Quand aura lieu la votation populaire sur la sortie de l’UE?
Par Renate Zittmayr le 30 juillet 2015
Entre le 24 juin et le 1er juillet, 261 159 Autrichiens et Autrichiennes ont déposé ouvertement leur nom, leur date de naissance et leur identité auprès de leur mairie en faveur de la sortie de leur pays de l’UE. (Ni kalkulu, estas kvazaŭ 2 milionoj da francoj, aŭ da italoj, estus subskribintaj al tia petskribo !) Cela c’est fait malgré des conditions-cadres extrêmement difficiles: un silence assourdissant de la plupart des médias, malgré l’invitation de tous les journalistes aux 12 conférences de presse organisées au cours des mois précédant l’unique semaine prévue pour le dépôt des signatures; la fixation de la semaine d’inscription par la Ministre de l’Intérieur à la dernière semaine de juin, précisément au moment où de nombreuses familles avec des enfants non encore scolarisés ou ayant terminé leur scolarité et beaucoup de retraités sont déjà partis en vacances à l’étranger; l’interdiction de placer les affiches informant sur les emplacements des locaux d’inscription et des heures d’ouvertures dans les immeubles d’habitation viennois, comme cela fut possible lors de référendums précédents etc.
Aucun parti parlementaire, aucun fond public ou gros sponsor privé n’a soutenu ce référendum. (al kio utilas la partioj ? ĉu ne teorie ili reprezentu la popolon ?) Ce sont plusieurs milliers de «simples» citoyens qui ont financé et accompli l’énorme travail d’envoyer et de distribuer bénévolement à nos concitoyens un total d’environ 900 000 feuilles d’informations et de nombreuses autres documentations en sacrifiant des journées, des semaines ou même des mois de leur temps. De toute évidence, nous n’avons de cette manière et par nos activités sur Internet et les médias sociaux pas pu atteindre une majorité des 6,4 millions d’électeurs autrichiens du pays, si bien qu’au moins un tiers sinon la moitié de ces personnes n’ont pas eu connaissance de ces activités et n’avaient donc aucune idée où et quand on pouvait s’inscrire. Le plus grand scandale a résidé dans le fait que l’Agence de presse autrichienne (APA) n’ait porté aucune attention à ce mouvement populaire. Lors du référendum initié par le gros industriel Hannes Androsch au sujet de la formation, elle a publié et diffusé à tous les médias près de 70 communiqués d’information détaillés pendant plusieurs mois, alors que le référendum pour la sortie de l’UE n’a eu droit qu’à 6 communiqués. Cependant la chaîne télévisuelle ORF a encore battu ce record: N’a-t-elle pas informé sur ce référendum pendant 1,2 heures? Non, ce furent uniquement 1,2 minutes!
Ceci étant dit, il est clair que ce référendum, organisé et mené à bien uniquement par un mouvement populaire, a été un grand succès. Il transmet une mission claire aux partis parlementaires: exiger du gouvernement, lors du débat officiel de cet automne, un engagement ferme d’organiser une votation populaire (ĉar Aŭstrio havas la ŝancon, kiel Svislando, disponi pri popoliniciataj referendumoj) sur la sortie de l’UE selon le texte de ce référendum signé par plus d’un quart de million d’Autrichiens.
Renate Zittmayr, Hofkirchen im Traunkreis (Membre du comité hors-partis du référendum sur la sortie de l’UE)
(Traduction Horizons et débats)
horizons-et-debats.ch/index.php?id=4676
EN FRANCE IL Y A FRANCOIS ASSELINEAU
François Asselineau invité du Grand Forum sur Radio France-Maghreb 2 - Union Populaire Républicaine | UPR
24/01/2017
le choc des deux droites
22/1/2017 le magasine hyper-bourge « Le Point » titre « le choc des deux gauches » non ! c’est le choc des deux droites, je regrette !
Valls est un réactionnaire de droite c’est clair !
Et Hamon son programme c’est du Giscard de 74, relisez le ! et souvenez-vous de 74,(autre preuve un qui a bien vu ça :http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/benoi...) c’est un programme pour bourgeois bobos post 1968 giscardiens, quand le capital sentait qu’il fallait préparer une nouvelle époque pour le troupeau des travailleurs, et surfait sur les nouvelles idées à la mode, maintenant sanctuarisées et devenus la nouvelle religion (écologie, sécuritarisme, etc). Donc la droite libérale.
