cher pour bébégayyer sur France-cucul!) .
Le volatile a ses détracteurs, très nombreux. À l'image de ceux qui, par exemple, se sont amusés à constituer un «groupement d'éradication des pigeons parisiens» sur Facebook. L'oiseau a aussi ses ardents supporteurs, prompts à dénoncer les «rafles» et la «précarité» dont il est victime. Véritable passion urbaine, le pigeon était la semaine dernière au centre d'un colloque organisé à l'initiative de Natureparif (agence régionale pour la nature et la biodiversité en Ile-de-France) et du groupe de "recherche" interdisciplinaire «le pigeon en ville», dirigé par Anne-Caroline Prévot-Julliard, chercheuse au CNRS et au Muséum national d'histoire naturelle. (c'est payé combien ? très bonne question non ? question marxiste, toujours indispensable pour mieux comprendre les choses)
Cette première rencontre s'est notamment penchée sur le cas des «nourrisseurs».
(Le fric monstre que ce machin a coûté ça ne serait pas plus utile de le dépenser à nourrir les pigeons et les chats ? Ah !! vraiment une analyse MARXISTE du « si petit monde » - roman de David Lodge – des universitaires s’impose !!) Ces personnes qui prennent soin des volatiles et agacent la plupart des parisiens bourgeois. Qui le leur rendent bien. «Elles font bien souvent l'objet d'insultes, voire même parfois d'agressions physiques», relève Véronique Servais, professeur d'anthropologie. Accusés de générer des concentrations, les pros-pigeons «sont considérés comme des déviants, (cf la réflexion de Hanna Arendt plus bas) car ils s'écartent des normes sociales», (oui, comme les parents témoins de Jéovah persécutés par les Assistantes Sociales de la DDASS de l'Allemagne nazie ….) décrypte la chercheuse (payée combien pour son « décryptage » ? on aimerait savoir quand-même ! Les ouvriers on dit bien combien ils sont payés, pourquoi pas les « chercheurs ? Très bonne question non?)..
Un «sacerdoce » coûteux 
Pas étonnant, à vrai dire, puisque nourrir les pigeons est une activité interdite par l'article 120 du règlement sanitaire départemental et passible d'une amende de 450€. «Avec cette loi, s'énerve Brigitte Marquet, fondatrice du site l'Ambassade des pigeons, les pouvoirs publics ont créé une véritable guerre civile entre les citadins. À Paris comme ailleurs, beaucoup d'anti n'hésitent pas à dénoncer les défenseurs des oiseaux à la police (tiens ! Comme en 40 …. encore un point commun). Tout est fait pour encourager la détestation.»
«Ils croient bien faire, mais les nourrisseurs favorisent la concentration et la surpopulation des pigeons, estimés à 80.000, soit un pour 25 habitants, (c'est pas beaucoup ! faut-il être un "flamand" merdeux pour trouver ça inquiétant !) ce qui occasionne des dégâts sur les biens publics et privés à cause de l'accumulation de fientes», plaide de son côté la mairie de Paris. (Ah! ce fameux intégrisme écologiste hein ! j’ai fait un article là-dessus aussi!)
Conséquence: «Les nourrisseurs souffrent d'un discrédit, note Véronique Servais. Ils ont le sentiment d'être traqués. Du coup, ils se font plus discrets, sortent de préférence la nuit, dans des lieux retirés et opèrent plus rapidement. Mais, pour autant, ils ne vont pas s'arrêter.» Car s'ils ont le sentiment d'avoir établi une véritable communication avec le volatile, ils se sentent plus encore investis d'une responsabilité. (eh oui! comme les personnages étudiés par Michel Terestchenko dans son livre capital « Un si fragile vernis d’humanité » … on est au COEUR de l’analyse eidétique de la morale, là)
«Le plus souvent, ils deviennent nourrisseurs par hasard, en jetant quelques miettes et puis au fur et à mesure, ils se rendent compte du piteux état des pigeons et les voilà pris dans un engrenage: ils ne peuvent plus se désengager. (même remarque, comme Valdemar Langlet quand il a commencé à distribuer des faux passeports à Budapest)» Beaucoup parlent ainsi d'un «sacerdoce», coûteux en temps et en argent. Impossible pour certains par exemple de partir en vacances. «Moi je les nourris avec mauvaise conscience, je me fais souvent insulter par des dames âgées et si je dois m'absenter, je délègue toujours ma fonction», témoigne anonymement une élégante sexagénaire.
Même s'il n'existe pas de profil type du nourrisseur, «on rencontre une majorité de personnes de plus de 60 ans et de femmes, mais aussi des hommes, des actifs comme des retraités ou des chômeurs», assure Véronique Servais . Et contrairement aux idées reçues, peu sont en fait marginalisés et isolés. «Ce sont des gens parfaitement normaux, insiste Brigitte Marquet, qui voient davantage la grâce que la crotte.» (pareil je suis persuadé qu’il y avait des antisémites parmi les gens qui ont cachés des juifs en 40, simplement ils voyaient plus l’humanité que l’usurier ou que la propagande raciste)

