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31/08/2019

les apôtres du Christ c'étaient des "bras cassés" selon l'expression aimée des patrons et des capitalistes ! des pêcheurs dans tous les sens du terme


ah ah ! une phrase à se souvenir (et qui vient de la bouche d'un pape) "l'élite est très aimée par le diable" !  c'est pas bête du tout, ça ouvre plein de pistes de pensée.

C'est comme les gilets jaunes qui sont d'une certaine manière un combat des hommes contre les robots de la finance et des "audits internes" et autre idéologues du capitalisme et de la répression.

 

29/08/2019

1948 : les premiers crimes des CRS

Il a fallu attendre 64 ans à leurs victimes pour être indemnisées.
Finalement Macron n'est pas pire que Moch !
Lisez comment on a traité le peuple travailleur à l'époque, à peine 3 ans après la fin de la guerre contre le fascisme !

7 octobre 1948 : Assassinat d’un mineur gréviste par les CRS. 65 ans plus tard, les mineurs réhabilités

3 textes :

-  1) 7 octobre 1948, mort du mineur Jansek (Brigitte Blang, PG)

-  2) 7 octobre 1948 à Merlebach. PREMIER BILAN SANGLANT DU TERRORISME D’ETAT CONTRE LES MINEURS EN GREVE

-  3) Norbert Gilmez réhabilité : "Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre" (1er mars 2013)

1) 7 octobre 1948, mort du mineur Jansek (Brigitte Blang, PG)

Cet automne-là, dans le pays, les grèves et les revendications se multiplient chez les mineurs de tous les bassins houillers ou ferrifères.

Depuis des années, les privations, le rationnement se sont installés. Les récoltes calamiteuses font flamber les prix. À cela, il faut ajouter un contexte politique et social décousu. La guerre froide a débuté. Les syndicats, surtout la CGT, contestent les différents gouvernements. Tensions exacerbées par un décret de Robert Lacoste, ministre de l’Industrie de Daladier, qui prévoit une baisse des salaires et annule les droits acquis par les mineurs après la Libération. Ce qu’on nomme « avantages », ils ne sont pas prêts à les abandonner. Des « avantages », une coopérative, une caisse d’aide aux familles, des garanties sociales, réparatrices de leurs si difficiles conditions de travail, et spécialement un salaire minimum ? Non ! Ils les ont durement arrachés, ces droits. Ils ont aussi contribué, par des actes de résistance, de grèves en manifestations, en refus de remonter la houille de la fosse, à précipiter la chute des nazis. « Pas de charbon pour l’ennemi ! » criaient les femmes dans les corons…

La grève est décidée par référendum, par quasiment 90% des voix exprimées. Elle gagne vite tous les bassins. Le référendum a posé comme préalable l’abrogation des décrets Lacoste, totalement illégaux en regard du Statut du Mineur, reconnu par l’Assemblée et la Constitution. Un statut que personne ne pouvait contester. Sauf le ministre de l’Intérieur, « socialiste », un certain Jules Moch.

Sans attendre la fin des négociations des grévistes avec le cabinet de Lacoste, Moch envoie des blindés et des CRS dans le Midi et en Lorraine. Plus de 50 000 hommes juchés sur des automitrailleuses sont déployés autour des fosses. La force des armes contre les mains des travailleurs… Le 7 octobre, à Merlebach, le mineur Jansek est abattu à coups de crosse par les CRS. D’autres tomberont à Alès, à Firminy. Partout sur les murs, on fait rimer CRS avec… SS. 20 ans après, d’autres s’en souviendront.

Très vite, le cinéaste Louis Daquin tourne un documentaire qu’il titre La Grande lutte des mineurs. Tout aussi vite, le film est censuré ! Ce qui n’empêche pas sa diffusion clandestine dans les ciné-clubs de la CGT, ou du PCF.

Après 56 jours de grève et des milliers d’arrestations arbitraires pour faits de « violence », 3 000 grévistes sont licenciés. Et 1 300 condamnés à de la prison ferme. Il va leur falloir attendre 2014 pour être réhabilités. Et indemnisés.

