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25/09/2024

le retour de la lutte des classes

 

L’antifascisme : une rhétorique qui vise à dissimuler une guerre de classes Les bobos se donnent bonne conscience en ‘’militant’’ contre le racisme (mais pas n’importe lequel ! seulement celui qui frappe des catégories de gens qui maintenant sont susceptibles de se retrouver dans les cocktails mondains entre homme d’affaires, par contre pas de milliardaires rom ni de créateurs de mode roms, donc envers eux on peut toujours être aussi raciste qu’avant, pas de problème !) et contre le « fascisme », deux maux illusoires   ‘’Véritable arme de classe, l’antifascisme présente en effet un intérêt majeur. Il confère une supériorité morale à des élites délégitimées en réduisant toute critique des effets de la mondialisation (qui n’est rappelons-le, qu’un autre nom de l’américanisation du monde, et qui est un champ d’action idéal pour les spéculations des vautours capitalistes à la recherche de pression à la baisse des salaires !!!) à « une dérive fasciste ou raciste ». Mais, pour être durable, cette stratégie nécessite la promotion de l’ « ennemi fasciste » et donc la sur-médiatisation du Front National. ‘’La France du repli » d’un côté, des ploucs et des ruraux (sans diplômes universitaire, là est le vrai racisme, racisme social, anti-peuple, et racisme éducatif de ces « élites » auto-proclamées  : pour ces gens  en dessous de la maîtrise ou du Bacc+4 tu n’es plus qu’un sous-homme !). Mais qu’on ne s’y trompe pas, cet « antiracisme de salon » ne vise absolument pas à protéger l’ « immigré », le « musulman », les « minorités » face au fascisme qui vient, il s’agit d’abord de défendre des intérêts de classe, ceux de la bourgeoisie’’. NAIRU ! vous connaissez ?  renseignez-vous tous les cadres sup’ du secteur privé connaissent ! intérêts de classe qui sont dénoncés par la France périphérique qui, elle, ne profite pas de la mondialisation voulue par la nouvelle bourgeoisie et qu’il faut réduire au silence en la méprisant et en l’injuriant.‘’Car le problème est que ce n’est pas le Front National qui influence les classes populaires, mais l’inverse. Le FN n’est qu’un symptôme, des démagos qui surfent sur un malaise, d’un refus radical des classes populaires du modèle mondialisé. L’antifascisme de salon ne vise pas le FN, mais l’ensemble des classes populaires qu’il convient de fasciser afin de délégitimer leur diagnostic, un « diagnostic d’en bas » qu’on appelle « populisme »’’.

Le séparatisme des bobos Les bobos ont abandonné toute idée de nation (en effet les nations correspondent à des institutions qui votent ! et qui peuvent donc éventuellement voter pour la révolution anti-capitaliste ! des cadres où peuvent se développer des luttes syndicales, où le peuple peut avoir son mot à dire envers les dirigeants, donc il faut faire disparaître ces cadres, au bénéfice de structures entièrement aux mains du grand capital bancaire et spéculateur, et où le peuple n’a pas de mot à dire !!)  et l’Union européenne n’est, pour eux, qu’une étape vers un monde unifié dont les pôles seraient les métropoles à buildings et à hotels de luxe sous air conditionné et vigiles privés ! dans lesquelles seraient rassemblées les « élites » culturelles, financières et techniques. Dans ce monde des métropoles interconnectées, les zones comprises entre elles seraient des zones réservées aux « losers » (comme ils savent i bien dire avec leur  perversité morale !!) et seraient ignorées de la caste métropolitaine : ‘’Dans une tribune commune, Anne Hidalgo et Sadiq Khan font l’apologie du dynamisme des villes planétaires et ouvertes qu’ils opposent à la « léthargie » des Etats-nations, considérés comme le cadre du « repli sur soi ». Structurellement minoritaires, forcément puisqu’il s’agit d’une classe exploiteuse et milliardaire, les partisans de l’ordre mondialisé prônent donc maintenant l’indépendance de leurs citadelles et l’abandon des périphéries populaires ! Les grands contempteurs de la France ou de l’Angleterre du « repli » préconisent ainsi le repli territorial de la bourgeoisie. Cependant, en attendant la création de ces cités-Etats, les classes dominantes et supérieures devront se confronter à un problème existentiel : comment assurer l’avenir d’un modèle mondialisé rejeté par une majorité de l’opinion ?’’.