Quand au « revenu de base», depuis les projets de la Finlande, et les raisons de ce projet ! depuis le ralliement massif des forces de droite, depuis la critique qu'en a faite Bernard Friot, on sait que c’est une réforme de droite, un outil de lutte de classe patronale, « la roue de secours du capitalisme ».
22/01/2017
on parie que la presse aux ordres va caricaturer et diabolisers ces manifestants ?!
Oui, on parie que les « médias » vont tous présenter cette manif comme quelque chose d’abominable, œuvre de méchants « extrème-droitistes », catholiques de surcroît (alors que a priori les athées devraient être beaucoup beaucoup plus spontanément et viscéralement CONTRE l'avortement ! quand-même pour eux c'est l'être ou le néant, alors que pour les croyants c'est moins grâve) hou le christianisme quelle horreur ! l'Evangile beurk ! c'est c'est mauvaîîîs ! le respect de l'êxistence quelle abomination ! ?
http://www.enmarchepourlavie.fr/
alors comme a dit un témoin anonyme, pas de phrases ! du concret, de l’existentiel, de l’individualiste :
« les témoignages les plus simples sont souvent les plus intéressant donc j’en donne un : je suis le troisième d’une famille de quatre enfants. Ma mère était sans revenus, mère au foyer. Mon père a un temps travaillé aux hauts- fourneaux d’arcelor mittal à Charleroi en Belgique. Travail dangereux, précaire, difficile. Il est évidemment vite devenus chomeur,
Nous avons, tout les 6, mes 3 soeurs mes parents et moi vécus beaucoup de moments difficiles mais je suis bien évidemment heureux d’être en vie et de pouvoir en témoigner. Si cette histoire se déroulait maintenant, sous l’ère de l’apologie de l’avortement de confort à tout va, il y a de grandes chances que la majorité d’entre nous quatre, les enfants n’ai pas vu le jour. »
en 2015 ils l'avaient déjà fait,regardez les slogans "protéger les faible, ça c'est fort !"
http://cache1.citizenside.com/fr/photos/a-la-une/2015-01-...
un autre de leurs slogans disait "j'ai été embryon" oui rien de tel que le bon sens pour faire comprendre.
cette année :
20/01/2017
Evidence
La bonne santé d’une entreprise
se juge à ses profits.
C’est évident
comme est évidente
cette constatation :
la Terre est plate.
(Francis Combes in « Leçons de choses »)
Mardi 25 novembre 2008
19/01/2017
les idées justes finissent toujours pas se répandre
Nous sommes tous des grecs
d'abords, un rappel contre certains agents d'influence de l'OTAN déguisés en "antifas" : L'UPR est parti le plus démocrate et humaniste qui soit :
et puis on passe au morceau de résistance, une interview sur "Radio-Soleil"
*
* Et, comme je disais (voir les articles là-dessus en archive) il n'y a pas que l'UPR sur terre, et la prise de conscience gagne de plus en plus, en particulier à gauche, où des partis se rendent de plus en plus compte des tenants et aboutissants,
Mais voici aussi un mouvement, qui semble plutôt à droite, en tous cas se réfère à la "spiritualité", et qui arrive lui aussi pourtant aux mêmes conclusions qu'Asselineau : il faut sortir de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN, et il met met aussi l'accent sur ce qu'il faut rendre enfin sa souveraineté économique à l'Afrique, victime du néo-colonialisme, et tendre la main à Poutine :
Pour revenir à la gauche, et même la gauche marxiste, voici que les 3 députés au Parlement européen du parti communiste portugais se prononcent pour la sortie de l'euro :
« Rompre avec la logique d'intégration capitaliste européenne » ou « réformer l'Union européenne » : l'alternative dans les partis communistes et la gauche d'alternative en Europe. Si les partis réformistes du PGE comme Die Linke, Syriza poussent à l'accomodement, le PC portugais choisit la rupture.
Ce 29 août, les trois députés européens du PCP ont mis les pieds dans le plat de la remise en question de l'intégration à une Europe « néo-libérale, militariste et anti-démocratique » incarnée par le nouveau président Donald Tusk, rejetée massivement par les peuples
Alors que nombreux sont les partis dans le groupe GUE (Gauche unitaire européenne) prêts à « défendre l'idée européenne », « sauver l'Euro », « réorienter la BCE », le PCP pose la question qui fâche :et si on envisageait de sortir de l'Euro ?
