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30/06/2017

modéle de lettre à votre maire

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L'IGNOMINIE STALINIENNE DANS LAQUELLE ON VA NOUS FAIRE VIVRE http://www.bastamag.net/2013-comment-l-Europe-se-prepare-a

http://www.agitateur.org/spip.php?article971

pourtant il y a plein de raison pour s'opposer à la vidéosurveillance (son VRAI nom !) 

http://www.hacking-social.com/2015/06/30/deformatage-vide...

Elle annonce une société inhumaine : voulons nous un monde où l’individu sera suspecté, contrôlé, localisé et filmé de sa naissance à sa mort ? On devine le danger d’un tel système entre les mains d’un pouvoir qui déraperait et deviendrait autoritaire, répressif et liberticide ! Qui peut jurer que le risque n’existe pas ?

Le sujet est d’importance, et le débat mérite d’être ouvert.

Je propose à tous les humanistes habitant dans une commune qui projette d'installer un de ces immondes systèmes de vidéo-surveillance dans les ex-rues de leur ex-commune de notre ex-France, de les bombarder de lettres indignées de ce type:

 

Monsieur le Maire de ***

 

Je viens d’apprendre avec consternation vos projets de vidéo-surveillance pour la ville de ***. Les habitants de notre ville vont dont être contraints de vivre sous le mufle hideux de ces « choses » !

Dans tout le battage médiatique que votre équipe lance et concocte savamment pour « préparer » l’opinion, on devine une inquiétude, on voit que le travail des associations de citoyens dignes à commencé à alerter les humanistes, et à révéler, par ailleurs, l’inutilité de ces « choses » pour la prévention de la délinquance. Les observateur qui connaissent notre époque se diront qu’ il s’agit sans doute là d’une opération électoraliste en direction d’une certaine sorte d’électeurs ! Quand à ce « Comité d’Ethique » (« éthique » comme c’est joli ! tiens ! ça me fait penser à l’usage du mot « honneur » par Ferrante dans La Reine Morte Acte 2, scène 1 …) on reconnaît bien entendu un de ces artifices, destinés à mieux « endormir » et manipuler le bon peuple. C’est classique. Ce sont là des procédés familiers de tous les pouvoirs, que les instances politique utilisent amplement en notre douteuse époque.

Je vous fais savoir que dans ces conditions quand ces « machins », que je ne qualifierai pas, seront installés il n’est plus question que je mette jamais les pieds dans le centre de l’ex-ville de ***, ses commerçants n’auront plus qu’à, comme on dit, « crever la gueule ouverte » (c’est d’ailleurs ce qu’ils commencent déjà à faire depuis quelque temps), c’est dommage, mais c’est comme ça, et ce n’est pas le seul élément de notre ancienne urbanité qui disparaisse actuellement. Et je ne serai certainement pas le seul à agir ainsi, loin de là, quoi que vous puissiez croire.
Quand aux monuments que vous prétendez vouloir protéger, il ne sera plus question que je les fasse visiter par les visiteurs de divers pays que je pourrais recevoir chez moi.

Eh oui ! c’est comme ça, je regrette mais je n’ai pas été élevé et je n’ai pas vécu en Union Soviétique, mais dans un pays qui s’appelait la France (qui était fière de ses valeurs de civilisation et de les avoir défendues et regagnées) et où on ne tarissait pas d’exprimer la satisfaction de vivre dans le Monde Libre et non dans un des ces "immondes régimes communistes totalitaires et fliqués", où les libertés individuelles, le respect de la vie privée et de la dignité de la personne humaine étaient constamment bafouées par un Etat policier, sans scrupule et inquisiteur.
A l’époque on aurait évoqué la possibilité de mettre des caméras dans les rues pour filmer les passants, les gens n’auraient même pas un seul instant imaginé que ce pût être un projet dans nos pays d’Europe occidentale, on se serait exclamé tout de suite: « ah oui ! ça, ça doit encore être un de ces trucs inventé par Staline et ces communistes totalitaires d’URSS, ah la la ! c’est vraiment des barbares puants ces gens là ! heureusement que chez nous on est dans un pays civilisé ! ». Eh oui ! c’était également l’époque où le Monde Libre tendait toutes ses forces, matérielles et morales, où on était prêt à faire si besoin est la guerre, voire la guerre nucléaire, pour éviter de tomber dans une société de ce type

Quand on voit la « France » actuelle il y a de quoi pleurer non ?

Là, ne croyez-vous pas, on est en train de cracher sur les tombes de tous ceux qui à cette époque (et avant...) sont morts pour défendre un type de société qu’on puisse qualifier de Civilisé !

 

Si l’émotion des vieux humanistes républicains vous est indifférente, serez-vous autant indifférent à celle d’un enfant de 13 ans, car, eh oui ! en dépit du grand travail de bourrage de crâne en direction de la jeunesse, à cet âge il y en a encore qui ont gardé une sensibilité et un bon sens dignes et humains, écoutez la réaction de celle-ci :

"avec les caméras de surveillance il n'y a plus d'intimité !!
et la liberté ??? vous l'avez oubliée ??
je trouve ça injuste de mettre des caméras de surveillance je fait ça en éducation civique à l'école, j'ai 13 ans, et c'est totalement injuste de mettre des caméras de surveillance, ils en rajoutent de plus en plus
beaucoup de personne sont contre ces caméras ; faites quelque-chose, je trouve ça horrible vous ne pensez plus à la liberté du droit de l'homme il y a des droit et des liberté arrêtez ces caméras stupides, la liberté et l'intimité ça existe encore ...

voila slvoupléééé arétéééééé les caméraaaaaaaaas !
peut-être trouvez vous que je devrais penser à autre chose mais ça me rend dingue !!!"

C’est un crime que de piétiner et désespérer la jeunesse dès son arrivée dans la vie, non ?

Veuillez agréer cher Monsieur l’assurance de ma très haute considération.

**** signature ***



PS : ah au fait vous savez ce qu'en pense la cour des comptes ? http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2011/07/14/la-cour-des-...

 

re-PS je finirai par deux citations :

« Ceux qui sacrifient la liberté à la « sécurité » ne méritent ni l'une ni l'autre ?" (Thomas Jefferson)
« Ce n’est pas la conviction préalable ou plus tardive de certains qui permet au totalitarisme de s’installer, c’est la non-conviction de ceux qui pourraient et l’identifier et le refuser. » (Viviane Forrester)

Et un adage latin : « Principiis obsta et finem respice »

le monde totalitaire que ces choses créent : http://www.internetactu.net/2010/05/21/lettre-ouverte-a-c...

Ah ! oui, le message de la gamine de 13 ans finit par : «  svp arrêtez ces caméras, merci d'avance si vous le faites ... »

 

France-300x214.jpg

Je vous signale en passant que Monsieur François Asselineau, candidat à la Présidence de la République

est tout à fait contre ces dérives qu'il se propose d'interdire :

http://www.youtube.com/watch?v=PIUoOuQie00


Et n'oubliez pas :
Principiis obsta et finem respice
méditez-moi ça







 

 

Chirac était un ambitieux prêt à tremper dans toutes les magouilles pour réussir mais ce fut quand-même le dernier président un peu digne qu'on ai eu

Sur la photo,

866977_6_effe_bain-de-foule-de-jacques-chirac-a-alger-le-2.jpg

le président de la République
au milieu d’une foule de badauds,
ça aussi c’est « Une France qui n’existe plus».