Brigitte Blang, PG

2) Il y a 65 ans, le 7 octobre 1948 à Merlebach. PREMIER BILAN SANGLANT DU TERRORISME D’ETAT CONTRE LES MINEURS EN GREVE

Oui, hélas ! C’était bien en France. Les mineurs étaient en grève depuis le 4 octobre 1948. C’était une grève des plus revendicatives, une grève légale décidée massivement et démocratiquement par un référendum. Qu’on en juge : sur un effectif de 259 204 mineurs, 243 702 exprimés, soit 94, 01 % des inscrits. Pour la grève : 218 616. Contre : 25 086.

Donc pour la grève : 89 ,79 % des exprimés. Avec les revendications sur les salaires, la sécurité, l’application de la loi sur les nationalisations, l’augmentation des retraites, il y avait en premier lieu posée par le référendum l’abrogation de la circulaire Lacoste du 13 septembre 1947, et des décrets du 18 septembre 1948 du même ministre Lacoste. Les circulaires et décrets étaient totalement illégaux, en violation flagrante du Statut du Mineur voté à l’unanimité par l’Assemblée nationale en juin 1946. La grève était un droit légal selon le Statut du Mineur et garantie par la Constitution. Nul ne pouvait s’y opposer.

C’est pourtant ce que fit Jules Moch, ministre de l’Intérieur. Alors que se déroulaient les discussions avec le ministre Lacoste (elles se sont poursuivies jusque dans la soirée du 5 octobre), Jules Moch dans la nuit du 3 au 4 octobre envoyait les C.R.S. occuper les bassins de Gardanne et de Lorraine. Jules Moch avait choisi la force préméditée, organisée et très vite, au 4e jour de la grève le 7 octobre 1948 à Merlebach, on déplorait la mort de Jansek. Tué par une balle perdue ? NON Tué par une balle tirée à distance sans sommation ? NON Tué par une balle tirée après sommation ? NON, NON, NON ! Mais sauvagement massacré à coups de crosses par des C.R.S déchaînés !

Alors pourquoi une telle sauvagerie ? On n’allait pas tarder à le savoir ; à Creutzwald, c’est un sous-lieutenant des C.R.S. de Clermont qui déclare qu’on les avait envoyés en Lorraine en leur disant que la population était hitlérienne. Il n’y a pas de mots pour qualifier à sa juste valeur ce mensonge ignoble, écœurant, meurtrier. Il faut se replacer dans le contexte de l’époque. On était en 1948, un peu plus de trois ans après la fin de cette terrible guerre. Elles étaient encore ouvertes dans les familles, les plaies causées par l’occupant hitlérien. Il était encore vivace le souvenir des atrocités subies, vivace le souvenir des souffrances, des emprisonnés, des torturés, massacrés ou fusillés, guillotinés, vivace le calvaire des déportés et toujours sous nos yeux les survivants des camps de la mort.

Je me demande parfois ce que j’aurais fait à l’époque si j’avais été parmi ces C.R.S. Aurais-je été entraîné par cette hystérie collective vengeresse en pensant à mon oncle Maurice battu à mort, à mon neveu Joseph fusillé à 22 ans ? Aurais-je frappé avec en tête ces strophes du Chant des Partisans : « Demain l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. » Je ne sais pas quelle aurait été ma conduite ? Ce que je sais, si j’avais participé à cela, c’est que lorsque j’aurais appris la vérité dévoilée à Creutzwald, j’aurais démissionné comme l’a d’ailleurs fait l’ex-commandant F.T.P.F. Rippert. Démissionner : facile à dire ? NON, je l’avais déjà fait en 1941, démissionnant de l’enseignement pour protester contre une injustice qu’on ne voulait pas réparer.