et n’oublions pas que « Le mondialisme est le stade ultime du capitalisme »

ou si vous préférez la mondialisation est la volonté de domination de l’ensemble de l’humanité par une toute petite oligarchie (capitaliste) de quelques milliers de personnes, on l’a bien vu depuis 2020 !!!

plus l’impérialisme américain, ainsi avez-vous COMPRIS que la guerre de l’OTAN contre la Russie est en fait le but de Washington de DETRUIRE L’ECONOMIE EUROPEENNE, ils ne veulent surtout pas d’un bloc économique eurasiatique, comme il était en train de se constituer ! alors c’est une sorte de plan Morgenthau 2.0

20/08/2024

vous avez dit "espèces invasives ?" - concept NAZI typique !

Avant de vous faire lire la discussion théorique et critique du problème, voici quelques exemples, tirés de cette Europe, dont TOUTES les espèces, arrivées après le dégel de la dernière GLACIATION (quand la banquise déscendait jusqu'à Dunkerque, et que chez nous à part des lichens et des rhinocéros laineux il n'y avait pas grand chose ! 

Les moineaux ainsi sont une “espèce invasive”, si vous êtes allés en Egypte vous aurez pu constater qu’on en entend partout dans les ruines antiques, les moineaux sont des oiseaux des déserts, qui vivent là où il y a des falaises rocheuses, où ils nichent dans les trous de rochers. Alors ! Forcément, lorsque les humains se sont mis à construire des villes, les maisons leur ont fourni des falaises artificielles, et les villes (sans arbres jusqu’à une époque récente) se sont peuplées de moineaux, au point qu’aux yeux des citadins coupés de la nature, “oiseaux” se réduisait à “moineaux”!

Pareil par exemple pour les cochevis huppés, ce sont aussi des oiseaux des déserts (Ouzbékistan par exemple je m’en souviens) et ils avaient trouvé dans nos routes de terre battue ou de pavés des déserts acceuillants ! Et se régalaient des crottins des chevaux. Maintenant les chevaux ont disparus, et d’ailleurs si jamais, à l’occasion d’une fête-investissement touristique, un cheval se permettait de laisser tomber un crottin, il est tout de suite ramassé, si on pouvait on mettrait un sac aux culs des chevaux, pour pas que les bourgeois anarchistes se mettent à pousser des cris et à porter plainte !

https://journals.openedition.org/etudesrurales/9172

À PROPOS DES INTRODUCTIONS D’ESPÈCES - ÉCOLOGIE ET IDÉOLOGIES

on commence à réévaluer les "écolos" déjà Bernard Charbonneau qui avait toujours refusé de se réclamer de  l"écologie" car il en voyait trop bien les potentialités totalitaires, et puis le PS a amplement montré comment la corruption peut rendre les partis  l'exact INVERSE de ceux qu'ils sont censés être, (et puis le premier pays à prendre des mesures écologistes fut l'Allemagne nazie, il ne faut pas l'oublier, et les fascistes se réclamaient souvent des "lois de la nature" !)

voyez : LES ECOLOGISTES DEMASQUES !!! https://www.upr.fr/actualite/eelv-exigeons-ensemble-les-v...

Maintenant, il (Jadot) vient de réclamer que le vaccin potentiel contre la Covid-19 soit rendu OBLIGATOIRE pour tous les Français ! Peu importe ce qu’il y aura dans ce vaccin ! C’est cohérent : il est lui aussi probablement inféodé au puissant lobby des laboratoires pharmaceutiques. Sinon sur quel fondement se déclarerait-il en faveur d’une telle obligation ? Est-il spécialiste des maladies infectieuses ?

2010 Christian Lévêque, Jean-Claude Mounolou, Alain Pavé et Claudine Schmidt-Lainé

L’ÉCOLOGIE, EN TANT QUE SCIENCE, s’était fixé comme objectif de rechercher un ordre dans la nature. Ce qui suppose implicitement que la nature est ordonnée, tout au moins au sens où l’entendent les sciences physiques. Et si nous nous étions trompés de concept fondateur ? Le monde vivant n’est-il pas d’abord le domaine du hasard, du conjoncturel, de l’opportunité, de l’aléatoire ?