« Préparer la sortie de l'euro et renégocier la dette »
Au cours de cette conférence de presse, les trois députés du PCP – Joao Ferreira, Inés Zuber et le nouvel élu Miguel Viegas – ont fixé une ligne de conduite à porter dans l'enceinte du Parlement européen : « renégocier la dette et préparer la sortie du Portugal de l'euro ».
Le jeune député Joao Ferreira a livré un constat sans appel de l'intégration à la monnaie unique : « Cela fait longtemps que le Portugal souffre d'une intégration à une monnaiedécouplée des conditions réelles de la base productive du pays et de ses besoins sur le plan économique ».
Et la catastrophe de l'intégration à la monnaie unique enfonce le peuple portugais dans la crise, l'austérité insoutenable : « les contraintes identifiées à la soumission du Portugal à la monnaie unique non seulement persistent, mais elles tendent à s'aggraver ».
Pas d'amélioration pour le peuple portugais au sein de l'euro pour le PCP
Ce qui débouche sur une conclusion politique claire : « la question, le PCP se la pose depuis longtemps :existe-t-il une voie pour la reprise économique qui repose sur la défense des conditions de vie des portugais au sein de l'euro ? La réponse est négative ».
Pour les élus communistes, le débat doit donc s'ouvrir au Parlement pour : la dissolution de l'Union économique et monétaire, la fin du Pacte de Stabilité, une renégociation de la dette « devenues insoutenables et impayables » et des « compensations européennes pour les préjudices causés par une sortie négociée de la monnaie unique ».
Car pour Joao Ferreira,« cette exigence de la sortie de l'euro monte de plus en plus, elle doit se faire en lien avec la renégociation de la dette justement pour libérer le pays de cette contrainte ».
Pour le PCP, l' « Union européenne n'est pas réformable »
Cette prise de position publique, collective, révèle une radicalisation du discours du Parti communiste portugais ces derniers mois.
Certes, le PCP a toujours été un fervent critique de l'adhésion du Portugal à la CEE, au Traité de Maastricht, à l'adhésion du pays à la monnaie unique et plus tard au Traité de Lisbonne.
Il a toujours identité l'intégration européenne comme un processus d'asservissement du peuple portugais aux intérêts du capital national et européen, un moyen de casser les acquis sociaux et démocratiques, issus notamment de la Révolution de 1974.
Lors de son dernier congrès, en décembre 2012, le PCP a réaffirmé sa position :l’Union européenne n’est pas réformable, la crise de la zone Euro est la conséquence logique de l’Union économique et monétaire, et de la nature de classe de cette UE.
Le PCP se radicalise : « sortir de l'euro : nécessaire mais pas suffisant »
Toutefois, jusque-là, il s'était montré prudent sur la question du « sortie de l'euro », soulevant d'abord – non sans raisons – les dangers de cette manœuvre dans un pays très dépendant de l'extérieur, les risques d'une dégradation de la situation.
La situation a évolué depuis. La direction du PCP a organisé une grande rencontre le 19 mars 2013 à Lisbonne avec divers économistes du PCP, l'économiste longtemps proche du PS Joao Ferreira do Amaral favorable à la sortie de l'euro, qui a permis de révéler tantla nécessité de cette rupture, que lescomplexes conditions techniquesde sa réalisation.
La synthèse du secrétaire-général du PCP, Jeronimo de Sousa, a alors : (1) – fait le constat de l'incompatibilité entre « maintien dans l'euro » et « politique alternative, de gauche, patriotique, pour les travailleurs », critiquant l'hypocrisie du PS, du Bloc de gauche dans leur « fédéralisme européen outrancier » ; (2) – la déduction que la sortie de l'euro était « nécessaire mais pas suffisante » à cette rupture ; (3) – ce qui pose la question des mesures permettant la rupture avec l'intégration capitaliste, accompagnant cette sortie : re-négociation de la dette mais aussi nationalisation des secteurs stratégiques, dont les banques.
Depuis, le PCP a porté dans la campagne des élections européennes une critique radicale de trente ans d'intégration capitaliste européenne au Portugal, elle a pointé du doigt le rôle de la monnaie unique dans la casse de l'appareil productif national, des droits sociaux des travailleurs, indiqué les responsabilités de la classe dirigeante nationale, dont le Parti socialiste.