Les derniers qu'on aie eu ils circulent au milieu d’un périmètre de sécurité
entouré de barrières et de chiens policiers,
avec des centaines de gardes armés
et un public présélectionné parmi des militants
briefés par des conseils en communication.
Comme tous les dictateurs haïs du peuple.

 

28/06/2017

déjà la premier scandale ! rien d'étonnant ça fait partie de la nature de classe de ce clan de gouvernants professionnels autoproclamés

Mme Goulard recevait ces appointements EN PLUS de son salaire de députée européen, de l’ordre de 12 000 euros par mois net d’impôts…
 
Mme Goulard recevait donc quelque 21 500 euros par mois, dont une grande partie nette d’impôts, pour appeler les Français… à approuver les Grandes orientations des politiques économiques (GOPE) fixées par la Commission européenne, consistant notamment à supprimer le SMIC, détruire nos acquis sociaux, appauvrir les classes moyennes et plonger dans la misère plus pauvres !
 
A-t-on déjà vu pire hypocrisie, pire inconscience, pire mépris de classe, et pire noirceur d’âme et indifférence à la souffrance des pauvres gens ?
 
F. Asselineau
 
 
eh oui regardez à quel monde appartient son "mécène" !
 
Au fait une autre info en passant : Vivendi - Veolia "Veolia Eau France va supprimer 572 emplois d'ici à 2020, dans le cadre d'un plan de "sauvegarde" de l'emploi! En plus de ça, 1.000 postes seront soumis à des mobilités géographiques! Du reste, l'entreprise avait déjà supprimé 1.500 emplois ces 3 dernières années. Tout ça, malgré un chiffre d'affaires stable et le pouvoir sur 50% de la distribution privée d'eau en France !!! Scandaleux!" merci à Maria

Non content d'avoir volé la moitié des services publics d'adduction d'eau (vivement que F Asselineau soit Président qu'il renationalise tout ça !) Non content d'avoir une grasse sinécure, de s'être octroyé une juteuse rente de situation, ça ne suffit pas aux actionnaires de Véolia il faut encore maximiser les profits, alors on licencie (les employés de Générale des Eaux, qui a été acheté par Véolia).
Toujours pire pour les gens. Toujours mieux pour les vautours.

24/06/2017

Robespierre aussi a été caricaturé et sa vraie figure soigneusement oblitérée ....

Robespierre_buste-d37d2.jpg

Regardez ! Claude-André Deseine a réussi (en le prenant par surprise sans doute !) a rendre enfin un portrait réaliste de Robespierre, que les peintre ont toujours représenté guindé, froid, poudré, comme sans doute lui-même aurait voulu paraître, mais pas comme il était vraiment, seul ce Claude-André Deseine nous a montré, pour la postérité, l'âme de Robespierre

Le véritable crime de Robespierre : avoir défié la toute-puissance des riches 

L’écrivain Mme de Staël, fille du richissime banquier Necker et farouchement hostile à la Révolution française, écrivait à propos de Robespierre : « ses traits étaient ignobles, ses veines d’une couleur verdâtre ». Ce portrait correspond à l’image que l’on se fait généralement de Robespierre : celle d’un pâle sanguinaire, d’un guillotineur cadavérique. Mme de Staël ajoute une précision intéressante :
«
 Sur l’inégalité des fortunes et des rangs, Robespierre professait les idées les plus absurdes ».
Tiens tiens ! Quelles étaient ces idées ?

En 1789, la France est ravagée par une terrible crise sociale ; la ville de Paris compte 70,000 indigents pour 600,000 habitants. La grande Révolution qui a bouleversé le monde contemporain vient tout juste de commencer ; bénéfique pour les riches, cruelle pour les pauvres. L’Assemblée Nationale abolit les corporations, ce qui permet aux propriétaires de fixer librement les salaires de leurs employés et les prix de leurs marchandises ; le prix du pain monte en flèche… Lorsque les travailleurs pauvres protestent, durement frappés par ces lois, on leur impose le silence à coups de fusil. Les rassemblements de travailleurs sont interdits ; « interdiction est faite aux ouvriers de se coaliser pour enchérir leur travail » (c’est-à-dire défendre leur salaire), précise la loi Le Chapelier de 1791.

Robespierre, le grain de sable dans l’engrenage

L’Assemblée Nationale rencontre l’opposition quasiment systématique d’un député assis à la gauche de l’hémicycle. Il s’agit de Robespierre, que l’on surnomme « l’Incorruptible », entouré de ses compagnons jacobins. À chaque fois qu’il prend la parole, c’est pour rappeler aux députés la contradiction entre les Droits de l’Homme qu’ils prétendent défendre et les lois qu’ils mettent en place. L’Assemblée accorde le droit de vote aux citoyens ; mais seulement à condition qu’ils ne soient pas pauvres. « Sois riche à quelque prix que ce soit ou tu ne seras rien dans la cité ! », résume laconiquement Robespierre. Face aux troubles publics, l’Assemblée crée une Garde Nationale chargée de réprimer les protestations ; elle n’est ouverte qu’aux citoyens assez riches pour acheter leur équipement. « C’est aux castes fortunées que vous voulez transférer la puissance », commente Robespierre ; il ajoute : « vous voulez diviser la nation en deux classes, dont l’une ne sera armée que pour contenir l’autre ». Désagréables vérités, difficiles à entendre.

L’Assemblée Nationale prétend avoir aboli les privilèges et le régime aristocratique ; en réalité, elle a seulement permis aux riches de racheter les terres des nobles et de l’Eglise, et aux paysans pauvres de conserver leurs chaînes. « Le peuple n’a-t-il brisé le joug de l’aristocratie féodale que pour retomber sous le joug de l’aristocratie des riches ? », questionne Robespierre. Il amuse les députés par son intransigeance, puis les irrite. Le journal de Paris rapporte, à propos de la séance du 27 octobre 1789 : « Hier, Robespierre est monté à la tribune. On s’est rapidement aperçu qu’il voulait encore parler en faveur des pauvres, et on lui a coupé la parole ».

Paris en 1793 : « sans-culottes » contre « culottes dorées »

La question du droit de propriété devient bientôt un enjeu crucial. Les députés défendent dans leur écrasante majorité le droit illimité de propriété. Robespierre dénonce ce droit comme étant « le droit de dépouiller et d’assassiner ses semblables »:  »nul homme n’a le droit d’entasser des monceaux de blé à côté de son semblable qui meurt de faim ». Selon lui, le droit de propriété doit nécessairement être limité; sinon il mène tout droit à une justification de l’esclavage : « demandez à ce marchand de chair humaine ce que c’est que la propriété ; il vous dira, en vous montrant ce long navire où il a encaissé et serré des hommes qui paraissent vivants : « voilà mes propriétés, je les ai achetées tant par tête » ». Il réclame la limitation du droit de propriété au nom de la dignité humaine, de la redistribution des richesses et de l’abolition de l’esclavage. Robespierre résume sa philosophie sociale à travers cette phrase : « la première loi sociale est celle qui permet à tout être humain d’exister ; toutes les autres lois sont subordonnées à celle-là ». Aux yeux de Robespierre la question de la répartition des richesses n’est pas dissociable de la question de la répartition du pouvoir. C’est pourquoi il prône la mise en place d’une démocratie semi-directe qui permettrait au peuple de contrôler et de révoquer ses élus, ou de voter lui-même directement ses lois sans passer systématiquement par ses représentants.