2En battant en brèche le déterminisme qui rend plus aisée l’élaboration de prédictions et de programmes, le hasard gêne les institutionnels et les institutions. Il fait même peur alors qu’il ouvre, au contraire, des espaces de liberté et de créativité. Dans ce contexte, la question des espèces « invasives » qui se développent de manière inopinée sans que l’on puisse en cerner les causes bouscule nos représentations d’une nature ordonnée, ouvre le champ de l’incertitude, et dérange sans aucun doute.

3Les scientifiques, à juste titre, dénoncent le créationnisme et le dessein intelligent. Ces idéologies ne sont, somme toute, que la persistance d’une idée bien ancrée dans les esprits aux XVIIe et XVIIIe siècles, selon laquelle la nature, créée par Dieu, est nécessairement harmonieuse et immuable (le fameux « balance of nature » des Anglo-Saxons).

4Lorsqu’on s’interroge sur les fondements historiques de l’écologie scientifique, on découvre que certains concepts, sous des formes nuancées, sont toujours porteurs de cette idéologie. Bien sûr, la science est affaire de société. Les connaissances construites l’ont été en réponse à des questions posées dans des contextes idéologiques évolutifs. Et les questions d’aujourd’hui, comme les démarches de recherche, sont nécessairement marquées du présent philosophique, social et économique. Néanmoins, l’idée d’une nature immuable, certes désacralisée, reste encore vivace. On continue à parler d’équilibre et de stabilité des écosystèmes ainsi que de climax avec, en contrepoint, l’idée que les perturbations d’origine anthropique créent des déséquilibres.

On rappelle en permanence la culpabilité de l’homme vis-à-vis de la nature, ce qui n’est pas sans évoquer le mythe du péché. Or, les recherches en écologie rétrospective nous ont appris, quant à elles, que les écosystèmes n’ont jamais cessé de se transformer et que la biodiversité est avant tout le produit du changement, non du statu quo [Lévêque 2008b].

6Les paradigmes évoluent. Mais les milieux médiatiques, politiques, associatifs et scientifiques ne se les approprient pas au même rythme. Et le terrain des introductions d’espèces est particulièrement propice aux débats et aux confrontations intellectuelles car la revendication de préserver la nature « en l’état » y est exprimée avec une certaine véhémence par certains groupes sociaux. C’est dans ce contexte que nous nous inscrivons, en réaction à cette attitude « conservatrice ».

7Les introductions d’espèces et leur prolifération ont en effet mauvaise réputation dans les milieux écologistes et conservationnistes. Que reproche-t-on à ces espèces « invasives » ?

[D’être] des espèces [... ] qui bouleversent l’équilibre des milieux naturels, entrent en compétition avec les espèces autochtones et, parfois, les dominent jusqu’à les faire disparaître.

8Selon le site web de l’ONF, les introductions d’espèces sont aujourd’hui considérées comme la deuxième cause mondiale de l’érosion de la biodiversité. De même peut-on lire sur le site « Plein Sud » de l’Université Paris-Sud 11 :

Les invasions biologiques sont considérées comme la seconde plus importante menace pesant sur la biodiversité, juste après la perturbation des habitats.

[je pense que Soral, Zemmour et Hitler seraient d’accord là-dessus!]

9Ces discours alarmistes sont repris de manière générale par presque toutes les ONG ou associations de conservation de la nature. Mais, depuis quelques années, plusieurs voix s’élèvent pour remettre en cause ce discours manichéen. Les travaux récents [Theodoropoulos 2003 ; Rémy et Beck 2008] montrent en effet que les représentations des scientifiques et du public dans le domaine de la biologie des invasions ne sont pas exemptes d’idéologie et reposent en partie sur des paradigmes écologiques discutables.

10Néanmoins, la mise en accusation de l’homme, considéré comme perturbateur de l’ordre naturel, reste un moyen privilégié de "communication" (nouveau terme créé pour remplacer "propagande") des ONG de protection de la nature, et le message est largement repris par les médias, à l’exemple du scénario de la sixième extinction. La peur comme moyen de culpabilisation, et donc de manipulation (eh eh ! outil très Goebbelsien, et encore utilisé actuellement n'est-ce pas !] , a longtemps été l’apanage des religions, du déluge aux péchés capitaux [Thomas 1985]. Mais, de nos jours, la peur trouve dans l’environnement un domaine profane à investir. La question des espèces invasives et celle des changements climatiques et de l’érosion de la biodiversité censés mettre en péril la survie de l’homme en sont quelques déclinaisons. Au demeurant, cette image de l’homme destructeur de la nature n’est pas dénuée de vérité – comme en témoignent la surexploitation des stocks de poissons marins [Cury et Miserey 2008] ou la destruction des forêts (et des sols ! voyez les conférences de Claude Bourguignon).