Une ligne qui paye face au Bloc de "gauche" pro-européen
Cette ligne de clarté a payé : le Parti communiste portugais dans la coalition de la CDU a obtenu 13 % des voix aux européennes, son meilleur score depuis 20 ans et gagné un troisième député
Dans le même temps, au Portugal le « Bloc de gauche » soutenu par le PGE (partenaire de SYRIZA, Die Linke, du Front de gauche …) a porté la « réforme de l'UE », du « maintien dans l'euro » : les électeurs ont tranché, le « Bloc » a obtenu 4,5 % des voix (contre 11 % en 2009) et perdu deux députés.
Fort heureusement, nos camarades portugais ne sont pas seuls en Europe. Au Parlement européen, les chypriotes d'AKEL posent la question de la sortie de l'Euro, le PTB belge, le KKE grec, le KSCM tchèque remettent en question l'intégration capitaliste européen. Hors du Parlement, les Partis communistes du Luxembourg, d'Irlande, d'Allemagne ou des Pays-bas partagent cette ligne.
Voilà un bel exemple de ce qui différencie les communistes porteurs d'une ligne de rupture avec le capitalisme et l'UE du Capital et la « gauche européenne » d'accompagnement.Que les « bouches s'ouvrent » en Europe notamment grâce aux communistes portugais !
15/01/2017
un rêve
11/12/2016 ce matin j’ai fait un rêve (très agréable) très singulier : difficile à raconter, comme toujours, avant que ça ne disparaisse pour toujours dans la nuit noire du néant de l’oubli J’étais étudiant, dieu sait pourquoi ! Car en même temps j’étais moi maintenant, avec mon âge actuel, et j'y étais un peu « en touriste » là-dedans, ce qui donnait un certain détachement, mais quand-même j’essayais de jouer le jeu (tout en me disant, que au moment où je décrocherai », ça ne sera pas grave, je laisserai tomber et puis basta, on s’en fout). j’étais à une grande table au milieu des autres étudiants, des jeunes, forcément, mais on était dans la même galère, rapports tout à fait égalitaires et intégrés, et bien que j'aurais pu être leur grand-père, on se parlait tout naturellement comme de jeune à jeune. Et les étudiants faisant des parlotes, et des critiques et du « psychodrame permanent » sur des attitudes de politique au sein de groupuscules d’extrême-gauche, et moi je ne cachais pas que je trouvais ces attitudes comme de la connerie. Et à un moment on est arrivé au cours de philosophie (ce que j’ai suivi dans la réalité un certains temps à Lille III quand j’étais jeune). Il y a déjà beaucoup de détails que j’ai oublié, et les profs, qui donnaient leurs instructions, c’était le tout début de tout, et à un moment on a à tous prêté de petits ordinateurs, ce qu’on appelle des tablettes, qu’on devait prendre dans une grande boite qui passait, et plus tard un autre étudiant m’a appelé en me disant qu’il allait me mettre dessus deux applications utiles pour le cours de philo, alors j’ai répondu « mais il n’est pas à moi » et il a répondu que ce n’était pas grave, il n’y a qu’à faire semblant et le garder près de soi ! Plus tard il y a une fille (elles me parlaient à l’oreille très camaradesquement) qui m’a dit qu’à plusieurs ils avaient organisé une sortie au cirque et si je voulais en être, et j’ai dis que oui, et j’ai demandé si c’était le Cirque Zavatta qui était passé dans mon quartier l’an passé (voir sur ce blog, j’en ai parlé). Tout ça était vraiment très agréable. Malheureusement je me suis réveillé.
14/01/2017
la saĝo de Gottfried Keller
Pacon al la Kreaĵo
De Gottfried Keller
esperantigis : Manfredo Ratislavo
Araneojn malŝatadis
Mi dum junecaj jaroj,
Ili malsupren sin lasadis,
Kuris sur la kap-haroj,
Sidis kaŝe en anguloj;
Min timigis la aĉuloj,
Sur la tablo kuregadis,
La mortigo ne ĉesadis.
Kiam la harar’ griziĝis,
Mi ilin ne plu ĉasis,
Tiam fine mi saĝiĝis,
Ilin vivi lasis.
Nun mi ilin rare vidas,
Kaŝe ili ie sidas;
Sed se iu sin vidigas,
Mi min saĝe elvojigas.