mon blog : les héroïques vieilles dames malaimées des petits stalines municipaux
Les vieilles dames qui, de nos jours, déposent de la nourriture pour nourrir les chats errants sont des héros de la conscience humaine, comme ceux qui en 40 cachaient des juifs.(1) 
(1) n'oubliez pas, ça aussi c'était illégal
Elles sont un des avatars du mythe d'Antigone, celui dont Gérard Mortier dit "Sa seule force repose sur la croyance selon laquelle les "lois non écrites" ne sauraient être trangressées. Elle ne crée aucune idéologie  mais  ... ne pouvait agir autrement " elles sont  "héroines  par excellence: fortes parce que vulnérables"
Il ajoute,  bon observateur des dérives actuelles: "En ces temps de deal, on considère Antigone comme une hystérique et ses lois non écrites comme le code d'une secte."
"Prenez garde de ne pas dénaturer le premier impératif catégorique de la raison pratique selon Kant et n'en faites pas  : Agis comme si le principe de ton acte était le même que celui du législateur ou de la loi du pays" ! (Hanna Arendt)

Quand à Zygmunt Bauman il appelle à "rapatrier au coeur de nos pratiques individuelles ce qu'il nomme les émotions éxilées ou rebelles, à commencer par les sentiments moraux. ... l'instinct moral, seule source possible d'un comportement autonome."
 Et cette très belle et très fondamentale phrase, qui est la source la plus humaine et la plus profonde  de la morale:
"Notre conscience ne se soumet qu'à l'autorité impuissante de l'Autre."

Allez! j'ajouterai encore, pour élargir la perspective sur son autre flanc constitutif, cette citation fondamentale (fondamentale!) du pauvre Claude Lévi-Strauss (qui va bientôt mourir, seul et désespéré):
„"L’unique espoir, pour chacun de nous, de n’être pas traité en bête par ses semblables, est que tous ses semblables, lui le premier, s’éprouvent immédiatement comme êtres souffrants, et cultivent en leur for intérieur cette aptitude à la pitié qui, dans l’état de nature, tient lieu de lois de mœurs, et de vertu, et sans l’exercice de laquelle nous commençons à comprendre que, dans l’état de société, il ne peut avoir ni lois, ni mœurs, ni vertu. Loin de s’offrir à l’homme comme un refuge nostalgique, l’identification à toutes les formes de la vie, en commençant par les plus humbles, propose donc à l’humanité d’aujourd’hui, le principe de toute sagesse. »
  
Quand à "l’appel à la “révolte contre le pouvoir” qui de nos jours se remet à être sources d'ennuis, il est au contraire, pour beaucoup un précieux héritage. Jusqu’à Eric Cantona qui déclarait il y a quelques années que c’était là l’idée qu’il se faisait de l’identité française. 
« Si, depuis que le monde est monde, tous les hommes avaient respectés toutes les lois, nous en serions encore à l'esclavage. » (anonyme ?)

Nourissage civilisé des animaux interdit par les sauvages du totalitarisme municipal, c'est ça la description en bon français.
Il faut se méfier du politiquement correct sans empathie ! c’est la grande leçon, voyez l’intégrisme écologiste ! (au sujet duquel j’ai écrit un billet, s'y reporter)

encore une dernière vidéo sur Giuseppe :


02/03/2019

ce qui vraiment criminel c'est

de retirer des permis à tire larigot, en effet car dans la société qu'on nous a faite  " je me demande comment vont faire les pauvres gens qui habitent en campagne. Sans permis et sans bagnoles ils sont condamnés. (condamnés à mort, oui) C’est les plus pauvres qui vont en pâtir, ne serait-ce que pour se rendre aux restos du cœur!! ou pour se rendre en formation. Après on dit oui les chômeurs c’est des branleurs ils veulent pas travailler etc... Augmentation du gazole, limitation de vitesse, permis à points et contrôle technique à 400 points, suppression des places gratuites dans les villes etc... Même nos paysans sont dans la merde, ils sont déjà endettés pour payer leur exploitation mais avec la hausse du gazole, ils va leur rester quoi ???.... " dit un commentateur


 

eh oui, c'est exact, dans la société actuelle RETRAIT DE PERMIS = CRIME CONTRE L'HUMANITÉ

https://hdclips.top/hd-videos/nFyAfog5e3w/retir%C3%89-des...

Il parle bien, il sait voir à travers avec les yeux des valeurs humaines et existentielles, tu es courageux toi aussi Alexis

"Nous avons besoin de savoir que nous sommes nombreux, pour nous mobiliser" (Etienne Chouard)

et comme dit Dieudo on a besoin de rire ! même avec l'immonde racisme de classe de nos maîtres !