Confusion des termes « invasion », « prolifération », « pullulation »

11Un peu de sémantique n’est jamais inutile. Car les définitions d’« invasions biologiques » ou d’« espèces invasives » sont nombreuses et peuvent différer les unes des autres. Celle de F. di Castri [1990] est assez généralement admise :

Une espèce envahissante est une espèce végétale, animale ou microbienne qui colonise un nouvel environnement et y prolifère loin de son aire d’origine après avoir, la plupart du temps, été transportée par l’homme, intentionnellement ou non. [bref, comme font les immigrés à La Goutte d’Or! Après les auvergnats de Paris, ou les flamands du Nord-Pas-de-Calais]

12Mais il y a souvent un léger glissement sémantique qui conduit à des confusions. Nous vivons en effet, en Europe, dans un environnement où les espèces introduites et naturalisées sont nombreuses. La plupart restent discrètes et se font oublier, ou contribuent à agrémenter notre vie. Seules quelques-unes – tels des parasites d’huîtres ou de poissons, des vecteurs de maladies (moustiques), des espèces végétales (comme la renouée du Japon, la jacinthe d’eau), sans oublier le rat introduit partout dans le monde – se révèlent gênantes dans la mesure où elles se mettent à proliférer, suscitant des nuisances économiques, écologiques et sanitaires. Ce sont ces quelques espèces « invasives » qui nous dérangent, à juste titre, parmi l’ensemble des espèces dites exotiques.

13Là où les choses se compliquent, c’est que le discours médiatique a tendance à confondre « prolifération d’espèces » et « espèces invasives » alors que ce phénomène n’est pas une spécificité des espèces exotiques. Il est largement partagé par les espèces autochtones qui peuvent être, elles aussi, des sources importantes de nuisance. On pense par exemple aux pullulations de criquets en Afrique sahélienne, à celles des petits campagnols ravageurs des cultures en Europe, ou encore aux pullulations de méduses qui se produisent régulièrement sur nos côtes et pour lesquelles les médias n’hésitent pas à parler, à tort, d’« invasion ». Une enquête sur les proliférations végétales dans les milieux aquatiques continentaux français a mis en évidence que les plantes les plus fréquemment citées sont aussi bien autochtones qu’allochtones. Ce qui renforce l’idée que « prolifération » ne rime pas nécessairement avec « exotique » [Peltre et al. 2008]. Il n’empêche que l’amalgame ainsi fait ne peut que renforcer les préventions contre les espèces exotiques. (tiens tiens ! pareil pour les "espèces" d'humains)

https://www.lemonde.fr/passeurdesciences/article/2014/02/16/qui-a-peur-des-especes-invasives_5999001_5470970.html

23/07/2024

Caroline Galacteros - même dans les milieux contestataires et critiques

n'arbore plus son décolleté et se voile jusqu'au cou comme les nonnes

https://reseauinternational.net/caroline-galacteros-m-ten...

peut-être que quelqu'un lui a dit que ses décolletés plongeants ne faisaient pas "politiquement corrects" dans notre époque marquée par un puritanisme exacerbé, même dans les milieux contestataires et critiques ......

10/07/2024

la déshumanisation de l'humanité, réfléchissez

Maintenant (déjà dans les années 90, maintenant c'est encore pire) le désir sexuel est invariablement décrit comme celui d’un chien pour un bifteck, la tendresse comme une violence, la beauté comme attentatoire à la dignité de la femme, faire l’amour comme une perversion, la complicité comme une aliénation, l’attachement comme une maladie mentale !

08/07/2024

l'affiche

26/6/2006 en passant sur le trottoir : 

Cette publicité n’est pas encore au goût du jour, elle va se faire stigmatiser par le MLF et par les autorités gouvernementales : Le bonhomme est montré en train de tenir sa femme par la taille. Quelle horreur ! On va dire que c’est humiliant pour l’image de LA Femme de montrer un homme passant son bras autour de la taille de son épouse ; On va dire que c’est du «machisme», que c’est indécent, que c'est une "violence", que cet homme est un "porc", etc.