Se mi havus infaneton,
Mi gardus ĝin honore,
Gvidus ame la hometon,
Dirus al ĝi kore:
Lasu vivi araneojn,
Ili same sentas veojn.’
Frue iĝus ĝi paculo,
Ne nur kiel maljunulo!
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12/01/2017
Kion volas la popolo la kapitalistoj net la ŝtatajn instancoj ne volas
FMI ekatakas Francion, kiel ĝi faris por Grekio, tio estas la klasbatalo. Kion fari ? unuavice eliri el tiu raktakaptilo :Eŭropunuiĝo kaj Eŭro.
http://www.onsaitcequelonveutquonsache.com/2015/10/le-fmi...
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10/01/2017
citations supplémentaires - 9
"Je sais que j'écoute l'autre quand je ne sais pas ce qu'il va dire." |
André Agard-Maréchal |
|
« Il est doux de se souvenir. … Les morts sont si légers hélas ! » |
France (Anatole) |
MORT |
« J'avançai mes lèvres. L'espèce de froid que je sentis n'a pas de nom et n'en aura jamais. » |
France (Anatole) |
MORT |
« Je suis convaincu qu’il y a plus de menaces contre la liberté des Américains dans un rayon de 10 miles autour de mon bureau sur Capitol Hill qu’il n’y en a dans le reste du monde. » |
Ron Paul |
MONDE ACTUEL |
« La franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit » |
Coluche |
|
« C'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison » |
Coluche |
|
« Camoëns avait pris pour devise : je ne dirai jamais que la vérité. On trouvera donc naturel qu’il ait vécu dans l’exil, dans les prisons et dans la pauvreté. » |
Herriot (Edouard) |
VERITE |
“Quand Sarkozy a dit “travailler plus pour gagner plus “ il ne voulait pas dire pas que ce seraient les mêmes personnes celles qui qui travailleront et celles qui gagneront ! » |
? |
HUMOUR INTELLIGENT |
« On crèvera de la disparition de la pitié, on n’en veut plus. » |
La Varende |
MORALE |
« La création d'un Etat juif, signifierait un suicide national prémédité » |
Buber (Martin) |
Mots historiquement révélateurs |
« Les naïfs, les crédules, les indifférents et les lâches constituent le combustible qui alimente l'enfer de souffrances, d'injustices et d'humiliations qui consume notre humanité. » |
anonyme |
POLICIERS |
« Le poète est un anarchiste aristocrate » |
Cocteau (Jean) |
POESIE |
« Je vous donne la définition du poète en deux mots : Un homme qui tâche de mette sa nuit en plein jour. » |
Cocteau (Jean) |
POESIE |
"Cuando hablo de los hambrientos, todos me llaman cristiano; cuando hablo de las causas del hambre, me llaman comunista" |
Helder Camara (Don) |
POLITIQUE |
« Je voudrais avoir affaire à des personnages qui deviendraient lucides de leur partie divine en sachant qu’elle ne vient pas des Dieux. » |
Malraux (André) |
HOMME |
« L’action est une gale, on se gratte et c'est tout. » |
Montherlant (Henry de) |
VIE |
“Confesso que me dá certo tremor d'alma o pensamento inevitável de que, com uns meses, uns anos mais, algum sucessor meu, também vergando nossa veste talar, aqui estará, hirto, no cumprimento do mesmo rito para me recordar.” |
Darcy Ribeiro (élu à l’Académie brésilienne prononçant son discours d’admission) |
VIE |
« Tout est néant dans le monde, jusqu’à mon désespoir » |
Léopardi |
COSMOS |
«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» |
Jaurès (Jean) |
MONDE ACTUEL |
« On revient avec le crédit à une situation proprement féodale, celle d’une fraction du travail due d’avance au seigneur, au travail asservi. » |
Baudrillard (Jean) |
POLITIQUE |
« Le capital est du travail accumulé. Seulement, comme on ne peut pas tout faire, ce sont les uns qui travaillent et les autres qui accumulent. » |
Detoeuf (Auguste) |
POLITIQUE |
« La guerre … Des hommes qui ne valent pas de vivre. Et des idées qui ne valent pas qu’on meurent pour elles. » |
Montherlant (Henry de) |
|