Les années passent et le soutien grandit autour de Robespierre. Au Club des Jacobins, qui compte de 100,000 à 200,000 membres, on se presse pour l’écouter. Les revendications égalitaires de Robespierre rencontrent un large écho au sein des classes populaires ; à en croire le député girondin Meillant : « Robespierre était devenu l’idole de la populace, comme le deviendra tout homme qui, par ses déclamations contre les riches, fera naître dans l’âme du pauvre l’espoir de s’emparer de leurs dépouilles ».

En parallèle, les tensions sociales explosent ; la pauvreté progresse, le prix du pain augmente, et les ouvriers réclament la mise en place d’un « Maximum », c’est-à-dire une loi qui fixe le prix du pain à un seuil raisonnable ; l’Assemblée Nationale les ignore. Le ministre de l’intérieur girondin Roland se contente d’un commentaire désarmant : « tout ce que l’Assemblée peut faire en matière d’économie, c’est déclarer qu’elle n’interviendra jamais ».

dans la rue, les manifestations violentes se multiplient. Les députés girondins, représentants des classes les plus fortunées, commencent à prendre peur. Ils organisent la répression brutale des manifestations, emprisonnent les protestataires et punissent de mort ceux qui proposeraient une loi agraire. « La liberté illimitée du commerce et les baïonnettes pour calmer la faim », résume Robespierre. Il soutient sans réserve ces révoltes. C’est l’une des caractéristiques de son parcours politique : jusqu’à sa mort en 1794, il s’est toujours trouvé du côté des mouvements populaires. Il les a constamment justifiés, même dans ce qu’ils ont pu avoir de violent ou de cruel. C’est, après tout, la révolte désespérée des « gens de rien » contre les « gens de bien », la vengeance des « sans-culottes » contre les « culottes dorées ».

La révolution sociale des robespierristes

Excédés, les sans-culottes finissent par prendre d’assaut l’Assemblée Nationale et par en expulser 31 députés girondins. Robespierre a désormais assez d’influence sur l’Assemblée pour la contraindre à voter les lois sociales qu’il réclame depuis des années. Terrifiée par la perspective d’une insurrection, l’Assemblée accepte de voter le Maximum du prix du pain et des denrées de première nécessité ; elle vote la création d’une armée de sans-culottes chargée de surveiller la distribution du pain et l’application du Maximum. Élu par l’Assemblée au Comité de Salut Public, Robespierre prépare avec Saint-Just les Décrets de Ventôse. Ils prévoient la redistribution des biens des nobles émigrés aux citoyens les plus pauvres. En mars 1794, une loi dite de « bienfaisance nationale » est votée : elle met en place un système de soins procurés gratuitement à domicile et une retraite pour les travailleurs pauvres à l’âge de 60 ans.

Sous l’impulsion de Robespierre et de Saint-Just l’abolition des privilèges devient effective, les terres sont progressivement divisées et redistribuées aux paysans. Le 11 février 1794, l’abolition de l’esclavage est votée.

Avec Saint-Just, Robespierre impose également le vote de la Constitution de juin 1793, la constitution de l’An I. Elle prévoit la mise en place d’une démocratie semi-directe, dans laquelle le peuple, réuni en assemblées, aurait notamment le pouvoir de révoquer une loi votée par l’Assemblée Nationale. Elle n’a jamais été appliquée à cause du contexte de guerre qui opposait la République aux nobles français et aux armées autrichiennes.

La chute de Robespierre : silence aux pauvres

Les mesures sociales imposées par Robespierre indisposent la grande bourgeoisie financière et industrielle. Robespierre le sait plus que tout autre. « Quand donc les intérêts des riches et du peuple seront-ils compatibles ? Jamais », peut-on lire dans ses notes. Malade, Robespierre se retire de Paris pendant quarante jours. Ses ennemis en profitent pour annuler une à une les mesures populaires qu’il avait imposées, alors qu’elles commençaient à connaître un début d’application. Lorsqu’il revient à Paris, Robespierre comprend qu’il n’en a plus pour longtemps. Il prononce un discours incendiaire à l’Assemblée Nationale puis au Club des Jacobins : « mes mains sont liées, mais je n’ai pas encore un bâillon sur la bouche », déclare-t-il. Il s’en prend directement au Comité des Finances dirigée par l’un de ses ennemis : « la contre-révolution est dans l’administration des finances », elle a pour but de « fomenter l’agiotage (la spéculation), de favoriser les riches créanciers et de ruiner et de désespérer les pauvres ». Le lendemain, il est arrêté par les députés de l’Assemblée Nationale en compagnie de Saint-Just et de ses alliés. Un complot avait été fomenté par l’aile droite de l’Assemblée, la plaine et une partie de l’extrême-gauche hébertiste – notamment Fouché, futur ministre de la police de Napoléon. Fouché, comme d’autres, s’était senti menacé parce que Robespierre l’avait fait rappeler du fait des crimes qu’il avait commis à Lyon en tant qu’émissaire de la Convention. C’est pourquoi une alliance de circonstances s’est constituée afin de faire tomber Robespierre, perçu comme une menace par de nombreux députés.

Emprisonné, il est libéré par une insurrection de sans-culottes et emmené à l’Hôtel de Ville; pendant des heures, Robespierre refuse de les appeler à l’assaut contre l’Assemblée. Tétanisé par la toute-puissance de « l’aristocratie des riches », il estime que le combat est perdu d’avance. Il avait déclaré la veille, au Club des Jacobins:  »frères et amis, c’est mon testament de mort que vous venez d’entendre. Les ennemis de la République sont tellement puissants que je ne puis me flatter d’échapper longtemps à leurs coups ». Lorsqu’il se décide à signer l’appel à l’insurrection, il est trop tard : Robespierre est de nouveau arrêté. Le 10 Thermidor an II, il est guillotiné en compagnie de Saint-Just et d’une centaine de ses alliés.

 

Danielle Bleitrach

 

On a diabolisé Robespierre, un "terroriste" n'est-ce pas ! mais quand on voit DE NOS JOURS les gens que la propagande des puissants diabolisent et présentent par LEURS "médias" comme des affreux,
ça vous donne pas la puce à l'oreille ??...

on commence à comprendre non ? et à douter !
On voit tout de suite "à qui profite le crime", relisez dans "l'assassinat de Jules César" de Michael Parenti, qui vient d'être édité en français - un livre à ne pas rater ! - les propagande par exemple de Cicéron ! on n'est plus dupe ! alors pourquoi on est encore dupe de l'agit-prop que les bourgeois ont fait sur Robespierre ?

 

 

23/06/2017

les espérantistes c'est comme les catholiques !

14/4/2017

Nous vous transmettons cet important message, aidez dans la possibilité de vos finances.

Amike,

** et ***

Bonjour à toutes et tous,

La réalisation de la statue "Brila Estonteco" (sic !)