*** Dans un récent courrier à Madame LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, j’ai rappelé que j’avais pris conscience de la véritable nature des interventions policières, brutales, meurtrières lorsque j’ai appris que le 15 décembre 2005, une personnalité du monde juridique, le Procureur général de la Cour d’Assises de Douai, au procès de Lionel Dumont avait déclaré s’adressant à l’accusé : « Monsieur, vouloir imposer ses idées par la force, cela s’appelle du terrorisme. »

*** C’est par la force que Jules Moch voulait briser la grève, par la peur, semant la terreur avec des brutalités amenant la mort atroce de Jansek. Par la force, par la mort pour imposer ces circulaires et décrets illégaux de Lacoste. Le Conseil des Prud’hommes de Carvin, le 3 juin 1948, avait déclaré illégale la circulaire Lacoste du 13 septembre 1947, supprimant le salaire garanti. Et Lacoste avait été condamné à rembourser les mineurs du puits 10 de Leforest qui s’étaient mis en grève. Et c’est pour faire appliquer par la force cette circulaire illégale condamnée par un tribunal de la République qu’on avait tué Jansek !

Oui, c’était bien du terrorisme, et l’utilisation de l’appareil d’Etat, fait que c’est bien un TERRORISME D’ETAT. Les mineurs ont résisté à ce TERRORISME comme on se doit de RESISTER A TOUS LES TERRORISMES. Ils l’ont payé bien cher. Et pourtant la loi d’amnistie avec toutes ses possibilités y compris la réparation sur la base de la reconstitution de carrière ne leur est pas appliquée. Elle l’a été dans toutes les branches nationalisées, y compris au personnel civil du ministère de la Défense.

Les survivants licenciés restent exclus de la loi d’amnistie. L’article 13 de cette loi indique qu’en sont exclus : « les faits constituant des manquements à la probité, aux bonnes mœurs ou à l’honneur » C’était le cas des généraux factieux ayant porté les armes contre la France en Algérie ; un an après (la loi d’amnistie NDLR) le 23 novembre 1982, ces putschistes étaient réhabilités avec réintégration dans les cadres au titre de la deuxième section, une reconstitution de carrière. Et les mineurs licenciés des grèves de 1948 – 52, les rares survivants attendent toujours le décret d’application de la loi d’amnistie. Ils continuent de payer leur combat pour la légalité, leur résistance au terrorisme de l’époque. Il serait temps que cesse cette injustice ?

Norbert GILMEZ

2) Norbert Gilmez réhabilité : "Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre" (1er mars 2013)

Il est l’un des rares survivants parmi les milliers de mineurs condamnés en 1948 pour fait de grève. Grâce à la proposition de loi communiste adoptée mercredi au Sénat, il sera amnistié et devrait obtenir réparation. Résultat du combat de toute une vie.

« Les mineurs condamnés à l’occasion des grèves de 1948 et 1952 sont amnistiés. Un décret en Conseil d’État définit les conditions d’application du présent article. » C’est l’article 1er A de la proposition de loi sur l’amnistie sociale, déposée par les sénateurs communistes et votée, mercredi, par la majorité de la Haute Assemblée. Deux petites lignes qui valent leur pesant d’or pour Norbert Gilmez, puisqu’elles couronnent soixante-quatre ans de combat contre l’injustice. Norbert, quatre-vingt-onze ans, est l’un des derniers anciens mineurs encore en vie ayant pris part à l’un des épisodes les plus violents de l’histoire de la répression anti-ouvrière  : les grandes grèves des mineurs de 1948 et 1952. Après avoir payé un lourd tribut à la résistance au nazisme et avoir répondu, après la Libération, à l’appel à «  retrousser ses manches  » pour relever le pays exsangue, les gueules noires affrontent le gouvernement, qui tente de remettre en cause des garanties sociales, compensatrices de leurs dures conditions de travail, en particulier un salaire minimum. La répression, organisée par le ministre de l’Intérieur socialiste Jules Moch, sera terrible  : la troupe est envoyée, avec des blindés, les brutalités policières font six morts  ; deux mille condamnations à des peines de prison sont prononcées. Et trois mille mineurs sont licenciés, sans indemnités, chassés de leur logement, privés du même coup de Sécurité sociale. De surcroît, les Houillères s’emploient à leur barrer la route de l’emploi dans les autres entreprises. Norbert Gilmez, qui sera licencié le 5 décembre 1948 avant d’écoper d’une peine de prison, le dit aujourd’hui et le répète  : « Nous avons été victimes de terrorisme d’État.  » En 1981, la gauche arrivée au pouvoir donne un espoir en promulguant une loi d’amnistie couvrant notamment les grévistes de 1948. Mais elle ne s’accompagne pas, pour eux, de réparation des préjudices subis. D’où «  l’indignation  » de Norbert et de ses camarades quand ils apprennent, en novembre 1982, que «  les généraux factieux ayant pris les armes contre la France en Algérie étaient, eux, réhabilités et rétablis dans tous leurs droits, pension avec reconstitution de carrière  ». Une discrimination d’autant plus révoltante que Norbert n’oublie pas ses camarades qui, «  par dizaines  », sanction supplémentaire à la suite des événements de 1948, ont été dégradés militairement, alors qu’«  ils avaient un grade souvent issu des FTP  ».