« Un acte n’est rien sur le moment. Mais il suit le cours de la rivière, il est encore là, au loin, bien au loin, toujours là ; il traverse des pays et des pays ; on le retrouve quand on n’y pensait plus, et où on l'attendait le moins. Est-ce juste, cette existence interminable des actes ? Je pense que non. Mais cela est. » |
Montherlant (Henry de) |
|
« Si la douleur poussait de la fumée comme la flamme, la terre vivrait dans une éternelle nuit » |
Montherlant (Henry de) |
|
«la vie un théatre (qui) … manque de régie à un point incroyable. Ceux qui doivent y mourir d’amour, quand ils y arrivent, c’est péniblement et dans leur vieillesse. » |
Giraudoux (Jean) |
VIE |
« C’est le grand avantage du théatre sur la vie, il ne sent pas le rance … » |
Giraudoux (Jean) |
ART |
“I can hire one-half of the working class to kill the other half." |
Jay Gould |
POLITIQUE |
“Il ne faut jamais avoir plaisir si vite” (Ferrante à Dona Ines) |
Montherlant (Henry de) |
VIE |
"et c'est déjà beaucoup si l'on a pu faire soi-même cette dérisoire maison de briques, meublée de souvenirs, où il arrive parfois que l'on s'endorme." |
Camus (Albert) |
MAISON |
« Les révolutions n’ont généralement pour résultat immédiat qu’un déplacement de servitude » |
Le Bon (Gustave) |
POLITIQUE |
« j’ai déjà remarqué ceci : les horreurs sont supportables tant qu’on se contente de baisser la tête, mais elles tuent quand on y réfléchit. » |
Remarque (Erich-Maria) |
VIE |
(commentaire d’une photo) * (partout en fait, et tout le temps, c’est ça la vie) |
Sallenave (Danièlle) |
VIE |
« Que serait-ce qu’être fidèle si on n’était fidèle qu’à ceux qui vous aiment ? » |
Montherlant (Henry de) |
VALEURS |
« Loin de moi de vous oublier, chiens chalereux. Comment me passerais-je de vous ? Vous me faites sentir le prix que je vaux. Un être existe donc encore pour qui je remplace tout ? Cela est prodigieux et réconfortant » |
Colette |
ANIMAUX |
« La haine peut être perspicace. Mais jamais au sens le plus grand. Seul l’amour possède un horizon » |
Ekelund (Whilelm) |
|
«Faut-il trahir son idéal parce qu'on s'aperçoit qu'on ne peut pas en vivre ?» |
Ekelund (Whilelm) |
|
«Ta main sur mon coeur |
Gréco (Juliette) |
AMOUR |
« Lorsqu’on éprouve les sages, il en est peu q’uon trouve parfaits » |
Egypte antique |
HOMME |
« Même la petit joie fait vivre le cœur » |
Onkhchechonqy |
VIE |
« Il s’agit moins de rechercher la vocation que chacun croit devoir s’adapter et cadrer avec lui-même, que de faire une vocation de la place utile où le sort ou la providence ou notre volonté nous ont mis » |
Unamuno (Miguel de) |
VIE |
« La femme ? Machine à sourire, statue vivante de la stupidité. Parlez à sa raison, son regard flotte au hasard. Insistez, elle baille derrière l’éventail. » |
Lammenais |
FEMMES |
« Il y a des fous partout, même dans les asiles » |
Shaw (Georges Bernard) |
Humour intelligent |
« Prêter aux bêtes des lueurs d’humanité, c’est les dégrader » |
De Gourmont (Rémy) |
Humour intelligent |
« Ce qu’on nomme le cafard n’est souvent qu’une éclipse de nos illusions et un éclair de notre lucidité. » |
Capus (A.) |
VERITE |
« La nuit totalitaire ne tombe pas tout d'un coup sur les gens. D'abord vient l'ambivalence, puis l'engourdissement, puis la botte. » |
Bageant (Joe) |
SOCIETE |
« Celui qui n'est plus ton ami ne l'a jamais été » |
Aristote |
AMOUR |
« Il n’est pas de témoignage de culture qui ne soit en même temps un témoignage de barbarie » |
Benjamin (Walter) |
|
« La Raison est totalitaire » |
Adorno (Thodor) |
|
"Je n'ai vraiment l'impression que je suis libre lorsque je suis enfermé |
Guitry (Sacha) |
INDIVIDU |
« le civilisé tue plus et avec plus d’hypocrisie que l’anthropophage » |
Arnaud-Aaron Upinsky |
POLITIQUE |
"Ce qui vous fait peur vous détruit, alors pourquoi s'en occuper ?" |
Hain (Christoph) |
MORT |
« Auparavant, un antisémite était quelqu’un qui haïssait les Juifs. Mais de nos jours, un antisémite est quelqu’un que les Juifs n’aiment pas.» |