Pour que les MLF ne considèrent pas ça comme humiliant pour LA Femme il faudrait qu’il se tienne à 3 mètres d’elle et que ce soit un "Directeur des Ressources Humaines", qui la jauge pour voir si elle peut encore être rentable et s’il va l’employer encore quelques semaines, ou bien s’il va la jeter à la rue comme un papier gras.

 

14/06/2024

à en croire Hitler l'Allemagne était menacée par 6 millions de juifs; maintenant à en croire les écologistes la TERRE ENTIERE est menacée par 600.000 cygnes noirs !

oui, ces fameux cygnes noirs sont :
La population mondiale est estimée entre 300 000 et 500 000 individus. (selon l'IUCN : 100 000 à 1 000 0002). 

(eh oui, de même que les juifs et les tziganes les cygnes noir sont des gens qui ont de petits n'enfants....)
famille de cygnes noirs.jpg
Or maintenant :

étant donné que les cygnes noirs sont "des gens pas d'cheux nous", des immigrés sans papiers qui viennent "manger les vers de vase des français !" les écologistes, lisez le lien ci-dessus, veulent (dans un premier temps ?) subordonner leur détention à déclaration. Après on les obligera à porter une étoile jaune ?
Et ensuite ?
lisez le cas des ibis sacrés  (mal nommés les pauvres !) :
 
espérons que les italiens serons moins cons et plus humanistes que les français !
l’ibis sacré face à la BARBARIE EN GANTS BLANCS
 
 
 
 
puis

Communiqué de presse publié le 2/08/12 0:01 dans Environnement par Bertrand Deléon pour Collectif pour la Protection de l'Ibis de Bretagne

Le Collectif pour la Protection de l'Ibis de Bretagne tient à révéler les dessous du mystère de la disparition de l'Ibis sacré. On nous a dit que cette espèce était invasive et que ses spécimens étaient de redoutables prédateurs. Une extermination programmée a eu lieu dans la plus grande discrétion et de manière tout à fait illégale :
- Conformément aux observations du CNRS, l'Ibis sacré n'est pas une espèce invasive ;
- L'ibis sacré a eu son utilité dans la protection des colonies de spatules ;
- L'ibis sacré est protégé par la convention de Berne ;
- L'Ibis sacré n'est pas un oiseau exotique mais bel et bien une espèce du Paléarctique, zone géographique dans laquelle nous nous situons (importé par le zoo de Branféré près de Vannes, il n'en est pas pour autant un oiseau étranger) ;
- L'Etat a pris une décision sans appui réel et sans étude scientifique mais se base sur un rapport bidonné et non scientifique daté de 2005 ;
- Les arrêtés préfectoraux de destruction de l'ibis sacré ont été pris hors décision ministérielle en Loire-Atlantique et en Morbihan ;
- Les campagnes de destruction de l'ibis sacré ont eu lieu hors arrêtés préfectoraux ;
- Cette destruction par tirs a fortement perturbé les colonies d'autres espèces protégées et ont eu lieu parfois en pleine nidification : des secteurs ont été désertés suite à des opérations de destruction ;
- Plusieurs promeneurs ont retrouvé des cadavres d'ibis sacrés criblés de plomb et laissés en décomposition ;
- Une poignée d'individus est à l'origine de la supercherie (notamment le cliché d'origine pris le lendemain d'une « descente » de renards sur des œufs de sternes et guifettes) : il s'agit d'anciens étudiants d'un chercheur au CNRS, ex directeur de la réserve de Grand-Lieu (sud Bretagne près de Nantes) et quelques membres bornés de Bretagne Vivante autour de la réserve de Falguérec en Séné ;


Cette affaire est caractéristique du monde dans lequel nous vivons : règlements de comptes personnels ou petits arrangements destructeurs entraînant des conséquences gravissimes sur les populations ou l'environnement ; recherche d'un bouc émissaire suite à des choix dictés par la recherche de profits immédiats que personne ne veut assumer (en l'occurrence la destruction de notre littoral par sa mise en vente au plus offrant et la diminution des espaces naturels et de la biodiversité) ; une justice qui n'en est pas une.

Plusieurs milliers de personnes ont dénoncé cette supercherie, quelques courageux médias ont osé dire la vérité face à la propagande généralisée que d'autres ont servilement relayé et des recours en annulation de notre collectif ont tenté de mettre un terme à ce génocide. Or, rien n'y a fait, ce massacre s'est fait en toute impunité [tiens ça rappelle quelque chose, quelque chose d'actualité depuis un an], en toute illégalité avec l'appui de la « justice française » usant de circonvolutions verbales et d'imbroglios administratifs pour protéger l'Etat et ses préfectures.