(etc. , tout le reste est entièrement en français)

Ceci est un message envoyé par des espérantistes à des espérantistes.

autre exemple :

Saluton al ĉiuj,

La période des fêtes de fin d'année approche à grands pas, ainsi que notre Assemblée Générale.

Celle-ci aura lieu lundi prochain, soit le lundi 17 décembre.

Lieu : Office Culturel d'** - Pôle Culturel **
       1er étage - salle **
       A partir de 18h
     L'ordre du jour :
- Mots des membres du Bureau
- Rapport d'activité
- Comptabilité et cotisations
- Tour de table pour partager projets et idées
 
Notre réunion se clôturera par un pot de l'amitié pour notre "Fête Zamenhof".

Ghis la venontan lundon

Ceux-ci sont censés savoir la langue espéranto et s’en servir (déclaration de Boulogne 1905) et chercher à convaincre les gens de la facilité d’apprentissage et de la richesse de ladite langue. Or que constatez-vous ? Que « leur » langue ils ne la pratiquent pas et ne la SAVENT PAS, il se contentent de placer rituellement un ou deux mots que tout le monde sait (les seuls?) comme « saluton » ou « amike » histoire de se souvenir de la langue qu’ils sont censés connaître      Pareil que les catholiques de maintenant, qui ne pratiquent en rien le christianisme, tel qu’on le voit dans l’évangile, ou encore moins dans les livres de piété des siècles passés, qui ne prient même pas, mais qui (quelques vieux seulement, les autres mêmes pas !) vont à messe, dans des églises fermées en permanence !!! et qu’on n’ouvre un court moment que le temps qu’il assistent à ces rites, et voilà ! Faisant ça ils se sentent « chrétiens » ça leur sert de gadget, d' "identité", histoire de se souvenir qu’ils sont censés être chrétiens, et puis ils continuent de vivre comme tout un chacun et exactement comme s’ils n’avaient pas le moindre soupçon de foi.
99 % des espérantistes c’est pareil !

20/06/2017

les gens de maintenant crêveront de ne plus se toucher !

.La peau, « ce qu’il y a de plus profond chez l’homme »,
écrivait Paul Valéry
dans « L’Idée fixe ».

La culture occidentale a codifié le toucher par des règles et interdits, et le monde moderne encore plus ! Pourtant, notre peau est une fenêtre sur le monde. C’est à travers elle que nous le découvrons.

Hervé Cochet est un professionnel du toucher. A double titre. Kinésithérapeute et aveugle depuis l’âge de 25 ans, il aime ce métier mettant en œuvre celui de ses sens qui, plus que les autres, lui permet d’être heureux. « On ne se trompe jamais sur un message envoyé par le toucher », assure-t-il. Ses mains sont devenues ses yeux ; sa peau, une fenêtre sur le monde

Lieu de toutes les sensations, réceptacle des caresses et de l’amour, vulnérable à la douleur, vectrice de la découverte du monde, la peau est l’organe du toucher, notre sens le plus affiné. D’ailleurs, les mots ne manquent pas : câliner, chatouiller, effleurer, presser, palper, frapper, frôler, frotter, tripoter, embrasser...

Aucun animal n’atteint la qualité et la précision perceptive de notre toucher. Lorsqu’il y a plus de deux millions d’années, l’homme s’est dressé sur ses deux jambes, il a libéré ses mains qui sont alors entrées en contact direct avec la matière. Aujourd’hui, évolution oblige, nos récepteurs sensoriels se concentrent 10 à 20 fois plus dans les mains que sur le reste du corps : on compte jusqu’à 2000 terminaisons nerveuses par millimètre carré au niveau de la pulpe des doigts.

« On touche avec les yeux ! » assène-t-on pourtant à nos enfants. Quelle frustration, alors que le toucher reste si longtemps notre principal mode d’accès au monde !

  « Un enfant qu’on ne touche pas suffisamment devient rapidement dépressif et ralentit son développement psychoaffectif, rappelle Michael Stora. Le bébé peut mourir de ne pas être assez touché. »

« Des expérimentateurs s’intéressant aux rats ont montré que les animaux caressés sont détendus, calmes, souples, confiants et même audacieux, leur apprentissage est meilleur, leur croissance plus rapide, leur résistance aux affections plus grande, leur cerveau plus lourd. Par contre, les rats recevant les soins minimaux dans la stricte indifférence sont tendus, agités, craintifs et agressifs. » (Dr Leleu)

« Hommes ou femmes, nous aimons être enlacés, embrassés par quelqu’un en qui nous avons confiance » (Dr Leleu) 

« Le besoin de contacts corporels est aussi irrépressible et fondamental que la faim, la soif et le sommeil. »

Le toucher est le premier de nos sens à se développer – la peau se forme avant la huitième semaine de gestation. Et le dernier à se retirer, ultime mode de communication lorsqu’une vie trop longue a usé tous les autres. Toucher, c’est découvrir, prendre de l’information, en donner. Toucher, c’est aimer et c’est apprendre.

« La peau est une source de sentiments. » (Dr Leleu)
« C’est par la peau principalement que nous sommes devenus des êtres aimants. »
( Harlow in The maternal affectional system of rhesus monkeys )

Un espace de vie qui ne ment pas. « Le monde des odeurs, des couleurs, des sons, est de simple apparence. Seul le toucher fournit la certitude d’une réalité. Prendre, c’est déjà comprendre », écrit le neurologue Guy Lazorthes dans son « Ouvrage des sens » (Flammarion, 1992). Ce qui est vrai pour la matière l’est aussi pour les sentiments que nous éprouvons. Véritable langage parallèle, cette voix du silence peut tout aussi bien traduire fidèlement notre monde intérieur que le trahir.

Eminemment culturel, le toucher du XXIe siècle est codifié par des règles, des interdits implicites, et se révèle toujours significatif. Et quand, par inadvertance, deux inconnus se frôlent dans une foule, il en résulte le plus sou-vent un immédiat mouvement de protection, voire d’agressivité : « Tout objet qui nous touche sans que nous l’ayons d’abord identifié est vécu comme une attaque », explique le kinésithérapeute Hervé Cochet, rappelant que « toutes les fonctions humaines sont dévouées avant tout à la survie de l’espèce ».

La France, de culture méditerranéenne, n’est pourtant pas la plus atteinte par cette désincarnation des rapports humains. Selon une étude, lorsque deux Parisiens prennent un café, ils se touchent en moyenne 110 fois, contre... zéro pour les Londoniens ! Quant à notre poignée de main innocente, elle se révélerait importune au Japon où tout contact physique est proscrit en public. Inversement, les hommes se tiennent couramment par la main dans les rues de Bombay ou de New Delhi et, en Afrique subsaharienne, les enfants restent en permanence sur le dos nu de leur mère jusqu’à leurs 2 ans révolus.

Aragon a bien compris, qui écrit dans « Le Tiers Chant », interprété par Jean Ferrat : « Suivre ton bras, toucher ta bouche ; être toi par où je te touche ; et tout le reste est des idées. » Les poètes ont toujours raison.