Norbert Gilmez ne lâche rien. Début 2011, il témoigne encore devant le tribunal de Versailles. La cour d’appel condamne alors les Charbonnages de France à verser à 17 mineurs ou à leur famille une somme de 30 000 euros en guise de réparation pour avoir été victimes de «  licenciements discriminatoires  ». «  Le licenciement était triplement illicite, souligne Norbert Gilmez, le droit de grève était garanti par la Constitution, garanti par le statut du mineur, et le licenciement ne pouvait être prononcé que par une commission paritaire qui n’a jamais été réunie.  » Mais la haine de classe a la vie dure. Les Charbonnages se pourvoient en cassation. Et ils obtiennent gain de cause, en octobre dernier  : la condamnation est annulée. Depuis, le ministère de l’Économie a fait savoir, bon prince, qu’il a «  donné instruction  » pour ne pas réclamer l’argent versé aux 17 familles. Ces derniers temps, Norbert avait donc repris le flambeau du combat de sa vie. Il vient ainsi, dit-il, d’écrire à Mme Taubira (ministre de la Justice– NDLR) pour «  lui donner tous les éléments de ce qui s’est passé en 1948  ».

Le vote, mercredi, d’une nouvelle loi d’amnistie, et l’annonce d’un décret d’application rouvrent, semble-t-il, la perspective d’une réparation complète. «  Moi, sans ça, j’aurais eu une vie matérielle au moins trois fois supérieure à celle que j’ai eue  », fait valoir Norbert. «  Il faudrait qu’on se dépêche, avertit-il. On était encore 300 lors de la loi d’amnistie de 1981, on est 25, peut-être 30 maintenant. Ça ne coûtera pas cher à l’État…  » D’après ses calculs, «  ça ferait un petit 10 millions d’euros pour l’ensemble de ceux qui restent. À côté des 45 millions accordés à Bernard Tapie pour préjudice moral  »… Aucune somme, pourtant, n’effacera l’indignité subie. «  Il y a eu tellement de brutalités. Ma femme est restée complètement traumatisée, jusqu’à maintenant », confie l’ancienne gueule noire. «  On a été classés “mauvais Français”, déshonorés. On a passé toute notre vie dans le déshonneur.  »

Dans un courrier adressé récemment à l’Humanité, Norbert, «  au PCF depuis 1944  », plaidait  : «  Il est grand temps pour le gouvernement de gauche de réhabiliter les grévistes de 1948, de leur rendre justice par l’application de la loi aux survivants de cette corporation qui a toujours fait passer l’intérêt national avant tout, au prix des plus grands sacrifices, au prix du sang.  » Lui qui a «  toujours été contre l’injustice, viscéralement  », tire cette leçon du combat d’une vie  : «  Ne jamais désespérer de la justice, mais savoir se battre, être persévérant, obstiné.  »

Yves Housson,

 

25/08/2019

choses qu'il faut savoir

Il y a eu récemment des troubles à Hong-Kong, avec des manifestants violents, maintenant, COMPARONS :