Cette issue ne doit pas être une défaite mais l'occasion de conserver un exemple concret de ce qu'une poignée d'individus mal intentionnés peut provoquer dans le système français. Le tribunal n'a pu contester nos arguments sur le fond de l'affaire, il appartient à tout un chacun de faire justice en diffusant la vérité désormais. Ce combat en rejoint bien d'autres


ça rappelle que le gouvernement a l'habitude de se conduire comme ça, à tous bouts de champs !!! ......

ça rappelle aussi la malfaisance de l'intégrisme écologiste !! (n'oublions pas que  le premier à lancer l'écologie politique fut Adolf Hitler) et puis pensez : si on se met à pratiquer le génocide des immigrés qui viennent chez nous sans autorisation administrative, ça promet !

"Ce combat en rejoint bien d'autres" - c'est tout à fait vrai  !!!

 

Depuis 3 ans ils migrent et nichent en Italie : https://rivistanatura.com/ibis-sacro-il-trampoliere-esoti...

croisons les doigts ! bon déjà concernant Tafida Raqeeb  les médecins italiens se sont montrés plus humanistes que les anglais

"De pire en pire mais jusqu'ou ca ira ! Serait peut-etre temps de réagir au lieu d'assister à notre fin programmée....."

24/04/2024

toutes les institution en lesquelles on croyait pour avoir accès à la connaissance, accès à la vérité, accès à l'autre, sont devenues perverses et non fiable, même ennemies, mêmes fascistes

20/04/2024

ces petites lâchetés-là, ce sont elles qui sont complices du monde épouvantable dans lequel on vout vous enfermer vous avez envie que vos enfants vivent dedants ? Alors vous n'avez pas le choix il faut lutter et refuser pied à pied quoi qu'i en coûte

25/12/2023

ces "écolos" qui veulent tuer la vie et cette guerre des sites capitalistes totalitaires qui veulent empêcher le libre téléchargement !!! crachez leur à la gueule ! soyez frondeurs !

l'écologie subit au XXI è siècle le même phénomène qu'avait subit le christianisme au XIXè sècle (disons de Voltaire "je veux que mes laquais mes paysans mon tailleur croient en Dieu car j'espérerai en être moins volé" au Franquisme) être instrumentalisé - et au passage totalement déformé et perverti -  en un outil de décérebrage et de soumission du bon peuple aux interêts de la classe possédante !) on en a fait un idéologie délirante au service de plans fascistes de Davos et du grand capital !!

28/09/2023

les conditionnés hystériques pavent le fascisme actuel - les ravages éternels de la crédulité des bien-pensants soumis

" beaucoup de vaxxinés (ou kapos de l’oligarchie) militants agressifs et orduriers, comme ceux compilés dans une vidéo hautement instructive sont de véritables possédés capables de brûler les non vaxx sur un bûcher sans le moindre frein. Ont-ils pris des drogues ? Pas forcément, la simple adhésion à la doxa de big pharma ou de l’ordre médical, à l’atlantisme absolutiste ou à l’opinion majoritaire sans condition ni réflexion suffit, et le suivi des préceptes condamnant tout ce qui soigne avec respect des personnes humaines, mais sans profits pour le Grand Capital fait le reste.

Dans une péninsule eurasienne sous le pouvoir des "Psy-Op" depuis des décennies, vous imaginez les dégâts : plus aucun raisonnement sourcé et cohérent ne tient face à un raz-de-marée de conditionnés hystériques baignant dans la peur.

Donc soyons plus vigilants encore, l’Ukraine est exsangue, mais ils veulent aller plus loin encore en multipliant les prétextes d’une peur hystérisée qui se répandrait comme une pandémie, véritable projet d’une caste suicidaire entraînant le monde dans un holocauste général. (n'oublions pas les Georgia Stones !!)

C’est ce qui risque de se reproduire avec plus d’aveuglement encore dès le mois d’octobre, les signes annonciateurs se multiplient. L’Hydre souterraine prépare la seconde manche qui devrait faire avancer plus rapidement la dépopulation, car le temps presse pour l’Hydre."

source : des commentaires sur  le net