« C’est comme les petits ours : on n’existe que par les caresses qu’on vous fait. »

« Les mains sur la peau touchent l’âme à vif. » (Christian Bobin)

« Faites les gestes, et les sentiments entreront dans le cœur. » (Confucius)

«  La main qui caresse reçoit une autre caresse de l’être quelle caresse. » (Jean-Paul Sartre)

 

« Ah, comme elle est bonne à tenir, la main d’un vieil ami ! » (Longfellow)

18/06/2017

"rapport de forces" tout passe par là ! tout le reste est littérature

https://www.fakirpresse.info/conges-payes-vive-le-corpora...

c'est pourquoi sans lutte syndicale on n'arrivera à rien.

Savez-vous où est née cette idée alors tellement incongrue, que personne, même les "socialistes" (déjà bourgeois !) n'y avait pensé, des "congés payés.
Je pense que quand ça a été créé tous les bien-pensants des "merdias" d'alors on du s'étrangler d'indignation vertueuse ! Pensez payer des gens à ne rien faire ! à aller prendre des vacances. Les rentiers font ça toute l'année, mais comme ça leur paraît immoral dès que ça concerne des gens du peuple !

donc les premiers ce furent les ouvriers gantiers de Millau.

Et pourquoi ?

C'est là que "les athénien s'atteignirent" !

"Les gantiers forment une véritable « aristocratie ouvrière », le métier réclame un savoir-faire, un apprentissage – et on ne les remplace donc pas au pied levé par le premier vagabond venu. Voilà qui, avec les patrons, instaure un rapport de forces : dans la ganterie Lauret, une aile est ainsi baptisée « la République libre des coupeurs  ». Qu’on ne vienne pas les embêter…"

comme quoi on en revient toujours aux principes du marxisme, sans rapport de force et pratique de la lutte des classes pas de défense possible.

14/06/2017

Ce qui se passe vraiment au Vénézuela - ne croyez pas ce que disent les journaputes à "La voix de nos maîtres"

 Hernando Calvo Ospina qui a séjourné au Venezuela témoigne : « (...) Lorsque j'ai annoncé à quelques personnes que je partais au Venezuela, j'ai immédiatement remarqué une espèce de panique dans les voix et sur les visages : « C'est la guerre là-bas », « il y a plein de morts », « il paraît que la police assassine... » Je suis arrivé un jour de semaine dans l'après-midi. Depuis l'aéroport jusqu'au centre de Caracas, en plus d'une heure, je n'ai vu aucune manifestation. Le lendemain et le surlendemain, j'ai parcouru, en voiture et à pied, plusieurs quartiers de la capitale : rien, pas une manifestation. Pourtant elles ont bien eu lieu. Mais si je ne les ai pas vues c'est parce qu'elles sont de taille réduite et qu'elles se déroulent dans des lieux bien précis. Principalement dans quelques quartiers bourgeois dont le maire est dans l'opposition. »

les manifestants ne sont pas des pauvres mal nourris et qui se battent pour leur survie mais ce sont des « casseurs » extrêmistes, voire racistes qui provoquent la police : « La plupart sont jeunes, ils ont la peau claire et ont l'air bien nourris. Ils portent des insignes fascistes et nazis. Leurs attaques les plus féroces contre la police et les bâtiments ont lieu lorsque la presse, surtout internationale, est à leurs côtés. Parfois il y a plus de journalistes que de casseurs. Sur Internet on trouve des exemples à gogo. Certains cagoulés transportent dans leurs casques des caméras qui retransmettent les scènes en direct sur Internet. (...) certains émeutiers ont même commis des crimes contre des innocents ou contre les manifestants eux-mêmes, que l'on attribue immédiatement à la police de la « dictature de Maduro ». (...) »

Le but ultime est le chaos conclut l’auteur qui rapporte que les « chavistes » bien que soumis plus que les autres aux austérités ne tombent pas dans le jeu : « Une jeune femme noire aux dents blanchissimes me disait il y a deux jours, tout en me préparant une galette de maïs au fromage : « Ils cherchent à nous pousser, nous les chavistes qui sommes des millions, à l'affrontement avec cette poignée de fous. Ils veulent emporter notre pétrole en marchant sur nos cendres. »

Les pénuries au Venezuela, mythes et réalités :

Quelle est la réalité économique ? C'est un fait que le Vénezuela qui a les premières ressources mondiales a été frappé de plain-pied par la chute des prix du pétrole. De mon point de vue habitant un pays qui connait les mêmes travers, n’a pas pu mettre en place une politique de production de richesse en dehors de la rente pétrolière labile. Du fait de la faible diversification, la politique était surtout sociale, De plus le Venezuela fait face à une opposition qui veut le changement en surfant sur le malaise social réel mais comme nous allons le rapporter ; catalyser par cette opposition qui met en œuvre les conditions de la pénurie

La contribution suivante donne un point de vue sur la réalité des pénuries et les manœuvres diaboliques pour créer des pénuries artificielles notamment en utilisant le levier de l’économie parallèle : « (...) Une part croissante des devises étrangères accordées par l'État pour l'import est en réalité directement placée à l'étranger. On parle notamment d'importations « fantômes ». Fausses factures, transfert d'argent liquide non déclaré aux douanes et autres combines plus ou moins élaborées ne manquent pas. C'est une véritable fuite de capitaux ! (...) Certains secteurs privés se livrent en effet à un véritable accaparement, c'est-à-dire qu'ils accumulent et stockent massivement des marchandises de même espèce en vue de provoquer leur raréfaction artificielle. D'ailleurs, les caractéristiques des biens pour lesquels on recense les principales pénuries ne trompent pas : les pénuries concernent principalement des biens et non des services. Biens facilement stockables et non périssables : denrées alimentaires (pâtes, lait en poudre, sucres,...), produits d'hygiène personnel, produits d'hygiène, etc. Pénuries recensées principalement dans le commerce de détail : un restaurateur se procurera plus facilement de la farine de blé qu'un consommateur final. Les biens accaparés par ces oligopoles et monopoles privés sont ensuite déversés sur des marchés parallèles : marché noir local. (...) » (4)

« Les causes réelles, poursuit le journaliste qui incriminent l’opposition, des pénuries recensées au Venezuela sont donc : des importations fantômes'' et un accaparement sélectif de biens de première nécessité. Les acteurs économiques qui se livrent à ce genre de pratiques frauduleuses (...) ce sont des intérêts principalement politiques qui sont poursuivis. (...) Cette déstabilisation socio-économique qui se traduit par une déstabilisation sociale, vise le monde du travail, coeur de l'électorat chaviste alors que les classes aisées sont épargnées (...) Toutes les composantes de l'opposition sont d'ailleurs mobilisées puisque les médias d'opposition tant locaux (majoritaires au Venezuela) qu'internationaux participent également à l'opération de déstabilisation en mettant en place de vastes campagnes médiatiques destinées à générer une psychose et une peur de manquer au sein de la population. » (3)

Thierry Deronne qui vit au Venezuela donne un témoignage de première main. Il nous décrit la topologie de la localisation des marches qui se déroulent dans les quartiers riches. Il affirme qu’ à côté de ce Venezuela décrit de feu et du sang , il y a les autres ceux qui travaillent normalement. l Lui aussi avance que le Venezuela est victime d’une guerre économique orchestrée de l’extérieur mais mis en œuvre par l’opposition qui dispose de moyens financiers et de la couverture occidentale des médias. 