  • La police de Hong Kong a déclaré avoir tiré 150 grenades lacrymogènes, plusieurs balles en caoutchouc et vingt projectiles en sachet durant une journée de manifestations particulièrement violentes, causant 72 blessures, dont aucune n’a nécessité d’hospitalisation, et procédé à trente arrestations.
  • La police française a, à titre de comparaison, tiré 19 000 balles en caoutchouc l’an dernier et 5 400 grenades de des-encerclement, causant 850 blessures graves, trente mutilations et des douzaines de fractures du visage et du crâne. Douze manifestants français ont perdu un œil. Si l’on inclut ceux blessés par les gaz lacrymogènes, les canons à eau et les matraques, le nombre de blessés approcherait les six chiffres, soit un niveau de répression jamais vu depuis l’Occupation allemande.
  • La police française a arrêté 9 000 manifestants dans la journée du 24 mars, dont la moitié ont reçu des peines de prison ferme, et ceci avant même que la police reçoive des ordres de procéder à des arrestations rapides.
  • Le silence presque total des médias occidentaux sur les chiffres de la répression du mouvement des Gilets jaunes n’a d’égal que la propagande continuelle consistant à présenter les manifestants comme un groupe de casseurs et de voyous.

C'est net et sans appel n'est-ce pas ?

 

"la haine des médias envers ce mouvement prophétique qu'est celui des gilets jaunes est symptomatique" :

https://ru-clip.net/video/sIM0Zt3LBlo/dieudonn%C3%A9-gilets-jaunes-retour-au-r%C3%A9el.html

 

21/08/2019

c'est ça les universitaires ?

phrase trouvée dans un roman écrit par un universitaire d'origine française et vivant en Amérique latine :

"Nous trouvions normal, jusque dans les années 2000, de nous retrouver dans des pièces enfumêes."

Mais les bourgeois « bobos » (caractérisés, nous dit Théodore Kaczynski « Unabomber », par leur extrême degré de socialisation!) savent changer ce qu’ils trouvent normal d’une année sur l’autre, à la baguette ! Ils font toujours là où on leur dit de faire ! Et ils se prétendent universitaires ! C’est ça la pensée ? c’est ça la philosophie ? Et la dignité de l’être qui pense alors ? Les gens du peuple en ont plus !

19/08/2019

ça représente bien mon enfance

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DelvauxNuitavecunChat.jpg

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17/08/2019

tout à fait d'accord !

commentaire trouvé sur Internet :

"De nos jours, il faut qu’un jeune homme soir totalement fou pour se marier : au bout de quelques semaines, tout lui sera reproché « pourquoi tu as fais cela ? Pourquoi tu n’as pas fais cela ? Pourquoi tu fais cela comme ça ? Tu étais où ? avec qui ? etc ... ».

Si jamais il perd son emploi, sa femme cessera de l'aimer, se dégoûtera de lui et le jettera.
Au bout de quelques années il divorcera (50 % de divorces en moyenne nationale, beaucoup plus pour les jeunes générations). Il perdra son logement, devra donner de l’argent à sa femme (la fameuse pension alimentaire même si elle travaille) et sera éloigné de ses enfants (et parfois accusé d’attouchements pour être définitivement éloigné). Il sera ruiné et devra recommencer sa vie à zéro.
Plus d'un se retrouvent à la rue suite à licenciement suivi d'un divorce.

Un homme qui se marie de nos jours est un fou !"