Meyer (Hajo) |
MONDE ACTUEL |
«L'âge adulte, c'est de l'enfance pourrie.» |
Cau (Jean) |
ENFANT |
« toute avancée de la science se sédimente tôt ou tard en croyance indiscutée » |
Lainé (Michaël) |
SCIENCE |
« Les valeurs, la morale (peu importe le nom qu’on leur donne) agissent également comme l’idéologie au sens d’Althusser : elles fournissent une grille de lecture prête à l’emploi, où les réponses précèdent les questions. » |
Lainé (Michaël) |
|
« Plus il y a d'interdits dans le monde, et plus l'esprit du peuple s'appauvrit.Plus on publie de lois et de décrets et plus il y a de voleurs et de brigands » |
Lao Tseu |
POLITIQUE |
« L'amour, l'amitié, c'est surtout rire avec l'autre » |
Arletty |
AMOUR |
« la femme a une propension à se conduire, dès que les circonstances le lui permettent, selon les canons les plus éprouvés du code bourgeois : mépris de la pauvreté considérée comme un vice, préférence donnée donnée à la médiocrité intellectuelle si elle s’accompagne d’aisance plutôt qu’à la valeur dépourvue de moyens, passion sans frein pour les apparences sociales, recherche de l’approbation des autres et non de la sienne propre. » |
Ganne (Gilbert) |
FEMMES |
« la femme régnante est le plus féroce, le plus borné, le plus mesquin des maîtres bourgeois : enseignez-vous auprès des bonnes. » |
Ganne (Gilbert) |
FEMMES |
« la menace du plus fort me fait toujours passer du côté du plus faible » |
Chateaubriand |
INDIVIDU |
« Au surplus, les champs de carnage sont partout; au cimetière de l'Est, à Paris, vingt-sept mille tombeaux, deux cent trente mille corps, vous apprendront quelle bataille la mort livre jour et nuit à votre porte. » |
Chateaubriand |
MORT |
« Les hommes n’ont malheureusement pas le privilège inflexible des chats : garder en toutes circonstances la fierté, la dignité et l’indépendance. » |
Ganne (Gilbert) |
|
« Un être qui se sait mortel ne peut pas être heureux » |
Ganne (Gilbert) |
MORT |
« L'oppresseur ne se rend pas compte du mal qu'implique l'oppression tant que l'opprimé l'accepte. » |
Thoreau (Henri David) |
|
« Of all tyrannies, a tyranny exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It may be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron's cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end, for they do so with the approval of their own conscience. » |
C. S. Lewis |
MONDE ACTUEL |
“un petit sphinx souriant, allongé dans une prairie parsemée de crocus. A quoi sourit-il? Aux fleurs qui poussent effrontément jusqu'entre ses griffes ? Mais non. Son sourire, comme tous les sourires égyptiens, ne s'adresse pas aux choses de la terre et son regard scrute un mystère que nos yeux ne peuvent apercevoir |
Benoist-Méchin |
EGYPTE |
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08/01/2017
une vidéo qui démonte les mensonges et l'ignoble hypocrisie des européistes
elle dure 3 heures mais elle en vaut la peine. Par exemple regardez à 2H 34 ! où vous verrez le degré d'hypocrisie et d'égoïsme de ces fameux européistes qui esayent de vous terroriser pour mieux vous tenir.
"ceux qui veulent faire peur aux français en agitant la menace de la "fermeture des frontières" en cas de sortie de l'UE sont les premiers à construire des frontières d'une extrème cruauté, où des centaines de migrants meurent chaque année"
les larbins n'oublient pas de bien s'applatir devant leurs maîtres : www.upr.fr/communiques-de-presse/association-quebec-franc...
05/01/2017
portrait d'un étranger qui pourrait bien être celui de l'auteur
"A l'infini il doit son regard de myope; au passé, enfoui dans sa mémoire, son sourire blessé – le sourire d'une très ancienne blessure; à la crainte, la méfiance, sans doute, la lenteur de sa démarche. Il sait que la fuite est illusoire. "
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