Il écrit : « Mettons-nous dans la peau d'un habitant de la planète qui n'aurait que les médias pour s'informer sur le Venezuela et à qui jour après jour, on parlerait de manifestants'' et de répression'' (...) Mais il n'y a pas de révolte populaire au Venezuela. Malgré la guerre économique la grande majorité de la population vaque à ses occupations, travaille, étudie, survit. C'est pourquoi la droite organise ses marches au départ des quartiers riches. C'est pourquoi elle recourt à la violence et au terrorisme, dont les foyers sont localisés dans les municipalités de droite. ll y a 90 pour cent de quartiers populaires au Venezuela. Depuis la disparition d'Hugo Chavez en 2013, le Venezuela est victime d'une guerre économique qui vise à priver la population des biens essentiels, principalement les aliments et les médicaments. La droite locale renoue avec certains éléments de la stratégie mise en place jadis au Chili par le tandem Nixon-Pinochet, en clair provoquer l'exaspération des secteurs populaires jusqu'au débordement de rage et légitimer la violence. (...) Malgré les mortiers, armes à feu, grenades ou cocktails Molotov utilisés par les manifestants « pacifiques » la loi interdit à la Police ou la Garde nationale d'user de leurs armes à feu. Les manifestants de droite en profitent pour pousser leur avantage, déverser leur racisme sur les gardes ou policiers, les provoquer à coups de jets d'urine, d'excréments et de tirs à balles réelles, guettant la réaction pour les caméras de CNN. » (4)

 nous retrouvons encore une fois le journal Le Monde qui dénonce « la mort d'un leader étudiant tué lors des protestations contre le projet du président Maduro de convoquer une Assemblée constituante ». Or la victime, Juan Bautista Lopez Manjarres est un jeune dirigeant étudiant révolutionnaire assassiné par un commando de droite alors qu'il participait a une réunion de soutien au processus d'Assemblée constituante. Le dernier tweet de Juan Bautista Lopez Manjarres : la conférence de presse où il annonçait le soutien du secteur étudiant au processus de l'Assemblée constituante. » (5)

et aujourd'hui ça recommence ! à en croire les "médias" (tous propriétés en France, de 8 milliardaires, tiens tiens !) il n'y aurait au Venezuela que de pauvres et valeureux opposants qui manifestent contre une affreuse et méchante "dictature" (élue au suffrage universel quand-même....), et on ne nous montre JAMAIS au grand jamais ..... tous les autres, ceux qui sont contents du gouvernement et le soutiennent, eh oui ! il y en a     plein même !! 0039.gif    

il faut aller sur un site brésilien pour enfin les voir !

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et qu'on en parle :

http://www.vermelho.org.br/noticia/296619-1

et bizarrement cette manifestation-là http://www.telesurtv.net/news/Adultos-mayores-venezolanos... les "médias" ne nous en parlent pas, curieux non ? ....

eh oui, donc d'abords les manifestations en faveur du gouvernement chaviste, rassemblent ..... 3 millions de personnes ! ça on ne vous le dit pas dans les "médias" .....

http://www.resumenlatinoamericano.org/2017/04/19/venezuel...

 

Ensuite on vous glisse de manière subliminale l'idée d'une affreuse dictature à feu et à sang, heu  regardez un peu ces manifestants chavistes,

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et ceux-ci :

http://www.resumenlatinoamericano.org/2017/04/19/venezuel...

l'ambiance de décontraction qui règne et la mine qu'ils ont et puis comparez avec celles des casseurs de l'opposition, et avec les mines de bourgeois haineux des manifestants de l'opposition, ça ne donne pas légèrement à réfléchir ?

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 et partout en province aussi pour le 1er mai les partisans du Chavisme manifestent (sans cagoules ni actes agressifs eux !) :

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c'est bizarre ces manifestations ne sont jamais montrées par nos "médias", ils ne ne parlent que de, et ne montrent que les manifestants de l'opposition, curieux non ? .....

le Vénézuela réel a l'air très différent du Venezuela présenté dans les "médias" de la Voix de nos maîtres ! mais les moutons croient ce que leurs maîtres leur disent dans la petite lucarne

(euh un livre qui parle de ce qui s'est passé il y a plus de 2000 ans mais qui aide très fort à comprendre la propagande des oligarques contre le peuple : "L'assassinant de jules César" par Michael Parenti, http://www.laviedesclassiques.fr/article/michael-parenti-... lisez-le ! il est non seulement passionnant comme un roman mais nous aide à comprendre plein de choses sur notre monde actuel AUSSI !)

09/06/2017

les assasinats politiques - une constante de l'histoire, une pratique fréquente des puissants y compris les puissances actuelles (et en plus il y a de sacrés progrès techniques !)

 
 
 
 
 
 
 
Un article synthétique et très pénétrant paru sur Cameroonvoice :
 
 
 

Lorsqu'on évoque les mots violence et politique, nous autres Africains visualisons en général, les répressions féroces, les guerres tribales, et toutes les autres formes endogènes de violence qui sévissent sur le continent. Bien que ces brutalités intra-africaines coutent très cher à l'Afrique, et font de nos dirigeants, les champions apparents de la violence politique, un examen plus approfondi des relations internationales nous fait découvrir une toute autre réalité. Beaucoup d'africains, même lorsqu'ils sont mis devant des évidences probantes de cette violence exogène ont du mal à l'assimiler et admettre sa réalité. Tellement elle surpasse les limites de la méchanceté que leur culture d'africains peut leur permettre d'imaginer et d'appréhender. Cela constitue l'une de nos faiblesses majeure que nos ennemis exploitent allègrement.

 

L'une des choses que nous, Africains avons encore du mal à intégrer dans notre subconscient c'est le degré de violence dans lequel le monde fonctionne. Bien que nous ayons beaucoup travaillé ces dernières années de violence terroriste pour arrêter d'interpréter la marche du monde sous le prisme de notre culture, nous avhttp://miiraslimake.unblog.fr/wp-admin/edit.phpons encore des difficultés à en apprécier le niveau de corruption, de perversité et la notion d'élimination physique.
Nos dirigeants politiques ont pour la plupart une compréhension moyenne du degré de cynisme et de cruauté de leurs interlocuteurs occidentaux. Comme conséquence, ils continuent d'être les victimes de gens dont ils se réclament des amis. Ils ont du mal à comprendre le ridicule de se réclamer l'ami d'individus incapables du moindre sentiment d'amitié même vis-à-vis de leurs propres frères de race.
Pourtant les cas du Capitaine Thomas Sankara assassiné par le couple Mitterrand-Chirac ou celui, un peu plus récent du président Kabila père qui s'est fait tirer dessus par un de ses gardes-du-corps devraient leur servir de rappel.  Nos leaders ont souvent été eux-mêmes directement ou à mots couverts menacés dans les salons lambris des palais de leurs hôtes. Et la liste est sans fin.
Mais lorsqu'un leader africain mal-aimé de certains pays va se soigner à l'étranger, c'est qu'il y a encore beaucoup de chemin à faire dans la compréhension du monde. Peut-être croient-ils que les hôpitaux constituent un sanctuaire ou une « safe zone » du fait du serment d'Hippocrate que prêtent les médecins. C'est justement dans ces endroits de vulnérabilité physique et émotionnelle que certaines personnalités autrement difficiles d'atteinte sont éliminées de façon sournoise. Sékou Toure est mort de façon inattendue dans un hôpital aux Etats-Unis. Le cas de Yasser Arafat, rapidement évacué et mort dans un hôpital parisien de façon soudaine et très suspicieuse que certains à juste titre qualifient d'assassinat vient également à l'esprit. Il aurait été empoisonné avec la complicité de ses proches et la bénédiction de l'administration Bush-fils qui le déclara un obstacle aux négociations de paix le condamnant de fait à mort.
Dans ces hôpitaux, très souvent, on aggrave la condition du malade qu'on veut éliminer et on l'accompagne dans sa mort par l'injection de substances difficilement détectables à l'autopsie, qui agissent lentement et qui miment la mort naturelle. C'est fait de façon très subtile parfois difficile à soupçonner. C'est pour cela que les visites médicales à l'étranger du président  Muhammadu Buhari, leader d'une nation riche et au centre des convoitises sur l'Afrique sont très risquées. Pensez-vous que Fidel Castro aurait vécu longtemps s'il s'était soigné aux Etats-Unis ou que le président Laurent Gbagbo serait encore en vie s'il fréquentait les hôpitaux parisiens après le début de la crise ivoirienne? Cette observation s'adresse aussi au président Paul Biya bien qu'il soit un peu protégé du fait que son élimination ne mette pas automatiquement au pouvoir un agent de nos prédateurs. De toute façon, ca ne fait pas de sens d'aller se soigner dans les bras d'Etats qui vous font la guerre depuis la nuit des temps.