12/08/2019

natalité : c'est la presse catholique qui avait raison

Non, ce n'est pas de "contrôle (mot anglais ! "to control a desease" = éradiquer   une maladie,"the controls" = les commandes, donc en français veillez à employer un terme français please !) des naissances" que l'Afrique a besoin mais de développement !
Les faits l'ont amplement montré depuis 50 ans.
En effet dans les années 70 tout le monde vous faisait des articles apocalyptiques sur la menace de la surpopulation, sur la nécessité de la pilule, de la capote, de la stérilisation, (éventuellement forcée) du "planning familial", de la réduction des naissance imposée par l'Etat, etc.
La presse catholique Tiers-Mondiste de gauche de son côté disait, et elle était LA SEULE à dire ça, que non, la solution n'était pas dans des politiques de réductions des naissance, mais dans le développement, que quand ces pays se seront développés, la natalité baisserait d'elle-mêmes sans aucune mesure coercitive ni anti-vie.
Le public se moquait d'eux "ouais ! c'est parce que vous êtes cathos !" etc
Ben les faits depuis cette époque ont montré qu'ils avaient bel et bien raison !
On a vu le taux de fécondité dans les pays qui ont accédés à la télévision dans ous les foyers, (très important la télévision,si vous voyez ce que je veux dire !) l'enseignement de plus en plus élevé, le travail salarié pour tous, a civilisation de consommation, la sécurité, la carrière, le standing, etc. ont vu leur taux de fécondité (nombre d'enfants par femme) baisser en chute libre et rejoindre celui des pays d'Europe. Y compris dans les pays idéologiquement opposés à toute politique de réduction des naissances. Regardez une carte des taux de fécondité actuellement !! c'est spectaculaire.
Seuls sont restés avec un taux de fécondité élevé les pays qui sont restés pauvres ! Afrique noire, Yemen,  Afghanistan ...
CQFD

08/08/2019

vous avez dit "croyances" ?

Le problème n'est pas de savoir si untel ou untel croit au Père Noël ou pas, ni si il faut respecter cette "croyance" ou pas, le seul et unique problème est de savoir si le Père Noël existe ou pas.

07/08/2019

ce qu'il y a dans un vrai vers


« Pour écrire un seul vers, il faut avoir vu beaucoup de villes, beaucoup d’hommes et de choses….
Ce n’est que lorsque les souvenirs deviennent en nous sang, regard, geste, lorsqu'ils n’ont plus de nom et ne se distinguent plus de nous, ce n’est qu’alors que parmi eux le lève le premier mot d’un vers. »
(Malte Laurids Brigge)
 
Tout à fait d'accord ! Tous les vers des poèmes dont je sens qu'il me faut les apprendre par coeur (car un poème c'est fait pour être appris par coeur, un poème qui ne mérite pas d'être appris par coeur ne mérite pas non plus d'être lu !)  on sent qu'ils sont comme ça, et ceux q'on écrit soit-même si on en écrit (c'est d'ailleurs pour ça que j'en ai écrit très peu)

04/08/2019

Vous avez besoin d'arrêter de pêcher ? de mieux obéir aux Commandements de la Sainte-Eglise ? (c'est une traduction du slogan MGEN !)

une traduction qui permet de comprendre la vraie nature de cette campagne de pub en partenariat avec une autre entreprises privée :

https://www.interaction-healthcare.com/creations/vivoptim/

un exemple (avec plein de mots anglais bien sur, pas innocent du tout !) des pubs qu'on reçoit de nos jours, par exemple de la MGEN pardon ! du "GROUPE" MGEN, car la MGEN - comme toutes les "mutuelles" de toutes façons, n'est jamais, et elle s'en vante, qu'une entreprise capitaliste, qui cherche à faire du chiffre d'affaire (vivement que Bernard Friot soit au pouvoir et qu'on rétablisse la Sécu d'Ambroise Croizat !)........https://www.mgen.fr/le-groupe-mgen/qui-sommes-nous/le-gr... ) :

et ça ça montre une fois de plus combien j'ai raison de dire que les calotins et tous les traits de la théocratie catholique d'autrefois n'ont pas du tout disparus ! ni l'Inquisition, ni l'alliance du sabre et du goupillon, ni les missionnaires, ni les ascètes, ni les chasseurs de blasphèmes, ni les confesseurs, etc, on a changé de "religion" c'est tout !

vous avez besoin d'arrêter de pêcher de mieux obéir aux Commandements de la Sainte Eglise ?.png

il suffit de changer le slogan de tête par " De petits efforts pour vous, de grands effets pour votre SALUT"
Ils se la jouent saint-François de Sales

 

(au fait vous savez que question investissements en actions le secteur de la "santé" est de loin le plus rentable ? ... ça non plus ça n'a rien d'innocent, et n'est pas sans rapport non plus avec la théocratie catholique, au XIXè sicle, c'était aussi comme ça !)