Tous les Etats Assassinent 
Pour avoir une idée de la façon dont le monde fonctionne réellement, il faudrait regarder le premier film de la série, le Parrain et même mieux, toute la série. Cette comparaison n'est pas exagérée. On pourrait même dire que ce film donne une pâle version de la réalité des affaires dans le monde. Apres tout, le parrain ne fait pas sauter un bus plein de voyageurs pour éliminer un ennemi. Les mafiosi de ces temps avaient quand même un semblant de code d'honneur. Les acteurs du monde politique ou financier n'en ont aucun, et on assassine partout.


Toute personne influente, détenant une position stratégique ou dont l'activisme gène des intérêts puissants est susceptible de se faire éliminer. Journalistes, hommes politiques, hommes d'affaires ou activistes font partie de cibles potentielles. On assassine en Afrique, en Europe, en Amérique, en Asie et même au Vatican. On se rappelle bien que le Pape Jean-Paul 1er avait été empoisonné par ses pairs, 33 jours seulement après qu'il soit devenu Pape. Il avait eu la détestable idée de procéder à des reformes financières qui gênaient des cardinaux et banquiers puissants du Vatican. Il but son the un soir au coucher et ne se réveilla plus. Cette histoire est racontée en détail dans Au Nom de Dieu, un livre écrit par David Yallop et que l'on peut trouver gratuitement online.


Les deux seules raisons pour lesquelles on ne tuerait pas une personne, c'est qu'on ne puisse le faire, ce qui est très rare. En effet, bien que des présidents tels que Fidel Castro ou Kim Jung-Un de Corée du Nord soient difficiles à éliminer physiquement, Il n y a pratiquement aucune personne au monde qui puisse prétendre être inaccessible. Même les chefs d'Etats des pays développés que l'on croit bien protégés ne le sont que pour des gens ordinaires. Lorsque la finance mondiale veut se débarrasser de l'un d'eux, on passe par ses propres services de protection, à moins que les conséquences d'une élimination physique soient graves pour les commanditaires. Ce qui nous amène à la seconde raison.

Les conséquences de l'élimination physique d'une personnalité politique ou des affaires sont la raison principale pour laquelle on hésite à le faire. C'est en réalité dans la plupart des cas la seule véritable raison. Elles peuvent par exemple ternir l'image des commanditaires ou provoquer des troubles sociaux ou une crise politique. C'est pour cela que, dans ce dernier cas, on procède d'abord au ternissement de l'image de la personne ciblée. C'est ce qui s'est passé avec le président Saddam Hussein, le colonel Kadhafi et ce qui a failli se passer avec le président Bashar Al-Assad, n'eut été l'intervention militaire de la Russie en Syrie. Ces leaders ne sont pas des enfants de cœur, on le concède, mais pour éviter que leur élimination ne soit perçue dans les sociétés occidentales comme un acte d'accaparement des richesses,  on les accuse à tort de vouloir décimer une partie de leurs populations.


Dans les pays plus avancés d'Europe et surtout d'Amérique, un scandale sexuel ou financier est en général suffisant. On procède le plus souvent à une élimination politique à travers des artifices juridiques comme dans le cas de Dominique Strauss Kahn, l'ancien dirigeant du FMI, candidat sérieux à la présidence française de 2012. En plus, il avait eu la fâcheuse idée de donner son accord de principe personnel au projet de création d'une monnaie africaine du Colonel Kadhafi.


Le Cas des Pays Africains
Dans le film Le Parrain, au cours d'une réunion de réconciliation tenue après une guerre entre familles qui aura couté des vies humaines, Don Corleone, le parrain annonce son intention de faire revenir  à New York son fils qu'il avait envoyé en Italie pour le protéger de ce conflit. Il met alors en garde ses pairs, les autres chefs de famille de la mafia New Yorkaise contre tout incident aussi naturel que possible pouvant causer la mort de son fils. Il savait que la véritable protection ne se limitait pas à des gardes-du-corps mais devait inclure des accords passés avec les autres acteurs influents  de la vie sociale newyorkaise. C'est l'une des raisons pour lesquelles certains chefs d'Etat africains comme le président Paul Biya recourent au soutien de pays influents non seulement connus pour leur expertise en matière de sécurité, mais ayant un certain poids diplomatique.


Comme dans le parrain la véritable protection du fils de Don Corleone venait de l'influence de son père. Dans le monde politique, la véritable protection dépend aussi du poids diplomatique de la puissance qui protège. Dans le cas du Cameroun, Israël fait savoir à tous les autres pays que la protection des leaders politiques est son business et qu'il n'aimerait pas voir esquinter leur réputation par l'élimination physique de l'un de leurs clients. En outre, assassiner le président Paul Biya aurait des conséquences imprévisibles qui pourraient plonger le pays dans le chaos et interférer avec les affaires des multinationales installées au Cameroun. C'est en partie pour entretenir cette situation qu'il a pendant longtemps résisté à établir un processus visible et lisible de succession.


Hiérarchie dans les assassinats
Il ne viendrait a personne ni à aucun gouvernement au monde d'essayer d'assassiner un Rockefeller ou un Rothschild parce qu'ils sont les plus proches du sommet de la hiérarchie mondiale. Pour appréhender ce concept, revoyons la hiérarchie des dirigeants mondiaux telle que l'a décrite Paul Daniel Bekima dans son article, Afrique, Comment Briser les Chaines de la Domination Etrangère : Qui Contrôle Vraiment l'Afrique ? Il a classé les leaders en 4 catégories allant des plus influents aux plus petits :


•    Ceux qui contrôlent la finance mondiale : Les Maitres du monde
•    Les architectes : ceux qui conçoivent, planifient et recrutent les exécutants parmi lesquels on retrouve des individus tels que les Henri Kissinger, George Soros, Zbigniew Brzezinski ou Jacques Attali.
•    Les Exécutants et Organisateurs  qui sont constitués de chefs d'Etats et Premier Ministres des pays Occidentaux
•    Les exécutants de niveau subalternes parmi lesquels on retrouve leaders africains
Selon cette hiérarchie, les leaders africains éliminent les opposants politiques, journalistes et activistes  ou hommes d'affaires qui les gênent. A leur tour, ils se font liquider par les leaders des pays puissants dès que leurs choix politiques interfèrent avec les intérêts de ces pays et de leurs multinationales. Puis, lorsque ces leaders étrangers refusent de jouer le jeu, (ce qui est rare car ceux qui portent un projet de société utile au peuple se font rapidement intimider) comme dans le cas du président John F. Kennedy, ils se font éliminer par le système comprenant les services de renseignement et la classe politique aux mains des maitres du monde.


Nous croyons que c'est ce genre de menaces que l'on a mis sur la table du président Trump pour le ramener à l'ordre et l'amener à briser ses promesses de campagne. Ayant vu en lui suffisamment de courage pour combattre l'appareil sécuritaire et militaire américain, la presse et la quasi-totalité de la classe politique et contrarier leur projet de domination mondiale, les maitres du monde et leurs relais ont dû lui envoyer un émissaire lui faire « une proposition qu'il ne peut refuser » selon les termes du parrain. On a dû lui dire de jouer le jeu comme Obama et ses prédécesseurs et s'en sortir avec des honneurs et une librairie présidentielle ou continuer dans sa lancée et exposer et sa famille et lui à la destruction et même à la  mort. Il est encore tôt pour être ferme sur cette conclusion. Observons encore.


Les maitres du monde exercent un contrôle plus étroit que les élus politiques sur l'appareil sécuritaire de ces pays à travers l'adhésion des chefs de ces services de sécurité aux sociétés secrètes créés et contrôlées par les maitres du monde. N'oublions pas que chaque nouveau président ou premier ministre n'est qu'un nouveau-venu dans un système qui existe depuis des centenaires. La plupart d'entre eux sont d'ailleurs des outsiders du système qui ne savent pas toujours bien comment le monde fonctionne vraiment jusqu'à ce qu'ils prennent le pouvoir. C'est donc à dessein que l'on favorise l'ascension au pouvoir de jeunes et impressionnables leaders tels que Justin Trudeau du Canada, Matteo Renzi d'Italie ou Emmanuel Macron de France. Ils n'ont pas encore de réseau de soutien propres à eux et appliquent avec un air de reconnaissance les ordres de leurs agents recruteurs.

Dans ces pays avancés, il arrive que le système règle ses comptes en dehors de l'action des maitres du monde et élimine  ses éléments qui deviennent gênants de par leur façon de faire ou de vivre. C'est ainsi que la princesse Diana avait été éliminée, avec, on peut bien l'imaginer l'approbation et même sur ordre de la cour royale d'Angleterre. On lui reprochait une relation amoureuse embarrassante avec Dodi Al-Fayed, un arabe et musulman.

Pourquoi La Justice ne fait rien ?
Quelle justice ? Se poser même cette question relève un tout petit peu de la naïveté. La plupart des assassinats dans les pays avancés sont maquillés sous forme de suicide, de crise cardiaque, d'infection pulmonaire terminale, de noyade,  ce qui permet à la justice de jouer le jeu. La plupart des juges d'un certain niveau font partie de ces sociétés secrètes d'obédience professionnelle, sociopolitiques ou spirituelle, comprennent ce jeu et font semblant. Les autres, comme le brave juge Giovanni Falcone d'Italie qui livrait une guerre contre la Cosa Nostra, la mafia italienne, se font éliminer. En effet, malgré le fait qu'il fut sous forte protection et qu'il se déplaçât en secret utilisant des avions gouvernementaux, il avait été tué en 1992 par la pose d'une charge d'explosifs d'une tonne sous une autoroute par laquelle il passait. Il est évident que les commanditaires de cet assassinat avaient des complicités dans l'appareil de l'Etat. Enfin, n'oublions pas que les juges et magistrats sont nommés par le pouvoir exécutif, donc sont sous contrôle. Ceux qui désirent avoir une bonne carrière la ferment.


Le Meilleur Moyen Et Endroit Pour Assassiner ?
Les assassinats se font de préférence dans le pays d'origine de la cible pour créer la confusion sur les commanditaires possibles car dans ce cas, on peut accuser les autorités ou d'autres adversaires locaux. Si cela n'est pas possible, on le fait dans un pays ami comme dans le cas de Felix Moumie, le leader nationaliste de l'UPC camerounais qui s'est fait empoisonner en Suisse par les services de renseignement français. C'est aussi le cas lorsque la princesse Diana se fait éliminer en France, théoriquement loin du bras armé des services de renseignement britanniques.


L'élimination en pays ami et étranger permet aux commanditaires de prétendre l'innocence tout en travaillant en complicité avec les services de sécurité de ce pays pour couvrir le meurtre. Cependant, le scenario idéal serait qu'une personne ciblée, meure dans un pays ami. Par exemple, un activiste camerounais visé par la France qui se fait écraser par une voiture ou se fait agresser au Tchad est vraiment le meilleur tableau pour eux.


De la même façon, les méthodes d'élimination physique sont diverses. Elles sont discrètes pour la plupart, à moins que l'on ne veuille passer un message fort à une personne et inscrire la peur dans les cœurs. On peut se faire éliminer par une injection dans un hôpital, en se noyant dans sa propre piscine, en tombant d'un immeuble, au cours d'une agression simulée, dans un accident de voiture ou d'avion ou d'un empoisonnement. Aujourd'hui, des assassins sont capables de prendre à distance le contrôle de logiciel qui gère une voiture et provoquer un crash. C'est pourquoi les morts subites dans de tableaux similaires de Noé Ndjebet Massoussi et de Blaise Tanonkou Kamgang, respectivement Directeur de Publication du Sphinx Hebdo et co-fondateur de Cameroonvoice, organes de presses engagés dans la diffusion d'une information décomplexée restent très suspectes. Ces deux héros africains étaient au centre d'organes de presse qui informent les Africains sur la réalité du monde. Dommage que l'on n'ait pas procédé à des autopsies.


Lorsque les intérêts le justifient aux yeux des entités prédatrices, on est capable de provoquer un accident d'un bus de voyage ou le crash d'un avion, sacrifiant des dizaines de voyageurs simplement parce que l'on veut éliminer un individu. Ce scenario marche en général bien car la mort de plusieurs personnes dans une catastrophe cache l'assassinat.

 

pour lire la suite de l'article : http://cameroonvoice.com/news/article-news-29729.html

Gabriel Makang

 

07/06/2017

la "pensée positive"

Les athées militants  du temps de la Révolution Française (Girondins, pour ça ils savaient être révolutionnaires) faisaient écrire au-dessus des entrées des cimetières « LA MORT EST UN SOMMEIL SANS REVEIL » ils croyaient paraît-il par là promouvoir une attitude révolutionnaire chez des gens qui vivraient heureux ! Se rendaient-ils compte que ainsi ils ne peuvent créer que des gens dont la moitié se suicidera à l’âge de douze ans, et ceux qui ne le feront pas resteront toute leur vie prostrés et sans goût pour rien dérivant entre les hurlements de terreurs et le désespoir total.